• La voiture blindée d’Emmanuel Macron en panne : l’incident fait jaser

    Emmanuel Macron semble rencontrer quelques problèmes à l'étranger avec son véhicule de fonction, une Renault Espace blindée. Après une panne en Pologne, le staff présidentiel a dû payer une lourde amende en Belgique comme le rapportent nos confrères du Point ce jeudi 17 décembre.

    Quand le véhicule présidentiel fait des siennes. Emmanuel Macron voyage en Renault Espace blindée lorsqu'il est à l'étranger. Un véhicule qui lui a causé quelques soucis ces derniers mois, comme le rapportent nos confrères du Point ce jeudi 17 décembre. En effet, la voiture présidentielle est tombée en panne en février dernier lors de la visite présidentielle du chef de l'Etat en Pologne. Mais ce n'est pas tout, le véhicule a encore fait parler de lui en octobre dernier à Bruxelles.

     

    En effet, le Renault Espace blindée a été bloqué à la frontière par la police belge. Le véhicule présidentiel n'avait en effet pas de vignette Crit'Air. Uu oubli de l'équipe d'Emmanuel Macron qui a couté 150 euros d'amende. Cette dernière aurait pu être plus élevée si le Renault Espace blindée avait été contrôlé en ville. Il aurait alors fallu débourser la somme de 350 euros.

    Avant l'amende, la panne !

    En février dernier, le chef de l'Etat était reçu par son homologue Andrzej Duda à Varsovie. Si la rencontre au palais présidentiel s'est déroulée au mieux, le départ a été quelque peu perturbé. Le Renault Espace blindée, encore lui, a refusé de démarrer, laissant le staff présidentiel complètement désemparé. La solution de secours est venue de l'ambassadeur Français en Pologne. Ce dernier a, de toute urgence, prêtée au président de la République un autre véhicule, une Citroën C6. Pas le choix, la voiture n'était pas blindée, mais Emmanuel Macron n'allait tout de même pas rentrer à pied...

    GALA


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  • Dans la gestion de l'épidémie de Covid-19 et face aux violences policières, il semblerait qu'Emmanuel Macron prenne les décisions seul, sans consulter les ministres concernés au préalable, révèle L'Opinion dans son numéro paru ce vendredi 11 décembre.

    Emmanuel Macron aurait-il décidé de la jouer solitaire ? En cette fin d'année 2020, des dossiers brûlants sont entre les mains du gouvernement, à commencer par l'épidémie de coronavirus et la multiplication des violences policières qui ne cessent de susciter la polémique. Face à ces crises sanitaire et sociale, le président de la République prend les devants, quitte à laisser ses ministres sur le banc de touche.

     

    Ce mardi 8 décembre, le pensionnaire de l'Élysée a annoncé la tenue d'un "Beauvau de la sécurité" sur une réforme de la police, pour "améliorer les conditions d'exercice" des forces de l'ordre et "consolider" le lien de confiance avec les Français, a-t-il écrit dans une lettre citée par l'Agence France-Presse. "J'y interviendrai personnellement", a-t-il précisé, au sujet de cette concertation qui rassemblera des représentants des forces de l'ordre, des élus et des citoyens. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, a été totalement exclu de cette décision, comme le souligne L'Opinion paru ce vendredi 11 décembre. "C’est un peu une façon de dire à Darmanin, après le fiasco de l’article 24 : je décide, tu exécutes", réagit un conseiller de l'exécutif interrogé par nos confrères. "Il n'a pas à reprendre en main ses ministres car c'est lui qui décide de la politique gouvernementale. Les ministres ne font qu'appliquer ce que décide le président de la République", a d'ailleurs souligné le locataire de la place Beauvau, ce jeudi 10 décembre sur franceinfo.

