• Zemmour, toujours au top et merci au journaliste Bercoff, pas stupide comme les autres !

    (André Bercoff est un journaliste et écrivain franco-libanais né à Beyrouth le 12 décembre 1940.)


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  • Ce mercredi 21 novembre, Christophe Castaner était en train d'évoquer des comportements "cirquesques" lorsque les regards se sont portés sur le député non-inscrit Jean Lassalle, présent sur les bancs de l'Assemblée nationale lors de cette séance de questions au gouvernement. 

    Applaudi par plusieurs députés, notamment par ceux du Rassemblement national, l'ex-candidat à l'élection présidentielle avait revêtu un gilet jaune, symbole de son soutien au mouvement qui agite le pays depuis samedi 17 novembre. 

     

    "Je vous rappelle au règlement monsieur Lassalle, veuillez immédiatement retirer ce gilet", lui a alors ordonné le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand. Ne voyant aucune réaction de la part de l'élu des Pyrénées-Atlantiques, il a alors poursuivi : "Ce sera inscrit au procès-verbal et vous en subirez les conséquences. S'il vous plait, retirez ce gilet ! Allez manifester hors de cet hémicycle", a tonné Richard Ferrand, esquissant néanmoins un sourire.

    La séance suspendue quelques minutes

    Impassible, Jean Lassalle n'a pas daigné obéir. "La séance est suspendue", a alors déclaré le président de l'Assemblée. Après quelques minutes d'arrêt, les questions au gouvernement ont pu reprendre, avec un Jean Lassalle survolté, délesté de son fameux gilet jaune. 

    Alors que le ministre de l'Intérieur était toujours au micro, l'élu a laissé éclater sa colère, tandis que les députés de la France insoumise et ceux du Rassemblement national ont eux préféré quitté l'hémicycle. 

    RTL

    Tous les commentaires (y compris le mien) sur youtube ont félicité le député Lassalle !


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  • Créteil : nouvelle agression d'un professeur par un élève au lycée Branly

    Entrée du Lycée Branly

    Le lycée Édouard Branly, à Créteil, a été à nouveau le théâtre d'une agression d'enseignant. Lundi 19 novembre, en plein cours, un professeur de technologie de cet établissement de Créteil a été agressé. Il a décidé de porter plainte, l'élève a été placé en garde à vue mardi soir, selon nos informations.

    Au cours de l'altercation, le professeur ordonne d'abord à cet élève dissipé de sortir de classe quelques minutes pour se calmer. L'élève, très en colère, pousse alors son professeur violemment à deux reprises sans le faire tomber avant de quitter la classe. Le professeur, en le suivant à l'extérieur, lui indique alors qu'il sera sanctionné pour son comportement. L'élève aurait alors copieusement insulté son enseignant.

    Le professeur a finalement décidé de se présenter mardi après-midi au commissariat pour porter plainte pour violences aggravées. L'élève a été interpellé peu avant 18 heures à son domicile et a été placé en garde à vue. Il reconnaît les faits.

    C'est dans ce même lycée qu'un élève avait menacé une professeure avec une arme factice le 18 octobre dernier.

    RTL


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  • Russie: Un homme tué par un avion au décollage à Moscou

    Mais comment s'est-il retrouvé sur une piste du premier hub aérien de Russie? Un homme a été tué mardi soir sur le tarmac de l'aéroport moscovite  de Cheremetievo par un avion en train de décoller, ont annoncé mercredi les forces de l'ordre russes.

     

    L'homme de 25 ans a été percuté «par l'une des roues» d'un Boeing 737 qui «l'a mortellement blessé pendant son décollage», a affirmé sur son compte Twitter le comité d'enquête russe. Les faits ont eu lieu à l'aéroport de Cheremetievo, le premier aéroport du pays, vers 20H00 (17H00 GMT) mardi soir. L'avion impliqué, qui appartenait à la compagnie russe Aeroflot, n'a pas interrompu son vol en direction d'Athènes. Dans une vidéo filmée sur place et diffusée sur Twitter, les enquêteurs russes ont affirmé avoir retrouvé des morceaux de la veste de l'individu et de ses lacets.

    Un Arménien expulsé d'Espagne

    L'ambassade d'Arménie en Russie a indiqué que la victime était un citoyen arménien né en 1993. Les raisons pour lesquelles il se trouvait sur le tarmac de l'aéroport ne sont pas connues mais, selon des sources citées par les agences de presse russes, il était en escale à Moscou et arrivait d'Espagne d'où il avait été expulsé. L'homme aurait été escorté par la police jusqu'à sa porte d'embarquement. Il ne serait toutefois pas monté dans le bus menant à son vol, précisent ces sources.

