• Le requin a arraché la jambe de la victime, qui a été retrouvée inconsciente sur une plage près d'un restaurant. La baignade et les activités nautiques ont été interdites pendant 48 heures.

    Une femme de 39 ans est morte après avoir été attaquée par un requin à Saint-Martin, jeudi 10 décembre dans la soirée, dans les Antilles françaises, a appris vendredi 11 décembre franceinfo auprès de la gendarmerie. La victime a été retrouvée inconsciente sur une plage près d'un restaurant, sur la Baie Orientale de l'Île. Les secours n'ont rien pu faire, la victime ayant eu une jambe arrachée par le requin et ayant perdu trop de sang.

    Pour éviter un autre accident, la Collectivité de Saint-Martin a publié un arrêté qui précise que la baignade et les activités nautiques sont strictement interdites pendant 48 heures sur toutes les plages de son territoire, y compris les plages des îlets Pinel, Tintamarre et Caye Verte rapporte Guadeloupe La 1ère. On ne connait pas encore les circonstances exactes de cette attaque de requin

    franceinfo


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  • Le drame de la petite Jada, 5 ans, tuée par une amie qui jouait avec une arme

    La petite Jada a tragiquement succombé à une blessure par balle. La fillette de 5 ans se trouvait avec des amis dans une maison de Lithonia, en Georgie, aux Etats-Unis, lorsqu’elle a perdu la vie. Le «Atlanta Journal-Constitution» explique que Jada était en train de jouer avec une amie dans une chambre lorsque la tragédie a eu lieu. La deuxième fillette a fini par tirer sur sa camarade, en pleine tête. Si les autorités privilégient la piste accidentelle, une enquête a malgré tout été ouverte. La baby-sitter qui surveillait les enfants, une femme de 68 ans, - la grand-mère de l’un des petits – a été interrogée. Lorsque la police est arrivée sur place, ils ont trouvé cette femme tentant d’empêcher le sang de couler du visage de Jada. Elle a été prononcée morte un peu plus tard à l’hôpital. Deux autres enfants se trouvaient au domicile au moment du drame.

     

    D’après les premiers éléments de l’enquête, l’arme appartenait à la mère de la petite fille qui a tiré, une femme qui fait partie de l’armée. C’est dans la chambre de ses parents qu’elle a trouvé l’objet, l’a caché sous son lit, et l’a ensuite prise avec Jada pour aller jouer dans une autre pièce. La fillette a expliqué à la police qu’elle ne pensait pas que l’arme était chargée et qu’elle a «seulement appuyé un tout petit peu sur la gâchette».

    "A cause de ce triste accident une mère est sans sa jolie petite fille de 5 ans pour les fêtes de Noël"

    Un homme, Chad Brooks, dont le lien avec les enfants n’a pas été dévoilé, a été arrêté dans cette affaire. L’homme de 36 ans est accusé d’homicide involontaire et cruauté sur des enfants après avoir laissé l’arme sans surveillance et chargée. La chaîne WAGA-TV croit savoir que ce suspect serait le beau-fils de la baby-sitter présente sur les lieux. La maire de Jada, Keisha Walker, souhaite que d’autres adultes soient inculpés dans cette enquête. «La baby-sitter a montré une incroyable négligence lorsque ma fille a été tuée», a-t-elle affirmé. «A cause de ce triste accident, une mère est sans sa jolie petite fille de 5 ans pour les fêtes de Noël. Jada Marie était une belle petite fille aimante qui a été tuée par négligence de la part de sa baby-sitter et d'autres personnes en qui elle avait confiance. Jada a été mortellement abattue par son amie de 5 ans», peut-on lire sur la page de collecte de dons ouverte par la famille de la jeune victime.

