• CHANTOUVIVELAVIE : Paris: frappée et dépouillée, une lycéenne est jetée dans la Seine

    Mercredi soir, vers 21 heures, une jeune fille a été brutalement prise à partie par une bande de cinq adolescents. L'adolescente, âgée de 17 ans, pique-niquait sur un banc, non loin de l'île Saint-Louis à Paris, quand quatre garçons et une fille à peine majeurs l'ont abordée, rapporte Le Parisien.

    Ils lui demandent d'abord une cigarette, puis de l'argent. De plus en plus agressifs, ils lui assènent des gifles dans la tête, des coups de poing et des coups de pied et finissent par lui arracher les cheveux. Mais le pire est encore à venir: il la jettent à terre pour lui arracher son sac à main avant de la pousser par-dessus bord, dans la Seine.

    "J’ai fait le 18 pour appeler la police. Les policiers ont décroché mais ils ne m’entendaient pas car mon portable avait pris l’eau", a raconté la jeune lycéenne au quotidien régional.

    Mathilde est secourue par une passante qui appelle les secours avec son téléphone portable. Elle est ensuite transportée à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière. Dans le même temps, la bande de malfaiteurs a disparu avec son sac à main et son porte-feuille, qui contenait ses cartes bancaires et papiers d'identité. Ce jeudi, la jeune fille a porté plainte puis s'est rendue aux urgences médico-judiciaires pour établir une incapacité totale de travail (ITT).

    BFM.TV


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Une ONG alerte sur les agressions de réfugiés chrétiens en Allemagne

    © Gero Breloer/AP Un demandeur d'asile iranien dans une église à Berlin, en août 2015

    Un rapport de l'association évangélique Open Doors affirme qu'au moins 743 migrants chrétiens ont été victimes d'agressions à caractère religieux entre février et septembre 2016 dans des camps allemands.

    «Nous avons sous-estimé le rôle de la religion», confiait le ministre de l'intérieur allemand Thomas de Maizières le 20 septembre dernier lors d'une conférence à Berlin au sujet de l'accueil des migrants. C'est à ce constat qu'invite également le nouveau rapport de la branche allemande de l'ONG évangélique Open Doors, qui alerte sur les attaques violentes dont seraient victimes les minorités religieuses, notamment chrétiennes et yazidis, dans les camps de réfugiés en Allemagne.

    Selon ce rapport, fruit de centaines d'entretiens menés auprès de réfugiés dans toute l'Allemagne entre mai et septembre et publié le 17 octobre, 743 réfugiés chrétiens ont signalé des attaques à motif religieux, ainsi que 10 Yazidis. Un premier rapport avait été publié en mai recensant 231 attaques documentées entre février et avril. «Ce deuxième rapport n'est que le sommet de l'iceberg du nombre d'attaques à motivations religieuses contre des réfugiés chrétiens. On doit avoir à l'esprit qu'il y a un grand nombre de cas non signalés.» précise

    l'ONG, spécialisée dans le combat contre la persécution des chrétiens dans le monde.

    Les mêmes réfugiés ont fait l'objet de multiples agressions. Ainsi, 617 (83 %) ont fait état d'agressions multiples, 314 (42 %) de menaces de mort, 416 (56 %) d'agressions physiques, 44 (6 %) d'agressions sexuelles. 91 % des attaques ont été commises par d'autres réfugiés, 28 % par des agents de sécurité et 34 % par d'autres personnes. «Ce qui rend la situation encore plus difficile», écrivent les auteurs du rapport, «c'est que beaucoup de réfugiés avaient déjà des expériences négatives avec les autorités et la police dans leur pays d'origine à cause de leur foi. Ils sont habitués à être traités comme des citoyens de seconde zone, et maintenant ils se rendent compte qu'on ne les protège pas en Allemagne.» Ainsi ce réfugié chrétien iranien, qui témoigne dans l'enquête: «J'étais choqué! Que ce genre de chose arrive en Iran, soit, mais je n'aurais jamais pensé vivre cela en Allemagne. Cela a ébranlé ma confiance.»

    Vers une séparation dans les centres d’accueil?

