• CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 02 11 2018

     

    Je vous souhaite une bonne soirée


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  • Vous êtes où, purée, y a personne ? à part cette chère Rakia !


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  • Affaire Khashoggi : le corps démembré du journaliste aurait été dissous dans l'acide

    "Tuer une personne innocente est un crime, ce qui a été fait au corps en est un autre", assure un conseiller du président turc.

    Le corps du journaliste Jamal Khashoggi, tué le 2 octobre dans le consulat de son pays à Istanbul, a été démembré pour pouvoir être "dissous" plus facilement, a affirmé un conseiller du président turc cité ce vendredi 2 novembre par le quotidien "Hürriyet".

    "Nous voyons à ce stade qu'ils ne se sont pas contentés de le démembrer, ils s'en sont débarrassés en le dissolvant", a déclaré au quotidien "Hürriyet" Yasin Aktay, conseiller du président Recep Tayyip Erdogan au sein de l'AKP, le parti au pouvoir.

    "Selon les dernières informations dont nous disposons, la raison pour laquelle ils ont découpé le corps, c'est pour le dissoudre plus facilement."

    L'éditorialiste Jamal Khashoggi, collaborateur du "Washington Post", a été tué le 2 octobre dans le consulat saoudien d'Istanbul où il s'était rendu pour des démarches administratives en vue de son mariage avec une Turque.

    "Ils voulaient s'assurer de ne laisser aucune trace du corps"

    Après avoir d'abord affirmé que Jamal Khashoggi avait quitté le consulat peu après s'y être rendu, puis soutenu qu'il était mort dans une rixe, Riyad a fini par évoquer une "opération non autorisée" par le pouvoir.

    Dans un communiqué publié mercredi, le parquet d'Istanbul a affirmé que "la victime a été démembrée" et que l'"on s'en est débarrassée", sans pourtant préciser comment.

    Après les déclarations du parquet, un responsable turc a déclaré au "Washington Post" que les autorités examinent une piste selon laquelle son corps aurait été dissout dans de l'acide au consulat ou dans la résidence du consul toute proche.

    "Ils voulaient s'assurer de ne laisser aucune trace du corps", a ajouté Yasin Aktay, également présenté par l'AFP comme un ami du journaliste décédé. "Tous les endroits où nous menaient les caméras de surveillance ont été examinés, le corps n'a pas été trouvé."

    "Tuer une personne innocente est un crime, ce qui a été fait au corps en est un autre et une honte."

    L'OBS


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  • Seine-Saint-Denis : polémique après le recrutement d'un gendarme comme proviseur adjoint à Stains

    Les enseignants du lycée Maurice-Utrillo de Stains, en Seine-Saint-Denis, feront grève lundi, pour dénoncer l'arrivée d'un gendarme au poste de proviseur adjoint.

     

    Le symbole dérange l'équipe pédagogique. Un ancien chef d'escadron de la gendarmerie nationale a été nommé proviseur adjoint du lycée Maurice-Utrillo de Stains (Seine-Saint-Denis), chargé de la sécurité, dans le cadre d'un détachement de trois ans. Un poste créé sur mesure après les violences survenues en mars sur le parvis de l'établissement, où plusieurs élèves et un surveillant avaient été blessés, notamment à coups de marteau. Mais cette initiative déplaît à une partie des enseignants, qui se mettront en grève contre l'arrivée du gendarme lundi 5 novembre, date à laquelle il doit prendre ses nouvelles fonctions.

    "L'école publique ne sera jamais l'antichambre du commissariat", ont écrit les grévistes dans une tribune publiée le 29 octobre sur le Bondy Blog. Ils s'indignent notamment que des fonds aient pu être débloqués rapidement pour créer ce poste, alors que leurs appels au recrutement de plusieurs professeurs manquants sont restés sans réponse ces derniers mois. "Les métiers de l’éducation ne s’improvisent pas", insistent-ils, annonçant qu'ils ne reconnaîtrons pas l'autorité de ce nouveau proviseur adjoint, "au risque d'être blâmés".