    Paris Match


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  • La brigade des affaires financières de Nantes a interpellé trois hommes, soupçonnés d'avoir berné au moins 138 personnes sur le célèbre site de petites annonces

    Ils ont été présentés à un juge et placés sous contrôle judiciaire, jeudi. En début de semaine, trois hommes soupçonnés d’une vaste escroquerie à plus d’un million d’euros sur Le Bon Coin ont été interpellés à Nantes et en Vendée par les enquêteurs de la brigade financière de Nantes. D’après la police, les suspects auraient ouvert en ligne pas moins de 150 comptes bancaires à partir de documents récuperés auprès de particuliers, avec qui ils prenaient contact via le célèbre site Internet. Une première plainte avait été déposée il y a un an.

     

    Les victimes, cherchant un logement ou un emploi, étaient séduites par des annonces attractives et envoyaient RIB et copies de leur pièce d’identité sans se douter de la supercherie.

    Transferts vers le Bénin

    En fait, ces documents permettaient ensuite aux escrocs d’usurper l’identité de ces personnes pour en arnaquer d’autres (138 ont été recensées) puis retirer des espèces ou procéder à des achats. Le préjudice total a été évalué à 1.388.000 euros, détaille la police.

    « Lors des perquisitions, des biens achetés à l’aide des cartes bancaires obtenues frauduleusement étaient découverts ainsi que des documents bancaires des comptes ouverts en ligne », précise la police. Des bordereaux de transfert d’argent vers le Bénin ont aussi été retrouvés.

    20 Minutes


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  • Policier tué à Villeneuve d’Ascq : la conductrice remise en liberté après 3 semaines de prison

    Romain B. était âgé de 36 ans et était le père d'une petite fille

    Romain B. était âgé de 36 ans lorsqu’il est décédé en service, dans un grave accident de la circulation à Villeneuve-d’Ascq (Nord), alors qu’il se rendait sur une intervention de police. Le drame s’est produit vers 23h30 ce vendredi 4 septembre, à Villeneuve-d’Ascq. Deux policiers ...
     

    La conductrice qui a percuté une voiture de police à Villeneuve d’Ascq (Nord) ce vendredi 4 septembre, tuant un fonctionnaire, a été remise en liberté trois semaines après le drame. Un syndicat de police fait part de sa colère.

     

    La femme de 26 ans qui était au volant de la voiture qui a violemment percuté un véhicule de police à Villeneuve d’Ascq le 4 septembre dernier, est sortie de prison apprend-on ce jeudi. Cette dernière qui a été mise en examen pour homicide involontaire aggravé et blessures involontaires aggravées, a été laissée libre sous contrôle judiciaire vingt jours après avoir été placée en détention provisoire.

    Cette nuit-là, deux policiers se trouvaient dans ce véhicule sérigraphié. Vers 23h30, ils se rendaient sur une intervention – un cambriolage en cours – avec les gyrophares allumés, lorsqu’à un carrefour sur le boulevard de Mons, leur voiture a été emboutie par celle de la conductrice. Romain B. était assis sur le siège passager. Âgé de 36 ans et père d’une petite fille, il a été déclaré mort sur place. Son collègue Julien a été blessé.

     

    La mise en cause était en état d’ivresse au moment des faits et avait consommé du cannabis. Les résultats des analyses toxicologiques n’ont pas encore été dévoilés. Elle conduisait également sans permis de conduire.

    Une « justice à deux vitesses »

    La nouvelle de sa remise en liberté a provoqué une vague d’indignation dans les rangs policiers, alors qu’un mouvement de colère traverse l’institution depuis plusieurs jours.

    Le syndicat Alliance Police Nationale a réagi dans un tract ce jeudi et dénonce une « justice à deux vitesses ». La mise en cause « passera Noël en famille »« la veuve et les orphelins de Romain passeront Noël sans leur mari et père », constate amèrement l’organisation syndicale.

    ACTU 17

    Je comprends la colère des flics !


