• Les quatre hommes ont été interpellés et placés en garde à vue. Ils n’avaient pas de masque et sortaient d’un anniversaire. L’un des policiers blessés a 10 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

    Un simple contrôle s’est transformé en une violente agression envers les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) ce dimanche matin à Bordeaux (Gironde) vers 6 heures. Les forces de l’ordre ont aperçu un groupe de quatre hommes qui ne portaient pas de masque et qui buvaient, dans la rue Georges Rioux, près de la place de la Victoire. Ils ont alors décidé de les contrôler explique 20 minutes.

    Ces derniers sortaient d’un anniversaire et se trouvaient dans la rue malgré le confinement. Ils ont d’abord insulté les policiers. Puis l’un des fonctionnaires a été attaqué par les quatre hommes a précisé le parquet. Un second policier a lui aussi été frappé en intervenant.

     

    Il a fallu l’arrivée de renfort pour que la situation soit maîtrisée. L’un des agresseurs a tenté de prendre la fuite en se débarrassant d’un ciseau à bois qu’il avait sur lui. Les policiers l’ont rattrapé et interpellé. Les trois autres mis en cause ont également été arrêtés et ils ont tous été placés en garde à vue. Ces derniers étaient tous alcoolisés.

    Un policier grièvement blessé à la main

    L’un des policiers souffre d’une grave blessure à la main et présentait une fracture ouverte précisent nos confrères. La victime a été opérée d’urgence dans la journée. Son ITT sera déterminée par la suite. Le second fonctionnaire de la BAC a été touché à un œil, une griffure au niveau de la cornée. Il s’est vu attribuer 10 jours d’ITT.

     

    Une enquête pour « violences aggravées sur personnes dépositaires de l’autorité publique » a été ouverte et confiée au commissariat de la ville.

    Dans un communiqué, le syndicat Alternative Police dénonce « l’explosion des violences commises contre les policiers »« S’en prendre aux forces de l’ordre ne doit donner lieu à aucune excuse » ajoute l’organisation syndicale.

    ACTU 17


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  • Dengue, paludisme, Covid et morsure de cobra… le chemin de croix d’un humanitaire britannique

    Un père de famille anglais bloqué en Inde à cause de la situation sanitaire fait face à de nombreuses difficultés.

    A partir de quel moment peut-on parler de miraculé ? Ian Jones, un humanitaire anglais de 49 ans peut sans aucun doute y prétendre. Ce père de famille britannique, qui a déjà survécu à la dengue, au paludisme et au Covid-19, a aussi été mordu par un cobra, dans l’Etat du Rajahstan, à l’ouest de l’Inde, rapporte le média anglophone The Times. Sa famille cherche désormais à mobiliser le grand public pour lever des fonds et lui permettre de rentrer en Angleterre.

     

    Ian Jones a été mordu par un cobra et admis à l’hôpital de Jodhpur, comme le raconte un médecin local. "Jones est venu nous voir la semaine dernière après une morsure de serpent. Dans un premier temps, on le soupçonnait d’être également positif au Covid-19 (pour la deuxième fois) mais il a été contrôlé négatif pour cela". A cause de la morsure de serpent qui est potentiellement mortelle, il est devenu aveugle et ses jambes sont paralysées, souligne la BBC. Son fils précise par ailleurs que l’humanitaire a déjà été touché par le paludisme, la dengue et le Covid-19 pendant son séjour en Inde.

    Ian Jones se trouvait en Inde pour organiser une structure nommée Sabirian. Celle-ci a pour objectif d’aider des artisans traditionnels du Rajasthan à exporter leurs productions au Royaume-Uni.  Pour l’aider à payer ses factures médicales mais aussi financer son retour sur l’île de Wight, en Angleterre, une cagnotte a été lancée sur le site GoFundMe. Près de 17.000 livres (19.000 euros) ont déjà été recueillis par ses proches.

    Capital

    Bien triste !


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  • Un enfant de 3 ans qui avait été confié à une femme dans un parc de Montauban, le temps que son père ne fasse son jogging, a failli être enlevé par une tierce personne qui passait par là.

    L'histoire aurait pu prendre une tournure plus sombre. Vendredi dernier, un père de famille qui souhaitait faire son jogging a décidé de laisser son fils de 3 ans à une inconnue dans un parc de Montauban (Tarn-et-Garonne). Or cette femme ne s'est pas aperçue que celui qu'on venait de lui confier était en train de partir avec une autre personne, totalement inconnue, comme le rapportent nos confrères de la Dépêche du Midi.

