• Australie. Une chienne perdue dans de l’écume de mer secourue par des passants

    De fortes pluies se sont récemment abattues sur l’est et le nord-est de l’Australie, faisant parfois disparaître des plages entières sous de l’écume. Une chienne qui se promenait avec sa maîtresse en a fait les frais et s’est perdue sous une mer de mousse sur la Gold Coast. Heureusement, des passants l’ont trouvé et l’ont remise à sa propriétaire.

    Alors que l’été démarre en Australie, l’est et le nord-est du pays ont été récemment balayés par des pluies diluviennes. Des conditions météorologiques qui ont favorisé l’apparition d’écume sur certaines plages. Une chienne a même été prise au piège dans un de ces amas de mousse, causant une belle frayeur à sa propriétaire, rapporte The Independent lundi 14 décembre.

    Le jour de l’incident, une équipe de télévision locale tournait un sujet sur les averses qui ont touché les Snapper Rocks de la Gold Coast, dans l’État du Queensland.

    Journalistes et techniciens ont alors aperçu une femme chercher désespérément sa chienne Hazel. L’animal de compagnie avait disparu sous une gigantesque couche d’écume et poussait des cris de panique.

    La chienne saine et sauve

    Sa maîtresse et des promeneurs ont finalement retrouvé Hazel saine et sauve après l’avoir cherchée pendant plusieurs minutes.

    Selon le maire de Byron Bay, une ville balnéaire située non loin, plusieurs plages de sa commune ont disparu sous de la mousse en raison du phénomène météorologique de La Niña. Cette dernière fait chuter les températures et favorise l’apparition de cyclones et de fortes précipitations.

    Une telle météo est propice à la création d’écume. Cette dernière se forme quand la mer est très agitée et les vents violents. Des matières organiques et des impuretés se mélangent alors aux vagues et forment des fines bulles d’air ressemblant à de la mousse.

    Ouest-France


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  • Toujours trop long, il faut avancer !


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  • L’affaire empoisonne les relations entre Le Caire et Rome, l’Italie accusant régulièrement les autorités égyptiennes de ne pas coopérer avec les enquêteurs italiens, voire de les orienter vers de faus

    On ignore pour l'heure l'origine de cette pollution

    Quatre morts, deux vivants. Vendredi, plusieurs oiseaux mazoutés ont été retrouvés sur le littoral de Plougasnou, dans le nord Finistère. Ces échouages sont régulièrement constatés depuis mi-novembre, précise la commune. Des échouages similaires avaient déjà été constatés à la même période l'an dernier. Les enquêtes menées avaient permis d’établir que les fuites d’hydrocarbures provenaient de l'épave du Tanio, un pétrolier qui avait coulé en 1980 au large de l’île de Batz. D’importants travaux de colmatage ont pourtant été menés en septembre par la Marine nationale pour tenter de stopper les fuites. Insuffisant ? On ignore pour l’heure d’où proviennent ces nouveaux rejets.

     

    Vendredi, les deux guillemots de Troïl mazoutés ont été conduits à la clinique des oiseaux de la LPO de l’Ile-Grande (Côtes-d’Armor) pour y être soignés. Les animaux morts ont quant à eux été conservés à des fins d’analyses éventuelles comme l’impose le protocole de Vigipol.

    En attendant de connaître l’origine de la pollution, la commune de Plougasnou invite les habitants à signaler tout échouement d’oiseaux. Il est déconseillé de toucher les oiseaux. L’antenne de la Ligue de protection des oiseaux de Pleumeur-Bodou est joignable (02 96 91 91 40) pour tout animal blessé.

    D’autres oiseaux mazoutés ont été découverts ces derniers jours, notamment dans les communes de Plounéour et Brignogan, un peu plus à l’ouest.

    20 Minutes


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  • Les faits se sont produits à Renaison, jeudi soir. Blessé, le chien a été soigné et confié à la SPA. Sa propriétaire, elle, devra s'expliquer devant le tribunal.

    Le soir du jeudi 9 décembre, des témoins signalent à la gendarmerie de Renaison une scène de cruauté envers un animal. Un chien est attaché à une voiture qui le traîne une centaine de mètres.

    Sur place, les gendarmes identifient la conductrice. Ils se rendent chez elle et lui intiment d’emmener son animal chez le vétérinaire.

