• Afrique du Sud: requinquer les bébés rhinos

    Afrique du Sud: requinquer les bébés rhinos

    C'est un orphelinat. Pour bébés rhinocéros. Ils ont souvent perdu leur maman face aux braconniers alors l'adresse de cet enclos, perdu dans la végétation luxuriante du Limpopo, au nord de l'Afrique du Sud, reste top secrète.

    Il faut emprunter une longue piste de terre rouge, parsemée de flaques profondes et traversée par de petits singes espiègles, longée aussi par une cavalcade de girafes qui semblent courser la voiture, sur le bas côté.

    "Quand un ouvrier agricole fait passer l'info à des braconniers, même s'il se contente juste de dire +A cet endroit, il y a cinq rhinos+, il va gagner plus d'argent que son salaire annuel". Imparable. Donc il faut faire très attention, explique le fondateur de l'orphelinat, qui fonctionne grâce à de dons privés.

    Cet ancien prof d'histoire, devenu éleveur, reçoit un appel en 2011. A proximité, deux femelles ont été tuées, un bébé aussi, il reste un nourrisson. Il se renseigne pour essayer de placer le rhino blanc. "J'ai passé des coups de fil et me suis rendu compte qu'il n'y avait pas d'endroit acceptable pour ce bébé. Je me suis entendu dire à un interlocuteur +OK, je vais en construire un+".

    La mission de l'orphelinat tient en trois mots: "secourir, requinquer et relâcher". Peu de visiteurs et aucun touriste. Discrétion oblige mais aussi pour ne pas habituer les bêtes à la présence humaine. Après, "ça devient beaucoup plus difficile de les préparer à retrouver leur état sauvage".

    Quatre salariées et deux volontaires, toutes des femmes, s'occupent d'un "certain nombre" d'animaux, une majorité de rhinos blancs, quelques noirs aussi.

    - Orphelins voraces -

    Pendant les cinq premiers mois, elles dorment chaque nuit avec les petits rhinos, "on devient leurs mamans", explique la directrice Yolande Van Der Merwe, 38 ans. "Ils se collent à nous pendant la nuit, pour le contact et la chaleur" dans une sorte d'étable ouverte. "Si on veut aller manger ou passer aux toilettes, on doit se faire remplacer. Sinon le bébé stresse, crie, pleure". Un son aigu qui évoque le dauphin, selon Arrie.

    Ces dix dernières années, des milliers de rhinos ont été tués dans le pays pour leurs cornes, très recherchées en Asie, notamment au Vietnam, pour toutes sortes de vertus présumées. Un luxe si recherché qu'il peut se vendre plus de 90.000 euros le kilo. Un trafic illégal contrôlé par des réseaux mafieux.

     

    A l'orphelinat, les trois plus jeunes pensionnaires partagent un enclos. "Deux filles et un garçon" qui attendent leurs biberons, remplis d'un mélange de lait et de riz bouilli mixé. Toutes les quelques heures.

    Zanré Van Jaarsveld vient les caresser, en grattant leur cuir épais. Mais vite, ils se lassent. "Ils ont faim là, ils deviennent grincheux". Les femelles ont la réputation d'être plus regardantes sur leur nourriture, "les garçons dévorent tout ce qu'on leur apporte".

    Jessie est arrivée en avril, à l'âge de quatre mois, "quasiment en état de stress post-traumatique". "Nous lui avons donné du Valium pendant deux jours avant qu'elle ne se calme", raconte la soignante de 26 ans. "Elle était très déshydratée et avait une entaille à l'épaule, sans doute une blessure à la machette. On pense qu'elle a essayé de protéger sa mère, les tout petits ne pensent pas à fuir".

    A la naissance, les animaux à la gueule rectangulaire pèsent une quarantaine de kilos. "Ils sont tout petits, pas plus hauts que mon genou", montre Yolande. Après, ils mangent énormément et prennent plus d'un kilo par jour. A un an, ces beaux bébés approchent de la demi-tonne.

