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  • Brigitte Macron : en colère, son neveu pousse un coup de gueule

    Brigitte Macron : en colère, son neveu pousse un coup de gueule

    Jean-Alexandre Trogneux, le neveu de Brigitte Macron, est en colère. Président de l'association Les Macarons d’Amiens, il a tout récemment adressé une lettre à Stéphane Haussoulier, le président du département de la Somme, pour se plaindre d'une décision de ce dernier.

    Les plus renseignés le savent : Brigitte Macron vient d'une famille très influente à Amiens. Son neveu, Jean-Alexandre Trogneux, est à la tête d'une des plus célèbres boutiques de chocolats et confiseries de la ville. Chaque année, il vendrait près de deux millions de macarons dans toute la France. Mais les temps sont durs pour le commerçant qui, comme tout le monde, a subi de plein fouet l'épidémie de Covid-19Ce dernier vient d'ailleurs d'être victime d'une nouvelle déconvenue. En effet le Conseil départemental de la Somme a souhaité faire plaisir à ses 2 700 agents en leur offrant des macarons. Sauf que ces friandises ont été confectionnées à Cambrai dans le Nord, et non au sein même du département, comme le rapportent nos confrères de Capital.

    Il n'en fallait pas plus pour provoquer la colère de l’association Les Macarons d’Amiens, présidée par Jean-Alexandre Trogneux, qui a fait part de sa colère et de son incompréhension dans une lettre adressée au président du département. Le neveu de la première dame y témoigne de sa "surprise" de trouver des macarons produits dans le département du Nord. Des friandises fabriquées, selon lui, "avec peu de respect des critères qualitatifs de notre cahier des charges". Il précise également espérer "qu’il ne s’agisse que d’une maladresse pour le représentant du pays de Somme" et s’est dit "curieux de connaître les raisons d’un tel choix".

    Le président de la Somme répond au neveu de Brigitte Macron

    Cette lettre n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd puisque Stéphane Haussoulier, le président du département, a choisi d'y répondre en personne. Il a ainsi expliqué que le choix de son fournisseur s'était fait dans les règles, l'appel d'offres ayant été lancé le 5 octobre dernier pour une durée d'un mois. Or, "aucun commerçant de la Somme" ne se serait positionné. Il n'y aurait donc aucun acharnement contre le clan Trogneux, qui ne s'est tout bonnement pas manifesté au moment de la décision.

    Il n'y a "pas d'attaques contre la famille Trogneux" assure le président de la collectivité, tout en précisant que le département était soumis à des règles, et qu'une provenance locale ne pouvait être imposée. Un gros manque à gagner pour le neveu de Brigitte Macron, qui lutte tant bien que mal pour préserver de la faillite l'entreprise familiale fondée en 1872.

    Voici


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  • « Ils n'auront pas le scalp d’Eric Dupond-Moretti » : Emmanuel Macron le soutient

    Visé par une plainte pour "prise illégale d'intérêts" déposée par deux syndicats de magistrats, Éric Dupond-Moretti devrait être auditionné prochainement. Malgré l'ouverture d'une information judiciaire, le Garde des Sceaux peut compter sur le soutien précieux d'Emmanuel Macron, comme le rapporte L'Opinion.

    Bien qu'il ait un côté solitaire et qu'il n'accorde pas sa confiance facilement, Emmanuel Macron n'hésite pas à soutenir ses troupes dans la tempête. Après être monté au créneau pour défendre Jean Castex dans la tourmente, le président de la République soutient désormais Éric Dupond-Moretti, nouveau ministre de la Justice, qui connaît actuellement quelques différends avec plusieurs syndicats de magistrats. Visé par une plainte pour "prise illégale d'intérêts" déposée par l'Union syndicale des magistrats et le Syndicat de la magistrature, le compagnon d'Isabelle Boulay devrait être auditionné "dans les prochaines semaines", rapporte L'Opinion ce mercredi 27 janvier. Malgré l'ouverture d'une information judiciaire, Emmanuel Macron ne songerait pas à sa démission"Le Garde des Sceaux a le soutien du président qui ne le lâchera pas", assure-t-on dans les couloirs du pouvoir.