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  • Le président égyptien Sissi a reçu la grand-croix de la Légion d’honneur lors de sa visite en France

    Lors de la visite d’Abdel Fattah al-Sissi à Paris lundi, Emmanuel Macron lui a remis la grand-croix de la Légion d’honneur. Le président égyptien est souvent décrié par les défenseurs des droits humains pour la répression qu’il mène dans son pays.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/le-pr%C3%A9sident-%C3%A9gyptien-sissi-a-re%C3%A7u-la-grand-croix-de-la-l%C3%A9gion-d-honneur-lors-de-sa-visite-en-france/ar-BB1bOOZl?ocid=msedgntp


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  • Sept hommes soupçonnés d'appartenir à une importante organisation criminelle ont été interpellés dans les Bouches-du-Rhône, lundi 7 décembre. C'est l'aboutissement d'une longue enquête commencée après les vols de deux bateaux dans le Gard, à l'été et à l'automne 2020. Ce jeudi 10 décembre, les suspects ont été présentés devant un juge d'instruction.

    Alertés après les vols de deux bateaux dans le Gard, les gendarmes ont probablement mis le grappin sur de gros poissons. Sept hommes, âgés de 17 à 32 ans, ont été interpellés à Marseille et Aubenas (Bouches-du-Rhône) puis placés en garde à vue lundi 7 décembre, lors d'une vaste opération des forces de l'ordre, rapporte France 3 Occitanie.

    Les interpellés sont soupçonnés d'avoir volé deux bateaux d'une valeur totale supérieure à 200 000 €, d'après Midi Libre. Environ 200 gendarmes ont été mobilisés lors de cette opération qui a duré plusieurs heures. Elle s'est déroulée dans le 15e arrondissement de Marseille, à l'intérieur d'une friche industrielle qui abritait cette entreprise supposée criminelle. Une centaine de voitures volées, des pièces détachées automobiles et des moteurs de bateaux y ont été découverts, d'après le quotidien régional.

    Un vaste réseau de vol en bande organisée 

    Il s'agit de l'aboutissement d'une longue enquête commencée au cours de l'été lorsqu'une plainte a été déposée pour le vol d'un bateau, au Grau-du-Roi (Gard). Lors de leurs investigations, les gendarmes ont découvert qu'ils avaient affaire à une organisation criminelle agissant à l’international. « Les investigations menées en matière de téléphonie et de surveillance permettent d’établir une équipe structurée autour d’une tête de réseau avec deux bras droits et des petites mains qui vont commettre des vols de bateaux et des vols de voitures », expose le lieutenant Anthony Lahmal, cité par France 3.

    En tout, une cinquantaine de personnes serait impliquée dans ce vaste réseau de vol en bande organisée, opérant dans trois pays différents. Parmi les suspects interpellés lundi, certains étaient de nationalité algérienne, précise Midi Libre. Ce qui laisse supposer un trafic de pièces automobiles, de voitures et de bateaux entre la France et l'Algérie.

    Selon nos confrères, le parquet de Nîmes a indiqué mercredi 9 décembre qu'une information judiciaire serait ouverte pour « vol et tentative de vol en bande organisée et association de malfaiteurs ». Ce jeudi 10 décembre, les suspects ont commencé à être présentés devant un juge d'instruction. Ils encourent quinze ans de prison, d'après France 3.

    Ouest-France


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  • Présenté au parquet ce jeudi, le suspect âgé de 44 ans, devrait être mis en examen du chef d’homicide volontaire

    Une énième dispute qui a viré au drame. Mardi soir à Soulac-sur-Mer (Gironde), un homme âgé de 44 ans a porté des coups de poing au visage de son oncle âgé de 83 ans « ce qui a entraîné son décès », indique ce jeudi le parquet de Bordeaux à 20 Minutes. « L’auteur explique avoir arrêté de le frapper lorsqu’il a constaté qu’il était inerte, précise le parquet. Il dit ne jamais avoir eu l’intention de le tuer et avoir agi à la suite d’une dispute. »

    La sœur du défunt et mère du mis en cause, explique que son fils « a porté des coups à son frère et qu’elle n’est pas parvenue à l’arrêter » précisant qu’il était « alcoolisé ». Alertée, la compagnie de gendarmerie de Lesparre est rapidement intervenue sur les lieux.

