• Animaux de laboratoire : le gouvernement assouplit la loi, l'association 30 millions d'amis s'insurge

    Dans un décret du 17 mars, l'article R214-90 du Code rural et de la pêche maritime a été modifié. La nouvelle mouture du texte élargit le champ des dérogations au recours à des animaux de laboratoire.

    "Un terrible recul". Dans un communiqué publié vendredi 26 juin, l'association 30 millions d'amis proteste contre un décret assouplissant la loi sur l'utilisation des animaux dans les laboratoires. "Le gouvernement nous impose un retour en arrière de plus de 30 ans", s'indigne Reha Hutin, la présidente de l'association de défense des animaux.

    L'objet de ce courroux date du 17 mars 2020. Ce jour-là, un décret modifie l'article R214-90 du Code rural et de la pêche maritime. Cet article dispose que les animaux de laboratoire "doivent avoir été élevés à cette fin et provenir d'éleveurs ou de fournisseurs agréés". Il prévoit "des dérogations (...) sur la base d'éléments scientifiques dûment justifiés lorsque la production des éleveurs agréés est insuffisante ou ne convient pas aux besoins spécifiques du projet".

     

    C'est ce dernier point qui a été modifié le 17 mars.

    La mention "lorsque la production des éleveurs agréés est insuffisante ou ne convient pas aux besoins spécifiques du projet" a été supprimée, élargissant de fait les cas où la dérogation est possible. "Ce décret, c'est la porte ouverte au pire ! Elevages de chiens de chasse, particuliers, n'importe qui peut vendre son animal à un laboratoire", dénonce aussi dans le communiqué Christiane Laupie, du comité scientifique Pro anima, partenaire de 30 millions d'amis.

    franceinfo

    Quelle bande de cons !


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  •  Le berger des Pyrénées avait disparu depuis samedi dernier

    Ben pesait 80 kg et des poussières, il avait le poil long et l’esprit vif, et restera dans les mémoires de sa famille comme un chien​ formidable. Un gros toutou à la mort aussi tragique que mystérieuse. Le berger des Pyrénées avait disparu depuis samedi dernier, et a été retrouvé dans un ruisseau à Bénac ( en Ariège) mercredi, criblé de trois balles.

    Un drame pour sa famille, qui s’interroge sur un éventuel lien avec deux coups de feu entendus par les voisins ce même samedi. « On ne tue pas impunément  ! Il y a des lois pour les animaux aussi », s’emporte le père de famille et ancien gendarme dans les colonnes de La Dépêche. Il a déposé plainte jeudi, espérant que le responsable « réponde de ses actes ».

    20 Minutes


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  • Val-de-Marne : 15 mygales saisies dans un appartement de Champigny-sur-Marne, un suspect en garde à vue

    Peu appréciées par le grand public en général, les mygales, qui se revendent aisément et à prix considérable, font les beaux jours des trafiquants.

    Le trafic de mygales est dans le collimateur de l’Office français de la biodiversité (OFB). Cet établissement public regroupe, depuis le 1er janvier dernier, l’Agence française pour la biodiversité et l’Office national de la chasse et de la faune sauvage. Il compte dans ses rangs plus de 2 800 agents, dont des inspecteurs de l’environnement, des ingénieurs, des vétérinaires et des techniciens.

    Avec le concours des policiers, l’OFB est intervenu ce mardi matin chez un habitant de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) soupçonné de se livrer à un trafic, rapporte Le Parisien. L’homme a été interpellé et placé en garde à vue. Dans son appartement, les fonctionnaires ont saisi quinze mygales, apparemment élevées en captivité.

    L’élevage et la détention de mygales très encadrés

    Le suspect est poursuivi pour « détention sans autorisation d’animaux dont l’espèce n’est pas domestiquée ». Il ne s’agirait toutefois pas d’un trafiquant mais plutôt un passionné. « Il s’est sans doute laissé dépasser par la reproduction et s’est mis à en vendre quelques-unes », a confié une source proche du dossier au quotidien francilien.

