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  • Triste fin d'un chien abandonné

    Mourir comme un chien

    Un monsieur nous a appelé vers 10H00 ce matin pour un chien allongé dans l’herbe qui respire encore mais qui ne bouge pas.  La scène se passe dans les quartiers Nord de Montpellier, entre un square et un petit terrain vague. Avant de nous contacter il a appelé la SPA mais personne ne répond. Il a fini par trouver nos coordonnées sur le net. Nous sommes à 45 km de Montpellier.

    Nous lui demandons de rester sur place, nous allons le rappeler… Tout de suite nous appelons Dona, de Félin pour l’Autre 34, qui ne répond pas non plus. Au troisième appel elle finit par répondre, elle nous connaît alors elle sait bien que si nous insistons c’est qu’il y a un problème.

    Elle se rend sur place et là c’est l’horreur. Un tout petit Bichon, enfin ce qui a dû être un Bichon, gémit à peine, il est couché sur le flanc. Son poil est collé en dreadlocks, il est couvert de vermine, des asticots lui grignotent la cuisse. Ils sont des centaines dans un trou se disputant la chair avec les mouches.

    Ce petit chien est un mort vivant, il est littéralement bouffé par les vers, quasi comateux. L’odeur est pestilentielle. Dona l’installe doucement dans un drap, direction la clinique vétérinaire. Malheureusement le vétérinaire ne pourra rien faire pour le sauver, il est mort juste avant d’arriver.

    En pleine ville, il a dû agoniser plusieurs jours, en plein soleil par 35 degrés. Depuis quand n’a t il pas bu ou mangé ? Il ne porte pas de collier, il n’est pas identifié, il est âgé, il n’a plus de dents. Il n’était pas si loin des habitations, pourquoi personne n’est intervenu avant ce monsieur ? Comment peut on laisser crever un chien ? Comment peut on détourner le regard, continuer son chemin et rentrer chez soi comme si de rien n’était ?

    Ce petit chien a été un chiot il y a longtemps, il a eu un, ou plusieurs maîtres, où sont ils ? En dehors de sa blessure, son état général est celui d’un chien errant, il est maigre, sale, couvert de parasites et son poil n’a pas vu une brosse depuis des années. Il s’agit de maltraitance parce que laisser un chien dans cet état est une maltraitance.

    Mourir seul, épuisé, de faim, de soif, prés des habitations, dans une indifférence presque générale, c’est ce que l’on appelle crever comme un chien. Grâce à ce monsieur qui n’a pas détourné le regard et qui a cherché de l'aide, grâce à Dona qui l’a pris dans ses bras, son supplice s’est arrêté en fin de matinée, presque dans la douceur. Il ne pesait plus grand chose, juste le poids de la misère.

    Si seulement les habitants du quartier avaient réagi plus tôt, nous aurions pu le soigner, le sauver, plutôt que d’avoir à payer son incinération.

    Un chien errant, ne survit pas seul, il va mourir de faim ou/et de soif, si il n’est pas bousculé par une voiture et ne va pas crever dans un fossé.

    Ces dernières semaines ce petit chien a sans aucun doute croisé des humains. Mais personne ne l’a « vu ». Pourtant dans humain il y a humanité? La prochaine fois que vous croiserez un chien errant, dites vous que ce pourrait être le votre, alors à défaut de vous arrêter pour le prendre en charge, signalez le. Merci à ce monsieur de nous avoir prévenu.

    Association de Protection Animale Vallée de l'Hérault

    Pour d'autres photos ; https://www.apavh.com/mourir-comme-un-chien


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  • Une chienne retrouvée morte poignardée dans une baignoire !

    Ina, une chienne de type American Staffordshire Terrier âgée de 7 ans, a été retrouvée morte dans la baignoire d'un appartement à Morsang-sur-Orge (91). Attaché à la barre d'appui, l'animal présentait de multiples blessures par arme blanche. Sa maîtresse indique l'avoir confiée, suite à son déménagement, à sa belle-sœur... qui elle-même l'aurait confiée à un « ami ». La Fondation 30 Millions d'Amis a porté plainte pour acte de cruauté.