    Réquisitions de détention provisoire

    Les deux individus sont présentés au parquet ce jeudi après-midi en vue d’une ouverture d’information judiciaire du chef d’homicide volontaire pour l’homme, avec réquisitions de détention provisoire, et du chef d’omission de porter secours pour sa mère, avec réquisitions de contrôle judiciaire, précise le parquet.

    La victime était une personnalité très impliquée dans la vie associative de la commune. Selon Sud Ouest, les disputes étaient fréquentes entre les deux hommes.

    20 Minutes


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  • Un couple soupçonné de violences sur trois petites filles a été interpellé le 2 décembre dernier à Sallaumines (Pas-de-Calais). Il s’agit de la mère et du beau-père des enfants. Ce sont des professeurs qui avaient donné l’alerte après avoir découvert des traces de coups.

    Un couple a été interpellé le 2 décembre à Sallaumines (Pas-de-Calais). Il s’agit de la mère et du beau-père de trois fillettes, âgées de trois, six et onze ans. Le couple est soupçonné de violences sur ces dernières, rapporte Actu Pas-de-Calais mercredi 9 décembre. Des traces de coups ont été découvertes sur les fesses et les têtes des trois fillettes. Une source judiciaire indique au site d'actualité locale qu'elles auraient également été placées sous une douche froide toutes habillées lorsqu'elles n'obéissaient pas.

    Les enseignants de l'école dans laquelle les trois fillettes sont scolarisées ont fait des signalements. Ils avaient notamment remarqué des traces de coups sur le corps de leurs élèves. Ils avaient également constaté un manque d'hygiène et la présence de poux.

    Convoqués devant la justice en juillet

    Les policiers s’étaient alors rendus au domicile du couple. Ils y avaient découvert une habitation dont certains murs étaient recouverts d’excréments. Les petites filles auraient dormi dans des lits sans draps et ne n'auraient été nourries qu'avec des pâtes blanches alors que le couple aurait commandé des plats à emporter.

    Le couple a été mis en garde à vue et les fillettes ont été placées provisoirement. L'homme de 27 ans et la femme de 30 ans nient les faits. Ils seront jugés devant le tribunal judiciaire de Béthune le 6 juillet prochain.

    Ouest-France


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  • Espagne: trois morts dans l'incendie d'un entrepôt où vivaient des migrants

    Au moins trois personnes sont mortes et une vingtaine d'autres ont été blessées dans l'incendie mercredi soir d'un entrepôt industriel abandonné près de Barcelone où vivaient des migrants dans des conditions très précaires.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/espagne-trois-morts-dans-l-incendie-d-un-entrep%C3%B4t-o%C3%B9-vivaient-des-migrants/ar-BB1bOkMW?ocid=msedgntp


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  • Les gendarmes de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) ont découvert deux corps, morts par arme à feu. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un féminicide, suivi d’un suicide.

    Un couple d’octogénaires, retrouvés morts par arme à feu, a été découvert à son domicile près du village de Dauphin (Alpes-de-Haute-Provence), a indiqué jeudi 10 décembre le procureur de Digne-les-Bains selon qui l’hypothèse d’un féminicide suivi d’un suicide est privilégiée.

    Le premier corps a été retrouvé dans la maison et le second dans le jardin de la propriété située dans un lotissement. Selon les premières constatations, ce serait l’homme âgé de 86 ans qui aurait tué la femme de 81 ans avant de se donner la mort.

    Une enquête ouverte

    La brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Forcalquier a été chargée de l’enquête ouverte pour « homicide volontaire » a indiqué le procureur Rémy Avon, précisant que les autopsies des deux corps auraient lieu vendredi et des examens balistiques dans les semaines à venir.

    En 2019, 146 femmes avaient été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, soit 25 de plus que l’année précédente, selon les chiffres officiels.