    L'aéroport de Cheremetievo n'a pas commenté l'accident. Une source, citée par l'agence Interfax, a affirmé que les services aéroportuaires et la police d'Athènes avaient trouvé des «trous» sur le fuselage de l'avion après son atterrissage. Aeroflot a indiqué que plusieurs vols avaient été retardés après la «fermeture» de l'une des pistes de l'aéroport de Cheremetièvo.

    20 Minutes


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  • Le dernier clip de Johnny Hallyday, Pardonne-moi, n’est pas du goût de ses fans ! Laeticia en sait quelque chose… Depuis la sortie de cette vidéo, la veuve se fait lyncher sur les réseaux sociaux.

    Onze mois après sa mort,

    Johnny Hallyday continue de faire l’actualité. Alors qu’un hommage sera organisé le 5 décembre prochainpour le premier anniversaire de sa mort, c’est un tout nouveau clip, dévoilé ce mardi 20 novembre, qui fait parler de lui. Titre phare de l’album posthume du Taulier, Mon pays, c’est l’amour, Pardonne-moi est une déclaration d’amour à Laeticia Hallyday, la veuve du rocker. Un titre que la maman de Jade et Joy a tout de suite adoré, comme en témoignent ses déclarations dans le JT de TF1, le 19 octobre dernier.

    A la question « Pardonner à qui » ?

    La proche amie d’Hélène Darroze avait répondu les larmes aux yeux : « A ses parents… Je l'ai accompagné dans ce chemin. En 23 ans, j'ai essayé de comprendre ses blessures, ses démons, comprendre pourquoi il avait fuit l'amour, il n'arrivait pas à être heureux, l'amour lui faisait peur. Il s'est réparé au fil du temps. J'ai été heureuse d'apprivoiser ses démons pour l'aider ». Pourtant, cela n’a pas empêché les fans de Johnny Hallyday de monter au créneau, en découvrant que la veuve de 43 ans était la star de son clip Pardonne-moi. Car en plus d’y voir un plagiat évident de Ma dernière lettre, le dernier clip de David Hallyday réalisé par sa sœur Laura Smet, le public dénonce également une mise en scène injustifiée de la star du clan Boudou.

    Les fans de Johnny Hallyday détruisent Laeticia sur les réseaux sociaux

    Souvenez-vous, à son retour à Paris le 7 octobre dernier, Laeticia Hallyday avait suscité l’indignation de certains fans. Venue assurer la promotion de l’ultime album de son défunt mari auprès de TF1, RTL et Paris Match, la veuve ne se sentait pas en sécurité dans les rues de la capitale. Et à en croire les réactions des fans, la belle-mère de Laura et David est toujours persona non grata... Sur la Toile, ils ont en effet été nombreux à s’indigner de l’omniprésence de la belle blonde dans le clip de Pardonne-Moi. Coiffée d’un haut chignon, la fille d’André Boudou y apparaît toujours de dos, le regard pointé vers le ciel. Ce qui n’est manifestement pas du goût de tout le monde…

    « Comment Boudou a osé se mettre en scène dans le clip Pardonne-moi et a utilisé un loup pour copier le clip de David Hallyday. Ce clip avec Boudou est à vomir ! », s’est agacée une internaute en insistant sur le nom de jeune fille de la maman de 43 ans. « De pire en pire, Laeticia Hallyday joue l’actrice, mais elle va toutes nous les faire celle-là ! Jamais elle ne va arrêter ses co*******. Qu’elle se taise, elle me fatigue », a fustigé une autre. Et pourtant, il se trouve que contrairement aux apparences, la veuve la plus célèbre de France ne joue même pas son propre rôle ! Selon les affirmations de nos confrères de BFMTV, il s’agirait bel et bien d’un sosie. Un choix qui n’a fait que susciter davantage l’indignation des fans, qui ne comprennent pas la décision de celle qui, à défaut de poser pour le clip de son défunt mari, prendrait la peine de dicter des messages Instagram à sa fille Jade…

    VOICI


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  • J'ai mis cette video pour que vous compreniez l'article suivant (à cause du loup)


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  • À Paradise, le récit poignant d'un photographe revenu de l'enfer

    © JOSH EDELSON/AFP En plein milieu de la ville de Paradise détruite par les flammes, Josh Edelson a saisi cette mise en scène d'Halloween demeurée miraculeusement intacte.