     

    Les faits se déroulent en fin d'après-midi dans un parc baptisé le cours Foucault. L'homme propose à une femme en train de surveiller ses deux enfants de garder un oeil sur son fils de 3 ans, le temps qu'il fasse son footing dans le parc.

    Une trentenaire sans domicile fixe

    Celle-ci accepte mais quelques minutes plus tard, une autre jeune femme s'approche du jeune garçon, le prend par la main avant de partir avec lui. C'est le père qui s'en rend compte le premier, accourt et récupère son fils dans la foulée.

    La femme soupçonnée d'avoir voulu enlever l'enfant, partie en courant, est rattrapée par la police juste après. Il s'agissait d'une trentenaire sans domicile fixe, victime de troubles psychologiques. Aux forces de l'ordre, elle expliquera qu'elle pensait que l'enfant s'était perdu, des propos jugés confus par les forces de l'ordre. Elle a été placée en garde à vue puis libérée samedi matin. Quant à la femme qui était chargée de garder l'enfant, elle a préféré prendre la fuite.

    BFM.TV

    Ce père est complètement stupide !


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  • Un homme en phase terminale avoue un meurtre vieux de 25 ans

    Johnny Dwight Whited, un homme malade en phase terminale, vient d’avouer un meurtre datant de 1995.

    Lorsque la police de l’Alabama a été contactée par Johnny Dwight Whited, elle ne savait pas à quoi s’attendre. Un agent a reçu un coup de téléphone en début de semaine de cet homme qui souhaitait avouer un meurtre non résolu vieux de 25 ans. «Il a juste immédiatement dit : "Hey, je veux avouer un meurtre que j’ai commis il y a des années. J’ai tiré et tué quelqu’un"», a expliqué au site Oxygen.com le policier Sean Mukaddam. Au départ, ce dernier n’a pas spécialement prix au sérieux cette confession, notamment parce que la personne au bout du fil disait ne pas se souvenir de la date exacte du crime. Mais en parlant avec lui, il a pu obtenir de nombreux détails sur ce jour-là, notamment sur l’endroit où le meurtre a eu lieu mais également des informations basiques sur la victime décrite comme un homme blanc.

     

    Pour vérifier les dires de cet homme, les agents ont donc fait un tableau de tous les homicides datant de cette époque et ont fini par identifier la victime comme étant un certain Christopher Alvin Daily, tué par balle le 26 avril 1995, ont annoncé les autorités dans un communiqué. Une fois l’identité découverte, Johnny Dwight Whited a accepté de retourner sur les lieux du crime mercredi avec la police. «Nous sommes allés dans une zone boisée et il a rejoué le crime en nous montrant où les voitures s’étaient garées à l’époque et ce qui s’est passé», explique Sean Mukaddam.

    Paris Match


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  • Un morceau de roche spatiale rare a été vendu à un collectionneur américain pour une petite fortune.

    La chance se joue parfois à peu de choses. Josua Hutagalung peut remercier le destin qui a fait tomber une météorite sur sa maison. L’homme de 33 ans, fabricant de cercueils en Indonésie a vu la roche qui serait âgée de 4,5 milliards d’années traverser le plafond de sa maison à Kolang, dans le Sumatra du Nord, une province d’Indonésie, rapporte The Sun. La vente de cette pierre particulièrement rare à un collectionneur américain lui a permis de toucher 1,4 million de livres sterlings (environ 1,57 million d’euros).

     

    Lorsque la pierre de la taille d’un ballon de football et pesant environ 2 kg a traversé le toit de tôle de sa maison, Josua Hutagalung travaillait devant chez lui. Le bruit de l’impact a été "si fort qu’il a fait trembler certaines parties de la maison", raconte l'homme. Quand il a soulevé la pierre qui s’était enfoncée dans le sol, elle était "encore chaude". Selon les experts, ce serait l’une des plus importantes météorites jamais découvertes. Elle pourrait même contenir des éléments sur l’origine de la vie.

    La météorite a été vendue à un expert américain du nom de Jared Collins. Elle est désormais entre les mains du Centre d'étude des météorites de l'Arizona State University. Selon les experts, il s’agirait d’une chrondite carbonée, une variété très rare. Avec l’argent gagné, Josua Hutagalung a décidé de prendre sa retraite, mais aussi de construire une nouvelle église à Kolang. "J'ai trois garçons mais j'ai toujours voulu avoir une fille. J'espère que cette météorite est un signe du ciel que j'aurai la chance d'en avoir une maintenant", espère encore optimiste le nouveau millionnaire.

    Capital


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  • Ce sont les enfants du couple d'octogénaires qui ont porté plainte ce jeudi pour "administration de substance nuisible" et "homicide involontaire".

