• L'Elysée réagit au tweet de Trump sur Macron, en évoquant une incompréhension

    Donald Trump a dénoncé ce vendredi dans un tweet les propos "insultants" de son homologue français sur la création d'une armée européenne. Selon l'Elysée, le clan américain aurait mal compris les propos d'Emmanuel Macron.

     

    L'Élysée tente de détendre l'atmosphère à quelques minutes de la rencontre entre Emmanuel Macron et Donald Trump. Vendredi, le président américain s'en est pris à son homologue français dans un tweet, alors qu'il venait à peine d'atterrir sur le sol français, où il doit participer aux commémorations de la fin de la Grande guerre.

    "Le président Macron vient de suggérer que l'Europe construise sa propre armée pour se protéger contre les États-Unis, la Chine et la Russie. Très insultant mais peut-être que l'Europe devrait d'abord payer sa part à l'OTAN que les États-Unis subventionnent largement!", s'est-il insurgé son son réseau social favori.

    Des propos mal rapportés par les conseillers de Trump?

    Pour l'Elysée, cette critique résulte simplement d'une incompréhension de la part des Américains. Le palais présidentiel explique ce samedi qu'Emmanuel Macron ne parlait pas d'armée européenne lorsqu'il déclarait en début de semaine qu'il fallait protéger les Européens "à l’égard de la Chine, de la Russie et même des Etats-Unis". Mais qu'il évoquait le "cyberespace". 

    Les conseillers de Donald Trump auraient mal rapporté les propos du président français, entraînant une incompréhension entre les deux partis. Les deux chefs d'Etat vont s'entretenir lors d'un tête-à-tête ce samedi à partir de 11 heures à l'Elysée, pour discuter entre autres de la "situation en Syrie et la menace posée par l'Iran", selon une source proche de l'exécutif. L'ambiance s'annonce d'ores et déjà électrique.

    BFM.TV


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  •  Emmanuel Macron perturbe un enterrement et déclenche la colère d’un habitant

    Emmanuel Macron n’en finit plus d’enchaîner les polémiques. Et son périple présidentiel sur les lieux clés de la première guerre mondiale a eu le don d’agacer un habitant de Verdun.

    Après quelques jours de repos bien mérités en famille sur les côtes normandes, Brigitte et Emmanuel Macron ont pris la route de l’Alsace-Lorraine pour entamer le voyage de commémoration du 11 novembre. Le couple a donc fait une escale à Verdun en mémoire des victimes de la Grande Guerre. Mais le passage du chef de l’état dans les contrées de l’Est n’a pas convaincu tout le monde.

    Si les déplacements présidentiels sont évidemment des plus sécurisés, cette organisation a quelque peu fâché Olivier, habitant de Verdun, qui se trouvait dans l’église Saint-Victor juste avant l’arrivée d’Emmanuel Macron : « J’enterrais mon oncle et toute la famille était réunie », explique-t-il dans L’Est Républicain. Mais la cérémonie, déjà éprouvante à honorer, s’est brusquement vue perturber par l’arrivée d’un « homme en civil avec une plaque tricolore venir dans l’église [leur] demander de [se] dépêcher un peu », empêchant ainsi Olivier de dire au revoir comme il se doit à son oncle.

    La route menant à l’église devant être coupée pour le passage du président, le Verdunois et sa famille ont donc été bousculés dans leur deuil pour ne pas retarder la venue d’Emmanuel Macron, déjà très attendu sur place. « Je trouve cela honteux et irrespectueux, a confié Olivier. D’autant que d’après ce que j’ai su, nous avions le temps puisque le chef de l’Etat n’est arrivé qu’une heure plus tard ». Si l’on ignore encore si Emmanuel Macron fera des excuses, force est de constater que la ponctualité, ce n’est VRAIMENT pas son truc.

    Voici


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  • 11-Novembre: Emmanuel Macron recevra Donald Trump à l'Elysée samedi

    Dimanche, Donald Trump se rendra à la traditionnelle cérémonie du 11-Novembre, sous l’arc de Triomphe à Paris, avec Vladimir Poutine et Angela Merkel... 