     

    La position d'Emmanuel Macron est claire. En tant que chef de l'État, il se dit prêt à défendre les intérêts de son ministre de la Justicenommé en juillet 2020"Pas question que les juges fassent leur loi, ils n'auront pas ce scalp", prévient l'exécutif dans les pages de L'Opinion. Si le président de la République est aussi concerné par cette affaire, c'est parce qu'il n'aurait toujours "pas digéré" que les magistrats, en particulier la présidente de l'Union syndicale des magistrats Céline Parisot, compare la nomination au gouvernement de l'ancien ténor du barreau à une "déclaration de guerre." Emmanuel Macron assume ses choix, dont celui d'Éric Dupond-Moretti. "En temps normal, le président apprécie peu de se voir imposer quoique ce soit", souligne un membre de l'exécutif. En agissant ainsi, le locataire de l'Élysée veut sans doute montrer aux magistrats qu'il n'entend pas céder à la pression.

    Éric Dupond-Moretti convainc au sein de la majorité

    Sauf que si Éric Dupond-Moretti est mis en examen, les cartes seront sans doute redistribuées. "Conserver un Garde des Sceaux mis en examen dans une affaire l'opposant à des magistrats, cela paraît délirant et intenable", reconnaît un parlementaire LREM. Pour l'heure en tout cas, la majorité est "derrière lui". "Il a un bon contact avec les députés. Il occupe bien la fonction et réussit à faire bouger les lignes. On a envie de le garder !", affirme la députée LREM Yaël Braun-Pivet. Si sa nomination au gouvernement n'a pas toujours fait l'unanimité, Éric Dupond-Moretti est finalement parvenu à imposer son style dans les rangs de l'Assemblée. Jusqu'à quand ?

    GALA

    Pas surprise qu'un truand soutienne un autre truand !


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  • Je la remets, car toujours valable  !


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  • "Déçu", "sans déconner", "arnaqués" : Brigitte Macron désappointe sur TF1

    Dans le Grand Concours des Animateurs, diffusé ce vendredi 22 janvier sur TF1, Brigitte Macron et Didier Deschamps ont fait une rapide apparition à l’antenne, provoquant la déception de nombreux téléspectateurs.

    TF1 a diffusé un nouveau numéro du Grand Concours des Animateurs, ce vendredi 22 janvier au soir. L’émission a été organisée en faveur de l’Opération Pièces Jaunes, campagne de solidarité parrainée par Didier Deschamps et menée par la Fondation Hôpitaux de Paris et de France, présidée par Brigitte Macron. La Première dame et le sélectionneur de l’équipe de France étaient donc naturellement présents sur le plateau de l’émission de la Une.

     

    Arthur, Denis Brogniart, Karine Ferri ou encore Iris Mittenaere ont participé à la fameuse compétition télévisée de culture générale. Malgré tout, les téléspectateurs n’ont pas vraiment été satisfaits et cela concerne la présence de Brigitte Macron. Cette dernière n’est en effet pas restée longtemps à l’écran et n’a pas participé au jeu en se prêtant à une série de questions, posées par Alessandra Sublet. Tout comme Didier Deschamps, d’ailleurs. Sur les réseaux sociaux, nombreux étaient les internautes qui ont fait part de leur immense déception.

    "Elle est restée 5 secondes"

    "Je pensais que D. Deschamps et B. Macron allaient jouer ce soir, je trouvais l’idée incroyable ! Mais non, intro et adios… Je suis déçu", "Euh, elle est passée où Macron ? Je croyais qu’elle participait moi… C’est bidon, je me barre", "Ah, mais elle ne joue pas Brigitte Macron ? Trop nul", "Je vois que TF1 nous a arnaqués avec la participation de Brigitte Macron" ,"J’ai cru que Brigitte allait jouer sans déconner, c’est pour ça que j’ai mis la télé", "Je zappe, j’ai mis la télé seulement pour voir Macron répondre à toutes les questions et humilier les autres. Elle est restée 5 secondes, c’est quoi cette arnaque ?", ont réagi quelques utilisateurs de Twitter. De plus, sur le réseau social, certains en ont profité pour ouvertement dévoiler leur regret face à l’animation assurée par Alessandra Sublet, remplaçant ainsi Carole Rousseau.

