• Normandie : un migrant accusé de viol sur une lycéenne est acquitté, la cour estime qu’il n’avait pas les « codes culturels » pour comprendre ce qu’il faisait

    NORMANDIE

    Un jeune migrant jugé par la cour d’assises de la Manche a été acquitté pour le viol d’une lycéenne et condamné pour l’agression sexuelle d’une autre mineure. Le verdict a été rendu mercredi 21 novembre 2018.

    (…) L’avocat général avait requis six ans de réclusion criminelle.

    Le mis en cause est acquitté du viol mais condamné pour l’agression sexuelle de la première victime à deux ans de prison avec sursis assortis d’une mise à l’épreuve. Il sera inscrit au fichier des délinquants sexuels. Il est donc ressorti libre du palais de justice de Coutances.

    L’avocate de la défense a plaidé les difficultés d’interprétation qui, selon elle, sont le fil conducteur de ces affaires. Difficulté d’interprétation de la part de son client qui « n’avait pas les codes culturels » pour prendre conscience qu’il imposait une relation par crainte ou par surprise.

    (…) Après l’énoncé du verdict, le président a pris soin de préciser que "la décision de la cour n’est pas une remise en cause de la sincérité » de la plaignante. La cour a estimé que l’accusé n’avait pas conscience d’imposer un rapport sexuel !

    La Manche Libre

    Mardi 20 novembre 2018 s’est déroulé devant la cour d’assises de la Manche à Coutances le deuxième jour du procès d’un jeune homme accusé de viol et d’agression sexuelle sur deux mineures. Les policiers ayant mené l’enquête ont été auditionnés.

    Les 29 septembre et 10 décembre 2015, le mis en cause a entraîné deux jeunes filles de 15 et 16 ans dans son logement au Foyer des Jeunes Travailleurs de Saint-Lô. Il est accusé d’avoir agressé sexuellement l’une d’entre elles qui a réussi à prendre la fuite et d’avoir violé l’autre. Il maintient que les deux étaient consentantes. Il encourt quinze ans de prison.

    Le capitaine de police de la sûreté départementale de Saint-Lô qui a enquêté sur la plainte de la première victime est celui qui a fait le lien entre cette affaire et la plainte pour viol de la deuxième victime qui avait été classée sans suite.

    Il révèle à la cour que lors de l’audition de l’accusé en garde à vue, il a dû placer un brigadier entre l’interprète et le mis en cause car ce dernier tentait de lui peloter les cuisses.

    Selon lui, l’accusé, « considère les femmes françaises comme des p****, il a un comportement de prédateur. »

    (…) Les experts qui ont examiné l’accusé s’accordent tous pour le décrire comme narcissique et égocentré et que dans la culture masculine du Bangladesh, son pays d’origine, « les femmes sont reléguées au statut d’objet sexuel ».

    La Manche libre

    Europe Israël news

    Stan/pauvrefrance a fait un article à ce sujet, voici la dernière phrase :

    "Ah... si au moins il y avait un migrant qui n'a pas les codes pour violer macron..! Il y avait bien Benalla mais c’était consenti."

    1  migrant accusé de viol sur 1 lycéenne est acquitté, la cour estime qu’il n’avait pas les codes culturels pour comprendre ce qu’il faisait


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  • Il perd son permis de conduire... 49 minutes après l'avoir obtenu

    La fête aura tourné court. En Allemagne, un jeune conducteur s'est fait retirer son permis... seulement 49 minutes après l'avoir obtenu, après avoir été arrêté pour un excès de vitesse à Hemer (Rhénanie du Nord-Westphalie).

    Très certainement euphorique après l'obtention du précieux sésame, le jeune homme âgé de 18 ans roulait à 95 km/h au lieu de 50 km/h avec quatre amis à bord du véhicule, a indiqué la police locale. En plus de son retrait de permis, le contrevenant va désormais devoir payer une "lourde amende" et suivre une "formation supplémentaire coûteuse", toujours selon les forces de l'ordre. Son permis de conduire désormais suspendu, le jeune homme devra attendre plusieurs mois avant de pouvoir conduire à nouveau.

    GENT SIDE

    Pas de chance !


