• Est-ce un phénomène de série ? Un nouveau patient s’est enfui de l’hôpital psychiatrique Gérard Marchant de Toulouse vendredi, a indiqué l’Agence régionale de santé d’Occitanie. Il s’agit de la quatrième fugue d’un individu dangereux en dix jours dans la Ville rose.

    Ce patient toujours en fuite, âgé de 43 ans, est connu pour des faits de viol, a-t-on appris d’une source proche de l’enquête. Il est le troisième, en moins de deux semaines, à s’échapper de cet hôpital psychiatrique situé au sud de Toulouse. «Des mesures supplémentaires de sécurisation avaient été demandées par le directeur général de l’ARS Occitanie dans les services de psychiatrie à Toulouse, pour éviter toute nouvelle fugue de patient», explique pourtant l’ARS dans un communiqué.

    Le «cannibale des Pyrénées»

    Ces mesures, qui visaient directement l’hôpital Gérard Marchant et le centre hospitalier universitaire Purpan de Toulouse, impliquaient entre autres «la sécurisation des entrées et sorties» et «le renforcement de la surveillance des patients», précise l’institution.

    La semaine dernière, deux patients de ce même hôpital psychiatrique de Toulouse avaient également fugué, avant d’être localisés quelques heures plus tard, et internés à nouveau. Ces deux hommes, soupçonnés de meurtres, avaient été considérés pénalement irresponsables et n’avaient pu être jugés.

    Le premier, un ancien militaire de 34 ans surnommé le «cannibale des Pyrénées», s’est échappé de l’hôpital Marchant le 19 janvier, avant d’agresser une femme de 72 ans qui promenait son chien dans un quartier résidentiel de Toulouse. Il avait été mis examen en 2013 pour homicide volontaire et actes de cannibalisme. Le deuxième, âgé de 48 ans, impliqué dans un homicide en 2010, s’est enfui dimanche, avant d’être interpellé par la police.

    L’Agence régionale de santé Occitanie a annoncé avoir demandé à la direction de l’hôpital Marchant l’ouverture d’une enquête administrative et a diligenté une mission d’inspection.

    Jeudi, un troisième patient en psychiatrie s’était échappé d’un autre établissement toulousain, l’hôpital Purpan, avant d’être retrouvé quelques heures plus tard en centre-ville pour être ramené à l’hôpital. En 2017, il avait délibérément foncé sur trois étudiantes chinoises au volant de sa voiture dans une localité de la périphérie de Toulouse.

    Libération


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  •  Lors du contrôle d’un fourgon, les membres de la brigade ont trouvé dans un sac noir 613 kg de drogue de synthèse

    Lorsque les douaniers ont contrôlé un fourgon le 19 janvier à Millau, en Aveyron, ils ne s’attendaient certainement pas à faire une saisie de cette envergure. Caché au milieu de plusieurs cartons, un sac noir contenait une poudre blanche à l’aspect de cristaux. Les membres de la brigade décident alors de faire des tests, qui réagissent rapidement, notamment à la kétamine et aux « sels de bain », substances qui imitent les effets de l’ecstasy.

    Le sac pèse 613 kg. Les douaniers envoient alors des prélèvements à un laboratoire spécialisé de Marseille (Bouches-du-Rhône) qui leur révèle qu’il s’agit de cathinones, une drogue de synthèse. Selon les calculs de la direction régionale des douanes, cette marchandise pourrait se revendre 9,194 millions d’euros.

    Une saisie exceptionnelle, « qui, sur ce type de stupéfiant, n’a pas d’équivalent en termes de volume au cours des dernières années en France, voire en Europe ». Le chauffeur, qui venait d’Espagne et se rendait aux Pays Bas, a été confié à la police judiciaire de Montpellier.

    20 Minutes


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  • La mère du garçon de 10 ans découvert mort jeudi midi à Ferrières-en-Brie (Seine-et-Marne) a été interpellée ce vendredi à 10h30 dans le centre de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) chez une soeur.