    Après avoir apporté l’animal se faire soigner, la mise en cause a été entendue librement à la gendarmerie le 10 décembre. D’après la version qu’elle donne, elle serait allée rechercher son chien après qu’il a fugué.

    Blessé, il est actuellement soigné

    Elle l’aurait mis dans son coffre, attaché avec une rallonge. Le coffre se serait ouvert pendant le trajet et le chien se serait retrouvé sur la route.

    Mais d’après l’enquête de la gendarmerie, le chien aurait été directement été attaché derrière le véhicule.

    Le parquet de Roanne, informé de l’affaire, a fait saisir le chien. La propriétaire du chien sera convoquée devant le tribunal correctionnel de Roanne en mars.

    Le chien sera d’ici là gardé par la SPA. Blessé, il est actuellement soigné. Le juge devra décider si l’animal sera rendu à sa propriétaire ou non.

    Le Progrès


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  • Pourquoi montrent-ils plusieurs fois les mêmes images ? Cela pourrait être beaucoup plus court !


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  • L'Ours Cachou a été empoisonné: le suspect principal est un garde forestier

    L'ours Cachou, retrouvé mort en avril dans les Pyrénées, a été empoisonné, et le suspect principal est un garde forestier arrêté en novembre, a indiqué jeudi la justice espagnole.

    Le bureau du procureur de Lérida, en Catalogne, qui a levé partiellement le secret de l'instruction, a ainsi précisé que la mort de l'ours est due à "un empoisonnement à l'éthylène glycol", un antigel toxique utilisé dans le liquide de refroidissement des voitures.

    "Le suspect principal est un agent du service Environnement de la région d'Aran (l'endroit où le cadavre de l'ours a été retrouvé), arrêté le 18 novembre pour son implication présumée dans la mort de l'ours", a ajouté le bureau du procureur. L'homme a été remis en liberté après avoir été entendu par la police et un juge. Les enquêteurs s'intéressent également à "un voisin", ainsi que quatre autres personnes. 

    Quinze témoins ont été entendus au total dans cette affaire, avait indiqué un peu plus tôt le Tribunal supérieur de Catalogne dans un communiqué. Cachou, un ours mâle de six ans, né dans les Pyrénées et accusé de prédations, avait été retrouvé mort début avril dans le Val d'Aran en Espagne, près de la frontière avec la France, sans que les causes du décès ne soient connues. Une enquête avait alors été ouverte côté espagnol et une autopsie diligentée à Barcelone. 

    En août 2019, les autorités du Val d'Aran avaient demandé le "retrait immédiat" de cet ours, dénonçant son comportement de prédateur, alors que Cachou était mis en cause dans la mort de cinq chevaux. Les associations de défense de l'ours avaient dénoncé la mort de cet animal appartenant à une espèce protégée. 

    Au total, trois ours sont morts dans le massif franco-espagnol depuis le début de l'année : Cachou en avril, un autre ours tué en juin, près de la station de ski française de Guzet en Ariège, et enfin Sarousse, abattue d'un coup de feu fin novembre dans la vallée espagnole de Bardaji en Aragon.

    RMC


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  • Quel plaisir de le voir courir à la fin de la video !


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  • Plœmeur. Un jeune bouc retrouvé mort sur la plage, les pattes liées par un cordage

    C’est une triste découverte qu’ont fait des promeneurs ce jeudi 10 décembre 2020, sur le littoral près de Fort-Bloqué, à Plœmeur. Alertée, la SPA de Lorient crie à l’abomination et va porter plainte.

    « C’est abominable ! » Sara Gourden n’en revient pas. Elle est surtout accablée par la macabre découverte faite par des promeneurs le long du sentier littoral de Plœmeur ce jeudi après-midi 10 novembre 2020.

    « Comme peut-on faire ça ? »

    La présidente de la SPA de Lorient (Morbihan) a été alertée vers 15 h. Un jeune bouc venait d’être découvert mort sur une grève, à Kerham, entre le Courégant et la plage des Kaolins, près du golf, à Plœmeur.

    L’animal avait les quatre pattes liées par un cordage en nylon. « L’acte est odieux, assène Sara Gourden. Comment peut-on encore faire ça à notre époque. »

    Plainte pour « acte de cruauté »

    Selon la présidente de la SPA de Lorient, qui s’est rendue sur place, le corps n’était pas en état de décomposition. « La petite bête a été jetée à l’eau récemment. À cet endroit ou plus loin, et la mer l’a rapporté ici. »

    La SPA de Lorient va porter plainte au commissariat de Lorient pour « acte de cruauté ».

