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  • Extrait de La Revue de Presse du 12 avril 2021 sur Paris Première animée par Jérôme de Verdière avec Jacques Mailhot.


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  • Un article de "La Croix" revient sur le témoignage d'un enfant de 5 ans qui a vu, en 2017 près de Cholet, mourir sa mère sous les coups de son père.

    "Ce mardi matin, j'étais plutôt partie pour vous parler de patrimoine ou de sport. J'avais une bien bonne histoire à vous raconter, des histoires qui donnent le sourire. Et puis j'ai été happée par un article du journal La Croix et par ce titre : "Papa a fait une grosse bêtise et ma maman est morte". Et pour une fois, j'ai rangé mon sourire parce que cet article à hauteur d'enfant, je ne pouvais pas l'ignorer. Il m'a bouleversée pour tout vous dire". 
     
    La Croix revient sur un féminicide qui a été jugé la semaine dernière aux assises du Maine-et-Loire. Un homme qui a tué sa femme il y a quatre ans d'une dizaine de coups de pied en plein visage, sous les yeux de ses enfants. Ils avaient 5 ans et 18 mois. Elle s'appelait Séverine, elle avait 29 ans. C'était une chic fille apparemment, une fan de foot, surtout l'OM. 

     

    Avec Grégory, tout était allé très vite : le premier enfant Kylian, la maison près de Cholet. puis le deuxième bébé, Elie. Grégory travaillait beaucoup, chef d'équipe dans une entreprise de volaille. Séverine s'occupait de tout dans la maison. Les amis témoignent : "Il lui parlait mal, la rabaissait". Le couple part à la dérive. 

    Toi, tu aimes beaucoup tata parce que tu ne la tapes pas et tu ne lui tire pas les cheveux"

    Et puis, un jour, Grégory découvre que sa femme a une liaison. Alors, ils se séparent. Lui plonge dans la dépression, mais refuse de se soigner. Malgré tout, Séverine continue à lui amener les enfants. Il faut bien qu'ils voient leur père. C'est là qu'il commence à la frapper une première fois sur les cuisses. Puis, deux semaines plus tard, il lui fracture le nez. Elle porte plainte, mais aucune mesure de protection n'est mise en place. 

     

    Alors, Séverine commence à avoir peur. Un jour, Kylian, son petit garçon, lui raconte que papa a dit "qu'il allait tuer maman". Alors, elle prend une assurance-vie pour ses enfants. Le petit garçon parle aussi au mari de sa nounou : "Toi, tu aimes beaucoup tata parce que tu ne la tapes pas et tu ne lui tire pas les cheveux". Un soir qu'il veut donner des coups de pied à sa mère, la nounou lui explique qu'on ne tape pas sa maman. Il lui répond que "si, papa le fait". 

    Finalement, au fil des semaines, Séverine reprend confiance. Tout va bien, apparemment. Elle reprend confiance à tort. Le 4 avril 2017, dans la cuisine familiale, la discussion dégénère et Grégory s'acharne à coups de pieds. "Sept fractures au niveau du visage", dit l'expert médico-légal. Du sang partout sur le sol, les placards, les murs, au plafond. Kylian jouait dehors au tracteur, mais à ce moment-là, il est rentré pour retrouver son petit frère. Il voit tout. 

    "J'ai tapé papa"

    Au procès, une vidéo a été diffusée, un entretien réalisé entre un gendarme et le petit garçon le lendemain de la mort de sa mère. Le petit bonhomme de presque 6 ans est assis sur une chaise. Avec ses mots d'enfant, il raconte l'impensable. "Maman, elle était à la maison et papa, il a poussé maman, et puis lui a donné un coup de pied. Il y avait plein de sang partout et après, je dis que j'aurai plus de maman".

     

    Kylian lui explique qu'il s'est mis à pleurer avec son petit frère. "J'ai tapé papa parce que moi, je voulais l'arrêter. Je voulais aussi appeler l'hôpital pour qu'on la mette dans le lit de l'hôpital. Comme ça, après, elle sera plus morte", dit-il alors.