     

    Josh Edelson, photographe basé à San Francisco, a couvert pour l'AFP les incendies dans le nord de la Californie. Voici son témoignage, bouleversant.

    «Quand d'énormes incendies ont frappé la Californie l'an dernier les gens ont cru qu'il s'agissait d'une anomalie. Ils s'attendaient à ce que la saison des feux de forêt revienne à des épisodes normaux, comme l'État en connaît depuis des décennies. Et puis «Camp fire» est arrivé. En termes de destruction, il a effacé toute concurrence passée. Et de bien loin! Les chiffres parlent d'eux-mêmes: plus de 10.000 maisons calcinées, au moins 77 morts et plus de 1.000 personnes portées manquantes. C'est l'incendie le plus meurtrier qu'ait jamais connu la Californie. Un incendie extraordinaire. Littéralement.

    Pour faire notre métier, nous approchons les feux de près. Nous les suivons en écoutant les canaux de la fréquence CB et la radio des services de secours, et en suivant les fils Twitter et les sites des pompiers. Quand je me suis levé, le matin du 8 novembre, le feu avait déjà dévoré presque 500 hectares d'un endroit boisé avec très peu d'humidité. Les conditions climatiques étaient sensiblement identiques à celles des incendies de l'an dernier - un temps sec, un faible taux d'humidité de la végétation et des vents forts. Alors quand le «Camp fire» a démarré dans les contreforts des montagnes de la Sierra, les pompiers n'ont pas pu faire grand-chose pour l'arrêter.

    Je suis arrivé à Paradise, vers 12h45, et l'incendie faisait rage. L'une des premières choses que j'ai vues en arrivant était un hôpital en feu. On était en train d'évacuer ses patients dans des véhicules. À un moment, je me suis retrouvé à une intersection, dont les immeubles à chaque coin étaient en feu. Avec les bourrasques de vent à 80 km/heure, la vue que j'avais des maisons et des voitures en feu était brutalement masquée par des nuages de fumée noire, si épaisse qu'on ne pouvait plus rien voir à un mètre devant soi. J'ai pris quelques photos depuis ma voiture, en me demandant si je ne devrais pas sortir pour en prendre d'autres. Je ne savais pas ce que je risquais.

    Soudain j'ai vu arriver vers moi un tourbillon de feu, de trois mètres de large environ. Ça ressemble à un tourbillon de poussière, du genre de ceux qu'on voit dans le désert, mais au lieu de grains de sable il charrie des braises. Je n'ai pas peur de ces dernières, parce que je porte le même équipement de protection que les pompiers. Mais les tourbillons de feu sont très rares et complètement imprévisibles. Je ne pouvais pas savoir s'il grossirait ou changerait de direction. Par prudence, j'ai engagé la marche arrière pour me tirer de là. J'étais en pleine manœuvre quand j'ai vu les lignes électriques au-dessus qui commençaient à bouger violemment. Un paquet d'entre elles est brusquement tombé devant ma voiture.

    Des scènes pareilles se répétaient à travers toute la ville. Tous les établissements de restauration rapide avaient déjà brûlé, et un supermarché avec eux. Il y avait un grand centre commercial ceinturé par un énorme parking. La plupart du temps ces derniers procurent une protection parce que le feu ne peut pas s'y alimenter. Mais pas cette fois. Il était déjà en train de détruire un commerce après l'autre. La scène se répétait sans cesse, où que j'aille. Le feu était partout. La ville n'avait aucune chance de s'en sortir. Le lendemain matin, je pense que 90% de la zone avait brûlé. Une des choses qui a rendu cet incendie si meurtrier n'est pas seulement sa rapidité mais aussi le fait qu'il soit arrivé dans une zone montagneuse. Les routes sont étroites et sinueuses. Les gens qui fuyaient l'incendie se sont vite retrouvés coincés dans des embouteillages. Ils ne pouvaient pas fuir.

    Quand on couvre un incendie il y a deux phases, le feu lui-même et ses conséquences. C'est cette deuxième phase qui m'a le plus marqué. Je roulais dans les décombres de la ville quand je suis tombé sur un corbillard, que j'ai suivi. J'ai eu un accès incroyable aux opérations de recherche des corps de victimes. À un moment, nous nous sommes arrêtés devant une maison brûlée. Il y avait un corps juste là. Les secouristes ont soulevé une toiture de métal qui était tombée dessus. Le corps était complètement brûlé. Mais on pouvait saisir l'expression du visage du mort. Je pense que c'était une femme. Sa main était dressée en l'air, comme si elle avait voulu se protéger de quelque chose. Ses yeux étaient ouverts et la peur avait figé l'expression de son visage. C'est comme si la pensée qu'elle savait devoir mourir, à ce moment, dans ce brasier, s'était imprimée sur sa face.