    C’est confirmé, Emmanuel Macron recevra Donald Trump, ce samedi à l’Elysée, dans le cadre des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale, a annoncé la présidence française, ce jeudi.

    Le président français et le président américain doivent d’abord s’entretenir, samedi dans la matinée, en tête-à-tête à l’Elysée, avant d’être rejoints par les délégations respectives. Pendant ce temps-là, Melania Trump, l’épouse du président américain, sera reçu par Brigitte Macron. Les deux couples doivent ensuite se retrouver pour déjeuner ensemble.

    Dimanche, Donald Trump se rendra, comme une soixantaine de chefs d’Etat et de gouvernement, dont Vladimir Poutine et Angela Merkel, à la traditionnelle cérémonie du 11-Novembre, sous l’arc de Triomphe à Paris. A l’inverse, le président américain ne sera pas présent au « forum pour la paix », organisé dimanche après-midi.

    20 Minutes


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  • France: Emmanuel Macron chahuté chez Renault à Maubeuge

    Emmanuel Macron poursuit sa série de déplacements dans les régions du Nord-Est, dans le cadre du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale. Au programme : à la fois la mémoire de la Grande Guerre et les dossiers d'actualité.

    L'« itinérance mémorielle » du chef de l'Etat ressemble de plus en plus à un chemin de croix. Au cinquième jour de son périple de commémoration de la guerre de 14-18 dans l'est de la France, il s'est rendu dans une usine Renault près de Maubeuge. Emmanuel Macron a dénoncé jeudi la « boîte à folie » des « polémiques inutiles » après la controverse sur le maréchal Pétain qui a éclaté hier, et pour lequel il n'a, selon lui, « jamais été question d'avoir une célébration individuelle ».

    Depuis le début de la semaine, le président fait le grand écart entre les sujets mémoriels et les dossiers d'actualité, comme la hausse des prix du carburant. La visite à l'usine Renault de Maubeuge n'a pas dérogé à cette règle.

    « On réussit sans vous »

    S'adressant au personnel de l'usine, le chef de l'Etat a eu la surprise de se faire prendre à partie par un syndicaliste de Sud, par ailleurs hué par ses collègues. Un échange musclé s'en est suivi :

    - Samuel Beauvois : « Vous n’êtes pas le bienvenu monsieur Macron ici.

    Emmanuel Macron : Bonjour monsieur. Vous n’êtes pas apparemment majoritaire.

    - Vous prenez dans la poche des ouvriers aujourd’hui monsieur Macron. Ce que monsieur Ghosn nous donne d’une main, vous allez reprendre dans notre poche.

    - Je vais vous expliquer que non, mais restez là monsieur.

    - Votre service d’ordre est en train de me sortir.

    - Venez avec moi si vous voulez. Je vous écoute. Donc il faut que vous ayez la courtoisie de m’écouter.

    - Mais on réussit sans vous, monsieur Macron. Les salariés ici, ça fait 40 ans qu’ils sont ici. Ils ont réussi sans vous. Aujourd’hui, vous êtes en train de prendre aux salariés, vous êtes en train de prendre aux retraités, aujourd’hui monsieur Macron.

    - Si vous êtes venu faire un meeting politique, c’est autre chose.

    - Non, je ne fais pas un meeting politique. Vous n’êtes pas le bienvenu ici. Ça fait 27 ans que je suis chez Renault, 27 ans. C’est Renault qui me nourrit aujourd’hui. Ce n’est pas monsieur Macron.

    - Soit vous avez la courtoisie d’écouter, on peut y aller. Je vais essayer de vous expliquer pourquoi je suis là et pourquoi je crois à l’inverse de ce que vous dites, et pourquoi j’ai le sentiment que dans cette salle, il y a une large majorité qui croit l’inverse de ce que vous dites. »

    L'usine la plus compétitive

    Ce n'est pas par hasard qu'Emmanuel Macron a choisi de se rendre dans cette usine de Maubeuge. Il s'agit de l'usine la plus compétitive du groupe en France, indique l'Elysée. Elle emploie 2200 personnes. Et pour l'occasion, le PDG Carlos Ghosn est venu accueillir le président et lui a expliqué sa stratégie. Il lui a présenté les investissements du groupe, dont celui d'un milliard d'euros dans les véhicules électriques sur cinq ans, annoncé en juin.

