• Terrible dénouement. Un homme de 33 ans s'est enfui en Ontario au Canada, ce jeudi 26 novembre avec le bébé âgé de 1 an qui est mort après l'intervention de la police.

    Très tôt dans la matinée, un différend familial impliquant une arme à feu a éclaté à Kawartha Lakes en Ontario au Canada, ce jeudi 26 novembre.

    Les policiers se sont rendus sur les lieux. Sur place, des témoins ont signalé qu'un enfant âgé de 1 an avait été enlevé.

    Le ravisseur était le père de l'enfant qui se serait enfui à bord d'une camionnette avec le petit garçon.

    La police a rapidement localisé le véhicule du père le long d’une route de campagne. L'enfant était sur le siège arrière de la camionnette. 

    Les policiers ont tenté de le stopper, mais la camionnette est alors entrée en collision avec la voiture de police et un autre véhicule, comme le rapporte The Guardian.

    Un policier qui se trouvait à l'extérieur du véhicule au moment de l'impact a été heurté et blessé.

    La police a tiré sur le véhicule

    Les trois autres policiers présents sur les lieux ont alors tiré sur la camionnette, comme le rapporte The Globe and Mail. 

    Le père, mais aussi le petit garçon de 1 an, ont été blessés par balle. Le bébé est décédé sur place, le père a été  transporté dans un état critique à l'hôpital. 

    Le policier blessé hospitalisé serait hors de danger.

    L'enfant, victime des tirs ?

    Les autorités n'ont pas encore confirmé si ce sont les tirs de la police qui avait tué le petit garçon.

    "Il est trop tôt pour que nous sachions pourquoi des policiers ont tiré sur le véhicule, et il est trop tôt pour que nous sachions exactement ce qui s’est passé", a déclaré Monica Hudon, la porte-parole de la police de l'Ontario.

    Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame. Elle a été confiée à une unité spéciale composée de sept enquêteurs qui devra faire la lumière sur les responsabilités et comprendre pourquoi la police a tiré.

     
    Midi Libre

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  • Il a pénétré sans en avoir l’autorisation au domicile de son ex, et a fini par mourir. Un Américain a été battu à mort samedi matin à South Pasadena, en Californie, par la mère et la sœur de son ancienne petite amie.

    Le «Los Angeles Times» explique que l’homme a d’abord jeté un pavé à travers la fenêtre, avant d’entrer à l’intérieur de la maison et de se mettre à étrangler la jeune femme et de la frapper au visage.

     

    Cette dernière n’était pas seule chez elle et sa mère et sa sœur sont immédiatement venues la secourir, attaquant le suspect avec un couteau et un club de golf, a expliqué le lieutenant Barry Hall, du bureau du shérif. «Elles ont essayé de l’éloigner mais cela n’a pas marché, parce qu’il était trop fort. Alors elles ont dû utiliser des armes», a-t-il expliqué.

    "Elles étaient dans leur bon droit"

    La police est rapidement arrivée en renfort après avoir été alerté par un voisin qui a entendu des femmes crier et vu une fenêtre brisée. Les agents n’ont pu que constater que l’homme de 40 ans était déjà mort au moment de leur intervention. Quant à la jeune femme de 37 ans, attaquée en premier, elle a été conduite à l’hôpital pour de nombreuses blessures au visage, mais a pu en ressortir assez vite. Les autorités n’ont retenu aucune charge contre la mère et la sœur. Pour le lieutenant Hall, «elles étaient dans leur bon droit en défendant leur sœur et fille».

    Paris Match


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  • Miracle en haute mer : l’incroyable sauvetage d’un sexagénaire

    Un homme de 62 ans a été secouru en pleine mer, agrippé à la proue de son bateau depuis deux jours.

    C’est un immense moment de solitude qu’a vécu Stuart Bee, un plaisancier de 62 ans, disparu en mer depuis vendredi, au large des côtes de Floride. Parti de Port Canaveral le 27 novembre seul à bord de son bateau de 10 mètres, le Sea Ray, le marin aguerri a chaviré pour une raison encore inconnue. D’habitude, Stuart Bee ne passe pas la nuit en mer. Rongée par l’angoisse en ne le voyant pas revenir après 24 heures, sa famille a averti les garde côtes qui ont aussitôt déployé les grands moyens pour le retrouver, notamment un avion C-130 Hercules chargé de passer la vaste zone au crible.

     

    Mais c’est finalement un navire commercial, le porte-containers Angels, qui a fini par repérer Stuart Bee à plus de 120 kilomètres de la côte et dans la position la plus précaire que l’on puisse imaginer. Son bateau presque entièrement immergé, il avait trouvé refuge sur la proue à laquelle il se cramponnait avec l’énergie du désespoir.

    n apercevant l’Angeles, dimanche, à l’aube, Stuart a ôté sa chemise et l’a agitée dans la plus pure tradition des naufragés. Rapidement repéré, il a été accueilli par l’équipage bouleversé. « Quel jour sommes nous?» a demandé le rescapé, indemne mais déboussolé. «Le 29 novembre» lui a répondu Lacruiser P. Relativo, un marin de l’Angeles qui a publié le récit de ce sauvetage sur sa page Facebook.