    Sordide ! Intervenues aux côtés des agents du commissariat de Juvisy-sur-Orge (91), les équipes de la Fondation 30 Millions d'Amis ont découvert, dans une baignoire ensanglantée, le cadavre d'une chienne de type American Staffordshire Terrier. Le corps de l'animal présentait de multiples traces de blessures infligées à l'aide d'une « arme contondante », ce qu'a confirmé le vétérinaire chargé de l'autopsie. « L'individu a d'abord attaché la chienne à la barre d'appui de la baignoire pour l'empêcher de s'enfuir, avant de lui asséner plusieurs coups de couteau, explique Arnauld Lhomme, responsable des enquêtes à la Fondation 30 Millions d'Amis. Il ne s'agit pas d'un "coup de folie" mais, au contraire, d'un acte prémédité. »

    Morte dans d'atroces souffrances

    La maîtresse d'Ina, à l'origine du signalement transmis à la Fondation 30 Millions d'Amis, a expliqué qu'elle et son mari avaient recueilli cette chienne traumatisée il y 2 ans environ, avant de devoir s'en séparer suite à leur déménagement, 6 mois avant le drame. La belle-sœur de la jeune femme, à laquelle le couple avait décidé de confier la chienne, en a elle-même confié la garde à un « ami »... qui l'aurait ensuite transportée jusqu'à l'appartement de son grand-père, où a finalement été retrouvé le cadavre de l'animal supplicié. « Le grand-père n'habitait plus à son domicile, étant parti en maison de retraite. Il n'a donc pas pu être témoin des faits, précise Arnauld Lhomme. Ce dont nous sommes sûrs en revanche, au vu des blessures, c'est que la chienne est morte dans d'atroces souffrances ! »

    Afin d'élucider les circonstances de cet acte odieux, la Fondation 30 Millions d'Amis a déposé plainte « contre X » pour acte de cruauté. C'est la 2ème plainte déposée par la Fondation 30 Millions d'Amis pour un chien poignardé, en l'espace de 48 heures !

     

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  • Cinquante-trois cadavres de moutons à la dérive dans le Rhône ont été repêchés par les secours non loin de Vienne (Isère), ce vendredi 31 juillet. L'alerte a été donnée dans la nuit, vers 1 heure du matin, mais les sapeurs-pompiers n'ont pu intervenir qu'à partir de 8 heures, au lever du jour. Trois bateaux ont été engagés pour extraire les cadavres des eaux. Les corps ont notamment été aperçus au niveau du pont Lattre-de-Tassigny.

    La gendarmerie du Rhône s'est rendue sur place, assistée du groupe aquatique des sapeurs-pompiers. D'après les premiers éléments, les animaux sont morts par noyade dans des circonstances qui restent à déterminer. Ils seraient tombés dans le fleuve en amont, probablement au-dessus de Chasse-sur-Rhône, nous a-t-on indiqué au commissariat de Vienne, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

    Le propriétaire des bêtes ne s'est pas encore manifesté, selon cette même source. Et, élément troublant, les moutons n'avaient pas de plaque d'identification aux oreilles, comme c'est le cas des animaux d'élevage. L'enquête ouverte par la gendarmerie du Rhône devra faire la lumière sur les circonstances des faits

    franceinfo.3

    Sûrement des moutons pour de gentils musulmans !


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  • Il m'a fait pleurer. Et pourtant, il est content, il remue la queue, un amour de chien.

    J'espère qu'on lui mettra un appareillage.


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  • Le gorille Rafiki avait 25 ans au moment de sa mort. [Capture Twiiter Uganda Wildlife]

    L’homme qui avait tué Rafiki, un gorille connu pour être un des symboles de son espèce considérée en danger critique, a été condamné jeudi par la justice ougandaise à 11 ans de prison. Soupçonné de faire du braconnage, cet Ougandais avait plaidé la légitime défense.

     

    Un Ougandais a été condamné jeudi 30 juillet 2020 à une peine de prison de 11 ans, notamment pour avoir tué un rare gorille des montagnes dans le parc de la forêt de Bwindi (sud-ouest). Le gorille au dos argenté, nommé Rafiki (ami en swahili), était âgé d’environ 25 ans. Il avait été tué en juin avec une lance.

