• "On est dans un régime autoritaire": limogée, Royal dénonce un "pouvoir qui n'en fait qu'à sa tête" sur les retraites

    Emmanuel Macron doit mettre fin aux fonctions de Ségolène Royal en tant qu'ambassadrice des pôles ce vendredi matin au cours du Conseil des ministres. L'ancienne ministre de l'Environnement a pris les devants sur Twitter en publiant une lettre envoyée il y a une quinzaine de jours.

    LIEN de l'aricle :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/on-est-dans-un-régime-autoritaire-limogée-royal-dénonce-un-pouvoir-qui-n-en-fait-qu-à-sa-tête-sur-les-retraites/ar-BBZhF8b?ocid=WidgetStore&li=AA4REc


    5 commentaires
  • Pays de la Loire : Le préfet convoqué par Christophe Castaner après des propos critiques sur la PMA

    « Le projet de loi bioéthique porte une rupture anthropologique majeure », a déclaré Claude d’Harcourt lundi soir

    Il l’a rappelé à ses obligations. Christophe Castaner a convoqué mercredi matin le préfet des Pays de la Loire après que ce dernier a tenu des propos critiques sur l’ouverture de la PMA à toutes les femmes, mesure phare du projet de loi bioéthique, a-t-on appris dans l’entourage du ministre de l’Intérieur.

    « Le ministre a convoqué ce matin le préfet d’Harcourt au ministère de l’Intérieur pour entendre ses explications et lui rappeler ses obligations », a déclaré à un proche du ministre. Selon le site d’investigation en ligne Médiacités, le préfet de région Claude d’Harcourt a publiquement exprimé des réserves sur le projet de loi, lundi soir. C’était lors de ses voeux au monde économique et aux forces vives des Pays de la Loire.

    Christophe Castaner y voit une « faute »

    « Le projet de loi bioéthique porte une rupture anthropologique majeure », a déclaré Claude d’Harcourt cité par Médiacités. « A titre personnel, je ne suis pas sûr que cette loi favorise les repères auxquels aspirent nos concitoyens », aurait-il ajouté toujours selon le site d’investigation nantais. Selon une source proche du dossier, le préfet a bel et bien reconnu avoir tenu de tels propos. Christophe Castaner y a vu une « faute » et a demandé au préfet d’Harcourt de réagir dans la journée, a complété cette source.

    Le Sénat à majorité de droite a entamé, mardi, l’examen du projet de loi bioéthique. Celle-ci a franchi une étape supplémentaire mardi soir à la Haute Assemblée avec le rejet de plusieurs amendements qui entendaient la supprimer du texte. Le préfet Claude d’Harcourt, connu pour son franc-parler, avait précédemment été mis en cause pour sa gestion du maintien de l’ordre durant la dernière Fête de la musique à Nantes, lors de laquelle Steve Maia Caniço, 24 ans, s’était noyé dans la Loire.

    20 Minutes

    Gare à ceux qui critiquent les décisions du dictateur  macron !


    3 commentaires
  • Macron et Philippe dans le noir et aussi dans la M.!


    4 commentaires
  • Rachida Dati, la revenante

    Qui l’eût cru ? Rachida Dati pourrait bouleverser le jeu des élections parisiennes. Elle talonne désormais Anne Hidalgo dans les sondages. Une surprise de taille. Le signe d’une montée en puissance de la droite traditionnelle ?

    Elle fait partie de la catégorie très limitée des « increvables », des femmes politiques au cuir de rhinocéros, vilipendées, attaquées, blessées, mais jamais éliminées. Elles ne sont qu’une poignée, comme Ségolène Royal, Anne Hidalgo, Martine Aubry, Valérie Pécresse, sans oublier Marine Le Pen, à bénéficier de ce statut hors cadre. Rachida Dati fait partie de ce cercle restreint des dures au mal, des Calamity Jane de la politique.