    Renault mise aussi beaucoup sur le centre de formation de l'usine : « Le parcours c'est une semaine à l'école de dextérité. Le premier jour, on explique la culture d'entreprise ; les quatre derniers jours, c'est de la formation dextérité », explique un ouvrier, « où l'on montre le geste », devine et complète le président.

    Cette itinérance est aussi pour Emmanuel Macron l'occasion de montrer qu'il se préoccupe de l'avenir économique des territoires et qu'il accorde de l'importance à la réindustrialisation dans des régions où le chômage est élevé à cause des fermetures d'usines. Le cas de l'usine Ascoval de Saint-Saulve, à quelques kilomètres en a donné une illustration. Mais le chef de l'Etat ne s'y rendra pas durement ce déplacement.

    rFI


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  • Tellement vrai !


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  • "On va continuer le travail" : Emmanuel Macron répond à un ancien combattant lui demandant d'expulser les sans-papiers

    Leur conversation, lors d'une cérémonie commémorative à l'ossuaire de Douaumont, a été captée par les caméras de l'émission "Quotidien".

    Hier après-midi à Verdun, Emmanuel Macron a salué des anciens combattants. Sauf qu’il y avait des micros partout…

    Ses mots sont moins choisis que quand il évoque le sujet en public. Lors d'une cérémonie de commémoration de la Première Guerre mondiale à l'ossuaire de Douaumont, près de Verdun (Meuse), mardi 6 novembre, Emmanuel Macron a été interpellé par un ancien combattant au sujet de l'immigration. "Quand mettrez-vous les sans-papiers hors de chez nous ?", lui demande ce dernier. L'émission "Quotidien" a diffusé mercredi la réponse du chef de l'Etat, captée par un micro.

     "Ceux qui n'ont pas de papiers et qui n'ont pas le droit à l'asile, croyez-moi qu'on va les... On va continuer le travail", commence à répondre Emmanuel Macron. "Je pourrais le dire aux autres ?", interroge l'ancien combattant, ce à quoi le président répond par l'affirmative.

    Il poursuit sa réponse en des termes plus policés. "Il faut qu'on soit plus efficaces dans la manière d'héberger les gens quand ils sont dans la nécessité", précise Emmanuel Macron. "Ceux qui fuient leur pays, parce que c'est leur liberté, il faut les protéger. Mais ceux qui viennent alors qu'ils peuvent vivre librement dans leur pays, il faut les raccompagner. Voilà ma réponse", conclut le chef de l'Etat, sans répondre à son interlocuteur quand il lui demande si "ce n'est pas le Cheval de Troie qu'on met en place".

    Franceinfo


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  • "Pourquoi vous nous massacrez ?" Macron vivement interpellé à Charleville-Mézières

     

    "Je sais qu'il y a des gens qui râlent. Je tiendrai bon", a déclaré le chef de l'Etat, de nouveau interpellé sur les carburants.

    LIEN de l'article avec les discussions :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/pourquoi-vous-nous-massacrez-macron-vivement-interpell%c3%a9-%c3%a0-charleville-m%c3%a9zi%c3%a8res/ar-BBPs8j3?li=BBoJIji&ocid=PerDHP


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  • par Almosni Samuel - Merci à ce monsieur courageux !


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  • Six personnes soupçonnées d'avoir préparé une action contre Emmanuel Macron interpellées

    Il remercie Dieu d'être toujours là !!!

     

    Six interpellations ont eu lieu ce mardi matin en Isère, en Ille-et-Vilaine et en Moselle.

    Un "projet d'action violente contre le président de la République" a été contrecarré. Six interpellations ont eu lieu ce mardi 6 novembre au matin en Isère, en Ille-et-Vilaine et en Moselle. Selon BFMTV, l'opération a été menée par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

    Les six personnes arrêtées sont liées à l'ultradroite, précise l'AFP, qui cite des sources proches de l'enquête.

    "Mouvements extrémistes très actifs"

    L'interpellation a été menée dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte à Paris pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle". "Cette enquête vise un projet, imprécis et mal défini à ce stade, d'action violente" contre Emmanuel Macron, précise l'une des sources proches de l'enquête.