    Ouest-France


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  • La victime, âgée de 24 ans, avait consommé du GBL, une drogue de synthèse

    Un homme d’une quarantaine d’années a été mis en examen ce lundi à Nice pour homicide involontaire, non-assistance à personne en danger, détention, offre ou cession non autorisée de stupéfiants, et placé en détention provisoire après le décès d’un de ses invités, rapporte Nice-Matin ce jeudi.

     

    Le drame s’est produit le 30 novembre au cours d’une « partie fine » entre cinq hommes, dans un appartement du boulevard Gorbella, précise le quotidien local. La victime, âgée de 24 ans, était décédée à l’arrivée des pompiers, dans la soirée. Elle se serait sentie mal dès l’après-midi, sans que l’alerte ne soit donnée, après avoir consommé du GBL.

    Solvant industriel

    Depuis quelques années, le GBL (gamma-butyrolactone), un solvant industriel, est détourné à des fins récréatives. Surdosé ou mélangé avec de l’alcool, il peut entraîner la mort.

    Les enquêteurs ont également retrouvé dans l’appartement d’autres drogues de synthèse comme du GHB, du « cristal meth » et des gélules de 3MMC. Des analyses toxicologiques et une autopsie sont en cours pour déterminer plus précisément les causes de la mort du jeune homme.

    20 Minutes


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  • Les médecins du SMUR n’ont pas réussi à la sauver, l’adolescente est malheureusement décédée.

    Terrible drame à Teyran, à une quinzaine de kilomètres de Montpellier (Hérault), ce mardi soir vers 21h30. Une jeune fille de 13 ans a été retrouvée pendue à un arbre dans la propriété d’un lotissement de la route de Vendargues, relate le Métropolitain.

    Plusieurs personnes sont parvenues à détacher la fillette qui a été ramenée dans une maison, afin de pouvoir recevoir les premiers secours et en attendant les pompiers et le SMUR. Ces derniers sont rapidement arrivés et ont tenté de la réanimer. Malgré les massages cardiaques et les multiples tentatives, l’adolescente a été déclarée morte à 22h30.

     

    Une enquête a été ouverte et confiée aux gendarmes de Castelnau-le-Lez qui devront déterminer les circonstances exactes de ce drame. La piste du suicide a été confirmée précise le média local. La famille de la jeune fille est sous le choc.

    Chaque année, près de 10 500 personnes décèdent par suicide en France.

     

    Si vous souffrez d’idées suicidaires, vous pouvez contacter 7j/7 SOS Suicide Phénix de 13h à 23h au 01 40 44 46 45. Les appels sont confidentiels et anonymes.

    ACTU 17


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  • Adolescente roumaine séduite par un "Lover Boy" proxénète, Mihaela Miloiu a été tuée et défigurée sous les coups, sur un trottoir en Suisse où elle était prostituée: le procès du client français accusé de son meurtre, qu'il nie, s'est ouvert mercredi à Besançon.

    Alexandre Verdure, arrêté à l'issue d'une enquête au long cours, est jugé pour "homicide volontaire". Il encourt 30 ans de réclusion criminelle.

    "Ce n'est pas moi qui l'ai tuée": cheveux mi-long coiffés en arrière, l'accusé a de nouveau contesté être à l'origine de la mort de Mihaela Miloiu à l'ouverture de son procès.

    Cet agent de sécurité de 33 ans, travaillant en Suisse et domicilié à Mouthe (Doubs) avec sa compagne et son fils au moment des faits, avait reconnu avoir eu une relation tarifée avec la jeune Roumaine, avant selon lui qu'elle soit sauvagement tuée par des individus non identifiés.

    "Il a expliqué qu'il avait transporté le corps sous la contrainte, mais qu'il ne l'avait pas tuée", a précisé son avocate, Me Emmanuelle Huot.

    "Mais il ne dit rien, ni sur leur signalement, ni sur leur véhicule, ni sur l'arme utilisée", avait relevé pendant l'instruction le procureur Etienne Manteaux, avocat général au procès, soulignant les "multiples versions" livrées par M. Verdure.