    Ce ne sont pas ses proches qui l’ont dénoncée ni même elle qui s’est rendue à la police, c’est le résultat de l’enquête menée par la brigade criminelle de la Direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Versailles depuis la découverte du corps sans vie de l’enfant, placé dans une valise jetée dans une benne près du domicile familial. Suspect numéro 1 dans l’enquête sur la mort de son fils, la femme de 33 ans, décrite comme souffrant de troubles psychologiques, a été placée en garde à vue dès son arrestation. Selon nos informations, elle est de taille moyenne et de corpulence mince. Elle est en cours de transfert vers les locaux de la DRPJ de Versailles, où elle sera interrogée sur les circonstances du décès de son fils et de la tentative de dissimulation de son cadavre. En effet, le corps de l’enfant, probablement mort poignardé, a été trouvé placé dans une valise elle-même jetée dans une benne à gravats à une centaine de mètres de leur domicile. Elle devra aussi s’expliquer sur sa fuite chez une soeur dans le Val-de-Marne. Une psychologue scolaire à l’école bien que l’enfant n’y était pas scolarisé Les policiers interviennent dans le cadre de l’enquête pour homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans ouverte jeudi par la procureure de la République de Meaux. L’autopsie du corps de l’enfant devrait avoir lieu ce vendredi à l’Institut médico-légal à Paris. Maire de Ferrières-en-Brie, Mireille Munch (Cap Ecologie) se dit « bouleversée par la mort de l’enfant » et « soulagée d’apprendre que la mère a été arrêtée vivante ». Face à ce « drame familial », elle préfère « laisser l’enquête se dérouler ». Elle l’a d’ailleurs publié sur la page Facebook de la commune : « Nous partageons complètement la détresse de cette famille mais il faut laisser l’enquête se dérouler ». L’élue a aussi publié des informations à destination des parents d’écoliers qui s’inquiéteraient de l’impact psychologique de la nouvelle sur leurs enfants. « L’Education nationale a mandaté une psychologue scolaire au groupe scolaire de la Taffarette pour répondre aux éventuelles questions des enfants, même si cet enfant n’était pas scolarisé à Ferrières-en-Brie et même si cette famille était arrivée très récemment sur la commune », a-t-elle publié ce vendredi matin. « On espère avoir des réponses avec l’enquête » Rue des Mimosas, ce vendredi matin, des habitants de Ferrières-en-Brie sont postés devant la maison de la famille au cœur du drame. Un pavillon à l’architecture moderne et aux murs blancs, fraîchement sortie de terre comme le reste du lotissement. « C’est la stupéfaction car on se dit que ça arrive toujours ailleurs ! On n’arrive pas y croire, c’est une commune tranquille où vivent plutôt des personnes âgées et des foyers aisés. Je l’ai appris ce jeudi alors que je conduisais mon autocar. Un ami m’a envoyé une photo de cars de CRS puis un article sur la disparition inquiétante d’un garçon. Je me suis dit qu’ils allaient le retrouver mais quand j’ai appris, j’ai eu envie de vomir. C’est choquant si c’est la mère car elle l’a porté dans son ventre, elle l’a allaité, elle l’a sevré et a joué avec lui. J’ai six neveux et deux nièces, on se met à la place des enquêteurs qui ont retrouvé le corps », témoigne Karim*, un chauffeur d’autocar de 37 ans, qui habite le centre-ville. « J’ai appris par la mère d’un ami qu’il y avait de nombreux CRS sur place, puis un article a confirmé. Quand nous sommes venus ici, nous avons constaté un déferlement de policiers et d’enquêteurs. Nous sommes tous choqués, on se dit que ça n’arrive que dans les films et que ça ne peut pas avoir lieu ici ! », confie Léo*, 21 ans, qui croit avoir identifié la benne où s’est déroulée la macabre découverte. « On espère avoir des réponses avec l’enquête, car c’est une âme qui a été retirée froidement de ce monde. S’il y a une marche blanche évidemment que j’y participerai », renchérit Karim. Une éventualité pour le moment écartée par la maire de Ferrières-en-Brie, Mireille Munch (Cap écologie). « Ce n’est pas prévu pour le moment. Respectons la mémoire de ce petit garçon et laissons l’enquête se dérouler », insiste la première magistrate. * Les prénoms ont été changés Plus d’informations à venir…

    Le Parisien


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  • Un agent administratif du commissariat de police de Rennes s'est suicidé ce jeudi en se jetant du toit de l'immeuble, a-t-on appris auprès du parquet de Rennes.