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  • "Gilets jaunes": un automobiliste tente de forcer un barrage et traîne un policier sur la route

    Un automobiliste qui tentait de forcer jeudi matin un barrage de gilets jaunes à Avignon a traîné sur plusieurs mètres un policier sur le point de l'interpeller le blessant légèrement.

    Un automobiliste qui tentait de forcer jeudi matin un barrage de gilets jaunes à Avignon a traîné sur plusieurs mètres un policier sur le point de l'interpeller le blessant légèrement, a appris l'AFP auprès du parquet. Déjà condamné pour des faits de violences et d'infraction routière, le conducteur, âgé d'une trentaine d'années, a été placé en garde à vue.

    Vers 07H30 sur un rond-point proche de l'accès d'autoroute d'Avignon Sud, il a tenté de "passer en force" un rassemblement de "gilets jaunes", a expliqué le procureur de la République d'Avignon Philippe Guémas. Les policiers en moto ont voulu le contrôler en sentant une forte odeur de cannabis, mais l'automobiliste a pris la fuite.

    Le CRS a été traîné sur la route sur plusieurs dizaines de mètres

    Poursuivi par les motards et deux CRS en renfort, l'homme a stoppé sa route, mais au moment ou l'un des CRS avait passé le bras dans l’habitacle de la voiture pour éteindre le moteur, l'automobiliste a "redémarré en trombe", a expliqué le procureur.

    Le deuxième CRS a fait feu en tirant en l'air alors que son collègue était traîné sur la route sur plusieurs dizaines de mètres, a-t-il poursuivi.

    Selon les premiers éléments recueillis, le policier souffre d'une luxation à l'épaule, a indiqué M. Guémas.

    Paris Match


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  • Il voulait leur "apporter Jésus" : qui était l'Américain tué par la tribu des Sentinelles ?

    John Chau a été tué alors qu'il tentait d’entrer en contact avec ce peuple coupé du monde qui vit sur l’île de North Sentinel.

    Il voulait leur "apporter Jésus". Décrit dans un premier temps par la police comme un jeune globe-trotter aventurier, le jeune Américain mort sous les flèches de la tribu des Sentinelles, sur la petite île indienne de North Sentinel, interdite d'accès, souhaitait en réalité introduire le christianisme dans cette communauté coupée du monde moderne.

    Ce sont ses propres écrits, révélés ce jeudi 22 novembre par des médias locaux, qui le prouvent.

    "Vous pensez peut-être que je suis fou"

    Le journal intime que la victime a tenu dans les jours et heures précédant sa mort, cité ou reproduit jeudi par plusieurs journaux étrangers, brosse en effet le portrait d'un voyageur qui se voyait comme un missionnaire chrétien dans cette dangereuse entreprise.

    "Vous pensez peut-être que je suis fou de faire tout ça mais je pense que ça vaut la peine d'apporter Jésus à ces gens", a écrit John Chau à sa famille, dans une ultime lettre rédigée le matin même de sa mort.

    "Ce n'est pas en vain – les vies éternelles de cette tribu sont à portée de main et j'ai hâte de les voir adorer Dieu dans leur propre langage."

    Peu après avoir écrit ces lignes, l'Américain de 27 ans a débarqué sur la plage de l'île. Il n'en est jamais revenu. Les pêcheurs ancrés au large, qui l'avaient illégalement transporté jusqu'à North Sentinel, l'ont vu recevoir une volée de flèches mais poursuivre sa marche. Les locaux ont ensuite passé une corde autour de son cou et traîné son corps.

    La police indienne a ouvert une enquête pour meurtre. Sept pêcheurs ont été arrêtés en lien avec cette affaire. Avant les publications des médias, elle avait, elle, décrit le jeune homme comme un simple touriste Américain, un aventurier :

    "Les gens ont cru que c'était un missionnaire car il a parlé de sa foi. [...] Mais ce n'en était pas un au sens strict. C'était un aventurier", a déclaré Dependra Pathak, le chef de la police des Andaman, au site internet indien "The News Minute".

    "JE NE VEUX PAS MOURIR !"

    Mais le journal de cet amateur de grand air et d'aventure, qui alimentait son compte Instagram d'images de ses périples dans la nature, révèle qu'il avait préparé ce projet de longue date et dans le secret, "au nom de Dieu".