    Par ailleurs, seul son ADN a été retrouvé sur la victime, ainsi que sur le lieu de la découverte du corps.

    - Violents proxénètes -

    L'ombre des violents proxénètes roumains qui exploitaient Mihaela en Suisse a plané mercredi sur les débats, bien que les investigations des gendarmes de la section de recherche (SR) de Besançon les aient mis hors de cause concernant le meurtre. 

    Placés sur écoute dans le cadre d'une autre enquête, pour proxénétisme, les membres du réseau semblaient s'étonner de la disparition de Mihaela et leurs téléphones n'auraient pas "borné" près du lieu du meurtre.

    Une analyse du dossier vivement contestée par les avocats de la défense, Me Emmanuel Huot et Me Sylvain Cormier: "Pour des gens qui recherchent activement quelqu'un, ils n'ont pas appelé frénétiquement son téléphone".

    Il ont aussi relevé que d'après certaines écoutes téléphoniques, "elle voulait partir, elle avait l'intention de fuguer". Un mobile possible pour vouloir la tuer.

    L'histoire "triste" de Mihaela Miloiu, 18 ans, c'est celle "d'une jeune fille qui tombe sur un proxénète de la pire espèce, qui la prostitue en Suisse, et finit sous les coups d'un homme", déplore l'avocat de sa famille, Me Jean-Baptiste Jacquenet-Poillot.

    Adolescente d'une famille très modeste habitant près de Bucarest, elle est encore au collège lorsqu'elle est séduite par un "Lover boy". "Ces types abordent les adolescentes au collège, ils font en sorte qu'elles tombent amoureuses d'eux et les convainquent de se prostituer", a témoigné à la barre le directeur d'enquête de la section de recherche.

    - "L'inconnue du Frasnois" -

    Son corps a été retrouvé par deux bûcherons, le 15 décembre 2016, nu et dissimulé sous des feuilles dans la forêt communale du Frasnois (Jura).

    Cette jeune femme est longtemps restée "l'inconnue du Frasnois". La victime aux longs cheveux teints en roux était en effet méconnaissable, les os du visage et les dents brisés par une multitude de violents coups. Le cadavre était également lardé de 26 coups de couteau au niveau du cou et du flanc.

    Pour l'identifier, l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) a effectué une reconstitution faciale de la jeune femme afin d'établir son portrait-robot en 3D. Un appel à témoins avait été diffusé très largement en Europe, en vain.

    Un rapprochement entre la disparition d'une prostituée en Suisse, une carte d'identité au nom de Mihaela Miloiu retrouvée à Sullens (Suisse) et le corps découvert au Frasnois a finalement été fait, presque par hasard, plus de six mois après la découverte de son cadavre.

    Les gendarmes sont ensuite remontés jusqu'à Alexandre Verdure en contrôlant les entrées dans les hôpitaux du secteur: il s'était rendu le 30 novembre 2016 à l'hôpital de Pontarlier (Doubs) pour soigner une blessure à une main.

    Le verdict de la cour d'assises du Doubs est attendu vendredi.

    AFP


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  • Un homme était en train d'étrangler une femme lorsque les policiers ont pénétré dans l'appartement

    Le drame a probablement été évité de peu. Un homme âgé de 19 ans a été placé en garde à vue à Saint-Nazaire après avoir été surpris en flagrant délit de tentative d’homicide, rapporte la police nationale. Les faits se sont produits mardi soir, peu après 23 heures, dans un appartement de l’avenue Albert-de-Mun, en centre-ville de la ville portuaire.

     

    Les policiers étaient sollicités suite à un appel au 17 pour des violences conjugales​. Arrivés devant la porte du logement, ils entendent alors des cris à l’intérieur. En ouvrant la porte (non verrouillée), ils découvraient alors un homme accroupi sur une femme en train d’étrangler cette dernière allongée au sol. Elle avait, en outre, un vêtement enfoncé dans la bouche.