    «Ils mettent en permanence des prières islamiques très bruyantes et des versets du Coran sur leurs portables. En plus, ils m'envoient des enfants pour me demander: ‘pourquoi es-tu chrétienne, pourquoi ne couvres-tu pas tes cheveux?'» témoigne une chrétienne syrienne. Ou encore cet homme, venu d'Irak: «Les musulmans de mon foyer ont découvert que j'étais chrétien parce que je lisais la Bible. J'ai reçu des menaces de mort. Ils voulaient me convertir à l'islam. Personne n'a rien pu faire pour moi, j'ai dû changer de logement.»

    L'association déplore la vision relative du phénomène par les autorités allemandes, qui évoquent des «cas isolés» et préfèrent traiter la question au cas par cas. Fin août, La Croix évoquait déjà ce sujet des persécutions de réfugiés chrétiens.

    L'ONG se défend de tout agenda politique ou volonté de stigmatiser les musulmans. «Certains ont attiré l'attention sur le fait que ce genre de publication pourrait nourrir les conflits religieux et la xénophobie.» écrivent les auteurs. «Nous croyons que la banalisation, la dissimulation, ou le détournement de cette injustice, pour des motifs politiques ou autres, donnerait un encouragement pour leurs auteurs et augmenterait la souffrance des victimes.»

    Open Doors évoque plusieurs pistes pour résoudre le problème: sensibiliser le personnel qui gère les sites d'accueil des réfugiés, inclure une mention explicite sur l'égalité et le traitement égal des religions dans les brochures «Welcome to germany» qui sont distribuées aux migrants, favoriser la remontée des plaintes… La séparation des migrants selon la religion pourrait-elle être une solution? Les autorités allemandes la refusent par principe, préférant faire du cas par cas. Les Églises catholiques et protestantes du pays ont affirmé dans un communiqué fin juillet leur refus d'une séparation, sauf en cas de violence avérée «Oui, il faut dire clairement les choses: l'idéal d'une coexistence pacifique entre des gens de milieux différents ne doit pas conduire certains demandeurs d'asile ou groupes spécifiques de réfugiés à être exposé à des attaques. Si la protection de minorités ne peut être garantie dans un centre, le logement séparé peut être une solution appropriée.»

    Selon le secrétariat d'état allemand aux migrations et aux réfugiés, en 2015, 73.1 % des demandes d'asile émanaient de musulmans, 13.8% de Chrétiens, et 4.2 % de Yazidis.

    Le Figaro


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Les crèches dans l'espace public autorisées sous conditions

    Le conseil d'État a autorisé vendredi l'installation des crèches de Noël dans les bâtiments publics, sous conditions : qu'elles soient temporaires, qu'elles ne fassent pas de prosélytisme religieux et qu'elles revêtent un caractère festif.

    Le rapporteur public du Conseil d'État a recommandé vendredi 21 octobre d'autoriser, sous conditions, l'installation de crèches de Noël dans les bâtiments administratifs, au nom du principe de laïcité.

    Selon le rapporteur public Aurélie Bretonneau, l'article 28 de la loi du 9 décembre 1905 et plus généralement le principe de neutralité "n'interdit pas d'installer des crèches sur le domaine public", sauf quand une "intention religieuse" préside à une telle manifestation.

    Pour résumer, installer une crèche dans une mairie - ou dans un lieu public - ne peut être autorisé qu'à trois conditions, que cette exposition soit "temporaire", qu'elle ne s'accompagne d'aucune manifestation de "prosélytisme religieux" et enfin qu'elle revête le "caractère d'une manifestation culturelle ou au moins festive", a nuancé le rapporteur.

    FRANCE 24

    Il y a quelques années, le problème ne se posait pas !!!

    On peut aussi rayer du livre d'histoire : l'histoire de France !


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  • Pas si "bête" !