    La veille de sa mort, il avait déjà approché à deux reprises les Sentinelles. Il parvient alors à donner à l'un d'entre eux, dont le visage est recouvert d'"une poudre jaunâtre", des cadeaux. Mais un enfant lui décoche une flèche qui se coince dans sa Bible. Il prend alors la fuite à la nage jusqu'au bateau de pêcheurs.

    "JE NE VEUX PAS MOURIR !", note-t-il à son retour dans son journal, en lettres capitales, visiblement sous le choc. "Je pourrais rentrer aux Etats-Unis car rester ici semble signifier une mort certaine."

    Puis il ajoute :

    "J'y retourne [sur l'île]. Je vais prier pour que tout se passe bien."

    Ce sont ses dernières lignes, datées de 6h20, le 16 novembre. Le matin de sa mort.

    Le peuple de chasseurs-cueilleurs des Sentinelles, qui compterait 150 âmes, vit en autarcie depuis des siècles sur la petite île de North Sentinel, située dans la mer d'Andaman, où l'Etat indien interdit l'accès à quiconque.

    Ces dernières décennies, toutes les tentatives de contact du monde extérieur se sont heurtées à l'hostilité et à un rejet violent de la part de la communauté.

    L'OBS

    Ses prières n'ont pas suffi, Dieu l'a laissé tomber ! (sourire)

    Il aurait mieux fait d'abandonner !


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  • Corée du Sud: le chef d'une secte condamné pour le viol de fidèles

    Jeudi en Corée du Sud, le chef d'une secte a été condamné à 15 ans de prison pour le viol de 8 femmes.

    Le chef d'une secte sud-coréenne a été condamné jeudi à 15 ans de réclusion criminelle pour le viol de huit femmes, dont certaines le considéraient comme Dieu.

    Les victimes du pasteur Lee Jaerock, 75 ans, "étaient incapables de résister car elle étaient soumises à l'autorité religieuse absolue de l'accusé", a souligné le juge Chung Moon-sung devant le tribunal du district central de Séoul.

    Églises marginales

    La dévotion religieuse peut être très forte en Corée du Sud, où 44% des habitants se déclarent croyants.

    La plupart appartiennent à des Églises reconnues, souvent riches et puissantes, fréquentées par des dizaines de milliers de fidèles qui n'hésitent pas à leur verser jusqu'à 10% de leurs revenus.

    Mais il existe de nombreuses Églises marginales, dont certaines ont été impliquées dans des affaires de malversations, de coercition, de "lavage de cerveau", de manipulation et autres pratiques associées dans le monde entier à des pratiques sectaires.

    Paradis

    Lee Jaerock avait fondé l'église de Manmin, d'inspiration protestante, en 1982, à Guro, un quartier alors pauvre de Séoul. Elle ne comptait que 12 fidèles mais en revendique à présent 130.000. Elle dispose d'un vaste siège, d'un auditorium luxueux, et son site internet met en avant quantité de guérisons miraculeuses.

    Dans le sillage des révélations de la déferlante mondiale #MeToo qui a aussi débarqué en Corée du Sud, trois fidèles ont dénoncé cette année le leader religieux. Elles ont raconté comment il les avait convoquées dans son appartement et violées.

    "Je n'étais pas capable de lui résister. Il était plus qu'un roi. C'était Dieu", a témoigné une victime, membre de l'église depuis son enfance, sur la télévision sud-coréenne.

    Le pasteur a dit à une autre victime qu'elle était au paradis et qu'elle devait se dénuder comme Adam et Ève dans le jardin d'Éden. "J'ai pleuré parce que je détestais faire ça".

    Excommuniées

    Huit femmes au total ont porté plainte et le tribunal a reconnu Lee Jaerock coupable de les avoir violées et violentées "des dizaines de fois" sur une longue période. 

    "Par ses sermons, l'accusé a directement ou indirectement suggéré qu'il était l'esprit saint". Et les victimes pensaient "que c'était un être divin avec des pouvoirs divins", a souligné le juge.

    Le pasteur, qui conteste les accusations, a accueilli le verdict les yeux clos, ne montrant aucune émotion devant la centaine de ses fidèles venus assister à l'audience, dont certains soupiraient en silence.

