• Hugo Clément : son référendum pour la cause animale dépasse les 150 000 signatures en moins de 48h

     

    L'animateur de "Sur le Front" (France 2) appelle citoyens et parlementaires à soutenir sa proposition de loi essentielle pour limiter la souffrance animalière en France.

     

    Fervent défenseur des animaux, Hugo Clément a peut-être trouvé le moyen de leur garantir une meilleure protection et mettre fin à leurs souffrances. Ce jeudi 2 juillet, l'animateur de France 2 a lancé le "Référendum pour les animaux", estimant qu'avoir recours au référendum d'initiative partagée (RIP) était l'option idéale pour que sa proposition de loi soit étudiée. En partenariat avec 23 associations de défense des droits des animaux (dont la SPA et L214), le journaliste a listé six mesures indispensables à la cause animale, à découvrir en fin d'article.

     

    La première étape à franchir pour que cette proposition de loi ait un avenir, est d'obtenir le soutien de 185 députés ou sénateurs. "Vous pouvez nous aider en incitant vos élus à soutenir le projet de référendum", indique Hugo Clément dans une vidéo de présentation à visionner ci-dessous.

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    REPLAY - Sur le front (France 2) : Hugo Clément met en lumière les animaux menacés

    Si 185 parlementaires ou plus se mobilisent, il faudra ensuite réunir 4 700 000 signatures au minimum de la part des citoyens. "Le ministère de l'Intérieur mettra en place un site dédié pour recueillir les soutiens. En attendant, vous pouvez parler du référendum autour de vous. (...) Ensemble, on peut réussir à faire avancer concrètement les choses pour les animaux", explique le militant. L'initiative connaît un démarrage très encourageant puisque plus de 100 000 signatures ont été recueillies en quelques heures. Ce samedi 4 juillet, à l'heure où nous écrivons ces lignes, le seuil des 150 000 inscriptions vient d'être dépassé.

    Plusieurs parlementaires et célébrités, dont Xavier Niel Stéphane Bern, ont publiquement adressé leur soutien au projet d'Hugo Clément. Mais ce dernier s'est alarmé de la réaction de Willy Schraen, le président de la Fédération des Chasseurs : "Il écrit qu’en cas de référendum, les chasseurs à courre 'se retrouveraient dans une situation de déstabilisation sociale et passionnelle, qui ne peut conduire qu’à des réflexes de colère pour la survie légitime de leurs précieux héritages ancestraux'. Le président des chasseurs de France justifie par avance des comportements violents de la part de certains de ses membres si le processus démocratique va à son terme... Et il envoie ça aux parlementaires ! Sidérant". 

    Cliquiez ici pour participer au référendum

    Les 6 mesures demandées dans le Référendum pour les animaux :

    1. L'interdiction de la chasse à courre

    2. L'interdiction des élevages à fourrure

    3. L'interdiction de l'élevage en cage

    4. Mettre fin aux spectacles avec des animaux sauvages

    5. Ne plus pratiquer l'expérimentation sur les animaux lorsqu'il existe une méthode de recherche alternative

    6. Sortir de l'élevage intensif 

    Le référendum pour les animaux, c’est parti ! Rendez-vous sur https://t.co/ksUOCwcNxD @hugoclement vous explique tout ⬇️ pic.twitter.com/4sVMUgywIB

    — Référendum pour les animaux (@RIPanimaux) July 2, 2020

    Le président des chasseurs de France justifie par avance des comportements violents de la part de certains de ses membres si le processus démocratique va à son terme... Et il envoie ça aux parlementaires ! Sidérant.

    — Hugo Clément (@hugoclement) July 4, 2020

    Jordan Landreau - Télé 7 Jours 


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  • Contente de revoir le petit en pleine forme à la fin !


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  • Au moins 275 éléphants sont morts récemment dans des conditions mystérieuses au Botswana, dans la région du delta de l'Okavango (nord), très prisée des touristes, a-t-on appris jeudi de sources concordantes. "Nous avons reçu un rapport sur la mort de 356 éléphants dans le nord du delta de l'Okavango, et jusqu'à présent nous avons confirmé la mort de 275 pachydermes", a déclaré le directeur des parcs nationaux et de la faune du Botswana, Cyril Taolo. Des éléphants en vie ont été observés très faibles, léthargiques, et certains désorientés et rencontrant des difficultés pour se déplacer, a précisé le directeur de l'ONG Michael Chase, ajoutant que mâles et femelles de tous âges semblaient concernés par cette "maladie mystérieuse".


