• L'été indien (revue de presse parodique)


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  • C'est vrai que la France est très riche, elle a les moyens, pauvre Macron !


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  • Il doit toucher quelque chose sur les vaccins !

    Pass sanitaire : la popularité d’Emmanuel Macron au plus bas

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/pass-sanitaire-la-popularit%C3%A9-d-emmanuel-macron-au-plus-bas/ar-AANjvlc?ocid=msedgntp

     


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    Sur Instagram, ce samedi 7 août, Jean-Marie Bigard s’en est violemment pris, dans une vidéo, à Emmanuel Macron et à l’instauration du pass sanitaire en France.

    Nouveau coup de gueule de Jean-Marie Bigard, posté ce samedi 7 août sur son compte Instagram. Face caméra, l’humoriste s’en est pris à Emmanuel Macron et a donné son avis, aussi cash que d’habitude, sur sa gestion de la crise liée au Covid-19. "Coluche disait : ‘On arrêtera de faire de la politique quand les politiques arrêteront de nous faire rire’ (…) C’était un très joli message", a-t-il commencé avant de parler de la manière dont le président de la République "a défendu le pass sanitaire""C’est-à-dire que c’est un tour de vis de plus qui nous étrangle", a-t-il balancé.

    Des annulations de spectacles qui ne passent pas

    Pas du tout convaincu par la mise en place de ce nouveau dispositif censé limiter la propagation du coronavirus en France, Jean-Marie Bigard a critiqué l’argument du chef de l’Etat, qui avait expliqué que les restaurants pourraient subir une potentielle refermeture si le fameux pass n’était pas mis en place. "Je te remets la phrase à l’endroit, Monsieur le Président. C’est à cause du pass sanitaire que les restaurants ferment. C’est juste l’inverse", a martelé le compagnon de Lola Marois en taclant, par la même occasion, l’entourage d’Emmanuel Macron et ses proches collaborateurs. "Il n’y a personne qui peut te conseiller ? (…) Il y a bien des gens autour de toi qui doivent te dire ‘Mais, il ne faut pas dire des conneries comme ça’, puisque c’est le pass sanitaire qui fait fermer tous les restaurants, qui annule tous mes spectacles, par exemple et tous les spectacles de tout le monde ! Tous les festivals, tout ça…", s'est plaint le papa de Sasha, de Jules et de Bella.

    Des "Français énervés"

    "Ça décourage absolument tout le monde. Vous pouvez nous menacer de 150 - 250 000 euros pour les gens qui voudraient essayer d’avoir un faux pass sanitaire, sous peine de crever (…) Essaye de t’entourer un petit peu", a lancé Jean-Marie Bigard à l'attention du président. Dans sa vidéo, l’humoriste a également réouvert le dossier des Gilets Jaunes, "qui ne représentaient que 10 à 15% des Français énervés parce qu’ils travaillent, ils payent leurs impôts et ils n'arrivent plus à bouffer le 5 du mois". "Là, vous avez énervé beaucoup plus de gens et vous avez failli être submergés, souvenez-vous, une fois. Rappelez-vous juste la Commune", a-t-il poursuivi, faisant référence aux insurrections de 1871. "C'est le peuple le plus fort, et vous êtes bien en train de l'énerver, le peuple, et je vous promets des lendemains douloureux", a conclu l'humoriste, dont les propos ont divisé les internautes, comme vous pouvez le voir dans la section des commentaires de sa publication Instagram.

    Télé Loisirs.fr


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  • Le président de la République a posté une courte vidéo sur son compte Instagram pour répondre à une question qui revient souvent ces derniers temps : « Le pass sanitaire est-il une privation de notre liberté ? » Il en a profité pour faire une drôle de comparaison.

     Emmanuel Macron s’est emparé de son compte Instagram pour poster une nouvelle vidéo au cours de laquelle il a choisi de répondre à la question suivante et tant posée : « Le pass sanitaire est-il une privation de notre liberté ? » Pour imager son propos, le président de la République a fait une comparaison entre le pass sanitaire et l’alcool au volant. Certains internautes ont été surpris quand d’autres ont salué la « pédagogie » du locataire de l’Elysée. 