    Les enfants d'un couple d'octogénaires malades du Covid et morts dans un hôpital des Yvelines ont porté plainte jeudi à Versailles, dénonçant la mise en place non concertée et injustifiée d'un protocole de soins palliatifs qui a, selon eux, tué leur parents, a appris ce samedi l'Agence France-Presse (AFP) auprès de leur avocate.

     

    Cette plainte pour "administration de substance nuisible" et "homicide involontaire" a été déposée jeudi au parquet de Versailles, a précisé Me Fanny Vial.

    Un protocole associant de la "morphine" et un sédatif

    Selon l'avocate, "les quatre enfants, dont un cardiologue et un pharmacien, ont appris brutalement le décès" les 27 et 28 mars de leurs parents, âgés de 87 et 89 ans. Les deux octogénaires avaient été hospitalisés le 20 mars pour un séjour dans l'unité "court séjour gériatrique" du centre hospitalier de Plaisir (Yvelines), trois jours après le début du premier confinement.

    Les enfants "ont par ailleurs été surpris d'un certain malaise ressenti auprès de soignants. Ils ont demandé le dossier médical et ont découvert que des soins palliatifs avaient été mis en place rapidement, via un protocole associant de la morphine", contre la douleur, "et de l'hypnovel", un sédatif, a rapporté l'avocate.

    "Le dossier médical ne semble justifier le recours à ce cocktail puissant, dont les doses augmentaient, que par la seule volonté de traiter un 'inconfort' des patients", a-t-elle ajouté.

    "Aucune communication à la famille"

    Dans une déclaration transmise à l'AFP, les quatre enfants affirment que "la mise en place de ces soins palliatifs n'avait fait l'objet d'aucune communication à la famille (contrairement à la législation en vigueur), mais surtout il apparaît qu'aucun diagnostic n'a été posé sur les patients dont l'état ne laissait pas apparaître la nécessité de tels protocoles".

    En déposant plainte, ils souhaitent que "le corps médical en désaccord avec ces protocoles de mise en place de soins palliatifs injustifiés rompent le silence et que des réponses judiciaires soient apportées face à ces dysfonctionnements manifestes".

    Contacté par l'AFP, le centre hospitalier de Plaisir n'a, pour le moment, pas donné suite à nos sollicitations.

    BFM.TV


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  • Un homme de 21 ans a été condamné ce vendredi à une peine de prison par la cour d’assises du Bas-Rhin, pour avoir tué un piéton de 73 ans durant un rodéo sauvage dans un parc de Strasbourg.

    L’accusé était jugé pour « violence avec usage ou menace d’une arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Cet homme âgé de 21 ans a écopé ce vendredi d’une peine de huit ans de prison, conformément aux réquisitions de l’avocat général, Eric Lallement.

    Les faits remontent au 8 décembre 2018. Ce jour-là, Nabil El Barkani avait mortellement percuté un homme de 73 ans qui promenait son chien dans le parc d’une cité de Strasbourg, en début de soirée. La voiture du mis en cause avait heurté la victime à une vitesse proche des 30 km/h explique Le Figaro. Le septuagénaire avait été déclaré mort sur place. L’auteur des faits avait quant à lui pris la fuite.

    La chambre de l’instruction avait requalifié les faits

    Le jeune conducteur venait d’obtenir son permis de conduire. Il a reconnu les faits durant son procès, expliquant qu’il voulait faire des glissades dans le parc pour s’amuser avec deux amis selon Les Dernières nouvelles d’Alsace« Un homme est mort et c’est de ma faute », a-t-il lâché lors du jugement qui avait débuté mercredi.

    Les magistrats instructeurs et le parquet avaient écarté, après un an et demi d’investigations, la thèse du meurtre ou des violences aggravées, pour retenir celle d’un homicide involontaire aggravé. Les parties civiles avaient alors fait appel de cette décision et la chambre de l’instruction avait retenu la qualification de violences volontaires aggravées, ce qui a renvoyé le suspect devant la cour d’assises.

     

    « La thèse de l’accident ne convenait pas. La cour d’assises a retenu la thèse du crime, c’était important pour eux de l’entendre », a réagi l’avocat des parties civiles, Me Christophe Cervantes, cité par Le Figaro. A l’inverse l’avocat de l’accusé, Me Slim Benchaabane, a fait part de son incompréhension« Je ne m’explique pas, ou alors par des considérations qui n’ont rien de juridique, ce quantum de peine ».

    ACTU 17

    J'espère que quelqu'un s'est occupé du chien !

    Huit ans de prison pour avoir tué un homme, ce n'est pas trop !