    J'ai posé mon appareil photo, et je me suis voûté. En un instant j'ai éprouvé une sorte de connexion avec cette personne, avec la terreur qu'elle avait dû éprouver en réalisant qu'elle allait mourir dans cet incendie. Mes mains tremblaient. J'ai couvert beaucoup d'incendies, mais je n'avais jamais ressenti une chose pareille. Je n'ai transmis aucune de ces photos, par respect pour sa famille. C'était si épouvantable que cela aurait fait plus de mal que de bien. Mon travail s'est résumé à ça les jours suivants. Suivre les secouristes à la recherche de corps et de restes humains. C'était morbide.

    Le jour suivant, nous avons trouvé un homme couché face contre terre entre deux voitures, les bras contre la poitrine. La manipulation d'un corps brûlé est horrible. Le cadavre est si raide que cela ressemble au transport d'un mannequin très lourd. Il faut attraper les mains, pour pouvoir le soulever. C'est horrible. Quand ils le retournent, cela détache des morceaux de peau, comme du chiffon. Ça a tout d'un film d'horreur. Vous regardez ça en priant pour qu'une partie du corps ne se détache pas pendant qu'on le déplace. En même temps, vous vous demandez comment cette personne est morte. Que faisait-elle, à quoi pensait-elle?

    Avec cet homme, j'ai essayé de faire des photos sur lesquelles on ne pourrait pas l'identifier. Je n'y suis pas arrivé. En les regardant plus tard, je me suis dit que je ne pouvais pas les transmettre. La famille de cet homme les verra et reconnaîtra sa chaussure, les voitures près desquelles il se trouvait. Et ils en seraient furieux, je pense. Ils se diraient: Comment pouvez-vous nous forcer à regarder notre mari, notre père, notre fils dans un état pareil? Je n'ai fini par transmettre que des photos de la housse mortuaire contenant l'homme. Je n'ai fait que ça ensuite.

    Je suis toujours étonné de tout ce qu'un feu peut brûler. Des choses dont vous ne vous attendriez jamais à ce qu'elles puissent fondre, le font apparemment sans difficulté. Du verre. Des plaques d'immatriculation. Un feu d'une intensité telle qu'il fait fondre le métal. Les choses qui restent derrière sont fascinantes elles aussi. Et quelquefois troublantes. À un moment je suis tombé sur un petit carré d'herbe intact, devant une maison calcinée. Il y avait un petit banc avec dessus un squelette et des citrouilles. Une décoration d'Halloween. La tête du squelette penchait d'un côté. Au milieu de toute cette dévastation la scène était un peu irréelle. Je suis resté cinq jours sur place, une durée inhabituelle pour moi.

    Une chose qui arrive une fois peut être une aberration. Si elle survient une deuxième, c'est peut-être le début d'un cycle. Nous avons eu maintenant des feux gigantesques pendant deux années de suite. Avec mes collègues, nous pensons que ce n'est que le début d'un phénomène récurrent. Il n'y a pas d'autre explication. Nous avons franchi un seuil en termes d'échelle de destruction, et malheureusement il faut s'attendre à ce que la chose se répète.»

    Le Figaro.fr


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  • Au Yémen, 85 000 enfants morts de faim ou de maladie

    Au Yémen, 85 000 enfants morts de faim ou de maladie

    Quelque 85.000 enfants seraient morts de faim ou de maladie depuis l'intensification de la guerre au Yémen, selon une estimation faite mercredi par l'ONG Save The Children.

    L'ONG affirme, dans un communiqué, avoir utilisé des données de l'ONU pour évaluer les taux de mortalité dus aux cas de malnutrition sévère et de maladie chez les enfants de moins de cinq ans.

    Se basant sur une "estimation prudente", l'ONG avance qu'environ 84.701 enfants seraient morts de faim ou de maladie entre avril 2015 et octobre 2018. D'autres ont par ailleurs été tués dans les combats qui ensanglantent ce pays pauvre de la péninsule Arabique.

    La guerre a fait quelque 10.000 morts et 14 millions de personnes se trouvent en situation de pré-famine, selon l'ONU.

    "Nous sommes horrifiés par le fait qu'environ 85.000 enfants soient morts de faim. Pour chaque enfant tué par des bombes et des balles, des douzaines meurent de faim et on peut l'éviter", a déploré dans le communiqué de Save The Children, Tamer Kirolos, son directeur pour le Yémen.

