• À Messanges, un enfant s’était étouffé avec une saucisse Knacki en 2014. Le président de la société Herta, qui est poursuivie pour homicide involontaire après le décès, s’est présenté au procès, qui s’est ouvert ce lundi 25 janvier à Dax.

    Le procès de la société Herta, poursuivie pour homicide involontaire après la mort en 2014 du petit Lilian, étouffé avec un bout de saucisse Knacki, s’est ouvert ce lundi 25 janvier dans l’après-midi devant le tribunal correctionnel de Dax.

    Ni le président d’Herta, Arnaud de Belloy, ni les parents de la jeune victime n’ont souhaité faire de commentaires à leur entrée au tribunal.

    Herta est en effet attaqué en justice par Florence et Vincent Lerbey, pour « homicide involontaire par violation manifestement délibérée d’une obligation de sécurité ou de prudence » posée par le Code de la Consommation. Ils ne veulent pas qu’un tel drame se reproduise.

    Leur fils de 2 ans et 11 mois est mort le 11 août 2014 dans un camping de Messanges, sur la côte landaise, où la famille bordelaise séjournait en mobil-home.

    La saucisse avait été coupée en rondelles

    Ce jour-là, au retour de plage avec un couple d’amis et leurs enfants, la maman prépare le repas pour les petits. Au menu, haricots verts et saucisses Knacki qu’elle coupe en rondelles.

    Après quelques bouchées, Lilian se lève, se prend la gorge entre les mains, il s’étouffe. Florence Lerbey alerte aussitôt son mari et son amie, infirmière anesthésiste. Celle-ci essaie d’enlever le morceau de la gorge du petit, de le faire tousser, pratique la manoeuvre de Heimlich et lui tape dans le dos en le maintenant à plat ventre sur ses genoux pendant que la maman appelle le 15. Le papa le prend aussi par les pieds, la tête en bas. Rien n’y fait. C’est l’arrêt cardiaque. Le morceau de saucisse finit par être ôté par l’infirmière grâce à une pince spéciale, à l’arrivée des pompiers. Mais ni eux ni le Samu n’arriveront à faire repartir le cœur de l’enfant.

    Si les parents de Lilian ont finalement porté plainte contre Herta, « ce n’est pas pour de l’argent mais pour qu’il y ait une prise de conscience des consommateurs qui ignorent la dangerosité de ce produit », a affirmé à l’AFP Me Philippe Courtois, avocat de la famille.

    Le « diamètre de ces saucisses correspond à l’œsophage »

    Le « diamètre de ces saucisses correspond à l’œsophage des plus petits et leur matière spongieuse peut se coller à la trachée », ajoute-t-il.

    À l’époque, seule une « recommandation pour les plus jeunes » de couper en « tout petits morceaux » était indiquée sur les paquets. Depuis 2015, à la demande de la famille Lerbey, une nouvelle mention avec logo d’alerte figure au dos des emballages : « Pour les enfants de moins de 4 ans, couper la saucisse dans le sens de la longueur puis en tout petits morceaux afin de prévenir les risques d’étouffement ».

    Dans un récent communiqué, Herta précise avoir alors, « conformément aux souhaits » des Lerbey, incité les autres fabricants de saucisses à pâtes fines à reprendre ces termes, ce qu’ils ont « majoritairement » fait.

    Herta reconnu coupable dans une autre affaire en 2018

    Les parents de Lilian souhaitent que ce texte soit mis à l’avant des paquets pour plus de visibilité. Ils aimeraient également une campagne publicitaire pour faire connaître ce risque qui a déjà été tragique pour quelques autres enfants.

    En 2018, la Cour d’appel de Paris a notamment reconnu Herta responsable du handicap d’une fillette de 3 ans qui avait frôlé la mort avec une « Knacki ball » six ans plus tôt, et indemnisé les parents, estimant que l’emballage ne prévenait pas suffisamment du danger potentiel.

    Ouest-France


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  • Pantin : Les policiers attaqués à proximité du tournage d’un clip de rap

    Une patrouille de police a été attaquée par de nombreux individus à Pantin (Seine-Saint-Denis) ce dimanche après-midi. Un homme a été interpellé et placé en garde à vue peu après.