    C'était il y a quatre ans. Depuis, les deux gamins vivent avec leur grand-mère maternelle. Ils travaillent bien à l'école, d'après ce qu'elle dit. Ils ont des copains, mais il lui réclame parfois sa mère et il continue à faire des cauchemars. Aujourd'hui encore, il éprouve de la culpabilité parce qu'il n'a pas réussi à empêcher son père de tuer sa mère. Il n'y a rien à dire. Il faut juste lire l'article de La Croix et essayer de ne pas pleurer. 

    RTL - Isabelle Choquet édité par Thomas Pierre


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  • Le ministre de la Santé Olivier Véran a indiqué qu’à l’heure actuelle « aucun cas de variant d’origine indienne n’a été identifié en France métropolitaine » ce mardi 27 avril. Il a tenu ces propos lors d’un déplacement à l’Agence régionale de Santé d’Île-de-France en Seine-Saint-Denis, rapportent BFMTV et « le Parisien ».

     

    En revanche, en Île-de-France, la proportion du variant sud-africain augmente notamment en petite couronne depuis « une grosse semaine », signale le ministre. Il représente aujourd’hui 10 % des diagnostics, contre 6 % il y a quelques jours. Mais « la situation est contrôlée », garantit Olivier Véran devant la presse. Il a appelé à « continuer nos efforts » pour notamment lutter contre les variants.

    Dispositif spécial pour les variants

    « Systématiquement dès qu’un cas positif de variant sud-africain, brésilien est enregistré, alors toute une logistique se met en place pour que, dans la journée, les personnes qui ont pu être en contact avec ces personnes malades soient contactées pour être mises à l’abri et limiter la diffusion de ces variants », précise Olivier Véran.

    Deux techniques complémentaires sont utilisées pour chercher les variants. La première est le criblage des tests PCR, qui permet d’identifier les variants anglais, brésilien, sud-africain et bientôt le variant indien « s’il devait apparaître », ajoute le ministre.

     

    La deuxième est le séquençage du génome du virus qui analyse la cartographie génétique du Covid-19. À partir d’enquêtes nationales, il est possible de déterminer si tel ou tel variant prend plus de place sur le territoire. La France réalise actuellement plus de 5 000 séquences par semaine, mais le ministre de la Santé a déclaré que ce nombre passerait bientôt à 8 000.

    Des créneaux de vaccination qui restent ouverts dans certains grands centres

    Le ministre a par ailleurs indiqué lors de sa visite que plus de 4 millions de personnes prioritaires attendaient encore un vaccin : « Si on se fixe une cible de 80 % d’une tranche d’âge qui doit être vaccinée pour être protégée, il y a encore 4,3 millions de Français qui relèvent de la vaccination qui n’ont pas encore été vaccinés », a-t-il expliqué, rappelant sa volonté de vacciner « par priorisation de tranche d’âge ».

    Interrogé sur des rendez-vous restant disponibles au centre de vaccination installé au Stade de France, le ministre a indiqué faire « le constat qu’il y avait un certain nombre de grands centres, surtout les grands centres de vaccination métropolitains, qui ont des créneaux de vaccination qui restent ouverts », notamment en Seine-Saint-Denis ou dans le Val-d’Oise.

    Mais pour lui, cette situation ne reflète en rien la situation d’autres départements, « peut-être moins métropolitains et dans lesquels il y a encore des personnes plus âgées qui attendent de se faire vacciner ». Ces disponibilités seraient plutôt « le reflet de l’augmentation des livraisons de vaccins notamment des vaccins à ARN messager en Île-de-France et des 20 % de créneaux en plus qui ont pu être ouverts par rapport à ce qui avait été attendu ».