    GALA


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  • Trois nouveaux suspects ont été mis en examen vendredi à Paris dans l'enquête sur les "Barjols", un groupe proche de l'extrême-droite identitaire soupçonné d'avoir envisagé une action violente contre Emmanuel Macron en 2018, a appris l'AFP samedi auprès du parquet antiterroriste.

    Ces trois personnes ont été mises en examen pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle", et laissées libres sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet national antiterroriste (Pnat), a précisé ce dernier.

    Les suspects, ainsi qu'une quatrième personne relâchée sans poursuite à ce stade, avaient été interpellés mercredi en Haute-Saône, en Meurthe-et-Moselle et dans le Morbihan par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), à la demande du juge antiterroriste chargé de l'enquête. "Au moins un d'entre eux est ancré dans la mouvance d'ultradroite, voire nazie", a expliqué jeudi à l'AFP une source proche de l'enquête. "Pas mal d'armes (...), certaines détenues légalement, d'autres a priori pas" ont également été retrouvées lors de ces interpellations, avait ajouté cette source.

    12 personnes sont désormais mises en examen

    Au total, au moins 12 personnes sont désormais mises en examen dans ce dossier, selon un décompte de l'AFP. L'information judiciaire avait été ouverte peu après l'arrestation le 6 novembre 2018 de six sympathisants de l'extrême droite radicale, en contact pour la plupart via une page Facebook identitaire intitulée "Les Barjols".

    Les enquêteurs s'étaient décidés à intervenir après avoir appris qu'un des administrateurs du groupe, Jean-Pierre Bouyer, un retraité isérois, s'était déplacé dans l'est de la France où Emmanuel Macron se trouvait pour son périple mémoriel sur le centenaire de la fin de la Grande Guerre. Dans une conversation interceptée par les policiers, ce retraité avait évoqué l'idée de s'en prendre au chef de l'Etat avec un couteau en céramique, non détectable aux contrôles de sécurité.

    "Il semble que le président de la République était pour eux une cible potentielle, même si le projet n'était pas abouti", avait indiqué en 2018 Laurent Nuñez, alors secrétaire d'État à l'Intérieur. "C'est un dossier d'opportunité gonflé par les services" qui "ont surinterprété des propos incendiaires de gens révoltés mais qui n'avaient aucune réelle intention de projeter un attentat contre le président", avait déclaré début octobre à l'AFP un avocat de la défense.

    Paris Match


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  • Brigitte Macron : ce proche de son mari qui avait tenté de l’évincer bientôt de retour ?

    Alors qu'il avait démissionné de ses fonctions de conseiller spécial en mars 2019, Ismaël Emelien, l'un des "Mormons" de la Macronie, pourrait bien revenir sur le devant de la scène politique, en vue de l'élection présidentielle de 2022. Brigitte Macron, qui a un passif avec lui, va devoir faire avec.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrites/brigitte-macron-ce-proche-de-son-mari-qui-avait-tent%C3%A9-de-l-%C3%A9vincer-bient%C3%B4t-de-retour/ar-BB1cIeij?ocid=msedgntp


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  • Emmanuel Macron et Brigitte très dépensiers ? Cette somme astronomique dépensée en 2020 !

    Certaines personnes ne connaissent pas la crise. Et Brigitte Macron et son époux ne sont pas en reste. Le couple présidentiel accorde une importance particulière à la décoration de l’Élysée… À tel point que les deux tourtereaux ont fait exploser tous les compteurs en 2020.

    600 000 euros dépensés pour... des fleurs

    En effet, le média Politis révèle que le budget fleurs pour l’année 2020 a dépassé les 600 000 euros. Non, vous ne rêvez pas. La facture a été dévoilée par le média français il y a quelques jours. On apprend qu’Emmanuel Macron a dépensé 20 000 euros en plantes vertes, 20 000 euros d’orchidées, et ce n’est pas tout.

     

    32 000 euros de feuillages ont été dépensés ainsi que 400 000 euros de fleurs coupées, destinées à composer des bouquets présents dans tout l’Élysée. La facture, très salée a dû faire grincer des dents le Président de la République, qui ne s’attendait certainement pas à ce qu’une telle somme parte dans des fleurs.