    Une inquiétude totalement injustifiée, selon Laurent Nuñez. Interrogé à ce sujet sur Europe 1, vendredi matin, le nouveau secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, a fait part de son incompréhension face à la réaction des enseignants. "Leur inquiétude est totalement injustifiée à mes yeux (...) C'est un proviseur adjoint, il va exercer des fonctions au sein de l'Education nationale. Les relations entre les forces de l'ordre et l'Education nationale existent depuis longtemps et les choses se passent bien", a-t-il déclaré au micro d'Audrey Crespo-Mara, se disant "un peu surpris par ces réactions". 

    Réécouter la réaction de Laurent Nuñez :

    Pas sûr que ces propos suffisent à rassurer les professeurs, qui ont d'ores et déjà annoncé faire grève lundi "et tous les autres jours qu’il le faudra".

    Europe 1


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  • ETATS-UNIS - Condamné pour un double meurtre, Edmund Zagorski refusait de recevoir une injection létale...

    Avant que 1.750 volts ne passent à travers son corps, Edmund Zagorski a eu deux derniers mots, selon son avocate: «Let's rock». Condamné à mort pour un double meurtre commis en 1984, ce détenu américain avait déposé un recours pour être exécuté sur une chaise électrique et pas par injection. Il a été prononcé mort à 19h26 (1h26 heure de Paris).

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    Son corps avait été sanglé pour éviter qu'il ne se dresse pendant l'électrocution, a indiqué son avocate Kelley Henry lors d'une conférence de presse. «Il a reçu un choc violent avec le courant électrique», a-t-elle ajouté, en précisant que des éponges imbibées d'eau salée avaient été placées sur ses chevilles pour faciliter le passage du courant.

    Première fois depuis 2013

    Après 34 ans dans le couloir de la mort, il devait être exécuté en octobre par injection létale mais, à la dernière minute, il avait demandé à passer plutôt sur la chaise électrique. En cas d'injection, «les 10 à 18 dernières minutes de sa vie seront une horreur absolue» alors que s'il est électrocuté, il ressentira «une douleur insoutenable, probablement pendant 15 à 30 secondes», avaient écrit ses avocats dans leur requête.

    Le Tennessee autorisant les personnes condamnées avant 1999 à choisir entre ces deux modes d'exécution, le gouverneur de l'Etat Bill Haslam lui avait accordé un répit pour laisser aux services pénitenciers le temps de préparer la chaise électrique. Il s'agit du premier détenu exécuté ainsi depuis 2013 aux Etats-Unis, et depuis 2007 dans le Tennessee.

    20 Minutes

    Pourquoi attendre si longtemps avant l'exécution ?


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  • Allez, on danse !


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  • Le Portugal interdit les animaux sauvages dans les cirques

    D'ici 2024, les animaux sauvages ne pourront plus faire partie de cirques au Portugal.

    Adieu lions, tigres, éléphants... Le Portugal a décidé d'interdire les animaux sauvages dans les spectacles de cirque d'ici 2024, selon une loi adoptée par le Parlement mardi soir et saluée mercredi par les associations de défense des animaux.

    "Cette loi était très attendue. La place des animaux sauvages n'est pas dans les cirques. Les gens doivent pouvoir se divertir sans souffrance pour les animaux", a déclaré à l'AFP Bianca Santos, vice-présidente de l'association portugaise AZP, qui milite pour le bien-être des animaux.

    40 espèces concernées

    La loi approuvée concernera 1100 animaux appartenant à une quarantaine d'espèces différentes. Le Portugal rejoint ainsi la quarantaine de pays dans le monde, dont la moitié en Europe -Allemagne, Italie, Pologne ou encore Suède- qui limitent déjà l'utilisation d'animaux dans les cirques.

    "Le Parlement a enfin compris que des cages plus grandes, des règles plus strictes ou davantage de contrôles n'étaient pas une solution au problème de ces animaux, réduits à de simples marionnettes, à qui on a retiré leur dignité", a réagi le député André Silva, du Parti personnes-animaux-nature (PAN), qui a le premier soumis un projet de loi sur ce sujet il y a près d'un an.

    Une aide financière à la reconversion

    D'ici 2024, les propriétaires des cirques devront enregistrer ces animaux sur une plateforme qui sera créée prochainement, tandis que le gouvernement devra organiser le placement de ces animaux dans des centres d'accueil, au Portugal ou à l'étranger.

