• Le maire de Noisy-le-Sec, en Seine-Saint-Denis, a été la cible mardi 24 novembre de tirs de mortiers d’artifice et son scooter a été vandalisé alors qu’il faisait du porte-à-porte dans une cité. Des faits pour lesquels il a déposé plainte ce jeudi 26 novembre, a-t-il indiqué à l’AFP, confirmant une information du « Parisien ».

    Peu après 19 heures ce jour-là, Olivier Sarrabeyrouse (PCF) sort d’une tour du quartier du Londeau accompagné de plusieurs élus et découvre son scooter renversé, pneus crevés, rétroviseur cassé. « J’ai alors compris que nous avions dérangé », dit-il, la cité abritant un « point de deal notoire ».

    « Au moment où j’ai relevé mon scooter, j’ai entendu un premier tir de mortier [d’artifice]. J’ai vu un petit groupe d’individus, entre cinq et dix, à 80 mètres environ »

    , décrit l’élu.Deux mineurs écroués après l’attaque du commissariat de Champigny-sur-Marne au mortier

     

    L'OBS

    Il ne faut pas déranger les dealers, ils sont chez eux !


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  • À Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), les copropriétaires et les locataires d'un immeuble vivent un enfer à cause de la présence de dealers dans le hall du bâtiment. Lundi soir, plusieurs d'entre eux ont été agressés, l'un des locataires a même été jeté par la fenêtre de son appartement.

    C'est une information France Bleu Paris. Lundi 23 novembre, une trentaine d'individus ont attaqué des locataires d'un immeuble de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), l'une des victimes a même été "balancée" par la fenêtre de son appartement, situé au 1er étage.

    Des dealers qui occupent le hall

    Tout commence, lundi matin. Georgina, une des 33 copropriétaires de cet immeuble, situé avenue Wilson, fait visiter les lieux à une personne d'une société de ménage. Elle aperçoit alors un groupe de six jeunes hommes, en train de squatter le hall, et l'un d'entre eux jette son mégot de cigarette par terre. La jeune femme lui demande poliment de le ramasser et de le jeter dehors, mais celui-ci refuse et l'insulte : "Va te faire enculer, connasse... bref, c'est le langage habituel dans ces cas-là", raconte-t-elle à France Bleu Paris.

    Le ton monte et devient plus menaçant. Des locataires qui entendent la dispute descendent alors et prennent la défense de Georgina. Des heurts éclatent entre le groupe de locataires et les dealers qui ripostent avec des jets de projectiles. Mais ces derniers finissent par partir en promettant de revenir. 

    Alertée et inquiète, Georgina se rend au commissariat de police, dans l'après-midi, avec un des locataires mais la policière qui les reçoit ne prend pas leur main courante"On a été très mal reçus, elle nous a fait attendre deux heures pour, à la fin, nous dire qu'elle ne pouvait pas prendre de main courante car le logiciel est cassé". La jeune femme et son voisin repartent donc chez eux, tout aussi inquiets qu'à leur arrivée.

    "Ils jettent le monsieur par la fenêtre"

    Leurs craintes se confirment, le soir-même, vers 18h30. "J'ai un voisin qui m'appelle qui me dit, 'ça y est, ils sont de retour mais cette fois-ci, ils sont 30'". Le groupe se dirige directement vers le 1er étage et défonce la porte de l'appartement où vivent les hommes qui ont défendu le matin même Georgina. Cette dernière appelle les policiers mais ils arrivent trop tard. "J'ai entendu des gros boums, des cris et ils [les agresseurs] ont eu le temps de saccager l'appartement, de lacérer le dos d'un des locataires, d'arracher leurs vêtements, de voler leur argent... et ils jettent ce monsieur par la fenêtre et s'en vont".