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  • :"Nous sommes le seul pays au monde où l'on peut tabasser un policier sans risque"              


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Pour encourager la stérilisation des animaux, un député propose une réduction d’impôt

     

    Alors que les députés examinent depuis mardi soir différents amendements accompagnent le budget national 2017, l’un d’entre eux a eu une idée inattendue

    Jean-Luc Laurent, député (Mouvement Républicain et Citoyen), propose un amendement créant un crédit d’impôt pour inciter les Français à stériliser leurs animaux. Alors que la France en compte 63 millions sur son territoire, de nombreux chats et chiens domestiques demeurent non stérilisés. Cela engendre une surpopulation (notamment de chats errants) qui n’est pas pour faciliter le quotidien des associations et refuges débordés.  

    La stérilisation, trop chère ? 

    Le coût de la stérilisation représente un obstacle pour de nombreux foyers : le prix de l’opération varie en effet entre 150 euros (pour un chat) et 500 euros pour un chien. Une somme importante, qui rebute donc certains propriétaires à faire stériliser leur animal. C’est pour cette raison que Jean-Luc Laurent souhaite leur offrir un crédit d’impôt.

    [MISE A JOUR 21/10/2016] : L’Assemblée a rejeté ce jeudi l'amendement proposé par le député Jean-Luc Laurent. Le secrétaire d'tat au Budget, Christian Eckert, a en effet expliqué ne pas vouloir créer de nouvelle niche, une réduction d'impôt existant déjà pour les dons versés aux associations. 

    Wamiz

    Christian Eckert mélange tout,  aucun rapport !


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  •  Je vous souhaite un bon vendredi


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  •  

    Passez une bonne soirée


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Le juge chargé du dossier du narcotrafiquant «El Chapo» assassiné au Mexique

    Vicente Bermudez a été assassiné chez lui, en plein jogging. Il traitait le dossier d'extradition du célèbre baron de la drogue. Le Mexique espérait son départ vers les États-Unis en janvier ou février 2017

    Le juge fédéral du narcotrafiquant «El Chapo», Vicente Bermudez, a été assassiné, lundi. Agé de 37 ans, il a été attaqué par un homme près de son domicile à Metepec, dans l'ouest du Mexique, a confirmé la Cour suprême dans un communiqué. L'homme était sorti faire un jogging lorsqu'il a été attaqué. Il est décédé pendant son transport à l'hôpital. Le président mexicain Enrique Pena Nieto a déclaré dans un discours télévisé qu'une enquête avait été ouverte pour découvrir les coupables de cet assassinat. Il n'a cependant pas fourni plus d'informations sur les circonstances du crime.

    L'enregistrement d'une caméra de surveillance diffusée lundi montre le juge attaqué de dos par un homme, qui s'enfuit après lui avoir tiré dessus.

    Vicente Bermudez était connu pour avoir traité les dossiers de plusieurs barons de la drogue dont celui de Joaquin «El Chapo» Guzman. Le gouvernement mexicain a annoncé vendredi «espèrer» son extradition vers les États-Unis en janvier ou février 2017. La demande, déposée par la justice américaine, est actuellement entre les mains des juges mexicains. Mais les avocats d'«El Chapo» s'opposent fermement à cette décision. Car le chef du puissant cartel de Sinaloa devra répondre de trafic de drogue, blanchiment d'argent, enlèvement et assassinat s'il franchit la frontière. Le juge assassiné était spécifiquement chargé d'étudier les contestations judiciaires du clan Guzman.

    Le Commissaire national de la sécurité «peut avoir une opinion personnelle. Pour moi, il me semble très difficile qu‘il soit extradé d'ici janvier», a réagi vendredi l'avocat d'«El Chapo», José Refugio Rodriguez. Ce dernier a indiqué qu'en raison des recours déposés pour bloquer cette extradition, celle-ci pourrait survenir bien après début 2017. Il a dit avoir reçu des instructions de son client pour «se battre jusqu'au bout» afin d'éviter son départ vers les États-Unis. Le 26 septembre dernier, le juge Bermudez, assassiné lundi, avait mis sa décision en délibéré. Et même s'il s'était prononcé pour l'extradition, le trafiquant aurait pu encore faire appel voire saisir la Cour suprême.