    Paris Match

    LIEN : https://fr.wikipedia.org/wiki/Y%C3%A9men


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  • Excellent !


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  • Anne Roumanoff : "Dimanche, Édouard Philippe riait jaune"


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 20 11 2018

     

    BONNE SOIREE


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  • Un ex-prêtre accusé de pédophilie, interpellé par une victime présumée lors de son procès

    "Tu ne veux pas demander pardon ?": à l'ouverture de son procès, Régis Peyrard, un ancien prêtre de 85 ans, jugé mardi par le tribunal correctionnel de Saint-Etienne pour agressions sexuelles sur mineur, a été interpellé par une victime présumée.

    Assis au premier rang d'une salle d'audience comble, le prévenu, qui doit répondre "d'attentat à la pudeur commis avec violence ou surprise sur un mineur de moins de 15 ans", s'est contenté de baisser la tête, sans répondre.

    Victime prescrite

    Accusant l'ex-prêtre de l'avoir violé, Jean-François Roche, un instituteur en longue maladie se présentant comme une victime prescrite, insiste pendant de longues minutes: "Régis, tu ne veux pas demander pardon ? C'est pourtant un des piliers de l'Eglise".

    "Foutez-lui la paix, s'il est là, c'est qu'il accepte d'être jugé", lance alors un homme dans l'assistance, tandis que le représentant du ministère public demande "un peu de calme".

    "Enfin, on va être entendus"

    Peu avant l'ouverture de l'audience, une dizaine d'hommes se présentant comme des victimes de l'ancien prêtre s'étaient rassemblés sur les marches du Palais de justice, en tenant des silhouettes blanches symbolisant leur enfance perdue.

    "Enfin, on va être entendus", lance l'un d'eux, tandis qu'un autre ajoute: "Ce procès doit aussi être celui de l'Eglise et de la Justice".

    "Je reconnais que cela a bien pu se passer"

    Après une présentation de la personnalité et du parcours du prévenu, le président du tribunal lui a demandé s'il reconnaissait les faits pour lesquels il est poursuivi.

    "Je reconnais que cela a bien pu se passer. Il y a dû avoir des caresses et des attouchements. Mais les conditions exactes, je ne m'en souviens pas", répond distinctement et avec calme Régis Peyrard.

    Prescription 

    Cet ancien aumônier d'un lycée de Montbrison (Loire), qui a accompli toute sa carrière ecclésiastique au sein du même diocèse, est suspecté d'avoir profité de sa fonction d'organisateur de camps de vacances d'été à Peisey-Nancroix (Savoie) pendant de nombreuses années, pour abuser de jeunes garçons.

    La plainte qui l'a finalement mené devant le tribunal concerne "un chef d'entreprise de la région stéphanoise, aujourd'hui âgé de 38 ans".

    Au début des années 2000, l'ancien prêtre avait avoué à sa hiérarchie avoir commis des abus sexuels sur des mineurs entre les années 1980 et 1990. Mais les dizaines de plaintes et signalements transmis à l'Eglise et à la justice n'avaient pu jusqu'ici déboucher sur des poursuites car les faits étaient prescrits.

    BFM.TV

    Si l'église catholique avait pas étouffé toutes les dénonciations d'affaires de pédophilie, ce sale type aurait été jugé plus tôt ! Maintenant, il a 85 ans ! Faudrait qu'il finisse sa vie en prison.


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  • Sète : Soupçonné d'avoir noué une relation avec un adolescent, un enseignant mis en examen

    Un enseignant, qui exerce à Sète, dans l’Hérault, a été mis en examen à Montpellier pour des soupçons de viol sur un mineur de moins de 15 ans, dans une affaire « sans lien avec sa profession », indique le procureur, Christophe Barret.

    Une juge a mis en examen cet enseignant pour viol, agression sexuelle et corruption sur un mineur de moins de 15 ans. Selon Midi Libre, ce professeur des écoles de 49 ans, aurait noué une relation depuis 2014 avec un adolescent, rencontré sur internet.

    Placé sous contrôle judiciaire

    Sa victime présumée était alors âgée de 12 ans, indique le quotidien.

    L’enseignant a été placé sous contrôle judiciaire, avec l’obligation de ne pas entrer en contact avec des mineurs. « En l’état de l’enquête, il n’y a aucun lien entre l’exercice de sa profession et les faits qui lui sont reprochés », a souligné le procureur.

    20 Minutes

    Ce qu'a fait ce monsieur est mal mais est-ce que l'enfant a dit qu'il avait été violé ?