    Ce n'est que vers l'âge de cinq ans qu'ils sont prêts à se défendre des prédateurs et à être lâchés dans une réserve bien plus grande, à proximité. Une défenseuse de l'environnement y patrouille régulièrement. Elle donne aux dames de l'orphelinat des nouvelles de leurs anciens protégés.

    AFP


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  • Un phoque au beau milieu de la route aux Etats-Unis, mais comment s’est-il retrouvé là ?

    Ce n’est pas un phénomène très commun. Observer un phoque sur une route plutôt que dans un aquarium, est-ce vraiment mieux ? Il semble en tout cas que dans l'État de Washington, aux Etats-Unis, ce n’est pas si surprenant de croiser des animaux de toutes sortes sur l’asphalte...

    D'habitude, ce sont des saumons qui traversent les routes de cet État mais ici un phoque s’est mêlé à la fête. En effet, entre décembre et janvier, avec les pluies importantes qui s’abattent sur la région, les eaux des rivières montent. C’est pour cela que les locaux sont habitués à voir des poissons traverser la chaussée, normal. 

    Ce mercredi 6 janvier, un officier en patrouille a partagé ces clichés saisissant d’un lion de mer parfaitement installé au milieu de la route. On pourrait presque croire à un montage si cela ne provenait pas des forces de l’ordre. 

    La policière en a d’ailleurs profité pour rappeler aux automobilistes d’être toujours très vigilants puisque l’on ne sait jamais sur quoi on peut  tomber. D’autant qu’un tel animal peut peser plus de 300 kg dans ses meilleurs jours.

    Auto News


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  • Nord : A-t-on affaire à une « ferme de l’horreur » à Wambrechies ? Pas pour l'administration

    © M.P. Un veau du troupeau, soupçonné de maltraitance, dans une ferme de Wambrechies, dans le Nord.

    Des associations de défense des animaux demandent le retrait d’un troupeau de bovins d’une ferme, dans le Nord, pour des soupçons de maltraitance

    LIEN de l'article !

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/nord-a-t-on-affaire-%C3%A0-une-ferme-de-l-horreur-%C3%A0-wambrechies-pas-pour-l-administration/ar-BB1cyBBI?ocid=msedgntp


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  • Normandie. Son abri explose, le chasseur grièvement brûlé parvient à fuir grâce à une barque

    Jeudi 7 janvier 2021, un homme a de 43 ans été grièvement brûlé, alors qu’il se trouvait dans un gabion, un abri de chasse au milieu de l’eau, à Isigny-sur-Mer (Calvados).

    Jeudi 7 janvier 2021, dans la soirée, un homme a été grièvement blessé, alors qu’il se trouvait dans un gabion, un abri de chasse, à Isigny-sur-Mer, au lieu-dit Vendôme (Calvados).

    Arrivé dans l’après-midi, le chasseur a entrepris de changer la bouteille de gaz du réchaud. Pour une raison encore indéterminée, une explosion s’est alors produite à l’intérieur de l’abri dans lequel l’homme de 43 ans, originaire d’Hérouville-Saint-Clair, se trouvait seul.

    Il prévient les secours depuis une maison

    Grièvement brûlé, isolé dans la cabane située au milieu des marais, au sud de la nationale 13, non loin de la coopérative laitière, il n’était pas en mesure d’appeler les secours. L’homme est malgré tout parvenu à s’extraire du gabion et à prendre une barque pour quitter l’endroit. Il a ainsi réussi à rejoindre une maison proche de la baie des Veys, peu avant minuit, pour prévenir les secours.

    Pris en charge par les pompiers, l’homme grièvement brûlé a été transporté au CHU de Caen.

    Ouest-France

    Bien fait pour cette saloperie de chasseur


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  • Des centaines de milliers de canards supplémentaires vont être abattus, a indiqué vendredi le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie, ajoutant qu'il fallait "aller plus vite" pour contenir la diffusion de la grippe aviaire.