    Son avocat a accusé les plaignantes de mentir pour se venger d'avoir été excommuniées après avoir contrevenu aux règles de l'église.

    Devant le tribunal, d'anciens fidèles étaient venus cependant pour dénoncer l'accusé.

    "L'église centrale de Manmin est centrée sur l'adoration du pasteur Lee Jaerock", a lancé Kim Yu-sun, qui y a passé 20 ans. "Maintenant que je fréquente une église différente, je vénère Jésus et je prie Dieu", dit-elle. "Je suis heureuse".

    2 millions de Sud-Coréens appartiennent à des sectes

    La Corée du Sud est un terrain fertile pour les groupes religieux aux idéologies bien affirmées, qui offrent réconfort et espoir de salut à des gens parfois décontenancés par une société ultra-concurrentielle où le statut fait tout. Certains disent éclairer la voie vers la prospérité matérielle et spirituelle et le message fait mouche.

    Dans une étude gouvernementale de 2015, 28% des Sud-Coréens déclaraient appartenir à une église chrétienne, 16% se présentant comme bouddhistes.

    Mais d'après Park Hyung-tak, directeur de l'Institut coréen de recherches sur l'hérésie chrétienne, deux millions de personnes appartiennent à des sectes.

    "On a dans ce pays 60 chefs sectaires qui prétendent représenter la seconde venue du Christ voire Dieu lui-même", dit-il.

    "Bon nombre de ces sectes montrent du doigt les méga-églises engluées dans la corruption et les scandales pour mettre en lumière leur propre pureté présumée et attirer les fidèles", explique-t-il.

    Hautes sphères du pouvoir

    L'église du pasteur Lee a été condamnée comme hérétique par les principales organisations chrétiennes, notamment en raison de ses prétentions aux guérisons miraculeuses.

    Barbara Vollath, une Allemande de 49 ans, explique par exemple sur le site de l'organisation être née sourde mais avoir été guérie d'un cancer des os et avoir recouvré l'ouïe grâce à elle.

    D'autres sectes sud-coréennes ont été à l'origine de scandales. En 1987, 32 fidèles d'une secte apocalyptique appelée Odaeyang avaient été retrouvés morts, vraisemblablement victimes d'un pacte de suicide et/ou de meurtre.

    Elles peuvent aussi pénétrer les plus hautes sphères du pouvoir. Choi Soon-Sil, au coeur d'une affaire de corruption ayant emporté l'ex-présidente Park Geun-hye, était la fille d'un mystérieux chef religieux, Choi Tae-min. Ce dernier avait fait office de mentor de Park Geun-hye.

    BFM.TV

    Voilà les résultats de croire en Dieu (rire)


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  • Qui sont les Sentinelles, ce peuple qui s'attaque à quiconque s'approche de son île ?

    Ce peuple de chasseurs-cueilleurs est connu pour s'attaquer à quiconque pose le pied sur sa petite île de la mer d'Andaman.

    "Il a été attaqué avec des flèches mais il a continué à marcher" : un Américain a péri sous les flèches d'une tribu autochtone d'une île indienne d'Andaman-et-Nicobar, North Sentinel, en tentant d'approcher illégalement d'une communauté autochtone, coupée de la civilisation et hostile au monde moderne : les Sentinelles.

    Un peuple de chasseurs-cueilleurs qui compterait 150 âmes et qui est connu pour s'attaquer à quiconque pose le pied sur sa petite île de 72 km2 de la mer d'Andaman.

    La tribu la plus isolée de la planète

    L'histoire des Sentinelles avait fait le tour du monde à l'occasion d'une photographie emblématique réalisée peu après le tsunami de 2004.

    Les gardes-côtes indiens avaient alors survolé l'île pour savoir si les autochtones avaient survécu à la catastrophe. Pris du ciel, le cliché montrait un homme essayant d'abattre leur hélicoptère à l'aide d'un arc et de flèches.

    Souvent décrites comme la tribu la plus isolée de la planète, les Sentinelles vivent en autarcie depuis des siècles sur cette île que l'Etat indien interdit d'approcher à moins de cinq kilomètres.

