• Un quadragénaire, déjà connu des services de police, sera jugé en comparution immédiate mercredi, devant le tribunal correctionnel de Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales.

     

    Il est soupçonné d’avoir menacé une jeune femme de 24 ans avec une arme factice pour lui soutirer de l’argent, rapporte L'Indépendant.

    Interpellé et placé en garde à vue

    Les faits ont eu lieu samedi, dans le centre-ville de la capitale catalane. Le suspect est accusé d’avoir braqué la victime, en lui faisant croire qu’il était en cavale, qu’il avait tué un homme, et qu’il avait besoin d’argent, poursuit le quotidien régional.

    L’homme, qui serait reparti avec des espèces et la carte bancaire de la victime, a été interpellé quelques minutes plus tard, et placé en garde à vue.

    20 Minutes


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  • Un ouvrier meurt écrasé par une grue dans une centrale thermique EDF

    Un ouvrier de 31 ans est mort écrasé lundi après-midi par la chute d'une grue sur le site d'une ancienne centrale au charbon d'EDF à Blénod-lès-Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), a appris l'AFP auprès d'EDF. L'accident est survenu vers 15h sur le site de cette centrale thermique en déconstruction depuis quelques années, selon cette même source.

    La grue, qui était "en train d'être mise en place", a subitement "chuté et a heurté une personne qui travaillait pour une entreprise prestataire" intervenant sur le chantier, a-t-on expliqué, confirmant une information du site internet du quotidien régional "L'Est Républicain". La victime se trouvait alors avec un salarié d'EDF qui n'a pas été touché physiquement, a-t-on précisé. Très choqué, il a toutefois été hospitalisé, a-t-on ajouté.

    Les secours, arrivés rapidement sur place, "n'ont pu que constater le décès" de la victime, a-t-on ajouté.

    Cinq personnes choquées prises en charge

    Une cellule psychologique a été mise en place, selon EDF. Cinq personnes choquées ont été prises en charge par cette cellule, selon "L'Est Républicain". Une enquête a été ouverte, selon EDF.

    Mise en service entre 1963 et 1969, la centrale au charbon de Blénod-lès-Pont-à-Mousson a été progressivement arrêtée entre 1995 et 2014 et fait actuellement l'objet de travaux de déconstruction, selon EDF. Elle a été remplacée par une centrale à cycle combiné gaz, construite juste à côté.

    Paris Match


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  • J'ai bien aimé cette video, j'espère que vous aussi !


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  • Eure : manifestation hostile devant le domicile de la mère d'Alexandre Benalla

    Une vingtaine de personnes ont manifesté dimanche après-midi devant le domicile de la mère d'Alexandre Benalla, qui habite dans une commune de l'Eure, révèle le quotidien régional Paris Normandie.

    "Ces manifestants portaient des masques à l'effigie d'Alexandre Benalla", l'ancien chargé de mission d'Emmanuel Macron licencié après la révélation de ses violences en marge du 1er-Mai à Paris, en 2018, ajoute Franceinfo. "Ils ont brandi des fumigènes et lancé des pétards et des oeufs en direction de la maison."

    Deux personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, les autres ayant pris la fuite avant l'arrivée des gendarmes. La mère d'Alexandre Benalla a déposé plainte et une enquête a été ouverte.

    Un an après les premières révélations du Monde sur les violences commises par l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron, les enquêtes lancées par la justice sont toujours en cours. Licencié de l'Élysée à l'été 2018, Alexandre Benalla est désormais à la tête de sa société de sécurité, baptisée Comya, basée au Maroc.

    L'Express

    C'est stupide de s'attaquer à la mère de Benalla.

    D'ailleurs, quand on réfléchit bien, Benalla n'a pas fait grand chose !


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  • Un bon moment de rigolade


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  • Le député LaREM Jean-Jacques Bridey se faisait rembourser deux fois certaines de ses notes de frais, révèle Mediapart

    Le député LaREM du Val-de-Marne Jean-Jacques Bridey, l'un des premiers élus à avoir soutenu Emmanuel Macron, aurait bénéficié d'un double remboursement de certaines de ses notes de frais, en 2016 et 2017, au moment où il était à la fois président de la Société d’économie mixte locale d’aménagement de Fresnes (Semaf) et maire PS de cette commune, révèle ce lundi Mediapart

    L'élu se serait ainsi fait doublement rembourser certaines de ses notes de frais au restaurant "À la marée", situé au marché international de Rungis, qu'il fréquentait régulièrement: une fois par la Semaf et une deuxième fois par la mairie de Fresnes. Un montant total de 4807,70 euros, soit 3975,90 euros en 2016 et 831,80 euros en 2017, selon le site d'investigation en ligne. 