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  • Ils sont également accusés d’avoir blanchi environ 200 000 euros. Quatre des huit suspects ont été placés en détention provisoire.

    Huit Tchétchènes, âgés de 22 à 41 ans, ont été mis en examen vendredi à Strasbourg (Bas-Rhin) pour vol en bande organisé et escroquerie. Quatre d’entre eux ont été écroués, les quatre autres ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

    Ils sont soupçonnés d’avoir, depuis environ deux ans, volés des voitures de location dans l’Europe entière mais aussi d’avoir mis en place un système de blanchiment d’argent. Au total, les enquêteurs de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Strasbourg les soupçonnent d’avoir dérobé vingt voitures pour un préjudice d’environ 500 000 euros.

    L’enquête a commencé courant 2019 sur un renseignement donné aux limiers de la police judiciaire sur les agissements des membres de cette communauté installés dans la ville du Parlement européen. Les malfaiteurs sillonnaient les pays d’Europe et louaient des voitures sous de fausses identités avant de les maquiller et de les revendre à d’innocents particuliers.

    De l’achat d’or ou de cryptomonnaie

    « Ils avaient une préférence pour les voitures de luxe, BMW X6 et Mercedes, mais on trouve aussi des véhicules plus ordinaires », indique une source proche de l’enquête. L’argent mal acquis était réinvesti dans de l’achat d’or, déposé sur des comptes en banque ou servait à acheter de la cryptomonnaie.

    Les enquêteurs ont surveillé pendant de nombreux mois ces malfaiteurs, divisés en deux groupes : les voleurs et une famille d’escrocs notoires qui s’occupait du blanchiment. Les fonctionnaires de la brigade de répression du banditisme (BRB), épaulés par leurs collègues du le groupe interministériel de recherches (GIR 67), estiment que le groupe est parvenu à blanchir environ 200 000 €.

    Déjà écroués pour des faits similaires

    Lundi, onze suspects ont été interpellés à Strasbourg avant d’être placés en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire. Les forces de l’ordre ont saisi six véhicules volés durant l’opération. Les mis en cause sont tous déjà connus des services de police et ont même déjà été incarcérés pour des faits identiques. Durant leurs auditions, ces réfugiés politiques, ont tous gardé le silence.

    ACTU 17

    Déjà arrêtés et incarcérés mais libres !!!


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  • La façon de conduire de cet homme a inquiété les passants qui ont alerté la police. Le conducteur était complètement ivre. 

    Un homme a été interpellé la semaine dernière à la Roche-sur-Yon (Vendée) avec 3,94 grammes d’alcool par litre de sang raconte France Bleu. Il était 17 heures ce vendredi 13 novembre sur la place Napoléon lorsque des passants ont aperçu cet automobiliste avec deux autres hommes dans sa voiture.

    Vu sa façon de conduire, les passants ont préféré composer le « 17 » et alerter les forces de l’ordre. Deux motards de la police sont arrivés rapidement sur place. Les occupants du véhicule sont alors partis en courant mais le conducteur a pu être rattrapé.

    Sa voiture confisquée

    Ce dernier a fait l’objet d’un contrôle et l’éthylotest a parlé. Il était (sans surprise) positif. L’homme de 40 ans en état d’ivresse a ensuite été transporté à l’hôpital pour une prise de sang, avant d’être placé en cellule de dégrisement. Pour ne rien arranger, les policiers ont également constaté que le quadragénaire conduisait sans permis de conduire et sans assurance.

    Son taux d’alcool a été révélé ce jeudi. Cet habitant de la Roche-sur-Yon est désormais convoqué devant la justice. Il devra répondre de ses actes. En attendant, sa voiture a été immobilisée.

    ACTU 17


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  • Un homme de 94 ans s'est fait voler le contenu de son coffre d'une valeur de 40.000 euros, par trois hommes déguisés en faux policiers et agent des eaux.

    C'est une entourloupe bien connue des gendarmes. Jeudi soir, un retraité de 94 ans s'est fait dérober le contenu de son coffre-fort (bijoux, pièces d'or et argent liquide) qu'il gardait à son domicile de Sceaux par trois malfaiteurs, selon une information du Parisien.

    L'un d'eux s'est fait passer pour un agent des eaux. Il a sonné au domicile du retraité et lui a expliqué qu'il devait intervenir en urgence pour des travaux sur le réseau. Par la suite, ce sont deux faux-policiers qui sont intervenus chez la victime. Ils lui expliquent que l'agent des eaux est un escroc et qu'il a probablement été victime d'un vol.