     

    "Un personnel administratif du commissariat de police de Rennes, né en 1987, est décédé ce jour vers 12h10 en se jetant volontairement depuis le haut de l'immeuble du service", a indiqué à l'AFP le procureur de la République de Rennes, Philippe Astruc.

    "Un magistrat du parquet de Rennes s'est rendu sur place dans le cadre de l'enquête en recherche des causes de la mort", a-t-il ajouté.

    Depuis le début de l'année, neuf policiers et un gendarme se sont suicidés en France.

    BFM.TV


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  • Ce mercredi 26 janvier 2022, aux alentours de 12 h, une femme est décédée après avoir été heurtée par un camion d’une société privée de ramassage des déchets qui reculait à Carantec (Finistère).

    Une octogénaire, habitante de Carantec (Finistère), est décédée après avoir été renversée par un camion à ordures, au niveau de la rue Maréchal-Foch, ce mercredi 26 janvier 2022, aux alentours de 12 h. Il s’agit d’un véhicule d’une société privée de ramassage des déchets.

    « Derrière le restaurant La Table de Ty Pot »

    L’accident s’est déroulé dans le bourg de Carantec, « derrière le restaurant La Table de Ty Pot », selon Nicole Ségalen-Hamon, maire de la commune.

    Selon les premiers éléments, il semblerait que « le camion ramassait les poubelles comme à son habitude, et a reculé » sans voir qu’il y avait quelqu’un derrière.

    La maire, les gendarmes, les pompiers et les services techniques de la mairie sont sur place.

    Le chauffeur du camion, très choqué, a été emmené au centre hospitalier des Pays de Morlaix. Il était négatif au dépistage d’alcool et de stupéfiants.

    Ouest-France


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  • L’affaire a débuté quand quelques professionnels de santé ont commencé à recevoir des cartons de tests antigéniques… sans même les avoir commandés. Derrière ces envois : des pharmaciens parisiens, qui auraient organisé un système de commandes de milliers de kits de dépistage dont le nombre était surévalué au moment de les facturer à la Sécurité sociale, qui les rembourse. Intriguée par le montant particulièrement salé de certaines factures, la caisse primaire d’assurance maladie de Paris a fini par effectuer un signalement à la justice.

    Après plusieurs semaines d’enquête, un pharmacien de 46 ans a été mis en examen le 17 décembre pour «escroquerie en bande organisée» par une juge d’instruction du tribunal judiciaire de Paris et placé en détention provisoire. Il est soupçonné d’avoir détourné 18 millions d’euros par le biais de ce système de surfacturation. Un de ses confrères a été placé en garde à vue, puis remis en liberté, après avoir été interrogé sur une facture de quatre millions d’euros de vente de tests. D’importantes sommes en cash ont été retrouvées par les policiers dans l’une des pharmacies et des saisies pénales sur plusieurs comptes bancaires ont été demandées par la justice.

    Arnaque à grande échelle

    Une grosse faille du système d’approvisionnement en tests antigéniques serait à l’origine de la fraude. Les pharmaciens ne sont pas uniquement compétents pour pratiquer des dépistages. Ils ont en outre la possibilité d’approvisionner en tests tous les professionnels de santé : infirmières, médecins généralistes, kinésithérapeutes… Dans ce cas de figure, ils sont ensuite remboursés par l’assurance maladie pour les stocks ainsi délivrés. C’est précisément ce qui a permis la mise en œuvre de cette arnaque à grande échelle. En effet, il n’y a pas de contrôle systématique entre le nombre de tests facturés et ceux effectivement commandés (et livrés).

    Libération a d’ailleurs pu constater qu’un véritable démarchage est opéré auprès des médecins généralistes ou des cabinets infirmiers pour les inciter à commander des tests. Des e-mails ainsi libellés sont envoyés en masse : «Pour finaliser la prise en charge en totalité par l’assurance maladie, nous vous prions de nous joindre une photo de votre carte CPS [carte de professionnel de santé, ndlr], ainsi qu’une ordonnance a votre nom avec la mention : «30 boîtes de 25 tests antigéniques pour usage professionnel». Dès réceptions de votre carte CPS et de l’ordonnance […] nous faisons partir les tests à votre adresse.»

    La question est maintenant de savoir si d’autres surfacturations ont été repérées. La Brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA), en charge de cette enquête, serait sur la piste de pharmaciens fraudeurs situés dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et dans l’est de la France. Hasard ou coïncidence, tous seraient membres du même groupement de pharmaciens constitué à l’origine pour réaliser des achats groupés. «Le cerveau de cette affaire n’est pas mon client», assure Ilana Mrejen, l’avocate du pharmacien incarcéré.