    Il y a encore quelques mois, personne n’aurait misé un kopeck sur la résurrection de l’ancienne garde des Sceaux. On la jugeait trop clivante, trop bling-bling, trop marquée par l’ère Sarkozy, par son image de « copine » des barons du CAC 40. On la voyait comme une comète en fin de parcours, réfugiée dans le cocon de son poste de maire du très chic 7e arrondissement parisien. Un cocon, au départ, peu accueillant pour Rachida la Maghrébine, parachutée au pays des porteurs de loden. Mais au fil des ans, la dame venue des cités a su imposer son style, ses convictions, et surtout cette manière d’occuper le terrain en permanence, avec la régularité des vrais politiques. Avec un leitmotiv en guise de slogan : ordre et sécurité.

    Résultat : les bourgeois de l’avenue Bosquet et des Invalides ont fini par l’adopter. Avec Rachida, pas de faux-semblants, pas d’hypocrisie. Elle martèle sans nuance que Paris est une poubelle, que la ville est livrée aux pillards, que l’anarchie menace. Une méthode sacrément efficace puisque les sondages la créditent aujourd’hui de 19 % des intentions de vote. L’ex-députée européenne talonne désormais Anne Hidalgo (25 %) et devient la rivale numéro un de la maire de Paris. Qui l’eût cru ? Et surtout, comment expliquer une telle remontada ?

    Hidalgo-Dati, le match du retour aux sources

    La dame de fer des beaux quartiers profite de la situation catastrophique vécue par les Parisiens depuis deux mois, pour cause de grève des transports. Embouteillages monstres, métros à l’arrêt, chaos dans la circulation, totalement livrée à elle-même, sans la présence du moindre agent de la circulation. Rachida la Revenante bénéficie, bien sûr, du duel fratricide de LREM, entre Benjamin Griveaux et Cédric Villani, qui sont crédités respectivement de 15 % et de 13 %, selon le sondage du « JDD ». D’un point de vue arithmétique, les deux hommes font donc, si on additionne leurs scores, 28 % des intentions de vote. Mais l’irruption de l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy aux sommets des courbes est en train de bouleverser la donne. Les amis de Griveaux avaient prophétisé que, par rejet d’Anne Hidalgo, « Paris se gagnerait à droite », qu’il fallait donc partir à la chasse aux voix conservatrices. Et s’ils n’avaient pas tort ? Si leurs prédictions faisaient le jeu de madame Dati ? Si la pochette-surprise de cette élection était un face-à-face entre deux femmes, deux représentantes des vieux clivages, la gauche et la droite ? Une joute à l’ancienne, très old fashion, en forme de rejet du pouvoir en place ?

    Il est encore difficile de prédire un vote sanction contre les candidats macronistes, même si les élections municipales marquent systématiquement, depuis toujours, une défiance à l’égard des partis majoritaires. Or, les premiers sondages donnent déjà quelques indications sur la punition à venir. D’où l’émergence de l’ancienne magistrate, au look désormais très sobre, très respectable. Cheveux courts, lunettes d’intellectuelle, la candidate LR n’est plus la pétroleuse du sarkozysme. Elle s’est assagie, a pris du recul. Paradoxe : ses relations avec Anne Hidalgo sont quasi amicales. Sans doute à cause de leurs origines modestes. Elles ont quelques points communs. Rien ne leur a été offert sur un plateau. Elles ne sont pas des héritières. Cet ADN « immigré-prolo » les rapproche. Un face-à-face, au deuxième tour, médiatiquement, aurait, certes, de l’allure. Politiquement, il aurait une grande signification. Hidalgo-Dati, c’est le match du retour aux sources, de la clarté en politique, deux conceptions de la vie publique, la fin du Grand Tout de La République en Marche, un extrême centre qui ne dit pas son nom. Pour imposer ce combat au féminin, il faudra que Rachida Dati grignote encore quelques points dans les sondages pour devenir incontournable. En attendant, elle n’est plus invisible. Et elle fait peur.

    L'OBS


    5 commentaires
  • Un ex-fonctionnaire européen de nationalité allemande est accusé d’avoir transmis des documents confidentiels à la Chine. Une enquête a été ouverte.

    Depuis que le Spiegel a révélé que la justice allemande enquêtait sur un ancien fonctionnaire européen et qu’une vague de perquisitions a eu lieu en Allemagne mais aussi à Bruxelles, la capitale belge est en ébullition. Et la gêne autour de cette affaire suscite un embarras certain au sein des institutions européennes.