    "Quelques doublons"

    Jean-Jacques Bridey a déclaré à Mediapart qu'il "demandait un doublon" des tickets adressés à la mairie qu’il "rangeai[t] avec [ses] autres justificatifs de frais". "Il est alors peut-être arrivé que je transmette ces justificatifs en même temps que les notes de frais Semaf". Le député a également affirmé s’être peut-être trompé sur "quelques doublons".

    L'élu a annoncé son intention d’adresser, dès ce lundi, un "courrier à la Semaf pour demander à ce que ses services se rapprochent de ceux de la mairie" pour vérifier les investigations de Mediapart. Il a ajouté que "si elles s’avéraient, [il] rembourserai[t] à la Semaf tout naturellement les sommes correspondantes". 

    Jean-Jacques Bridey est déjà soupçonné d'avoir perçu des sommes indues via le cumul des indemnités de ses différents mandats lorsqu'il était membre du Parti socialiste.

    BFM.TV

    Un pourri de plus !


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  • Encore un départ au groupe LREM

    Critique sur la réponse apportée à la crise sociale, la politique environnementale et le fonctionnement de la majorité, la députée Albane Gaillot se met en retrait et siègera comme apparentée.

    Pour les députés LREM, les retrouvailles parlementaires commencent par un nouveau départ. Dans un mail à ses collègues, la députée Albane Gaillot annonce lundi qu’elle se met en retrait du groupe, sans couper complètement les ponts puisqu’elle siégera désormais en tant qu’apparentée à La République en marche.

     

    Avant elle, le groupe LREM a déjà enregistré une dizaine de départs. L’ex-socialiste Jean-Michel Clément, opposé à la loi asile et immigration, les deux ex-EELV François-Michel Lambert et Paul Molac, M’jid El Guerrab et Sandrine Josso ont rejoint le groupe Libertés et Territoires, tout comme Frédérique Dumas. L’écologiste Matthieu Orphelin siège parmi les non-inscrits. Aïna Kuric reste apparentée LREM et Joachim Son-Forget fait partie du groupe UDI, tandis que deux députés – Sébastien Nadot et Agnès Thill – ont été exclus des rangs LREM.

    Au lendemain du campus du mouvement macroniste à Bordeaux, Albane Gaillot, élue du Val-de-Marne, assure «ne pas rougir [du] bilan» de la majorité mais liste les bâts qui blessent, tels que la «crise sociale», ouverte à l’automne dernier avec l’émergence du mouvement des gilets jaunes, à laquelle «nous ne sommes pas parvenu·e·s à faire face», jugeant que la majorité a «négligé» le fait que justice sociale et transition écologique «sont indissociables».

    Mise au placard à cause de son opposition au Ceta

    Sur ce point, la parlementaire déplore d’ailleurs un décalage entre l’affichage et la politique menée : «Notre action n’est pas à la hauteur du réveil citoyen de ces derniers mois […]. Ne nous y méprenons pas, l’écologie n’est pas encore notre priorité.» La députée, qui s’était abstenue en février sur la controversée proposition de loi dite «anticasseurs», déplore également le vote de «lois restreignant les libertés individuelles». Et prévient que «nous ne parviendrons pas à éradiquer les violences de genre si nous ne sommes pas prêt·e·s à débloquer d’importants moyens financiers et à prendre le problème à la racine».

    Mais c’est sur le fonctionnement du groupe LREM qu’Albane Gaillot se montre la plus critique, estimant qu’il «nourrit une frustration collective» et qu’il «n’est pas parvenu à s’instituer comme un espace de dialogue et de débat». Engagée à En Marche depuis trois ans et cofondatrice d’un comité local, elle affirme avoir été «écartée» de la commission chargée d’examiner, ces jours-ci, le projet de loi bioéthique à cause de son opposition à la ratification à l’accord commercial Ceta, texte qui a connu cet été une contestation record au sein de LREM. «Notre diversité est une force, alors ne la faisons pas taire dès qu’elle s’exprime», prévient Albane Gaillot.