    « En société (…) nous dépendons les uns des autres » 

    Le président de la République s'est lancé dans un court développement d’un peu plus d’une minute afin de se faire bien comprendre et de répondre une bonne fois pour toutes à ceux qui considèrent le pass sanitaire comme une manière de priver les Français de leur liberté. Il commence par « Je suis tout à fait libre de boire, un verre, deux verres, trois verres quatre verres de vin. De rester chez moi de voir des amis, aucun problème. Par contre, depuis des années on a accepté qu’après avoir bu, je ne suis plus libre de prendre le volant parce qu'à ce moment-là, ma liberté de prendre le volant peut vous mettre en danger ». Le Président ajoute sur la  « liberté responsable » : « on l’a bien accepté quand il s’agissait de boire ou de conduire, on l’a accepté sur beaucoup d’autres choses en société parce que nous dépendons les uns des autres ». Il fait la comparaison entre le pass sanitaire et l’alcool afin d’expliquer que dans les deux cas, il s’agit de se protéger les uns les autres, tout en respectant la liberté de chacun. Il insiste, en effet, « C’est la même chose pour se faire vacciner, c’est la même chose pour le pass sanitaire ». Emmanuel Macron conclut en exhortant les Français à prendre leurs précautions en se faisant vacciner ou tester quand ils se rendent dans des lieux publics. 

    Télé 7 Jours


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  • Dans une vidéo depuis Brégançon, Macron exhorte à la vaccination des jeunes

     

    PLACIDE


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  • Nouvelles restrictions contre la Covid-19 : Emmanuel Macron laisse échapper le fond de sa pensée

    Alors que la France est confrontée à une nouvelle vague de contaminations de la Covid-19, le Journal du Dimanche révèle le 1er août 2021 qu'Emmanuel Macron ne voudrait surtout pas annoncer de nouvelles restrictions.

    C'est une nouvelle qui devrait rassurer de nombreux Français. Alors que le pays est confronté à une nouvelle vague de contaminations causée par la propagation rapide du variant Delta de la Covid-19, les citoyens craignent de devoir faire face à de nouvelles restrictions. Seulement, on apprend dans les colonnes du Journal du Dimanche, le 1er août 2021, que ce n'est pas du tout à l'ordre du jour pour Emmanuel Macron. Lors du dernier Conseil des ministres avant les vacances, mercredi 28 juillet 2021, le chef de l'Etat aurait assuré qu'il n'était pas question de demander aux citoyens de faire de nouveaux efforts. "On va perdre les gens si on cumule pass sanitaire et mesures à l'ancienne", aurait-il alors lancé, selon un proche du mari de Brigitte Macron. C'est d'ailleurs pour cette raison que même si les chiffres de contaminations sont inquiétants, le gouvernement ne veut pas de nouveau fermer les discothèques.

    "Que dirait les gens si on leur mettait le pass, puis on leur démontrait qu'il ne sert à rien en remettant des restrictions ?", a encore fait savoir un membre du gouvernement. C'est pourquoi Emmanuel Macron mise tout sur la vaccination et le pass sanitaire pour contenir cette quatrième vague, et espérer que les services hospitaliers ne soit pas, une nouvelle fois, mis sous tension. Mais pour cela, il va falloir convaincre la tranche de la population toujours très réfractaire face au vaccin.

    Emmanuel Macron mise tout sur la vaccination et le pass sanitaire

    Si une partie des Français a tout de suite répondu à l'appel lancé par Emmanuel Macron, le 12 juillet 2021, de se faire vacciner en masse, même pendant l'été, d'autres ont préféré descendre dans la rue pour afficher leur mécontentement. Alors que le cap des 40 millions de Français ayant au moins reçu une dose du vaccin a été passé, le gouvernement espère passer celui des 50 millions d'ici la fin du mois d'août, date à laquelle le pic de cette nouvelle vague pourrait être atteint.

    Femme actuelle


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  • Présent sur l'île de Moorea, en Polynésie, Emmanuel Macron a été interpellé par des militants d'une association luttant contre le nucléaire.