    Le projet "n'était pas forcément abouti", précise une source interrogée par "l'Express". "Le but de l'interpellation était d'en vérifier le degré de préparation".

    Lundi, lors de l'installation du nouveau directeur de la DGSI Nicolas Lerner, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner s'est dit "attentif" aux menaces venues notamment des "mouvements extrémistes de droite comme de gauche, très actifs sur notre territoire".

    L'OBS

    J'espère qu'on ne va pas accuser Marine !


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  • Carburants, policiers à l'école, Benalla et «armée européenne» : ce qu'a dit Macron

    Un premier geste en direction des automobilistes, une politique d'«autorité» à l’école et dans les quartiers, une certaine «indulgence» pour Alexandre Benalla… Emmanuel Macron s’est exprimé mardi matin sur Europe 1, dans un entretien enregistré la veille non loin de Verdun. En déplacement cette semaine dans le nord-est de la France, sur les chemins de la Première Guerre mondiale, le chef de l’Etat, qui se prédit impopulaire pour «un bon moment», a défendu son action : «Les gens ont oublié que cela fait un an et demi que je suis aux responsabilités, pas trente.»

    Carburants : premiers coups de pouce

    L’intervention du chef de l’Etat était particulièrement attendue sur ce sujet, mesure la plus controversée à ce jour du projet de budget pour 2019. Automobilistes et oppositions contestent la hausse des taxes sur l’essence et le diesel, appelant pour certains à manifester le 17 novembre. Mais les prix à la pompe «augmentent en très large partie à cause des prix du pétrole : à 70 ou 80%, c’est à cause des cours mondiaux», s’est défendu Emmanuel Macron. Tout en assumant de «réduire l’écart entre diesel et sans plomb, parce qu’il ne se justifie plus», et de davantage taxer «tout ce qui produit des émissions, pour pouvoir réinvestir dans de nouvelles énergies».

    Dans un premier geste envers les automobilistes, le Président a toutefois souhaité «qu’on bouge un peu», et annoncé deux mesures nouvelles. Pour les «gens très modestes, quand ils ne peuvent pas changer de chaudière, il faut qu’on regarde comment améliorer le chèque énergie». Lancée cette année, cette aide d’un montant moyen de 150 euros en 2018 bénéficie à environ 4 millions de ménages modestes, qui peuvent l’utiliser pour payer leurs dépenses de chauffage. Gouvernement et Parlement plancheront sur le sujet «dans les semaines à venir», a annoncé Emmanuel Macron.

    Quant aux automobilistes, le chef de l’Etat a qualifié de «bonne philosophie» l’aide de 20 euros par mois proposée par la région Hauts-de-France à ceux qui doivent rouler plus de trente kilomètres pour rejoindre leur lieu de travail et qui gagnent moins de deux smic. Macron a proposé mardi que le montant de ce coup de pouce soit défiscalisé dans toutes les régions qui le mettraient en œuvre. «La philosophie, c’est un peu l’indemnité kilométrique, il faut travailler avec les collectivités, les employeurs, pour aider ces gens-là», a-t-il jugé. Sur le mouvement du 17 novembre, enfin, Emmanuel Macron s’est déclaré «méfiant», jugeant que derrière «ces grands appels pour tout bloquer, on trouve généralement un peu tout et n’importe quoi, et des gens qui n’ont pas beaucoup de projets pour le pays si ce n’est de le mettre à l’arrêt».

    «Une vraie armée européenne»

    La comparaison avait été remarquée : Emmanuel Macron, qui a commencé dimanche sa longue tournée mémorielle sur les chemins de la Première Guerre mondiale, avait un peu auparavant fait un parallèle entre notre époque et les années 30. Prié mardi de s’expliquer, le chef de l’Etat a maintenu que «la paix en Europe est précaire». S’inquiétant des «puissances autoritaires qui émergent et se réarment aux confins» du continent, évoquant des «tentatives d’intrusion dans notre cyberespace», il a estimé que la paix «est une parenthèse dorée dans notre histoire». Et voulu conjurer ces risques en plaidant pour «une vraie armée européenne», «une Europe qui se défend davantage seule». A six mois des élections européennes, Emmanuel Macron a également critiqué «une Europe sans doute devenue trop ultralibérale, qui ne permet plus aux classes moyennes de bien vivre» et «trop ouverte à tous les vents».

