• Une trentaine d'animaux ont été massacrés ces derniers jours dans un pré privé de Leforest (Pas-de-Calais), rapporte France Bleu Nord vendredi 26 février. À cinq reprises des individus se sont attaqués sauvagement aux animaux de la famille Crunelle.

    Leur propriétaire, Cyril Crunelle a porté plainte. "Je suis abattu, je suis dans le cirage", explique ce retraité de 88 ans. Pour rentrer dans son domaine, les individus ont découpé le grillage de sa propriété. Chaque matin depuis une semaine, le propriétaire a découvert un nouveau massacre.

    Ses poules ont été égorgées. Son bouc a été retrouvé avec un couteau planté dans la bouche, les cornes brisées. Une quinzaine de biquettes sur 24 ont également été tuées. "Fallait voir le tableau" se désole le retraité, qui ne digère pas ce que ces "assassins" ont fait à Tutulle, son poney qui est mort sur place égorgé, une bête qu'il avait depuis une vingtaine d'années, "un gosse" pour lui.

    La famille implantée dans la commune depuis très longtemps a reçu de très nombreux messages de soutien. Le président de région Xavier Bertrand a également apporté le sien dans un tweet où il dénonce des "actes de cruauté" : "Mon soutien à cette famille de Leforest qui a vécu l’horreur. Tout doit être mis en œuvre pour retrouver les auteurs de ces actes de cruauté", a tweeté le président de la région Hauts-de-France.

    france info


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  • En 2019, le sanglier Hercule a été abattu sans raison apparente par un chasseur après être sorti du parc privé dans lequel il vivait. 

    Le sanglier Hercule habitué à la présence humaine s'est rapproché d'un groupe de chasseurs, un d'entre eux l'a abattu. Cette scène a été diffusée dans l'émission «Sur Le Front» d'Hugo Clément sur France.tv Slash. Elle a été tournée aux abords du parc privé 170 hectares, où vivent en liberté des cerfs, sangliers ou encore des daims. Un parc situé à Liverdy-en-Brie, en Seine-et-Marne, qui suscite la convoitise de braconniers qui s'introduisent illégalement dans la propriété pour chasser les animaux.

    Fin 2019, c'est Hercule, un sanglier domestiqué, qui a été tué. La scène a été filmée. On y voit le sanglier s'approcher d'un groupe de chasseurs et chercher leur contact jusqu'à ce que l'un d'entre eux l'abatte d'une balle dans la tête à bout portant. Le propriétaire du domaine, Alain Martin, a expliqué que les chasseurs ont tué l'animal, qu'il considérait comme son «bébé» et qu'il a élevé au biberon, le long de sa propriété après l'avoir fait sortir. «Ça me révolte parce que là il n'y a pas d'acte de chasse», s'insurge Alain Martin dans «Sur le Front». «C'est gratuit. Il y a plein d'infractions à relever. La mise en danger de la vie d'autrui parce que la balle aurait pu ricocher d'Hercule et tuer l'autre chasseur qui était à côté. Ces gens-là ne doivent pas faire partie du domaine de la chasse», a ajouté l'homme qui dénonce la «barbarie» perpétrée contre ses animaux et réclame que «la personne qui a tué Hercule soit condamnée».

     

    Sur Twitter, 30 millions d'amis a dénoncé des images d'une «cruauté inouïe» et indique qu'Alain Martin a déposé plainte. «Sa confiance à l'égard des humains lui aura été fatale», a regretté l'association au sujet du sanglier abattu.

    Paris Match

    LIEN de l'article pour voir les videos :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/seine-et-marne-les-images-d-un-sanglier-domestique-abattu-%C3%A0-bout-portant-par-un-chasseur/ar-BB1dYAqk?ocid=msedgntp

    Saloperie, fumier de chasseur !