    Emmanuel Macron poursuit sa tournée en Polynésie. Mardi 27 juillet, en visite sur l’île de Moorea, le président de la République a été interpellé par une cinquantaine de militants d'une association antinucléaire qui lui ont réclamé de la transparence sur les essais nucléaires réalisés sur place. La demande a été "entendue" par le chef d'État. "Je ne peux pas vous demander d’avoir confiance en moi après qu’on vous [eut] menti si longtemps en ne partageant pas les informations", a-t-il indiqué dans un premier temps, comme le relate Le Monde.

    Puis, Emmanuel Macron a regretté le manque de transparence de la France sur ce sujet par le passé. "Je pense que la confiance, ça se construit en disant tout, en partageant la totalité, en étant beaucoup plus transparent et c’est vrai qu’on n’a pas fait le boulot jusqu’à présent", a-t-il concédé. Et de compléter son propos : "Je m’engage à ce que les choses changent en termes de procédures d’indemnisation parce que c’est vrai que la loi de 2010 aujourd’hui laisse des gens dans la détresse, avec des procédures qui sont trop longues."

    Des engagements pris par Emmanuel Macron

    Le président de la République répondait notamment à la présidente de l'association qui lui a demandé "d’assumer ce que l’État a fait à ce peuple polynésien, un pardon et vraiment une prise en chargealors que des "personnes souffrent" des conséquences des essais nucléaires réalisés en Polynésie. "Il est normal, et c’est un devoir de la nation, d’accompagner toutes les Polynésiennes et les Polynésiens qui aujourd’hui sont frappés par les nouvelles formes de cancer. Et il faut qu’il y ait une offre de soins, des médecins et des chercheurs, compte tenu de la double insularité dans laquelle vous êtes", a tenté de rassurer Emmanuel Macron. Après les promesses, les actes seront désormais surveillés de près.

    GALA


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  • Il n’en était pas à son premier coup d’essai. L’afficheur controversé Michel-Ange Flori a récemment fait parler de lui pour avoir grimé Emmanuel Macron en Hitler, sur des affiches géantes à Toulon et à la Seyne-sur-Mer, avec le slogan : « Obéis, fais-toi vacciner ». Elles sont restées visibles pendant deux semaines environ.

    On y voit, sur un photomontage, le président de la République déguisé en Hitler, portant un brassard très similaire à celui du NSDAP, le parti fasciste du Führer. Sauf que l’abréviation a été changée en LREM, La République en marche, le parti présidentiel.

    Le chef de l’État a mandaté un cabinet d’avocats parisiens afin de déposer plainte à l’encontre de Michel-Ange Flori pour « injure publique sur la personne de la République », selon les informations de France Bleu Provence. L’afficheur doit être entendu jeudi au commissariat de police, dans le cadre de l’enquête ouverte par le parquet de Toulon.

    Il y a quelques jours, sur son profil Facebook, Michel-Ange Flori se disait « serein » et remerciait tous ses soutiens, tout en dénonçant une « liberté d’expression à géométrie variable ».

    « Ça n’est jamais plaisant d’être convoqué par la police, on n’est jamais tranquilles. Cette affiche, c’est excessif et c’est le principe de la caricature. Mais ça n’est pas injurieux », a confié son avocat, maître Didier Hollet, joint par France Bleu.

    L’argument de la caricature était déjà avancé par Michel-Ange Flori en 2019, dans une procédure en référé engagée par BFMTV. Il avait critiqué la chaîne sur ses affiches, avec le slogan « La police vous parle tous les jours sur BFMTV », au moment des manifestations des Gilets jaunes. L’afficheur avait été condamné à 32 000 euros d’amende pour atteinte aux droits d’une marque. « Mais le dossier n’est pas encore purgé sur le fond » selon son conseil.

    En 20 ans, Michel-Ange Flori, qui dispose de 350 panneaux publicitaires, pense avoir placardé une centaine d’affiches provocatrices, n’hésitant pas à égratigner Nicolas Sarkozy sur l’affaire des financements libyens. Le rythme s’est accéléré depuis environ un an : « Je suis devenu un hebdo », ironise-t-il dans les Dernières Nouvelles d’Alsace, inspiré entre autres par Alexandre Benalla, l’ancien collaborateur du chef de l’État, les violences policières ou encore l’engagement des soignants au plus fort de la crise sanitaire.