    Impopulaire pour «un bon moment»

    Alors que ses résultats encore modestes lui sont reprochés, le Président s’est dit «confronté au temps» nécessaire à l’application des réformes, regrettant qu’il en faille «sans doute trop». «Les gens disent que le quotidien ne change pas assez vite, je suis d’accord avec eux. Mais il faut transformer le pays en profondeur, s’attaquer pas seulement aux effets mais aux causes.» Alors qu’il connaît actuellement des sommets d’impopularité, Macron a estimé fataliste que cette situation «durera encore sans doute un bon moment».

    Ecoles : retour au «sens de l’autorité»

    «La peur va changer de camp.» Trois semaines après qu’une enseignante a été braquée par un élève muni d’une arme factice dans un lycée du Val-de-Marne, Emmanuel Macron a annoncé rien moins qu’un «travail de civilisation, moral, éducatif, culturel, sécuritaire». Alors que le nouveau ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, avait envisagé la présence ponctuelle de policiers dans les établissements scolaires, le chef de l’Etat souhaite que la possibilité «soit ouverte», mais «à la demande de la communauté pédagogie».

    Sortant du champ scolaire, mais restant dans un lexique très marqué à droite, il a estimé que «notre société a besoin de retrouver le sens du travail, du mérite, de l’autorité à tous les âges et tous les niveaux». Le Président a annoncé un durcissement «considérable» de la lutte contre les trafics dans les quartiers sensibles, mais aussi un «retour de la présence républicaine dans les quartiers» avec l’ouverture de «commissariats, de bureaux de poste» ou encore de trésoreries.

    De «l’indulgence» pour Benalla

    De l’affaire Benalla aux démissions ministérielles en série, l’été et la rentrée du chef de l’Etat ont été semés de désastreuses péripéties. La première «vous a peut-être occupés, mais moi elle ne m’a pas empêché de faire autre chose», a badiné Emmanuel Macron à l’attention de la presse, évoquant une «excitation collective» des commentateurs. Mais condamnant la «faute» commise par son jeune collaborateur, qui avait en mai agressé des participants à une manifestation qu’il suivait en tant qu’observateur.

    Il faut «se satisfaire et se réjouir d’avoir une presse et un parlement qui se sont emparés du sujet», a déclaré le chef de l’Etat, qui avait à l’époque critiqué l’une et l’autre institution. Précisant avoir «de l’indulgence à l’égard de tous ceux qui ont dit des choses excessives, y compris contre moi. Et à l’égard de tous ceux qui ont commis des fautes. Est-ce que Benalla mérité d’être traité comme le plus grand criminel en liberté ? Je ne suis pas sûr».

    Questionné sur la démission de Nicolas Hulot, Emmanuel Macron s’est dit «pas sûr» que l’ex-ministre de la Transition écologique «ait été très heureux» à son poste.

    Libération

    D'accord avec lui pour le pauvre Benalla !


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  • Élections européennes : La République en marche tombe sous la barre des 20% !

    Pour la première fois, le bloc LREM-Modem passe sous les 20% dans un sondage Ifop pour La Lettre de l'Expansion publié dimanche.

     

    Le Rassemblement national (RN) devance pour la première fois le bloc La République en marche (LaRem)-MoDem dans les intentions de vote aux élections européennes de mai 2019, selon un sondage Ifop pour La Lettre de l'Expansion publié dimanche.

    La liste de Marine Le Pen récolte 21% des intentions de vote, soit une hausse de quatre points par rapport à la dernière enquête des 30 et 31 août.

    La liste de la majorité, menée conjointement par La République en marche et le MoDem, rassemble 19% des intentions de vote, en baisse d'un point par rapport au mois d'août.

    La popularité du chef de l'Etat est au plus bas depuis son élection en mai 2017, à 21% de bonnes opinions, selon le baromètre de novembre de l'institut de sondages YouGov pour Le HuffPost et CNews publié jeudi.