    L’affaire remonterait à 2016, lorsque Gerhard Sabathil - un nom rendu public par le Washington Post -, alors ambassadeur de l’UE en Corée du Sud et disposant de la double nationalité allemande et hongroise, aurait été suspecté d’avoir transmis ou fait transmettre des documents confidentiels au ministère chinois de la Sécurité d’État. Cet ex-fonctionnaire européen a fait toute sa carrière au sein des institutions européennes. Il a travaillé, entre autres, à la direction générale de la Concurrence, dirigé les bureaux de l’UE en Norvège, en Islande, en Allemagne et a également été de 2011 à 2015 directeur pour l’Asie du Nord-Est et le Pacifique au Service d’action extérieur (SEAE). Deux autres personnes, dont les noms n’ont pas filtré, sont également visées par cette enquête confiée au procureur général du procureur général fédéral allemand, Peter Frank. Ces personnes auraient été «recrutées» par Gerhard Sabathil. À ce stade, il n’a été procédé à aucune arrestation.

    Les institutions européennes auraient, selon B2, alerté en 2016 les autorités allemandes des doutes concernant Gerhard Sabathil, alors en poste en Corée du Sud. L’habilitation sécurité aurait alors été retirée au diplomate européen par les services allemands, obligeant de facto le Service de l’action extérieur (SEAE) à mettre un terme à ses activités à Séoul et à le rapatrier à Bruxelles dès fin 2016, soit un an et demi après son arrivée, alors qu’il est de coutume de rester trois ou quatre ans dans ce type de poste. Ce sont en effet les autorités nationales qui délivrent ces habilitations sécurité, le sésame permettant d’accéder aux documents classifiés. C’est aussi à partir de novembre 2016 que ce fonctionnaire européen cessera toute activité sur son compte Twitter. L’homme prendra finalement sa retraite en 2017 pour rejoindre ensuite une société de lobbying qui dispose de Bureaux à Bruxelles mais aussi à Munich et en Chine.

    Cette affaire braque bien évidemment les projecteurs sur les systèmes de sécurité et d’alerte mis en place par les institutions européennes pour se protéger des risques d’espionnage, que l’on sait très élevés dans la capitale belge. «Le dispositif européen est très lacunaire. C’est la grande faiblesse du système», explique un diplomate. «La Commission s’est toujours tenue à l’écart des questions de sécurité et elle est rattrapée par un monde totalement insécure. Il n’y a qu’à la direction générale de la Concurrence qu’il y a une vraie culture de la sécurité», poursuit cette source. Le Service européen d’action extérieure a toutefois alerté début 2019 les diplomates européens sur les risques d’espionnage, les informant notamment de la présence de 250 espions chinois et 200 espions russes dans la capitale belge. Des formations sont également organisées pour sensibiliser les fonctionnaires européens à ces questions. Si le calendrier de cette affaire était confirmé, cela tendrait à prouver que les institutions de l’UE ont réagi très vite sur le cas Sabathil.

    Reste que cette enquête tombe mal pour la Commission et les institutions européennes en général, alors qu’il leur faut trouver un équilibre et des voies de passage au plan commercial avec ce puissant et difficile partenaire qu’est la Chine. Une communication sur la 5G - et donc en filigrane sur le Chinois Huawei - est envisagée par la Commission pour la fin janvier. Or, la 5G est considérée par beaucoup, notamment les États-Unis, comme un outil mis à profit par les Chinois pour espionner. Ce rendez-vous sera-t-il maintenu? Par ailleurs, l’Allemagne, qui prendra au second semestre 2020 la présidence du Conseil de l’UE, organisera courant septembre à Leipzig un sommet UE-Chine. Avant cela, au début du printemps, une Sommet Chine-UE réunira à Pékin le premier ministre Li Keqiang et la nouvelle Commission européenne dirigée par Ursula von der Leyen.