    Coment se fait-il qu cela ait duré 4 ans  sans que l'enfant se plaigne?


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  • Remis en liberté, Tariq Ramadan pense avoir été détenu pour des «raisons politiques»

    Sur les réseaux sociaux, l'intellectuel musulman clame son innocence et affirme que son état de santé s'est dégradé pendant sa détention.

    Sans fioriture, le texte est court et très offensif. «J’ai été maintenu en prison pour des raisons politiques», a écrit mardi matin sur Facebook l’intellectuel musulman Tariq Ramadan, mis en examen pour trois viols en France et en Suisse. Pour sa première intervention publique depuis sa remise en liberté en fin de semaine dernière, Ramadan a choisi les réseaux sociaux où ses soutiens sont très actifs.

    Outre cette mise en cause de la justice française, il clame, sans surprise, n’avoir rien à se reprocher. «Je suis innocent de toutes les accusations portées à mon égard et je continuerai à me battre pour défendre ma dignité et mon honneur», soutient-il. Il parle également d’un «lynchage médiatique» à son encontre. Par ailleurs, il enjoint à ses supporteurs, comme il l’avait fait au déclenchement de cette affaire, «d’éviter les commentaires injurieux, les insultes et les menaces à l’égard des plaignantes et de ceux qui les soutiennent.» 

    Depuis les premières plaintes déposées à l’automne 2017, un climat empoisonné règne effectivement dans cette affaire. Une bataille féroce a lieu sur les réseaux sociaux où les accusatrices de Ramadan reçoivent insultes et menaces.

    Souffrant depuis 2014 d’une sclérose en plaques, Tariq Ramadan affirme que son état de santé s’est singulièrement dégradé pendant son incarcération. Pendant ses neuf mois et demi de détention, sa famille a régulièrement fait savoir que l’administration pénitentiaire ne prodiguait pas les soins nécessaires à Ramadan. «Ma santé s’est tellement détériorée durant la détention que je suis obligé désormais dans l’obligation de suivre un lourd traitement», affirme-t-il.

    Contacté par Libération, Me Eric Morain, l’avocat de «Christelle», la deuxième femme à avoir porté plainte contre Ramadan déplore l’attitude du théologien : «La dialectique du complot politique est éculée et ne sert qu’à rassurer ses soutiens et à occulter ce qui est dérangeant.»

    Libération


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  • En Belgique, Macron interrompu par un étudiant qui le traite de "menteur"

    Emmanuel Macron a pris la parole devant des étudiants ce mardi à Louvain, en Belgique, lors d'un rendez-vous public consacré à l'Europe. Un curieux dialogue s'est alors engagé entre lui et un jeune homme présent dans le public, qui brandissait une banderole l'accusant d'avoir du sang sur les mains.

    Alors qu'il séjourne en Belgique, le temps d'une visite d'Etat en ce début de semaine, Emmanuel Macron a fait escale à Louvain. Il s'agissait pour lui de participer à une rencontre publique intitulée "Nous, demain, l'Europe" avec le Premier ministre belge, Charles Michel, devant un parterre d'étudiants. Mais son discours ne s'est pas déroulé comme prévu: le chef de l'Etat a été interrompu par un membre de l'assistance qui brandissait une banderole. "Le sang coule de leurs mains, renseignez-vous", pouvait-on y lire. 

    "Il faut dire des mains de qui?" a d'abord demandé Emmanuel Macron. "Pourquoi vous matraquez vos étudiants? Pourquoi vous êtes le seul pays qui utilise des grenades contre sa propre population?" lui a crié en retour le jeune homme. "Là, vous dites n'importe quoi", a rétorqué Emmanuel Macron à celui-ci, qui l'a également traité de "menteur". 

    "Ne mettez pas des papiers partout!"

    Le président de la République a ensuite demandé à son interlocuteur de ne pas "l'invectiver" et à la sécurité de ne pas l'expulser de la salle. '"C’est un lieu de discussion. Je réponds d’abord à votre camarade puis je vous répondrai", a-t-il poursuivi. Emmanuel Macron s'est ensuite inquiété du jet de tracts de son détracteur. "Et ne me mettez pas des papiers partout car quelqu’un va les ramasser et ce ne sera pas vous", a-t-il lancé. 