    Toutes les espèces de mygales sont considérées comme dangereuses. Pour en détenir, il faut être titulaire d’un certificat de capacité. La personne doit passer devant une commission spécialisée et apporter la preuve de sa capacité à s’occuper d’un tel animal. La traçabilité est aussi un incontournable et les conditions de détention des mygales sont strictes.

    Un lionceau se revend 15 000 €

    D’après l’OFB, une mygale peut être revendue entre 50 et 100 euros. En matière de trafic d’animaux de la faune sauvage, à titre comparatif, un lionceau se revend 15 000 euros. « Mais dans un appartement, avec des tubes à essai, on peut se retrouver avec 200 mygales », précise au journal Le Parisien, Yannick Jaouen, le chef du service interdépartemental Paris petite couronne.

    De son propre aveu, les saisies de mygales sont exceptionnelles mais ce type de trafic est de plus en plus surveillé. Même constat pour le Chardonneret, une espèce de passereaux, dont le prix sur le marché noir peut atteindre 350 euros.

    Le trafic d’animaux de la faune sauvage n’est pas très médiatisé mais il peut rapidement devenir très lucratif. Les mis en cause peuvent également parfois allier à cette activité d’autres trafics illégaux. Ainsi, le trafic d’animaux peut être utilisé comme un levier pour les enquêteurs pour basculer sur des procédures incidentes plus ordinaires par la suite.

    ACTU 17


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  • Elles ont été tournées en caméra cachée l'année dernière et mises en ligne mercredi par le groupe britannique de défense des animaux World Animal Protection (WAP).

    Stressés, enfermés, maltraités : une vidéo illustrant la violence du dressage des éléphanteaux destinés à être employés dans la lucrative industrie du tourisme en Thaïlande a été diffusée par le groupe britannique de défense des animaux World Animal Protection (WAP), mercredi 24 juin. L'ONG exhorte à l'arrêt immédiat de ces pratiques.

     

    Pour dresser un éléphant à des fins touristiques, le mahout (dompteur) utilise la technique du "phajaan" qui consiste à "briser son esprit". Séparé de sa mère, soumis à un stress important, il est enfermé dans un étroit enclos, maintenu par des chaînes et des cordes, d'après ces images filmées en caméra cachée l'année dernière.

    La vidéo montre le mahout piquer le jeune pachyderme avec une tige surmontée d'une pointe aiguisée en métal pour lui faire comprendre les commandes de base, ce qui provoque parfois des saignements.

    Des "dommages physiques et psychologiques"

    "Le but est d'obtenir une domination complète grâce à des récompenses et des punitions. Il faut lui faire comprendre que désobéir est douloureux", explique Jan Schmidt-Burbach de la WAP qui déplore les nombreux "dommages physiques et psychologiques" infligés à l'animal. Une fois domestiqué, l'animal est considéré comme du simple bétail d'après la loi thaïlandaise, à l'inverse des éléphants sauvages, protégés.

    Transporter des touristes sur leur dos, se baigner avec eux, exécuter des tours comme dans un cirque : quelque 3 000 éléphants sont habituellement employés dans l'industrie du tourisme en Thaïlande. Mais les pachydermes sont au chômage depuis le verrouillage du pays pour cause de pandémie. Plus d'un millier d'entre eux, menacés par la faim, ont fui les camps désertés pour regagner leur village natal, une vague migratoire d'une ampleur sans précédent sur une aussi courte période.

    Les associations écologistes espèrent que cette crise sera mise à profit pour entamer une large réflexion sur la place de l'éléphant domestique dans le pays. "Il faut absolument promouvoir davantage un tourisme fondé uniquement sur l'observation", relève Jan Schmidt-Burbach.

    franceinfo

    Partout dans le monde, les humains maltraitent les animaux. Les humains sont les pires des animaux !


