• "Ras-le-bol de sa tronche", "Roi de la lèche", "Les autres invités mis de côté", après Laurent Delahousse, Laurent Ruquier menacé pour avoir reçu Michel Drucker !

    Il semblerait que les téléspectateurs du service public ne soient plus aussi fans de Michel Drucker...

    Il y avait Vitaa et Slimane à qui il était reproché de faire "trop" d'apparitions télévisuelles... et il y a maintenant Michel Drucker ! 

     

    Lassés par ses passages dans diverses émissions du service public, les fidèles téléspectateurs de France 2 n'ont pas hésité à menacer la chaîne et plusieurs de ses animateurs, d'un boycott. Rien que ça ! 

    "Qu'est ce qu'on attend pour le congédier ???? Il n'y en a que pour lui, quel égocentrique... les autres invités sont complètement mis de côté !!! Quel dommage. Qu 'on le mette à la retraite puisqu'il n'arrête pas de dire qu'il a passé sa vie à travailler RAS LE BOL de sa tronche. On ne vous dit pas merci Mr Ruquier pour le choix de votre invité", "Je regarde habituellement votre émission. Mais là avec le dinosaure Drucker égocentré et qui squatte notre écran depuis 50 ans en servant la soupe, roi de la lèche... j'ai zappé", "Double peine; confinement et l'insupportable Drucker", peut-on par exemple lire dans les commentaires Instagram du compte des Enfants de la télé. 

    Drucker y était en effet reçu par Laurent Ruquier ce week-end. La semaine dernière, c'est Laurent Delahousse à qui on a reproché d'avoir invité le visage phare du PAF. 

    Public


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  • Un Japonais de 39 ans a été arrêté car suspecté d’avoir 35 relations simultanées avec des femmes dans le but de les escroquer. Il aurait menti à chacune d’entre elles sur sa date de naissance pour se voir offrir autant de cadeaux que de conquêtes.

    Takashi Miyagawa, 39 ans, a été arrêté la semaine dernière au Japon pour escroquerie. Il aurait promis à ses 35 victimes, avec qui il sortait en même temps, qu’il envisageait une relation sérieuse. L’homme aurait menti sur sa date d’anniversaire pour que chacune d’entre elles lui offre des cadeaux.

    Les 35 victimes ont formé un collectif

    Le Japonais de 39 ans, travailleur à temps partiel et sans domicile fixe, a rencontré ses victimes lorsqu’il était commercial pour une société vendant des pommes de douche. Il ciblait les femmes célibataires, entamait une relation puis allait même jusqu’à leur faire entrevoir une possibilité de mariage. Il donnait à chacune d'entre elles une date d’anniversaire différente pour se voir offrir de nombreux cadeaux , dont des vêtements et de l’argent. Les 35 victimes connues, pour l’instant, auraient dépensé au total 765 euros. Elles ont fini par découvrir la supercherie puisqu’elles ont monté un collectif et sont allées dénoncer Takashi Miyagawa à la police. L’enquête est en cours mais on n'ose imaginer l’emploi du temps chargé que le suspect avait dû se concocter pour pouvoir cultiver les espérances de chacune de ces femmes…

    PUBLIC - Kahina Boudjidj


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  • La mère de famille, ivre, aurait même tenté de l’étrangler, avant finalement d’être interpellée

    Vendredi après-midi, en pleine rue à Metz, une femme âgée de 33 ans a violenté son bébé de 17 mois placé dans sa poussette, rapporte Le Républicain Lorrain. La mère de famille aurait même tenté de l’étrangler.

    Les passants, témoins de la scène et sous le choc, ont alerté la police. Interpellée dans la foulée, la jeune femme est déjà connue de la justice pour des faits de violences et des problèmes de toxicomanie.

    Ordonnance de placement pour l’enfant

    Elle a été placée en cellule de dégrisement avant d’être écrouée à la maison d’arrêt de Metz, en attendant d’être jugée pour répondre de violences sur mineur par ascendant n’ayant pas occasionné d’ITT.

    L’enfant a été conduit aux urgences pédiatriques puis à l’unité médico-judiciaire où un examen a confirmé les dires des témoins, précisent nos confrères. Il fait l’objet d’une ordonnance de placement.

    20 Minutes

    Il faudrait la stériliser !


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  • États-Unis: une femme tuée et à moitié dévorée par un ours brun dans le Colorado

    Illustration

    Le corps de la victime a été retrouvé par son compagnon sur un sentier non loin de leur domicile. C'est la quatrième attaque mortelle de ce type recensée dans cet État en 60 ans.

    Une femme de 39 ans a été retrouvée morte et à moitié dévorée après ce qui semble être une attaque d'ours brun dans le Colorado, aux États-Unis, a annoncé samedi le Colorado Parks and Wildlife (CPW), qui gère les parcs de l'Etat américain. Les faits se sont produits vendredi dans les environs de la ville de Durango, proche de la frontière du Nouveau-Mexique.

     

    "Les attaques d'ours sont extrêmement rares", a déclaré Cory Chick, directeur de la région sud-ouest du CPW dans un communiqué, précisant qu'il s'agissait de la quatrième attaque mortelle recensée dans le Colorado ces soixante dernières années.

    La victime a été retrouvée par son compagnon sur un sentier proche de leur résidence. Elle était partie se promener avec ses deux chiens, a-t-il raconté à la police locale, ajoutant qu'ils s'étaient parlés pour la dernière fois dans la matinée. Lorsqu'il est rentré à leur domicile vendredi vers 20h30, les deux chiens étaient à l'extérieur de la maison. Il est alors parti à sa recherche et a découvert son corps une heure plus tard, avant d'alerter les secours.

    L'ours et ses deux petits euthanasiés

    Dépêchés sur place, les agents du CPW ont relevé autour du cadavre des traces d'excréments et des poils d'ours brun. Aidés par une équipe de chiens, ils ont fouillé les environs et localisé une femelle et ses deux petits, qu'ils ont euthanasiés et conduits dans un laboratoire afin de procéder à une autopsie.

    "C'est un événement tragique et un triste rappel que les ours sont des animaux sauvages potentiellement dangereux. Par prudence, les ours ont été enlevés pour la sécurité publique. Nous demandons au public de signaler toute rencontre avec un ours agressif au CPW", a ajouté Cory Chick.

    D'après le CPW, près de 20.000 ours bruns vivent à l'état sauvage dans l'État du Colorado.

    BFM.TV

    Ils ont euthanasié une femelle et ses deux petits sans être sûrs que c'était elle qui avait tué cette femme. Et les deux petits n'y étaient pour rien !


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  • La ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, va lancer un observatoire des squats. L’objectif : recenser le nombre de squats en France, et vérifier comment s’appliquent les dernières lois concernant les expulsions d’intrus. En effet, ces procédures peuvent mettre énormément de temps à aboutir, au plus grand malheur des propriétaires. C’est le cauchemar vécu pendant plus de six mois par Marie-Françoise et son frère : après le décès de leur mère, des squatteurs se sont installés dans sa maison à la fin du mois de septembre. "Un jugement a eu lieu le 3 novembre, qui a décrété une expulsion immédiate sans délai. Il a été signifié aux squatteurs par huissier, mais ils ne sont pas partis, et les forces de l'ordre sont intervenues", raconte Marie-Françoise à Europe 1.

     

    "Psychologiquement, c'est très dur. On a l'impression de donner des coups dans l'air", confie cette propriétaire "On a fait une manifestation et c'est la pression publique qui a un peu effrayé les squatteurs, donc ils sont partis", poursuit Marie-Françoise. "Je ne vous dis pas dans quel état est la maison. C'est impressionnant... Ils ont laissé des vêtements, des tapis, des tas de choses... Mais on ne peut pas enlever leurs affaires. Il faut que ce soit encore une décision de justice qui nous donne l'autorisation de vider la maison", explique-t-elle.

    "J’ai des dossiers de 2019 qui ne sont toujours pas exécutés"

    En raison des plaintes fréquentes des propriétaires démunis face aux squatteurs, un nouveau dispositif a été prévu dans la loi Asap, votée en décembre dernier : il prévoit l’expulsion des squatteurs en 72 heures. Mais dans la pratique, il ne fonctionne pas, déplore l’avocat en droit de l’immobilier Romain Rossi-Landi, spécialiste de la question. "La réforme laisse le soin aux préfets d'examiner la situation des propriétaires et des squatteurs dans un délai de 48 heures (et les forces de l’ordre ont ensuite 24 heures pour intervenir, ndlr). C'est matériellement impossible. J’ai des dossiers de 2019 qui ne sont toujours pas exécutés aujourd'hui parce que le préfet n'a toujours pas donné le concours de la force publique. S'il ne le donne pas en 18 mois, comment va-t-il faire pour le donner en 48 heures ?", interroge-t-il.

    "La ministre a annoncé qu'elle allait créer un observatoire des squats, c'est une bonne chose, mais évidemment, les victimes de squatteurs ne veulent pas d'un observatoire, ils veulent le concours de la force publique !", pointe Romain Rossi-Landi.  

    Europe 1


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  • Avec la participation de Jo Brami en pharmacien


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  • La Française Tava Colo s’est éteinte à l’âge présumé de 118 ans

    Cette habitante de Mayotte est décédée samedi 1er mai, a-t-on appris auprès de sa famille. Elle est supposée être née le 22 décembre 1902.

    Elle était surnommée la « bibliothèque », en référence à sa très bonne mémoire. Tava Colo est décédée à l’âge présumé de 118 ans, samedi à Mayotte, le département d’Outre-mer où elle a passé toute sa vie. Cette femme, dont les obsèques ont eu lieu dès dimanche, était supposée être née le 22 décembre 1902, date qui figure sur sa carte d’identité. Mais l’état civil mahorais étant sujet à caution et il subsiste un doute sur cette date.

    Dava Colo, communément appelée « Coco », est née sous le régime colonial en 1902 à Passamainty, dans la commune de Mamoudzou. Elle n’a jamais quitté son village. Elle s’est mariée quatre fois mais n’a eu des enfants qu’avec son premier mari, deux filles nées en 1930 et 1935 et décédées avant elle.

    Une alimentation très saine

    En 2019, selon un décompte fait au Centre universitaire de Mayotte, Tava Colo avait 10 petits-enfants, 43 arrière-petits-enfants et 59 arrière-arrière-petits-enfants. Ils la décrivaient comme « une femme humble, battante et très généreuse ». Elle avait perdu l’usage de ses jambes et était alitée depuis 2010, précise la chaîne Mayotte la 1ere . Elle résidait chez une de ses petites-filles. Tava Colo avait exercé une activité de sage-femme traditionnelle. Son secret de longévité ? Elle supposait que son alimentation très saine y était pour beaucoup.

    La doyenne officielle des Français et même des Européens est Sœur André. Lucile Randon, de son vrai nom, a survécu au Covid et a fêté en février dernier à Toulon ses 117 ans.

    Ouest-France


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  • "Quand on ne sait pas, on ne parle pas !" François Berléand critique les médecins qui disent tout et son contraire à la télé

    François Berléand part en guerre contre les fake news ! Lassé des médecins qui disent tout et son contraire sur les chaînes d’info, l’acteur s’est confié au micro de RTL.

    Invité de l’émission d’Éric Dussart et de Jade, On refait la télé, diffusée le samedi à 11h30 sur RTL, François Berléand n’a pas caché son mécontentement ce 1er mai concernant les médecins des plateaux télé qui ont tendance à changer d’avis comme de blouse quand il s’agit de parler de la crise sanitaire. "Il y a un mot que j’ai appris en janvier, c’est ultracrépidarianisme", commence l’acteur. "C’est la capacité des gens à parler sans savoir. On est là-dedans notamment avec les chaînes d’information en continu (…) et ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est que, depuis l’apparition de la Covid, on se rend compte que les médecins qui sont autour d’une table et qui commencent à débattre sur cette maladie peuvent dire un jour blanc, l’autre jour vert et le surlendemain orange", poursuit-il.

    "Qu’on parle d’autre chose !"

    Se remémorant l’intervention d’un professeur de virologie et d’un urgentiste sur LCI, François Berléand enrage. Si les deux professionnels de santé avaient les mêmes chiffres de contamination, l’un se réjouissait et l’autre tirait la sonnette d’alarme. "La médecine n’est pas une science exacte, évidemment, mais quand on ne sait pas, on ne parle pas !", lâche-t-il, las. "Est-ce qu’on ne pourrait pas arrêter un tout petit peu de balancer à toute la France des informations qui ne sont pas fondées ?" Reste à savoir ce que l’acteur préfèrerait qu’il se passe ? "Qu’on parle d’autre chose ! Ça fait plus d’un an qu’on a ça tout le temps", répond-il à Éric Dussart.

    Rouvrir les théâtres en mai : mission "impossible" selon lui !

    Interrogé ensuite sur la réouverture des théâtres le 19 mai, François Berléand ne cache pas son profond scepticisme : "Peut-être que les théâtres publics vont pouvoir rouvrir, mais pour les théâtres privés, c’est absolument impossible pour la bonne raison qu’il y a une commercialisation des places qui ne peut pas être faite en ce moment parce que les gens n’ont pas la tête à ça", lâche l’acteur. "Si on peut jouer, ce ne sera pas avant septembre. Il n’y aura jamais un théâtre qui sera ouvert avant."

    Télé-Loisirs.fr


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  • Il chante un peu vite, j'ai dû écouter trois fois pour tout comprendre !


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  • Trois semaines après la découverte d’inscriptions à caractère antisémite sur les murs de Sciences-Po Paris, des tags, des croix gammées et des menaces de mort ont été constatés samedi matin sur les murs du collège Gérard-Philipe à Chauvigny, à l’est de Poitiers, dans la Vienne. Deux plaintes ont été déposées dans la foulée, une au nom de l’établissement et une au nom propre du principal. 

    Des prélèvements sur les lieux

    Dans un communiqué commun, la préfète de la Vienne, Chantal Castelnot, le président du département, Alain Pichon, et la rectrice de l’académie de Poitiers, Bénédicte Robert, ont dénoncé d’«intolérables inscriptions» et, «à travers ces dernières, les menaces de mort proférées à l’encontre du principal». Selon la Nouvelle République et France Bleu Poitou, des gendarmes de Chauvigny, de Saint-Julien-l’Ars et de Montmorillon ont procédé aux premières constatations et la cellule d’investigation criminelle de la gendarmerie de Poitiers s’est déplacée pour effectuer des prélèvements sur les lieux. Des agents du département sont ensuite venus effacer les «inscriptions outrageantes», d’après le communiqué.

     
    Alain Pichon
     @AlainPichon86
     
     Je dénonce avec la plus grande fermeté les inscriptions antisémites et les menaces de mort proférées au collège Gérard Philipe de #Chauvigny cette nuit envers le chef d'établissement.
     
    Soutien total du @departement86 à toute la communauté éducative

    «Le collège ouvrira ses portes comme prévu lundi», date de rentrée des collégiens après la période de confinement, ont précisé les trois institutions. Elisabeth Moreno, ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances, a réagi sur Twitter à des «inscriptions qui donnent la nausée». «L’école doit être un sanctuaire face à l’intolérance», a-t-elle écrit.

    D’autres tags sur les murs de Sciences-Po Paris

    Ces nouvelles inscriptions antisémites font tristement écho aux tags découverts le 12 avril sur les murs de Sciences-Po Paris. Une étoile de David barrée ainsi que les inscriptions «Mort à Israël» et «Kouffar» («mécréants» en arabe) avaient été marquées à la bombe de peinture noire, selon des photos diffusées par l’Union des étudiants juifs de France. «L’UEJF s’indigne de ces tags haineux qui menacent les étudiants et tentent de semer la terreur à Sciences-Po, école emblématique de la République française», avait réagi l’association dans un communiqué de presse.

    L’UEJF avait également annoncé porter plainte «pour injure raciale et provocation à la haine raciale» et demandé à Sciences-Po que des «mesures soient prises afin de lutter contre le fléau de la haine raciste et antisémite en son sein».

    Libération


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  • Pardalote pointillé

     

    Bonne journée


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  • Brigitte Macron aurait "sauvé" deux ministres lors du dernier remaniement

    Le saviez-vous ? La première dame serait très présente dans le quotidien professionnel du Président de la république, et interviendrait même personnellement sur certaines décisions de son époux...

    Dans son nouvel ouvrage, l'auteur Arthur Berdah laisse entendre que des ministres ; particulièrement proches de la première dame, peuvent chaleureusement la remercier, car elle serait responsable de leur statut actuel.

    En effet, à l'heure des remaniements, la parole de Brigitte Macron serait d'or.

    En juillet dernier, elle aurait évité à certains membres du gouvernement de "sauter". La première Dame aurait même insisté pour que certaines personnes ne se retrouvent pas évincées du gouvernement.

    Les chouchous de Brigitte Macron

    Parmi les membres du gouvernement, Brigitte Macron aurait donc ses petits favoris. Parmi eux, on compte Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Éducation Nationale. Peu surprenant venant de l'ex-professeur de littérature.

    Ce n'est pas tout. On compte également Marlène Schiappa, et ses engagements forts. La première Dame aurait en effet un faible pour le charisme et les combats de la jeune ministre, qui investie beaucoup de son temps sur les problèmes qui concernent le handicap et la petite enfance.