    Jean Castex et Olivier Véran mis à l'écart

    Ce n'est pas la première fois que l'époux de Brigitte Macron écarte ses ministres pour prendre des décisions. Le mardi 24 novembre, Emmanuel Macron appelait lors de son allocution sur le déconfinement progressif, les parlementaires à établir les "conditions pour assurer l'isolement" des cas Covid. "Nous devons être plus contraignants à l'égard de celles et ceux qui ont le virus", martelait-il. Selon L'Opinion, le Premier ministre Jean Castex et le ministre de la Santé Olivier Véran n'avaient pas été mis au courant de cet "appel". Cité par le journal, un des proches d'Emmanuel Macron révèle : "La plupart du temps, Macron ne tranche pas pendant les réunions. Mais il décide après, une fois seul, dans sa tête, et il communique."

    "Le Président est très seul"

    Au printemps dernier déjà, Emmanuel Macron avait déclenché la colère de plusieurs membres du gouvernement, toujours d'après L'Opinion qui publiait un article sur le sujet le vendredi 29 mai. En effet, la plupart des ministres n'avaient appris que quelques minutes avant le discours du président de la République, la date du déconfinement, indiquait L'Obs. Un macroniste déclarait auprès du quotidien : "Tous les cercles de pouvoir, à commencer par Matignon, ont tout fait pour relativiser la date du 11 mai, le Président était très seul."

    GALA

    macaron décide tout seul, c'est pourquoi ça va si mal en France !


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  • Dans son livre "Président cambrioleur" (Éd. Fayard), Corinne Lhaïk a raconté une prédiction macabre qu'avait fait Bernard Tapie à Emmanuel Macron, lors d'une rencontre à l'Élysée. Invitée ce mercredi 9 décembre dans TPMP, la journaliste de L'Opinion est revenue sur cette surprenante anecdote.

    "Président, vous allez vous faire buter à la Kennedy. Cette phrase, pour le moins directe, aurait été prononcée par Bernard Tapie. Au printemps dernier, l'ex-président de l'Olympique de Marseille, qui n'a pas toujours entretenu de bons rapports avec Emmanuel Macron, a été invité à l'Élysée pour donner son avis sur le président en place. Comme l'a rapporté Corinne Lhaïk dans son livre Président cambrioleur (Éd. Fayard), le chef de l'État a cette fois décidé d'écouter "l'instinct de l'aventurier." Lors de cette entrevue, l'ancien homme d'affaires aurait mis en garde l'époux de Brigitte Macron : "Il y a dans ce pays dix mille mecs qui se suicident chaque année, il y en a bien un qui le fera en vous tuant", aurait-il déclaré, selon des propos rapportés par la journaliste. Alors qu'elle était invitée de TPMP ce mercredi 9 décembre, l'auteure de cet ouvrage est justement revenue sur cette macabre prédiction.

    "Emmanuel Macron a renoué avec Bernard Tapie, alors qu'il ne voulait pas le voir pendant longtemps. Tapie va le voir à l'Élysée, Macron lui dit 'c'est quoi mon problème ?'. Et Tapie, qui a eu une manière de parler, il a peur - et il a raison d'avoir peur parce que les flics disent la même chose - que Macron soit assassiné. Parce que Macron déclenche beaucoup de haine, au point que certaines personnes pourraient avoir envie de le buter, comme dit Tapie, au sens propre du terme", a expliqué Corinne Lhaïk. Et d'ajouter : "Tapie a alerté Macron là-dessus, mais Macron le sait, parce que les flics ont exactement les mêmes informations, c'est-à-dire qu'il y a un risque d'attentat contre ce président", a-t-elle souligné.

    Brigitte Macron inquiète pour son mari

    "Il est inquiet de ça ? Il paraît que c'est surtout Brigitte qui a très peur de ça", a commenté Cyril Hanouna. La journaliste de L'Opinion, qui a enquêté plusieurs années sur le président de la République, a expliqué qu'il mettait "beaucoup de distance" par rapport aux menaces dont il faisait l'objet "Peut-être qu'au fond de lui, il l'est, mais il manifeste beaucoup de distance par rapport à ça. Il pense que ce n'est pas lui qui est attaqué, mais que c'est la fonction présidentielle", a-t-elle analysé.