    Libération

    C'est bien que certains en aient marre de macaron !


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  • Il vivait la grande vie jusqu'à ce que sa femme découvre d'où venait l'argent

    L’inspecteur britannique Darren McKie semblait tout avoir pour lui : une famille, une belle maison et une grosse voiture. Sauf qu’il cachait un énorme secret.

    C’est l’épilogue d’un macabre fait divers. Darren McKie vient d’être déclaré coupable de la mort de son épouse. Comment ce policier en est arrivé à tuer son épouse ? L’histoire fait froid dans le dos, comme l'explique le Manchester Evening News.

    À 43 ans, Darren profitait de la vie avec sa femme Leanne et ses trois enfants dans une villa à 500 000 euros d'un quartier chic de Manchester, en Angleterre. Sur les réseaux sociaux, plusieurs photos attestaient que la petite famille pouvait s'offrir des vacances à 5000 euros la semaine et des voitures hors de prix. Le paradis ? Pas tout à fait.

    Des emprunts à gogo

    Pour réaliser tous ses rêves, Darren McKie mentait. Le quarantenaire avait de graves problèmes financiers. Pour assumer son train de vie d'enfer, il multipliait les emprunts bancaires. Il en avait tellement sur le dos, qu'à la fin du mois, il ne restait plus que 90 euros par mois à la famille pour vivre.

     

    À force de jouer avec le feu, Darren McKie a fini par se brûler : il a été interdit bancaire. Pour pouvoir continuer à emprunter, il a donc trouver une solution : utiliser l'identité de sa femme sans la prévenir. Une méthode qui a fonctionné jusqu'au jour où la femme a découvert la supercherie en ouvrant, au hasard, un courrier.

    Leanne décide donc de lui envoyer un SMS : "Tu es un menteur. Je viens de recevoir un document pour un emprunt à mon nom, avec mon passeport. WTF ?". Quelques heures plus tard, elle est retrouvée morte, à 10 kilomètres du domicile des McKnie. C'est Darren qui l'a tuée, par strangulation, comme il l'a avoué lui-même lors de son procès. L'horreur et le mensonge ont trouvé un visage.

    GENTSIDE

    Il vivait la grande vie jusqu'à ce que sa femme découvre d'où venait l'argent, il la tue !


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  • Le drame s'est produit lundi à Maussanne-les-Alpilles et Mouriès, dans les Bouches-du-Rhône.

    Un homme était entre la vie et la mort lundi après avoir tué trois personnes, sa femme, sa belle-mère et son beau-frère à Maussanne-les-Alpilles et Mouriès, dans les Bouches-du-Rhône. "Il s'agit a priori d'un drame familial", a indiqué à l'AFP Patrick Desjardins, procureur de Tarascon. Selon une source proche du dossier, l'homme a tué sa belle-mère de 95 ans, son beau-frère de 65 ans chez eux avant de prendre la fuite et de tuer sa femme dans la commune voisine. "Il a ensuite tenté de se suicider", a ajouté Patrick Desjardins.

    Il tue sa belle-mère de 95 ans

    Selon une source proche du dossier, l'homme a tué sa belle-mère de 95 ans et son beau-frère de 65 ans chez eux à Maussanne-les-Alpilles, avant de prendre la fuite et de tuer sa femme dans la commune voisine de Mouriès. "Il a ensuite tenté de se suicider", a ajouté Patrick Desjardins, "et se trouve à présent entre la vie et la mort".

    Le procureur, qui venait d'arriver sur place lundi vers 16H30, n'avançait aucune explication à ce triple homicide. La gendarmerie nationale et les sapeurs-pompiers sont intervenus domicile des premières victimes après avoir été appelés pour des coups de feu, avant d'être appelés pour d'autres coups de feu à Mouriès.

    Europe 1


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  • Un homme de 34 ans a été interpellé dans la nuit de vendredi à samedi, alors qu'il tenait son bébé suspendu dans le vide et qu'il menaçait de le lâcher. Il avait consommé de l'alcool et des stupéfiants.

    Le drame a été évité de justesse. Pris d'un accès de colère, un homme de 34 ans a suspendu son bébé de trois mois dans le vide depuis la fenêtre du premier étage de son appartement, avant de menacer sa compagne de le lâcher, révèle Francebleu.

    C'est dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 septembre à Mareuil-en-Périgord, en Dordogne, que l'homme est pris d'une colère soudaine. Si les raisons en sont pour l'instant inconnues, on sait en revanche qu'il était sous l'emprise de l'alcool et de stupéfiants.

    Il lance son micro-ondes par la fenêtre avant de s'en prendre à son nourrisson

    Le père commence par s'en prendre à ses voisins verbalement, avant de commencer à jeter différents objets par la fenêtre, allant jusqu'à lancer son micro-ondes. Mais c'est vers 23h30 qu'il s'en prend à son nourrisson. 

    L'homme saisit alors son fils de 3 mois et le suspend dans le vide à travers une fenêtre, ne le tenant que par son pyjama, menaçant de lâcher prise. Heureusement, les gendarmes sont intervenus à temps et ont pu interpeller l'individu avant qu'il ne passe à l'acte. Le père a été placé en détention provisoire dans l'attente de ses explications devant le juge, mercredi 11 septembre, au tribunal correctionnel de Périgueux.

    Europe 1


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  • Patrick Bruel entendu dans une affaire d’exhibition sexuelle présumée

    L’artiste est sous le coup d’une enquête préliminaire. Une esthéticienne dénonce un comportement déplacé de sa part lors d’un massage juste avant un concert le 9 août dernier en Corse. Le chanteur conteste les faits.

     

    Le concert de Patrick Bruel, le 9 août dernier, à Ajaccio avait été un succès. Mais, le passage en Corse du chanteur n’a pas laissé que de bons souvenirs. Depuis la mi-août, le parquet d’Ajaccio (Corse-du-Sud) a ouvert une enquête préliminaire pour « exhibition sexuelle » et « harcèlement sexuel » suite aux déclarations devant la justice d’une employée de l’hôtel Radisson à Porticcio, près d’Ajaccio.

    Selon nos informations, l’artiste qui poursuit sa tournée pour présenter son nouvel album « Ce soir on sort », a été entendu dimanche soir sous le régime de l’audition libre par les gendarmes à Châlons-en-Champagne (Marne) où il venait de se produire. Le chanteur n’avait pas pu être auditionné sur l’île puisqu’il avait quitté les lieux au moment où les faits ont été dénoncés par la jeune femme.

    La star est soupçonnée d’exhibition sexuelle et de harcèlement. Une jeune esthéticienne de l’hôtel Radisson l’accuse d’avoir adopté un comportement déplacé envers elle.

    Très choquée

    Selon nos informations, Patrick Bruel aurait croisé cette jeune femme de 21 ans dans l’hôtel quatre étoiles dans l’après-midi du 9 août. Un membre de son entourage aurait ensuite réservé une séance de massage avec elle, rendez-vous fixé plus tard dans sa loge, sur le lieu du concert, au théâtre de verdure du Cassone.

    D’après le témoignage de la jeune femme, au cours de cette séance, la star a tenu des propos laissant entendre clairement qu’il attendait une prestation à caractère sexuel. Ce qu’elle aurait refusé catégoriquement malgré l’insistance de l’artiste. Si l’on en croit l’esthéticienne, très choquée par le comportement de Patrick Bruel, la star aurait refusé de se vêtir d’un sous-vêtement jetable et souhaité rester nu, contrairement à l’usage. La séance se déroulant sous une lumière tamisée. Toujours selon le récit de la plaignante, la porte est restée close. Aucune contrainte n’aurait cependant été exercée. Par ailleurs, aucun autre témoin n’était, semble-t-il, présent dans la pièce.

    «Dans ma loge, accessible à tous»

    Joint ce lundi par le Parisien-Aujourd’hui-en-France, Patrick Bruel conteste cette version des faits : « Nous étions une heure avant mon concert, dans ma loge, accessible à tous. Mon équipe, mes collaborateurs, mes enfants étaient à proximité et ont l’habitude d’entrer à tout moment dans ma loge. Je n’ai pas eu la moindre intention, ni le moindre geste déplacé envers cette femme ».

    Depuis, la jeune femme a quitté son emploi. L’enquête a été confiée aux gendarmes de la section de recherche d’Ajaccio qui ont multiplié les auditions au cours du mois d’août. Ils ont notamment interrogé des employés du Radisson. Ces derniers ont livré des éléments rendant crédible le récit de la jeune femme.

    Il a expliqué qu’il faisait très chaud

    Dans son audition dimanche soir, Patrick Bruel a confirmé la réalité d’une séance de massage avant le concert du 9 août à Ajaccio mais a contesté toute proposition déplacée. Quant au fait qu’il soit resté nu, il a expliqué qu’il faisait très chaud ce soir-là et qu’il était effectivement nu lorsqu’il était à plat ventre mais qu’il s’est couvert d’une serviette une fois retourné. Il a ajouté qu’il n’a pas perçu de trouble chez la jeune femme, laquelle aurait assisté quelques minutes plus tard au concert en compagnie de plusieurs amis.

    L’enquête doit désormais se poursuivre. Il appartiendra ensuite au procureur d’Ajaccio de décider s’il classe l’affaire ou s’il renvoie le dossier devant un tribunal.

    Le Parisien

    Je n'apprécie pas Bruel mais là, ça semble léger ce que lui reproche la nana !

     


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  • Pour l'infirmière, c'est toujours d'actualité !


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  • "Gilets jaunes": Eric Drouet condamné pour "port d'arme prohibé"

    Le chauffeur routier de Seine-et-Marne était poursuivi pour avoir participé à une manifestation non déclarée avec un bâton dans son sac.

    Éric Drouet, figure emblématique du mouvement des "gilets jaunes", a été condamné mercredi à Paris à 500 euros d'amende avec sursis pour avoir participé à une manifestation avec une sorte de "matraque" dans son sac, mais relaxé des poursuites pour "participation à un groupement formé en vue de violences".

    Le chauffeur routier de Seine-et-Marne était poursuivi pour avoir participé à une manifestation non déclarée avec un bâton dans son sac - simple "bout de bois" selon lui, "matraque" selon l'accusation - le 22 décembre, lors de l'acte 6 du mouvement social. 

    Éric Drouet, 34 ans, avait été interpellé au milieu de quelques dizaines de manifestants bloqués par les forces de l'ordre dans une rue du quartier parisien de la Madeleine.

        

    Le tribunal correctionnel de Paris l'a relaxé s'agissant des poursuites pour "participation à un groupement formé en vue de violences ou de dégradations".

    Selon une copie de travail de la décision, les juges ont considéré que "c'est l'interpellation d'Éric Drouet qui a provoqué une réaction en chaîne, créant alors un climat de violence". Le tribunal a validé les conditions de son interpellation en refusant de faire droit aux recours en nullité soulevés par son avocat. 

    RMC

    La justice a vraiment du temps à perdre !


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  • Que de souvenirs me rappelle cette chanson en Suisse !


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  • Une dizaine de rugbymans qui sortaient d’un bar de Strasbourg ont eu une altercation avec des passants, révèlent les DNA, l’un d’eux a blessé un rugbyman à l’aide d’un couteau. Une enquête est ouverte

     

    Une enquête est ouverte après l’agression dans la nuit de samedi à dimanche d’un rugbyman âgé de 30 ans, dans le quartier de la Krutenau à Strasbourg, révèlent les Dernières Nouvelles d’Alsace. Les faits se sont produits vers 2h du matin place de Zurich. Une dizaine de joueurs de rugby, à la sortie d’un bar, ont eu une altercation avec un groupe de quatre à cinq personnes dans la rue. Dans la bagarre, un rugbyman a été touché par deux coups de couteau, dont un à l’abdomen, précisent nos confrères. Ses jours ne sont pas en danger mais il a été conduit à l’hôpital. Deux autres joueurs ont subi des violences.

    L’auteur des coups de couteau et les autres hommes ont pris la fuite. Les caméras de vidéosurveillance sont en cours d’exploitation.

    20 Minutes

    Le couteau, la nouvelle arme à la mode !


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