    « Ce n’est pas parce qu’une commune aurait vacciné 70 % ou 80 % de ses personnes âgées, qu’elle doit commencer à proposer la vaccination à des gens qui ont des risques beaucoup plus faibles de faire des formes graves », a-t-il ajouté invitant ces communes à faire venir les personnes éligibles des environs.

    L'OBS


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  • « Des patients qui crient de douleur​ » : débordée par le Covid, l’Inde suffoque

    « Des patients qui crient de douleur​ » : débordée par le Covid, l’Inde suffoque

    Des hôpitaux aux crématoriums, en passant par les banques d’oxygène, Bangalore, dans le sud de l’Inde, est submergée par la flambée de Covid-19. Un exemple qui illustre une épidémie hors de contrôle dans tout le pays, où l’aide international commence tout juste à arriver. Impuissants, soignants et habitants savent que le pire est à venir.

    À toute allure, sirène à fond, l’ambulance slalome entre les véhicules. À l’avant, Tanveer Ahmed jongle entre les coups de téléphone de familles désespérées. « Oui monsieur, nous allons arranger un enterrement pour votre père, tente-t-il de rassurer. Envoyez-moi son nom, sa religion, sa carte d’identité et l’hôpital où il est mort… »

    En l’espace d’un mois, comme le reste de l’Inde, Bangalore et ses douze millions d’habitants ont basculé dans l’horreur. Les hôpitaux refusent désormais des malades du Covid-19. Faute de place ou d’oxygène, ils ne parviennent plus à gérer l’acheminement des cadavres vers les cimetières et les crématoriums. Avec une poignée de bénévoles, Tanveer et sa petite association, financée par des dons, font au mieux. Ils assurent le transport gratuit des morts.

    Devant le crématorium, il est seulement 8 h et une dizaine d’ambulances font déjà la queue. « Durant la première vague, j’ai perdu mon père. Et aujourd’hui, je suis là pour récupérer les cendres de ma grand-mère »​, témoigne Sanjeet. Cet employé de banque de 38 ans vient tout juste de se remettre du Covid. « Personne n’avait prévu une deuxième vague aussi intense. La ville manque d’oxygène, manque d’ambulances, manque de lits… J’essaie en ce moment de trouver une place pour ma tante qui est tombée malade, elle aussi. »

    Tanveer n’arrête pas. « Je dors quatre heures par jour. Le reste du temps, je suis en permanence au téléphone, en permanence dans l’ambulance. » ​Selon lui, beaucoup de morts passent chaque jour sous les radars. « Le gouvernement local parle de soixante-dix morts par jour. Mais vu le nombre de certificats de décès que l’on voit passer, je pense qu’il y en a au moins 250 ! »

    La crise frappe tous les hôpitaux de la ville. L’oxygène, réservé aux malades critiques, manque particulièrement. « Je reçois chaque jour des appels de patients ou de proches de patients qui crient de douleur​, rapporte avec désespoir Tousif Masood, qui gère une banque d’oxygène. Malheureusement nous ne parvenons plus à recharger nos bouteilles. Les hôpitaux ne sont pas ravitaillés à temps. Des patients doivent donc attendre à même la rue avant de pouvoir recevoir de l’oxygène… »

    Le ministre en chef du Karnataka, l’État de Bangalore, vient de se résigner à décréter un confinement total pour deux semaines, à partir de mardi 27 avril. Il avait voulu l’éviter pour épargner les plus précaires. « Ici, les gens évitent les tests, explique un habitant du quartier populaire de Dj’Halli. Ils redoutent d’être positifs ou le confinement, car ils vont perdre leur salaire quotidien. »

    La capitale technologique du sud confine comme New Delhi, la capitale politique, et Bombay, la capitale économique. Chaque jour, l’Inde bat des records de contaminations (plus de 350 000 nouveaux cas dimanche) et de morts (2 800 en 24 heures). Or, selon une étude de l’université de Washington, le pic de la deuxième vague ne sera pas atteint avant mi-mai, quand le pays pourrait compter plus de 5 000 morts par jour…

    Ouest-France

     


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    Bonne soirée


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  • 23 février 2021


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  • La fête a complètement dégénéré dans la nuit de samedi à dimanche, dans un appartement de Savigny-sur-Orge (Essonne). Des images montrant des traces de sang au sol et sur les murs du logement ont été diffusées sur les réseaux sociaux.