    Un mode opératoire bien connu

    Les faux policiers sont entrés dans l'appartement en prétextant vouloir s'assurer que rien n'avait été volé. Le retraité leur indique alors l'emplacement du coffre. Les deux voleurs occupent la victime en lui faisant faire un tour de l'immeuble pour "une ronde de contrôle". C'est à ce moment-là que le faux agent des eaux a dû revenir pour vider le coffre.

    Le vol "fausse qualité" est bien connu. En début d'année, une octogénaire s'était fait voler 275.000 euros en espèces et lingots d'or par de faux policiers.

    BFM.TV


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  • Reconfinement : Émotion en Belgique après le suicide d'une coiffeuse forcée de fermer son salon

    Le suicide d'une jeune coiffeuse après la fermeture de son salon après le reconfinement a ému la Belgique.

    Alysson Jadin est ce que l'on pourrait appeler une victime collatérale du covid-19. Il y a quelques semaines, la coiffeuse belge de 24 ans partageait dans les médias son désarroi après la fermeture de son salon à Liège à cause du reconfinement contre le covid-19. A son compte depuis août, la jeune femme était en proie à d'importants problèmes financiers, mais refusait de baisser les bras. «Ma comptable m'a conseillé d'abandonner le mois dernier, mais j'ai dit non. Je vais faire ce qu'il faut, plus d'heures s'il le faut, car après si peu de temps, on n'annonce pas une faillite comme ça, après avoir mis tout ce qu'on avait dedans», avait-elle confié à RTL Info. Le 16 novembre, Alysson Jadin s'est donné la mort. «Aucune aide ne lui était accordée, pas même un geste. Ses charges, factures s'accumulaient. Elle ne voyait aucun échappatoire», a confié l'un de ses proches au JT de la chaîne RTL-TVI après le drame.

    L'hommage du Premier ministre

    Les hommages se sont multipliés après l'annonce de la mort de la jeune femme aux cheveux orange qui est devenue en Belgique le symbole des indépendants désoeuvrés par la fermeture de leur commerce. Des fleurs ont été déposés devant son salon de coiffure et le Premier ministre Alexander De Croo a évoqué le geste désespéré de la coiffeuse au Parlement. Ce suicide «nous a tous énormément touchés», a-t-il déclaré, ajoutant : «C'est clair que l'impact humain et psychologique de la deuxième vague (de la pandémie) est supérieur à celui de la première vague». Une cagnotte a été lancée pour éponger les dettes d'Alysson Jadin et permettre à des jeunes coiffeurs de venir travailler dans son salon, rapporte «La Meuse».

    La Belgique est le pays qui déplore le plus grand nombre de morts par rapport à sa population, avec 131 décès pour 100.000 habitants. Pour lutter contre la pandémie, le pays a décrété son deuxième confinement le 1er novembre. Il s'accompagne notamment de la fermeture des commerces jugés non essentiels et du télétravail obligatoire jusqu'à au moins le 13 décembre.

    Paris Match


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  • Une peine de 28 ans de réclusion criminelle a été prononcée vendredi soir contre la mère et le beau-père de David, mort noyé à 8 ans dans la baignoire de l'appartement familial près de Nantes, où le petit garçon a été maltraité pendant des mois.

    La peine est conforme aux réquisitions du parquet. "Il n'y a pas eu beaucoup de réelle émotion, de prise de conscience" de la part du couple qui a infligé à David ce qu'ils appelaient "la punition de baignoire", plongeant l'enfant nu, pieds et poings liés dans l'eau froide, a regretté l'avocate générale à l'issue de cinq jours de procès devant la cour d'assises de Loire-Atlantique.

    Des violences régulières

    Les récits glaçants des témoins et les débats n'ont pas permis d'expliquer précisément ce qui s'est noué dans le huis clos de l'appartement ce mercredi de janvier 2017 lorsque David est rentré de l'école. Frustrée par un appel de l'institutrice, la mère a décidé de punir son garçon scolarisé en classe de CE1 à Saint-Herblain puis le beau-père a infligé des violences qu'il avait déjà fait subir à David par le passé : flexions, coups de règle, gifles et la punition de la baignoire.

    Europe 1


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  • Un journaliste de France 3 a été arrêté et placé en garde à vue en marge des manifestations de la loi sur la sécurité globale. France Télévisions dénonce une "arrestation abusive".