    Début novembre, Le Parisien rapportait que "les gardes du corps du chef de l'État sont sur les nerfs". Et pour cause : le locataire de l'Élysée aurait reçu "des menaces de mort par milliers", selon son entourage. Dans le même temps, le JDD affirmait que le niveau de menaces visant Emmanuel Macron "n'a jamais été aussi élevé." Une situation qui, naturellement, inquiète la Première dame. En décembre 2019, Brigitte Macron faisait déjà part à Carla Bruni de ses craintes quant aux menaces proférées à l'encontre de son époux..

    GALA


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  • MACRON VEUT HONORER "300 À 500 NOMS" DE PERSONNALITÉS NOIRES OU ARABES DANS L'ESPACE PUBLIC

    Lors d'un entretien accordé ce vendredi à Brut, Emmanuel Macron a lancé un appel à contribution pour constituer, d'ici mars, un répertoire de personnalités historiques noires ou arabes. Il s'agirait d'y puiser pour rebaptiser certaines rues ou dresser de nouvelles statues.
     

    Interviewé par le média en ligne Brut ce vendredi, Emmanuel Macron a évoqué la question de l'intégration au sein de la population française. Il a souligné la nécessité d'un travail historique pour la faciliter et a rappelé que l'historien Benjamin Stora s'apprêtait à lui remettre un rapport sur la mémoire de la guerre d'Algérie.

    Il a aussi encouragé la population et les universitaires à soumettre "300 à 500" noms de personnalités historiques noires ou arabes d'ici mars 2021, afin de baptiser des artères d'après eux ou édifier en leur honneur des statues dans l'espace public.

    "Je ne crois pas à la cancel culture"

    La contestation de la représentation de certains pans de l'histoire de France dans l'espace public avait été vive l'été dernier. Certains militants avaient ainsi demandé, par exemple, le retrait des références au maréchal Bugeaud dans les noms de rues, ou tagué la statue de Colbert près de l'Assemblée nationale. "On m'a parfois traité de 'brute épaisse' parce que j'étais contre le déboulonnage de statues. Je ne crois pas à la cancel culture, je ne crois pas à l’effacement de ce qu’on est", a-t-il contré. Il a alors pointé dans une autre direction:

    "Mais il y a toute une part de notre histoire collective qui n’est pas représentée, il y a toute une part de notre histoire qui parle à notre jeunesse qui est noire, venant d’Afrique ou ultra-marine ou maghrébine et qui a ses héros."

    Des propositions attendues "d'ici mars"

    Assurant que ce n'était pas à lui de citer les héros en question, donnant tout de même en exemple le général Dumas (général de la révolution et père de l'écrivain Alexandre Dumas), il a poursuivi:

    "Ce que je voudrais, c’est que justement les historiens et ceux qui se retrouvent dans ces histoires fragmentées, puissent les choisir. J’aimerais qu’il y ait une forme d’appel à la contribution collective. Et qu’on ait 300 à 500 noms et qu’on ait ce catalogue d’ici à mars et qu’on en fasse des noms, des statues. Notre histoire est la conjugaison de toutes ces histoires."
    BFM.TV
    macron est devenu plus que fou !

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  • Emmanuel Macron exclut une réouverture rapide des discothèques, maintenues fermées depuis le premier confinement, a réitéré le président lors d'un échange sur Snapchat avec des jeunes diffusé samedi par Brut.

     

    "On le fera au plus vite, mais tant que le virus circule de manière un peu intense, ce serait de la folie de faire ça. Je vous le dis très sincèrement", a lancé le chef de l'Etat à un jeune homme qui l'interpellait sur le monde de la nuit selon lui "en train de tomber en ruines".