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  • L'ENVIE DU MOMENT ... L'ABANDON

    telle une chose, on jette son animal comme on jette un vieux meuble ou un banal objet, même les voitures de ces personnes là ont plus de valeur à leurs yeux, un triste constat !! De nos jours plus rien n'a de valeur aux yeux des humains, aussi bien dans la vie de tous les jours que pour l'acquisition d'un animal , je le veux je le prends mais sans vraiment réfléchir et prendre conscience de l'engagement qu'ils viennent de prendre.

    IL FAUT BANNIR LES ANIMALERIES, LES SALONS DU CHIOT, LES PORTÉES FAITES PAR LES PARTICULIERS ET LES ELEVAGES USINES, POUR CONTROLER LA POPULATION ANIMALE IL FAUT STOPPER CES NAISSANCES QUI NE FONT QU'AU FINAL ALIMENTER TOUJOURS UN PEU PLUS LA SURPOPULATION ANIMALE ET LE TRAFIC JUTEUX ET QUI FINIT POUR UNE BONNE MAJORITÉ REFOURGUÉ OU ABANDONNÉ !! UN ANIMAL EST UN ÊTRE VIVANT QUI N'A PAS DEMANDÉ A ARRIVER DANS VOTRE VIE, VOUS EN FAITES LE CHOIX ASSUMEZ DES SOLUTIONS EXISTENT !!!


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  • Quel changement !


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  •  

    C'est un triste fait qu'il y ait encore beaucoup d'abuseurs d'animaux sur terre. Voici un chien maltraité qui a été battu à plusieurs reprises par son propriétaire. Heureusement, le chien s'est à peine échappé de l'enfer et a rencontré un nouveau tuteur, mais il souffre toujours de graves traumatismes.


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  • Finistère : Un phoque découvert décapité sur une plage, le troisième en deux ans

    Un phoque décapité a été retrouvé sur une plage du Finistère. La découpe aurait été effectuée avec une arme blanche, d’après les traces relevées sur le cadavre.

    Le corps d’un phoque a été découvert échoué sur la plage de Pentrez sur la commune de Saint-Nic (Finistère) samedi matin, a indiqué ce mardi l’association de protection de l’environnement Grumpy Nature. L’animal était décapité, rapporte Le Parisien.

    « C’était un jeune mâle à qui il manquait la tête. On voyait qu’elle avait été coupée à l’arme blanche », a précisé David Hemery, cofondateur de l’association, soulignant qu’il s’agit d’une espèce protégée : le phoque gris (Halichoerus grypus). 

    L’animal dont le corps a été retrouvé mesure 1,35 m, précise Le Télégramme. Il était en état de décomposition, laissant penser que sa mort serait survenue quelques jours plus tôt.

    Cette découverte morbide a été signalée au réseau Pélagis, qui recense les échouages de mammifères marins, a indiqué David Hemery. Les associatifs ont aperçu le corps décapité du phoque lors du comptage d’oiseaux marins qu’ils réalisent mensuellement dans la baie de Douarnenez.

    Des faits similaires un an plus tôt

    Au mois de février 2019, deux phoques décapités avaient déjà été découverts échoués sur des plages du Finistère, non loin de Concarneau. Deux marins-pêcheurs sont poursuivis par la justice dans cette affaire après une plainte déposée par Sea Shepherd France. Leur procès doit se tenir en octobre prochain devant le tribunal correctionnel de Quimper.

    En 2018, d’autres enquêtes avaient déjà été diligentées à la suite de découvertes de phoques tués en Normandie et dans les Hauts-de-France.

    ACTU 17

    Quelle bande de cons ceux qui ont fait ça !


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  • C'est énervant l'autre chien qui aboie, il doit souffrir...