    Violente agression envers les forces de l’ordre dans le quartier des Courtillières ce dimanche après-midi à Pantin. Tout a commencé lorsqu’une patrouille de police a procédé au contrôle d’un automobiliste vers 15h40. Alors que les vérifications étaient en cours, ils ont été agressés par une quinzaine d’individus qui participaient au tournage d’un clip de rap, non loin de là.

    « Les policiers n’étaient pas au courant qu’il y avait ce tournage. Une cinquantaine de personnes y participaient. Une bonne vingtaine d’individus se sont approchés d’eux, puis certains les ont agressés. Les autres filmaient la scène », détaille une source policière.

    Les policiers sortent leur arme

    Les fonctionnaires ont reçu divers projectiles, des bouteilles et des pavés, tandis que des agresseurs venaient directement à leur contact. Du gaz lacrymogène a été utilisé par les policiers qui étaient débordés. Ces derniers ont été contraints de sortir leur arme pour faire reculer les assaillants, comme il est possible de le voir sur l’une des vidéos amateurs diffusées sur les réseaux sociaux. Sur cette même séquence, deux hommes circulent sur une moto sans casque.

    Les forces de l’ordre ont finalement quitté les lieux sous les insultes, alors que leur véhicule venait d’être dégradé. Deux vitres ont notamment été brisées. Il n’y a néanmoins pas de blessé à déplorer.

    Un homme en garde à vue

    Peu après, six équipages de police sont revenus sur les lieux pour retrouver les auteurs de cette agression. Quatre suspects ont été interpellés : l’un a été placé en garde à vue, les trois autres ont été ramenés au commissariat pour une vérification d’identité. Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de Pantin.

    ACTU 17


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  • Un automobiliste qui roulait à plus de 200 km/h sur l’autoroute A61 en direction de Carcassonne (Aude) ce dimanche soir, a été interpellé après une course-poursuite. Il transportait pas moins de 200 kilos de résine de cannabis.

    Belle saisie pour les policiers et les douaniers qui ont stoppé un go-fast à hauteur de Carcassonne. Vers 18h30, un homme au volant d’une Renault Mégane a refusé de s’arrêter lorsqu’un équipage de la douane lui en a donné l’ordre. Le fuyard a poursuivi sa course folle à plus de 200 km/h sur l’autoroute A61, prenant tous les risques pour se débarrasser de ses poursuivants.

    Le chauffard a ensuite pris la sortie de Cazilhac. Il a perdu le contrôle de sa voiture et a percuté deux autres véhicules, blessant légèrement les deux conducteurs. L’homme a finalement décidé d’abandonner sa voiture et a continué sa fuite à pied.

    Repéré dans une rue de Carcassonne

    Les recherches ont débuté pour mettre la main sur le suspect. Il a finalement été retrouvé par les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) vers 20h20, dans la rue du Docteur-Suzanne-Noël à Carcassonne. L’homme a tenté de fuir, en vain. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Ce dernier est âgé de 20 ans, il est déjà connu des services de police. L’un des fonctionnaires a été légèrement blessé durant l’intervention.

    Dans la Mégane, les forces de l’ordre ont découvert plusieurs sacs siglés de la marque « Audi » qui contenaient de la résine de cannabis. Pas moins de 200 kilos de drogue se trouvaient à l’intérieur. L’homme revenait-il d’Espagne ? La police judiciaire a été chargée de la suite des investigations.

     

    La semaine dernière, près de Toulouse (Haute-Garonne), les policiers ont interpellé six personnes qui convoyaient 400 kilos de cannabis ainsi que 10 000 euros en numéraire. Début janvier, la douane a aussi saisi plus d’une tonne de cannabis dans un poids lourd, près de Montpellier (Hérault).

    ACTU 17


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  • Cet accident domestique est aussi rare que tragique. Une habitante de Vitry-sur-Seine, enceinte de six mois, se trouve entre la vie et la mort après avoir été brûlée du cou jusqu'aux pieds en tentant d'allumer un barbecue dans son four.

    Ce vendredi, vers 18 h 30, au 27, avenue Lucien-Français, la locataire d'un appartement situé dans ce grand ensemble de logements sociaux met de l'alcool à brûler et du charbon dans son four. Elle l'allume. L'explosion est immédiate. Une boule de feu atteint la victime qui se trouvait juste devant le four. Elle est blessée sur tout le corps.