    Après une fuite de 13 ans, «El Chapo» avait été arrêté en février 2014; En juillet 2015, il était parvenu à s'échapper d'une prison de haute sécurité près de Mexico, en creusant un tunnel d'un kilomètre et demi de sa cellule. Arrêté à nouveau en janvier dernier, il attend désormais dans une prison de Ciudad Juarez (nord) de savoir si et quand il sera extradé.

    Le Figaro

    Les habitants des pays d'Amérique centrale et du Sud sont des descendants d'espagnols !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Kenya: un touriste belge tué par un éléphant

    Un touriste belge a été "très grièvement blessé par un éléphant solitaire, et il a succombé à ses blessures", indique un officier de police. L'homme est mort près de la célèbre réserve animalière du Masaï Mara au Kenya, deuxième incident de la sorte en un mois dans le pays.

    Un mois auparavant, un Italien a également été piétiné à mort par un éléphant dans le parc de Tsavo, alors qu'il tentait de prendre une photo du pachyderme.

    Le quotidien kényan The Standard a par ailleurs rapporté qu'un enfant avait également été tué ce mardi par un éléphant sur le chemin de l'école.

    Le service kényan de la faune sauvage (KWS) a averti dans un communiqué que la sécheresse qui touche actuellement le Kenya poussait les animaux sauvages à s'aventurer en dehors de leur habitat traditionnel pour trouver de la nourriture, augmentant ainsi le risque de confrontations avec les populations locales.

    BFM.TV


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Armée : les opérations extérieures ont coûté plus d'un milliard d'euros en 2016

    Le coût de ces opérations militaires reste quasiment le même que celui de l'année dernière, révèlent Les Échos. Une facture chaque année largement sous-estimée dans le budget français.

    Lien : http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/arm%c3%a9e-les-op%c3%a9rations-ext%c3%a9rieures-ont-co%c3%bbt%c3%a9-plus-dun-milliard-deuros-en-2016/ar-AAjaNfh


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  • Je pense à Zemmour qui a dit, Est-ce que des français sont prêts à mourir pour défendre la France !


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  • CHANTOUVIVELAVIE :  "La police est à genoux, mais si elle tombe, ce sera l’anarchie »

    Les rassemblements de policiers se poursuivent. Les ministres de l’intérieur et de la justice annoncent une concertation.
     

    Jusque tard dans la nuit, et pour la troisième journée consécutive, des policiers se sont rassemblés pour manifester leur « ras-le-bol », à Paris, mais également à Toulouse et à Nancy. Un ras-le-bol dont les responsables désignés sont à la fois la hiérarchie policière, les syndicats professionnels, la classe politique et la justice pénale.

    Les ministres de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, et de la justice, Jean-Jacques Urvoas, ont pris soin de recevoir les organisations syndicales dans la journée de mercredi 19 octobre. Ils ont notamment annoncé le lancement d’une « concertation » des personnels sur leurs conditions de travail. La grogne semble cependant continuer de faire boule de neige au sein des effectifs.

    Dans la soirée de mercredi, plusieurs centaines d’agents en civil, arborant parfois le brassard police, se sont retrouvés place de la République, à Paris. Comme c’est le cas depuis lundi, aucun syndicat n’était à l’origine de ce rassemblement. Les personnes présentes ont marché dans les rues de la capitale. Elles se sont notamment arrêtées devant l’hôpital Saint-Louis, où un adjoint de sécurité grièvement brûlé le 8 octobre à Viry-Châtillon (Essonne), lors d’une attaque au cocktail Molotov, est toujours hospitalisé. Sous les fenêtres de l’établissement, les policiers ont applaudi, entonné une Marseillaise et réclamé la tête de leur directeur général en assenant : « Falcone, démission ! »

    Le numéro un de la police nationale, Jean-Marc Falcone, semble cristalliser la colère des fonctionnaires alors qu’il a demandé mardi l’ouverture d’une enquête disciplinaire pour sanctionner les agents qui avaient manifesté la veille en tenue et avec des véhicules de fonction, donc en service. M. Falcone juge cette entorse aux règles statutaires « inacceptable ». Un agent à la retraite lâche : « Un chef qui ne soutient pas ses hommes, ce n’est pas un chef. »