    Et pour cause : depuis des décennies, toutes les personnes qui ont tenté d'entrer en contact avec les Sentinelles ont été tuées. John Chau, l'Américain de 27 ans tué le 16 novembre dernier a été encerclé et tué à peine arrivé sur l'île de North Sentinel. Il avait payé des pêcheurs pour le transporter jusqu'à ce lieu, situé au large à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de la ville de Port Blair, mais il avait fini le trajet seul.

    L'intrus a reçu une volée de flèches à peine débarqué, a déclaré à l'AFP une source policière ayant requis l'anonymat. "Il a été attaqué avec des flèches mais il a continué à marcher. Les pêcheurs ont vu les habitants de l'île lui nouer une corde autour du cou et traîner son corps", a poursuivi cette source.

    Les pêcheurs "ont pris peur et se sont enfuis mais ils sont revenus le matin suivant et ont trouvé son corps sur la plage".

     

    Un seul aventurier a pu entrer en contact avec les Sentinelles

    Si le gouvernement indien a tenté plusieurs expéditions durant les années 1970 et 1980 pour rentrer contact avec les Sentinelles, elles se sont presque toutes soldées par des échecs. Il y a officiellement renoncé dans les années 1990.

    Les rares informations dont on dispose sur les Sentinelles proviennent de l'aventurier Trilokinath Pandit, relayé par "The Independant".

    L'universitaire indien avait en effet tenté d'entrer en contact avec la tribu dans les années 1960, avant de réussir à jeter l'ancre sur l'île en 1991 (30 ans plus tard !), pour quelques échanges avec les autochtones.

     

    "On ne sait pas pourquoi, soudain, ils ont décidé de baisser les armes", explique le chercheur.

    L'équipe doit se dévêtir et ses membres, ôter leurs lunettes, pour avoir le droit de visiter leur habitat. Contrairement aux légendes qui circulent à leur sujet, l'expédition découvre alors que ses hôtes ne sont pas cannibales.

    De rares images des habitants de l'île ont ainsi pu être tournées, que l'on peut voir dans au début de cette vidéo, publiée par l'ONG de protection des tribus autochtones Survival international.

    "Ils vivent comme il y a 15.000 ans", résumait à l'époque "The Independant".

    Mais les échanges ne sont pas généralisés. Loin s'en faut ! En 2006, deux pêcheurs indiens (des braconniers, selon Survival international) dont le bateau avait dérivé pendant leur sommeil jusqu'au rivage de North Sentinel avaient ainsi été tués. Un hélicoptère envoyé récupérer les corps, avait dû abandonner lorsqu'il avait, à son tour, essuyé des tirs de flèches.

     

    La société "la plus vulnérable de la planète"

    Survival International pense que cette tribu descend des premières populations humaines à être parties d'Afrique et vit aux Andaman depuis… 60.000 ans.

    De ce fait, l'ONG Survival International décrit les Sentinelles comme la société "la plus vulnérable de la planète". En raison de leur isolement complet, ils ont en effet plus de risques de tomber malades et d'être décimés par des épidémies comme la grippe ou la rougeole… qui seraient apportées par des visiteurs.

    Dans un communiqué transmis à l'AFP ce mercredi, l'ONG a dénoncé la mort du jeuneAaméricain "une tragédie qui n'aurait jamais dû se produire". En raison de leur isolement ancestral du reste de l'humanité, "il n'est pas impossible que les Sentinelles viennent d'être contaminées par des agents infectieux mortels [apportés par le voyageur américain, NDLR] contre lesquels ils n'ont pas d'immunité, avec le potentiel d'éradiquer toute la tribu", s'est alarmée l'organisation dont le siège est en Grande-Bretagne. 

    Depuis des années, les autorités indiennes s'assurent occasionnellement de la bonne santé des Sentinelles en observant la rive à partir d'un bateau, ancré à une distance respectable de l'île.

    L'OBS Renaud Février avec AFP


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  • Un cachalot retrouvé mort avec 115 gobelets en plastique dans le ventre

    Le mammifère avait ingurgité au total près de 6 kilos de déchets plastiques...