    Son beau-frère, qui se trouvait non loin, est également touché mais moins grièvement. Il souffre de brûlures au niveau des mains et des mollets et a été légèrement intoxiqué par les fumées. Il est surtout totalement paniqué face au drame qui vient de se dérouler sous ses yeux et face à l'état de sa belle-sœur.

    Les sapeurs-pompiers, dont la caserne se situe au bout de la rue, arrivent très rapidement sur place. Le commissaire de police de Vitry-sur-Seine ainsi que le maire PCF Pierre Bell-Lloch, se rendent également sur les lieux face à cette intervention hors normes.

    « Un accident très atypique »

    La future maman se trouve dans un état critique. Elle est transportée à l'hôpital Saint-Louis à Paris par l'ambulance de réanimation des pompiers. Son beau-frère, quant à lui, est hospitalisé au Kremlin-Bicêtre.

    La boule de feu a provoqué des fumées mais pas d'incendie dans l'appartement. Aucun relogement n'a été nécessaire.

    « Il s'agit d'un accident très atypique, selon la brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP). Les gens pensent que seul le récipient ou la flaque de l'alcool va brûler. Or, il s'agit d'un liquide extrêmement volatil. Lorsqu'il est placé dans un milieu confiné comme un four, dès que l'énergie d'activation arrivera, cela créera une boule de feu. »

    Le Parisien

    Il y a vraiment des gens très cons !


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  • Je vous la remets !


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  • Un accident a été évité de peu sur l’hippodrome de Vincennes, dimanche 24 janvier. L’autostart utilisé pour donner le départ de l’une des courses a en effet dérapé en raison des averses de pluie et de neige qui s’étaient abattues sur la piste. Les trotteurs qui se trouvaient derrière les ailes de la voiture n’ont pas été blessés.

    Un accident a été évité de justesse sur l’hippodrome de Vincennes (Val-de-Marne), dimanche 24 janvier. Comme le rapporte CNews, la chaîne hippique Equidia a publié sur Twitter les images spectaculaires du départ de l’une des courses de la journée.

    Le départ était donné au moyen d’un autostart, une voiture derrière laquelle sont rangés les trotteurs. Mais avec les fortes intempéries qui se sont abattues sur la piste dimanche dernier, le véhicule a effectué un dérapage incontrôlé qui aurait pu provoquer un grave incident.

    Aucun cheval touché

    Sur les images de la chaîne dédiée aux sports équestres, on peut ainsi voir les treize chevaux engagés dans la course attelée s’élancer derrière la voiture munie de deux ailes latérales. Mais au moment d’accélérer pour libérer les trotteurs, celle-ci s’écarte de sa trajectoire, manquant de peu d’accrocher un sulky.

    Heureusement, l’autostart a pu se ranger sur le côté de la piste sans toucher un seul concurrent et la course s’est déroulée normalement.

    Ouest-France

    Lien de l'article pour voir la video :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/vid%C3%A9o-un-accident-%C3%A9vit%C3%A9-de-justesse-%C3%A0-vincennes-lors-du-d%C3%A9part-d-une-course-de-chevaux-%C3%A0-l-autostart/ar-BB1d4f8u?ocid=msedgntp


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  • Tout commence par un simple match de foot pour un adolescent portugais de 14 ans. Ce dernier se blesse au niveau du crâne et se présente ensuite aux urgences avec de la fièvre. Les médecins constatent que le patient présente une plaie de 5 centimètres de profondeur sur le côté droit de la tête. Les urgentistes suturent la blessure et renvoient le garçon chez lui. Cinq jours passent, le jeune footballeur amateur revient aux urgences, où les médecins nettoient à nouveau la blessure et lui confient une ordonnance pour un traitement antibiotique.

    Le problème persiste

    Trois jours plus tard, le jeune homme est de nouveau admis aux urgences. Les douleurs au niveau de sa blessure au crâne persistent et du pus est sorti de la plaie. Les médecins, qui ont publié l'histoire de ce cas dans la revue médicale BMJ Case Reportssoignent l'infection à coup d'antibiotiques avant de lui faire passer un scanner. Ces derniers découvrent qu'une dent est logée dans le crâne de l'adolescent.