    Cette fois-ci, le délit d’injure publique sur la personne du président de la République est passible d’une amende de 12 000 euros.

    Le Parisien


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  • Emmanuel Macron gêné par une blague osée sur Brigitte

    Lors de la visite du Président à Tahiti qui n'était pas accompagné de Brigitte, un homme s'est permis de lui faire une blague très osée qui l'a gêné.

    Paré de gros colliers de fleurs de tiaré autour du cou, le Président est allé à la rencontre des Polynésiens lors de sa première visite dans l'archipel. Accueilli très chaleureusement par de nombreux "bienvenue à Tahiti", "bienvenue en Polynésie", de la part des habitants, le président n'était pas avare de saluts, de checks et de poignées de mains amicales, comme à son habitude.

    Il a demandé aux habitants s'ils allaient bien et l'un d'entre eux l'a même défié au bras de fer. Il a aussi reçu des compliments comme : "T'es très beau !" Le président semble avoir apprécié ce moment, contrairement à son déplacement dans la Drôme où il avait été giflé par un homme.

    Une blague très osée

    Toutefois, un homme s'est permis de faire une blague osée au Président. Au moment de lui serrer la main, cet habitant lui a lancé : "Heureusement que tu es venu tout seul, parce qu'il y a plein de filles ici", en sous entendant qu'en l'absence de Brigitte, Emmanuel Macron pouvait faire la rencontre des Polynésiennes. Mais, le Président ne comprend pas tout de suite l'allusion et le fait répéter.

    Lorsqu'il comprend enfin, il continue de serrer la main du Polynésien en souriant et se met à rire d'un air visiblement très gêné et forcé. Les habitants, quant à eux semblent avoir beaucoup apprécié cette petite blague puisqu'ils rigolent tous en cœur juste après. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois qu'Emmanuel Macron subit des remarques concernant sa femme.

    Oh My Mag

     


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  • Il s'agit du premier déplacement du président de la République dans cette collectivité d'outre-mer. Des annonces concernant les essais nucléaires français, menés sur l'archipel entre 1966 et 1996, responsables d'une explosion des cas de cancers de la thyroïde chez la population, sont attendues.

    Le président de la République est arrivé ce samedi après-midi à Papeete (dimanche matin à Paris), sur l'île de Tahiti, pour un déplacement de quatre jours en Polynésie française, où il a entamé sa visite par le principal hôpital de l'archipel. Le chef de l'État a prévu de se rendre dans quatre îles.

    Emmanuel Macron a été accueilli par deux Orero, Tekava Dauphin et Tuariki Teai, des artistes spécialisés dans l'art déclamatoire en tahitien. Les adolescents lui ont souhaité la bienvenue en soulignant que le peuple Polynésien "attendait ses paroles" et "croyait en l'espérance".

    Au président qui le félicitait et le remerciait, Tuariki Teai a répondu "je t'en prie" immergeant Emmanuel Macron dans une Polynésie accueillante où tout le monde se tutoie.

    Premier déplacement en Polynésie

    Le président, dont c'est le premier déplacement dans cet archipel du Pacifique sud, avait dû reporter une visite prévue en 2020 en raison de l'épidémie de Covid-19. En rencontrant pendant son séjour les équipes soignantes de l'hôpital, il veut donc "réaffirmer la solidarité nationale durant la crise", mais également "insister sur la nécessité de la vaccination", assure l'Élysée.

    Si la Polynésie est une collectivité régie par un statut particulier datant de 2004 et qui est compétente en matière de santé, c'est sur l'État que repose la gestion de crise et les mesures restrictives.

    L'État français a fourni plus de 224.000 doses de vaccin aux Polynésiens, mais selon la direction de la Santé, seules 83.210 personnes avaient reçu au moins une dose de vaccin au 23 juillet.