    Les professionnels du spectacle qui accepteront de se séparer de leurs animaux avant la fin de la période de transition pourront bénéficier en outre d'une aide pour leur reconversion professionnelle. Une association représentative de la vingtaine de cirques portugais s'était opposée à cette loi, affirmant dans un communiqué qu'elle "contribue à la disparition" de cette filière.

    L'Express

    Excellente décision ! Il faudrait aussi interdire la corrida !


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  • Salon du chat à Orléans : voici les dix commandements pour le bien-être de votre félin

    1. Une bonne alimentation tu lui donneras

    C'est le nerf de la guerre. Le chat mange fréquemment, et tout au long de la journée. Il faut donc lui prévoir une gamelle remplie en permanence. Si vous choisissez l'alimentation commerciale, privilégiez les croquettes ou le paté de bonne qualité.

    Gardez aussi des friandises pour le récompenser lorsqu'il fait une bonne action, mais avec modération. Essayez dans la même logique les crevettes, dont la plupart des chats raffolent.

    Attention ! Les aliments tels que le raisin ou le chocolat sont à exclure, car toxiques.

    2. Une litière propre tu lui fourniras

    L'hygiène joue un rôle capital dans la vie du chat. Il n'y a qu'à observer le temps qu'il passe à se nettoyer pour s'en rendre compte. Et pour ses besoins quotidiens, c'est la même chose. En extérieur, un chat prendra la peine d'enterrer ses déjections.

    En intérieur, même logique. Le chat fera des efforts pour être propre. À vous d'en faire de même en lui achetant une bonne litière, nettoyée et entretenue très régulièrement.

    3. Son intimité et sa tranquilité tu respecteras

    Dans la droite lignée du deuxième commandement, ce précepte n'est pas à prendre à la légère. Car le chat a beau être un animal, il a sa sensibilité et a, lui aussi, besoin de son intimité à certains moments. Laissez-le donc tranquille lorsqu'il doit faire ses besoins ou sa toilette. Même chose lorsqu'il mange.

    Enfin, veillez à respecter son quota d'heures de sommeil. Un chat dort en moyenne 16 heures par jour. Il n'a donc pas besoin que l'on vienne perturber en permanence son rituel.

    4. Des jouets tu lui achèteras

    Certes, un chat passe l'essentiel de son temps à dormir et à manger. Mais n'oublions pas les distractions ! Après tout, il reste un prédateur. Pas besoin de dépenser tout votre argent pour cela, mais quelques jouets permettront à votre  matou de faire de l'exercice et de s'occuper.

    Gardez-lui deux ou trois jouets lorsqu'il se retrouve seul et n'hésitez pas à le stimuler lorsque vous êtes avec lui. Et pour cela, un simple bout de ficelle fait souvent plus l'affaire que tous les jouets du monde.

    5. De la hauteur tu lui apporteras

    Les félins adorent "dominer" leur environnement. Un chat sera toujours rassuré en se trouvant en hauteur. Veillez donc à lui fournir quelques espaces aménagés, par exemple au dessus d'un buffet ou dans une armoire. Un arbre à chat peut aussi faire l'affaire.

    6. Des espaces confortables tu lui aménageras

    Un petit panier douillet, une couverture placée près de la fenêtre, une serviette sur un lit... Les alternatives sont nombreuses. L'essentiel est que votre chat puisse avoir plusieurs choix à sa disposition, car en fonction des périodes il lui arrivera souvent de changer ses préférences.

    Votre ami appréciera aussi les petites cachettes dans lesquelles il se sentira en sécurité et où il pourra surveiller son environnement l'esprit tranquille.

    7. De l'affection tu lui donneras

    Cela parait évident, mais un chat a besoin de se sentir aimé et apprécié. Les caresses sont donc de rigueur. Mais ne le brusquez pas. Observez-le et soyez attentif à ses différentes réactions pour repérer les moments où vous le dérangez et les périodes où il vous accueillera à pattes ouvertes. 

    Évitez les câlins trop "intenses" car le chat aura tendance à se sentir enfermé par votre étreinte. De même, les caresses sur le ventre sont à exclure, sauf s'il vous y autorise ouvertement.