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  • "Une première en France" selon la Ligue de protection des oiseaux: un braconnier qui chassait des oiseaux protégés, notamment à la glu, a été condamné à un an de prison ferme à Toulon, a-t-on appris mercredi auprès des avocats de la LPO et du chasseur.

    Le braconnier, un agriculteur retraité de 76 ans absent de son procès pour cause de maladie, a été condamné lundi à neuf mois de prison ferme, notamment pour "destruction d'espèce protégée", peine à laquelle s'est ajouté un sursis de 3 mois auquel ce récidiviste avait été condamné en 2014, a précisé à l'AFP Me Mathieu Victoria, conseil de la LPO, partie civile dans ce dossier, confirmant une information de Var-Matin.

    "Il a été pris avec 75 rouges-gorges", selon Mathieu Victoria. Le chasseur sans permis a aussi été condamné à 5.000 euros d'amende et près de 20.000 euros de dommages et intérêts à verser aux parties civiles, dont la LPO.

    Outre les rouges-gorges, "qui sont traditionnellement servis en brochettes dans le Var", selon M. Victoria, et que le prévenu attrapait à l'aide de pièges, le braconnier pratiquait aussi la chasse à la glu pour une autre espèce protégée, le tarin des aulnes.

    "On a voulu faire un exemple, on a tapé fort", a estimé Me Elodie Gozzo, qui a regretté "un mépris des traditions", faisant valoir que son client, une personne âgée, n'avait "pas les mêmes références en termes d'environnement qu'une personne de 30 ans".

    Le président de la LPO Yves Verilhac, joint par l'AFP, a estimé que cette peine de prison ferme constitue "une première en France pour les oiseaux protégés". Selon lui, "la France est un des pires pays d'Europe pour le braconnage d'oiseaux, avec l'Italie et l'Espagne".

    La chasse à la glu est actuellement suspendue en France --dernier pays de l'UE à l'autoriser-- dans l'attente de la décision de la Cour de justice de l'UE saisie par le Conseil d'Etat.

    En juillet, la Commission européenne a aussi demandé une nouvelle fois à la France de mettre fin "à la chasse illégale et de réexaminer ses méthodes de capture d'oiseaux", pointant du doigt notamment la chasse à la glu, pour les grives, et aux filets, pour les alouettes.

    Ces méthodes non sélectives de chasse sont interdites par une directive de 2009 sur la protection des oiseaux, sauf sur dérogations selon des conditions strictes "qui ne sont pas remplies" par la France.

    Pendant le week-end, à Marseille, l'Association des défenseurs des chasses traditionnelles a déploré la destruction de plusieurs postes de chasse sur les hauteurs de Marseille, notamment à la glu, dénonçant dans La Provence l'action "d'écoterroristes".

    Le Point

    Saloperies de chasseurs !


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  • Pyrénées-Atlantiques. Trois chiots retrouvés vivants dans une poubelle

    Trois chiots ont été retrouvés à l’intérieur d’une poubelle, à Urrugne, vendredi 19 février. Ils ont depuis été confiés à une association à Saint-Jean-de-Luz.

    À Urrugne, dans les Pyrénées-Atlantiques, une habitante a trouvé dans une poubelle trois chiots vivants, ce vendredi 19 février. Elle a confié ces animaux à l’association de protection animale le Refuge, à Saint-Jean-de-Luz. Selon les informations du quotidien régional Sud Ouest , la résidente de la commune a été alertée par les gémissements des chiots.

    Les chiots ont été confiés à un refuge

    Depuis leur arrivée au Refuge, les chiots sont nourris au biberon et seraient désormais en bonne santé. Sur Twitter, le représentant local de la Fondation Brigitte Bardot, dévouée à la protection des animaux, s’est indigné de cet acte. « La HONTE ! », a-t-il déploré. Ajoutant : « Rappel, l’abandon d’un animal est puni par la loi à 2 ans de prison et 30 000 € d’amende. »

    Il a poussé la directrice du Refuge à déposer une plainte, rapporte Sud Ouest, et annonce que la Fondation Brigitte Bardot se portera partie civile.

    Ouest-France


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  • En Floride, un crocodile du zoo St. Augustine Alligator Farm a avalé la chaussure d’un touriste, tombée dans son enclos. Les vétérinaires ne parvenant pas à lui retirer l’objet, il a dû être opéré, le 5 février dernier.

    Un crocodile du parc zoologique de St. Augustine Alligator Farm, en Floride, a subi une intervention chirurgicale peu commune. Après avoir avalé une chaussure, le reptile a dû être opéré, le 5 février dernier, pour que l’objet lui soit retiré, rapporte CNN.

    C’est un touriste, en passant en tyrolienne au-dessus de l’animal, qui avait perdu sa chaussure. Des vétérinaires avaient tenté de la sortir du ventre du crocodile en atteignant son œsophage et ainsi éviter l’opération. En vain.

    De retour dans son enclos

    Sur la table d’opération au département de médecine vétérinaire de l’Université de Floride, les soignants ont redoublé d’efforts. Un docteur a d’abord tenté, grâce à une incision, de pousser la chaussure du ventre vers l’œsophage mais a finalement dû se résoudre à effectuer une gastrostomie, qui a permis de retirer l’objet.

    Des photos de l’intervention, et de la chaussure sortie, ont été diffusées sur Facebook par l’Université. De nombreuses personnes ont été mobilisées pour cette opération. Après une nuit d’observation, le crocodile a pu rejoindre ses congénères au zoo.

    Ouest-France


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  • Kenya. Trois girafes d’une espèce rare tuées par des lignes électriques trop basses

    Trois girafes de Rothschild, une espèce menacée à travers le monde, ont récemment été électrocutées par des poteaux électriques au Kenya. Des experts mandatés sur place ont conclu que les lignes électriques étaient installées trop basses. Ce n’est pas la première fois que ce genre d’incident survient dans le pays, a dénoncé une défenseuse de la faune sauvage sur Twitter.

    Un drame environnemental. Trois girafes d’une espèce actuellement menacées sont récemment mortes dans la réserve de Soysambu Conservancy à Nakuru (Kenya). Elles ont été électrocutées par une ligne électrique installée trop bas, rapporte la BBC mardi 23 février.

    La Kenya Wildlife Service (KWS), agence publique environnementale, a mandaté des enquêteurs sur place. Ces derniers ont confirmé que la hauteur des poteaux électriques était insuffisante pour permettre aux girafes de passer en toute sécurité, précise Le Point.

    Des poteaux rapidement remplacés

    « Ces lignes électriques ont déjà tué des girafes, des vautours et des flamants, a dénoncé la militante pour la défense de la faune sauvage Paula Kahumbu sur Twitter. L’avis des experts a été ignoré. […] Triste que ce genre de mort soit nécessaire pour réveiller certaines personnes ! »

    L’entreprise d’énergie Kenya Power a indiqué que les poteaux électriques allaient être remplacés sur le lieu de l’incident pour rehausser les lignes à haute tension. « Nous regrettons cet incident car nous reconnaissons que la faune sauvage fait partie intégrante de notre psyché naturelle et culturelle, a déclaré le PDG. Nous apprécions les retours partagés par les divers acteurs sur ce sujet. »

    Les trois girafes tuées étaient des girafes de Rothschild, une espèce considérée comme menacée. Il n’en resterait pas plus de 1 600 spécimens dans le monde entier, dont 600 se trouvent au Kenya.

    Ouest-France


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  • La publication a suscité de nombreuses réactions. Une chasseuse s’est vantée, sur les réseaux sociaux, d’avoir tué une girafe en Afrique du Sud lors du week-end de la Saint-Valentin. Sur une photo, elle pose aux côtés de l’animal mort.

    Elle rêvait de tuer une girafe depuis des années. C’est désormais chose faite pour cette chasseuse sud-africaine de 32 ans. Pour la Saint-Valentin, le mari de Merelize van der Merwe lui a offert un week-end de chasse dans un parc à gibier pour 1 700 €. Objectif : abattre une girafe, l’un des animaux qu’elle n’avait pas encore sur son tableau chasse. Avant de tuer cette girafe, elle comptabilisait déjà près de 500 bêtes sauvages tuées, dont des lions, des léopards et même des éléphants, rapporte CNews .

    Une fois la girafe abattue, la Sud-Africaine s’est empressée de publier son « exploit » sur Facebook avec une photo aux côtés de l’animal mort, son fusil à la main. « Mon merveilleux mari savait que c’était mon rêve et m’a pleinement soutenue, explique-t-elle sur ce post Facebook. J’étais comme une enfant pendant deux semaines, je comptais les jours. »

    La trentenaire a même publié une photo où elle pose avec le cœur de la girafe et a jouté ce commentaire : « Vous êtes-vous déjà demandé à quel point le cœur d’une girafe est grand ? Je suis aux anges avec mon gros cadeau de Saint-Valentin ! »

    Les défenseurs des animaux répondent

    Rapidement, les internautes ont réagi à ces publications. La polémique a enflé au travers de centaines de commentaires. Une pétition a même été mise en ligne sur change.org pour qu’elle soit bannie de Facebook après la publication de son « trophée de chasse ». Près de 5 000 personnes l’ont déjà signée.

    La chasseuse de 32 ans s’est défendue en affirmant que la mise à mort de l’animal avait donné du travail à 11 personnes dans les colonnes du Daily Mirror . Elle a également affirmé que la chasse permettait de développer l’économie touristique et protégeait les espèces en voies d’extinction.

    Arguments réfutés par les associations de protection des animaux : « Les affirmations des chasseurs de trophée selon lesquelles ils se préoccupent de la conservation de la faune sont très trompeuses. La chasse aux trophées n’est pas un outil de conservation et ne contribue pas de manière significative aux communautés locales », a ainsi expliqué au journal britannique le Dr Mark Jones de la fondation Born Free.

    Ouest-France

    Encore une sacrée connasse !


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  • Visite au parc " LE PAL " :

    Observation du comportement du lion asiatique, lion d'Asie, ou lion persan (Panthera leo persica ou Panthera leo sinhaleyus). À cause de la chasse et de la destruction de son habitat, il avait pratiquement disparu du continent au XXe S.. - Les derniers spécimens sauvages, environ 500, se trouvent en Inde, dans la forêt de Gir. La crinière du lion d'Asie est moins touffue que celle de son homologue africain : il est fréquent que les oreilles soient dégagées plutôt qu'enfouies dans les poils. Le lion d'Asie a généralement un pelage plus épais et une touffe de poils plus longue au bout de la queue. C'est un prédateur territorial vivant en petite troupe. Cette espèce compte parmi les espèces de mammifères les plus menacées, aussi le gouvernement indien a-t-il mis en place un plan de réintroduction, dit « Asiatic Lion Reintroduction Project ».


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  • L'homme a cependant été reconnu coupable et devra verser 200 euros à chaque association parties civiles

    Un ingénieur qui avait tué un chien de la SPA en 2017 près de Caen, alors qu’il souffrait d’effets secondaires après avoir pris des médicaments contre la maladie de Parkinson, a été reconnu coupable avec une altération du contrôle de ses actes, a annoncé ce lundi son avocate.

    « Il a été reconnu coupable et condamné à une amende de 500 euros par le tribunal correctionnel de Caen, mais le jugement a reconnu l’altération de son discernement et/ou du contrôle de ses actes », a indiqué à l’AFP Me Dominique Mari, qui a fait part de sa « satisfaction et de son soulagement ». L’homme devra également indemniser les associations parties civiles à hauteur de 200 euros chacune.

    Coup de tournevis et cruauté envers les chats

    « Enfin la justice reconnaît les troubles du contrôle des impulsions provoqués sur certains malades de Parkinson par les médicaments prescrits, avec des conséquences parfois très graves pour certains qui comparaissent au pénal », a ajouté Me Mari. Le ministère public avait requis un an de prison avec sursis pour ce père de quatre enfants de 53 ans.

    Le 1er avril 2017, l’homme, qui était alors le numéro deux de l’usine Renault Trucks de Blainville-sur-Orne (1.200 salariés), a donné un violent coup de tournevis à un chien qui aboyait de la SPA de Verson, près de Caen, où il s’était rendu avec son épouse et sa fille. Le prévenu avait été condamné en juin et en juillet 2018 pour actes de cruauté envers des chats qu’il commettait la nuit. Il avait alors changé de traitement fin juin 2018.

    L'« enfer » vécu par la famille

    Son médecin faisait le point tous les trois mois avec lui, lui demandant s’il avait des effets secondaires comme l’hypersexualité ou l’addiction aux jeux mais pas s’il avait des pulsions contre les animaux, avait expliqué le prévenu à l’audience mi-décembre, reconnaissant avoir porté le coup mortel au chien mais affirmant ne pas avoir eu l’intention de le tuer. Plusieurs expertises ont montré que l’homme avait souffert d’avril 2017 à juin 2018 des effets secondaires de médicaments contre Parkinson, le Requip et le Neupro.

    A la barre, l’épouse du prévenu avait décrit « l’enfer » vécu depuis la médiatisation de l’affaire des chats, les menaces reçues à leur domicile et sur son propre lieu de travail, « l’acharnement » sur les réseaux sociaux contre son mari, le déménagement de la famille, le licenciement de son époux pour faute grave. « On est vraiment face à un drame sanitaire », avait estimé l’avocate de la Défense, Dominique Mari, plaidant la relaxe.

    20 Minutes


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  • Nouvelle-Zélande: des dizaines de "dauphins-pilotes" s'échouent sur le littoral

    Les autorités néo-zélandaises étaient mobilisées ce lundi pour tenter de sauver plusieurs dizaines de "dauphins-pilotes" piégés sur un cordon littoral de l'extrême nord de l'Île du Sud, un lieu où s'échouent souvent des groupes de globicéphales.

    Le ministère de la Conservation (DOC) a précisé que les 49 mammifères avaient été découverts ce lundi matin sur Farewell Spit, une langue sableuse à 90 kilomètres au nord de la ville de Nelson.

    Au moins neuf "dauphins-pilotes" morts

    En milieu d'après-midi, au moins neuf globicéphales étaient morts et une soixantaine de personnes s'efforçaient de garder les autres en vie dans l'espoir qu'ils puissent regagner le large avec la marée, a précisé le DOC.

    "Des spécialistes des mammifères marins vont participer aux opérations de remise à flot et à leurs soins sur la plage, en tâchant de les maintenir dans une atmosphère de fraîcheur et d'humidité", a expliqué une porte-parole du DOC.

    Un phénomène récurrent

    Farewell Spit est une langue de sable de 26 kilomètres de long qui s'avance dans la Golden Bay. Elle a été le théâtre d'une dizaine de cas d'échouements de groupes de globicéphales au cours des 15 dernières années. En février 2017, près de 700 de ces mammifères s'étaient échoués à Farewell Spit, dont 250 qui avaient péri.

    Il n'existe pas d'explication scientifique certaine de ce phénomène. Des hypothèses font état d'une maladie, d'erreurs de navigation, de présence de prédateurs, de conditions météorologiques extrêmes ou de problèmes liés à la topographie de certains lieux. Mais d'autres mettent en cause l'activité humaine, et notamment des perturbations générées par les sonars à haute fréquence.

    BFM.TV


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  • et retrouvailles avec la maman !


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  • On dirait qu'elle vient d'avoir des petits ! Pas bien expliqué !


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