    Une manifestation contre la loi de sécurité globale a eu lieu ce mardi 17 novembre. Cependant, des heurts ont marqué ce rassemblement qui a eu lieu devant l’Assemblée nationale. Après des tirs de feux d’artifice, les force l’ordre ont notamment fait usage de bombes lacrymogènes. Un journaliste de France 3 aurait été interpellé alors qu’il filmait l’intervention des policiers annonce la chaîne. Il aurait par la suite passé la nuit et la matinée en garde à vue. "Je me suis retrouvé à un endroit où sept personnes avaient été interpellées, rue de Bellechasse. J’avais ma carte de presse et je filmais la scène avec mon téléphone. Et là, un officier, visiblement énervé, m’a interpellé. Il m’a invectivé et m’a demandé de m’asseoir auprès des autres personnes interpellés." explique-t-il.

     

    "J’ai néanmoins eu un ‘rappel à la loi’. Les policiers m’ont reproché de ne pas m’être ‘dispersé après sommation’ lorsqu’ils tentaient de disperser la manifestation. Mais comme je suis arrivé sur les lieux une heure après la dispersion du mouvement, on ne m’a au final jamais fait de sommation. Et tous les policiers que j’avais croisés m’ont laissé passer. J’étais au mauvais endroit au mauvais moment." poursuit-il, précisant qu’aucune charge n’a été retenue.

    France Télévisions condamne fermement cette interpellation qu’elle considère comme une atteinte à la liberté de la presse. "La direction de France 3 Paris Île-de-France condamne avec la plus grande fermeté cette arrestation abusive et arbitraire d’un journaliste dans l’exercice de son travail et apporte bien sûr son total soutien à notre confrère." indique Fabrice Goll, le directeur régional de France 3 Paris Île-de-France.

    télé 7 jours

    Plus facile d'arrêter un journaliste que les gentils trafiquants de drogue !


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  • Un Lyonnais de 20 ans, qui faisait l’objet d’un mandat de recherche depuis deux ans, a été arrêté en début de semaine pour la violente agression d’une prostituée

    Deux ans de recherche pour finalement lui mettre la main dessus. Un jeune homme de 20 ans, domicilié dans le 8e arrondissement de Lyon, a été interpellé en début de semaine lors d’un contrôle dans les transports en commun à la gare de Perrache. L’individu, qui faisait l’objet d’un mandat de recherche, est suspecté d’avoir violemment agressé une prostituée de 44 ans à Chassieu, près de Lyon ( Rhône).

     

    Les faits remontent au 30 décembre 2018. La quadragénaire, qui travaillait rue du Progrès, a été agressée dans son véhicule, précise ce jeudi la Sûreté du Rhône. « Sans motif », le jeune homme, alors âgé de 18 ans, est monté à bord de la fourgonnette pour pousser la victime sur le lit et la mettre en joue avec une arme de poing.

    L’ADN du suspect retrouvé sur une dent

    Frappée à coups de crosse au front, elle s’est débattue parvenant même à repousser son agresseur, qui a fini par prendre la fuite. Quelques minutes après, la prostituée a découvert dans son véhicule, une dent susceptible d’appartenir au suspect.

    Une recherche ADN a ensuite permis d’identifier le jeune homme, précisent les enquêteurs. Entendu mardi par les policiers, il a nié toute implication dans cette agression malgré la reconnaissance formelle de la victime.

    20 Minutes


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  • Lorenzo, 19 ans, a été roué de coups sur un parking de Lattes, près de Montpellier (Hérault), le 24 août dernier. Le jeune homme se trouve toujours dans un état grave en réanimation et sa famille fait part de sa colère, réclamant justice.

    Paraplégique jusqu’à la poitrine alors que ses bras et ses mains ne fonctionnent plus normalement, Lorenzo est toujours hospitalisé au département anesthésie et réanimation du CHU Lapeyronie de Montpellier. Le jeune homme de 19 ans respire grâce à une trachéotomie et ses poumons ne fonctionnent plus seuls raconte Midi Libre qui a interrogé sa mère, Élise.

    Cette dernière a été contrainte d’arrêter de travailler pour s’occuper de son fils qui n’est plus autonome. Sa date de sortie de l’hôpital n’est pas encore connue. « Il a déjà fait cinq infections pulmonaires, il a failli mourir deux fois depuis qu’il est là. Il y a aussi le risque du Covid », explique-t-elle au quotidien.

     

    Après son agression ultra-violente qui s’est déroulée le 24 août dernier, Lorenzo a passé seize jours dans le coma. Le jeune homme de 19 ans a été roué de coups sur le parking de la piscine de Lattes vers 04h30 du matin. Il se trouvait à cet endroit avec trois de ses amis, après en avoir déposé un autre chez lui. Sa mère a été alertée vers 6 heures du matin alors que son fils avait déjà été transporté à l’hôpital. Elle a ensuite découvert qu’il était dans un état grave.