    Le corps du petit bouc devait être pris en charge par les services techniques de la ville de Plœmeur.

    Ouest-France


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  • Hauts-de-France : Une dizaine de rapaces cibles de tirs depuis l’ouverture de la chasse

    Protégés par la loi, les rapaces sont pourtant régulièrement retrouvés criblés de plomb dans la région

    Dimanche dernier, un rapace a été retrouvé blessé par un promeneur du côté de Clairmarais, près de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais. Selon la Ligue protectrice des oiseaux (LPO), il ne fait aucun doute que l’animal a été victime d’un tir de plombs de chasse. Volontaire ou accidentel, impossible à dire. Toujours est-il que ce n’est pas la première fois qu’un rapace, espèce protégée, est abattu pendant la période d’ouverture de la chasse dans la région des hauts-de-France.

     

    La dernière victime en date est donc une buse variable, qui, à l’instar de tous les rapaces, est protégée par la loi. C’est un promeneur qui a découvert l’animal, blessé à une aile, dans le secteur des marais de Clairmarais, zone appartenant au parc régional des Caps et marais d’Opale. « Ce promeneur a emmené l’oiseau chez un de nos vétérinaires partenaires. La radio effectuée ne laisse aucune place au doute, l’aile de l’oiseau était criblée de plombs de chasse », assure une bénévole de la LPO du Pas-de-Calais à 20 Minutes.

    Une dizaine de rapaces victimes de tirs

    Le rapace a pu être soigné par le vétérinaire. Il a ensuite été confié au centre de soins de la faune sauvage de la LPA de Calais où il devra rester pour une longue convalescence. « Il n’est pas tiré d’affaire pour autant, beaucoup d’oiseaux supportent mal la captivité », regrette la bénévole.

    Affaire isolée ? Pas vraiment. Selon la LPO, cette buse est le treizième oiseau d’une espèce protégée qui est découvert plombé dans la région depuis l’ouverture de la chasse, en septembre dernier. « Sans compter tous ceux que l’on ne retrouve pas », insiste l’association. Parmi ces oiseaux, 11 sont des rapaces : « Des buses, beaucoup de faucons. En octobre, c’est même un balbuzard pêcheur qui a été tiré dans le marais audomarois », déplore la LPO.

    Les rapaces, bêtes noires des chasseurs

    « Si l’on met en cause les chasseurs, on va encore avoir des ennuis. Mais qui d’autre se balade avec un fusil ? », insiste la bénévole. Pour elle, les rapaces sont la bête noire des chasseurs : « Ils sont considérés comme de la concurrence pour certains gibiers comme les faisans », explique-t-elle. Et la thèse de l’accident, la LPO n’y croit pas non plus, assurant qu’il n’est pas possible de confondre un rapace avec un pigeon ou un autre oiseau.

    Pour tâcher de retrouver l’auteur du tir contre la buse, la LPO a déposé une plainte contre X auprès du parquet de Boulogne-sur-Mer. Si la procédure était systématique par le passé, elle est devenue plus ciblée ces dernières années. « Il faut que les plaintes soient très étayées. Que le lieu où l’oiseau a été tiré soit identifié et que celui qui l’a découvert accepte de témoigner », détaille la LPO tout en reconnaissant que les coupables n’étaient quasiment jamais retrouvés.

    20 Minutes

    Saloperies de chasseurs, ordures de chasseurs, fumiers de chasseurs ! Vivement qu'il y en est un qui se fasse tirer dessus !


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  • Chasse : One Voice dénonce les conditions d'élevage de faisans dans une exploitation agricole de la Drôme

    L'association de protection des animaux One Voice a publié une vidéo pour dénoncer les conditions d'élevage de faisans dans une exploitation agricole de Parnans, dans la Drôme, indique France Bleu Drôme Ardèche. Un procédé malhonnête, selon le syndicat des producteurs de gibier de chasse.

    Cette vidéo tournée en septembre montre des faisans qui marchent dans la boue au milieu des cadavres de leurs congénères. Des images choquantes et assumées par One Voice qui veut mobiliser le plus de Français possible pour faire fermer cet élevage dont les faisans sont destinés à être vendus à des chasseurs.