    Libération


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  • Un accident mortel s’est produit à la gare de Gauriaguet, en Gironde, mercredi 26 janvier 2022. Un jeune homme de 20 ans a été percuté par un train alors qu’il traversait les voies. Une enquête est en cours.

    Un jeune homme de 20 ans est mort, mercredi 26 janvier 2022, après avoir été percuté par un train en gare de Gauriaguet, en Gironde. L’accident s’est produit aux alentours de 7 h 30, alors que la victime traversait les voies, rapporte France 3 Nouvelle-Aquitaine.

    Lancé à pleine vitesse, le TER reliant Bordeaux à Saint-Marien n’a pas pu éviter le jeune homme. Ce dernier se rendait sur son lieu de stage, a confié à nos confrères de France Bleu Gironde Brigitte Misiak, la maire (PS) de Marsas, un village voisin dans lequel vivait la victime.

    Une enquête ouverte

    « Si on veut aller à Bordeaux, il faut traverser les voies. Pour toutes les gares rurales c’est comme ça. Il n’y a pas de passerelles ou de souterrains. Il n’y en a que dans les grandes gares »a expliqué à Sud Ouest, Alain Montangon, le maire (DVG) de Gauriaguet.

    « Les causes de l’accident restent encore floues mais il n’y aurait pas eu de défaillance de la SNCF », a indiqué Brigitte Misiak à la radio locale avant de préciser. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame. La gendarmerie de Saint-André de Cubzac est en charge des investigations.

    Ouest-France


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  • Il a fallu dix mois aux deux généalogistes pour retrouver des adresses temporaires de cet homme et le contacter. L'héritier a assuré ne pas vouloir changer de mode de vie.

    100.000 euros d'héritage. C'est la somme qu'a touchée un homme SDF de Rennes grâce au long travail d'enquête de deux généalogistes.

    Après avoir été mandatés par un notaire, car "personne ne s'était présenté chez lui pour toucher la succession d'un homme décédé", les spécialistes ont rapidement retrouvé les deux filles du disparu, sans parvenir à contacter son fils, a relaté Ouest-France.

    "C’était un contexte familial complexe, sur fond de brutalités. Le fils a quitté le domicile dès qu’il a pu et s’est marginalisé", a expliqué l'un des généalogistes.

    "L'argent ne l'intéressait pas du tout"

    Il a fallu dix mois d'enquête pour que les spécialistes retrouvent plusieurs adresses temporaires de l'homme recherché. Ils ont alors décidé de lui laisser une carte de visite et une lettre pour lui expliquer l'objet de leur recherche. Une démarche qui a permis au Rennais de prendre contact avec eux.

    "Il a fallu lui apprendre que son père était mort, il ne le savait pas. Il était très affecte", rapporte un généalogiste.

    Si l'homme a finalement hérité de 100.000 euros après plus de deux ans de démarches de succession, "l'argent ne l'intéressait pas du tout", a raconté l'un des généalogistes.

    Ce qui importait au quadragénaire, c'était d'avoir "des nouvelles de sa famille, de sa sœur, des photos." Sans domicile fixe, il a d'ailleurs assuré à l'expert qu'il "ne comptait pas changer de mode de vie".

    BFM.TV


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  • Le Mexique est sous le choc depuis plusieurs jours, après la découverte du cadavre d’un bébé dans une prison. L’enfant aurait été utilisé pour introduire de la drogue dans l’établissement.

    L’histoire de «bébé Tadeo» bouleverse le Mexique. Le 10 janvier dernier, le cadavre de cet enfant a été découvert dans une décharge d’une prison de l'Etat de Puebla par un détenu. «El Universal » explique que Tadeo est né le 4 octobre 2020 dans un hôpital de Mexico. Souffrant d’une malformation intestinale, il est mort le 5 janvier 2022 à l’hôpital. Le lendemain, son corps a été enterré dans un cimetière situé près de la mairie d'Iztapalapa, à Mexico. C’est quelques jours plus tard que son cadavre a été trouvé dans la prison, après avoir été exhumé. D’après les autorités, Tadeo pourrait avoir été utilisé pour introduire de la drogue dans l’établissement. Le bébé a pu être admis entre les murs du centre dans le cadre d’une visite familiale. Les examens ont révélé une blessure à l’abdomen sur le corps de la petite victime, laissant là encore penser que Tadeo a servi de «mule».