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  • Au chenil des «Chiens aboyants», la sanction est électrique

    À la suite d’une nouvelle enquête, One Voice a porté plainte contre Monsieur J. dont les chiens « de chasse » portent des colliers électriques trafiqués en continu.

    Après le signalement donné par l’un de nos lanceurs d’alerte, les enquêteurs de One Voice ont mené une nouvelle investigation dans le milieu de la chasse, cette fois dans l'Hérault.
    Au chenil des « Chiens aboyants »,  le silence est de mise. Les enclos sont proprets, les animaux presque timides. Nos enquêteurs en ont ramené de nombreuses images qui nous ont permis de comprendre pourquoi...
    Ici, il y a treize chiens, dont des femelles gravides et une mère avec sa portée. Pourtant, nulle appellation d’élevage malgré la réglementation qui, encore une fois, n’est pas appliquée lorsqu’il s’agit de protéger les chiens destinés à la chasse. Un scandale qui doit cesser !

    La propreté n’est pas un critère suffisant

    Le sol est plutôt propre mais en fait inadapté. Les dalles bétonnées sont abrasives et ne permettent pas l’évacuation de l’urine et autres effluents. Les chiens doivent pourtant se coucher à même le sol.
    Toutes les niches ne se valent pas. Certaines ne sont pas conformes voire étanches ! Fûts en plastique, tôles... voilà de quoi sont constitués les abris de la plupart des chiens, parfois en quantité insuffisante au regard du nombre de chiens dans certains enclos.

    Été comme hiver, rien pour se protéger

    Dans les niches non plus il n’y a pas de litière, pas même l’hiver alors qu’elles ne sont pas orientées vers le sud. Pourtant, dans la région, il y a de la neige ! Chaleur l’été, humidité et froid l’hiver... et des enclos trop petits. Voilà ce que subissent ces chiens soumis aux éléments. D’ailleurs, l’un d’eux a de sérieux problèmes de peau sur les pattes qui ne semblent pas traités.

    Le silence

    Mais ce qui impressionne le plus lorsque l’on regarde les images de nos enquêteurs, c’est le quasi-silence qui y règne. Un inconnu qui pénètre dans un chenil devrait susciter un concert d’aboiements. Ici, au contraire, les chiens observent, apeurés, sans émettre un son. C’est qu’ici, aboyer c’est souffrir. Onze chiens portent un véritable instrument de torture autour du cou : un boîtier équipé de deux électrodes qui leur envoient un choc électrique en cas de vocalisation ! Pire encore, celui-ci a été trafiqué par Monsieur J. Un fil métallique a été ajouté pour accentuer encore la douleur. Alors ils se taisent.

    L’usage d’un collier électrique est dangereux

    Les colliers électriques sont déjà interdits dans de nombreux pays : l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche, le Pays de Galles, le Danemark, la Norvège, la Suède, la Slovénie, l’Écosse et l’Angleterre.
    One Voice se bat pour l’interdiction en France de ces dispositifs cruels et dangereux qui peuvent notamment provoquer :

    • des contractions musculaires ;
    • des brûlures ; 
    • une tétanisation des muscles respiratoires pouvant causer la mort par asphyxie ; 
    • une fibrillation ventriculaire.

    Pour les chiens de ce chenil, toute vocalisation est inhibée en permanence. Cela veut dire qu’ils ne peuvent même pas communiquer entre eux normalement... Décidément, il ne fait pas bon être un chien de chasse. On est bien loin de l’image du chien gambadant dans la forêt à laquelle certains chasseurs veulent nous faire croire ! One Voice a porté plainte et demandé une saisie conservatoire pour qu’ils soient placés en sécurité au plus vite. Ce déni de protection des chiens exploités pour la chasse doit cesser. Ils ne sont en rien différents de ceux qui nous tiennent compagnie et doivent bénéficier de la même protection.

    One Voice


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  • Prison ferme pour l'homme qui avait poignardé son chien et l'avait jeté du troisième étage

    Dans cette affaire de cruauté animale, le tribunal de Chalon-sur-Saône a rendu sa décision lundi 29 juin : 36 mois de prison, dont 8 avec sursis et l'interdiction à vie de détenir un animal. 