    Pour Makau Foster, figure locale de la danse tahitienne interrogée vendredi à Papeete, "c'est bien que le Président vienne nous rendre visite", notamment "pour voir que les Tahitiens sont mitigés sur le vaccin".

    L'héritage empoisonné des essais nucléaires

    L'autre préoccupation des habitants de cet archipel grand comme l'Europe, est l'héritage empoisonné des essais nucléaires menés par l'Etat français de 1966 à 1996.

    Le Collectif du 17 juillet prévoit au moins trois manifestations durant la visite du chef de l'Etat, dont une aux alentours de l'aéroport, samedi après-midi.

    "La Polynésie a quand même prêté son île pour des essais nucléaires pour la métropole et je pense que c'est normal qu'il vienne s'intéresser à l'après-nucléaire. Surtout qu'ici nous avons quand même beaucoup de gens qui ont des soucis de santé", assure Sylvana Deane, créatrice de bijoux installée à Papeete.

    "Selon nos données de la Caisse de Prévoyance Sociale (Sécurité sociale locale, NDLR), les femmes polynésiennes, entre 40 et 50 ans, ont le taux de cancers de la thyroïde le plus important du monde", explique Patrick Galenon, ex-président du conseil d'administration de la CPS.

    La thyroïde étant un organe très sensible, les rayons ionisants ont, selon Patrick Galenon, un effet important in utero et dans les premières années après la naissance. Il estime que la CPS a dépensé 670 millions d'euros pour les maladies radio-induites depuis 1985, et souhaite le remboursement de ces dépenses par la France.

    "C'est une demande qui nous paraît légitime pour les victimes ayant fait l'objet d'une indemnisation par le CIVEN (Comité d'indemnisation des victimes des essais nucléaires)", a répondu le ministre de la Santé Olivier Véran début juillet lors de la tenue d'une table ronde sur les conséquences des essais nucléaires, à Paris.

    Les sommes prises en charge seraient cependant minimes si elles ne concernaient que les victimes déjà indemnisées. En revanche, Olivier Véran s'est engagé à financer la recherche sur ces cancers, et aussi à faciliter les indemnisations des victimes en simplifiant les démarches administratives. Le ministre a aussi proposé un soutien médical à travers des postes d'internes en médecine.

    Les engagements évoqués lors de cette table ronde devraient être précisés par le chef de l'État lors de cette visite.

    Défi climatique

    Au cours de ces quatre jours, Emmanuel Macron se rendra sur l'île d'Hiva Oa pour appuyer la candidature des Marquises à l'inscription au patrimoine mondial de l'Unesco, et sur l'atoll de Manihi dans les Tuamotu où il visitera une centrale électrique hybride (photovoltaïque/diesel) qui a permis de faciliter l'électrification de l'atoll.

    Il aura l'occasion d'évoquer l'importance stratégique de l'archipel, et également les défis climatiques qu'il rencontre.

    BFM.TV


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  • Emmanuel Macron, moustache en brosse à dents, dans un uniforme militaire beige et portant un brassard qui s'apparente à celui des nazis : non, ce n'est ni une blague, ni une fiction. Mais plutôt ce que les habitants du Var peuvent observer sur deux affiches publicitaires disposées dans les rues et au bord des routes.

    Rassurez-vous, le président ne s'est pas réellement déguisé en Hitler. Il s'agit d'un montage caricatural effectué par le très controversé Michel-Ange Flori.

    Emmanuel Macron en Hitler

    Derrière cette performance, on retrouve donc Michel-Ange Flori, un afficheur varois qui possède entre 350 et 400 panneaux dans toute la région. À côté de l'image pour le moins choquante, on retrouve un court slogan en lettres capitales : "Obéis fais-toi vacciner". Le parquet de Toulon a confirmé avoir ouvert une enquête à l'encontre de l'afficheur, ce mardi 20 juillet 2021.

    Ce n'est pas la première fois que Michel-Ange Flori fait parler de lui sur ce sujet. Déjà, en 2019, l'afficheur s'était servi de ses images publicitaires pour diffuser des messages politiques, notamment, pendant la crise des Gilets jaunes : "La police vous parle tous les jours sur BFMTV".