    Le Figaro

     


    3 commentaires
  • Violences policières: Ndiaye "refuse qu'on jette l'opprobre" sur la police

    Sibeth Ndiaye "refuse qu'on jette l'opprobre" sur la police, mise en cause dans des incidents violents ces derniers mois, en particulier lors des manifestations, a affirmé dimanche la porte-parole du gouvernement.

    Sibeth Ndiaye "refuse qu'on jette l'opprobre" sur la police, mise en cause dans des incidents violents ces derniers mois, en particulier lors des manifestations, a affirmé dimanche la porte-parole du gouvernement. "Il y a beaucoup de saisines, beaucoup d'enquêtes qui sont en cours actuellement, de transmissions au parquet qui ont été réalisées. C'est le cours de la justice française. Je refuse qu'on jette l'opprobre sur nos policiers, parce que ce sont des hommes et des femmes qui font un travail de très grande qualité", a plaidé Mme Ndiaye sur BFMTV.

    La porte-parole a aussi souligné que "depuis une grosse quinzaine d'années dans ce pays, à chaque fois qu'il y a un mouvement social, il y a une forme de radicalisation". "Cela doit nous interroger collectivement", a-t-elle insisté en évoquant "une frange extrêmement minoritaire (de) quelques dizaines, centaines ou milliers de militants qui sont aujourd'hui dans une opposition qui est extrêmement radicale".

    "C'est comme si on disait que nous organisons l'insurrection à l'intérieur du pays"

    Mme Ndiaye était interpellée sur les critiques largement partagées par les oppositions, selon lesquelles le gouvernement a une part de responsabilité dans les tensions sociales. "C'est comme si on disait que nous organisons l'insurrection à l'intérieur du pays parce que nous faisons des réformes. On marche sur la tête !", a-t-elle réagi.

    Une enquête judiciaire a été ouverte dimanche après la diffusion de vidéos montrant un homme au visage ensanglanté se faire frapper au sol par un policier lors de son interpellation en marge de la manifestation des "gilets jaunes" samedi à Paris. Cette nouvelle enquête est ouverte alors que le président Emmanuel Macron a réclamé au ministre de l'Intérieur des "propositions" rapides "pour améliorer la déontologie" des forces de l'ordre.

    Paris Match

    Et oui si bête, c'est bien ton patron qui crée l'insurrection en France !

    Tu avais bien dit que tu étais prête à mentir pour le défendre, c'est ce que tu fais à présent !


    6 commentaires
  • Prise à partie lors d'une réunion, Marlène Schiappa dénonce des opposants "menaçants"

    La campagne des municipales apporte son lot de tensions. La secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, candidate à Paris, a dénoncé ce vendredi l'attitude "très menaçante" d'opposants, lors d'une réunion électorale jeudi soir dans la capitale.

    Au cours d'une "réunion publique dans le XIVe arrondissement" où elle se présente au scrutin municipal, "des manifestants, des gilets jaunes, des gens assez hostiles, se sont infiltrés dans la réunion, en plus d'une manifestation qui s'est tenue devant, et ont commencé à être très menaçants", a déclaré Marlène Schiappa sur Radio Classique.

    "Gestes de violence et de menace"

    Ces personnes ont eu "des gestes de violence et de menace", ont "crié des injures vis-à-vis de moi" et "des colistiers qui étaient présents", ont "fait de l'intimidation pour empêcher la réunion de se tenir en hurlant, en faisant du bruit, en tapant sur les murs ou avec des verres", ceci "de façon très intimidante pour les gens qui étaient venus pour parler de la campagne des municipales", a raconté la secrétaire d'État.

    Protestant contre une attitude "antidémocratique", Marlène Schiappa a jugé "normal" que "chacun vienne dans une réunion publique et pose des questions, y compris avec impertinence ou y compris des questions critiques", mais lors de cette réunion, il y avait "juste des gens" venus "pour l'intimidation et pour empêcher le débat démocratique de se tenir". Marlène Schiappa soutient Benjamin Griveaux, investi par LREM pour les municipales dans la capitale.