    Des dépenses jugées "superficielles"

    Autrefois, Jacques Chirac dépensait en moyenne 450 000 euros par an dans des fleurs. Un chiffre impressionnant, quand on sait que ses camarades Nicolas Sarkozy et François Hollande avaient dépensé 144 000 euros en 2011 et 130 000 euros en 2015, comme le révèle nos confrères de Voici.

    Les dépenses d’Emmanuel Macron dépassent tout entendement. Avec les confinements successifs, le président de la République n’a pourtant pas reçu à l’Élysée. L’opinion publique se demande donc comment le mari de Brigitte Trogneux a-t-il pu dépenser autant pour des fleurs.

    Il y a quelques mois, déjà, Emmanuel Macron faisait polémique en dévoilant que . Une énorme somme qui avait fait polémique. Que vont donc penser les Français lorsqu’ils découvriront l’étonnant budget consacré uniquement aux fleurs ?

    Oh My Mag


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  • Macron à Jarnac : "Il essaie de capter tous les héritages qui peuvent rapporter gros"

    Après des hommages à Charles de Gaulle, Jacques Chirac ou encore Valéry Giscard d'Estaing, Emmanuel Macron se rend à Jarnac en Charente pour honorer la mémoire de François Mitterrand, mort il y a 25 ans, le 8 janvier 1996. Le chef de l'Etat se recueillera sur sa tombe avant de se rendre dans la maison natale du président socialiste, devenu un musée. Un clin d'œil vers un électorat de gauche ?

    "Il essaie de capter tous les héritages qui peuvent rapporter gros", analyse Catherine Nay, journaliste politique, collaboratrice d'Europe 1 et autrice de l'ouvrage Le Noir et le Rouge, histoire d'une ambition, sur François Mitterrand. "D'abord c'est un exercice qu'il adore faire : ce numéro d'acteur, de se mettre dans la peau de l'autre, de prendre ses intonations au besoin".

    Un "habit d'Arlequin"

    "Il y a d'abord eu l'année De Gaulle. Dès son arrivée à l'Elysée, il y avait les mémoires du général, bien en vue sur son bureau, puis l'hommage à Valéry Giscard d'Estaing, plus discret, mais sincère. Et puis maintenant, Mitterrand", énumère Catherine Nay. "Pour plaire à tous ces panels d'électeurs, quand on est 'en même temps', il faut endosser forcément un habit d'Arlequin."

     

    L'héritage de François Mitterrand, tant politique qu'humain a laissé de nombreuses traces ans l'histoire de la France. "Mitterrand, c'est l'abolition de la peine de mort, la retraite à 60 ans. Bien que cela a été une réforme à contretemps, au moment où les Français avaient une espérance de vie de trois mois supplémentaires par an", explique Catherine Nay. " La pyramide du Louvre, l'Opéra Bastille et Mazarine et sa mère devant le cercueil".

    "Un secret qui ne serait plus possible aujourd'hui de garder", ajoute l'analyse politique. "A l'époque, il n'y avait pas la presse people, il n'y avait pas les réseaux sociaux : François Mitterrand était un homme heureux."

    "Un personnage de roman"

    "C'est celui qui a amené la gauche au pouvoir, au bout de 23 ans, en se donnant du mal, en allant de village en village", rappelle-t-elle. De François Mitterrand, président de 1981 à 1995, Catherine Nay retient un "personnage de roman, avec ses ombres et ses lumières". "Un homme qui n'a jamais sacrifié ses plaisirs à l'ambition, qui avait des vies plurielles. Et puis, surtout, qui avait et cette autorité naturelle. Et quand il partait, on l'écoutait, on en avait peur, on le craignait." Selon elle, depuis à gauche, personne de son envergure n'a émergé. "Le moule est cassé", analyse-t-elle.

    Europe 1


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  • Pour son premier déplacement de l’année, Emmanuel Macron inaugurera ce 5 janvier à la Caisse d’allocations familiales de Tours la réforme du versement des pensions alimentaires. Un rassemblement s’est formé à Tours, composé notamment de syndicats et Gilets jaunes, pour faire entendre leurs revendications au président de la République.