    Tadeo n’a pas été identifié immédiatement. Ce sont ses parents, après avoir entendu parler de cette affaire dans les médias, qui ont fait le lien entre leur fils et le bébé de la prison. Ils ont notamment reconnu l’enfant grâce à la description d’un bracelet qu’il portait à son poignet gauche, sur lequel était inscrit le surnom Ayala Peralta. Le couple est alors allé au cimetière et a découvert la tombe vide de leur fils. «El Universal» rapporte qu’au moment où ils ont voulu signaler l’incident, ils auraient reçu des menaces.

    "On ne peut pas imaginer les motivations d'un acte de cette nature"

    La maire d'Iztapalapa, Clara Brugada, a indiqué que l'administrateur du cimetière de San Nicolás Tolentino a été démis de ses fonctions et a annoncé que tous les employés témoigneront devant le bureau du procureur de la capitale pour clarifier les faits. Elle a également fait savoir que la surveillance des cimetières de la ville sera renforcée par des drones et des caméras de surveillance. Les autorités ont rappelé que des poursuites pénales seront engagées contre tout travailleur impliqué dans cette affaire. «Cela nous fait très mal, on ne peut pas imaginer les motivations d'un acte de cette nature. Il ne fait aucun doute que nous sommes face à un acte criminel qui menace la dignité des individus et des familles», a souligné la mairie.

    Une fois toutes les analyses faites sur le cadavre de Tadeo, l’enfant a été rendu à ses parents. Son corps a été inhumé une deuxième fois dimanche. «C'est une chose sinistre qui s'est passée», a déploré le gouverneur de Puebla, Miguel Barbosa, qui a destitué son responsable régional de sécurité.

    Paris Match


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  • Document RMC - Pour faire face à la pénurie de main d'œuvre, les dealers marseillais recrutent des mineurs venus de toute la France via les réseaux sociaux.

    Ils ont 14, 15, 16 ans et viennent de toute la France pour un contrat à durée déterminée à Marseille, un contrat dans le trafic de stupéfiants. "Ces jeunes-là sont recrutés à travers les réseaux sociaux, en CDD ou en CDI", explique Amine Kessaci, président de l'association "Conscience" à Marseille, qui aide les mineurs à sortir du trafic et rappelle que ce n'est pas une activité de tout repos: "Ce n'est pas juste être assis toute la journée, c'est aussi se faire gifler parce qu'il n'y a pas 50 euros dans la sacoche ou se faire gifler parce qu'on n'a pas assez travaillé dans la journée", prévient-il.

    À Marseille, il existe plus de 150 points de deal clairement identifiés, un commerce illégal qui peut attirer des mineurs en difficulté: "Il s'agit de mineurs en déshérence, en difficulté, de mineur isolé ou de personnes en rupture familiale", explique à RMC Eddy Sid, délégué SGP Unité Police FO à Marseille.

    Et depuis plusieurs années, les jeunes engagés dans le trafic sont originaires d'autres villes parfois très éloignées de Marseille, de l'axe rhodanien et du Val-d'Oise notamment.

    Un phénomène qui s'est accéléré depuis cet été

    "C'est de la chair à canon. Ce sont des individus qu'on va faire travailler beaucoup plus qu'en temps normal ou qu'on va payer une fois sur deux. On va aussi leur faire croire qu'ils ont des dettes parce qu'ils ont fait une erreur et si par malheur l'un de ces individus est amené à périr sous les balles, le gérant du réseau n'a que peu d'accointances avec puisqu'il vient de 300, 400, voire 1000 kilomètres de Marseille", ajoute le fonctionnaire.

    La procureur de cité phocéenne Dominique Laurens veut enrayer ce recrutement de mineurs isolés, séduits par les dealers sur les réseaux sociaux, comme Snapchat et Tiktok, où ils expliquent en quoi consiste le "job", montrant des jeunes maniant des liasses de billets.