    "Ils n'ont plus de limites"

    Le locataire, jeté par la fenêtre, a du être hospitalisé. "Il est rentré depuis mais il est blessé à la jambe, il ne peut pas bouger", selon Georgina qui fait part de sa culpabilité mais aussi de son inquiétude. "On a franchi un cap, ils n'ont plus aucune limite !". Même si les agresseurs ne sont pas revenus dans l'immeuble, la jeune femme et ses voisins surveillent la rue depuis leur fenêtre. "On sait qu'ils reviendront un jour, parce que déjà ils ne m'ont pas encore retrouvée, je suis la prochaine sur la liste". Pourtant la jeune copropriétaire ne compte pas partir et quitter son logement. "Absolument pas ! J'ai 26 ans, le même âge qu'eux, j'ai travaillé pour avoir un appartement magnifique. Pourquoi partir ? Parce que ces jeunes pensent qu'ils sont chez eux ? C'est moi qui vais les faire partir, je n'ai pas peur d'eux, moi !"

    Des marchands de sommeil dans le même immeuble

    Georgina a déposé plainte et a été reçue, ce mercredi, par un commandant de police qui, cette fois-ci," a été très à l'écoute et prend le problème très au sérieux ". Elle en espère autant désormais de son syndic, aux abonnés absents, selon elle. Elle n'est pas la seule à le penser. Maddalena, une autre copropriétaire, explique avoir demandé à plusieurs reprises au syndic d'intervenir pour régler des problèmes récurrents, "comme le digicode qui est régulièrement cassé et une deuxième porte qui n'a jamais était remise en place", donc une entrée pas du tout sécurisée. Sans compter "les marchands de sommeil" qui louent des logements dans cet immeuble "avec parfois, quinze personnes dans le même appartement". Des locataires, précaires, qui ont trop peur de parler et de dénoncer les dealers par crainte de se retrouver à la rue.

    france bleu


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  • Après le décès d’un homme frappé par des vigiles, l’enseigne est dans le viseur de la justice.

    L’affaire se poursuit au Brésil après la mort d’un homme dans un hypermarché Carrefour le 19 novembre dernier, à Porto Alegre, dans le sud du pays. Une vidéo, largement relayée sur les réseaux, montre Joao Alberto Silveira Freitas,  un homme noir de 40 ans, immobilisé par deux vigiles blancs et violemment frappé jusqu’à ce qu’il perde connaissance. Ce mercredi, le ministère public brésilien a ouvert une procédure contre Carrefour Brasil, la filiale de l’enseigne française, rapporte l’Usine Nouvelle. Il lui réclame la somme de 200 millions de reals, soit environ 31,5 millions d’euros.

     

    Par ailleurs, en plus de cette somme, le ministère public a demandé à la justice de fermer le magasin où a eu lieu le drame. Les autorités craignent en effet de nouvelles violences. La semaine dernière, des manifestants ont brisé des vitres et ont attaqué des véhicules situés sur le parking. Plus largement, c’est dans tout le pays que des manifestations anti-racistes ont été organisées pour protester et des appels au boycott de l'enseigne ont été lancés. Par ailleurs, une responsable du magasin a été arrêtée en tant que "coauteure" présumée du meurtre. Elle apparaissait dans la vidéo au côté des deux hommes lorsqu’ils frappaient la victime. Les deux gardiens ont été écroués.

    Lundi, l’enseigne Carrefour a déjà annoncé la création d’un fond de 25 millions de reals (un peu moins 4 millions d’euros) pour promouvoir des actions contre le racisme au Brésil. Alexandre Bompard, le patron français de Carrefour s’était pour sa part exprimé en portugais sur Twitter afin d’exprimer ses condoléances après "cet acte horrible", soulignant que les images diffusées sur les réseaux sociaux étaient "insupportables".

    Capital


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  •  L'homme âgé de 81 ans était recherché pour avoir escroqué plusieurs établissements

    On ne sait pas s’il a eu le temps de prendre son petit-déjeuner. Lundi, un homme âgé de 81 ans a été interpellé dans un hôtel de Crozon, dans le sud du Finistère​. Cela faisait quelque temps que la gendarmerie recherchait ce papy, qui avait pris l’habitude de dormir à l’hôtel et de manger au restaurant sans payer, rapporte Ouest-France. D’après le quotidien, quinze plaintes ont été déposées en 2020 contre l’octogénaire, qui aurait sévi dans l’Ouest et le centre de la France. Des loueurs de voitures ont également été victimes de cette escroquerie.

     

    Très connu des services judiciaires, l’homme sera convoqué au tribunal correctionnel de Quimper vendredi pour répondre de ses actes. Un lieu qu’il connaît bien puisque l’homme a déjà été condamné plus de quarante fois, passant la moitié de sa vie en prison.