    Felix Byamukama, habitant d’un village voisin, avait été arrêté et avait reconnu avoir tué le singe, assurant avoir agi en état de légitime défense, selon l’Autorité ougandaise de la faune (UWA). L’UWA a annoncé que Felix Byamukama avait écopé d’une peine de prison de 11 ans pour avoir tué le gorille et d’autres animaux dans le parc.

    Il avait plaidé coupable de trois chefs d’inculpation : être entré illégalement dans une zone protégée, et avoir tué une antilope et un potamochère.

    Une condamnation qui se veut exemplaire

    Nous sommes soulagés que justice ait été rendue pour Rafiki et cela devrait servir d’exemple aux autres personnes qui tuent des animaux, a déclaré le directeur exécutif de l’UWA, Sam Mwandha.

    Rafiki était le mâle dominant d’une famille de 17 gorilles, la première à avoir été habituée à la présence humaine dans le parc, pour permettre aux touristes de venir l’observer. L’UWA avait décrit la mort de Rafiki comme un coup dur, après que des efforts intensifs ont permis de faire passer le gorille des montagnes de la catégorie en danger critique à celle de en danger sur la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

    La population de gorilles des montagnes, présents en Ouganda, au Rwanda et en République démocratique du Congo (RDC), est estimée par l’UICN à environ 1 000 individus, contre 680 en 2 008.

    Hausse du braconnage en Ouganda

    La mort de Rafiki est intervenue alors que la fréquence des cas de braconnage a augmenté en Ouganda depuis l’instauration d’un confinement strict pour lutter contre le nouveau coronavirus. Nous avons observé une hausse des cas de braconnage dans nos parcs nationaux après la fermeture de nos pôles touristiques à cause du Covid-19, a déclaré Sam Mwandha.

    Nous cherchons qui est derrière ça. Est-ce qu’à cause du confinement, les communautés près des parcs s’en prennent aux animaux pour survivre ? Est-ce qu’un réseau criminel est derrière la hausse du braconnage ? Est-ce que l’absence du tourisme dans les parcs facilite la tâche des braconniers ?, s’est-il interrogé. Quelle que soit la réponse, les cas de braconnage sont une source d’inquiétude et nous avons intensifié les patrouilles dans les parcs.

    Ouest-France

    Connard d'africain, 11 ans, ce n'est pas assez !


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  • Brigitte Bardot en colère : son message acerbe à Emmanuel Macron

    Brigitte Bardot ne décolère pas. Elle qui, à maintes reprises, a alerté Emmanuel Macron sur l’importance de la protection des animaux, ne digère pas l’inaction du président. Et elle l’a publiquement fait savoir.

    Chaque remaniement gouvernemental est une lueur d’espoir pour Brigitte Bardot. L’ancienne actrice, dont la cause animale est l’un des principaux piliers de vie, a à cœur d’alerter le pouvoir sur l’importance de la protection des animaux à chaque fois qu’elle en a la possibilité. Emmanuel Macron n’y a pas échappé. Le président de la République a reçu, depuis le début de son mandat en mai 2017, plusieurs lettres ouvertes de la militante de 85 ans. Mais voir que ces appels à l’aide restent sans réponse commencent à agacer sérieusement l’habitante isolée de La Madrague à Saint-Tropez.

     

    En début d’année déjà, elle avait tenu à souligner les manquements du chef d’Etat qui, deux ans plus tôt, insistait pour la rencontrer et évoquer quatre points clés à mettre en place pour lutter contre la maltraitance animale. Mais deux ans plus tard, toujours aucune action de la part d’Emmanuel Macron : « Vous deviez nous donner une réponse en décembre 2018, j’attends toujours… Malgré mes nombreuses lettres de rappel restées sans réponse, même pas de votre secrétaire. Alors oui aujourd’hui, monsieur le président, je vous engueule ». Six mois plus tard, rien a changé. Pourtant, Brigitte Bardot attendait beaucoup du remaniement ministériel survenu le 6 juillet dernier.