    « Ils se sont acharnés à deux sur lui »

    « Son ami m’a confié que Lorenzo, alors qu’il était allongé au sol, disait qu’il ne sentait plus son corps, mais qu’on ne l’a pas cru. Comme il n’avait pas de [traces de] coups, pas de sang, la police pensait qu’il était ivre, alors qu’il était déjà en insuffisance respiratoire », détaille Élise à nos confrères. Les amis de Lorenzo qui ont assisté à sa violente agression, ont raconté qu’ils étaient ensemble assis à écouter de la musique sur le parking et que Lorenzo dansait, lorsque deux jeunes individus qui venaient d’une autre soirée sont arrivés. La situation a ensuite dégénéré selon le récit des amis de la victime.

     

    Les deux jeunes ont appelé d’autres amis. Des « renforts » ont alors rappliqué Sept autre personnes selon les éléments de l’enquête donnés par le quotidien, dont trois jeunes filles. « Mon fils a été immédiatement poussé dans un fossé et ils se sont acharnés à deux sur lui. Il y en a un qui lui a donné des coups sur la nuque avec son genou ou son tibia », affirme Élise.

    Depuis cette agression, la famille du jeune homme vit un cauchemar. Ce dernier a eu notamment quatre cervicales fracturées, notamment la C7 qui a été très endommagée. Sa moelle épinière a également été touchée.

    Des suspects remis en liberté !

    Un juge d’instruction a été chargé de l’enquête. Trois suspects ont été placés en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention (JLD), avant d’être remis en liberté sous contrôle judiciaire sur réquisition du parquet, quatre jours plus tard. « C’est écœurant, l’un d’eux a même fêté son anniversaire le lendemain. Je veux que justice soit faite à hauteur de l’état de mon fils. On ne lâchera rien », a prévenu la mère de la victime.

    « Pour ma part je suis exténuée, au bout du rouleau, et je ne vous parle pas du reste de la famille. Malgré ça on doit être fort pour arriver à affronter au mieux cette terrible réalité », explique Élise sur Facebook, dans un message posté en début de semaine. « C’est très lourd, on a beau me dire qu’il y aura un après et je n’en doute pas, mais en attendant c’est juste inhumain de voir son fils dans cet état alors qu’il était en pleine santé. Il avait un travail, une vie tranquille et heureuse ».

    ACTU 17


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  • L’homme avait tout d’un livreur Uber Eats mais ne livrait pas à manger. Les policiers l’ont surpris en pleine transaction de drogue.

    Le confinement n’arrange pas les affaires des dealers. Comme lors de la première vague de coronavirus, ils sont contraints de trouver d’autres méthodes pour écouler la drogue. Les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) étaient en patrouille ce lundi vers 17 heures à Nancy (Meurthe-et-Moselle), lorsqu’ils ont aperçu deux hommes dans la rue Saint-Georges qui discutaient ensemble.

    L’un était à vélo et portait un sac de livraison Uber Eats. A première vue, il livrait un repas à un client. Il était d’ailleurs en train de lui montrer quelque chose dans son sac. Puis lorsqu’il a vu les policiers qui s’approchaient, il a lâché ce qu’il tenait. Les fonctionnaires de la BAC ont mis leur brassard « Police » et ont procédé au contrôle des deux suspects.

    1,4 kilos d’herbe de cannabis et près de 1500 euros

    A l’intérieur de ce sac dont se dégageait une forte odeur, il n’y avait aucun plat mais seulement quelques dizaines de grammes d’herbe de cannabis, conditionnés dans des sachets plastiques.

    La drogue était prête à la revente et cet homme âgé de 35 ans était en fait un livreur « Uber shit ». Un terme devenu courant dans le jargon policier, qui désigne ces dealers utilisant des vêtements et sac d’Uber ou de Deliveroo, pour apporter la drogue à leurs clients, en espérant être discrets. Son client du jour, âgé de 19 ans, a reconnu qu’il devait acheter 10 grammes de cannabis.

     

    Le dealer pris en flagrant délit a été interpellé et placé en garde à vue. Il est déjà connu des services de police. Une perquisition a été réalisée à son domicile et les policiers ont découvert 1,4 kg d’herbe de cannabis au total, ainsi que 1500 euros en numéraire. L’enquête se poursuit.

    En août dernier, les policiers de la Brigade territoriale de contact (BTC) du VIIe arrondissement de Paris avaient interpellé un autre livreur de drogue avec une sacoche Deliveroo. A l’intérieur : 57 pochons de résine et d’herbe de cannabis ainsi que la somme de 1300 euros en numéraire.