    L'affaire avait ému en avril dernier : un homme de 45 ans avait lacéré au cutter puis poignardé à plusieurs reprises avant de jeter du troisième étage d'un immeuble la chienne boxeur de sa fille, Sultane, le 15 avril dernier au Creusot. L'homme était sous l'emprise de stupéfiants et d'alcool. 

    Sous les yeux des voisins, la chienne une fois à terre avait essayé de ramper avant de succomber à ses blessures.

    Les témoins avaient alors appelé la police et l'homme avait été placé en garde à vue. Puis en détention provisoire et sa demande de remise en liberté sous contrôle judiciaire avait été rejetée.

    Déjà condamné pour des faits similaires

    Son avocat avait demandé une expertise psychiatrique. Son procès avait ainsi été reporté.

    L'homme a finalement été condamné par le tribunal de grande instance de Chalon-sur-Sâone ce lundi 29 juin à une peine de 36 mois de prison, dont 8 avec sursis et l'interdiction à vie de détenir un animal,  pour "actes de cruauté et sévices graves envers un animal domestique".

    Il avait déjà été condamné pour des actes de cruauté envers des animaux, notamment pour avoir tué le chien de son fils en 2010 avec un tournevis. Il avait également tué des canaris.

    Les associations animales présentes à l'audience

    Il a également été condamné à verser un dédommagement de 500 euros à chacune des parties civiles, principalement des associations de défense animale. 

    Midi Libre

    Quel horreur, j'en ai les larmes !


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  • Corrèze : Une dizaine de chiens retrouvés morts dans un élevage, d’autres décharnés

    Alertés par un voisin, les gendarmes ont fait irruption dans un élevage de chiens situé en Corrèze, et ont découvert une scène macabre.

    Un habitant du petit village de Montgibaud en Corrèze, à la limite avec la Haute-Vienne, était en train d’entretenir son jardin lorsqu’il a découvert avec stupeur la présence d’un chien décédé dans l’élevage attenant. Un autre, visiblement très faible, avait peine à lever la tête, relate France 3.

    Cela faisait des mois que plusieurs riverains alertaient les autorités et la SPA de possibles actes de maltraitance envers les animaux, commis sur cette propriété. Au moment de la découverte du cadavre de ce chien, ce lundi, l’habitant a appelé les gendarmes.

     

    Les militaires sont intervenus dans l’élevage et ont découvert la présence de huit malinois morts dans leurs box. Huit autres étaient encore en vie, mais complètement décharnés, rapporte France Bleu. Une vétérinaire a été requise pour examiner les animaux faméliques et a dû euthanasier l’un d’eux.

    Seuls 6 animaux sur 16 ont survécu

    Les sept autres chiens ont été pris en charge par la SPA. Durant la nuit, un autre animal est décédé. Finalement, seuls 6 ont survécu et 10 sont décédés à la suite de maltraitance. Les cadavres doivent être incinérés par une compagnie d’incinération pour animaux domestiques, ce jeudi.

     

    Les gendarmes ont interpellé le propriétaire de l’élevage, un homme âgé de 40 ans. Il a été placé en garde à vue lundi après-midi, mais son état de santé a nécessité la levée de cette mesure après un examen médical. Le suspect a été admis dans un établissement spécialisé. Il sera de nouveau auditionné lorsque son état de santé le permettra.

    La SPA, dont « les équipes étaient sous le choc » après cette découverte selon France 3, a indiqué qu’elle allait déposer une plainte pour acte de cruauté envers des animaux et sévices graves.

    ACTU 17

    Pourquoi n'est-on pas intervenu plutôt ?


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  • Quel plaisir de le voir à la fin !


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  • La virée pêche s'est transformée en mission de sauvetage.

    Une famille américaine a fait une drôle de rencontre samedi dernier dans le comté de Chippewa, dans le Wisconsin. Alors que Tricia, Brian et Brady Hurt pêchaient sur le lac Marsh Miller à bord de leur petite embarcation, ils ont aperçu une silhouette en difficulté au milieu de l'eau.

    Croyant avoir affaire à un chien perdu, ce n'est qu'en s'approchant qu'ils ont réalisé qu'ils étaient face à un jeune ours avec un bidon en plastique coincé sur la tête. Le récipient, qui contenait des chips, a probablement attiré l'animal qui s'est malheureusement retrouvé piégé dans le bidon sans parvenir à s'en extirper.