    « Je vous ai encore surestimé »

    Ce n’est que vingt jours après l’annonce du nouveau gouvernement qu’étaient nommés les Secrétaires d’Etat. Une véritable déception pour Brigitte Bardot qui s’est donc ce jeudi 30 juillet sur Twitter adressé une nouvelle fois au président de La République pour lui dire ses quatre vérités : « Voilà un nouveau gouvernement de grande envergure afin de pallier, peut-être, à vos déficiences mais au milieu duquel je ne vois aucun représentant de la protection animale. Pourtant, en cette poussée de retour à la nature, les animaux auraient eu droit à un “petit secrétaire d’Etat” dont vous avez distribué en veux-tu en voilà les titres ronflants. Maintenant que j’ai pu apprécier vos incompétences à leur juste valeur, je vous ai encore surestimé. » Reste à savoir si Emmanuel Macron prendra la peine de lui répondre...

    VOICI

    Hélas ce pseudo président se moque autant des animaux que des français !


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  • Kenya: arrestation d’un important trafiquant de drogue, d’ivoire et d’espèces menacées

    C’est une prise importante réalisée par les autorités kényanes. Un trafiquant d’ivoire, d’espèces menacées et de drogues a été arrêté, ce mercredi, à l’aéroport de Mombasa. Ce Kényan fait partie d’un réseau international recherché aux États-Unis depuis plus d’un an. Plusieurs membres de l’organisation ont déjà été arrêtés.

     

    Il ne devait pas s’attendre à être cueilli par la police à son arrivée à Mombasa. Abubakar Mansur Mohammed Surur, 60 ans, était sur un vol en provenance du Yémen. Avec 33 autres Kényans, il était en train d’être rapatrié dans son pays après plusieurs mois de blocage à cause du Covid-19.

    L’homme est un membre de « l’Entreprise », une organisation criminelle tentaculaire basée en Ouganda. Ce gang s’adonnait à divers trafics. Il aurait notamment amassé dix tonnes d’ivoire après le massacre de plus d’une centaine d’éléphants, 190 kilos de cornes de rhinocéros, arrachés sur une quarantaine d’animaux. Sans compter le trafic d’héroïne et le blanchiment d’argent.

    Le réseau se fournissait en Ouganda, en Guinée, en Tanzanie, aux Congos, au Kenya, au Mozambique et au Sénégal. Il cachait sa marchandise dans des paquets censés contenir des statues ou des masques africains. Les acheteurs, eux, vivaient principalement à New York ou en Asie. Abubakar Mansur Mohammed Surur aurait à lui seul amassé plus de 7 millions de dollars sur près d’une décennie.

    En janvier 2019, les États-Unis ont lancé un mandat d’arrêt contre les cerveaux de « l’Entreprise ». Six mois plus tard, un Guinéen a été arrêté au Sénégal. Dakar examine toujours une demande d’extradition. Cinq jours plus tard, un Libérien a été interpellé en Ouganda, puis livré aux Américains. Abubakar Mansur Mohammed Surur pourrait subir le même sort. Un quatrième larron, kényan également, est quant à lui toujours insaisissable.

    RFI Avec notre correspondant à NairobiSébastien Németh


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  • C’est un débat déjà ancien, et Barbara Pompili veut s’y atteler. D’après une information de France Info ce mercredi 29 juillet, la ministre de la Transition écologique a annoncé au président de la Fédération des chasseurs lors d’une réunion mi-juillet vouloir interdire la chasse à la glu, une technique de chasse consistant à piéger les oiseaux avec de la colle.

    L’objectif de la ministre : qu’il n’y ait plus aucune pratique de ce type pour la saison de chasse 2020-2021, qui débute au mois d’octobre. Le député LREM Loïc Dombreval, connu pour ses positions en faveur de la cause animale, se réjouit de cette décision, qui pourrait tempérer l’image d’une majorité jusqu’ici indifférente à ce combat : la loi Egalim de 2018 qui devait lutter contre certaines pratiques maltraitantes dans l’élevage avait en effet été vidée de la plupart de ses ambitions.

    « A la fin du mandat [en 2022], les Français pourront comptabiliser les avancées pour les animaux, comme le décret de Barbara Pompili », espère-t-il auprès de « l’Obs ».

     

    « Je crois qu’ils verront que nous n’avons pas à rougir de ce que nous avons fait, même si notre pays reste très en retard sur de nombreux points. »

    Interviewé par France Info, le président de la Fédération des chasseurs, Willy Schraen, a affirmé être en « complet désaccord » avec l’idée de la ministre et a annoncé qu’il était prêt à engager des procédures juridiques pour que l’interdiction ne soit pas appliquée. Il dit également que les chasseurs préparent une « action forte d’ampleur nationale » pour manifester leur mécontentement.