    Un phénomène connu depuis 5 ans maintenant, mais qui depuis l'été dernier s'est accéléré avec l'augmentation des règlements de compte dans la cité phocéenne, la main d'œuvre marseillaise étant plus difficile à trouver. En 2021, 15 personnes ont été tuées à Marseille lors de règlements de compte sur fond de trafic de stupéfiants.

    RMC


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  • Un autre homme jugé comme dangereux, âgé de 48 ans, se serait échappé de l’hôpital psychiatrique de Toulouse. Quatre jours après l’évasion du « cannibale des Pyrénées ».

    Quatre jours après la fuite du « cannibale des Pyrénées », un autre homme jugé comme dangereux, âgé de 48 ans, se serait échappé de l’hôpital psychiatrique Marchant à Toulouse, dimanche 23 janvier, selon nos confrères de La Dépêche . Il serait impliqué dans un homicide datant de 2010 à Toulouse.

    Mercredi 19 janvier, un homme surnommé le « cannibale de Nouilhan » avait été interpellé à Toulouse (Haute-Garonne) après avoir agressé une vieille dame. Il s’était échappé peu avant de ce même hôpital. Il est connu pour avoir tué en 2013 un nonagénaire, dont il avait arraché le cœur et la langue.

     

    L’homme qui a pris la fuite ce dimanche est activement recherché. La préfecture de Haute-Garonne a diffusé un avis de recherche, selon La Dépêche.

    Ouest-France

    Il semble que la surveillance à l'hôpital de Toulouse laisse à désirer !


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  • Les 48 passagers d’un vol allant de Paris à Perpignan ont eu la frayeur de leur vie après l’explosion du moteur droit de leur avion.

    Plus de peur que de mal. Vendredi 21 janvier, aux alentours de 20h45, le moteur droit d’un Airbus A318 a explosé et pris feu en plein vol, rapporte L’Indépendant. 48 passagers étaient à bord du vol AF7470, qui reliait Paris à Perpignan, détaille de son côté BFMTV. La scène a eu lieu juste après le décollage, et a créé un vent de panique parmi les personnes présentes. "Il y avait des gens qui se tenaient la main. Franchement, on a tous vu notre dernière heure arriver. On a entendu des gros bruits de pétard. Mon collègue, juste à côté, m'a dit : ‘Regarde, il y a des flammes !’ Effectivement, j’ai vu des flammes d’un mètre cinquante, deux mètres", raconte Johann Reig, passager, à BFMTV.

    "On a eu la peur de notre vie. On s'est vus se crasher et mourir", se remémore un couple également présent à bord, dans les colonnes de L’Indépendant. Suite à cette situation de détresse, un code 7700 a été émis par l’équipage, et le choix a été fait de retourner à Orly. "Une fois que l'avion a été stabilisé, on a senti que nous faisions des virages et qu'on revenait sur Orly [...]. On a atterri tranquillement, comme s'il y avait les deux réacteurs. On voyait bien la maîtrise du pilote", a repris Johann Reig. D’autres témoins expliquent qu’à l’arrivée sur le tarmac d’imposantes fumées étaient visibles. Les passagers ont été accueillis par les pompiers et conduits à l’hôtel pour la nuit, avant que certains d’entre eux ne redécollent le lendemain, écrit L’Indépendant. Tous sont sains et saufs, même si une personne a fait un malaise.

    D’après BFMTV, cet incendie dans le moteur droit est dû au pompage moteur, à savoir l’air qui ne pouvait plus s'évacuer correctement dans le réacteur. Même si le feu s’arrête, le réacteur ne fonctionne plus, ne laissant qu’un seul moteur opérationnel. Le média précise également que les pilotes sont formés à ce genre de scénarios pendant leur apprentissage.

    Capital


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  • L’enfant, très amaigri et présentant des lésions et des ecchymoses, a été hospitalisé à Bourges et confié à l’Aide sociale à l’enfance, a révélé le procureur samedi 22 janvier.

    Un homme de 24 ans et sa compagne de 21 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour actes de torture et de barbarie sur leur enfant de quatre ans, a annoncé ce samedi 22 janvier 2022 le parquet de Bourges.

    Les parents ont reconnu avoir « enfermé l’enfant pendant parfois plusieurs jours en le privant d’eau et de nourriture, puis l’avoir attaché […] à son lit à l’aide d’une chaîne et de cadenas », a précisé le procureur de la République Joël Garrigue dans un communiqué de presse.