    LIEN article : https://www.nouvelobs.com/planete/20181120.OBS5763/un-cachalot-retrouve-mort-avec-115-gobelets-en-plastique-dans-le-ventre.html


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  • Sur les images, on voit un chasseur acculer un cerf à une falaise. Haranguant ses chiens, plusieurs d'entre eux finissent par tomber dans le précipice, comme leur proie. Attention, certaines images peuvent choquer.

     

    La vidéo d’une partie de chasse en Espagne montrant des chiens attaquer un cerf au bord d’une falaise sous la véhémence d’un chasseur suscite l’indignation des deux côtés des Pyrénées. En France, la Fondation 30 Millions d’Amis s'élève depuis plusieurs années contre tous les excès de la chasse. Elle réclame notamment l'abolition de la chasse à courre et que le dimanche soit un jour non chassé.

     

    La scène est épouvantable. Elle se déroule lors d’une monteria (chasse au gibier) près de Cáceres, à l’Ouest de l’Espagne. Alors que la cabale s’apprête à se conclure avec la mort cruelle d’un cerf, comme il est malheureusement coutume lors de cette pratique hors du temps, l’horreur a été poussée à l’extrême quand le chasseur décide de houspiller sa meute qui encercle la proie au bord d’une falaise. Résultat, douze chiens et un cerf finissent par tomber du ravin. Certains chiens semblent se relever difficilement, probablement grièvement blessés par la chute. Nul ne sait s’il y a eu des animaux morts.

    Un acte « isolé » ? Faux !

    A l’origine du partage de la vidéo, Luis Miguel Domínguez Mencía, président de l’association de protection des loups ibériques Lobo Marley, a confié son mécontentement et sa colère à 30millionsdamis.fr. « J’ai réussi à récupérer la vidéo qui circulait dans un groupe WhatsApp de chasseurs, explique ce documentaliste animalier. Pour eux, il n’y a rien de mal à ce que les chiens tombent comme cela dans le vide. C’est leur travail, le risque du métier ! Les chasseurs se défendent en disant que c’est un acte isolé, mais c’est faux. D’après mes informations, l’unique réaction à cette crise sera de demander à leurs membres de ne plus filmer les chasses. Mais fort heureusement, ces images ont choqué énormément de monde. Et le monde de la chasse doit se confronter à cette véritable colère. »

    Scandale en Espagne

    De nombreuses personnalités politiques d’envergure en Espagne sont montées au créneau pour dénoncer cette horreur, à l’image de Pablo Iglesias, le leader de Podemos qui n’en passe pas par quatre chemins sur son compte Twitter : « Les responsables de cette sauvagerie n’ont qu’un nom : des criminels. Terminons-en une fois pour toutes et punissons les coupables.» Le gouvernement socialiste de Pedro Sanchez n’a, pour le moment, toujours pas répondu à la polémique. Pour se défendre, la Fédération de chasse espagnole s’est déclarée « consternée » par cette scène alors que d’autres associations pro-chasse préfèrent apporter leur soutien au chasseur.

    « Des pratiques habituelles »

    Contactée par 30millionsdamis.fr, le parti animaliste espagnol PACMA, pointe du doigt une pratique qui n’est malheureusement pas marginale. « Au-delà de l’horreur de ces images, il faut quand même dire que ce sont des actes habituels lors d’une chasse dans notre pays, souligne Laura Duarte, la présidente. Ce qui est positif, c’est que les nombreuses réactions déclenchées par ces images vont nous aider à dénoncer ces pratiques. » Le parti espagnol 

    Pour signer la pétition pour l'abolition de la chasse à courre, cliquez ici. 

    30 Millions d'amis

    Saloperies de chasseurs.

    Que sont devenus ces chiens ? Morts, blessés ? Quelqu'un est-il allé voir ?

    Quand j'ai regardé cette video hier vers 19h, j'ai pleuré pendant une demie heure en donnant les croquettes à mes chiens.


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  • Les policiers, alertés par une ex-compagne, ont découvert un appartement avec une collection pour le moins...