    Revenant sur l'épisode desblocages d'universités il y a quelques mois, Emmanuel Macron a plus tard développé sa réponse aux accusations mais celui qui les avait formulées était alors parti de lui-même. "En France, les CRS ne s’attaquent pas aux étudiants. Il y a pendant des jours et des jours des étudiants et beaucoup de non-étudiants, y compris un petit chien extrêmement sympathique qui avait un compte Twitter, qui ont saccagé l’université de Tolbiac", a-t-il commencé. 

    L'ironie de Macron 

    Un brin ironique, il a enchaîné: "Il faut arrêter les bêtises! La moitié des gens ne sont pas des étudiants là depuis longtemps, ce sont des groupes anarchistes. Malheureusement, ils ont arrêté les études depuis très longtemps et n’ont pas envie de s’y remettre. Je serais très favorable à ce qu’ils reprennent les études mais eux n’ont pas envie."

    "Il n’y a eu aucune intervention avec de la violence contre eux. Il y a eu beaucoup de blessés dans nos forces de l’ordre, il n’y en a pas eu de leur côté", a encore dit Emmanuel Macron. Enfin, le chef de l'Etat a clos sa réponse en parlant de l'évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. "Et nous avons évacué des gens à Notre-Dame-des-Landes, car je pense qu’il faisait référence à ça, comme nous allons continuer à le faire" quand l'ordre public est mis en cause, a-t-il avancé.  

    BFM.TV


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  • "Gilets jaunes" : premières fissures dans la majorité

    Alors que le gouvernement a haussé le ton mardi contre le mouvement des "gilets jaunes", certaines voix dissonantes se font entendre dans la majorité.

    Quatrième jour de mobilisation mardi pour les "gilets jaunes", dont le nombre s'est considérablement réduit depuis les actions de samedi mais qui mènent toujours des opérations de blocage, sur les autoroutes ou des dépôts pétroliers. Le gouvernement, lui, a nettement durci sa ligne depuis ses expressions de dimanche, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner dénonçant mardi "une dérive totale" du mouvement. Pourtant, au sein même de la majorité, des expressions différentes se font parallèlement entendre.

    Le Drian et son "interprétation de l'événement"

    C'est un ministre lui-même qui a fait une sortie remarquée, lundi soir, en allant un peu plus loin que la ligne gouvernementale. A la tête des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian s'est exprimé sur le sujet sur Europe 1 en préconisant de mettre en place "des dispositifs de vigilance, voire d'observations" sur les "mesures d'accompagnement" voulues par l'exécutif.

    Le Breton, qui s'était impliqué en 2013 lors de la colère des "bonnets rouges" alors qu'il était déjà au gouvernement, propose notamment de "rendre publiques ces observations que nous pouvons faire" et même d'installer "un observatoire de ces inégalités, qui permet ensuite d’y remédier". "Il faut une traçabilité des mesures et des conséquences", a-t-il ainsi formulé, tout en précisant qu'il s’agissait là de son "interprétation de l’événement".

    Contrairement au Premier ministre, la députée Bourguignon "accepte la main tendue de Laurent Berger"

    Jean-Yves Le Drian, qui a entretenu des relations ombrageuses avec les écologistes dans sa région, avait également appelé à "faire attention" à ce que les mesures envisagées pour "décarborner" l'économie française ne se fassent "pas au détriment de certaines catégories sociales [...] car il peut y avoir des distorsions dans les conséquences de la transition écologique pour certaines personnes, qui le vivent très mal car elles ont toutes les conséquences et pas les avantages".

    Autre voix : celle de la députée de La République en marche Brigitte Bourguignon, qui entend incarner un "pôle social" au sein de la majorité macroniste. Interrogée lundi sur la réponse d'Edouard Philippe à la CFDT de Laurent Berger, qui proposait d'organiser une conférence sur la transition écologique, la présidente de la commission des Affaires sociales a pris le contre-pied du Premier ministre. "Moi, j'accepte la main tendue de Laurent Berger. Je ne suis que moi-même parlementaire mais je pense qu'avec les parlementaires de la majorité, nous aurions plutôt intérêt à accepter cette main tendue, ce dialogue renoué avec les corps intermédiaires - il me semble important de renouer ce dialogue", a-t-elle déclaré sur France Info.

    La réponse n'est "pas la bonne", pour un député LREM

    "Je crois fermement à cette proposition, je pense qu'on a toujours eu intérêt dans ce pays à dialoguer", a poursuivi Brigitte Bourguignon. "Je ne crois pas que les 'gilets jaunes' veulent une grande conférence avec les organisations politiques et syndicales", avait de son côté déclaré dimanche sur France 2 Edouard Philippe. En réaction, Laurent Berger avait pris acte de la "fin de non recevoir, en tout cas au moins temporaire", regrettant notamment "la verticalité du pouvoir". 