    8. Un griffoir tu lui installeras

    Les chats adorent se faire les griffes. Alors si vous voulez éviter de voir votre papier peint dévasté, on ne peut que vous conseiller d'acheter un ou plusieurs griffoirs pour que votre compagnon puisse se défouler un peu. Notez que les paillassons et autres tapis d'entrée représentent souvent de très bonnes alternatives.

    9. L'herbe il adorera

    La fameuse herbe-à-chat permettra à votre compagnon de faciliter sa digestion en l'ingurgitant. Une autre catégorie, appelée herbe-aux-chats, possède un autre effet, excitant et euphorisant. Cette herbe ne sera pas mangée par votre félin, qui se roulera plutôt dessus. Votre ami sera détendu et appréciera grandement ces petites attentions de votre part.

    10. Jamais tu ne le frapperas

    La confiance d'un chat, ça se gagne et ça se mérite. Si vous le frappez, même s'il a commis une bêtise, il deviendra beaucoup plus méfiant à votre égard. Privilégiez le "Non !" ferme et direct, qui aura l'avantage de le surprendre, de l'arrêter en plein élan et parfois de lui faire réflechir à deux fois avant de recommencer.

    Réprimandez-le seulement lorsque vous le prenez en flagrant délit. Si c'est trop tard, il ne comprendra pas.

    Mais de manière plus générale, à partir du moment où le chat aura un environnement parfaitement construit pour lui, il n'aura aucune raison et aucune envie de faire de bêtises. Cela dépend donc en grande partie du propriétaire.

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    Thomas Derais

    Pour notre fripouille et ceux qui ont un chat !


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  • Brigitte et Emmanuel Macron en week-end à la Ferme Saint Siméon

    Brigitte et Emmanuel Macron en week-end à la Ferme Saint Siméon

    Épuisé par son travail, Emmanuel Macron a décidé cette semaine d'alléger son emploi du temps et de s'octroyer quelques jours de repos en compagnie de son épouse dans un luxueux hôtel normand que connaît bien le couple.

     

    C'est en pleine nature, près de l'estuaire de la Seine, plus précisément à La Ferme Saint Siméon, que Brigitte et Emmanuel Macron s'offrent actuellement quelques jours de répit. Un hôtel que le couple présidentiel connaît bien pour y avoir séjourné à deux reprises : une première fois avant les élections de mai 2017 et une deuxième pour l'inauguration, au Havre, du bateau parrainé par l'astronaute Thomas Pesquet lors de la transat Jacques-Vabres il y a un an.

    Situé à la sortie du port de Honfleur, l'ancien manoir du XVIIe siècle, désormais 5 étoiles et membre des Relais & Châteaux, n'est pas dénué de charme et d'intérêt. À la fois pour son architecture typique normande : toits de chaume, façades à colombages, roseraie et jardin d'herbes aromatiques… Mais aussi pour son histoire : la crème des peintres – de Monet à Courbet en passant par Sisley et Corot – s'y sont succédé dès 1825. À tel point que l'établissement, qui n'était alors qu'une auberge de campagne tenue par la « Mère Toutain », s'imposa comme l'un des berceaux de l'impressionnisme. En témoignent d'ailleurs encore, dans le grand salon, les nombreux tableaux réalisés à La Ferme par les grandes figures de l'École de Honfleur, en tête desquels Adolphe-Felix Cals et Louis-Alexandre Dubourg.

    Passé dans les années 1980 dans l'escarcelle de la famille Boelen, l'hôtel opère une mue tout en raffinement : 35 chambres décorées par la maîtresse de maison, dont certaines avec vue sur l'estuaire de la Seine (on ne saurait trop recommander la 19, nid douillet de Jean-Baptiste Corot, et la 22, chère à Claude Monet) ; un restaurant gastronomique piloté par Sébastien Faramond sous la houlette du légendaire Jacques Maximin ; un bistrot normand ; un spa prodiguant des soins à base de produits bio et une piscine intérieure à débordement. Reste à savoir si le couple, désormais attendu, y trouvera calme et discrétion…

    Le Point

    Manu et Brizitte ne se refusent rien !