    Un "banal" accident de foot

    Les médecins ont donc enlevé le corps étranger du crâne de l'adolescent portugais qui a pu rentrer chez lui. Ce genre d'accident est déjà arrivé, c'est ce que rapporte Franceinfo, citant un cas datant de 2015 dans lequel l'hôpital Queen Victoria en Angleterre a reçu un jeune garçon se plaignant de douleur à la main. Il s'est en fait avéré que lors d'un match de boxe, il avait frappé son frère au visage et qu'un bout de dent était resté coincé entre son auriculaire et son annulaire. Une histoire incroyable !

    Gent Side


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  • Oradour-sur-Glane : Le maire va porter plainte après le tournage non-autorisé d’un clip dans le village martyr

    Selon « Le Populaire du Centre », l’édile et l’association des familles des martyrs ont l’intention de poursuivre un artiste qui a tourné une vidéo musicale dans la commune sans validation préalable

    Philippe Lacroix, le maire d’Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) va porter plainte contre un artiste qui a tourné un clip dans le village. Selon le quotidien régional Le Populaire du Centre, l’association des familles des martyrs a également l’intention de saisir la justice.

     

    « Il faut que les gens comprennent que la liberté c’est la liberté mais on ne peut pas faire n’importe quoi dans un site comme Oradour. C’est un site international, symbole des malheurs, symbole de la douleur et c’est un lieu de recueillement. Et dans un lieu de recueillement on ne fait pas une vidéo de cette nature », a déclaré l’édile, selon des propos rapportés par France 3.

    La vidéo en question était censée être mise en ligne ce dimanche, comme l’annonçait le chanteur sur son compte Twitter vendredi. Un extrait accompagnait le message : y apparaissaient les ruines du village dont le nom est resté dans l’histoire pour le massacre de civils perpétré par l'armée allemande, le 10 juin 1944. 643 personnes avaient péri dans des conditions particulièrement tragiques.

    Un artiste à la faible notoriété

    Ce n’est pas tant le potentiel contenu de ce clip – celui-ci n’a pas été diffusé en intégralité et, selon France 3, la chanson dénoncerait les violences faites aux femmes – qui pose problème, mais le fait que son tournage n’ait pas été autorisé.

    « Tous les tournages effectués sur le site du village martyr sont soumis à des autorisations de la Drac, de la mairie, de l’association des familles de martyrs, et du Centre de la mémoire. Ce sont essentiellement des documentaires », a indiqué explique Philippe Lacroix au Populaire du Centre.

    Selon nos confrères, la notoriété de l’artiste impliqué dans cette controverse serait toute relative : il ne compterait que 19 abonnés sur Twitter, à peine 1.350 sur Instagram et un peu plus de 1.000 sur sa chaîne YouTube.

    20 Minutes


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  • « Peut-être que je vais mourir » : Enrico Macias se confie sur sa contamination à la Covid-19 dans Sept à huit

    Enrico Macias s'est confié en toute transparence face aux combats menés dans sa vie. Interrogé dans Sept à Huit, le chanteur a notamment parlé du décès de son épouse mais aussi de sa contamination à la Covid-19. Des symptômes importants et une grande inquiétude pour l'artiste, qui pensait y laisser la vie.

    Ce dimanche 24 janvier, le portrait de la semaine était consacré à Enrico Macias. Ce chanteur de 82 ans, qui a marqué de nombreuses générations, s'est confié en toute transparence et avec honnêteté sur des sujets personnels et intimes. Celui qui a chanté l'amour durant sa toute sa carrière, s'est livré à cœur ouvert sur le décès de son épouse, Suzy, avec qui il a eu deux beaux enfants. Malheureusement en 2008, elle décèdera des suites d'une quatrième opération du cœur et perdra la vie, dans les bras d'Enrico Macias. "J'étais dans une autre salle et on m'a dit ça y est, elle est partie. Je sus allée vite dans la chambre, je l'ai prise dans mes bras et là elle a eu encore un nouveau soupir. C'est pour ça que je dis qu'elle est partie dans mes bras", a-t-il expliqué, les larmes aux yeux, dans Sept à Huit.