    « La justice ne nous suit pas  »

    La fermeté du directeur général a d’autant plus agacé les policiers qu’elle relève, pour eux, d’un « deux poids, deux mesures ».  « On laisse tranquille les délinquants mais nous, quand on manifeste tranquillement, on nous envoie l’IGPN [Inspection générale de la police nationale] », résume Stéphane, un gradé d’une quarantaine d’années, en poste dans les Yvelines. Et qui ose : « Aujourd’hui, en France, on offre plus à un migrant qu’on protège la police. »

    Sans exception, dans la bouche des policiers interrogés, le système judiciaire est largement rendu responsable : « On veut nettoyer les rues des délinquants mais quand on interpelle des personnes, à peine déférées, elles sont déjà ressorties. C’est comme si on ruinait notre travail », explique un gardien de la paix de 25 ans. « Des mecs avec des casiers de quinze pages restent dehors. La justice ne nous suit plus », appuie un CRS de 24 ans.

    Le « malaise » des policiers achoppe sur de nombreux autres griefs. Et alors que le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a dénoncé mercredi la « patte » du Front national dans les manifestations « hors la loi », le CRS évacue : « Ce qu’on fait n’a rien à voir avec le FN, c’est beaucoup plus général. Pour moi, les politiques sont tous les mêmes. On nous promet, mais on ne fait rien. » Et un gardien de la paix de prévenir : « La police est à genou mais si elle tombe, ce sera l’anarchie dans ce pays. »

    LE MONDE
     
    Les flics ont raison ! On poursuit les flics mais pas les délinquants !
    Pauvre France !
    Cambadélis a du culot d'accuser le FN !

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  • CHANTOUVIVELAVIE : Une jeune musulmane rouée de coups par ses cousines pour sa liaison avec un catholique

    Une jeune femme amoureuse d'un catholique harcelée par sa famille doit faire face à ses agresseurs présumés, ce jeudi matin, au tribunal correctionnel de Reims.

    Ils ont tous deux 22 ans et ils s'aiment. Leur problème? La famille de celle que Le Parisien appelle Nawel, musulmane, n'accepte pas sa liaison avec son amoureux catholique, d'origine portugaise. Dès le début de l'idylle, la jeune femme se doutait que cette histoire serait mal acceptée par sa famille. Au matin du 2 janvier 2015, elle prévient par une lettre ses parents qu'elle quitte leur domicile par souci de ne pas "leur faire du mal" et parce qu'ils "n'accepteront jamais la situation". 

    Depuis, les choses sont allées de mal en pis, au-delà de ce que le jeune couple formé depuis trois ans aurait imaginé.

    Harcèlement, menaces et violences du clan familial

    Ce jeudi matin, Nawel fera face à ses bourreaux présumés devant le tribunal de Reims. Deux de ses cousines, 21 et 27 ans, l'auraient attaquée le 25 janvier à l'issu d'un rendez-vous pris pour tenter d'apaiser les tensions familiales. La plaignante dit s'être fait insulter, tirer les cheveux et frapper à coups de poings et de pieds. Les deux jeunes femmes auraient tenté de faire monter Nawel à bord de leur véhicule, selon la plaignante. Elles nient aujourd'hui l'ensemble des faits. Une certitude: l'épisode aura valu à la jeune femme 10 jours d'ITT.

    Du côté des parents et de la fratrie, le tableau n'est pas meilleur. Nawel affirme que son père a proféré des menaces de mort contre elle. Ses sœurs dont elle "était si proche" ne lui répondent plus. "Ils m'ont effacée de leur vie du jour au lendemain", déplore-t-elle. Dégradation de sa boîte aux lettres et du véhicule de son compagnon, coups de fil incessants, la jeune femme a dû quitter Reims pour échapper au harcèlement de sa famille. Elle a depuis trouvé un poste d'infirmière dans une autre ville.

    Faisant l'objet d'un suivi psychologique, elle assure qu'elle "ne regrette rien". "J'ai le droit de décider par moi-même, peu importe ce que veut la tradition", avance-t-elle. Jeudi se tient le procès qui lui permettra peut-être de "tourner la page".