    L'exécutif apparaît affaibli par l'affaire Benalla et le départ de deux ministres clés du gouvernement, Gérard Collomb au ministère de l'Intérieur, et Nicolas Hulot, au ministère de la Transition écologique et solidaire.

    A cela s'ajoutent un taux de chômage qui peine à diminuer et la hausse des taxes sur les prix du carburant.

    Pas d'effet Royal

    Le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, paie quant à lui son emportement lors des perquisitions qui ont visé son domicile et les locaux de LFI dans le cadre des enquêtes sur le financement de sa campagne de 2017 et ses assistants au Parlement européen. La liste de la France insoumise perd trois points dans le sondage et tombe à 11%.

    La liste du Parti socialiste, si elle était conduite par l'ancienne ministre de l'Environnement Ségolène Royal, arriverait à 7,5% d'intentions de vote.

    Enfin, 13% des électeurs voteraient pour la liste des Républicains, soit une baisse de deux points par rapport au mois d'août.

    Le sondage a été réalisé en ligne les 30 et 31 octobre auprès d'un échantillon de 1.003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

    Challenges

    Une très bonne nouvelle, les français se réveilleraient-ils ?


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  • La boutique parodique de l'Elysée récolte 30.000 pour l'aide aux migrants

    La boutique parodique de l'Elysée récolte 30.000 pour l'aide aux migrants

    Les fonds vont être reversés à la Fondation Abbé Pierre, l'Auberge des migrants, et l'association Salam.

     

    Un pullover estampillé "Je coûte un pognon de dingue", un mug qui proclame "Ma mère mérite mieux que ça", un t-shirt bleu-blanc-rouge flanqué des mots "Gaulois réfractaire"… En détournant les codes des produits officiels vendus par le palais présidentiel, le site web Enlysée a récolté quelque 30.000 euros en un peu plus d'un mois.

    Les bénéfices de cette "boutique officielle du ruissellement" vont être reversés ce vendredi 2 novembre à trois associations venant en aide aux migrants et aux sans-abris, notamment à Calais. 

    "C'est un excellent début ! Nous allons partir à leur rencontre et profiter de notre buzz médiatique pour remettre les projecteurs sur ces acteurs de la solidarité à la française qui nous est si chère", expliquent les créateurs de la boutique parodique au quotidien calaisien "Nord Littoral"

    "Dans notre équipe, nous sommes pour certains originaires de Calais. Afin d'aider les exilé.e.s, il nous semblait logique d'offrir les bénéfices de la boutique à une association sur place."

    3.000 commandes

    Plus de 3.000 commandes d'objets ornés de "punchlines" ou de phrases polémiques d'Emmanuel Macron devenues célèbres ont été passées depuis le lancement de la boutique, le 20 septembre dernier. Tous les bénéfices ont été reversé à trois associations caritatives : la Fondation Abbé Pierre, l'Auberge des migrants et Salam, qui distribue chaque jour 500 repas à Calais.  

    "On vit beaucoup sur les dons, les récupérations et là ça nous permet de faire ce qu'on ne fait jamais, d'acheter un peu de fruits à des grossistes, acheter des chaussettes, des gants, etc. Ce sont des frais qu'on est souvent amené à reporter", a expliqué le président de Salam, Jean-Claude Lenoir, à France Info. 

    Le site Enlysée a été lancé il y a un mois par trois trentenaires originaires de Calais et de Lille. Une quinzaine de bénévoles travaillent désormais à concevoir, réaliser et envoyer les marchandises. Ils comptent sur la période de Noël pour accélérer encore un peu leurs ventes : un pack "spécial fêtes de fin d'année" sera mis en ligne la semaine prochaine. Pour la suite, les fondateurs misent sur la créativité à venir du président de la République... 

    "Que ce soit le 'pognon de dingue' ou 'traverser la rue', on n'aurait pas pu les imaginer nous-mêmes, donc franchement, on le remercie beaucoup. S'il pouvait nous en ressortir quelques-unes, d'ici Noël et jusqu'à la fin du quinquennat, on pourrait reverser beaucoup d'argent", confie Manu, l'un des fondateurs de la boutique.