    La victime, âgée de 26 ans, est saine et sauve mais très choquée. Elle a été prise en charge sur place par les pompiers puis conduit au centre hospitalier de Saint-Nazaire. L’enquête se poursuit.

    20 Minutes


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  • Une Paimpolaise avait été tirée au sort pour être jurée d’assises en août 2020, à Saint-Brieuc. Elle en a été dispensée pour des raisons médicales. Mais son certificat n’est pas arrivé à temps au palais de justice. Résultat : une amende de 500 € pour « inexécution de ses fonctions ». L’amende a finalement été annulée par le tribunal correctionnel ce mercredi.

     

    « Nous sommes nombreux à avoir pu constater des retards dans l’acheminement du courrier en raison du contexte actuel », explique la présidente du tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, ce mercredi matin. Dans la salle d’audience, quasiment tous les avocats hochent la tête. La magistrate s’excuse presque, face à la prévenue qui se trouve en face d’elle.

    Cette dame de 64 ans est jugée pour « inexécution de ses fonctions par juré de cour d’assises ». Il s’agit d’un délit punissable de 3 750 € d’amende. En fait, la sexagénaire conteste une décision de la cour d’assises des Côtes-d’Armor qui, dans un arrêt du 31 août 2020, l’a condamnée à 500 € d’amende pour ne pas s’être présentée comme jurée alors qu’elle avait été tirée au sort. L’affaire se retrouve donc rejugée devant le tribunal correctionnel.

    La prévenue avait un motif médical tout à fait légitime pour ne pas siéger comme jurée, certificat à l’appui. Mais le document, envoyé par La Poste, n’est pas arrivé à temps, avant le premier jour de la session de cour d’assises. Le tribunal n’a pas hésité une seconde avant d’annuler la sanction.

    Ouest-France


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  • Le couple qui gère un gite et plusieurs appartements au Puy-en-Velay est soupçonné d’avoir hébergé une douzaine de prostituées femmes et transsexuelles et d'avoir tiré profit de cette activité.

    Un conseiller départemental de Haute-Loire et sa compagne ont été placés en garde à vue mardi 8 décembre pour des soupçons de proxénétisme, rapporte ce mercredi France Bleu Saint-Étienne Loire. Marc Boléa et sa compagne sont ressortis libres mardi soir.

     

    Le couple qui gère un gite et plusieurs appartements au Puy-en-Velay est soupçonné d’avoir hébergé une douzaine de prostituées femmes et transsexuelles et d'avoir tiré profit de cette activité, indique le parquet.

    L'élu avait fait campagne pour une politique des "mains propres" !

    Marc Boléa est un élu très connu localement, il occupe les fonctions de président au sein du service d'incendie départemental (SDIS). Au moment du parrainage du candidat François Fillon à la présidence de la République, il avait fait campagne pour une politique des "mains propres" en Haute-Loire. Cette affaire étonne et choque le monde politique local, souligne France Bleu. "Je suis abasourdi et à la fois très triste, c’est un homme qui me paraissait avoir une éthique irréprochable", déclare notamment Gérard Roche ancien président du conseil départemental, un proche de Marc Boléa.

    Le conseiller départemental et sa compagne risquent jusqu'à 10 ans d’emprisonnement et 750 000 euros d'amende.

    franceinfo


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  • Un gendarme a été hospitalisé ce mercredi matin, après avoir été blessé par arme à feu lors d'une interpellation à Chérisy, en Eure-et-Loir, près de Dreux, a annoncé le procureur de la République de Chartres, Rémi Coutin.

    "Le gendarme a été blessé à l'épaule et est hospitalisé. Ces jours ne sont pas en danger", a précisé le magistrat. "Au petit matin (mercredi), un gendarme du peloton de sécurité et d'intervention (PSIG) de Lucé a été blessé par arme à feu, peut-être un pistolet à grenailles, par un individu que la gendarmerie s'apprêtait à interpeller dans le cadre d'une affaire de proxénétisme", a expliqué le procureur.