    "On ne peut pas dire aux gens je vous écoute et je vous entends mais je ne changerai pas de cap, ce discours n'existe pas en politique!"

    En outre, le député LREM de l'Hérault Patrick Vignal, élu comme Brigitte Bourguignon du PS lors de la précédente législature, s'est monté encore plus alarmant. "On ne peut pas dire aux gens je vous écoute et je vous entends mais je ne changerai pas de cap, ce discours n'existe pas en politique!", a-t-il déclaré lundi dans une interview à Midi Libre, en estimant que la réponse de l'exécutif n'était pas "la bonne". "On ne peut pas mettre dos à dos la France des ronds-points et la France des avenues", a-t-il également dit. Un message répété mardi matin à l'antenne de BFMTV. 

    le JDD.fr


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  • INFORMATION EUROPE 1 - LREM visé par une enquête préliminaire sur l'origine de 144.000 euros de dons

    © ERIC FEFERBERG / AFP INFORMATION EUROPE 1

     

    L'origine de 144.000 euros de dons perçus par La République en marche en 2017 n’a pas pu être identifiée par la Commission des comptes des campagne, poussant le parquet de Paris à ouvrir une enquête préliminaire.

    Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire mardi concernant des recettes du parti La République en marche, qui n'ont pas pu être retracées par la Commission des comptes de campagne, a appris Europe 1.

    Un signalement de la Commission des comptes de campagne.

    La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) a dénoncé le 12 novembre auprès du parquet de Paris des faits "susceptibles de constituer une infraction à la législation sur la transparence de la vie publique", fait savoir le parquet. Ce signalement "fait suite au contrôle des justificatifs de recettes transmis par l’association du financement du parti LREM", poursuit-il.

    L'origine de 144.000 euros de dons non-identifiée.

    L’origine de certains dons perçus par le parti présidentiel sur l'année 2017 n’a en effet pas pu être identifiée par la CNCCFP. La somme totale de ces dons non-retracés atteint 144.000 euros, donnés par chèques, virements ou encore paiements électroniques. L’enquête préliminaire a été confiée à l’Office central de lutte contre la corruption (OCLCIFF). 

    Europe 1 très fier de sa découverte ! (rire)

    INFORMATION EUROPE 1 - LREM visé par une enquête préliminaire sur l'origine de 144.000 euros de dons


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  • Canada : 250 000 litres de pétrole accidentellement déversés dans la mer

    Le déversement s'est produit après "une perte de pression sur une conduite sous-marine" reliant la plateforme South White Rose et le pétrolier Sea Rose du groupe Husky Energy.

    Un avion de surveillance et six navires ont été dépêchés lundi au large de la côte Est du Canada après le rejet accidentel vendredi de 250.000 litres de pétrole sur le site d'une plateforme de forage, ont indiqué les autorités canadiennes. Le déversement s'est produit après "une perte de pression sur une conduite sous-marine" reliant la plateforme South White Rose et le pétrolier Sea Rose du groupe Husky Energy, à 350 km au sud-est de Saint-Jean de Terre-Neuve, selon un communiqué du régulateur gouvernemental de l'industrie.

    "Aucun signe visible d'éclat" à la surface de l'océan, autrement dit de marée noire, n'a été constaté lundi par un avion qui a survolé la zone, a indiqué dans une série de tweets le régulateur du secteur, l'Office Canada-Terre-Neuve des hydrocarbures extra-côtiers (CNLOPB). Les observations aériennes et marines "indiquent que le pétrole se disperse" et que depuis l'accident de vendredi, "aucune nouvelle trace d'hydrocarbure n'a été détectée à la surface de l'eau", a déclaré lundi soir à l'AFP le groupe canadien Husky Energy qui exploite la plateforme. Cinq oiseaux de mer "mazoutés" ont été repérés et "un centre de désintoxication" pour animaux a été constitué, a précisé Husky Energy.

    Un sous-marin a été déployé

    Un mini sous-marin télécommandé a été déployé lundi pour réaliser une inspection de la conduite reliant la plateforme et le pétrolier, les images transmises devant être examinées par des inspecteurs du régulateur de l'industrie. L'accident s'est produit en pleine tempête et avait entraîné un arrêt de la production des quatre plateformes de forage au large de Terre-Neuve. La production a repris lundi sur l'une de ces plateformes, Hebron, du groupe ExxonMobil.

    Paris Match

    Pauvre mer, pauvres poissons, pauvres oiseaux


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