    "Je sais le sacrifice qu'on vous demande et à quel point c'est dur", lui répond Emmanuel Macron, mais "ce que l'on sait de ce virus, c'est qu'il se diffuse beaucoup quand on est dans des lieux fermés, proches les uns des autres, et qu'on chante, on parle fort, on mange, on fait des efforts, ... La boîte de nuit, quand on a dit tout ça, c'est pas le meilleur endroit."

    "Cela va durer, je ne vais pas vous mentir, encore quelques smeaines, voire quelques mois", conclut-il dans cet échange enregistré en marge de l'interview-fleuve d'Emmanuel Macron par Brut vendredi.

    Les restaurants, mais pas les bars et discothèques, pourront rouvrir à partir du 20 janvier à la condition expresse que "la période des fêtes de fin d'année ne (se soit) pas traduite par un rebond de l'épidémie", avait expliqué fin novembre le Premier ministre Jean Castex.

    L'État va prendre en charge le coût de dix jours de congés payés pour "les entreprises les plus lourdement impactées par la crise sanitaire", de divers secteurs tels que l'hôtellerie, la restauration, l'événementiel, les discothèques ou encore les salles de sport, a annoncé mercredi soir le ministère du Travail.

    Le Point


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  • Manu et sa vieille !

     

    Bonne soirée


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  • Dernier de La Saga des Macrons : Macron et les visiteurs !!!

    Compte rendu de l 'Allocution présidentiel du 24 /02/2020 : Macron le Putois (on l‘appelle comme ça parce qu‘à chaque fois qu’il prend une décision elle nous pête à la gueule) est devenu maitre dans l'art de diviser pour mieux régner .

    Si tu es restaurateur dans le cul lulu

    si tu es musicien dans le cul lulu

    si tu tiens un bar dans le cul lulu

    si tu travailles dans une une station de ski dans le cul lulu

    par contre dans le métro blindé no problemo

    les cantines scolaires blindées no problemo

    les tgv et les gares bondées no problèmo

    les supermarchés archi bondés no problemo.

    le plus plus drôle c’ est pour les lieux de cultes : pas plus de trente personnes même dans les cathédrales .On en rit encore !!!!

    Une seule certitude mensonge et incohérence les deux mamelles de la Macronie.

    Il nous a promis une Vie de merde et il confirme et nous garantie : Un NOEL de MERDE !!!

    ps: On attend avec impatience le 1er de l ‘an de Merde ….


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  • « Gérald Darmanin ne faisait pas le coq » : Emmanuel Macron a tapé du poing sur la table

    Convoqué à l'Elysée par Emmanuel Macron pour évoquer le fiasco de l'article 24 de la loi "sécurité globale" Gérald Darmanin est resté silencieux face au président. Ce dernier, particulièrement énervé contre son ministre de l'intérieur, a remis les pendules à l'heure.

    Sous le feu des critiques depuis plusieurs jours en raison de la levée de bouclier contre la loi "sécurité globale", et surtout son article 24 qui prévoit de pénaliser la diffusion d’images d'un policier réalisée "dans le but qu'il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique", Gérard Darmanin est dans ses petits souliers. Face à l'ampleur de la crise, le président de la République a convoqué son ministre à l'Elysée pour un recadrage. Et selon plusieurs témoins cités par le journal L'Opinion, le ministre de l'intérieur s'est senti tout petit face au courroux d'Emmanuel Macron. "Il ne faisait pas le coq", a notamment déclaré l'un d'entre eux. "La situation dans laquelle vous m’avez mise aurait pu être évitée", a ensuite directement attaqué le président, cité dans le Monde.