    Peur pour sa vie

    Une immense tristesse pour Enrico Macias, qui n'a pas été épargné en 2020. En effet, le chanteur a été testé positif à la Covid-19 et ses symptômes ont été durs à supporter"Je ne me sentais pas bien, j'étais vraiment très fatigué, je toussais beaucoup, j'avais très mal au ventre et là ils ont vu le Covid dans les poumons. Mais seulement à 25%", confie-t-il. Si le virus l'a beaucoup inquiété, c'est pour une bonne raison : "J'ai perdu des êtres proches, j'ai perdu des amis... Le beau-père de mon fils, aussi, est décédé à cause du Covid...". Des décès autour de lui, qui lui ont alors fait penser au pire : "Peut-être que je vais mourir, je ne sais pas...". Désormais Enrico Macias va mieux même s'il est toujours prudent quant à la propagation du virus.

    Voici


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  • Alors que le trafic aérien a été fortement impacté par la crise sanitaire, American Airlines se retrouve avec un excédent de vin.

    American Airlines a trouvé une solution originale pour écouler le vin qui devrait être vendu dans ses avions. La compagnie américaine a décidé de ne plus vendre d’alcool sur ses vols depuis plusieurs mois, afin de limiter les interactions entre l'équipage et les passagers en cette période de pandémie mondiale. Déjà fortement impactée par la crise sanitaire, elle se retrouve avec d’importants stocks de vin qui vont désormais pouvoir être achetés par les Américains grâce au programme “American Airlines Flagship Cellars”.

     

    American Airlines explique qu’il est ainsi possible pour les personnes âgées d’au moins 21 ans (l'âge légal pour consommer de l’alcool aux Etats-Unis) d’acheter une ou plusieurs bouteilles, qui sont livrées dans une caisse “personnalisée”, moyennant 13 à 40 dollars, soit entre environ 10 et 32 euros. L’offre la plus chère concerne un coffret de trois bouteilles à 300 dollars (environ 246 euros). Un abonnement mensuel à 99 dollars (environ 81 euros) est disponible et permet de recevoir “trois vins prestigieux” chez soi. Les personnes possédant le programme de fidélité American Airlines AAdvantage se verront offrir un mile supplémentaire pour chaque dollar dépensé avec “American Airlines Flagship Cellars”.

    2,4 milliards d’euros de pertes au troisième trimestre 2020

    CNN précise que les bouteilles de vin vendues ici auraient dû l’être initialement dans la classe “Flagship” d'American Airlines, une option de sièges de luxe sur les vols internationaux et transcontinentaux. “Pour les amateurs de vin du monde entier, le vin fournit un lien plus profond avec les endroits qu'ils aiment visiter. Nous avons créé ‘Flagship Cellars’ pour offrir aux clients davantage de moyens de déguster notre vin ‘Flagship’, même s'ils ne volent pas dans l'une de nos cabines haut de gamme”, explique Alison Taylor, directrice de la clientèle chez American, dans un communiqué de presse.

     

    Après avoir affiché des pertes de 2,4 milliards de dollars au troisième trimestre 2020, la compagnie aérienne ne pourra pas vraiment compter sur cette initiative pour renflouer ses caisses. Selon CNN, American Airlines espère gagner entre 40.000 et 50.000 dollars avec ce programme de vente de vins à domicile lors des trois prochains mois, soit entre environ 33.000 et 41.000 euros.

    Capital


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    L'association de défense des animaux L214 a diffusé lundi une vidéo de cochons en putréfaction prise dans un élevage des Côtes d'Armor, des "images insoutenables" a reconnu la Cooperl, coopérative agricole à laquelle l'éleveur est adhérent.

    "Une vision d'horreur", décrit L214 dans un communiqué de presse. "Sur le sol d'une des salles gisent une vingtaine de cadavres. Dans d'autres salles, d'autres corps, parfois presque à l'état de squelette, sont grignotés par les rats. Une brouette pleine d'ossements traîne dans l'exploitation".

    Selon l'association, les faits se sont produits entre août et décembre 2020 et les corps étaient encore "éparpillés dans l'élevage" le 13 janvier.