    « Piégeage cruel »

    Une nouvelle favorablement accueillie du côté de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). Egalement sur France Info, son directeur général, Yves Verilhac, a salué la décision de la ministre : « La France était le dernier pays européen qui autorisait ce piégeage cruel et non sélectif avec de la colle, sous forme de dérogation ».

    C’est en effet l’occasion pour la France de se rattraper après avoir été épinglée en juillet dernier par la Commission européenne pour ne pas avoir respecté la « directive oiseaux », qui prône la protection d’espèces menacée.

     

    Le directeur général de la LPO espère cependant que la Fédération des chasseurs ne parviendra pas à faire reculer le gouvernement sur cette mesure, alors que se profile le Congrès mondial de la nature, organisé à Marseille en janvier 2021 : « Désormais, il faut espérer que le lobby des chasseurs ne gagne pas. Mais à la veille d’accueillir le congrès mondial de la nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature, la France ne pouvait pas se permettre d’être le vilain petit canard qui laisse piéger et torturer les oiseaux ».

     

    L'OBS

    Saloperies de chasseurs


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  • En Baie de Somme, les échouages de phoques se multiplient de façon inquiétante

    Depuis quelques temps, la commune de Cayeux-sur-Mer, dans la Somme, fait face, impuissante, à une multiplication des échouages de phoques sur ses plages, rapporte France Bleu Picardie.

     

    "Nous en sommes à environ une intervention tous les deux jours en ce moment. Les années passées c'était deux ou trois interventions dans l'année", constate Jean-Paul Lecomte, maire de la commune.

    Un manque de prévention

    Une situation qui s'explique en partie par le déménagement de l'association Picardie Nature qui a vu ses moyens humains et financiers diminués. Avant son départ, celle-ci se chargeait de sensibiliser les vacanciers au respect du bien-être et de la tranquilité des phoques, conseillant aux touristes de ne pas trop s'approcher des animaux et de ne pas se regrouper autour d'eux lorsqu'ils s'échouent sur la plage.

    Cette récente absence de prévention explique ainsi la multiplication des incidents d'échouages qui ont un impact désastreux sur la colonie locale.

    "Il y a beaucoup de vacanciers qui ne gardent pas leurs distances avec la colonie. Les phoques ont peur, les petits sont séparés de leur maman, et nous on les retrouve échoués ou morts", explique Jean-Paul Lecomte.

    La commune désemparée

    Outre les conséquences sur l'environnement, la situation apporte également une importante surcharge de travail à la municipalité de Cayeux-sur-Mer que la ville a du mal à assumer. Le manque de matériel adapté complique le secours des phoques échoués et le transport des carcasses.

    Désemparé, le maire en appelle à l'aide des associations pour faire face à cette multiplication des échouages.

    "Moi je demande simplement à ce que les organismes en place, notamment le parc naturel marin, le Syndicat Mixte Baie de Somme - Grand Littoral Picard, ou encore Picardie Nature fassent le travail qui leur incombe. Je veux bien aider, mais on ne peut pas tout satisfaire", confie-t-il à France Bleu Picardie.

    En cas de découverte d'un animal échoué sur plage, qu'il soit vivant ou mort, il est nécessaire de garder ses distances et de contacter l'Observatoire PELAGIS au 05.46.44.99.10 (numéro ouvert 7 jours sur 7).

    BFM.TV


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  • «Je n’ai jamais vu cela» : ventes record de moutons pour l’Aïd au marché au vif du Val-d’Oise

    © LP/V.T. Wy-dit-joli-Village, ce mercredi. Les frères Benz ont vendu les 500 moutons en un temps record.

    Assis sur le capot de la voiture, dans la cour de la ferme, ces trois clients attendent avec impatience le retour du patron. Ils ont traversé, ce mercredi après-midi, toute l'Ile-de-France, depuis Evry (Essonne), en espérant pouvoir acheter un mouton vivant chez la boucherie des frères Benz, à Wy-dit-Joli-Village, au cœur du Vexin.