    Lors de cette réunion, à laquelle ont également assisté Jean Castex, le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot et les présidents des groupes de la majorité à l'Assemblée, Emmanuel Macron a tapé du poing sur la table. Surpris de voir à quel point la situation avait dégénéré, il a sommé ses ministres de trouver une solution. Face à lui, Gérald Darmanin était "sur la défensive", avance l'Opinion. Le président de la République, las d'entendre l’ancien maire de Tourcoing dire que la contestation était avant tout parisienne, l'a remis en place. "Ceux qui pensent que c'est un épiphénomène cantonné à la presse parisienne se trompent", a assené le chef de l'État.

    La réticence dans son propre camp

    Face à la polémique, la proposition de loi sécurité globale a été suspendue dans sa forme actuelle le 30 novembre et l'article 24 doit être complètement réécrit. Un camouflet pour Gérald Darmanin, mais un soulagement dans les rangs de la majorité. Eric Dupond-Moretti lui-même avait ouvertement exprimé ses réserves à l'antenne de BFMTV le 22 novembre. "Le droit pénal est d'interprétation stricte, et on ne peut pas poursuivre en droit pénal français des gens pour une intention, mais pour un acte ou pour un fait. Ça fait partie des choses que j'ai dites et que j'ai transmises.", avait alors déclaré le garde des Sceaux.

    GALA


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  • Emmanuel Macron, "pire président qu'ait connu la France" et "ignare", écrit le maire de Montargis

    Le maire de Montargis a franchi un cap ce mardi après l'allocution du président de la République. Très critique sur la gestion de la crise sanitaire et au sujet des restaurateurs, Benoît Digeon (LR) a qualifié Emmanuel Macron d'"ignare" et de "pire président qu'ait connu la France", sur Facebook.

    Depuis plusieurs mois, le maire de Montargis, dans le Loiret, ne cache pas ses critiques , parfois virulentes, contre l'exécutif dans la gestion de l'épidémie de Covid-19. Cette fois, juste après l'allocution du chef de l'état annonçant les trois phases du déconfinement, Benoît Digeon va très loin, sur sa page Facebook, en qualifiant Emmanuel Macron de "pire président qu'ait connu la France".

    "Un ignare, indigne, inexpérimenté"

    Pas du tout d'accord avec la décision du chef de l'Etat de laisser les cafés et restaurants fermés au moins jusqu'au 20 janvier 2021le maire (LR) de Montargis porte même des attaques plus personnelles : "les chefs de cuisine sont sacrifiés par un ignare (...). Macron est indigne, inexpérimenté, sans connaissance des vrais problèmes de société".

    "Noël est gâché"

    Pour Benoît Digeon, même si les familles pourront se déplacer pour les fêtes de fin d'année, comme l'a annoncé le président de la république, "Noël est gâché" malgré tout par cette décision.

     


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  • Voici qui était le premier amour d'Emmanuel Macron

    Comme vous le savez sans doute déjà, Emmanuel Macron a rencontré Brigitte Auzière quand il n'avait que 15 ans. Il était au lycée et suivait des cours de théâtre. Brigitte Auzière, alors mariée à un banquier, est la professeure. Entre les deux protagonistes, c'est le coup de foudre, malgré les vingt-quatre ans qui les séparent !

     

    Ils finiront par se marier en 2007, le 20 octobre, à l'hôtel de Ville du Touquet. Malgré cette belle et longue histoire d'amour, Emmanuel Macron, qui était encore adolescent lorsqu'il est tombé sous le charme de celle qui deviendra sa femme, avait connu un béguin auparavant. Le premier amour d'Emmanuel Macron se prénommait Anne-Laure.

    C'est Vanity Fair qui vient de faire cette révélation dans un article sur le destin croisé du président de la République et de Najat Vallaud-Belkacem, qui sont nés dans la même ville, Amiens, la même année, en 1977. "À l’adolescence, Emmanuel tombe amoureux. Elle s’appelle Anne-Laure. Elle est juive. Il a des gestes romantiques et lui écrit de belles lettres", écrit ainsi le magazine.

    Un amour qui lui causera un accident...