    20 Minutes


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  • Une voiture a percuté mercredi 25 novembre, dans la matinée, la grille d'entrée de la chancellerie allemande à Berlin, rapporte un journaliste de Reuters.

    Il n'y a pas eu de dégâts apparents Sur une photographie Reuters de la scène, une inscription à la peinture blanche appelant à la fin de la politique de mondialisation est visible sur le flanc droit du véhicule.

    D'après d'autres images diffusées sur les réseaux sociaux, le côté gauche est orné d'une phrase interpellant les "maudits assassins d'enfants et de personnes âgées". Des dizaines de policiers ont été aussitôt déployés et un chien renifleur a inspecté la voiture. On ne signale aucun blessé.

    La chancelière Angela Merkel doit présider ce mercredi matin une réunion en visioconférence avec les dirigeants des Länder du pays, au cours de laquelle doivent être débattues une éventuelle prolongation du "confinement léger" en vigueur en Allemagne et d'autres mesures pour lutter contre l'épidémie due au nouveau coronavirus.

    franceinfo


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  • Un chasseur qui participait à une battue a retrouvé plusieurs sacs de sport contenant de la drogue, dimanche 22 novembre près de l’autoroute A75 à proximité de Sévérac-le-Château (Aveyron). Au total, les sacs contenaient une centaine de kilos de produits stupéfiants. L’homme a immédiatement prévenu la gendarmerie.

    Ce n’était pas l’objet de sa quête, ce jour-là. Dimanche 22 novembre, un chasseur participant à une battue près de Sévérac-le-Château (Aveyron), a découvert plusieurs sacs de sport dans un petit ravin à proximité de l’autoroute A75. À l’intérieur, il a retrouvé plusieurs pains de drogue, rapporte Centre Presse Aveyron.

    Une centaine de kilos de drogue

    Il s’agissait vraisemblablement de résine de cannabis. Au total, les cinq sacs, pesant chacun entre 20 et 30 kg, contenaient une centaine de kilos de drogue, précise le quotidien départemental.

    Le chasseur a immédiatement fait part de sa découverte à la gendarmerie. Celle-ci doit déterminer comment ces sacs sont arrivés là et si quelqu’un avait l’intention de revenir les chercher. Lundi 23 novembre, le procureur de la République n’avait pas souhaité faire de commentaire sur cette affaire, indique Centre Presse Aveyron.

    Ouest-France


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  • 49e féminicide: une femme de 76 ans abattue par son mari à Herbignac (Loire Atlantique)

    Les faits se sont déroulés le 10 juillet dernier dans la commune d'Herbignac. L'époux, meurtrier présumé, a lui-même appelé les secours.

    Un homme de 78 ans a appelé les secours, le 10 juillet dernier, affirmant avoir tué sa femme à Herbignac, près de Saint-Nazaire. Il lui aurait tiré dessus avec une arme à feu vers 5h30 du matin avant de tenter de mettre fin à ses jours. L'homme a retourné l'arme contre lui. Grièvement blessé à la gorge, il a été transporté à l'hôpital par les sapeurs-pompiers et a succombé à ses blessures une semaine plus tard.

    Comme le rappelle à raison le collectif féminicides par compagnons ou ex, "l'âge, la maladie, la vieillesse, l'handicap ne justifient abosulement pas d'abattre sa femme comme du gibier !" En outre, puisque le meurtrier présumé est décédé, il n'y aura pas de procès.

    Femme actuelle


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  • À compter de demain, la Cour d’assises d’Indre-et-Loire, jugera Mohamed T., un “jeune” de 24 ans, déjà connu de la justice pour une foule de délits, pour l’agression sordide et ultra-violente d’une octogénaire vulnérable.

    En janvier 2018, dans le quartier sensible de la Rabaterie, à Saint-Saint-Pierre-des-Corps, le “jeune” n’avait pas hésité à violer la vieille dame, se déplaçant en déambulateur, et à la dépouiller de divers biens. Le criminel avait été confondu par son ADN.

     

    Les 25 et 26 novembre, la Cour d’assises d’Indre-et-Loire va juger Mohamed T., un “jeune” déjà condamné pour un grand nombre de divers délits, pour des faits de viol et d’extorsion sur personne vulnérable.