    Plus d'un million de vues

    L'ursidé a montré des signes de faiblesse et des difficultés à respirer à mesure que l'eau s'infiltrait dans le contenant. La famille a alors tenté une première fois de retirer le bidon, sans succès. Elle a alors essayer de s'approcher doucement de l'animal pour ne pas l'effrayer et a pu le libérer. Le jeune ours a alors pu repartir et regagner le rivage sain et sauf.

    "Nous n'aurions jamais cru faire ça un jour", explique Tricia Hurt sur Facebook.

    Un geste salué par les internautes et qui a été visionné plus d'un million de fois sur le réseau social.

    BFM.TV


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  • Impossible d'arranger son arrière train d'où la petite voiture ! Malgré son handicap, il reste joyeux !


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  • Haute-Loire. Des éleveurs dénoncent « des attaques » de vautours sur leurs animaux

    Des éleveurs et syndicats d’agriculteurs de Haute-Loire rapportent plusieurs « attaques » de vautours, notamment sur des vaches et des agneaux, depuis début juin. Mais selon la Ligue de protection des oiseaux, ces rapaces ne s’en prennent pas à des animaux vivants.

    Des vautours s’en prennent-ils à des animaux vivants en Haute-Loire ? La question agite et inquiète les éleveurs de ce département de l’Auvergne Rhône-Alpes.

    La Fédération départementale des exploitants agricoles (FDSEA) et les Jeunes agriculteurs (JA) de Haute-Loire rapportent dans La Montagne des « attaques » de vautours sur « cinq ovins » et « deux bovins », chez cinq éleveurs du secteur de Brioude, depuis le début du mois de juin. Un éleveur de Torsiac raconte au quotidien local avoir sauvé in extremis un agneau nouveau-né, le 13 juin.

    Une vache dévorée par une centaine de vautours

    Mais l’incident le plus spectaculaire est intervenu le 6 juin, à Saugues. Alors qu’une vache Montbéliarde était en train de mettre bas dans un pré, l’animal aurait été attaqué par des vautours fauves. « Ils étaient une quinzaine le premier jour, indique Guillaume Avinin, secrétaire général des Jeunes Agriculteurs de Haute-Loire, à nos confrères du Progrès. Puis plus du double le lendemain, et une centaine de vautours le troisième jour… »

    Le syndicat a publié des images sur sa page Facebook, faisant savoir que plusieurs de ses membres étaient venus apporter leur soutien au couple d’agriculteurs touché par « l’attaque ».

    Dans un autre post en date du 5 juin, repéré par CNews , mais qui n’apparaît plus sur leur page Facebook, les JA assuraient que « la vache était bien vivante quand les vautours l’ont attaquée ».

    « Les vautours ne sont pas des loups »

    Une version mise en doute par la Ligue de protection des oiseaux (LPO). « Il y a de nombreuses études. Les vautours ne courent pas derrière les animaux vivants, ce ne sont pas des loups », explique l’association à La Montagne. Et rappelle que ces rapaces sont nécrophages : ils se nourrissent d’animaux morts.

    Mais les éleveurs de Haute-Loire n’en démordent pas. « À chaque fois, les vautours s’en sont pris à des animaux qui étaient bien vivants, il n’y a aucun doute là-dessus », tranche Laurine Rousset, présidente départementale des Jeunes Agriculteurs, dans des propos rapportés par Le Parisien.

    Les agriculteurs ont rendez-vous le 2 juillet à la préfecture de Haute-Loire. Ils exigent l’instauration d’un plan départemental. « Nous demandons que des œufs soient enlevés des nids et des tirs d’effarouchement effectués », détaille Laurine Rousset. Les éleveurs réclament aussi des indemnisations pour les dégâts occasionnés.

    De son côté, la LPO attend des services de l’État qu’ils apportent des conciliations, avec la mise en place d’un comité de suivi.

    Ouest-France


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  • Au début, on voit la route, ce qui ne nous intéresse pas mais à la fin, on ne voit pas le chiot

    vivre un peu, dommage !


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  • Bientôt les vacances, ne l'abandonnez pas


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  • Ils auraient pu l'attraper plus vite en mettant plutôt une cage avec de la nourriture


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