    Malaise à l’école

    Le petit garçon de quatre ans et demi était également soumis « à des actes de violences et des punitions physiques répétées depuis le mois de septembre 2021 », selon la même source.

    L’enfant a été hospitalisé lundi au centre hospitalier de Bourges après avoir fait un malaise à l’école primaire dans laquelle il est scolarisé. C’est alors que le médecin légiste de l’hôpital a découvert des « lésions traumatiques », des « ecchymoses sur les membres et dans le dos », ainsi qu’une « plaie au cuir chevelu ».

    Dans « un état de très grande maigreur », il a été confié aux services de l’Aide sociale à l’enfance, ainsi que sa sœur d’un an, « qui semble ne pas avoir subi de violences », selon le parquet.

    Ouest-France


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  • Le pronostic vital de la victime, brûlée au torse et aux bras, n’est pas engagé

    Une femme a été brûlée au visage, au torse et aux bras après avoir été aspergée white-spirit et enflammée par son ex-compagnon à la suite d’une dispute. Les faits sont survenus samedi en fin d’après-midi à Lyon, a-t-on appris dimanche de sources policières. Un témoin a assisté à la scène. Une enquête est en cours pour tentative de meurtre.

     

    Le pronostic de la victime, âgée de 35 ans, n’est pas engagé. L’auteur des faits, qui avait pris la fuite dans un premier temps, s’est ensuite rendu au commissariat du 1er arrondissement de la ville. Il est en garde à vue depuis.

    Selon le dernier bilan du ministère de l’Intérieur, 102 femmes ont été tuées​ par leur conjoint ou ex-conjoint en 2020, après 146 en 2019.

    20 Minutes


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  •  La victime a fait une chute d’une quinzaine de mètres, elle était déjà décédée à l’arrivée des secours

    Un jeune homme de 25 ans est décédé ce dimanche matin dans le centre-ville de Grenoble, après avoir chuté accidentellement d’un toit. Les pompiers ont été appelés vers 2h30, rapporte Le Dauphiné Libéré. La victime participait à une soirée, elle s’était absentée pour aller fumer.

    Le jeune homme a décidé de grimper sur le toit de cet immeuble de quatre étages, duquel il a fini par glisser. Il a chuté d’une quinzaine de mètres. Les pompiers n’ont rien pu faire, l’homme étant déjà décédé à leur arrivée.

    Une amie de la victime, qui l’accompagnait lors de la soirée, a été transportée à l’hôpital en état de choc. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes du drame.

    20 Minutes

    On n'a pas idée de monter sur un toit pour aller fumer !


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  •  Il était parti du sud du Portugal le 1er janvier

    Le corps de Jean-Jacques Savin, 75 ans, qui avait franchi l’océan Atlantique dans un tonneau en 2019 avant de repartir le 1er janvier pour une traversée à la rame, « a été retrouvé sans vie à l’intérieur de la cabine de son canot », a indiqué samedi son équipe à l’AFP.

    Le Girondin, qui était parti du sud du Portugal, n’avait plus donné signe de vie depuis la nuit de jeudi à vendredi, lorsqu’il avait activé ses deux balises de détresse. Selon son équipe, la sécurité maritime portugaise avait localisé vendredi son bateau retourné au large des Açores. Ce samedi, « un plongeur a pu descendre et visiter l’embarcation », ont expliqué ces bénévoles.

    20 Minutes


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  • Ghana. Une explosion fait au moins 17 morts et 59 blessés

    Un accident impliquant un camion transportant du matériel explosif destiné à une mine a tué 17 personnes et blessé 59 autres, jeudi, à Appiatse, une ville minière de l'ouest du Ghana.

    Au moins 17 personnes sont mortes et 59 autres ont été blessées jeudi 20 janvier dans l'explosion qui a dévasté une partie d'une ville dans l'ouest du Ghana, provoquée par un accident impliquant un camion transportant du matériel explosif destiné à une mine, a indiqué dans la nuit le gouvernement.

    L'explosion s'est produite aux environ de midi jeudi à Appiatse, non loin de Bogoso, une ville minière située dans la région Occidentale, à environ 300 kilomètres à l'ouest de Accra, la capitale de ce pays ouest-africain riche en ressources minières.