    "Ce sont quasiment 400.000 canards qui ont été abattus dans le département des Landes. […]. Ça va être encore des centaines de milliers, c'est une certitude", a-t-il dit sur France Bleu Gascogne.

    "L'objectif, c'est de faire un dépeuplement massif pour contenir l'épidémie", a ajouté le ministre, qui doit se rendre ce vendredi dans le département des Landes où 119 foyers de grippe aviaire ont été confirmés.

    Il faut "accélérer dans la course contre la montre" face à la grippe aviaire, a plaidé Julien Denormandie, rappelant la décision de réquisitionner des abattoirs.

    "Jusqu'à présent, nous avions un vide sanitaire à trois kilomètres autour des foyers. De ces trois kilomètres, nous allons passer à cinq kilomètres", a-t-il également expliqué.

    Le virus H5N8 de la grippe aviaire, non transmissible à l'être humain, se propage rapidement en ce moment en Europe via les migrations d'oiseaux sauvages, ce qui fait craindre au secteur de l'élevage de subir des abattages massifs comme lors de précédentes épizooties.

    Reuters

    J'espère qu'ils ne souffrent pas quand ils les tuent ! Au moins, ils ne seront pas gavés pour faire leur saloperie de foie gras !


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    Comment a t-on pu laisser ce chien devenir aussi maigre ?


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  • « Une course au pognon » : Brigitte Bardot s’insurge contre le vaccin

    Confinée dans le sud de la France, où elle possède une villa, Brigitte Bardot a accepté de se confier lors d'une interview accordée à Ici Paris, parue ce mercredi 6 janvier en kiosque. À cette occasion, l'actrice s'est exprimée sur l'année qui vient de s'écouler et a donné son avis tranché sur le vaccin.

    Ce n'est un secret pour personne, Brigitte Bardot n'a pas sa langue dans sa poche. Du haut de ses 86 printemps, l'actrice peut parfois se montrer très cash, quitte à déplaire ou créer la polémique. Confinée dans le sud de la France, où elle possède une villa, la star n'hésite pas à interpeller le gouvernement quand ça lui chante, comme elle l'a fait récemment avec le Garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti. Celle qui avait été accueillie à l'Élysée à l'été 2018 pour défendre la cause animale auprès de la Première dame s'est à son tour exprimée sur la sensible question du vaccin, à l'occasion d'une interview accordée à Ici Paris, parue en kiosque ce mercredi 6 janvier. Prévoit-elle de se faire vacciner  ?   "Certainement pas!", assure Brigitte Bardot.

    Alors que le vaccin contre la Covid-19 est désormais entré en vigueur, la principale intéressée reste très méfiante à ce sujet : "On ne connaît pas les effets secondaires. Ce vaccin risque d'être inutilisable, car le virus va muter. Il a déjà commencé, et ça n'est que le début d'une course au pognon pour les laboratoires et aux sacrifices par milliers pour les animaux-cobayes", annonce-t-elle, avec le langage fleuri qu'on lui connaît. Elle pense d'ailleurs que l'épidémie de Covid-19 est là pour "remettre les pendules à l'heure" : "Il faut une prise de conscience profonde de ce que l'humain fait subir aux animaux dans tous les domaines pour qu'ils se rendent compte des atrocités perpétuelles qu'ils leur infligent."

    Du haut de ses 86 ans, Brigitte Bardot n'a pas peur de dire ce qu'elle pense, quitte à déplaire.

    Brigitte Bardot ne semble pas inquiète pour sa santé

    Une mise en garde déjà évoquée par le passé, lors d'un entretien accordé au JDD. Inquiète pour le sort des animaux et celui des hommes, Brigitte Bardot ne semble en revanche pas l'être pour sa santé : "Ce qui doit arriver, arrivera. En même temps je ne vois personne et je ne sors pas de chez moi." À en croire ses propos, une bonne alimentation suffit à rester en bonne santé : "Je n'ai pas de médecin (...) Ça fait quarante ans que je ne mange plus de viande. Je me contente de légumes, d'oeufs et de salade", précisait-elle alors.