    L'Express


    3 commentaires
  • Présidentielles de 2022 : Marine Le Pen et Ségolène Royal y croient déjà


    3 commentaires
  • François Asselineau,     Union Populaire Républicaine


    5 commentaires
  • L'accord commercial sino-américain signé, Trump salue une avancée "historique"

    L'accord signé marque une trêve dans la douloureuse guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis, qui a pesé sur la croissance mondiale.

    Donald Trump a salué ce mercredi un accord commercial "historique" entre les États-Unis et la Chine, juste avant la signature du document avec le principal négociateur chinois, Liu He. "Aujourd'hui marque une étape historique, une étape qui n'avait jamais été franchie avec la Chine, vers un accord commercial juste et réciproque entre les États-Unis et la Chine", a déclaré le président américain.

    "Nous savons qu'il y aura encore des différends entre nos deux pays, mais ce jour marque le début d'un nouveau chapitre dans les relations commerciales entre les deux plus importantes économies du monde", a renchéri le vice-président américain, Mike Pence. Donald Trump a aussi confirmé qu'il comptait se rendre bientôt en Chine.

    L'accord sino-américain est bon "pour le monde entier", a affirmé le président chinois Xi Jinping dans une lettre adressée à son homologue américain, lue par un haut responsable chinois Liu He lors de la cérémonie de signature à la Maison Blanche.

    Trump maintient tout de même les tarifs douaniers punitifs

    L'accord signé mercredi marque une trêve dans une douloureuse guerre commerciale, qui a pesé non seulement sur l'économie américaine et chinoise, mais encore sur la croissance mondiale. Outre des achats de quelque 200 milliards de dollars de biens américains supplémentaires par Pékin, l'accord prévoit d'importants volets permettant aux entreprises américaines de faire affaire en Chine plus librement ou sur des bases juridiques plus solides, notamment en matière de respect de la propriété intellectuelle ou encore de transfert de technologies.

    Donald Trump a cependant prévenu la Chine que les tarifs douaniers punitifs imposés à Pékin depuis près de deux ans resteraient en place jusqu'à la conclusion finale de l'accord commercial, dont la première phase va être signée ce mercredi.

    "Nous gardons les tarifs [douaniers] mais j'accepterais de les supprimer si nous arrivons à conclure la phase 2", a déclaré le président, soulignant : "Je vais les garder, sinon nous n'aurons aucune carte en main pour négocier". Pour l'heure, 370 milliards de dollars d'importations de produits chinois sont frappées de tarifs douaniers punitifs.

    L'Express


    3 commentaires
  • « Ego machiste », « pagaille », « abandon »… Les piques de Royal qui lui valent d’être convoquée

    Ségolène Royal s’estime licenciée de ses fonctions d’ambassadrice des pôles, l’exécutif la sommant de taire ses critiques et envisageant de « mettre fin » à son rôle. En cause, ses récentes prises de parole publiques, très critiques.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/newsworldpolitics/%c2%ab-ego-machiste-%c2%bb-%c2%ab-pagaille-%c2%bb-%c2%ab-abandon-%c2%bb%e2%80%a6-les-piques-de-royal-qui-lui-valent-d%c3%aatre-convoqu%c3%a9e/ar-BBYXoen?li=AAaCKnE&ocid=PerDHP#image=1

     

    Ségolène a raison dans toutes ses critiques !


    3 commentaires
  • Macron au climat, Philippe au charbon


    4 commentaires
  • Échaudée par les critiques visant le gouvernement, Borne rappelle Royal à son "devoir de réserve"

    Borne n'est ni borgne ni aveugle !

    Ségolène Royal est prévenue: au gouvernement, on ne semble guère goûter les piques qu'elle envoie. Ainsi, vendredi, la ministre de la Transition écologique Élisabeth Borne a estimé que la fonction d'ambassadrice des pôles occupée par la (récente) contemptrice de l'exécutif appelait à "un devoir de réserve", et s'est interrogée sur le maintien de l'ex-ministre à ce poste au vu de ces développements.

    "Je note qu'elle critique le gouvernement très fortement depuis quelques semaines, est-ce que c'est bien compatible avec un poste d'ambassadeur qui appelle une certaine réserve? On peut se le demander", a déclaré la ministre sur franceinfo.