    En effet, le 6 janvier 2018, une vieille dame de 87 ans, résidant dans le quartier à forte population immigrée de la Rabaterie, à Saint-Pierre-des-Corps, rentrait péniblement des courses, appuyée sur son déambulateur.

    Alors que l’octogénaire approchait de son pavillon, Mohamed T., un “jeune” du quartier, s’était approché d’elle et lui avait proposé avec insistance de porter ses courses à l’intérieur. Forçant le passage, l’individu était parvenu à pénétrer dans le garage où il avait ensuite entraîné sa victime.

    C’est là que la vieille femme avait été victime d’un véritable supplice au motif d’obtenir sa carte bleue et son code secret. La malheureuse, en plus des coups, avait été violée par le “jeune” qui avait pratiqué sur elle de brutales pénétrations digitales.

    Sous la violence de l’agression, la pauvre octogénaire avait dû remettre ses biens et de l’argent liquide à son bourreau qui avait ensuite pris la fuite. Blessée et horriblement choquée, la vielle dame avait pu prévenir les secours et avait été hospitalisée.

    Finalement confondu par des traces d’ADN retrouvées sur les vêtements de la victime et sur les lieux du crime, Mohamed T., avait été interpellé et placé en détention provisoire. Il comparaîtra donc dès demain devant ses juges et risque 20 ans de réclusion.

    Sources : La Nouvelle République/ France Bleu/ Ouest-France

    FL 24.net

    Mais que faisait ce truand dehors ? Pauvre France !


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  • L'ancien international de rugby Christophe Dominici retrouvé mort

    L'ancien international de rugby Christophe Dominici a été retrouvé mort dans le parc de Saint-Cloud. L'ancien joueur du Stade français, qui était âgé de 48 ans, est monté sur le toit d'un bâtiment désaffecté du parc en début d'après-midi avant de sauter, a précisé une source policière à l'AFP.

    Voir aussi :Les plus beaux exploits sportifs de Christophe Dominici

    Un témoin l'aurait vu faire une chute de 10 mètres

    Selon le parquet de Nanterre, un témoin aurait vu l'ancien joueur faire une chute de 10 mètres. Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte par le parquet de Nanterre (région parisienne).

    L'ancien ailier (67 sélections) avait remporté cinq fois le titre de champion de France avec le Stade Français et avait été finaliste de la Coupe du monde en 1999 avec le XV de France, prenant notamment une part prépondérante dans la victoire d'anthologie face à la Nouvelle-Zélande en demi-finale.

    Paris-Match


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  • Depuis 2017, l’homme a déjà été arrêté à plusieurs reprises et condamné pour les mêmes faits

    A la barre du tribunal correctionnel de Bourgoin-Jallieu, devant lequel il comparaissait une nouvelle fois, l’homme n’a pas tenté de nier les faits ou d’atténuer son comportement. Lundi, cet agriculteur d’une trentaine d’années a été condamné à six mois de prison ferme après avoir été interpellé en état d'ivresse au volant de son tracteur dimanche, entre Oyeu et les Villages-du-Lac-de-Paladru (Isère).

    Une peine à laquelle s’ajoutent six autres mois, révoqués de deux sursis précédents, rapporte Le Dauphiné.

    Mandat de dépôt

    Car l’homme n’en est pas à son coup d’essai. Depuis 2017, c’est la cinquième fois qu’il est arrêté en état d’ivresse sur la route. Lors des faits précédents, son permis avait été annulé et il ne l’a jamais récupéré depuis. Lundi, lors de son jugement en comparution immédiate, l’éleveur, qui a repris l’exploitation familiale, a reconnu s’être arrêté chez un couple de personnes âgées, de retour des prés. Des gens qu’il n’avait pas vus depuis longtemps en raison du confinement. Il a refusé une première fois le verre proposé, puis une seconde, mais la troisième fois, il a fini par accepter, a-t-il expliqué au juge.

    Ses agissements en état de récidive ont pesé lourd contre lui. Alors que son avocat a essayé de convaincre le tribunal de le laisser travailler et de lui épargner un séjour en prison, le juge a suivi les réquisitions du ministère public et a prononcé un mandat de dépôt. L’agriculteur a donc été placé en détention à l’issue de l’audience.

    20 Minutes


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  • La victime a été évacuée à l’hôpital alors que ses jours étaient en danger. Les trois suspects l’ont laissée pour morte et ont pris la fuite.

    Les sapeurs-pompiers ont été alertés vers 17 heures ce dimanche. Une femme âgée de 78 ans venait d’être violemment percutée par une voiture, dans le quartier du Blosne, dans le sud de Rennes (Ille-et-Vilaine).

    Sur place, les secours ont pris en charge cette femme âgée qui présentait de multiples fractures. Elle a été transportée à l’hôpital dans un état grave après avoir été médicalisée sur place dans un premier temps. Son pronostic vital était à ce moment-là engagé.

    Trois suspects en fuite

    Dans le même temps, les policiers ont procédé aux premières constatations. Le véhicule en cause, une Renault Mégane break, avait été abandonnée sur le lieu du drame par les auteurs qui étaient semble-t-il trois selon les premiers éléments. Ils étaient en plein rodéo sauvage lorsque la victime a été renversée, alors qu’elle marchait sur le trottoir. La septuagénaire qui gisait au sol a été laissée pour morte et les mis en cause ont pris la fuite.

    Une enquête a été ouverte afin de les retrouver. Les investigations ont été confiées au commissariat de la ville. L’état de santé de la victime s’est amélioré dans la soirée malgré son état grave. Son pronostic vital n’était alors plus engagé.

    ACTU 17

    Mais de quelle origine ces 3 gentils messieurs ???


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  • Gérald Darmanin a réagi ce mardi après les violences perpétrées par des policiers lundi 23 novembre au soir lors du démantèlement d’un camp de migrants à Paris.

    Sur les images qui circulent sur les réseaux sociaux, on voit en effet des membres des forces de l’ordre molester des migrants et des journalistes.

    « Le rapport du préfet de police sur l’évacuation du campement illicite place de la République m’a été remis ce matin », a indiqué le ministre de l’Intérieur sur Twitter. « Celui-ci m’a proposé la saisine de l’IGPN sur plusieurs faits inacceptables.»

    Conclusions d’ici 48 heures

    Gérald Darmanin a demandé à la « police des polices » de remettre ses conclusions d’ici 48 heures et s’est engagé à les rendre publiques.

    Le ministre de l’Intérieur avait dénoncé lundi soir sur Twitter « des images choquantes ». Ce tweet intervient en pleine polémique sur l’article 24 du texte controversé de la loi « sécurité globale », qui doit être voté ce mardi après-midi à l’Assemblée nationale.

    L'OBS

    Les frontières devraient être fermées !

    Et on aurait pas dû les laisser entrer en France !


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  • En plein confinement, une quarantaine de personnes se sont rassemblées dans un bar pour un anniversaire. L'organisateur de la soirée a été placé en garde à vue.

    Le week-end du 21 novembre n'a pas été agité qu'à Paris. À Marseille, les policiers sont intervenus, dans la nuit de samedi à dimanche, dans un café où une fête d'anniversaire clandestine était organisée, sans aucun geste barrière, rapporte Europe 1. Alertés par le voisinage, qui n'appréciait guère le niveau sonore à 2 heures du matin, les policiers ont verbalisé sur place 45 fêtards. Situé dans le centre-ville de la cité phocéenne, "Le Loft", était censé être fermé comme tous les autres bars et restaurants depuis le 30 octobre, date du début du reconfinement.

     

    À l'intérieur de l'établissement, les convives n'étaient évidemment pas masqués et ne possédaient aucune attestation valide. Les forces de l'ordre n'ont donc pas hésité à les verbaliser. Chaque participant à la fête a ainsi reçu deux amendes de 135 euros : une pour le non-port du masque et une seconde pour le non-respect du confinement, poursuit Europe 1. Soit un total salé de 270 euros. Quant à l'organisateur des festivités : il a été placé en garde à vue pour "mise en danger de la vie d'autrui". La préfecture de police des Bouches-du-Rhône a salué "la réactivité des forces de l'ordre" et a indiqué que ces amendes visaient à "leur faire prendre conscience des risques".

     

    Le week-end dernier, une fête clandestine regroupant plus de 300 participants a également été organisée dans le 13e arrondissement de Paris. C'est grâce à des vidéos postées sur les réseaux sociaux après la soirée que les autorités ont eu vent de ce gigantesque rassemblement, sans aucun respect des règles sanitaires. Pour l'occasion, un vieux hangar situé sur une ancienne voie de chemin de fer avait été transformé en boîte de nuit. Une soirée de la même envergure avait été organisée quelques jours auparavant dans un loft de Joinville-le-Pont (Val-de-Marne). Après l'intervention des forces de l'ordre, le propriétaire de la maison et un vigile avaient été mis en examen pour "mise en danger délibérée de la vie d’autrui", "exécution d’un travail dissimulé à l’égard de plusieurs personnes" et "ouverture irrégulière d’un établissement recevant du public dans une circonscription en état d’urgence sanitaire".

    Capitaluros

    45 fois 270 euros, cela en fait du pognon pour macron !


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  • Un homme âgé de 26 ans a été poignardée à mort à Montbéliard (Doubs) dans la nuit de dimanche à lundi. Un suspect a été placé en garde à vue.

    Une rixe a été signalée vers 1 heures du matin sur le boulevard des Alliés à Montbéliard. Trois individus étaient impliqués selon un témoin. Les policiers sont rapidement arrivés sur les lieux et ont découvert un homme qui était blessé à l’arme blanche. Ce dernier venait tout juste d’être pris en charge par les sapeurs-pompiers et présentait une importante blessure à une cuisse.

    Médicalisé sur place dans un premier temps, cet homme de 26 ans a été transféré à l’hôpital où il est décédé peu après. Plus tard dans la nuit, à 03h40, un homme âgé de 34 ans a contacté le commissariat par téléphone, déclarant qu’il était l’auteur du coup de couteau mortel.

    « Un homme a voulu les séparer et c’est lui qui a été blessé et qui est décédé »

    Il a précisé l’adresse où il se trouvait, sur la commune de Valentigney, et a été interpellé puis placé en garde à vue. Le couteau qu’il aurait utilisé au moment des faits a été saisi précise une source policière.

    « Il s’agit d’une altercation entre deux personnes, un homme a voulu les séparer et c’est lui qui a été blessé et qui est décédé. L’homme placé en garde à vue sera présenté demain [ce mardi] à la justice », a déclaré la procureure de la République à Montbéliard, Ariane Combarel, à France 3.

     

    Le mis en cause était jusqu’ici inconnu des services de police. Un différend au sujet de la vente de vêtements de marque serait à l’origine de cette bagarre sanglante. L’un des protagonistes aurait estimé qu’il s’agissait de contrefaçons.

    ACTU 17


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  • Voici une affaire des plus insolites. C'est le Daily Mail qui raconte cette histoire, il y a quelques mois. Elle se déroule à Liverpool. Un homme a dû faire appel à une entreprise de plomberie pour son appartement pour quelques réparations. Ce dernier visiblement méfiant a décidé de se prémunir de toutes mésaventures. Pour cela, il a décider de dissimuler une caméra dans son appartement lors de la venue de plombiers.

     

    Si cela peut paraître bien trop excessifs pour certains, ils se pourraient qu'ils changent d'avis très vite après avoir entendu le reste de l'histoire. Pourquoi ? Parce qu'il s'est avéré que l'homme en question a très bien fait de s'équiper de la sorte.

    Ils fouillent toute la maison

    Ce qui a été enregistré est plutôt incroyable. On peut ainsi voir les deux plombiers fouiller dans la maison, rire et même sortir un petit coffre ressemblant à un trésor. En espérant y trouver des objets de valeurs et les voler ? Mystère.

    Quelques heures plus tard, le propriétaire de l'appartement est revenu chez lui accompagné d'un plombier sans doute moins louche de la même compagnie, et lui a dévoilé l'existence de la caméra cachée. On en connait qui ont dû se sentir mal, très mal. Surtout que la société de plomberie a annoncé finalement qu'elle avait viré ses deux ouvriers pas très sérieux suite à cette affaire.

    On en connaît beaucoup qui n'aurait pas pensé ce genre d'histoire possible. La preuve, être méfiant comme cet homme peut avoir quelques avantages. On parie que certains d'entre vous vont vouloir être présents lors de la prochaine visite du plombier !

    Gent Side


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  • Montbéliard : Ils volent un engin de chantier et s’en servent pour détruire des vidéosurveillances

    Un engin de chantier a été dérobé par un groupe d’individus ce dimanche soir à Montbéliard (Doubs). Le véhicule a été utilisé pour détruire des caméras de surveillance et du mobilier urbain.

    Les images dénotent des agissements violents et sans limite. Les faits se sont déroulés ce dimanche soir dans le quartier de la Petite-Hollande à Montbéliard. Les auteurs ont attendu la tombée de la nuit pour agir rapporte L’Est Républicain. Un engin de chantier, un « dumper », a été volé sur le chantier des Hexagones.

    Les émeutiers s’en sont alors servis pour commettre des destructions et des dégradations. Ce sont d’abord les nouvelles caméras de surveillance installées dans la semaine qui ont été prises pour cible. L’engin de chantier a été utilisé pour renverser les mâts comme le montrent des vidéos amateurs diffusées sur les réseaux sociaux. Des hommes à motocross sont visibles sur ces images.

     

    Des lampadaires et des panneaux de signalisation ont également été renversés. Le conducteur a ensuite arrêté le dumper devant la piscine située rue Ravel et l’a incendié. La police est intervenue peu après, et des renforts venant de Besançon ont été sollicités. On ne sait pas s’il y a eu des interpellations.

    « On ne va quand même pas laisser le quartier aux voyous »

    « S’il n’y a pas de danger immédiat et encore moins d’intégrité physique en jeu, il n’y a pas raison de s’exposer à un caillassage. Il faut être dans un rapport de force inversé, en faveur de la police », a déclaré le commissaire Michel Klein, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP), au quotidien régional.

    Une position qui a fait bondir la maire de la ville, Marie-Noëlle Biguinet : « S’il n’y a pas d’action forte de la police et de la justice, ça ne peut pas fonctionner. On ne va quand même pas laisser le quartier aux voyous ».

    ACTU 17


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  • Un camp de réfugiés et de migrants s’est installé place de la République à Paris ce lundi soir. Les forces de l’ordre sont en train d’intervenir.

    Plusieurs dizaines de tentes ont été installées sur la place de la République de Paris ce lundi soir vers 19 heures. Un dispositif de policiers et de gendarmes a été déployé pour évacuer ces personnes. L’intervention est actuellement en cours.

    Selon Utopia 56, près de 450 personnes se sont installées sur la place de la République. « Nous demandons des ouvertures de places d’hébergement et un réel système d’accueil des exilé.e.s », écrit l’association sur Twitter.

    L’intervention se transforme en mêlée générale.

    ACTU 17 - 23 11 2020

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    Démantèlement d'un camp de migrants à Paris : "On a reçu des coups", dénonce Rémy Buisine

    Lundi soir, un campement de migrants a été démantelé, sur la place de la République à Paris, lors d'une opération policière musclée qui a fait réagir le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin. Sur Europe 1, le journaliste Rémy Busine a raconté avoir été frappé au sol par un policier. 

    TÉMOIGNAGE :

    Plusieurs centaines de migrants, en errance depuis l'évacuation d'un important camp d'exilés la semaine dernière, ont monté lundi un nouveau campement dans le centre de Paris, que les forces de l'ordre ont démantelé sans ménagement dans la soirée, en faisant notamment usage de gaz lacrymogène. Rémy Buisine, journaliste du média en ligne Brut, a couvert l'intégralité de la scène. Au micro d'Europe 1, il affirme avoir été frappé au sol par un policier.

    "Ca a dérapé totalement, les policiers sont intervenus. Ils ont arraché les tentes, qui ont été par ailleurs confisquées. Nous, en tant que journalistes, on a été entravés à de nombreuses reprises. On a reçu des coups. On a été bousculés. On n'a pas arrêté de dire que l'on était la presse mais ça ne changeait rien. Il y a même un policier qui, après que je me sois retrouvé au sol avec un pied sur ma jambe, me dit : 'Jamais deux sans trois'", raconte le journaliste. 

    "Les entraves à la liberté de la presse sont toutes condamnables"

    "J'espère qu'il y aura de très fortes réactions par rapport à ce qu'il s'est passé parce que la réalité de ce soir, elle laisse sans voix, sans mot. Elle est bouleversante, pas pour nous les journalistes mais pour eux [les migrants]. Ce soir, si je suis touché, ce n'est pas pour moi. Malheureusement, ce que j'ai vécu ce soir, je l'ai déjà vécu beaucoup de fois. Les entraves à la liberté de la presse sont toutes condamnables. Elles ne doivent pas exister. Mais ce qui est d'autant plus grave, c'est ce qui s'est passé avec eux [les migrants], ce soir.", dénonce Rémy Buisine. 

    Peu de temps après l'intervention des forces de l'ordre, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a dénoncé des "images choquantes", ajoutant avoir demandé un rapport au préfet de police sur la réalité des faits. 

    Europe 1


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  • Un homme a été victime d’une violence agression en pleine rue à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) ce dimanche vers 21 heures. Il a été évacué à l’hôpital alors que son pronostic vital était engagé.

    Coups de couteau en pleine rue ce dimanche soir à Saint-Ouen. Un homme a été agressé par deux individus à hauteur du 25 avenue Michelet pour lui voler son téléphone portable. La victime ne s’est pas laissée faire et a résisté.

    Pour lui faire lâcher prise, l’un des agresseurs l’a poignardée à plusieurs reprises, au niveau du thorax ainsi qu’aux mains. Les policiers ont été alertés et se sont rapidement transportés sur les lieux, parvenant à retrouver l’un des auteurs présumés qui a été interpellé. Ce dernier avait un couteau sur lui. Il serait l’agresseur qui a porté les coups de couteau et a été placé en garde à vue. Son complice a disparu avec le téléphone de la victime.

    Il se rebelle et hurle « Allah Akbar »

    L’homme qui est grièvement blessé a été pris en charge par les secours avant d’être transporté à l’hôpital alors qu’il était entre la vie et la mort. Opéré dans la nuit, son pronostic vital n’était plus engagé ce lundi matin.

    Par ailleurs, le mis en cause s’est rebellé durant son transport au commissariat et a hurlé « Allah Akbar » selon une source policière. Une enquête a été ouverte pour tentative d’homicide aggravée, apologie du terrorisme et vol. Les investigations ont été confiées au commissariat de la ville et permettront de déterminer le profil exact du suspect.

    ACTU 17

    On sait donc l'origine des voleurs avec le allah akbar !!!


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  • Violences urbaines à Mâcon : les policiers visés par des tirs de mortiers, une école et des voitures incendiées

     

    Ecole maternelle Jean Moulin

    Nouvelles violences urbaines à Mâcon (Saône-et-Loire) dans la nuit de samedi à dimanche.

    Longue nuit pour les forces de l’ordre et les sapeurs-pompiers à Mâcon. Des violences urbaines ont débuté vers 22 heures lorsque les policiers sont intervenus dans le quartier de La Chanaye rapporte Le journal de Saône-et-Loire. Les fonctionnaires ont été la cible de tirs de mortiers d’artifice et de jets de projectiles. Des renforts ont ensuite été demandés.

    Plusieurs voitures ont été incendiées au cours de la nuit. Des feux de containers poubelles ont également été signalés dans le quartier Marbé, où un incendie a été allumé à l’école maternelle Jean-Moulin vers 3 heures du matin.

     

    La façade de l’établissement scolaire a été brûlée mais les flammes ne se sont visiblement pas propagées à l’intérieur, par chance. Les sapeurs-pompiers sont intervenus à de nombreuses reprises au cours de la nuit.

    « Les coupables devront être sévèrement punis »

    «  Je suis scandalisée et indignée face à de tels agissements et je trouve insupportable que l’on s’attaque à une école, lieu d’apprentissage pour tous. C’est un symbole de la République qui a été visé. Les coupables devront être sévèrement punis », a réagi la première adjointe au maire, Catherine Carle-Viguier, auprès de nos confrères.

    Déjà le week-end dernier, Mâcon avait été le théâtre de violences urbaines. Les sapeurs-pompiers étaient tombés dans un guet-apens et avaient été violemment pris pour cible, tout comme les policiers à leur arrivée.

    ACTU 17


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