    Manu aurait confié à ses plus proches collaborateurs se sentir « claqué !

     

    LIEN autre article : https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/brigitte-et-emmanuel-macron-en-week-end-a-la-ferme-saint-simeon-un-lieu-tres-symbolique-pour-le-couple-presidentiel_421230


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  • Artois: 	 Un petit garçon de 2 ans meurt noyé dans le marais à Tortequesne

    Le drame s’est noué entre 14 h 30 et 15 heures, mercredi à Tortequesne. Un petit garçon de 2 ans et demi aurait échappé à la vigilance de ses parents dans des circonstances qui restent à déterminer, selon le parquet d’Arras. Pendant près d’une demi-heure, des recherches ont été menées jusqu’à la découverte du corps de l’enfant, au milieu du marais, emporté par le faible courant.

    La résidence des parents se trouvait non loin de là.

    Quelque quatre-vingt habitations, des chalets pour l’essentiel, se trouvent dans ce secteur de la commune.

    Les pompiers et les médecins du SAMU ont alors tout tenté pour ranimer l’enfant.

    «  Il y a eu plusieurs tentatives de réanimation jusque 15 heures  », assure le parquet. Au bord du marais, sur le gazon, dans le véhicule des secours. Des habitants ont même tenté un massage, selon le maire. En vain. Malgré les efforts du corps médical, le garçonnet a succombé.

    Une autopsie a été réclamée par le parquet, qui a demandé aux gendarmes d’ouvrir une enquête pour rechercher les causes de la mort. «  Même si les causes du drame semblent assez apparentes  », poursuit le parquet.

    Les parents, terrassés par le drame, seront entendus ultérieurement. C’était leur seul enfant.

    Le jeune couple s’était installé dans un chalet du marais au mois d’août. «  Je les ai rencontrés en mairie pour signer leur bail  », se souvient le maire, Bernard Mayeux, particulièrement éprouvé. «  Les secours ont vraiment tout essayé, détaille l’élu. Pendant bien trois quarts d’heure dans la camionnette des pompiers. C’est difficile à vivre, je n’ai pas beaucoup dormi, je ne pense qu’à ça, je le vois allongé. C’était un beau petit garçon. C’est pas l’âge pour mourir. C’est atroce  ».

    La Voix du Nord

    Bizarre !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - VENDREDI 02 11 2018 Défunts

     

    Passez une bonne journée


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  • Européennes : le clip du gouvernement fait polémique à gauche et à l'extrême droite

    Une vidéo censée informer les électeurs français du scrutin continental du 26 mai 2019 est qualifiée de «propagande» et de film «officiel de La République en marche».

    Première controverse de la campagne des européennes ? En tout cas, à plus de six mois du scrutin continental, la vidéo postée sur le compte YouTube du gouvernement pour sensibiliser les citoyens au vote du 26 mai prochain énerve sensiblement les oppositions à Macron, qui dénoncent le fait que ce clip – censé simplement informer les électeurs de l’organisation de ce scrutin – reprenne l’angle politique de la campagne souhaitée depuis plusieurs semaines par Emmanuel Macron.

    Sur fond de musique angoissante, des images rapides défilent en 30 secondes, rythmées par des slogans caricaturant les enjeux des européennes : «Immigration : maîtriser ou subir ? Climat : agir ou ignorer ? Emploi : partenaires ou concurrents ? Europe : Union ou division ?»

    «Clip de propagande»

    A gauche, plusieurs responsables ont annoncé vouloir saisir le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) pour faire retirer cette vidéo destinée à être diffusée aussi à la télévision. Un «clip populiste et orienté» qui «n’est en rien un appel au vote pour les européennes mais un clip de propagande [pour La République en marche]», a ainsi dénoncé le sénateur socialiste du Val-d’Oise, Rachid Temal.

    Son «contenu totalement orienté, notamment la présentation nauséabonde qui est faite de l’immigration "à maîtriser ou subir", n’a aucun rapport avec une incitation à la citoyenneté», estime de son côté Mehdi Ouraoui, un de ses ex-camarades au PS, aujourd’hui porte-parole du mouvement Génération·s. Dans un communiqué, ce proche de Benoît Hamon annonce vouloir saisir la «commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques de ce nouveau manquement éthique». «Après la nomination du délégué général de LREM au ministère de l’Intérieur, chargé des élections, le grand mélange des genres continue et s’aggrave à la tête de l’Etat», ajoute-t-il.