    Règlement de comptes

    La candidate socialiste à la présidentielle de 2007 a notamment publié en décembre une salve de tweets critiquant le pouvoir sur les pesticides, la réforme des retraites ou l'hôpital, ainsi que la proximité d'Emmanuel Macron avec "le monde du business mondialisé".

    Élisabeth Borne a également souligné ne pas avoir rencontré Ségolène Royal depuis son arrivée au portefeuille de la Transition écologique, en juillet. "Je note que Mme Royal n'a pas jugé utile de venir me faire un point sur sa mission", a-t-elle observé.

    Royal critiquée pour son action d'ambassadrice

    Ségolène Royal, nommée il y a deux ans ambassadrice de la France chargée des négociations internationales pour les pôles, a été mise en cause en novembre par une enquête de Radio France l'accusant notamment de se servir de sa fonction - pour laquelle elle n'est pas rémunérée - et de ses trois collaborateurs, financés par le ministère des Affaires étrangères, pour promouvoir des activités personnelles.

    Après cette publication, qualifiée d'"insinuations" "calomnieuses" par l'intéressée, deux députés UDI et LaREM ont pris l'initiative de convoquer l'ancienne ministre de l'Environnement pour qu'elle s'explique à l'Assemblée nationale sur son bilan d'ambassadrice.

    "C'est important qu'elle confirme aux députés qu'elle mène bien cette mission avec tout l'engagement nécessaire, parce que les pôles c'est évidemment un enjeu important", a commenté Élisabeth Borne.

    BFM.TV 


    5 commentaires
  • Bernard Kouchner se voit en "Monsieur migrants" d'Emmanuel Macron

    Engagé depuis toujours dans l'humanitaire, Bernard Kouchner s'est montré critique envers la France face à la crise des migrants. Pour contribuer à changer les choses, l'ancien ministre a son idée sur le rôle qu'il pourrait jouer.

    Sa proposition reste dans l'attente. Très critique envers la gestion de la France face à la crise des migrants, Bernard Kouchner avait dénoncé le manque de générosité du pays. Le médecin qui s'est engagé dans les missions humanitaires à l'étranger dans les années 70 et 80 avant de poursuivre ses actions en politique se verrait bien aujourd'hui rempiler face à la situation actuelle.

    Dans un entretien accordé au Point ce samedi 11 janvier, Bernard Kouchner a fait un constat amer sur l'Europe qui aurait dû répondre aux problèmes des migrants. "Madame Merkel en a accueilli des centaines de milliers. Nous, à peine quelques milliers… La barque européenne s'est fracassée sur le rocher des migrants. La solidarité élémentaire n'était plus là. Honteux repli sur soi. Et les migrations continueront", a-t-il déploré.

    Souhaitant voir la cause des migrants davantage prise en charge, l'ancien ministre des Affaires étrangères estime qu'il devrait y "avoir un 'Monsieur migrants' en France". Et se verrait bien endosser ce rôle : "J'aurais aimé que ce soit moi. Ils auraient pu y penser… J'ai proposé… Enfin…", lâche-t-il en faisant allusion à Emmanuel Macron. Mais Bernard Kouchner ne semble pas avoir eu de réponse du président de la République. "Je ne crois pas non. Je vous assure que je vous le dirai si j'ai une réponse", a-t-il prévenu. Son appel sera-t-il entendu ?

    Gala

    Monsieur Kouchner, à 80 ans, reposez vous et arrêtez de dire des conneries !


    7 commentaires
  • "C'est une erreur" : Manuel Valls s'oppose au rapatriement des djihadistes français

    La ministre de la Justice Nicole Belloubet a évoqué samedi l'hypothèse du rapatriement des djihadistes français détenus par les Kurdes en Syrie, son entourage réfutant toutefois une rupture avec la position de Paris sur ce dossier sensible. Samedi soir, sur Europe 1, Manuel Valls, désormais exilé en Espagne, a rappelé sa position sur cette épineuse question. "Moi je ne crois pas qu'il faut le faire. Je respecte la position du gouvernement, mais je crois que c'est une erreur", a fermement affirmé l'ancien Premier ministre.