    Brigitte Bardot se dit inquiète pour l'avenir des animaux qui sont, selon elle, "le souffre-douleur de l'humanité"

    Son avis tranché sur la crise sanitaire

    Brigitte Bardot semble en effet avoir une opinion bien tranchée sur la crise sanitaire, qui touche le monde entier depuis près d'un an déjà : "Je crains que le coronavirus et d'autres épidémies qui déjà s'annoncent ne remettent douloureusement les pendules à l'heure. Quand les cinq milliards d'êtres humains en trop sur cette terre auront disparu, la nature reprendra ses droits", prévenait-elle, en novembre dernier, dans les colonnes de Paris Match.

    Réputée pour ses coups d'éclat, l'actrice octogénaire sous-entend d'ailleurs que la Covid-19 est une bonne chose pour l'humanité : "Oui, c'est une sorte d'autorégulation de cette démographie que nous sommes incapables de contrôler. L'être humain n'ayant pas d'autre prédateur que lui-même, seules les forces naturelles peuvent le contraindre à la raison." Et d'ajouter dans le même temps auprès de France Soir : "Je pense que cette pandémie n'est pas arrivée par hasard (...) Ce virus est arrivé à temps avant que la planète n'explose." Un discours martelé, ce mercredi 6 janvier, dans les pages d'Ici Paris : "Le virus est un phénomène envoyé par la nature pour rééquilibrer la chaîne écologiste saccagée par la puissance dominatrice humaine", assure-t-elle. Des propos qui devraient, une fois encore, ne pas passer inaperçus...

    GALA


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  • Braconnage: un lynx boréal abattu dans le Doubs

    Illustration

    La Dreal de Bourgogne-Franche-Comté a annoncé qu'un lynx boréal avait été tué par une arme à feu dans le massif du Jura, dans le canton de Quingey (Doubs).

    Un lynx boréal a été tué par arme à feu dans le Doubs et une enquête pour destruction illégale d'espèce protégée a été ouverte, a-t-on appris mardi auprès de la Dreal de Bourgogne-Franche-Comté. Un lynx mort a été retrouvé le 31 décembre dans le massif du Jura, dans le canton de Quingey (Doubs) et une "autopsie a permis de constater que l'animal a été tué par une arme à feu", a indiqué la Dreal (Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement) dans un communiqué.

     

    Ce nouveau cas de braconnage d'un lynx "porte une atteinte grave à la population de lynx en France", où l'espèce est considérée comme menacée, a-t-elle estimé. "Au cours de l'année 2020, c'est en effet la troisième destruction illégale de lynx avérée après celles survenues au début de l'année dans les départements du Haut-Rhin et du Jura". Une enquête judiciaire a été ouverte sous la direction du parquet de Besançon pour identifier le ou les responsables de ce délit, puni d'une peine maximale de trois ans de prison et 150.000 euros d'amende.

    Ces félins sont particulièrement mal vus par les chasseurs, car ils prélèvent bon nombre de proies.

    150 lynx en France environ

    La découverte de la dépouille a été signalée aux services de l'Etat par le centre de défense des animaux Athénas, basé à l'Etoile dans le Jura et spécialisé dans la protection du lynx. Des inspecteurs de l'environnement de l'Office Français de la Biodiversité (OFB) se sont rendus sur place pour réaliser les premières constatations. Reconnaissable à son pelage beige et à ses grandes oreilles pointues, le lynx boréal est le seul grand félin sauvage présent en France.

    Les deux-tiers de la population de lynx en France, qui s'élève à 150 individus environ, sont situés dans le massif du Jura. L'animal est également présent dans les Alpes et de manière sporadique dans le massif des Vosges.

    Les services de l'État préparent depuis 2019 un Plan National d’Actions (PNA) qui a pour objectif de "rétablir la population française de lynx boréal dans un état de conservation favorable" et "la lutte contre les destructions illégales est une de ses priorités", assure la Dreal.