    "Ni les services vétérinaires du département, ni la Cooperl n'ont été capables d'identifier les défaillances de l'éleveur et encore moins de pallier ses carences", estime L214, qui réclame une enquête administrative et annonce le dépôt d'une plainte "pour cruauté et abandon d'animaux auprès du procureur de Saint-Brieuc".

    Les images "sont insoutenables", a reconnu la Cooperl, leader français de la filière porcine, dans un communiqué de presse.

    "Au vu de l'état des cadavres, de leur disposition et de l'absence de traces de bagarre sur le cuir, le vétérinaire conclut à une mort des porcs qui remonte à environ 8 mois, des suites d'un étouffement brutal dont l'éleveur n'a informé ni la coopérative ni son vétérinaire", ajoute le groupe coopératif, basé à Lamballe (Côtes-d'Armor).

    La Cooperl précise que ce site d'engraissement a été "fermé physiquement" fin mai 2020 "par l'éleveur à la demande de son vétérinaire". "Au vu de la vidéo, les animaux morts étouffés sont restés sur place sans que la coopérative et la société d'équarrissage en soient informées", assure-t-elle.

    Un "site de naissage dans lequel sont élevés des truies et une partie des porcs", détenu par le même éleveur, a fait l'objet d'"actions correctives" après le signalement d'"animaux en détresse" début septembre, selon la coopérative.

    La Cooperl, qui a réalisé 2,4 milliards d'euros de chiffres d'affaires en 2019, évoque "la fragilité morale et financière de l'éleveur, dont la société est placée en redressement judiciaire".

    La "Cooperl continue à accompagner cet éleveur pour l'aider à quitter le métier", ajoute le communiqué.

    L'Assemblée nationale doit examiner à partir de mardi une proposition de loi de la majorité contre la maltraitance animale, qui n'aborde pas la question de l'élevage intensif.

    Le Point


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - LUNDI 25 01 2021


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  •  

    Passez une bonne soirée


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  • Une Américaine qui s’est suicidée après avoir tué ses cinq enfants et brûlé la maison familiale traversait une période très sombre d’après son mari.

    Brian Bumgarner a tout perdu, ses enfants, sa femme, sa maison. En décembre dernier, en Virginie, son épouse a tué ses trois enfants biologiques et ses deux beaux-enfants, avant de brûler leur domicile et de se suicider. Sur les réseaux sociaux, Brian Bumgarner a confié que sa femme avait laissé une lettre derrière elle, expliquant ne plus être assez forte pour «surmonter ses démons». «Ne laissez jamais quelqu’un aller mal», a-t-il écrit, d’après le «Sun». Il a également rappelé à quel point il était important de «prendre plein de photos avec ses proches, parce que vous ne savez jamais quand sera la dernière fois où vous les verrez».

    Le shérif du comté de Greenbrier a donné une conférence de presse jeudi dernier pour partager les détails de cette tragique histoire. Oreanna Myers, âgée de 25 ans, était la mère des petits Kian, 4 ans, Aarikyle Nova, 3 ans et Haiken Jirachi, 1 an et la belle-mère de Shaun et Riley, 7 et 6 ans. Son mari, se trouvait chez son père – où il vivait la semaine pour être plus proche de son travail – lorsque le drame s’est produit. La mère a tiré sur les enfants après être allée chercher deux d’entre eux à l’arrêt de bus. Une heure plus tard, un voisin a appelé les secours après avoir vu que le domicile de la famille était en flammes. La mère a été retrouvée à l’extérieur, avec l’arme du crime.

    Les funérailles des enfants ont eu lieu le 17 décembre dernier. «Shaun était un élève de deuxième année à la Frankford Elementary. Il adorait jouer au t-ball et grimper aux arbres. Il s'intéressait à l'espace et voulait devenir astronaute», peut-on lire sur la page d’obsèques ouvertes par les proches. «Riley était à la maternelle. Il aimait tous les sports, en particulier le football. Il était extrêmement intéressé par la musique et apprenait à jouer du piano et du ukulélé», est-il encore écrit. «Aarikyle adorait la peinture et était malicieux, il adorait les Tortues Ninja et les superhéros. Haiken, le plus jeune, était gâté par tous et il adorait conduire ses petites voitures».