     

    «Il a fait un signe de la croix. J’ai vu l’expression de son visage et ses yeux embués de larmes. Il a dérivé en pleine mer pendant deux jours, agrippé à la proue, se retenant de faire un seul mouvement de crainte que son bateau ne coule corps et biens» écrit Relativo. Sans l’ombre d’un doute, Stuart Bee est un miraculé.

    Paris Match

     


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  • La victime a avalé de travers, avant un arrêt cardiaque fatal

    Malgré plusieurs massages cardiaques, les secours n’ont rien pu faire. Un homme est décédé vendredi soir dans le tram de Nancy, au terminus de Mouzimpré, à Essey-lès-Nancy. Il avait avalé de travers son repas et a ensuite été victime d’un arrêt cardiaque, selon L'Est Républicain.

    Un freinage soudain ou un choc à l’intérieur du moyen de transport pourraient-ils être à l’origine du drame ? Cette possibilité a été écartée par la police, rapporte le quotidien régional. Le parquet l’a ensuite confirmé : il s’agit bien d’une mort naturelle.

    20 Minutes


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  • Son test d'alcoolémie a révélé un taux de 2 grammes par litre de sang

    Le pire a été évité dans la nuit de samedi à dimanche sur l’autoroute A35, dans le Bas-Rhin. Un boulanger a donné l’alerte après avoir croisé un semi-remorque qui circulait à contresens. Les gendarmes de Soufflenheim l’ont finalement interpellé près d’Ottendorf, selon les Dernières Nouvelles d'Alsace.

    A l’intérieur, le chauffeur était ivre, avec un taux de 2 grammes d’alcool par litre de sang. Agé de 57 ans et de nationalité biélorusse, il transportait des matières dangereuses. Il a été placé en garde à vue pour conduite sous l’emprise d’un état alcoolique et mise en danger de la vie d’autrui.

    20 Minutes


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  • Surnommé « le chirurgien de Jonzac », Joël Le Scouarnec doit être jugé à partir de ce lundi pour « viols sur mineurs »

    « Jusqu’à la nausée… » Même Stéphane Kellenberger, le procureur de la République de Lorient (Morbihan), n’a pu se retenir de dire son dégoût devant le décompte des faits reprochés aujourd’hui à Joël Le Scouarnec et sur lesquels ses services ont dû enquêter. Après une première audience interrompue en mars en raison de l’épidémie de coronavirus, le procès de cet ancien chirurgien pour « viols sur mineurs » doit reprendre, ce lundi, devant la cour d’assises de Saintes (Charente-Maritime).

    A l’origine, les médias l’avaient surnommé le « chirurgien de Jonzac » du nom de cette petite ville où il exerçait. Où il est soupçonné d’avoir violé de jeunes patients. Et puis l’enquête a établi qu’il avait aussi travaillé à Loches (Indre-et-Loire), Vannes (Morbihan), Quimperlé (Finistère)… Et que la liste de ses victimes pourrait être bien plus longue que ce que l’on imaginait alors…

     

    Car le chirurgien tenait une comptabilité informatique très précise de tous les enfants qu’il voyait dans les hôpitaux et qu’il est accusé d’avoir agressés, pour certains durant la phase de réveil. Mi-octobre, Stéphane Kellenberger a donc indiqué en avoir recensé 312 pour lesquels les faits ne sont pas prescrits : 164 garçons et 148 filles dont l’âge moyen, au moment des faits, était de 11 ans seulement. « Cent sept faits sont susceptibles de recevoir une qualification criminelle de viol aggravé », a-t-il résumé.

    Ses nièces ont bien essayé de dénoncer les faits

    La plupart de ces dossiers sont toujours en cours d’instruction et feront l’objet d’un autre procès. Ce lundi, Joël Le Scouarnec devra répondre d’accusations n’émanant que de quatre personnes. Lucie*, sa voisine qui a permis son arrestation en 2017, une patiente dont il aurait abusé lors d’une opération pour une pancréatite aiguë alors qu’elle n’avait que quatre ans et ses deux nièces.

    Aujourd’hui trentenaires, ces dernières sont sans doute les mieux à même d’expliquer comment leur oncle a pu traverser les décennies et les départements sans jamais être inquiété ou presque, alors que les accusations le visant portent sur une période allant de 1986 à 2014. « Mes clientes ont bien essayé de dénoncer les faits qu’elles ont subis entre 2 et 9 ans auprès de leurs proches. Mais on leur a dit : ‘’Ce n’est pas grave…’’ », expliquait ainsi en mars Delphine Driguez, l’avocate des deux nièces.