     

    « Il n'y en a plus nulle part, regrette l'un. J'espère qu'en m'éloignant un peu, je trouverais mon bonheur ! » A l'arrivée de Joseph, le gérant, c'est la douche froide. « Je n'ai plus aucun mouton à vendre, le dernier a été réservé hier soir, lance l'agriculteur. Je suis désolé, je ne sais pas quoi vous dire… »

    500 moutons vendus en trois jours

    La ferme, un des cinq marchés au vif habilités en Ile-de-France, a vendu ses 500 moutons en à peine trois jours. Un temps record pour ces éleveurs, qui vendent des bêtes pour l'Aïd al-Adha depuis quarante-trois ans. « Je n'ai jamais vu cela, s'estomaque Joseph, un des trois frères, à la tête de l'exploitation familiale. On reçoit des centaines d'appels par jour! »

    La faute au contexte sanitaire actuel, juge l'agriculteur. Les frontières étant fermées, peu de familles ont pu réaliser le voyage à l'étranger pour fêter l'Aïd. « Il y a moins de marchés au vif, aussi! Donc la demande explose complètement, on est débordés, confie Joseph. Certains ont anticipé. Il y a trois semaines, plus de la moitié de nos bêtes étaient déjà réservées! »

    «Cette année, nous avons perdu l'esprit festif de l'Aïd»

    Pour les agneaux restants, les clients habituels de la boucherie ont été privilégiés. Les autres ont dû payer le prix fort : entre 230 et 280 euros la bête. Soit 30 à 50 euros de plus que les années précédentes. « C'est la loi de l'offre et de la demande, sourit Joseph Benz. Ce qui est dommage, cette année, c'est que nous avons perdu l'esprit festif de l'Aïd, l'ambiance du marché au vif. »

    Coronavirus oblige, les clients, équipés de leurs masques, rentraient deux par deux dans l'immense étable pour choisir leur mouton. « Il a fallu que l'on effectue plusieurs ventes, indique le gérant. D'habitude, il n'y en a qu'une seule, toutes les familles entrent en même temps, c'est festif ! Là, c'était vraiment particulier… »

    LIRE AUSSI > Val-d’Oise : maintenir l’Aïd en pleine épidémie de Covid, «du grand n’importe quoi» pour les médecins

    Le Parisien

    Quand je pense à ces éleveurs qui gueulent dès qu'un loup a tué un mouton mais ils les vendent pour l'Aïd en sachant que ces pauvres moutons seront égorgés sans être étourdis auparavant ! Ces  éleveurs me dégoutent.

    *Je ne comprends pas que la France autorise aux musulmans et aux juifs cette manière de tuer, c'est inadmissible.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 30 07 2020

     

    Bonne journée


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  • Thaïlande: le nombre de tigres remonte très lentement mais le félin reste menacé

    © Handout Photo fournie le 29 juillet 2020 par le département des parcs naturels de Thaïlande et la Panthera Zoological Society de Londres, d'un tigre dans la jungle dans l'ouest de la Thaïlande

     

    Déforestation, braconnage: il reste moins de 4.000 tigres sauvages dans le monde, contre 100.000 il y a cent ans. 

    Mais de récentes vidéos filmées dans des forêts de l'ouest de la Thaïlande redonnent un peu d'espoir.

    Plusieurs individus, jusqu'ici jamais recensés, ont été repérés dans ces jungles épaisses, d'après ces images diffusées par plusieurs groupes de défense.

    "Le nombre de tigres commence à remonter" dans le pays", s'est réjoui John Goodrich de l'ONG Panthera.

    "La Thaïlande a intensifié ses efforts de conservation au cours de la dernière décennie et on pense maintenant qu'elle abrite jusqu'à 200 tigres", a-t-il ajouté. 

    Les gardes forestiers vont surveiller si ces félins s'installent sur le long terme dans cette zone. 

    S'ils retournent dans les forêts, cela signifie que l'écosystème se rétablit, ce qui est bon pour toute la faune", a relevé Eileen Larney, représentante de la société zoologique de Londres pour la Thaïlande.

    Ce succès est en partie dû aux nouvelles technologies utilisées pour lutter contre le braconnage.

    Des algorithmes d’intelligence artificielle et de reconnaissance de formes sont insérés dans les caméras et permettent d'identifier les potentiels chasseurs et d'alerter la police locale avant qu'ils ne tuent un animal.