    Drôle de trouvaille des pompiers et des policiers… Ce mardi, deux bocaux semblant contenir des fœtus humains sont aux mains des médecins légistes de l’Institut médico-légal (IML) pour une autopsie. Ainsi qu’un cadavre de nourrisson et un squelette de porcelet…

    Lundi, à 14 h 30, les pompiers ont été appelés par une femme pour « personne ne répondant pas à l’appel ». Cette dernière a déclaré être inquiète de ne plus avoir de nouvelles de son ex-compagnon, âgé de 35 ans, tatoueur, galeriste à Paris, dans le VIe arrondissement mais aussi, d’après elle, toxicomane. « Ce n’est pas un appel innocent ! », commente une source policière.

    Les pompiers sont donc entrés au domicile, impasse Erard, dans le quartier Reuilly Diderot, à Paris XIIe. Et là, au vu de l’appartement, ils ont appelé la police…

    Des fœtus découverts

    Dans l’appartement, vide de tout occupant, les policiers surpris par « un ensemble de décorations, type sataniste et sado maso » ont découvert une mitraillette authentique de la marque Thompson, de la Seconde Guerre mondiale mais aussi accroché au mur, parmi une « multitude d’œuvres du même genre », raconte un policier, un bras tatoué sous une cloche de verre ainsi que deux fœtus baignant chacun dans son bocal de formol et un nourrisson momifié. « C’était super trash », commente un policier.

    Sur ordre de l’officier de police judiciaire, l’arme a été saisie, les deux fœtus, le nourrisson momifié ainsi que le cadavre de porcelet ont été transportés à l’IML. Le parquet de Paris a été avisé. L’enquête a été confiée au commissariat du XIIe qui recherche l’occupant des lieux.

    « Ce trentenaire a des antécédents psychiatriques, indique une source proche de l’enquête. On a aussi trouvé chez lui une série de 40 diapositives de scènes d’autopsie. »

    Les pièces saisies proviennent-elles d’un musée médical, d’un collectionneur morbide ou d’ailleurs ? « Toutes les pistes sont envisagées ». Ce mercredi soir, son propriétaire n’avait pas été interpellé mais était activement recherché.

    Le Parisien


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  • Des dizaines de milliers de séquences montrant des adolescents en train de se livrer à des actes sexuels devant leur écran ont été retrouvées sur son ordinateur.

    La presse norvégienne en parle comme de l'affaire d'abus sexuels la plus grave jamais documentée dans le pays. Un jeune arbitre de foot norvégien de 26 ans est soupçonné d'avoir, entre 2011 et 2016, agressé sexuellement plus de 300 adolescents et jeunes hommes vivant en Norvège donc, mais aussi en Suède ou au Danemark, rapporte la chaîne locale NRK. 

    Selon l'enquête, le suspect serait entré en relation avec ses victimes, âgées de 9 à 21 ans, via Snapchat et des messageries en ligne. Il se faisait passer pour une adolescente du nom de Henriette ou Sandra, et, en échange de photos érotiques, incitait ses interlocuteurs à se livrer à des actes sexuels devant la caméra. Ensuite, il les poussait à continuer en menaçant de partager les vidéos s'ils ne s'exécutaient pas. 

    Plusieurs viols

    Des dizaines de milliers de séquences de ce type ont ainsi été retrouvées sur son ordinateur. Les relations entre les victimes et leur agresseur sont restées virtuelles dans la majorité des cas, mais il aurait également rencontré plusieurs de ces adolescents, qu'il aurait violés. 

    L'homme a finalement été arrêté en 2016, à l'issue d'une enquête de deux ans de la police d'Oslo. Il est actuellement incarcéré près de la capitale. Selon son avocat, le suspect admet les faits et est prêt à coopérer avec la justice. Seules deux victimes auraient accepté de témoigner contre l'homme. L'affaire devrait être jugée courant 2019.

    BFM.TV


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  • Une marmite remplie d’os : un abattoir pour tigres découvert en République tchèque

    Illustration

    Des restes d’animaux entassés dans un réfrigérateur. Un cadavre de tigre, à peine mort, étendu sur le sol. C’est la découverte macabre que des inspecteurs tchèques ont fait dans un obscur hangar de Prague, raconte le "Guardian". Après cinq ans d’enquête, l’Inspection tchèque de l’environnement (CEI) a démantelé un réseau de trafiquants de tigres, qui exportait des félins vers le Vietnam. 