    Il en profite pour lui lancer un appel :

    "On attend avec impatience qu'Emmanuel Macron devienne le parrain de la boutique de l'Elysée, ça nous ferait très plaisir !"

    L'Obs


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  • Brigitte et Emmanuel Macron en week-end à la Ferme Saint Siméon

    Brigitte et Emmanuel Macron en week-end à la Ferme Saint Siméon

    Épuisé par son travail, Emmanuel Macron a décidé cette semaine d'alléger son emploi du temps et de s'octroyer quelques jours de repos en compagnie de son épouse dans un luxueux hôtel normand que connaît bien le couple.

     

    C'est en pleine nature, près de l'estuaire de la Seine, plus précisément à La Ferme Saint Siméon, que Brigitte et Emmanuel Macron s'offrent actuellement quelques jours de répit. Un hôtel que le couple présidentiel connaît bien pour y avoir séjourné à deux reprises : une première fois avant les élections de mai 2017 et une deuxième pour l'inauguration, au Havre, du bateau parrainé par l'astronaute Thomas Pesquet lors de la transat Jacques-Vabres il y a un an.

    Situé à la sortie du port de Honfleur, l'ancien manoir du XVIIe siècle, désormais 5 étoiles et membre des Relais & Châteaux, n'est pas dénué de charme et d'intérêt. À la fois pour son architecture typique normande : toits de chaume, façades à colombages, roseraie et jardin d'herbes aromatiques… Mais aussi pour son histoire : la crème des peintres – de Monet à Courbet en passant par Sisley et Corot – s'y sont succédé dès 1825. À tel point que l'établissement, qui n'était alors qu'une auberge de campagne tenue par la « Mère Toutain », s'imposa comme l'un des berceaux de l'impressionnisme. En témoignent d'ailleurs encore, dans le grand salon, les nombreux tableaux réalisés à La Ferme par les grandes figures de l'École de Honfleur, en tête desquels Adolphe-Felix Cals et Louis-Alexandre Dubourg.

    Passé dans les années 1980 dans l'escarcelle de la famille Boelen, l'hôtel opère une mue tout en raffinement : 35 chambres décorées par la maîtresse de maison, dont certaines avec vue sur l'estuaire de la Seine (on ne saurait trop recommander la 19, nid douillet de Jean-Baptiste Corot, et la 22, chère à Claude Monet) ; un restaurant gastronomique piloté par Sébastien Faramond sous la houlette du légendaire Jacques Maximin ; un bistrot normand ; un spa prodiguant des soins à base de produits bio et une piscine intérieure à débordement. Reste à savoir si le couple, désormais attendu, y trouvera calme et discrétion…

    Le Point

    Manu et Brizitte ne se refusent rien !

    Manu aurait confié à ses plus proches collaborateurs se sentir « claqué !

     

    LIEN autre article : https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/brigitte-et-emmanuel-macron-en-week-end-a-la-ferme-saint-simeon-un-lieu-tres-symbolique-pour-le-couple-presidentiel_421230


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  • Européennes : le clip du gouvernement fait polémique à gauche et à l'extrême droite

    Une vidéo censée informer les électeurs français du scrutin continental du 26 mai 2019 est qualifiée de «propagande» et de film «officiel de La République en marche».

    Première controverse de la campagne des européennes ? En tout cas, à plus de six mois du scrutin continental, la vidéo postée sur le compte YouTube du gouvernement pour sensibiliser les citoyens au vote du 26 mai prochain énerve sensiblement les oppositions à Macron, qui dénoncent le fait que ce clip – censé simplement informer les électeurs de l’organisation de ce scrutin – reprenne l’angle politique de la campagne souhaitée depuis plusieurs semaines par Emmanuel Macron.

    Sur fond de musique angoissante, des images rapides défilent en 30 secondes, rythmées par des slogans caricaturant les enjeux des européennes : «Immigration : maîtriser ou subir ? Climat : agir ou ignorer ? Emploi : partenaires ou concurrents ? Europe : Union ou division ?»