    Mais l'avenir des grands félins est encore très précaire.

    Ils sont particulièrement menacés en Asie du Sud-Est où ils sont braconnés pour leur peau et des parties de leur corps aux prétendues vertus médicinales, vendus en Chine et au Vietnam.

    Leur population a été entièrement décimée au Cambodge, Laos et Vietnam. Et il ne reste que 23 individus à l'état sauvage en Birmanie.

    "L'accent doit être mis sur cette région, où les tigres sont les plus en difficulté", a souligné John Goodrich. "Si vous n'avez pas le soutien du gouvernement, cela ne fonctionne pas", a-t-il souligné.

    AFP


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  • Illustration

    Une terrible découverte a été faite dans un domicile de Besançon (Doubs), grâce à l’intervention de la police à la demande de la Société protectrice des animaux (SPA).

    Les policiers ont mené une opération dans une maison de Besançon après des signalements effectués par la SPA, ce mardi vers 11h30. En entendant une femme crier depuis l’intérieur du domicile, les fonctionnaires ont fait appel aux pompiers qui ont procédé à l’ouverture de la porte, rapporte L’Est Républicain. Le sol de l’habitation appartenant à un homme de 77 ans était jonché d’excréments d’animaux et d’immondices.

    « Très diminuée, blessée aux jambes, peu vêtue et très confuse », la femme du propriétaire, âgée de 91 ans, a été prise en charge par les secours et transportée aux urgences de l’hôpital.

    Des chats morts, d’autres en péril

    Les policiers ont procédé à une visite des lieux et découvert une trentaine de chats dans un congélateur. Chacun d’entre eux était soigneusement emballé dans un sachet mentionnant son nom. L’association a mandaté un huissier de justice pour constater les faits. Pour sa part, le septuagénaire nie toute maltraitance envers les animaux. Il possède d’ailleurs une quarantaine de chats, dans son jardin.

    « À l’extérieur, le propriétaire avait aménagé trois parcs clôturés pour ses autres chats. Ils sont encore vivants, mais en mauvaise santé, très maigres. Ils n’avaient même pas à boire. Le problème est que le Monsieur ne stérilisait plus ses chats, qui se reproduisent entre eux », a déclaré l’inspectrice de la SPA au quotidien régional. Certains pourraient être atteints du typhus, de la gale ou du coryza d’après des symptômes constatés sur les animaux.

    Une plainte doit être déposée par la SPA

    La présidente de la section locale de l’association Fabienne Chedeville, en est persuadée : « Le propriétaire souffre du syndrome de Noé, c’est une pathologie psychiatrique qui pousse à accumuler les animaux ».

    L’habitation était entourée d’amoncellements de sacs poubelle qui pourraient également laisser penser que l’homme est atteint du syndrome de Diogène, le rendant incapable d’arrêter d’accumuler les déchets. Les services de la ville ont été sollicités pour évacuer ces ordures.

    Le parquet de Besançon a été informé de cette découverte, et la SPA devrait déposer plainte ce mercredi. L’association a également publié un message sur Facebook demandant un prêt de caisses de transport pour chats aux bonnes âmes qui en possèderaient.

    ACTU 17


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  • La mairie de Marseille veut interdire les cirques avec animaux

    Benoît Payan, premier adjoint à la mairie de Marseille, a annoncé que la Ville allait prochainement interdire les cirques avec animaux. Une décision saluée par les associations de protection animale.

    La ville de Marseille n’accueillera bientôt plus des cirques avec animaux. Benoît Payan, premier adjoint à la mairie en a fait la communication dimanche 26 juillet sur son compte Facebook. L’élu du Parti socialiste, appartenant à la majorité écologiste de Michèle Rubirola, a justifié cette mesure, vidéo à l’appui.

    Ces images qui montrent un rhinocéros tourner en rond datent en fait de plusieurs années. Comme le précise le HuffPost , l’animal a été placé dans le parc biologique de Valence en 2007 puis transféré six ans plus tard dans une réserve naturelle près de Séville. En 2016, Levante-EMV avait interrogé ses vétérinaires et ceux-ci affirmaient qu’il avait fini par se remettre de ses traumatismes.