    Une famille où l’inceste se pratique « de père en fils »

    Joël Le Scouarnec semble en effet avoir tiré parti de l’omerta qui régnait dans cette famille où l’inceste se pratiquait de « père en fils », selon une source proche du dossier. Et qui entraîne aujourd’hui des remords. En mars avant que le procès ne soit interrompu, la sœur du chirurgien, citée comme témoin, avait confié en larmes son sentiment de culpabilité à l’égard de ses filles et de « toutes les victimes », selon un avocat présent. Son frère l’avait alors reprise : « Tu n’es pas responsable, c’est moi… »

    Sera-t-il capable d’en dire davantage à partir de ce lundi ? « Il est temps qu’il passe aux aveux pour que les victimes puissent se reconstruire », réclame Francesca Satta, l’avocate des parents de Lucie*. Ce n’est pas acquis. Lors de l’enquête, le chirurgien s’est montré « plutôt distant et détaché (…) se retranchant dans une absence alléguée de souvenirs… », indique une source proche de l’enquête.

    La cour d’assises de Charente-Maritime a jusqu’au jeudi pour parvenir à le faire parler. Aujourd’hui âgé de 70 ans, Joël Le Scouarnec encourt une peine de 20 ans de réclusion. Comme le Code de procédure pénale le prévoit, ce procès devrait se dérouler à huis clos.

    * Le prénom a été changé

    20 Minutes


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  • Vendée. Le véhicule fait une sortie de route, deux jeunes femmes décédées

    L’accident a eu lieu dimanche 29 novembre, en début d’après-midi. Deux jeunes femmes sont décédées dans la chute de leur véhicule d’un pont de la 2x2 voies, en direction de La Roche-sur-Yon.

    Dimanche 29 novembre, vers 12 h, un véhicule a fait une sortie de route au niveau du lieu-dit de La Poirière, près du centre de conduite Marionneau, dans la commune du Poiré-sur-Vie (Vendée). Une jeune femme originaire d’Aubigny-Les Clouzeaux et une autre dont l’identité n’a pas encore été confirmée, âgées d’une vingtaine d’années, étaient à son bord. Elles avaient pris la direction de La Roche-sur-Yon.

    La conductrice a perdu le contrôle de la Renault Clio, qui a d’abord mordu le bas-côté de la route avant de basculer par-dessus le rail de sécurité de la voie rapide, à 4 m de haut. Elle serait tombée du pont de la D763 et a été retrouvée en contrebas, sur le toit.

    Deux équipes du Smur et deux ambulances se sont rendues sur place, en plus d’un véhicule de désincarcération et d’un véhicule de commandement. Les deux jeunes femmes n’ont pas pu être réanimées.

    Une enquête de gendarmerie est en cours pour déterminer les circonstances de l’accident.

    Ouest-France


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  • Le Français retrouvé sans vie au Mexique a été assassiné pour ses grands crus

    Un Français, dont le corps a été retrouvé samedi à Mexico, a été tué alors qu’il livrait des bouteilles de vin grands crus, selon des éléments d’enquête révélés dimanche par les autorités mexicaines.

    Baptiste Lormand, 45 ans, également détenteur de la nationalité mexicaine, était propriétaire du Surtidora Don Batiz, un restaurant de Polanco, un quartier chic proche du centre ville, où vivent beaucoup d’étrangers hommes d’affaires, diplomates et journalistes.

    Un autel composé de fleurs blanches et de bougies a été érigé devant la façade de l’établissement où se pressaient dimanche les curieux prenant des photos et faisant le signe de croix.

    "Dépouillés de bouteilles de vin d'une grande valeur"

    Son corps et celui de son associé mexicain ont été retrouvés samedi à 2h locales du matin, dans le sud de la ville, sur un chemin de terre de la municipalité de Tlapan, les mains attachées dans le dos.

    "Apparemment, les deux hommes ont été dépouillés de bouteilles de vin d’une grande valeur marchande", a indiqué dimanche lors d’une conférence de presse le secrétaire à la sécurité de la ville, Omar Garcia Harfuch.

    DNA


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  • Les images sont impressionnantes. Dans le premier tour du Grand Prix de Formule 1 de Bahreïn, le pilote français Romain Grosjean, en queue de peloton, a percuté de face, sans doute à plus de 200 km/h, un rail de sécurité, après avoir accroché la roue de son coéquipier de l'écurie Haas. Sa monoplace s'est immédiatement enflammée. Elle a quasiment ouvert en deux le rail en métal. Une fois les flammes éteintes, on pouvait voir la monoplace coupée en deux parties, de chaque côté du rail.

    Le pilote s'est extrait seul de la Formule 1, au milieu des flammes. Le halo, cet arceau qui protège la tête des pilotes, lui a certainement sauvé la vie. Une seule botte aux pieds, boitillant, Grosjean a quitté en ambulance la piste du circuit de Sakhir, où il a obtenu deux de ses dix podiums dans la catégorie reine, en 2012 et 2013 dans des Lotus à moteur Renault.

    Des « brûlures légères »

    Il souffre de « brûlures légères aux mains et aux chevilles mais va bien », a annoncé rapidement son écurie, Haas. Le Français, qui disputait son 179e GP et termine ce qui devrait être sa dernière saison en F1, est ensuite conduit à l'hôpital en hélicoptère afin de confirmer de « possibles fractures des côtes ». « Je n'avais jamais vu autant de flammes et un impact comme celui-ci [53 g selon la Fédération internationale de l'automobile, contre 0,4 g au décollage d'un avion de ligne et entre 0,5 et 3,3 g au départ de montagnes russes, NDLR] », commente Alan van der Merwe, qui pilote la voiture médicale depuis 2009.

    « Tous les systèmes que nous avons développés ? le halo [l'arceau qui surplombe le cockpit des F1 pour protéger la tête des pilotes, NDLR], les barrières de sécurité, les ceintures ? ont fonctionné comme prévu », se félicite-t-il. Le team principal de l'écurie de Grosjean, Guenther Steiner, lui, salue la « rapidité d'intervention des équipes de secours ».

    Immédiatement interrompu par un drapeau rouge, le GP n'a repris qu'à 18 h 35 locales (15 h 35 GMT). Et c'est le Britannique Lewis Hamilton (Mercedes) qui a remporté ce Grand Prix depuis la pole position. Les Red Bull du Néerlandais Max Verstappen et du Thaïlandais Alexander Albon accompagnent Hamilton sur le podium.

    Le Point


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  • L'ombre du Mossad derrière l'assassinat d'un scientifique iranien

    Mohsen Fakhrizadeh

    C'est avec un plaisir non dissimulé que Benyamin Netanyahou a énuméré vendredi la liste des objectifs qu'il a accomplis durant la semaine. « C'est une liste non exhaustive, car je ne peux pas tout vous dire », a conclu, non sans malice, le Premier ministre israélien, dans une vidéo diffusée par ses services. Quelques instants plus tôt, Mohsen Fakhrizadeh, le père du programme nucléaire iranien, était assassiné dans une redoutable opération commando menée dans le village d'Absard, à l'est de Téhéran.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/lombre-du-mossad-derri%c3%a8re-lassassinat-dun-scientifique-iranien/ar-BB1bsV9g?li=AAaCKnE


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  • Le commissariat de Cahors (Lot) a été la cible d’une attaque au cocktail Molotov ce vendredi soir. La voiture d’un policier a été totalement détruite.

    Plusieurs cocktails Molotov ont été lancés dans la cour du commissariat de Cahors vers 22 heures. La voiture personnelle d’un policier s’est embrasée et a été entièrement détruite.

    L’incendie s’est propagé à un véhicule de police sérigraphié et à la voiture d’un autre policier précise le syndicat Alliance Police Nationale de la région, dans un communiqué de presse. Les deux voitures ont été endommagées.

    Une « montée en puissance des violences urbaines dans les milieux ruraux »

    « Heureusement personne ne se trouvait dans la cour ou dans un véhicule au moment de l’attaque qui n’a, quant à présent, pas été revendiquée et dont le mobile reste inexpliqué », indique l’organisation syndicale, qui « condamne fermement cette violence envers les institutions et plus particulièrement celles à l’encontre des policiers ».

    Il n’y a heureusement aucun blessé à déplorer et une enquête a été ouverte. Les policiers pourront exploiter les images de vidéosurveillance pour tenter d’identifier le ou les auteurs de cet acte. « Devant la montée en puissance des violences urbaines dans les milieux ruraux », le syndicat Alliance « affirme qu’il est nécessaire de renforcer la police nationale en effectifs et en moyens matériels », peut-on également lire.

    ACTU 17


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  • Justice pour #Michel - Quelle responsabilité de Darmanin et Lallement dans ces violences ?

     

    Emmanuel Macron est sur tous les fronts. En plus de la crise sanitaire, il a procédé au recadrage de Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur. En découvrant les images écœurantes du passage à tabac d’un producteur par des policiers, le président n’a eu d’autre choix que d’agir.

    Les images de vidéosurveillance font froid dans le dos. Mais les caméras n’ont visiblement pas empêché des policiers de pénétrer dans le studio d’enregistrement de Michel, un producteur de musique, pour lui asséner coups de poing et coups de matraque. La séquence a fait le tour de web et mis d’autant plus en exergue les violences policières. Si elles ne datent malheureusement pas d’hier, les réseaux sociaux permettent de les faire connaître. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles la loi dite de « Sécurité globale » avait été votée, prévoyant de pénaliser toute diffusion malveillante portant atteinte à l’image des policiers et des gendarmes. Mais le vent pourrait bien tourner après le scandale provoqué par le passage à tabac de Michel, venu témoigner dans Touche pas à mon poste ce jeudi 26 novembre. Face à autant d’évidence et de haine, Gérald Darmanin est intervenu dans le journal de 20h de France 2 ce même jour. Un passage télé qu’il n’avait pas forcément décidé.

    Emmanuel Macron « très choqué »

    Comme Europe 1 est en mesure de l’affirmer, Emmanuel Macron a décidé d’agir face à l’insoutenable. Mis en garde par de nombreux proches sur le fait que Gérald Darmanin pourrait être « un problème » pour son mandatle mari de Brigitte Macron a tapé du poing sur la table. « Très choqué » par la vidéo selon un témoin, il a donc pris les choses en main pour « avertir son ministre de l’Intérieur. »

    Emmanuel Macron a contacté Gérald Darmanin par téléphone pour qu’ils puissent s’entretenir sur les récents événements. Et il aurait été plutôt cash. Le président de la République veut de « l’apaisement » et que des « sanctions très claires soient prises ». C’est d’ailleurs sous l’ordre d’Emmanuel Macron que Gérald Darmanin est intervenu au journal de 20 heures de France 2 pour ne pas « laisser de tels actes sans réponse ». Etant donné les réactions de nombreuses personnes aux propos du ministre de l’Intérieur, pas sûr que cela ait suffi.

    VOICI


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  • Originaire de Guinée, Yaya a été contraint de quitter son pays quand il avait 14 ans, pour des raisons familiales. Au micro de "La Libre antenne" sur Europe 1, il raconte son périple jusqu’en Libye et la traversée de la Méditerranée dans un zodiac qui a fait naufrage. Arrivé finalement en France, Yaya a été placé dans un foyer. Il a pu faire un stage d’apprentissage en boulangerie et s’est lié avec sa patronne, Patricia. Cette dernière avait également appelé "La Libre antenne" pour raconter l’histoire de Yaya et leurs démarches compliquées pour qu’il puisse continuer à travailler à la boulangerie.

     

    "À 14 ans, j’étais en Guinée avec ma famille. Ce n’est pas moi qui ai décidé de partir, c'est le contexte qui m'a poussé à partir. Les migrants ne partent pas parce qu’ils veulent partir, mais parce qu’ils sont obligés. J’ai été obligé de partir pour sauver ma vie. Quelque chose qui était entre ma famille et moi est devenu un complot de la communauté contre moi. Je ne pouvais pas rester, il fallait que je parte. Étant très jeune, j’avais 14 ans à l’époque, je n’avais pas de solution. C’est ma tante qui a organisé le voyage et je suis arrivé au Mali.

    " J’ai été amené dans une soi-disant prison "

    Au départ, je n’avais pas pour ambition de venir en France. Quand je suis arrivé au Mali, je suis resté quelques mois avec celui qui m’a accueilli. Il voulait soit qu’on continue le voyage, soit me faire retourner en Guinée. Il m'a dit qu'il fallait que je fasse un choix. Connaissant la situation dans mon pays, j’ai préféré le suivre. Il me disait qu’on allait en Algérie. Il ne m’a pas dit la vérité. Quand nous sommes arrivés en Libye, il m’a avoué que son objectif, c'était d’aller en Italie.

    J’avais peur, mais je ne pouvais pas faire demi-tour. Il m’a dit qu'il avait tout organisé et payé avant le départ du Mali. Mais tout ne s’est pas passé comme il le voulait. Entre deux villages de Libye, on a été arrêtés par des militaires. Ils nous ont séparés et je ne l’ai plus revu. Moi, j’ai été amené dans une soi-disant prison. Ce n’était pas une vraie prison, c’était un endroit où ils gardent les gens pour demander des rançons. J’y suis resté trois mois et ils ont compris que je n’avais pas d’argent. 

    " Ils nous ont mis à 120 dans un zodiac "

    Avec d’autres gens, ils nous ont amenés ailleurs pour qu’on travaille. Je travaillais pour un entrepreneur, il fallait qu’on fabrique des briques en ciment. J’étais content d’être là, parce qu’il me traitait en tant qu’humain. Il m’a dit qu’il pouvait m’aider à traverser et aller en Italie, mais qu’il fallait que je travaille encore un mois chez lui. J’ai travaillé presque deux mois, parce qu’à chaque fois il me disait que la mer était agitée. C’était une manière de me tromper. 

    Un jour, il m’a emmené au bord de la mer. J’étais étonné quand j’ai vu toute cette foule qui était là, à attendre pour traverser. On a passé la nuit sans manger, parce qu’il fallait perdre du poids pour qu’ils puissent mettre un maximum de personnes dans le zodiac. Le lendemain, à 23 heures, ils nous ont mis à 120 dans un zodiac. On est partis. Je pleurais, je vomissais. C'était la peur jusqu’au lendemain vers 10 heures, on a été sauvés. Le zodiac a été percé et la plupart des gens étaient tombés à l’eau.

    " Quelqu'un m'a conseillé de partir en France "

    Quand nous sommes arrivés en Italie, on mettait les majeurs et les mineurs dans le même camp. Il n'y avait pas de différence. Quelqu'un m'a conseillé de partir en France, parce qu’on s’occupait mieux des mineurs là-bas. Je suis arrivé en France par Grenoble. C’était en avril 2017. Je suis resté à Grenoble jusqu’en juillet. On m’a ensuite transféré dans le département de l’Ain. Mes amis et moi sommes restés dans un hôtel pendant trois mois. Après trois mois, en octobre, on nous a placés dans un foyer jusqu’en décembre.

    En décembre, j’ai eu la chance d’être pris dans un lycée où je devais commencer une alternance au mois de janvier. On devait passer deux semaines à l’école et deux semaines en stage. Il fallait que je trouve un patron pour faire mon stage. Une dame qui aide beaucoup de migrants, m’a aidé à trouver Patricia. Patricia est une paysanne-boulangère. Elle a signé ma convention et c’est comme ça que la relation entre Patricia et moi a commencé. Je n’avais jamais fait de boulangerie. Les gens qui m’ont vu travailler lors de mon stage, étaient satisfaits.

     

    Quand on arrive en étant mineur, on a la possibilité de signer des contrats. Mais quand on n’est plus mineur, il faut des papiers. Quand j’étais mineur, j’avais la possibilité de signer un contrat avant ma majorité. Patricia m’avait assuré que je pouvais signer un contrat d’apprentissage chez elle. C’était en 2018. Je suis allé voir les personnes qui m’accompagnaient à l’époque, qui m’ont expliqué que c’était trop tôt. Je suis resté dans l'attente. Malheureusement, on ne m’a pas permis de signer le contrat avant ma majorité.

    Entendu sur europe1 : Je leur demande non seulement de m’aider, mais aussi d’aider Patricia

    On a envoyé un dossier à la préfecture, pour que je puisse me libérer de ce chagrin qui ronge mon esprit. C’est entre les mains de la préfecture de département de l'Ain. Je leur demande non seulement de m’aider, mais aussi d’aider Patricia. Elle trouve difficilement des apprentis, parce qu’elle est à la campagne. Moi, ça ne me dérange pas. Au contraire, ça me fait plaisir de rester là-bas toute la semaine. Quand je suis arrivé au foyer, j’aurais pu rester là, manger et dormir. Mais j’ai préféré partir pour travailler. Je ne pouvais pas rien faire."

    Europe 1


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  • «On découpe comme Samuel Paty, sans empathie» : prison ferme pour le rappeur Maka qui a été écroué

    Le rappeur Maka a écopé d’une peine de 21 mois de prison et a été incarcéré à l’issue de son procès qui s’est tenu ce jeudi à Meaux (Seine-et-Marne).

    Ses paroles avaient provoqué de vives réactions et l’ouverture d’une enquête. Le clip de la chanson « S***** P*** » a été diffusé sur YouTube le 12 novembre dernier. Un titre dans lequel le rappeur répète : « On découpe comme Samuel Paty, sans empathie ». Maka, de son vrai nom Nelson M., a été interpellé mardi matin à Lagny-sur-Marne avant d’être placé en garde à vue, comme nous l’avions révélé.

    Le jeune homme âgé de 18 ans a été déféré et jugé par le tribunal correctionnel de Meaux ce jeudi raconte Le Parisien. Il était poursuivi pour apologie publique d’un acte de terrorisme, port sans motif légitime d’arme blanche, en l’espèce un coupe-coupe qu’il dit factice, et pour recel de bien provenant d’un délit : il a utilisé une voiture volée dans son clip, qu’il a incendiée. Le rappeur était récemment sorti de prison après avoir été condamné dans une affaire de violences.

     

    « Il s’agit de faits extrêmement graves, avec un clip qui peut susciter des vocations. Vous êtes sous contrôle judiciaire, en sursis probatoire, avec un clip tourné le 30 octobre au soir, dans une période de couvre-feu, soit une logique de confrontation à l’État », a lancé le président au début de l’audience.

    Dans ce clip qui a depuis été retiré de YouTube, le rappeur Maka apparaît avec une machette à la main. Des figurants sont masqués et certains armés de divers objets tranchants.

    « Je veux être un artiste, il fallait un petit coup de boost »

    « Le clip est violent, c’est vrai. Je n’avais pas fait attention à toutes les conséquences », reconnait le prévenu durant le procès. « Ma phrase, ‘on découpe comme Samuel Paty’, ça voulait dire qu’on découpe la musique. Quand mon clip est sorti, j’ai vu les critiques et je l’ai supprimé. Je tiens à m’excuser, j’ai tenu des propos très choquants. Je veux être un artiste, il fallait un petit coup de boost », a-t-il justifié.

    La représentante du parquet a quant à elle dénoncé un acte « extrêmement choisi et réfléchi ». Les arguments et les excuses du prévenu n’ont pas suffi. Maka a été condamné à 15 mois de prison ferme, auxquels se sont ajoutés six mois d’un sursis révoqué d’une précédente affaire. Un mandat de dépôt a été délivré, le jeune rappeur a été conduit en prison.

    ACTU 17


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  • Un agriculteur de Chalais (Charente) est décédé vendredi après-midi, après de multiples piqûres de frelons asiatiques. Selon La Charente Libre, le septuagénaire a été attaqué alors qu’il se trouvait sur son tracteur.

    Son engin a certainement accroché un nid qui se trouvait au sol, ce qui aurait rendu les frelons asiatiques particulièrement agressifs. Ils l’ont alors attaqué. Blessée, la victime a néanmoins réussi à appeler un proche. Mais à l’arrivée des secours, le septuagénaire était inconscient. Il serait décédé d’un choc anaphylactique.

    20 Minutes


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  • La justice a condamné, mercredi 25 novembre, un homme de 27 ans à six mois de prison pour « violation de domicile ». Quelques jours plus tôt, à Toulon (Var), il s’était introduit dans le logement d’un couple de personnes âgées pour trouver de quoi se nourrir.

     

    Un homme de 27 ans comparaissait, mercredi 25 novembre, devant le tribunal pour « vol dans un local d’habitation », commis à Toulon (Var) trois jours plus tôt. Comme le rapporte Var-Matin, un couple de personnes âgées et malades avait alerté la police au cours de la nuit après avoir entendu quelqu’un entrer chez eux.

    Les forces de l’ordre étaient intervenues moins d’une heure plus tard et avaient placé le jeune homme en garde à vue. Aucun objet de valeur n’avait disparu, seul un morceau de morbier manquait à l’appel. « J’avais froid, j’avais faim […] Si un supermarché était ouvert, j’y serais allé », s’est défendu le prévenu à l’audience.

    Déjà condamné 23 fois

    Le Parquet a rappelé que le casier judiciaire du jeune homme comportait déjà 23 mentions dont dix pour vol, avant de requérir un an de prison ferme. Les juges ont requalifié les faits en « violation de domicile » et ont condamné le prévenu à une peine aménageable de six mois de prison.

    Ouest-France


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  • Une femme de 83 ans a été violemment agressée par cinq individus qui ont fait irruption dans sa maison à Marck (Pas-de-Calais) ce mardi. Ces derniers qui sont âgés de 17 à 21 ans, doivent être jugés ce vendredi.

    Une octogénaire qui habite dans le rue de l’Âge-d’Or à Marck, a été victime d’un violent home-jacking ce mardi soir vers 21 heures rapporte La Voix du Nord. Les cinq agresseurs ont pénétré dans la maison de la victime et l’auraient ensuite poussée, étranglée et mis dans un placard pour l’empêcher de donner l’alerte en criant.

    Les auteurs se sont ensuite emparés de la somme de 800 euros ainsi que de plusieurs téléphones portables, de tablettes et de la voiture de la victime a détaillé le procureur-adjoint de Boulogne-sur-Mer, Philippe Sabatier. La victime de 83 ans sous le choc qui présentait des ecchymoses, a été prise en charge par les sapeurs-pompiers qui l’ont amenée à l’hôpital de Calais. Une incapacité totale de travail (ITT) de plusieurs jours lui a été attribuée.

    Le conducteur déjà condamné par le passé

    La police a été alertée et une patrouille a repéré le véhicule volé dans la soirée, vers 23 heures. Les suspects ont tenté de prendre la fuite mais ont été interpellés après une course-poursuite, avant d’être placés en garde à vue.

    Ils sont âgés de 17 à 21 ans, l’un est mineur. Ces derniers ont été déférés au parquet et le plus jeune devant un juge pour enfant. Les mis en cause doivent être jugés ce vendredi. L’homme âgé de 21 ans qui se trouvait au volant lorsqu’il a été interpellé, est déjà connu de la justice pour des faits de vol avec violences. Il avait été condamné à plusieurs mois de prison dans cette affaire précise le quotidien.

    ACTU 17

    Condamné mais libre !


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  • C'est un vaste coup de filet qui a permis l'interpellation de 19 personnes entre la semaine dernière et ce début de semaine dans le quartier toulonnais de Sainte Musse, ainsi qu'à la Seyne-sur-Mer notamment. Sept femmes et douze hommes dont un mineur impliqués à des degrés divers dans le trafic de stupéfiants mais aussi pour certains dans deux assassinats et une tentative d'assassinat perpétrés entre mars et juin dernier dans la Métropole toulonnaise. L'enquête a été diligentée par l'antenne PJ de Toulon avec l'appui de la direction interrégionale de la Police judiciaire de Marseille et la BRI.

    Plus de 120 fonctionnaires ont été mobilisés pour procéder à ces interpellations en début de semaine dernière, des hommes de l'antenne PJ de Toulon, le la DIPJ de Marseille, du Raid et de la BRI. Dix sept objectifs dans leur viseur. Il est assez rare qu'autant de moyens humains soient déployés dans ce type d'affaires côté police.

    Cela permet d'apprécier le niveau de dangerosité des mis en cause. Les perquisitions ont d'ailleurs permis de découvrir de nombreuses armes et leurs munitions : pistolets mitrailleurs, pistolets automatiques, kalachnikovs, armes longues  et fusils à pompe, ainsi que des gilets par balles. 15 000 euros en liquide ont également été saisis tout comme de la résine de cannabis, de l'herbe et de la cocaïne. L'attirail complet de la criminalité organisée.

    Une équipe agressive

    Avec toute sa dimension dangereuse. "Il s'agit vraiment d'une équipe très agressive" commente une source proche du dossier. Une équipe à tiroirs capable de prendre des risques considérables pour arriver à ses fins. D'ouvrir le feu par exemple en pleine rue un soir de mars dernier. L'homme visé vient de sortir de sa voiture, il n'est pas loin d'une agence bancaire du quartier Bon rencontre de Toulon quand il est abattu. La deuxième cible échappe à la mort en mai dernier à la Garde.

    L'homme attend devant un magasin son ouverture pour faire ses courses, aux côtés d'autres clients, tous potentiels victimes. Mais la deuxième fois, le commando ne loupe pas son coup.  Le miraculé est rattrapé par son destin le 29 juin dans un immeuble de la Valette. Le commando, trois ou quatre hommes laissent sur place une vingtaine de douilles et des impacts sur toute la façade. 

    "C'est un conflit sérieux qui oppose deux clans rivaux. Le trafic de drogue, c'est dangereux, et ça tue" résume une source proche du dossier qui se souhaite pas en dire d'avantage sur l'instruction en cours. Un résumé certes très simpliste mais terriblement réaliste. Cette nouvelle vague d'interpellations devrait donc mettre pour quelques temps en tout cas, un frein aux ambitions des teneurs de la Poncette, cette cité en guerre avec leurs rivaux, voisins, des Oeillets.

    Sur les 19 personnes interpellées, 11 ont été déférées et 10 ont été placées en détention provisoire après avoir été mises en examen notamment pour trafic de stupéfiants, assassinat et tentative d'assassinat, association de malfaiteurs.

     
     
    france bleu
    On ne nous donne pas l'origine de ces truands !
    Car on verrait que Zemmour a raison !

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  • Un homme de 54 ans a été jugé coupable de viol, mercredi 25 novembre, par la cour d’assises du Nord. Sa victime n’était autre que sa nièce, qu’il hébergeait parfois chez lui, à Hamel (Nord). Les faits remontent à 2012. L’oncle incestueux a été condamné à seize ans de réclusion criminelle.

     

    Un homme de 54 ans vient d’être jugé coupable d’avoir violé sa nièce, à Hamel (Nord), en 2012. Après trois jours d’audience, la cour d’assises de Douai a rendu, mercredi 25 novembre, son verdict, rapporte La Voix du Nord.

    Comme le relate le quotidien régional dans un précédent article, la jeune fille avait révélé en 2018, à l’infirmière de son lycée, les agissements de son oncle. En 2012, alors qu’elle était âgée de 11 ans, elle passait certains week-ends chez ce dernier. Il en avait profité pour la violer devant une webcam, à plusieurs reprises. L’homme diffusait parfois la scène en direct sur Internet.

    Il avait déjà agressé sexuellement sa belle-fille

    L’accusé, qui comparaissait depuis lundi devant la justice, a plaidé coupable. Il a toutefois nié avoir menacé sa nièce pour obtenir d’elle ce qu’il voulait. Le quinquagénaire se trouvait en état de récidive : il avait déjà été condamné en 2000 pour avoir agressé sexuellement sa belle-fille.

    Cette fois-ci, l’homme a écopé de seize ans de réclusion criminelle. L’oncle incestueux devra aussi respecter un suivi sociojudiciaire de six ans à sa sortie de prison, sans quoi il pourrait être incarcéré quatre années supplémentaires.

    Ouest-France


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