    ACTU 17

    Pas facile le confinement pour ces pauvres livreurs de drogue !


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  • Un gendarme a mis fin à ses jours dans son logement de service. Il a été retrouvé mort ce mercredi matin.

    Tragique nouvelle pour la gendarmerie nationale. Un officier du groupement blindé de gendarmerie mobile (GBGM) de Versailles-Satory (Yvelines) a été retrouvé mort dans son logement de service rapporte La Voix du Gendarme. Le magazine spécialisé indique que le militaire aurait mis fin à ses jours en utilisant son arme de service. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.

    Le défunt était officier supérieur, membre de l’état-major de l’unité blindée. Âgé de 46 ans, il laisse une femme et trois enfants.

     

    Le militaire vivait seul, étant éloigné géographiquement du reste de sa famille. Il avait débuté sa carrière dans l’infanterie de marine et avait participé à plusieurs opérations extérieures en Afghanistan ainsi qu’au Kosovo. En outre, il était très décoré,  a été nommé dans l’ordre national de la Légion d’honneur le 31 octobre dernier précisent nos confrères.

    Le quadragénaire avait travaillé en gendarmerie mobile à Mont-de-Marsan (Landes) mais également en Guyane et en gendarmerie départementale, en Vendée.

     

    Il s’agirait du 8ème suicide dans les rangs de la gendarmerie nationale depuis le début de l’année. A la fin du mois de septembre, une major de 49 ans s’est donné la mort à son domicile situé à Bourg-en-Bresse (Ain). Deux semaines plus tôt, une gendarme âgée de 31 ans, Maréchal des logis chef, a mis fin à ses jours en utilisant son arme de service en Alsace.

    ACTU 17


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  • Une femme est décédée mardi, une semaine après avoir été grièvement brûlée dans une voiture à Bully-les-Mines dans le Pas-de-Calais, des faits pour lesquels son compagnon a été mis en examen et écroué, a-t-on appris mercredi auprès du parquet de Béthune.

    Une information judiciaire ouverte avant le décès 

    Dans cette affaire, une information judiciaire avait été ouverte avant le décès de la victime pour tentative d'homicide par conjoint et son compagnon placé en détention, a indiqué le procureur de la République de Béthune, Thierry Dran. "Le mis en cause contestait tout caractère intentionnel de l'acte lors de l'enquête de flagrance", a précisé Thierry Dran.

    Selon La Voix du Nord, dans la nuit de mardi 10 à mercredi 11 novembre, vers 1h du matin, le compagnon de cette jeune femme l'avait aspergée d'essence avant d'allumer le feu. Transférée au services des grands brûlés du CHR de Lille, la victime, trentenaire comme son compagnon, avait été plongée dans le coma.

    Au moins 68 féminicides depuis le début de l'année

    Avec ce cas, au moins 68 féminicides se sont produits depuis le début de l'année, selon un décompte mené par l'AFP. En 2019, 146 femmes ont été tuées en France par leur compagnon ou ex-compagnon, soit 25 de plus que l'année précédente, selon les chiffres officiels.

    Europe 1


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  • Deux jeunes hommes comparaîtront le 21 décembre prochain pour « rébellion » et « provocation à la rébellion », au tribunal correctionnel de Grenoble (Isère).

    Ils auraient dû être jugés lundi 16 novembre mais ils n’ont pas pu être extraits de leur cellule et conduits devant les magistrats, faute de personnels disponibles. Les deux suspects ont été remis en liberté car leur titre de détention provisoire était devenu caduc.

     

    Le box du tribunal de Grenoble (Isère) est resté vide, lundi 16 novembre. Pourtant, deux jeunes hommes de 18 et 20 ans auraient dû être jugés pour « rébellion » et « provocation à la rébellion ».

    Placés en détention provisoire dimanche 15 novembre, ils avaient été interpellés à Échirolles, deux jours plus tôt, alors que la police tentait de disperser un groupe de perturbateurs, relate Le Dauphiné Libéré.

    Manque de personnels

    Mais les suspects n’ont pas pu être présentés à l’audience. En effet, personne n’était disponible pour les conduire de leur cellule jusqu’au palais de justice. D’après le quotidien régional, ni l’Autorité de régulation et de programmation des extractions judiciaires (ARPEJ), ni la gendarmerie ne disposaient des personnels pour cette mission.

    La présidente du tribunal correctionnel a donc été contrainte d’accorder aux suspects leur remise en liberté, constatant « la caducité du mandat de dépôt ». Les deux hommes ne sont pas pour autant innocentés. Leur jugement a été reporté au 21 décembre prochain.

    Ouest-France

    Mieux vaut en rire  happy


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