    Une enquête est en cours

    Le parquet a ouvert une procédure pour tentative d'homicide sur personne dépositaire de l'autorité publique. L'enquête a été confiée à la section de recherche d'Orléans et la brigade de recherche de Lucé.

    De source proche du dossier, la personne recherchée a accueilli les militaires du PSIG en tirant des coups de feu à travers la porte de son domicile. Le chef du PSIG a alors été blessé à l'épaule, alors que l'un des impacts a été stoppé par son gilet pare-balle.

    De même source, le tireur s'est ensuite réfugié sur le toit avec son chien. Il a ensuite jeté son arme et a été interpellé. Le chien a été capturé par une équipe cynophile du PSIG de Dreux.

    BFM.TV


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  • Les pompiers et les gendarmes ont retrouvé le corps d’une sexagénaire à son domicile dans le village de Lescheroux (Ain) lundi 7 décembre. Sa mort remonterait à plusieurs semaines, selon Le Progrès. Son mari se trouvait dans la maison. Toujours vivant, il ne se nourrissait plus.

     

    Lors de sa tournée des calendriers, la factrice de Lescheroux (Ain) a donné l’alerte. Voyant le courrier accumulé dans la boîte aux lettres d’un couple de sexagénaires et remarquant qu’il ne répondait plus, elle a signalé ces faits inquiétants, raconte Le Progrès.

    Lundi 7 décembre, les pompiers et les gendarmes se sont rendus dans la maison. Les volets étaient fermés.

    Le corps retrouvé sur le sol

    En ouvrant la porte, les secours ont retrouvé le mari. Le retraité était prostré et dans un état de maigreur absolue, relate le quotidien régional. Selon les premiers éléments, l’homme avait cessé de s’alimenter et se laissait mourir. Quand les pompiers et gendarmes lui ont demandé où se trouvait son épouse, il n’aurait pas réussi à leur répondre.

    Les secouristes ont continué d’explorer l’habitation à la recherche de la femme. Ils ont découvert son corps sur le sol dans une autre pièce, précisent nos confrères. La senior aurait perdu la vie depuis plusieurs semaines. Une autopsie était programmée mercredi 6 décembre.

    Ouest-France

    Je pense que le pauvre mari a été emmené à l'hôpital !


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  • Grièvement percuté par un véhicule de la brigade anti-criminalité à la poursuite d'un chauffard dans la nuit de lundi à mardi près de Bailly-Romainvilliers (Seine-et-Marne), un jeune policier est décédé des suites de ses blessures.

     Le jeune policier, grièvement percuté par un véhicule de la brigade anti-criminalité à la poursuite d'un chauffard dans la nuit de lundi à mardi près de Bailly-Romainvilliers (Seine-et-Marne), est décédé des suites de ses blessures, a-t-on appris mercredi de sources policières.

    C'est "un membre de sa famille" qui a prévenu que le fonctionnaire "était décédé", a déclaré Philippe Justo, le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de Seine-et-Marne. Dans la nuit de lundi à mardi vers 01H00 du matin, le policer était en train de récupérer un "stop stick", barre permettant de stopper les voitures en délit de fuite, lorsqu'il a été percuté par un véhicule conduit par la BAC, avait expliqué une source policière. Le chauffard poursuivi, en état d'ébriété, avait pu être interpellé.

     

    Transporté en arrêt cardio-respiratoire à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, la victime n'a pas survécu à ses blessures. Cet agent de 33 ans, sans enfant, avait rejoint les rangs de la police en 2009 et faisait partie de la Compagnie départementale d'intervention (CDI) Nord de Seine-et-Marne, a précisé M. Justo. Son engagement à des postes différents témoignait de "sa motivation et sa détermination", a-t-il estimé.

    "J'adresse mes sincères condoléances à sa famille, ses proches et ainsi qu'à l'ensemble de ses collègues de la @PoliceNationale", a tweeté le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin.

    Paris Match


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