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  • Selon l’édition du 4 janvier 2021 du Journal du dimanche, Emmanuel Macron serait “en colère” contre la lenteur de la campagne de vaccination française destinée à combattre la Covid-19. Une colère moquée, car jugée peu convaincante, sur les réseaux sociaux, dans les médias et par l’opposition.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/vaccination-col%C3%A8re-feinte-l%C3%A2chet%C3%A9-emmanuel-macron-raill%C3%A9-apr%C3%A8s-son-coup-de-gueule/ar-BB1csQ1Z?ocid=msedgntp


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  • "Un rythme de promenade en famille", Macron s'agace de la lenteur de la vaccination

    Le chef de l'Etat s'est agacé en privé de la lenteur de la vaccination contre le coronavirus, qui a démarré le 27 décembre. Il assure, comme le rapporte le JDD : "Ça doit changer vite et fort et ça va changer vite et fort".

    Aux Etats-Unis comme en Europe, les campagnes de vaccination, qui ont nourri de grands espoirs en fin d’année, font l'objet de critiques. En France, c'est la lenteur du processus qui alarme. «Toute la communauté soignante ne comprend pas pourquoi il y a un tel écart avec l'Allemagne: l'Allemagne vaccine 20.000 personnes par jour, nous sommes à 50 personnes vaccinées par jour», dénonçait samedi sur BFMTV le Pr Mehdi Mejdoubi, du centre hospitalier de Valenciennes.

    "Ça doit changer vite et fort et ça va changer vite et fort"

    Selon le JDD, cette lenteur irrite jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. «Nous sommes sur un rythme de promenade en famille, ce n’est pas à la hauteur ni du moment, ni des Français», a déploré le chef de l’Etat selon des propos rapportés par le journal. «Moi je fais la guerre le matin, le midi, le soir et la nuit. Et j'attends de tous le même engagement. Or là, ça ne va pas […]. Ça doit changer vite et fort et ça va changer vite et fort», a martelé le président de la République à des proches, alors que la France a vacciné 352 personnes au 31 décembre. Des données qui interpellent face au million de vaccinés en Israël, à le même date. Ou encore face à la situation du Royaume-Uni (944 539 personnes vaccinées pour 2020) et à l’Allemagne (131 626).

    Dans ses propos, le chef de l’Etat ouligne que «les Etats-Unis auront eu plus de morts de la Covid que durant la Seconde Guerre mondiale, et ce n'est hélas pas fini…» et insiste : «La France peut et doit gagner cette guerre. Elle la gagnera». Il s'irrite également d'une bureaucratie et d'une ­technocratie qu'il juge tatillonnes.

    Emmanuel Macron avait déjà fait part de son agacement autour de la lenteur de la vaccination, qui a débuté le 27 décembre, lors de ses vœux aux Français jeudi soir mettant en garde contre toute «lenteur injustifiée». Deux jours plus tôt, lors d’un Conseil de défense qu’il a tenu depuis Brégançon, il a «mis les points sur les "i" », explique encore le JDD . «Il a été très clair sur le fait qu'il souhaitait qu'on accélère sur la vaccination, a raconté un ministre au journal. On assume notre choix, éclairé par la Haute Autorité de santé, de commencer par vacciner en Ehpad, en sachant que ça met plus de temps à ­démarrer pour des raisons médicales et logistiques. Mais ça ne peut pas être une excuse pour des lenteurs injustifiées.»

    Paris Match


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  • Fin de l'isolement pour Emmanuel Macron, qui n'a plus de symptômes du Covid-19

    Le président de la République "ne présente plus à ce jour de symptômes" du Covid-19, selon un communiqué de l'Élysée, qui précise par ailleurs que son isolement a pris fin.

    Une semaine après avoir été testé positif au Covid-19, Emmanuel Macron "ne présente plus à ce jour de symptôme" et "l'isolement du président de la République peut donc s'arrêter au terme de 7 jours", a annoncé, jeudi 24 décembre, la présidence.