    Selon les premiers éléments, c'est « un accident impliquant un camion transportant des matières explosives pour une société minière, une moto et un troisième véhicule qui a eu lieu près d'un transformateur électrique et conduit à l'explosion », a indiqué le ministre de l'Information Kojo Oppong-Nkrumah dans un communiqué publié dans la nuit de jeudi à vendredi.

    L'armée a été déployée

    « À 17 h (16 h GMT), un total de 17 personnes ont été malheureusement confirmées mortes, et 59 personnes blessées ont été secourues », a ajouté le ministre.

    Sur les 59 personnes blessées, 42 sont actuellement prises en charge dans des centres de santé, « certaines sont dans un état critique », a précisé le ministre.

    Tous les hôpitaux des environs sont mobilisés pour soigner les personnes blessées, et un plan d'évacuation a été activé pour transporter les personnes dans un état critique vers des établissements médicaux à Accra afin qu'elles puissent recevoir des soins, a affirmé le gouvernement.

    « Afin d'éviter une seconde explosion, une équipe conjointe d'experts en explosions de la police et de l'armée a été déployée pour examiner la situation et mettre en place des mesures de sécurité », toujours selon ce communiqué.

    Ouest-France


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  • La société Vinci Autoroutes a installé sept filets anti-déchets entre Mandelieu et Nice (Alpes-Maritimes). Ils sont placés à la sortie de buses d’eaux pluviales provenant de l'A8. L’objectif : retenir un maximum de déchets sauvages pour éviter qu’ils soient déversés dans la mer et ainsi réduire la pollution.

    Afin de réduire la pollution de la mer, Vinci Autoroutes a collaboré avec une société de Mandelieu-La-Napoule (Alpes-Maritimes). Sept filets anti-déchets ont été installés entre les villes de Mandelieu et de Nice, à la sortie de buses d’eaux pluviales sur le parcours de l'A8. Ils permettent de récolter les déchets jetés par les automobilistes sur les routes, rapporte France 3 Provence-Alpes-Côte-d’Azur.

    « Nous récupérons ici tout un tas de déchets : polystyrène, plastiques, emballages, mégots… Nous avons mis en place ces collecteurs pour que ces déchets ne poursuivent pas leur route vers la mer », a expliqué Michael Malher, chef du district Nice Côte d’Azur Vinci Autoroutes, à nos confrères. Il a précisé qu’un seul mégot polluait à lui seul plusieurs centaines de litres d’eau.

    La société Vinci Autoroutes a installé sept filets anti-déchets entre Mandelieu et Nice (Alpes-Maritimes). Ils sont placés à la sortie de buses d’eaux pluviales provenant de l'A8. L’objectif : retenir un maximum de déchets sauvages pour éviter qu’ils soient déversés dans la mer et ainsi réduire la pollution.

    Afin de réduire la pollution de la mer, Vinci Autoroutes a collaboré avec une société de Mandelieu-La-Napoule (Alpes-Maritimes). Sept filets anti-déchets ont été installés entre les villes de Mandelieu et de Nice, à la sortie de buses d’eaux pluviales sur le parcours de l'A8. Ils permettent de récolter les déchets jetés par les automobilistes sur les routes, rapporte France 3 Provence-Alpes-Côte-d’Azur.

    « Nous récupérons ici tout un tas de déchets : polystyrène, plastiques, emballages, mégots… Nous avons mis en place ces collecteurs pour que ces déchets ne poursuivent pas leur route vers la mer », a expliqué Michael Malher, chef du district Nice Côte d’Azur Vinci Autoroutes, à nos confrères. Il a précisé qu’un seul mégot polluait à lui seul plusieurs centaines de litres d’eau.

    29 tonnes de déchets ramassées chaque jour

    Les équipes de Vinci Autoroutes viennent vider les filets toutes les deux semaines. Ces filets à double maille ont été conçus avec un objectif double : retenir un maximum de déchets, petits ou grands, mais aussi ne pas perturber l’écoulement des eaux de pluie, indique la chaîne locale.

    Si leur efficacité a été prouvée, ces filtres ne parviennent pas à récupérer l’ensemble des déchets sauvages jetés sur l’autoroute. Chaque jour, les agents du réseau autoroutier collectent 29 tonnes de déchets abandonnés sur la route. « Il faut que chacun prenne conscience que dans sa voiture, il doit agir de la même manière qu’à la maison », a confié Michael Malher à France 3.

    Ouest-France


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