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  • Association de  Viktor Larkhill (quelques photos à la fin)


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  • L’association L214 diffuse une nouvelle enquête réalisée dans l’Aveyron, au cœur de l’un des plus gros centres d’engraissement des agneaux issus de la filière roquefort, ainsi que dans l’abattoir où ils sont mis à mort. L’établissement avait déjà été épinglé par les services vétérinaires en 2016. Attention, images choquantes.

    Comme la vache, la brebis n’est pas une machine à lait. Pour produire, elle doit donner naissances à des agneaux.

     

    La nouvelle enquête de L214 nous entraîne dans les coulisses de la filière roquefort. Chaque année, plus d’un million d’ovins naissent, un quart d’entre eux sont conservés pour renouveler le cheptel, les autres –ils sont plus de 500 000- sont destinés à l’abattoir. Entre temps, ces derniers passent par la case engraissement dès l’âge d’un mois. L’association a pu se procurer des images tournées fin janvier et février 2020 dans un élevage intensif de l’Aveyron. L’un des plus gros : 120 000 agneaux y sont entassés dans un hangar, sans jamais avoir accès à l’extérieur. Et comme on pouvait l’imaginer, il ne s’agit pas d’un centre de bien-être. La vidéo montre des agneaux boiteux qui finissent par s’effondrer. D’autres, malades, peinent à respirer, s’étouffent. L’agonie s’éternise, les animaux restent sans soins. Zoom sur une benne remplie de cadavres. L’investigation se poursuit près de Rodez, à l’abattoir industriel, où les agneaux sont envoyés à l’âge de 4 mois. Ici, « un agneau est abattu toutes les 10 secondes », constate L214. A une telle cadence, comment respecter l’animal… Abattage rituel : les ovins voient leurs congénères se faire égorger à vif. Geyser de sang, tentatives de fuite. Quant à ceux qui devraient être étourdis par électrocution avant d’être saignés, ils reprennent conscience sur la chaîne.

    Quatre ans plus tard, rien n’a changé

    En avril 2016, dans le cadre de l’audit général exigé par Stéphane Le Foll, alors ministre de l’Agriculture, un rapport des services vétérinaires pointait déjà les graves disfonctionnements de cet établissement. « Non conformité majeure. Le personnel ne connaît pas et n’applique pas les bonnes pratiques en protection animale », peut-on lire sur le document. Idem pour la mise à mort : « Non conformité majeure. Les animaux sont systématiquement hissés conscients ». Conclusion de l’inspection : « Le fonctionnement observé présente des non-conformités majeures (absence d’autocontrôles au poste de mise à mort et hissage d’animaux conscients). Le système documentaire est confus et difficilement exploitable en pratique, le plan de maîtrise sanitaire est très incomplet (absence de prise en compte de certaines espèces), les MON [modes opératoires normalisés] ne sont pas rédigés et des consignes parfois insuffisantes (absence de plusieurs certificats de compétence). La vérification est insuffisante et inefficace, la réactivité de l’exploitant est nulle. » Quatre ans plus tard, rien n’a changé, constate L214. Contactées, la DDCSPP (services vétérinaires) et la préfecture de l’Aveyron n’ont pas donné suite à notre demande d’entretien.

    Face à ces images, L214 lance une pétition et annonce porter plainte auprès du procureur de la République de Rodez « pour sévices graves envers des animaux et souhaite la fermeture d’urgence de l’abattoir, qui présente de graves problèmes structurels et des pratiques d’abattage grandement déficientes. » L’association s’adresse également à la Confédération générale des producteurs de lait de brebis et des industriels de roquefort afin de demander « la modification du cahier des charges de l'appellation d'origine. Actuellement rien n’est exigé pour les agneaux, il devrait être interdit de les enfermer toute leur vie dans des bâtiments fermés, et l’abattage sans étourdissement devrait être prohibé. » Enfin, L214 rappelle dans son communiqué qu’elle incite les candidats aux élections municipales à signer l’engagement « Une ville pour les animaux » qui comporte une série de mesures concrètes. Plus de 300 candidats se sont ainsi déjà engagés à exclure de la commande publique les produits issus de l’élevage intensif.