    BFM.TV

    Il ne s'agit pas là de terroristes ! Il y a donc une grande intolérance des "gentils" musulmans envers les autres religions !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Des chats emmurés vivants sauvés par les pompiers à Nice

    Plusieurs chats et chatons  ont été sauvés vendredi dernier par les pompiers niçois. Les félins étaient coincés dans des garages murés depuis plusieurs jours .

    Les pompiers de Nice ont découvert une scène ahurissante ce vendredi. Alertés par l’association Alliance pour le Respect et la Protection des Animaux (ARPA), ils ont trouvé et sauvé une demi-douzaine de chats et chatons emmurés dans des garages du quartier de l’Ariane, à l’Est de la ville.

    Les chats ont-ils été emmurés volontairement ?

    Ces garages venaient d’être murés « en raison de problématiques de quat, de nuisances, de trafics », a fait savoir à Varmatin.com la présidente du conseil d’administration de Côte d’Azur Habitat, propriétaire des lieux. « Je ne sais pas si l’agent en charge des travaux était au courant de la présence de ces animaux, mais je ne lui jette pas la pierre », a-t-elle ajouté.

    Toujours est-il que ces pauvres félins devaient être là, emmurés, depuis plusieurs jours : l’association qui a alerté les pompiers avait elle-même été mise au courant de leur présence par des riverains « qui les entendaient miauler toutes les nuits », comme l’a relaté la directrice de l’association.

    Heureusement, les pompiers dépêchés sur place sont parvenus à libérer les chats en cassant un pan de mur. Bien qu’affolés, les félins – dont une mère et ses trois chatons - ont ensuite pris la fuite, reprenant ainsi leur vie de chat errant.

    Wamiz

    Dommage qu'ils n'étaient pas été pris pour être stérilisés !


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  • Je vous souhaite une bonne soirée


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Syrie : "Des accouchements précoces causés par le stress des bombardements"

    LETTRES DE SYRIE - Le Dr Okba Doghim, urologue et membre de l’association Syria Relief and Development, raconte les accouchements précoces en Syrie, en raison du stress lié aux bombardements. Il décrit aussi son travail quotidien, sous les bombes.

    Les femmes sont les premières victimes des bombardements. (Reuters)

    EPISODE 2 - Par le Dr Okba Doghim, urologue et membre de l’association Syria Relief and Development. Cette association syrienne, soutenue par l’ONG internationale CARE, fournit une aide médicale aux populations syriennes. 

    "En Syrie, on voit de plus en plus de femmes qui accouchent prématurément après seulement 7 mois de grossesse. Traumatisées par les bombardements constants, ces femmes sont soumises à un fort stress qui provoque ces naissances prématurées.

    Quand ma femme était enceinte de notre fille ainée - Razan aujourd’hui âgée de 3,5 ans - elle a ressenti une forte douleur au huitième mois de grossesse. Il faisait nuit. Il y avait des bombardements constants à proximité de chez nous et on entendait les avions survoler la zone. Je n’ai pas osé la conduire jusqu’à l’hôpital. J’avais peur qu’on soit pris pour cible avec les phares allumés. Une sage-femme vivait à côté de chez nous. Nous nous sommes rendus chez elle avec les phares éteints. Heureusement, nous y sommes arrivés sains et saufs.

     

    «Nous allons les aider à reconstruire un abri. C’est malheureusement tout ce que nous pouvons faire pour eux.»

    Depuis le début de la guerre en 2011, nous nous sommes beaucoup déplacés à la recherche d’un endroit sûr. Maintenant, nous louons un appartement près d’un hôpital. Ma femme est à nouveau enceinte. Je suis rassuré de savoir que nous n’aurons pas besoin de prendre la voiture au moment de l’accouchement. Je pense souvent à notre bébé et à son avenir. Je dois aussi me concentrer sur mon travail dans une clinique. Nos journées sont très chargées et je rentre souvent très tard. Aujourd’hui, comme tous les jours, je me suis rendu au bureau à 8h du matin. En général, nous débutons la journée par une réunion d’équipe afin de planifier nos actions et faire le point sur les besoins de la clinique et des patients. A 9h, nous partons avec notre ambulance pour aider les populations qui vivent au sud d’Alep. Mais aujourd’hui (dimanche 9 octobre), en pleine réunion, nous avons entendu un bruit terrible. J’avais l’impression que c’était un tremblement de terre. Le bâtiment juste à côté a été bombardé et totalement détruit. Les avions continuaient à voler au-dessus de nous. Parfois, ils attaquent deux fois de suite.