    Une anecdote étonnante concernant Emmanuel Macron est également rappelée dans cet article : le jeune homme d'alors a été renversé par une voiture en sortant de cette Anne-Laure. "Un jour, il sort de chez elle, la tête dans les nuages. Une voiture le percute ; il n’a rien vu venir. Il en ferait, des bêtises ? Est-il à ce point dans son propre spectacle, enchanté ?", est-il écrit.

    Quelques mois plus tard, il rencontrera donc Brigitte, qui est aujourd'hui Première dame. Une histoire d'amour polémique. Même la mère d'Emmanuel Macron a avoué avoir voulu faire séparer son fils de Brigitte

    Oh My Mag


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  • Brigitte et Emmanuel Macron : cet anniversaire qu'ils ne pouvaient pas manquer, malgré les graves menaces...

    C'est un village de 700 habitants où le général de Gaulle aimait passer ses vacances et où il a vécu la fin de sa vie après son départ de l'Elysée, qu'Emmanuel Macron a visité ce 9 novembre. Pour marquer les 50 ans de la mort de l'homme du 18 juin, le président de la République a quitté l'Elysée avec sa femme , Brigitte.

    Hommage à Charles de Gaulle

    En raison de l'actuelle crise sanitaire du Covid-19 ainsi que du confinement, la cérémonie anniversaire a été célébrée avec sobriété, sans public, "en présence seulement d'une trentaine de personnes, dont des membres de la famille de Gaulle" rapporte France Info.

    Souriant, derrière son masque de protection, le chef de l’État a déposé une gerbe sur la tombe de Charles de Gaulle. Avec la première dame, ils ont également admiré une démonstration de la patrouille de France, qui a survolé la Croix de Lorraine.

    Si il n'a pas fait de discours sur place, Emmanuel Macron a par ailleurs partagé une vidéo retraçant le destin du Général, sur Instagram. Il a écrit à propos du héros de la seconde guerre mondiale : "Résilience et volonté. Cet esprit fut incarné par Charles de Gaulle, engagé pour la France dans les moments de douleurs comme dans ceux de gloires. Cet esprit est un héritage, celui de la France".

    Des mots qui raisonnent forcément dans un contexte pour le moins tendu à l'Elysée... Et pour cause, selon une information du Journal du dimanche, "le niveau de menace visant Emmanuel Macron n'a jamais été aussi élevé ". On apprend en effet que "les signalements Pharos explosent", comme on le rapporte le ministère de l'intérieur, citant notamment "des montages montrant le chef de l’État brulé ou décapité".

    La sécurité du président renforcée

    C'est pourquoi, à chaque déplacement d'Emmanuel Macron (comme celui d'aujourd'hui), "sa sécurité a été renforcée" expliquent nos confrères. Et de signaler toutefois : "l'Elysée ne souhaite pas commenter le dispositif autour du Président".

    Public

    On ne se fait pas de soucis pour le psychopathe et sa vieille ! Leur protection doit coûter pas mal de pognon aux français !


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  • Emmanuel Macron en danger ? Sa sécurité a été renforcée

    Le président de la République est la cible de nombreuses menaces de mort depuis qu'il a défendu le droit à la caricature. Sa sécurité a donc été renforcée.

    Le mandat présidentiel d’Emmanuel Macron n’est pas de tout repos. Entre la crise des gilets jaunes, la pandémie de coronavirus et les différentes attaques terroristes qui sévissent en France, le président de la République est sur tous les fronts. Par ailleurs, depuis son hommage national à Samuel Paty, le professeur d’histoire, mort décapité pour avoir montré des caricatures à ses élèves, Emmanuel Macron est la cible de nombreuses menaces de mort.