    Paris Match

    Son mari aurait dû s'apercevoir de son état avant !


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  • Grippe Aviaire: Un nouveau foyer détecté au nord de Toulouse, tous les animaux euthanasiés

    Après les Landes ou le Gers, l'épizootie de H5N8 touche la Haute-Garonne. Tout un élevage de poules pondeuses vient d'être euthanasié à Grenade, au nord de Toulouse

    Même s’il n’est pas transmissible à l’homme, c’est l’autre virus à forte expansion qui occupe les autorités sanitaires. La préfecture de Haute-Garonne a indiqué vendredi qu’un premier foyer de grippe aviaire « hautement pathogène » a été décelé dans le département depuis le début de ce nouvel épisode de l’épizootie. Le virus H5N8 a été détecté dans un élevage de poules pondeuses de la commune de Grenade​, au nord de Toulouse.

     

    Les services de l’Etat ont « ordonné le 21 janvier l’euthanasie de l’ensemble des volailles de l’exploitation ».

    Un périmètre de protection a été instauré dans un rayon de 3 km autour de l’élevage, dans lequel tout transport d’oiseaux d’élevage est interdit, tant pour les professionnels que pour les particuliers qui ont une basse-cour.

    Dans un rayon de 10 km, tous les oiseaux et volailles doivent désormais être confinés.

    20 Minutes


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  • L’homme de 18 ans a tué le père de sa compagne et blessé la mère de celle-ci près d’Annecy samedi soir. Une enquête a été ouverte pour assassinat.

    Un homme soupçonné d’avoir tué le père de sa compagne et d’avoir blessé la mère de celle-ci près d’Annecy samedi soir est en garde à vue et une enquête a été ouverte pour assassinat, a indiqué dimanche le parquet.

    Une jeune femme a contacté la gendarmerie vers 23 h samedi pour demander de l’aide, disant que son compagnon avait tué ses parents à Pringy, près d’Annecy, a indiqué à l’AFP la procureure de la République d’Annecy Véronique Denizot.

    Le suspect a 18 ans

    « Les gendarmes ont déployé un important dispositif pour porter secours à cette femme » car le lieu où s’est déroulé le drame est « un cul-de-sac isolé », a-t-elle précisé, évoquant la récente affaire d’Ambert (Puy-de-Dôme) où trois gendarmes avaient trouvé la mort en tentant de sauver une femme victime de violences conjugales.

    La jeune femme a réussi à prendre la fuite et les gendarmes sont parvenus à interpeller l’homme, âgé de 18 ans, qui a été placé en garde à vue vers 01 h.

    Plusieurs tirs

    Sur place, ils ont découvert le corps sans vie du père de la jeune femme, « décédé à la suite d’un ou plusieurs tirs, et portant d’autres traces de violences », a précisé la procureure. Une autopsie doit être réalisée lundi ou mardi à Grenoble pour déterminer les causes exactes de la mort.

    La mère de la jeune femme, portant des traces de blessures dont l’origine n’a pas pu être précisée, a été transportée à l’hôpital mais « son pronostic vital n’est pas engagé ».

    « Il semble qu’il y avait une communauté de vie et que le jeune homme travaillait sur l’exploitation des parents », a précisé Véronique Denizot.

    Il casse les téléphones pour empêcher les appels au secours

    Plusieurs armes à feu et des armes blanches ont été retrouvées sur les lieux et l’auteur présumé « avait cassé les téléphones portables et fixes » après l’appel passé par la jeune femme, a-t-elle ajouté.

    Les investigations se poursuivent sur place. Toutes les armes correspondant aux munitions n’ont pas été retrouvées, selon elle.

    Violences intra-familiales

    Le drame a eu lieu « sur fond de violences intra-familiales », a précisé une source à la gendarmerie.

    « Mais il faut rester prudent sur le contexte : qui a été violent avec qui ? Il est trop tôt pour le dire, même si la jeune femme a fait état de messages aux propos menaçants » envoyés auparavant par son compagnon, a déclaré Véronique Denizot.

    Une enquête confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie d’Annecy a été ouverte pour « assassinat et tentative d’assassinat ».

    Ouest-France


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