    Deux fillettes ont été tuées. Mon équipe a essayé de les sauver en déblayant les gravas mais quand nous les avons retrouvées, elles étaient déjà mortes. Nous connaissons bien leurs parents. Ils étaient sortis avec leur plus jeune enfant. Nous allons les aider à reconstruire un abri. C’est malheureusement tout ce que nous pouvons faire pour eux.

     

    «Mais après tout, que représente le prix Nobel de la paix?»

    Notre immeuble a aussi été endommagé. Les patients et notre équipement se trouvaient en sous-sol. Malgré tout, plusieurs patients et membres de nos équipes ont été blessés. Notre ambulance a entièrement brulé. Et toutes les rues alentour étaient emplies de fumée noire à cause d’un entrepôt qui avait également été touché et brûlé.

    Nous collaborons souvent avec les Casques blancs. Nous avons appris qu’ils n’avaient pas reçu le prix Nobel de la paix. Je pense qu’ils le méritaient pourtant. Mais après tout, que représente ce prix? Ils restent des héros pour les populations syriennes. Je salue aussi nos équipes. Elles sont restées malgré les attaques. Aujourd’hui, elles ont aidé les blessés du bombardement. Notre générateur a été détruit. Nous n’avions pas d’électricité pour délivrer les traitements d’urgence. Pendant que j’écris, nous sommes en train d’en acheminer un d’une autre clinique. Nous allons pouvoir poursuivre notre travail."

    Le JDD.fr

    La guerre ne les empêche pas de procréer !!!


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Calais: un lycéen casse la mâchoire de son professeur en classe

    Un élève de terminale d'un lycée professionnel de Calais a cassé la mâchoire et plusieurs dents de son professeur ce vendredi lors d'une altercation, a-t-on appris mardi de sources concordantes.

    Le professeur d'électrotechnique du lycée Coubertin à Calais demandait une ultime fois à deux élèves de se mettre au travail lorsque ceux-ci l'ont coincé dans un angle avec des armoires, rapporte la secrétaire académique du syndicat de l'enseignement professionnel Action et Démocratie CFE-CGC, confirmant une information du quotidien Nord-Littoral.

    Le parquet de Boulogne-sur-Mer souhaite se saisir de l'affaire

    Le professeur a été immédiatement emmené à l'hôpital de Calais, avant d'être transféré au service ORL d'un hôpital de Boulogne-sur-Mer, où il a été opéré de la mâchoire lundi. "Il s'agit d'une altercation entre le professeur et un élève. Une enquête est en cours, menée par les autorités académiques, nous en saurons plus à son issue", a confirmé le rectorat de l'académie de Lille, sans plus de précisions.     

    Les services de police n'ont pas enregistré de plainte, mais des agents ont été envoyés ce mardi au chevet du professeur pour l'entendre, a indiqué le parquet de Boulogne-sur-Mer, qui a dit son intention de se saisir de l'affaire.

    L'élève a été exclu de l'établissement à "titre conservatoire"

    L'élève a été exclu à titre conservatoire, en attendant son passage en conseil de discipline. La syndicaliste demande son exclusion définitive car un changement d'établissement "permet à un élève de réfléchir et de mûrir, de redémarrer sur une page vierge".     

    Ce lundi, la proviseure d'un lycée de Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis, a été frappée à la grille de son établissement, sur lequel plusieurs cocktails Molotov ont été lancés par des jeunes qui s'en sont également pris aux forces de l'ordre. C'était le troisième épisode de violences qui se produisait aux abords de cet établissement

    BFM.TV

    Autrefois, on apprenait dès la primaire le respect des instituteurs et des professeurs !


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