    C’est au petit matin que les policiers ont été appelés. Il était 06h40 ce dimanche. Les forces de l’ordre ont été alertées qu’une violente bagarre entre une vingtaine de personnes était en cours, dans un appartement de la rue Claude-Monet à Savigny-sur-Orge, détaille une source policière, confirmant une information du Parisien.

    En arrivant dans cet appartement situé au 7ème étage, les policiers ont compris que la bagarre avait été violente. Des taches de sang étaient visibles sur les murs et par terre. Il y avait également des morceaux de verres.

    Huit policiers à l’hôpital après des projections de sang

    Trois femmes étaient sous le choc et une quatrième personne – en état de crise – était blessée aux bras, semble-t-il par des coups donnés avec des tessons de bouteille. Âgée de 25 ans, elle a dû être maîtrisée par les policiers avant d’être prise en charge par les sapeurs-pompiers et transportée à l’hôpital. Huit policiers ont reçu des projections de sang à ce moment-là et ont subi des examens au centre hospitalier sud-francilien (CHSF) de Corbeil-Essonnes.

    Des vidéos amateurs ont circulé sur les réseaux sociaux. On y aperçoit d’abord des images de la soirée qui semble se dérouler dans le calme. Sur la séquence suivante, l’ambiance est tout autre. « Y’a du sang, y’a du sang ! », crie une femme. Un homme se met aussi à hurler. Les traces de sang sont nombreuses et l’appartement est sens dessus dessous.

    Une enquête a été ouverte et confiée à la sûreté urbaine du commissariat de Juvisy-sur-Orge.
     
    ACTU 17

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  • Printemps: quatre magasins vont bien fermer

    Le plan de restructuration du Printemps franchit un nouvelle étape. La direction du groupe a annoncé ce lundi la signature d'un accord majoritaire avec les trois organisations représentatives (la CGT, l'Unsa Printemps et la CGC) dans le cadre du plan de sauvegarde annoncé l'automne dernier.

    Cet accord prévoit finalement la fermeture de quatre magasins (ceux situés Place d'Italie à Paris, au Havre, à Strasbourg et à Metz) ainsi que la disparition de plusieurs centaines d'emplois. Le groupe n'a pas précisé combien de postes seraient au total supprimés. En novembre, le premier plan présenté par la direction établissait la suppression de 450 emplois au total.

    Cet accord équilibré illustre la priorité du groupe Printemps pour l'accompagnement des salariés concernés par le plan de sauvegarde de l'emploi avec des mesures appropriées et personnalisées ainsi que sa volonté de privilégier la voie du dialogue social", se félicite la direction dans un communiqué.

    Négociations longues et compliquées

    "Cela n'inspire aucun commentaire particulier, si ce n'est que cet accord ne cautionne pas le PSE", a réagi Georges das Neves, délégué syndical central Unsa et représentant au comité social et économique central.

    Les négociations ont été longues et compliquées. L'accord signé va juste permettre aux salariés de partir dans de meilleures conditions", a-t-il ajouté.

    Début novembre, le groupe avait indiqué qu'il avait l'intention de fermer sept magasins employant environ 450 personnes, dont ceux de Place d'Italie à Paris, du Havre, de Strasbourg et de Metz.

    Fin mars, le Printemps avait finalement annoncé qu'il allait maintenir ouvert trois magasins Citadium, deux à Paris et un à Toulon, dont la fermeture était initialement prévue en 2022. Ces trois sites emploient 52 personnes.

    Le groupe Printemps, fondé en 1865, compte 19 grands magasins en France à son nom, ainsi que 8 Citadium, marque créée en 2000, employant environ 3.000 salariés.

    En novembre, la direction indiquait vouloir "transformer le modèle de l'entreprise tout en réduisant ses coûts de structures et de fonctionnement".

    BFM Business


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  • Affaire Conclue : Sophie Davant et Julien Cohen cassent à deux reprises un objet, la vendeuse craque

    Ce lundi 26 avril, une vendeuse d'Affaire Conclue a vu son objet se faire casser à deux reprises. Une fois par l'animatrice Sophie Davant, puis par le collectionneur Julien Cohen. De quoi lui faire légèrement perdre patience...

    Les équipes d'Affaire Conclue peuvent parfois se montrer très maladroites. Une candidate prénommée Sandrine en a malheureusement fait les frais dans l'épisode diffusé ce lundi 26 avril sur France 2. Cette dernière était venue présenter un phonographe qui avait appartenu à son papa. Un objet qui était "en très bon état", comme l'a souligné la commissaire priseur Patricia Casini-Vitalis. Cette dernière s'est même étonnée de la bonne conservation des rouleaux de cire, très délicats et surtout indispensables au fonctionnement de la machine. "C'est incroyable", s'est exclamée l'acolyte de Sophie Davant.

    Mais ils ne le sont pas restés bien longtemps. Réputée pour sa maladresse, l'ex-épouse de Pierre Sled a en effet manipulé les rouleaux un peu trop brusquement. Résultat : l'un d'entre eux a cédé sous la pression. De quoi mettre très mal à l'aise l'animatrice de 57 ans, qui s'est fendue d'un "Oh !", avant d'éclater de rire avec sa collègue. Une situation qui a beaucoup moins amusé la vendeuse, laquelle a déclaré, passablement agacée : "Voilà, c'est de la cire et c'est fragile..."

    Julien Cohen casse à son tour l'objet

    Heureusement pour la vendeuse de 56 ans, Patricia Casini-Vitalis a estimé que cela n'avait pas fait baisser la valeur de son bien, qu'elle a estimé à 150 euros. Mais Sandrine n'était pas au bout de ses surprises. Une fois dans la salle des ventes, son objet a de nouveau été endommagé, cette fois-ci par le très populaire Julien Cohen. Intéressé par l'objet, il n'a pas pu s'empêcher de le manipuler. Mais tout comme Sophie Davant, il s'est montré très maladroit. Il a d'ailleurs fait pire que l'animatrice puisque lui a fait exploser en mille morceaux l'un des rouleaux de cire.

    Cette fois-ci s'en était trop pour la vendeuse qui, après avoir pris sa tête dans ses mains pendant de longues secondes, a déclaré : "Il était en bon état quand je suis arrivée". Mais cette dernière n'est pas restée dépitée bien longtemps. Pour se racheter les collectionneurs ont en effet fait grimper les enchères. A tel point qu'elle a finalement vendu son bien à 450 euros au lieu des 150 euros estimés !

    Voici


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  • Dominique Strauss-Kahn : sa vie de rêve au Maroc

    Dominique Strauss-Kahn fête ses 72 ans ce dimanche 25 avril. L’ancien patron du Fonds Monétaire International, désormais à la tête de sa propre société, semble désormais heureux au Maroc avec sa femme.

    Après une décennie marquée par les scandales et les ennuis judiciairesune nouvelle page semble s’ouvrir depuis quelque temps pour Dominique Strauss-Kahn. L’ancien patron du FMI et candidat à l’élection présidentielle de 2012 fête ce dimanche 25 avril ses 72 ans. L’occasion de revenir sur la vie heureuse qu’il mène aujourd’hui. Une vie à l'abri des regards et à quelques kilomètres de Casablanca, la capitale économique marocaine, comme l’expliquait Le Point dans un article paru le 25 février 2020.

     

    Depuis 2013, l’ancien homme politique français dirige la société Parnasse International qui conseille notamment des chefs d’États africains. C’est le cas de Denis Sassou-Nguesso, président de la République du Congo, en place depuis 1979. L'entreprise de DSK fonctionne de mieux en mieux avec les années, à en croire les chiffres publiés dans un article de L’Obs, en février 2020. En cinq ans, Dominique Strauss-Kahn aurait en effet gagné près de 21 millions d’euros dont 5,3 millions d’euros en 2018. Un gain qui le placerait en treizième position du classement des rémunérations des grands patrons du CAC 40. “À l'évidence, Dominique Strauss-Kahn n'a jamais gagné autant d'argent de sa vie”, précisait d’ailleurs l'un de ses proches au magazine, l’année dernière.

    Heureux avec sa compagne

    En parallèle de son activité professionnelle, l’ancien ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie sous Jacques Chirac vit en compagnie de Myriam L’Aouffir. Il a épousé cette femme d’affaires franco-marocaine, âgée de 53 ans, en 2017 soit cinq ans après leur rencontre et un an après sa séparation avec la journaliste Anne Sinclair. Le couple vit désormais dans un riad situé à Marrakech.

    En avril 2020, sa quatrième épouse avait accordé une interview à Gala. Dans celle-ci, elle se confiait pour la première fois sur sa vie personnelle, précisant qu’il était difficile d’être séparé de ses enfants durant le confinement, au début de l’épidémie du coronavirus. “Au Maroc, des mesures très strictes ont été rapidement mises en place. En raison de la fermeture rapide des frontières, je suis séparée de mes enfants, ce qui m'est très pénible. Je n'ai pu, ni les faire venir ici, ni les rejoindre en France : les lignes aériennes ayant subitement cessé de fonctionner.” Et d’ajouter : “J'ai tout essayé, mais il était déjà trop tard.” Une situation compliquée à gérer mais qui lui a sans doute permis de passer du temps avec son mari.

    GALA


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  • Un homme est activement recherché par la police après avoir poignardé sa compagne avec un couteau de boucher, à Alençon (Orne). Ce dernier qui est bien connu de la justice, est porteur d’un bracelet électronique.

    Une violente agression dans l’appartement familial. Un homme âgé de 28 ans a poignardé sa compagne au niveau des bras et de la tête vers 18 heures ce dimanche soir, dans leur logement situé à l’est de la ville, dans une zone résidentielle. Des terribles faits qui se sont produits sous les yeux de leur enfant âgé de 5 ans selon une source proche du dossier.

    Les policiers et les secours sont rapidement arrivés sur place. La mère de famille âgée de 29 ans a été prise en charge. Sérieusement blessée, elle a été conduite à l’hôpital. Ses jours ne sont pas en danger. Les forces de l’ordre ont découvert dans le salon, l’arme utilisée par l’agresseur, un couteau de boucher.

    Condamné à un an de prison en 2017

    L’auteur présumé des faits, qui n’est autre que le compagnon de la victime, avait pris la fuite à l’arrivée des policiers. Âgé de 28 ans et bien connu des services de police, il est porteur d’un bracelet électronique suite à une condamnation pour des faits de violences avec arme, sur une autre personne.

    Le mis en cause était toujours activement recherché ce lundi matin. Les policiers de la sûreté départementale ont été chargés des investigations.

     

    Par ailleurs, cet homme avait déjà été visé par d’autres procédures judiciaires pour des violences et des menaces de mort à l’encontre de sa compagne, en 2016, 2017 et 2018, précise cette même source. En mars 2017, il avait écopé d’une peine d’un an de prison, qu’il avait purgée.

    ACTU 17


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  • Un homme âgé de 35 ans a été assassiné par balles à Cavaillon (Vaucluse) ce dimanche après-midi, alors qu’il était au volant de sa voiture. Les auteurs ont pris la fuite et leur véhicule a été retrouvé brûlé peu après. La police judiciaire a été chargée de ce dossier.

    Les tueurs ne lui ont laissé aucune chance. Cet homme de 35 ans a été touché à quinze reprises indique une source proche de cette enquête, qui confirme une information du Dauphiné. Il était 17h15 lorsqu’une série de coups de feu a été tirée dans le quartier des Condamines, à Cavaillon. Les tirs visaient un automobiliste, seule dans sa Volkswagen Golf.

    La victime a appuyé sur l’accélérateur, dans un dernier réflexe de survie. Sa voiture a terminé sa course en percutant des murs, arrachant des panneaux, avant de s’arrêter sur un rond-point, sur le flanc droit. Le conducteur a été criblé de balles. Les secours n’ont pu que constater son décès.

    Une vingtaine de tirs

    Le ou les tireurs se trouvaient dans un autre véhicule qui a rapidement disparu. Cette Peugeot 2008 a été retrouvée peu avant 18 heures, à Caumont-sur-Durance par les gendarmes, alors qu’elle était en flamme. Le véhicule avait été volé le 11 avril dernier.

    Les enquêteurs de la PJ d’Avignon ont été chargés de l’enquête. La piste d’un règlement de compte ne fait pas de doute, ni même celle d’un assassinat bien préparé. Sur le lieu des tirs, les policiers ont découvert pas moins de 19 étuis de calibre 9 mm.

     

    Le défunt, Tarik M., était bien connu des services de police, notamment pour des faits en lien avec le trafic de drogue. Originaire de la ville, son nom apparaissait également dans une affaire de tentative de meurtre en 2018 précisent nos confrères. Il avait néanmoins été laissé libre dans ce dossier, le temps de l’avancée des investigations.

    ACTU 17

    Il aurait mieux valu pour lui qu'il soit en prison !

    Des frais en moins pour l'Etat !


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  • Elijah, 3 ans, tué par balle pendant sa fête d’anniversaire

    Un petit garçon de trois ans a été tué samedi soir au cours de sa fête d’anniversaire. Les autorités offrent une récompense à quiconque mènerait à une arrestation.

    Le petit Elijah allait avoir quatre ans. Samedi, il célébrait son anniversaire, entouré de ses proches, dans une maison de Miami. Au cours de la fête, des coups de feu ont retenti, touchant mortellement le petit garçon et blessant une femme de 21 ans. Si cette dernière devrait s’en sortir, l’enfant, lui, a succombé à l’hôpital, rapporte CBS. Les autorités ont expliqué que les tirs avaient éclaté après une dispute se déroulant devant la propriété où la fête avait lieu – une habitation AirBnB que la famille avait spécialement louée pour la fête d’anniversaire de l’enfant.

     

    «Quelqu’un a sorti une arme et a commencé à tirer, tuant l’enfant de 3 ans», a commenté le directeur du Miami-Dade Police Department, Alfredo Ramirez III. «Ils l’ont tué. Oh mon dieu, je l’ai toujours en tête. Je me vois jouer avec lui. Ce petit était si mignon», a commenté l’oncle de la victime, Adrian Annestor, qui se trouvait sur les lieux au moment du drame. Il a expliqué avoir couru vers l’enfant lorsqu’il a entendu les tirs. «J’aurais aimé que ce soit moi, parce que j’ai déjà vécu assez longtemps», a-t-il glissé.

    15 000 dollars de récompense

    «Nous avons entendu des bruits très forts, très sporadiques», a déclaré, une voisine, Lindsey Hibbert. Elle a dit avoir entendu des dizaines de coups de feu provenant de plusieurs voitures. «Je n’avais jamais entendu d’armes semi-automatiques en personne. Il y a peut-être eu 20 coups. Mais comme il y avait trois voitures qui sont venues, je parle même de 20 coups par personne. Je pense qu'il y a peut-être plus d'une personne qui a tiré», a-t-elle ajouté. «Dès que je suis sorti, j'ai vu ce camion blanc rouler lentement. Je n’ai pas fait attention à cela parce que c’est normal. Ma sœur était dehors avec moi et ensuite, nous avons entendu les coups de feu. Un arbre a bloqué ma vue, mais mon voisin d'en face a tout vu», a raconté un autre voisin. Les autorités ont annoncé une récompense de 15 000 dollars contre toute information menant à l’arrestation d’un ou de plusieurs suspects dans cette affaire.

    Paris Match

    Pauvre petit gamin victime d'une balle perdue.


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  • Une personne a coché tous les bons numéros lors du tirage du Loto®, samedi 24 avril 2021. Elle a décroché le jackpot de 4 millions d’euros. Le ticket gagnant a été émis dans le Finistère.

    Depuis samedi 24 avril 2021, une personne du Finistère est devenue millionnaire. Lors du tirage du Loto® de la Française des jeux, samedi soir, son ticket s’avérait contenir tous les bons numéros, à savoir : 12, 26, 36, 41, 42 et le 07. De quoi empocher la somme de 4 millions d’euros !

    Le gagnant est invité à se faire connaître

    Le centre de paiement de la FDJ, à Plougastel-Daoulas, confirme que le ticket gagnant provient bien du Finistère. Sans pouvoir indiquer le nom de la commune émettrice. « Nous attendons que le ou la gagnante se manifeste », précise-t-on à la FDJ.

    L’heureux détenteur du ticket est donc invité à se faire connaître. Il pourra choisir de retirer son gain à Plougastel-Daoulas ou à Paris.

    Les Finistériens sont plutôt vernis dans les jeux de hasard. En août 2020, un joueur régulier du Loto® avait remporté 2 millions d’euros à Quimper. Plus récemment, en mars 2021, un client d’un bar-tabac à Ergué-Gabéric a gratté un ticket à 500 000 € au Cash.

    Ouest-France


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    Un tigre de Sibérie a semé la terreur dans un petit village de l'extrême nord-est de la Chine, frontalier de la Russie, en attaquant une voiture et se jetant sur un paysan, ont rapporté lundi les médias d'État. 

    Le tigre mâle juvénile a été repéré vendredi, alors qu'il errait près du village de Linhu, dans la province de Heilongjiang, selon le journal The Paper (basé à Shanghai), qui cite la police locale.

    "Il s'est alors dirigé vers deux villageois travaillant dans un champ", a raconté un témoin, Wang Xue, venu sur place en voiture pour récupérer un parent.

    "Je leur ai crié de fuir, mais le tigre a alors couru droit dans ma direction", a expliqué ce témoin, cité par le Beijing News dans une vidéo publiée dimanche.

    "En deux ou trois secondes, il a couru et s'est jeté sur ma voiture, en la griffant avec ses énormes pattes".

    L'extérieur de la voiture a été fortement éraflé et la fenêtre du passager arrière a volé en éclats. "J'étais terrifié", a déclaré Wang, disant "souffrir encore de problèmes cardiaques" suite à l'incident. Aucun des deux passagers de la voiture n'a été blessé.

    Des images vidéo montrent également le tigre bondissant sur un villageois travaillant dans un champ voisin, avant de s'enfuir. Toujours selon les médias, l'infortuné n'a été que légèrement blessé. La police a ensuite réussi à coincer et à maîtriser l'animal à l'aide de fléchettes tranquillisantes.

    Selon un rapport publié lundi par le Bureau des forêts du Heilongjiang, le grand félin a été placé en quarantaine pour 45 jours au Centre d'élevage félin de Hengdaohezi, dans la ville de Mudanjiang.

    Les tigres de Sibérie sont originaires de Russie et de certaines parties du nord-est de la Chine. Selon le journal d'État Global Times, il en resterait moins de 500 à l'état sauvage en raison du braconnage, et moins de 30 se trouveraient en Chine.

    Les défenseurs de la nature en Chine et en Russie tentent de protéger l'espèce. Il est rare que les tigres s'aventurent dans des zones fréquentées par les humains.

    AFP

    Dommage qu'il ne les ait pas mangé !  happy


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