    Paris Match


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  • Il a l'arrière train en mauvais état

    Son propriétaire mériterait qu'on le traîne aussi derrière une moto !


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  • Dimanche 3 janvier vers midi, la police a abattu au fusil à pompe un sanglier sur le point de mourir sur le bord de la RN12 à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor). Il avait été percuté par une voiture.

    Un sanglier blessé erre sur la RN12 en pleine journée : c’est l’appel peu commun qu’ont reçu les policiers de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) ce dimanche 3 janvier vers midi.

    Une patrouille est envoyée sur place. L’animal se situe juste après le viaduc du Gouët, qui passe au-dessus du Légué, dans le sens Rennes-Brest.

     "Éviter qu’il souffre trop »

    « À notre arrivée, le sanglier est encore en mouvement, il se déplace péniblement », raconte un policier. « On devine qu’il agonise, qu’il est en train de mourir. »

    Décision est prise de l’abattre. « Il fallait éviter qu’il souffre trop, mais aussi qu’il se remette en mouvement. Il pesait environ 50 kg, la circulation était quand même dense, il ne fallait surtout pas qu’il traverse les voies, cela aurait pu faire des gros dégâts. C’était un danger potentiel. »

    La bête récupérée par un chasseur

    L’animal est abattu d’un tir de fusil à pompe par un fonctionnaire de police habilité. « Avec nos 9 mm, cela aurait été encore plus terrible pour lui, les cartouches n’auraient pas été assez grosses », assure le policier. Un chasseur, lui aussi habilité, est réquisitionné pour venir récupérer la bête.

    L’incident a créé un important bouchon sur la RN12, « surtout dans le sens inverse, de l’autre côté, où les automobilistes ralentissaient par curiosité. » La police n’a pas retrouvé l’automobiliste qui avait percuté le sanglier.

    Selon la fédération départementale des chasseurs, des sangliers résident dans le rampant qui surplombe le port du Légué depuis l’été dernier. Ces dernières semaines, le phénomène s’amplifie et incommode de plus en plus de Briochins.

    Ouest-France


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  • Elle va avoir 7 petits


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  • Ai trouvé cette video sur youtube, pas certaine que cela soit la bonne !

    Parfois, il arrive que les animaux s'aventurent en dehors de leur habitat naturel. Ainsi, on peut assister à des scènes plutôt insolites que l'on n'oublie pas de sitôt. C'est exactement ce qu'il s'est passé en Inde. Dans la ville de Guwahati située à l'est du pays qu'un éléphant sauvage s'est offert une petite balade loin de la forêt. De quoi laisser perplexes les habitants et nous avec.

    Le centre ville paralysé

    Si la petite excursion de cet éléphant mâle n'a fort heureusement, fait aucune victime, cela a tout de même fortement perturbé le trafic. Suivi de près par les forces de l'ordre, l'éléphant est devenu en l'espace de quelques heures une véritable star dans l'État de l'Assam. Il faut dire que des embouteillages monstres ont été créés par les nombreux conducteurs arrêtant leur véhicule afin de prendre en photo l'animal. On vous propose d'ailleurs de découvrir la scène dans la vidéo en tête d'article.

    Relâché dans son habitat naturel

    Après avoir été maîtrisé, l'éléphant a été transporté dans le zoo de la ville, avant d'être relâché en forêt, dans son habitat naturel. Le responsable du service des forêts, A. M. Singh, a été interrogé par l'Agence France Presse concernant cet incident : "Cela a été compliqué de l'endormir dans des rues embouteillées, au milieu des curieux. Nous avons pris le plus grand soin pour ne pas l'effrayer et c'est pourquoi il n'y a aucun dégât".

    On peut dire que c'est une sacrée aventure qu'a vécu cet éléphant. Heureusement, tout est bien qui finit bien !

    Gent Side


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  • Il a les pattes arrière abimées


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  • Lors d’un match de football en Bolivie, un chien errant a fait irruption sur le terrain en courant dans tous les sens, une chaussure de footballeur entre les dents. Après plusieurs tentatives infructueuses, le quadrupède a été gentiment sorti du champ. Son apparition surprise sur le rectangle vert lui a permis de trouver une famille.