     

    Selon une information du ministère de l’Intérieur, relayée par le JDD, ce dimanche 8 novembre, le niveau de menaces visant Emmanuel Macron "n’a jamais été aussi élevé". Le gouvernement reçoit des montages "montrant le chef de l’État brûlé ou décapité." Le groupe djihadiste Al-Qaïda au Maghreb islamique a, quant à lui, menacé de se venger d’Emmanuel Macron, qui a défendu la liberté d’expression et le droit à la caricature. Pour le moment, "l’Élysée ne souhaite pas commenter le dispositif autour du Président", mais il est évident que sa sécurité a été renforcée.

    Le niveau de menaces "n’a jamais été aussi élevé"

    Malgré ces menaces qui planent au-dessus de lui, Emmanuel Macron n’a pas l’intention de se laisser impressionner et compte bien répondre à ses obligations. Les prochains jours s’annoncent chargés pour le chef de l’État. Ce lundi 9 novembre, il se rendra à Colombey-les-Deux-Eglises (Haute-Marne) afin de commémorer le 50e anniversaire de la mort de Charles de Gaulle. Ce mercredi 11 novembre, il est également attendu, comme chaque année depuis son mandat, à l'Arc de Triomphe, pour commémorer l’Armistice de 1918 et déposer une gerbe sur la tombe du Soldat inconnu.

    GALA


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  • "Ils procrastinent" : les ministres d'Emmanuel Macron pointés du doigt sur la gestion de la crise

    Ce lundi 9 novembre, Olivier Faure était l'invité politique d'Adrien Gindre sur LCI. Alors qu'il évoquait la crise sanitaire, le Premier secrétaire du Parti Socialiste a reproché à Emmanuel Macron de décider "seul", contraignant les ministres du gouvernement à "procrastiner". Explications.

    Le gouvernement continue d'en prendre pour son grade. Depuis le début de la crise sanitaire, les critiques fusent de toutes parts. Députés de l'opposition, artistes ou encore chefs cuisiniers, ils sont nombreux à avoir fait entendre leurs voix et attaqué le président ou le Premier ministre pour leurs récentes prises de position ou décisions. Invité à l'antenne de LCI ce lundi 9 novembre, Olivier Faure a également exprimé son point de vue au sujet de la gestion de la crise par le gouvernement. Et le premier secrétaire du Parti Socialiste n'a pas mâché ses mots : "C'est tout le problème de la gestion très opaque de cette crise du coronavirus, c'est qu'on a un président qui décide tout seul et voilà pourquoi vous avez cette désorganisation de l'État."

    Olivier Faure a donc estimé que le président de la République agissait dans son coin et que, par conséquent, ses ministres étaient contraints de "procrastiner" : "Vous avez un Premier ministre qui, lui-même, ne sait pas quelles sont les décisions qui vont être prises. Il y a des ministres qui ne savent pas quelles vont être les orientations qui vont être décidées et donc ils procrastinent, ils attendent au fur et à mesure les décisions qui ne viennent pas. À partir de là, toute la chaîne derrière est complètement paralysée", a estimé le député sur LCI.

    "Cette gouvernance là est la plus mauvaise qui soit en période de crise"

    Le premier secrétaire du Parti Socialiste est allé plus loin, en affirmant que certaines décisions prises par le gouvernement étaient "improvisées" selon lui : "C'est la raison pour laquelle cette gouvernance là est la plus mauvaise qui soit en période de crise", a-t-il déclaré face à Adrien Gindre. Olivier Faure a également reproché au gouvernement de ne pas avoir suffisamment réagi entre le déconfinement et la deuxième vague.

    "Entre le mois de mai et le mois de novembre, combien y a-t-il de mois ? Il y a six mois. Qu'a-t-il fait pendant ces six mois ? (...) La première vague, c'était le problème des masques, là c'est la problème des lits, c'est le problème de l'ensemble des protocoles qui ne sont pas encore transmis aux enseignants et à leur direction. Je vois que pendant six mois, malheureusement, rien n'a été fait à la hauteur de ce qui aurait dû être fait", a-t-il déploré. Le message est passé.

    GALA


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