    Paris Match

    Cet abattoir devrait être fermé !

    Que ceux qui mangent de l'agneau et du roquefort regardent cette video !

     

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/fili%C3%A8re-roquefort-le-minist%C3%A8re-de-l-agriculture-suspend-l-agr%C3%A9ment-d-un-abattoir-%C3%A9pingl%C3%A9-par-l214/ar-BB15U1R6?ocid=msedgntp

    le ministère de l'Agriculture suspend l'agrément !


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  • Sauveteur : Viktor Larkhill  (c'est lui qui parle à la fin)


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  • Faudrait jeter aussi cette salope de 50 m !


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  • Canada: enquête après la découverte de 38 chiots morts à bord d'un avion

    Une enquête a été ouverte après la découverte à l'aéroport de Toronto d'environ 500 chiots à bord d'un avion ukrainien, dont 38 étaient morts et d'autres en mauvaise santé, a annoncé samedi l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA).

    Les jeunes chiens, des bouledogues français très prisés au Canada, se trouvaient à bord d'un appareil de la compagnie Ukraine International Airlines (UAI) qui a atterri le 13 juin à l'aéroport Pearson de Toronto.

     

    Trente-huit animaux étaient morts à l'arrivée et plusieurs autres souffraient de déshydratation, de faiblesse et/ou de vomissements, a précisé l'agence.

    "Les fonctionnaires de l'ACIA enquêtent actuellement sur les circonstances entourant cet incident et détermineront les prochaines étapes une fois l'enquête terminée", indique dans un communiqué l'agence canadienne, chargée notamment de règlementer l'importation d'animaux.

    Une maître-chien qui venait récupérer un autre animal dans la zone de fret de l'aéroport où les chiots ont été découverts samedi dernier, a décrit une "scène d'horreur".

    "C'était un cauchemar", a-t-elle témoigné pour la chaîne publique CBC. "Le Canada et le gouvernement fédéral doivent changer les lois sur l'importation de ces chiots". 

    Dans un message publié vendredi sur Facebook, la compagnie ukrainienne UIA a présenté "ses condoléances pour la perte tragique de vies animales" à bord d'un de ses appareils.

    La compagnie "travaille en coopération avec les autorités locales pour déterminer ce qui s'est passé et pour faire les changements nécessaires afin d'éviter qu'une telle situation ne se reproduise", a-t-elle promis.

    De son côté, l'ACIA assure que "le Canada applique des normes rigoureuses pour l'importation d'animaux afin de protéger les animaux canadiens contre l'introduction de maladies animales graves". 

    "Toutes les exigences en matière d'importation doivent être respectées avant qu'un animal ne soit importé", précise l'agence.

    Selon un universitaire cité par CBC, la vente de chiots est un marché lucratif au Canada, où la plupart des acheteurs pensent que les animaux ont été élevés dans ce pays. Ce marché fait parfois l'objet de trafics impliquant le crime organisé, selon lui.

    "Vous parlez de 500 bouledogues français. S'ils sont vendus entre 3.000 et 4.000 dollars (entre 2.000 et 2.600 euros) chacun, ca fait énormément d'argent", a commenté le professeur Scott Weese, de l'université de Guelph (Ontario). 

    AFP


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  • Ours tué dans l'Ariège : 21 associations de défense de la nature interpellent Emmanuel Macron

    Après le mort par balle d'un ours dans l'Ariège et l'interdiction d'une manifestation pro-ours, 21 associations de défense de la nature interpellent Emmanuel Macron dans une lettre ouverte publiée en exclusivité sur le JDD.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/ours-tu%C3%A9-dans-l-ari%C3%A8ge-21-associations-de-d%C3%A9fense-de-la-nature-interpellent-emmanuel-macron/ar-BB15IJqa?ocid=msedgntp

     

    Macron : en même temps, tout et son contraire !


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