    Une affiche qui ne fait pas l'unanimité

    À l'époque, il avait d'ailleurs été condamné par le tribunal de grande instance de Marseille à verser la somme de 30 000 euros à BFMTV en réparation du préjudice causé. Michel-Ange Flori s'était targué de son droit à la liberté d'expression pour se défendre : "Je voulais simplement parodier la phrase de mai 68, 'la police vous parle tous les soirs à 20 h'. Je le prends comme un coup personnel, on veut salir ma liberté d’expression", avait-il précisé à 20 minutes.

    Aujourd'hui encore, l'usage très personnel de sa liberté d'expression ne fait pas l'unanimité. L'une de ses affiches a d'ailleurs été taguée du mot "honte", ce à quoi Michel-Ange Flori répond : "La honte, c'est eux". Pas sûr qu'Emmanuel Macron soit très content...

    Oh My Mag

    Il s'agit de l'affiche que j'ai mise pour mon Bonjour !


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    Passez une bonne journée


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  • Lourdes : L’homme qui avait crié à Macron « Honte à vous ! Vous êtes un athée » ne sera pas poursuivi

    Le procureur de la République de Tarbes a décidé de classer l’affaire sans suite

    En visite au sanctuaire de Lourdes vendredi après-midi, le président de la République avait été invectivé par un homme. Alors qu’ Emmanuel Macron écoutait la troupe de la comédie musicale « Bernadette de Lourdes » entouré d’une foule de pèlerins, un homme s'était mis à crier « Honte à vous monsieur le Président ! C’est un scandale ! Vous êtes un athée, un athée primaire, vous n’avez aucune raison d’être là ».

    Des témoins avaient tenté de le faire taire avant que les services de sécurité le sortent. En se débattant, il avait blessé un garde du Sanctuaire alors que la foule s’était empressée d’applaudir le Président. Selon La République des Pyrénées, l’homme ne sera pas poursuivi, le procureur de la République de Tarbes ayant décidé de classer l’affaire sans suite.

    En déplacement dans la Drôme en juin dernier, Emmanuel Macron avait été giflé par un homme, qui avait hurlé « Montjoie ! Saint Denis ! » et « A bas la macronie ». Cet homme de 28 ans avait été condamné à dix-huit mois de prison dont quatre ferme et incarcéré.

    20 Minutes


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  • Emmanuel Macron perd un allié de poids dans la gestion de la crise sanitaire. Selon des informations révélées mardi 13 juillet par Paris Match et depuis confirmées à l'AFP, Jérôme Salomon s'apprête à quitter son poste de directeur général de la Santé.

    Celui que les Français ont découvert aux prémices de l'épidémie comme le "monsieur coronavirus" du gouvernement est "appelé à d’autres fonctions", a sobrement indiqué un porte-parole du ministère de la Santé, mercredi.

    Un coup dur pour Emmanuel Macron

    Pour l'heure, la date de son départ n'est pas fixée, dans l'attente de la désignation de son successeur, a indiqué cette même source. Dans ce laps de temps, Jérôme Salomon "demeure aujourd’hui totalement mobilisé sur la gestion de la crise sanitaire qui est sa priorité", assure le ministère de la Santé.

    Une nouvelle qui ne devrait pas attrister outre-mesure le ministre de la Santé Olivier Véran, dont les divergences avec le directeur général de la Santé ont été longuement évoquées ces derniers mois dans la presse. Mais il s'agit en revanche d'un coup dur pour Emmanuel Macron.

    Engagé dès la campagne présidentielle

    En effet, Jérôme Salomon, politiquement engagé plutôt à gauche, est un soutien proche du chef de l'État, auprès duquel il s'était d'ailleurs engagé dès sa campagne présidentielle en tant que conseiller au sein du "groupe santé".

    Ancien président du Syndicat national des médecins spécialistes de santé publique, il était notamment pressenti pour devenir ministre de la Santé après l'accession à l'Élysée d'Emmanuel Macron. Mais c'est finalement Agnès Buzyn qui obtiendra le poste, remplacée par Olivier Véran en 2020.

    Gent Side


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