    Un de ses plus grands chouhous, hors de la politique ?

    Le saviez-vous ? Benrard Montiel et la première dame auraient une complicité hors pair.

    À l'occasion du Buzz TV diffusé ce le 24 janvier dernier, Bernard Montiel rappelait aux curieux qu'il connaissait le couple Macron bien avant l'élection du président...

    On a tissé des liens très forts d’amitié, de sympathie. Comme des copains à table, on échange, on parle parfois de choses. Maintenant, je ne suis pas du tout le conseiller de l’Elysée, ni de M. Macron. Il n’a pas besoin de moi, c’est un homme extrêmement brillant. Il n’a pas besoin de mes conseils.
    Oh My mag

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  • La chance sourit... aux chanceux ! Ce jeune Breton de 29 ans peut en témoigner, lui qui ne joue jamais en temps normal. Afin d'atteindre le minimum requis pour payer par carte bleue dans son bar tabac, il choisit de compléter son addition par un jeu à gratter. Une décision qui lui a permis d'empocher une jolie somme.

    "S'il avait eu la monnaie pour payer son verre..."

    C'est à vous dégouter d'acheter délibérément un jeu de hasard au bureau de tabac. C'est à Thorigné-Fouillard, près de Rennes en Ille-et-Vilaine, qu'un jeune Breton de 29 ans boit deux bières dans un bar-tabac où il se rend régulièrement. Impossible de payer par carte, le minimum est de 10 euros.

    Il décide alors de prendre un jeu à gratter pour "compléter", comme l'explique le gérant du bureau de tabac à Ouest-France :

    "Il m’a alors demandé d’ajouter un jeu de mon choix pour arriver à 10 euros. Je lui ai donc choisi un The Wall, un jeu de grattage de la Française des jeux"

    "Il m'a dit 500, j'ai cru qu'il avait gagné 500 euros"

    Il ne revient que le lendemain annoncer son gain au gérant, qui ne comprend pas tout de suite l'ampleur de la nouvelle :

    "Il m'a dit qu'il avait gagné 500. Je lui ai dit que c’était pas mal. Et il m’a dit non. Que c’était 500 000 euros !"

    Le jeune homme a décidé de s'acheter une maison aux alentours de Rennes"c'est pas mal pour démarrer dans le vie" s'amuse le patron de l'Eden, le bien nommé bar-tabac qui a porté chance à cet heureux client.

    Voici une histoire que nous ne sommes pas prêts d'oublier !

    Gent Side


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  • Aveyron. Un enfant de deux ans perdu dans un bois retrouvé grâce au chien des gendarmes

    Un enfant de deux ans s’est perdu, jeudi 29 avril, dans les bois en Aveyron. Alertés, les gendarmes ont alors déployé un lourd dispositif. C’est finalement le chien des gendarmes qui a permis de retrouver le garçon.

    À deux ans et demi, un petit garçon errait seul dans les bois… avant d’être retrouvé par le chien des gendarmes qui le recherchaient.

    Comme le rapporte France 3 , jeudi 29 avril, en fin de journée, des parents habitant la commune de Colombiès, en Aveyron, ont constaté la disparition de leur enfant, dans les bois entourant leur habitation. Ils ont alors appelé les gendarmes qui se sont aussitôt mobilisés.

    Le chien avait senti l’odeur du doudou de l’enfant disparu

    Une vingtaine de gendarmes, des drones, des motos et même un hélicoptère à vision thermique ont été engagés. Mais c’est finalement la chienne de la gendarmerie qui a permis de retrouver l’enfant. Prénommée Jedï, l’animal a d’abord senti l’odeur du doudou de l’enfant avant de partir à sa recherche.

    Une technique qui a porté ses fruits : l’enfant a été retrouvé en bonne santé. Il avait fait deux kilomètres de marche. Une issue heureuse à laquelle les gendarmes s’attendaient.

    « Nous avions beaucoup d’éléments en notre faveur pour retrouver le garçon », a confié le chef d’escadron, Simon Carré, commandant la compagnie de gendarmerie de Villegranche-de-Rouergue, à France 3« La disparition a été signalée très rapidement et nous connaissions le point de départ. On sait également que les très jeunes enfants ont tendance à aller dans le sens de la descente. On a donc descendu le chemin, et la chienne l’a rapidement localisé », a-t-il ajouté.

    Ouest-France


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