    "Durant la maladie, il a pu rester mobilisé sur les principaux dossiers d'actualité de notre pays et tenir conseils et réunions prévus. Il poursuivra de la même manière son action dans les heures et jours à venir", ajoute l'Élysée. Le chef de l'État était parti s'isoler à la résidence de la Lanterne, près de Versailles, le 17 décembre, après avoir été testé positif au Covid-19.

    france 24

    Il s'en est sorti ! Il va pouvoir continuer à nous emmerder !


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  • Flashback : quand Brigitte Macron était la risée des amis du jeune Emmanuel Macron

    Lorsqu’Emmanuel Macron a commencé à fréquenter Brigitte Trogneux, l’actuelle Première dame n’était pas vue d’un bon œil de la part des amis du chef de l’État.

    Contre vents et marées, ils se sont aimés. Emmanuel Macron, qui fêtera son anniversaire le 21 décembre, s’est longtemps battu auprès de ses proches pour faire accepter son idylle avec celle qui est devenue sa femme : Brigitte Trogneux. Le président de la République, qui avait 15 ans lorsqu’il a rencontré la femme de sa vie, avait été empêché de fréquenter l’ancienne professeure par ses parents, comme l’ont rappelé nos confrères d'Ouest France en 2017. Plus tard, lorsque le chef de l’État a pu retrouver sa belle, Emmanuel Macron a eu du mal à imposer sa compagne, même auprès de ses amis, dont elle était la risée.

    La première fois qu’Emmanuel Macron a présenté Brigitte à ses amis, la douche a été plutôt froide. Ouest France rappelle que c’était à l’occasion du mariage du petit-fils de Simone Veil. Et ce qui aurait alimenté les conversations de la soirée serait la différence d’âge de 24 ans entre les deux tourtereaux. D’après Caroline Derrien et Candice Nedelec, auteures du livre Les Macron (éd. Fayard), citées par nos confrères, l’actuelle Première dame était vue par l’entourage du président, actuellement confiné à la Lanterne, comme "cette quinqua pas super distinguée".

    Un mariage pour les faire taire

    Le combat d’Emmanuel Macron pour faire accepter Brigitte n’aura pas été une mince affaire. Face aux regards amusés et aux réflexions de ses proches, l’ancien ministre de François Hollande a décidé de passer à la vitesse supérieure avec celle à qui il avait fait la promesse de l'épouser. En 2007, l’actuel chef de l’État a dit "oui" à la femme de sa vie. C’était au Touquet dans la villa familiale de la première dame. Un moment inoubliable tant pour le couple que pour ses enfants, qui se sont souvenus avoir reçu la visite de leur beau-père avant les noces. "Quand il a décidé qu’il allait se marier avec ma mère il est venu nous voir pour nous faire part de sa décision, avait révélé Tiphaine Auzière, la dernière fille de Brigitte Macron, à BFMTV. C’est un acte fort, il est quasiment venu nous demander sa main." L’abnégation d’Emmanuel Macron aura fini par payer et il vit désormais heureux avec celle qu’il a toujours aimée.

    GALA

    Brizitte a commis un détournement de mineur et aurait dû être condamnée !


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  • Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19

    Le président de la République est porteur du coronavirus SARS-CoV-2, a annoncé l’Elysée jeudi.

    Emmanuel Macron a été diagnostiqué positif au Covid-19, a annoncé l’Elysée jeudi 17 décembre. Le président de la République va s’isoler pendant sept jours.

    Après le diagnostic établi par « des tests RT-PCR réalisés dès l’apparition de premiers symptômes », le chef de l’Etat « s’isolera pendant sept jours », mais « continuera de travailler et d’assurer ses activités à distance », ajoute la présidence dans un communiqué.

    Jean Castex à l’isolement

    Susceptible d’être « cas contact », le premier ministre, Jean Castex, s’est lui aussi placé à l’isolement, a annoncé le président du Sénat, Gérard Larcher, à l’ouverture d’une séance durant laquelle le chef du gouvernement devait présenter la stratégie vaccinale de la France.

    Le ministre de la santé, Olivier Véran, a prononcé le discours à sa place. Il a dit avoir une « pensée particulière » pour le président de la République.

    Le Monde

    "Pauve ti manu" ! 

    Faut pas qu'il le passe à sa vieille, elle pourrait y rester !


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