    Une décision saluée

    Quoi qu’il en soit, cette annonce de Benoît Payan a été saluée par des associations de protection animale comme L214 ou Code Animal.

    Fin 2019, la ville de Paris s’était déjà engagée publiquement à ne donner aucune autorisation d’installation aux cirques qui présentent des spectacles avec animaux sauvages.

    Selon un sondage Opinion Way réalisé en octobre 2019, 65 % des personnes interrogées se disent « défavorables » à la présence d’animaux sauvages dans les spectacles de cirque.

    Ouest-France


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  • Ils veulent sauver Maurice le sanglier

    Le cas de Maurice, recueilli bébé par un couple en Corrèze, mobilise les foules : ce paisible sanglier risque en effet d’être confisqué, voire abattu, car il n’a pas été déclaré par ses maîtres.

    «Sauvez Maurice» : ce vibrant appel a recueilli plus de 117 000 signatures sur Change.org, mobilisé plus de 7 600 personnes sur Facebook, et permis de constituer une cagnotte d’environ 7 000 euros. C’est dire si le cas de Maurice a ému bien au-delà de la Corrèze, théâtre de cette affaire. Celle-ci débute voilà bientôt six ans, lorsque Sylvia Bachellerie, une aide-soignante habitant un bourg baptisé Le Jardin (86 habitants), trouve sur son terrain un marcassin blessé. Elle et son mari le recueillent, le soignent, puis tentent de le remettre en liberté. Mais l’orphelin ne veut plus repartir. Le couple décide alors d’adopter «Maurice» et lui construit un enclos, où le sanglier coule des jours heureux. En février 2019, l’ombre d’un corbeau vient assombrir ce tableau bucolique : Maurice fait l’objet d’une dénonciation anonyme. Car détenir un animal sauvage sans autorisation constitue un délit. Or Sylvia et son mari n’ont pas déclaré Maurice.

    Débute alors une partie de ping-pong entre la «famille» de Maurice et les autorités. Une procédure est engagée. Afin d’éviter un procès, le parquet propose une composition pénale. Un rendez-vous dont Sylvia Bachellerie, 38 ans, garde un souvenir amer : «Le délégué du procureur nous a mis la pression. Il a parlé de peine de prison, du placement de Maurice, et de son abattage…» Après avoir été reporté à plusieurs reprises du fait de la crise sanitaire, le prochain rendez-vous judiciaire est fixé au 18 novembre. Entre-temps, les maîtres de Maurice ont fait appel à Me Patrice Grillon, spécialisé dans ce type de dossiers : «Personne ne semble très pressé de résoudre l’affaire, ni de prendre la responsabilité d’appuyer sur la gâchette», commente l’avocat.

    Mais du côté de la préfecture, le ton reste ferme : «Pour tout animal sauvage recueilli, il faut posséder une autorisation de capture ainsi qu’une autorisation de détention. C’est la loi, tranche Venceslas Bubenicek, directeur de cabinet du préfet. Il n’est pas envisageable d’un point de vue réglementaire que ce sanglier reste là où il est.» Pourtant, Maurice ne pose aucun problème selon le maire du Jardin, Jean-François Gonçalves : «Cette bête n’a jamais occasionné de nuisances ni de plaintes. En tant que maire, je suis pour le respect de la loi. Mais je m’étonne, en tant que citoyen, qu’on puisse détenir des boas dans un appartement en ville, et pas un sanglier dans un espace clôturé, en pleine campagne…»

    Me Patrice Grillon, qui a déjà traité une demi-douzaine de dossiers similaires, rappelle que l’histoire de Maurice n’a rien d’extraordinaire : «On voit pas mal de marcassins orphelins recueillis par des particuliers. Ces animaux font ensuite partie de la famille, et personne ne pense à les déclarer. Puis une dénonciation bouleverse leur tranquillité.» L’avocat reste optimiste pour Maurice, rappelant que d’autres sangliers ont connu de tels déboires : «Finalement, Juliette a pu rester dans sa famille, dans la Drôme, tout comme Charlotte et Victor en Meurthe-et-Moselle, ou bien Truffe en Seine-Maritime… Mais à chaque fois, il faut se battre.»

    Libération

    Au lieu d'emmerder ces gens, ils feraient mieux de s'occuper d'arrêter les chances pour la France qui tuent et violent


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