    Le 24 décembre dernier, veille de Noël, un match de football professionnel avait lieu à Potosi, dans le Sud de la Bolivie. Il opposait l’équipe locale, le Nacional Potosi, à celle de The Strongest, basée dans la capitale La Paz.

    La rencontre a toutefois dû être interrompue durant quelques minutes parce qu’un chien errant s’était invité sur la pelouse. Le canidé avait d’abord choisi de se poser près de la ligne de touche en jouant avec une chaussure de football, qu’il avait très probablement trouvée près de l’un des bancs des remplaçants.

    Le 4e arbitre a alors tenté de le faire sortir, alors que les 22 acteurs continuaient de jouer. L’arbitre principal ne s’en était pas encore aperçu. Peu après, le chien est revenu sur le terrain en gambadant joyeusement au milieu des joueurs, ce qui n’a pas manqué d’amuser les commentateurs boliviens.

    L’arbitre s’en est rendu compte et a arrêté brièvement le match, le temps de prendre en charge l’animal qui se montrait très amical. Il s’est même couché sur le flanc quand on s’est approché de lui. Tout ce qu’il voulait, c’était s’amuser et recevoir des caresses.

    Finalement, Raul Castro, l’un des joueurs de The Strongest, l’a porté et remis à un agent chargé de la sécurité.

     

    Après la rencontre, que son équipe a remportée par 3 buts à zéro, c’est ce même Castro qui a annoncé l’avoir adopté, rapporte United Press International.

    Woopets  Ecrit par Norman Bougé


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  • Grippe aviaire: deux syndicats agricoles demandent l'arrêt des abattages préventifs

    Deux syndicats agricoles demandent jeudi aux autorités de "changer de méthode" pour endiguer la progression de la grippe aviaire dans les élevages, en renonçant notamment aux abattages d'animaux sains autour des foyers de contamination.

    Mardi, le ministère de l'Agriculture a pris un arrêté étendant le périmètre dans lequel un abattage préventif peut être ordonné dans une zone de trois kilomètres autour d'un foyer contaminé par l'influenza aviaire (communément appelée grippe aviaire).

    Il concerne une centaine de communes dans la zone la plus touchée, essentiellement dans le sud des Landes, en Chalosse, mais aussi dans le Béarn (Pyrénées-Atlantiques).

    Dans un communiqué commun, la Confédération paysanne et le Modef, respectivement troisième et quatrième organisations représentatives de la profession, réclament que "seuls les animaux affectés par le virus soient abattus (foyers) et que les abattages soient organisés sur site (l'élevage) car le transport des animaux positifs vers les abattoirs réquisitionnés est une véritable aberration sanitaire".

    "Un coût financier faramineux"

    "Abattre des animaux sains pour créer des barrières sanitaires qui ne tiennent que provisoirement représente un coût économique et financier faramineux. Cette gestion pèse également sur le moral des producteurs et productrices qui voient les crises s'enchaîner avec toujours le même scénario", soulignent les syndicats.

    "Les contribuables n'ont pas à supporter la facture des erreurs d'une filière qui n'a tiré aucune leçon des deux précédentes épizooties", lors des hivers 2015/2016 et 2016/2017, ajoutent-ils.

    La Confédération paysanne et le Modef demandent aussi de ne pas recourir à l'abattage systématique "quand les palmipèdes sont porteurs sains (animaux résistant à la maladie)". Ils estiment que l'exploitant devrait pouvoir décider de continuer à élever ses animaux "jusqu'en fin de cycle sur sa ferme avec mesures de biosécurité adéquates".

    "Si nos demandes de bon sens ne sont pas prises en considération, nos deux organisations se réservent la possibilité de passer à d'autres formes d'action, en résistance à ces abattages préventifs massifs d'animaux sains aussi inefficaces sanitairement qu'inacceptables moralement", concluent-ils.

    BFM business


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