    «Payé avec vos impôts»

    A l’extrême droite aussi, on ne goûte guère à ce clip. Pressenti pour rejoindre la liste du Rassemblement national, le député LR du Vaucluse, Thierry Mariani, s’est fait un plaisir de relayer la vidéo tout en dénonçant lui aussi la «propagande avec de gros sabots».

    «Comme vous l’avez payé avec vos impôts, sachez apprécier ce clip gouvernemental, pour les élections européennes, qui n’hésite pas à stigmatiser de manière hypocrite et sournoise Salvini et Orbán», souligne l’ancien ministre des Transports de Nicolas Sarkozy. Le ministre de l’Intérieur italien et le Premier ministre hongrois, adversaires déclarés d’Emmanuel Macron sur la scène européenne, apparaissent en effet dans cette vidéo.

    Sur son compte Twitter, Matteo Salvini s’en était fait l’écho il y a déjà quelques jours : «Le gouvernement français publie, avec l’argent des contribuables, un clip officiel pour les européennes en m’utilisant comme un épouvantail. Macron et ses amis doivent avoir très peur. En 2019, ils attendent un printemps des peuples qui va les balayer.»

    Si le but de ce clip était aussi de mobiliser ceux que le chef de l’Etat prétend combattre au printemps prochain, c’est très réussi.

    Libération


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 01 11 2018

     

    Je vous souhaite une bonne soirée


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  • Un prêtre lanceur d’alerte démis de ses fonctions par l’Eglise

    Pierre Vignon, le prêtre qui a lancé en août la pétition (100.000 signatures) demandant la démission du Cardinal Barbarin (accusé d’avoir couvert les agressions sexuelle sur mineurs du Père Preynat) a appris ce jeudi 1ernovembre qu’il était démis de ses fonctions de juge à l'officialité  par les douze évêques de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

     

    P. Nicolas de Boccard, responsable de l’officialité, lui a écrit :

    "Ils n’ont pas souhaité t’inclure dans ces nominations. Tu n’es donc plus juge de l’officialité à compter de ce jour. Il ne m’appartient pas de commenter leur décision"

     

    Trublion de l’Eglise, le père Vignon depuis des mois dénonce les atermoiements de l’Eglise sur la question de la pédophilie en France. Il était juge depuis 2002 à l'officialité de Lyon, dont le cardinal Barbarin… est justement le modérateur, c’est à dire une sorte de directeur.

    Les évêques ont le droit de relever les juges de leur charge. Mais en l’occurrence, qu’ils décident de le faire, dans l'officialité même d'un cardinal directement mis en cause, quelques mois après cette pétition et les fortes prises de position très médiatisées de ce prêtre, lanceur d’alerte et poil à gratter de l’Eglise, est pour le moins troublant !!!

    Joint par téléphone, Monseigneur Michel, l’évêque du père Vignon, n’a pas souhaité répondre à nos questions. Et Le père Nicolas de Boccard n’a pas répondu à nos appels. Quant au père Vignon, il nous déclare:

    "Je regrette cette décision, mais je l’accepte. Ça n’enlève rien à ce que j’ai dit en conscience et je ne regrette rien."

    Emmanuelle Anizon - L'OBS

    Quelle bande d'enfoirés ces cathos, curés, évêques, monseigneurs, papes ..... !!!


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  • N'achetez pas un chien dans une animalerie !

    On ne le répétera jamais assez. N'achetez pas en magasin, N'achetez pas chez un éleveur multi races ...

    Vous ne faites qu'entretenir le trafic des animaux de l'est avec ses fermes d'élevage immondes, sales et sans scrupules. Mises en saillie de leurs premières chaleurs jusqu'aux dernières, les chiennes ne sont que des utérus sur pattes, qui ne connaissent que leurs cages et leurs crasses, qui ne connaissent pas la liberté et la lumière du soleil, à qui on arrache les petits beaucoup trop tôt (si ils on pu survivre à ces conditions de détentions effroyables), et qui mourront dans l'indifférence totale....leur cadavre boueux, crotté et noueux sera jeté par dessus ceux des autres chiens de la ferme, au fond d'une poubelle.