    "C'est un procédé malhonnête", a estimé Jean-Christophe Chastang, président du syndicat national des producteurs de gibier de chasse. Si les faisans sont dans la boue c'est parce qu'il y a eu "un événement climatique, probablement un fort orage". L'eau de pluie a ruisselé formant de la boue et a certainement, dit-il, tué quelques bêtes, mais très peu sur les 20 000 faisans que compte cet élevage.

    L'association One Voice a l'intention de porter plainte. Le président du syndicat national des producteurs de gibier de chasse rappelle qu'il n'y a rien d'illégal dans ces images non représentatives de l'élevage et que les conditions d'élevage du gibier sont réglementées par l'État.

    Le Parti animaliste assure de son côté, sur twitter, que "chaque année, en France, 30 millions d'oiseaux sauvages dont 14 millions de faisans, sont élevés pour être tués par les chasseurs au nom d'une prétendue régulation".

    franceinfo

    En résumé, certains élèvent des faisans juste pour les jeter dehors pour que ces saloperies de chasseurs aient le plaisir de tirer dessus et de les tuer !


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  • Lors d’une intervention pour des violences conjugales, les policiers ont découvert un animal dans la machine à laver du logement. Un des occupants a été hospitalisé d’office en psychiatrie

    Appelés au départ pour des violences conjugales, la semaine dernière à Pau, les policiers ont découvert un chien enfermé dans un lave-linge en marche dans le logement, rapporte La République des Pyrénées.

    L’animal, un croisé jack russel et westie âgé de deux ans a été retiré sain et sauf de l’appareil en marche par les fonctionnaires. Un homme âgé de 44 ans se trouvait seul dans l’appartement au moment de l’intervention. Son état a nécessité une hospitalisation d’office en psychiatrie. Le chien appartient à sa compagne.

    La police rappelle sur les réseaux sociaux que les auteurs d’actes de maltraitance sur un animal encourent jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.

    20 Minutes

    Heureusement que la police est intervenue sinon le chien serait mort.

    La maltraitance animale hélas, n'est jamais assez punie !

     


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  • Loire : Après avoir provoqué un accident et des embouteillages sur l’autoroute A72, une vache a été abattue

    Illustration

    La Compagnie républicaine de sécurité 50 s’est résolue à tirer, ce mardi après-midi, sur une vache perturbant la circulation sur l'A72 dans la Loire

    Les policiers de la Compagnie républicaine de sécurité 50, basée à La Talaudière (Loire), ont dû se résoudre à abattre une vache, ce mardi après-midi. Il faut dire que, comme le révèle Le Progrès, celle-ci divaguait sur l'A72, et a provoqué un accident entre deux voitures ayant cherché à l’éviter. Une femme de 31 ans, qui se trouvait au volant d’un des véhicules, a été blessée et évacuée vers le CHU le plus proche.

     

    « On avait réussi à contenir la vache vers Andrézieux, indique la CRS 50 au Progrès. Mais elle a réussi à sauter au-dessus du terre-plein central et à se retrouver sur la voie descendante. Elle a tapé plusieurs voitures et cela devenait trop dangereux. »

    20 Minutes

    De toutes façons, tous ces pauvres animaux finissent à l'abattoir !


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  • Pyrénées : Les gendarmes libèrent un chien coincé depuis deux nuits dans une barre rocheuse

    Le chien de chasse était coincé dans les Hautes-Pyrénées, après avoir suivi un sanglier.

    La chasse a mal tourné le samedi 28 novembre pour un chien. Alors qu’il poursuivait un sanglier, il s’est aventuré sur une barre rocheuse du Pic Maleshores, à Estaing, dans les Hautes-Pyrénées. Et est resté coincé à 2.600 mètres d’altitude, son maître ne réussissant pas à le sortir du mauvais pas dans lequel il s’était fourré.

    Prévenus, les militaires du peloton de gendarmerie de haute-montagne des Hautes-Pyrénées décident d’un commun accord avec le maître du chien d’intervenir dès que les conditions seraient remplies.

    Le lundi matin, deux secouristes en séance d’entraînement sont donc intervenus sur place. Après une lente ascension jusqu’à la paroi rocheuse, à midi ils avaient réussi à arriver au niveau du chien. Après l’avoir sécurisé, ils l’ont redescendu en rappel. Amaigri, le chien lui a été content de retrouver son maître, et inversement.

    20 Minutes

     


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