     

    Peaux, griffes et os

    En Asie, le trafic de tigre est un marché noir lucratif, rappelle le CEI. Les peaux se vendent cher, entre 2.000 et 4.000 euros l’unité. Les griffes sont échangées à 100 euros pièce. Quant aux ossements, ils sont réduits en minuscules bouillons cubes, très prisés par la médecine traditionnelle chinoise. On les écoule à 60 euros le gramme.

    Dans le hangar de Prague, les enquêteurs ont trouvé une large marmite, remplie d’os et de viande de divers animaux.

    "En 25 ans de travail pour le CEI, je n'avais jamais vu ça", raconte Pavla Rihova, directrice de l'agence. "Imaginez : un vieux réfrigérateur, sans électricité et rempli de cadavres, entreposé depuis deux ans dans un jardin."

    La découverte est l'aboutissement d'une investigation entamée en 2013. Un homme vietnamien est alors arrêté en possession de quelque huit kilogrammes d’os de tigres. Deux mois plus tard, les douanes tchèques interceptent un lot d’enceintes en partance vers Hanoï, dans lesquels sont dissimulés des squelettes animaux.

     

    Percée du trafic en Europe 

    Après quelques mois, la police et les douanes tchèques remontent jusqu’au propriétaire d’un cirque tchèque. Il possède le plus large élevage de tigres du pays. Ses animaux sont officiellement destinés à des zoos et à divers cirques nationaux. Deux années d'enquête sont encore nécessaires pour identifier le numéro un du trafic. L’homme, d’origine vietnamienne, assure la liaison entre de potentiels acheteurs et les revendeurs tchèques. Une fois les ventes conclues, des animaux sont livrés par le propriétaire du cirque à un taxidermiste, qui les démembre dans l'abattoir de Prague. 

    S’il semblait auparavant cantonné à l’Asie, le trafic de tigres se répand de plus en plus largement en Europe. D’après l’ONG TRAFFIC, plus d’une centaine de tigres sont tués chaque année pour alimenter le marché noir. Un tiers de ces animaux proviennent de fermes d’élevage. Pour Kieran Harkin, de l’ONG Four Paws, il est grand temps que l’Union européenne prenne des mesures plus strictes pour endiguer la percée du trafic.  

    "La planète a déjà perdu 90% de ses tigres. Nous appelons la commission européenne à protéger ces tigres, en surveillant mieux les échanges commerciaux des tigres élevés en captivité. Ce business est cruel, il n’a plus sa place dans l’Union." 

    L'OBS


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  • Poussins femelles broyés vivants !

    Arrêtez de manger du foie gras !

    L’enfer n’existe pas pour les animaux, ils y sont déjà. (Victor Hugo)


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 22 11 2018

     

    BONNE JOURNEE


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  • Jeux de mots


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 21 11 2018

    J'espère qu'il n'a pas été mangé !

     

    BONNE SOIREE


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  • Haut-Rhin : un enfant frappé avec un manche à balai retrouvé mort

    Quatre membres de la famille d'un garçon de 9 ans ont été placés en garde à vue mardi, dans l'enquête sur la mort de l'enfant, le 17 septembre dernier, dans un appartement de Mulhouse (Haut-Rhin), rapporte France Bleu Alsace mercredi 21 novembre.

     

    La mère aurait encouragé la punition

    Selon une source policière à France Bleu, l'enfant a été frappé à l'aide d'objets contondants, dont un manche à balai, parce qu'il refusait de faire ses devoirs. Son frère de 19 ans est soupçonné d'avoir porté les coups, en présence de deux autres membres de la famille, une soeur et une belle-soeur.

    Tous trois ont été placés en garde à vue, ainsi que la mère de l'enfant, qui était en région parisienne. Elle est soupçonnée d'avoir encouragé la punition, selon cette source policière. Les quatre membres de la famille doivent être présentés jeudi 22 novembre devant le parquet de Mulhouse.

    Ce sont les résultats complémentaires de l'autopsie qui ont alerté les enquêteurs. Ils semblent démontrer que des coups sont à l'origine du décès de l'enfant.

    franceinfo

    Quelle famille pourrie !


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  • Interview de Denis Robert par Bercoff


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