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  • Merci à Hope For Paws pour tous ses sauvetages


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  • Fraude fiscale : l'Allemagne transmet 1.100 noms à la France

    Ils vont être contrôlés et leurs noms seront certainement dévoilés...

    Si l'Europe est aujourd'hui le centre de nombreuses tensions politiques, elle reste néanmoins toujours très active sur certains sujets... L'évasion fiscale est notamment particulièrement scrutée et certains pays collaborent pleinement pour tenter d'y mettre un terme.

    Les contrôles se multiplient...

    Selon les informations d'Europe 1, le BKA, la police fiscale allemande, aurait ainsi transmis des fichiers à la France concernant 1.100 exilés fiscaux. Des personnes qui vont donc être contrôlées et dont les noms seront dévoilés, selon l'administration fiscale.

    Des noms qui auraient été découverts suite à des enquêtes menées dans le cadre des "Panama papers". La presse avait à l'époque révélée les noms de quelques personnalités et de certains chefs d'Etat impliqués dans ce scandale d'évasion fiscale. A ce jour, plus de 500 contrôles auraient déjà été menés...

    Un système qui fonctionne ?

    Cette information est la preuve que les systèmes anti-fraude européens, et particulièrement français et allemands, fonctionnent bien... Il faut dire que le manque à gagner est immense en France et qu'il est donc temps de s'attaquer au problème.

    La fraude fiscale a ainsi atteint la barre symbolique des 100 milliards d'euros de manque à gagner pour les caisses de l'Etat. Une hausse de 20 milliards d'euros en 5 ans, selon le dernier rapport du syndicat Solidaires-Finances publiques.

    L'Hexagone a d'ailleurs investi récemment en la matière puisque la nouvelle police fiscale compte une trentaine de personnes et un budget de plusieurs dizaines de millions d'euros, toujours selon Europe 1. Les échanges de données et d'informations sont désormais automatiques avec plus de 100 pays dans le monde...

    BOURSIER.com


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  • Femme tuée en pleine rue à Besançon : le mari recherché

    Une femme d'origine afghane, hébergée dans un foyer pour victimes de violences conjugales, a été tuée mardi en pleine rue à Besançon. 

    Le parquet de Besançon a lancé mercredi un appel a témoins pour retrouver un Afghan de 38 ans, soupçonné d'avoir tué la veille son épouse en pleine rue.

    "L'exploitation d'une caméra de la ville de Besançon a permis de mettre en évidence la présence d'un individu qui suivait la victime (...). L'exploitation plus fine de l'ensemble des moyens de vidéo protection a confirmé qu'il s'agissait de son mari", a expliqué Etienne Manteaux, procureur de la République de Besançon, lors d'une conférence de presse.

    Plusieurs coups de couteau au niveau du torse et du coup. "Le suspect est un homme de 38 ans de nationalité afghane, mesurant 1,75 mètres. Il porte un tatouage sur l'épaule droite", a précisé le commissaire Charly Kmyta, chef de la sûreté départementale de Besançon. L'individu est soupçonné d'avoir tué son épouse, une Afghane âgée de 34 ans, mère de trois enfants de 9, 12 et 16 ans, mardi vers midi.

    "La victime a reçu plusieurs coups de couteau au niveau du torse et du cou. L'objet tranchant et pointu a entraîné sa mort par rupture de l'aorte", a-t-on appris de source policière.

    La victime avait porté plainte plusieurs fois contre son mari. Elle était hébergée dans un foyer pour victimes de violences conjugales après avoir porté plainte à plusieurs reprises contre son mari et avait fait l'objet en juillet d'une ordonnance de protection délivrée par un juge des affaires familiales, censée empêcher son mari de l'approcher.

    Aucun de ses objets personnels n'a été volé lors de l'attaque. "Le caractère crapuleux de l'agression est exclu", a ainsi estimé Etienne Manteaux, faisant de son époux "le suspect numéro 1".

    Europe 1


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 01 11 2018 Toussaint

     

    Passez une bonne journée


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