    "Je crois que ces hommes, ces femmes qui ont commis des faits atroces et qui ont participé à la guerre, à des actes de torture, à des viols, doivent d'une manière ou d'une autre être jugés et payer leurs actes là où ils les ont commis", affirme Manuel Valls.

     "Il ne faut pas créer les conditions d'un danger supplémentaire"

    L'ancien Premier ministre craint que le rapatriement des djihadistes français détenus par les Kurdes en Syrie ne soit source d'un danger pour la France. Il évoque notamment - en se référant à l'ouvrage du chercheur Hugo Micheron, Le djihadisme français - la présence importante de réseaux djihadistes dans les prisons françaises. "Beaucoup de terroristes sortiront dans peu de temps, et ce sera un défi supplémentaire pour la société française", prévient-il.

    "Beaucoup ne regrettent pas leurs actes. Les dirigeants politiques doivent savoir, et faire comprendre aux Français, qu'il y a encore des risques pour demain. Il faut faire très attention. Nous avons plusieurs millions de personnes radicalisées en France, en Europe. Il ne faut pas créer les conditions d'un danger supplémentaire", explique Manuel Valls. 

    Jusqu'ici, le gouvernement français n'a accepté de rapatrier des enfants de ces camps qu'au "cas par cas". Après des mois de tergiversations dans un contexte de forte hostilité de l'opinion, Paris a ainsi, en juin 2019, rapatrié 12 enfants, dont la majorité étaient des orphelins, après cinq rapatriements en mars 2019.

    Europe 1


    5 commentaires
  • Réforme des retraites : Laurent Berger inflexible


    4 commentaires
  • Macron met la pression sur Philippe pour la réforme des retraites


    4 commentaires
  •  

    L'enfer des pauvres ... le paradis des riches

    Victor Hugo a un jour écrit : « C’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches ». Ce glaçant constat dressé il y a plus d’un siècle par l’auteur des Misérables est plus que jamais d’actualité.

    Pendant que de plus en plus de gens font face à la précarité, au chômage, à la pauvreté, à l’exclusion, l’élite mondiale des ultra-riches, elle, ne connaît pas la crise, mieux, elle en profite pour s’enrichir.

    Un constat alarmant .

    Pris chez :

    http://horobindo.centerblog.net/


    4 commentaires
  • Elisabeth Borne en vacances au Maroc : "Elle est totalement joignable et mobilisable", assure son cabinet

    Elisabeth Borne, la ministre de la Transition écologique et solidaire s’est rendue au Maroc pour "quelques jours en famille" a appris mercredi 25 décembre franceinfo du cabinet de la ministre, confirmant une information du journal Le Parisien.

    La ministre s’y est rendue, selon son cabinet, "en vol régulier et intégralement à ses frais", tandis que Matignon a demandé aux ministres de ne pas donner le sentiment d'une vacance du pouvoir pendant les vacances de Noël. "Elle a décalé son départ et raccourci son séjour pour être à Paris ce week-end et suivre le week-end de grands départs et les intempéries", poursuit son cabinet.

    "Il n’y a pas de règle kilométrique ou d’interdiction de sortie du territoire pour les ministres, l’important est qu’elle est totalement joignable et mobilisable, en lien permanent avec son cabinet et ses secrétaires en état, et qu’elle peut être de retour à Paris en quelques heures. Le reste relève de sa vie privée", conclut son cabinet.

     

    "Un peu choquant"

     "C'est un peu choquant," a déclaré Claude Goasguen, député Les Républicains de la 14ème circonscription de Paris, mercredi 25 décembre sur franceinfo, à propos des vacances de la ministre de la Transition écologique et solidaire.

    "Ce n'est pas ce qu'avait demandé le président de la République, poursuit l'élu Les Républicains. J'avais cru comprendre qu'il avait demandé à ses ministres de rester tout près, c'est vrai que Marrakech n'est pas si loin en avion mais franchement c'est un peu choquant de voir un ministre important du gouvernement qui va prendre des petites vacances dorées à Marrakech", conclut-il.

    franceinfo


    4 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique