• Lot : Un jeune meurt d’une balle perdue en marge d’une battue au sanglier, un chasseur en garde à vue

    Le jeune de 23 ans coupait du bois quand il a été mortellement touché jeudi sur la commune de Calvignac, dans le Lot

    La partie de chasse a viré au cauchemar jeudi dans un bois de la commune de Calvignac dans le Lot. Alors qu’une battue au sanglier battait son plein, un jeune homme de 23 ans, originaire du village, a été mortellement fauché par un tir.

    Les secours, rapidement prévenus, n’ont rien pu faire pour le ranimer. Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime était extérieure à la battue. Elle était en train de couper du bois, pas très loin de son domicile, quand le drame est survenu.

    Frédéric Almendros, procureur de la République de Cahors, confirme à 20 Minutes qu’un chasseur a été placé en garde à vue pour homicide involontaire. L’enquête des gendarmes se poursuit et le magistrat prévoit de s’exprimer demain, vendredi, sur ce nouvel accident de chasse mortel.

    20 Minutes

    Saloperie de chasseur ! 

    Hélas, avec les juges, il ne risque pas grand chose !


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  • LIEN pour aller sur youtube :

    https://www.youtube.com/watch?v=lk_4ZyAkOoY&ab_channel=VADEBOUS

     

    Video soumise à une limite d'âge, visible que sur youtube !


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  • Bretagne : Des buffles en divagation sur la quatre voies stoppent la circulation

    Plusieurs automobilistes ont filmé la scène à hauteur de Concarneau

    La petite surprise du début de semaine. Lundi après-midi, plusieurs automobilistes ont dû s’arrêter sur la RN165 reliant Brest à Nantes en raison de la présence de plusieurs buffles au milieu de la route. En divagation sur la quatre voies à hauteur de Concarneau (Finistère), les vaches s’étaient échappées de l’enclos voisin. L’incident n’a heureusement fait aucun blessé.

    D'après France Bleu, qui a joint les propriétaires des animaux, l’incident serait lié à la fuite d’un veau, passé sous la clôture du champ dans lequel il était parqué. L’instinct maternel de sa mère l’aurait poussée à détruire la clôture avec ses cornes, permettant à plusieurs autres animaux de venir brouter au milieu des voies.

    La présence de bufflonnes est rare dans la région. Ces animaux sont la propriété de Bufala Breizh, une ferme qui produit de la mozzarella bretonne.

    20 Minutes


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  • Quelle vie va t-il avoir maintenant ?


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  • Un peu long, je crois qu'il est adopté à la fin.


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  • Un chasseur abat l’ourse Sarousse dans les Pyrénées lors d’une battue aux sangliers

    Illustration

     Le chasseur a évoqué la légitime défense pour justifier les coups de feu contre l’ourse Sarousse, réintroduite en 2006 à Arbas, dans les Pyrénées françaises

    Auprès des autorités aragonaises, le chasseur a évoqué la légitime défense. Ce dimanche, alors qu’il participait à une battue aux sangliers dans la vallée pyrénéenne espagnole de Bardaji, dans le secteur de Ribagorza, au nord-est de l’Aragon, un homme a fait feu sur l'ourse Sarousse.

    Selon le journal Heraldo, il aurait crié pour l’effrayer, mais l’animal se serait avancé vers lui jusqu’à ce qu’il utilise son arme, à trois reprises. La Garde civile, la gendarmerie version espagnole, a été prévenue et a ouvert une enquête.

    De son côté, le gouvernement aragonais a indiqué que l’autopsie serait réalisée par ses techniciens dès ce lundi pour confirmer les causes de la mort du plantigrade.

    Âgée aujourd’hui de 21 ans, Sarousse est une ourse slovène lâchée à Arbas, en Haute-Garonne, en 2006. Elle avait rapidement perdu son collier émetteur et avait été capturée avant d’être relâchée en altitude.

    Durant plusieurs années, elle s’est déplacée entre le Luchonnais français et le Val d’Aran espagnol, de part et d’autre des Pyrénées, avant de se déplacer à une trentaine de kilomètres vers le sud en 2010. Depuis, elle s’est fixée en Aragon selon l’association Adet-Pays de l’ours.

    Trois ours morts cette année

    Depuis le début de l’année, c’est le troisième ours qui meurt dans les Pyrénées. Au printemps, un plantigrade a été tué par balles en Ariège, du côté d’Ustou. L’auteur des coups de feu n’a pour l’heure jamais été retrouvé. Le second est Cachou, retrouvé mort empoisonné dans le Val d’Aran espagnol. Depuis, un agent de l’environnement a été interpellé dans cette affaire, soupçonné d’être à l’origine de la mort de l’ours âgé de 5 ans.

    Les associations de défense du plantigrade ont appelé la semaine dernière à ce que les deux ours déjà morts de manière non accidentelle cette année soient remplacés. Cette nouvelle perte sera un argument de plus pour de nouvelles réintroductions.

    20 Minutes

    Saloperie de chasseur !


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  • Le chat forestier d'Europe colonise l'Hérault

    Le chat forestier d'Europe, une espèce de chats sauvages, étend son territoire en France.

    Jusqu'à présent localisés dans les Pyrénées et le quart nord-est (nord du Massif central, Jura, Lorraine, Alsace, notamment), des chats forestiers ont été vus dans l'Hérault, a affirmé l'Office français de la biodiversité (OFB) à France Bleu et France 3. Depuis 2014, seuls des indices sous-entendant la présence de cette espèce avaient pu être observés, comme des photographies issues d'appareils dissimulés. Mais la ressemblance entre les chats forestiers sauvages et les chats domestiques n'avait pas permis de valider avec certitude l'hypothèse.

     

    Cette fois-ci, un cadavre de chat forestier a été retrouvé dans le domaine du Caroux-Espinouse, dans l'Hérault, ce qui confirme la présence de l'espèce sur la zone. L'OFB estime que cinq individus se seraient établis dans le coin. Des investigations supplémentaires vont être menées. « C'est une excellente nouvelle que dame Nature nous envoie », s'est félicité auprès de France Bleu Vincent Tarbouriech, de l'Office français de la biodiversité.

    Une espèce protégée

    « On sait maintenant que cette espèce est présente et qu'il y a même de la reproduction, car on a d'autres photos où apparaissent des chatons autour d'une femelle. C'est exceptionnel », ajoute-t-il. « Tout ça est dû à une seule chose : la continuité des massifs forestiers. Tant que l'on a une continuité, la population se développe et peut s'agrandir. Tandis que s'il y a une coupure [?] ça peut perturber le développement de l'espère », explique Vincent Tarbouriech. Le chat forestier d'Europe est une espèce protégée au niveau national en France. Il est aussi protégé par la convention de Berne sur la vie sauvage en Europe.

    Le Point


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  • Un cheval mort et mutilé a été découvert dimanche dans un champ de la commune de L'Absie, dans les Deux-Sèvres, a-t-on appris dimanche auprès du parquet de Niort. L'animal a été retrouvé portant des mutilations notamment au niveau de l'oreille et de l'appareil génital, découpés, a indiqué le parquet sans plus de précisions. Une enquête de flagrance a été ouverte, et les gendarmes se trouvaient sur site dans l'après-midi de dimanche. 

    150 enquêtes ouvertes pour des cas de mutilations

    Depuis début 2020, plus particulièrement depuis août, des cas de mutilations, parfois mortelles, d'équidés, ont été signalés un peu partout sur le territoire. Plus de 150 enquêtes ont été ouvertes, mais tous les cas ne sont pas considérés comme d'origine humaine, selon la gendarmerie.

    Europe 1


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  • Kaavan, l’éléphant maltraité du Pakistan, va être transféré au Cambodge par avion

    Après des années de maltraitance dans un zoo d’Islamabad, le pachyderme va être transféré dans une réserve du Cambodge.

    La chanteuse Cher, qui contribue financièrement pour son transfert, est engagée depuis des mois auprès des défenseurs des animaux pakistanais pour sauver Kaavan.

     

    Après des années de maltraitance dans un zoo d’Islamabad et une campagne menée par la chanteuse américaine Cher, l’éléphant Kaavan s’apprêtait dimanche à être transféré dans une réserve au Cambodge.

    La célèbre chanteuse est arrivée la semaine dernière à Islamabad pour être auprès du pachyderme obèse âgé de 35 ans qui était maltraité, suscitant un combat acharné de défenseurs des animaux pakistanais soutenu par Cher.

    Le cas de Kaavan et l’état déplorable du zoo de la capitale pakistanaise ont conduit un magistrat à ordonner cette année que tous les animaux en soient transférés.

    « Grâce à Cher et aussi aux militants pakistanais, le sort de Kaavan a fait la une des journaux du monde entier et cela a contribué à faciliter son transfert », a déclaré Martin Bauer, un porte-parole de Four Paws, l’organisation autrichienne de protection des animaux qui a permis de secourir l’éléphant.

    Cher « jouit d’une immense audience, nous avons donc vraiment apprécié tout ce qu’elle a fait pour Kaavan depuis 2016 ».

    L’éléphant le plus solitaire au monde

    Surnommé l’éléphant le plus solitaire du monde par la presse, il est le seul éléphant d’Asie au Pakistan. Les autres, peu nombreux, sont des pachydermes d’Afrique.

    Cher, qui a financièrement contribué à ce transfert, doit s’envoler dimanche pour le Cambodge afin d’être dans le pays à l’arrivée de l’éléphant.

    Le Premier ministre Imran Khan a rencontré cette semaine la star de 74 ans pour la remercier personnellement.

    Une équipe de vétérinaires et de soigneurs de Four Paws a passé des mois avec lui pour le préparer à son voyage.

    Ils l’ont notamment entraîné à entrer dans le caisson métallique qui sera chargé dans un avion-cargo. Le vol devrait durer sept heures.

    L’administration du zoo a par le passé nié que l’animal ait été maltraité, estimant qu’il attendait simplement de retrouver une nouvelle compagne, après la mort de Saheli, tuée par la gangrène en 2012.

    Mais des experts internationaux ont observé chez Kaavan un comportement stéréotypé – il ne fait souvent que tourner sa tête et son tronc d’un côté à l’autre pendant des heures – qui a nourri des interrogations sur sa santé mentale.

    Aux quatre coins du Pakistan, les zoos se distinguent par la médiocrité de leurs installations et la pauvreté des soins accordés aux animaux.

    Ouest-France

    Merci à la chanteuse Cher !


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  • Je ne comprends pas, si on ne veut pas d'un chiot, on l'amène dans un refuge !


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  • Le 17 novembre, dans un village de l’Hérault, un cheval de race Camargue était retrouvé mort, émasculé et les yeux arrachés, par sa propriétaire. Elle se confie aujourd’hui pour la première fois.

    « C’est comme si on s’en était pris à un de mes enfants ». Effondrée, à force de nuits blanches, la jeune femme peine à contenir sa colère et sa douleur. Anonyme, angoissée comme tous les autres éleveurs et propriétaires victimes de ces agressions d’origine humaine avérées (plus de 80), cette mère de famille vit dans la peur de nouvelles attaques ou d’une vengeance supplémentaire.

    Elle témoigne pour la première fois de l’attaque contre une de ses bêtes, « Canaly »le plus doux de ses cinq chevaux. « C’était un cheval de race Camargue, blanc et noir, dit-elle. Habitué à participer aux fêtes et à l’« Abrivado » (ndlr : en provençal, le nom de la conduite traditionnelle des taureaux des pâturages aux arènes), il se laissait approcher facilement. »

    Ce mardi 17 novembre, le couple d’agriculteur qui exploite une propriété viticole, au nord de Montpellier, rend visite à ses chevaux en fin d’après-midi. Les cinq bêtes paissent librement dans un enclos de 25 hectares à un kilomètre de la propriété familiale. Il est 18h, la nuit tombe.

    Le cheval attaché à un arbre

    La jeune femme, accompagnée de son mari, s’approche de l’enclos avec son plus jeune enfant dans les bras pour appeler les chevaux. « Canaly » est le seul à ne pas répondre. « De loin on a aperçu une masse couchée au sol. On a compris, confie-t-telle. Je ne voulais pas que mon petit voit cela. Nous sommes rentrés pour revenir plus tard. » L’attaque a eu lieu en plein après-midi. Deux heures avant la découverte du corps des riverains étaient passés devant l’enclos et se souviennent avoir vu les cinq chevaux.

    Lorsque la jeune femme revient voir la dépouille de « Canaly », accompagnée d’un vétérinaire, la scène d’horreur est insoutenable pour elle. Le cheval avait été attaché à un arbre : « Ils ont dû le tuer, puis l’ont émasculé. La peau avait été tirée puis découpé précisément. Les yeux avaient été arrachés. Il n’y avait aucun écoulement de sang. C’était chirurgical. Net. Sur ses antérieurs, il y avait de curieuses traces blanches et pâteuses sur ses antérieurs ainsi que sur le sol. Ils ont sans doute utilisé un produit anesthésique. »

    Une enquête de gendarmerie, menée au niveau local par la compagnie de Castelnau-le-Lez, est en cours. Pour l’instant aucune piste n’est évoquée. Des actes de torture comparables sur un cheval, réalisés avec autant de précision et de maîtrise, seraient une première. Regroupés au sein d’un collectif « Urgence Chevaux et milieu rural en danger », parrainé par Henri-Jean Servat, les propriétaires appellent à une coordination des enquêtes au sein d’une même cellule à compétence nationale. Ils regrettent notamment que la conduite locale des enquêtes diffère d’un département à l’autre, malgré des scènes de crime semblables.

    Depuis l’attaque du 17 novembre, les quatre autres chevaux ne restent plus dans leur enclos. « Je les ai mis dans la vigne devant chez moi, confie la propriétaire. On est au cœur du village. Tout le monde peut veiller dessus ». Mais chaque jour, la jeune femme ne peut s’empêcher de se rendre dans son pâturage et se recueillir devant le lieu où « Canaly » a été supplicié.

    Paris Match


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  • Le chauffeur a écopé d’une amende de 4.000 euros mais a pu repartir

    Drôle de surprise ce jeudi pour les gendarmes charentais. Ce jeudi à l’occasion d’une opération de contrôles routiers sur la RN10 dans le sens Angoulême- Poitiers, ils ont découvert dans un utilitaire 19 chiens entassés dans des cages. Le chauffeur de nationalité anglaise convoyait les animaux entre l’Espagne et l’Angleterre, explique Sud Ouest.

     

    Les gendarmes et une responsable du service de santé animale (DDCSPP) ont fait remarquer à cet homme qu’il manquait les papiers de cinq chiens, tous en bonne santé au moment du contrôle.

    Des suites judicaires à venir

    Face à ce trafic illégal caractérisé, le conducteur a dû payer une consigne de 4.000 euros pour repartir et avant de connaître les suites judiciaires de cette affaire. Les autorités anglaises ont été prévenues.

    20 Minutes


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  • Quelle pourriture d'humain a pu faire une chose pareille ? Là, j'ai bien pleuré !


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    Pauvre petit chien, j'en ai pleuré


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  •  L’Irlandais Kevin Thornton écopé de 12 mois de prison avec sursis et d’une interdiction définitive de détenir un animal

    Le 10 octobre 2016, Flogas Sunset Cruise, un étalon gris, était mort en pleine séance d’entraînement pendant une compétition de saut d’obstacles à l'hippodrome de Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes). Poussé à bout par son cavalier.

    Poursuivi pour acte de cruauté envers un animal domestique, l’Irlandais Kevin Thornton a été condamné à 12 mois de prison avec sursis par le tribunal judiciaire de Grasse, rapporte Nice-Matin ce jeudi. Le parquet n’avait requis que trois mois de sursis.

     

    20 Minutes

    12 mois avec sursis soit rien, une honte !


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