    «Clip de propagande»

    A gauche, plusieurs responsables ont annoncé vouloir saisir le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) pour faire retirer cette vidéo destinée à être diffusée aussi à la télévision. Un «clip populiste et orienté» qui «n’est en rien un appel au vote pour les européennes mais un clip de propagande [pour La République en marche]», a ainsi dénoncé le sénateur socialiste du Val-d’Oise, Rachid Temal.

    Son «contenu totalement orienté, notamment la présentation nauséabonde qui est faite de l’immigration "à maîtriser ou subir", n’a aucun rapport avec une incitation à la citoyenneté», estime de son côté Mehdi Ouraoui, un de ses ex-camarades au PS, aujourd’hui porte-parole du mouvement Génération·s. Dans un communiqué, ce proche de Benoît Hamon annonce vouloir saisir la «commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques de ce nouveau manquement éthique». «Après la nomination du délégué général de LREM au ministère de l’Intérieur, chargé des élections, le grand mélange des genres continue et s’aggrave à la tête de l’Etat», ajoute-t-il.

    «Payé avec vos impôts»

    A l’extrême droite aussi, on ne goûte guère à ce clip. Pressenti pour rejoindre la liste du Rassemblement national, le député LR du Vaucluse, Thierry Mariani, s’est fait un plaisir de relayer la vidéo tout en dénonçant lui aussi la «propagande avec de gros sabots».

    «Comme vous l’avez payé avec vos impôts, sachez apprécier ce clip gouvernemental, pour les élections européennes, qui n’hésite pas à stigmatiser de manière hypocrite et sournoise Salvini et Orbán», souligne l’ancien ministre des Transports de Nicolas Sarkozy. Le ministre de l’Intérieur italien et le Premier ministre hongrois, adversaires déclarés d’Emmanuel Macron sur la scène européenne, apparaissent en effet dans cette vidéo.

    Sur son compte Twitter, Matteo Salvini s’en était fait l’écho il y a déjà quelques jours : «Le gouvernement français publie, avec l’argent des contribuables, un clip officiel pour les européennes en m’utilisant comme un épouvantail. Macron et ses amis doivent avoir très peur. En 2019, ils attendent un printemps des peuples qui va les balayer.»

    Si le but de ce clip était aussi de mobiliser ceux que le chef de l’Etat prétend combattre au printemps prochain, c’est très réussi.

    Libération


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  • "Fatigue psychique", "coup de pompe politique"… Pourquoi Emmanuel Macron prend-il une pause ?

    Emmanuel Macron va faire le pont de la Toussaint, de jeudi à samedi. Une décision qui ne manque pas d'alerter nos spécialistes politiques, qui notent la fatigue du président. Ils en ont parlé avec Wendy Bouchard mercredi.

    Trois jours de pause. "Comme des millions de Français", Emmanuel Macron va faire le pont de la Toussaint, de jeudi à samedi, a prévenu le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux. C'est en raison de cette pause que le conseil des ministres a été avancé de mercredi à mardi.

    Si l'Elysée a assuré qu'il ne fallait pas voir là un "coup de fatigue" mais une "gestion de l'effort", l'état du président inquiète. Pour Catherine Nay, grande voix d'Europe 1, cette pause n'est ni plus ni moins qu'un "aveu de fatigue" qui sera, in fine, dommageable pour Emmanuel Macron.

    Un risque de burn-out ?

    "Pour un primo-arrivant, la vie qu'il mène depuis un an est très lourde. Depuis la rentrée, il enchaîne les voyages, les déplacements. À chaque fois, au lieu de conquérir l'opinion, elle le délaisse", observe la journaliste politique au micro de Wendy Bouchard, mercredi matin sur Europe 1. "Ce que je crains, c'est que ce soit surtout une fatigue psychique. On peut beaucoup travailler, mais si on a une satisfaction, si on voit que ça marche, on n'est pas fatigué. Quand vous voyagez autant et quand vous êtes aussi 'mal-payé' en termes de popularité, là, vous risquez le burn-out", analyse-t-elle.

    Un temps de sommeil trop court.

    En prenant ces quelques jours, Emmanuel Macron "montre qu'il n'est pas surhumain", juge Catherine Nay. Un diagnostic que partage Alain, psychologue, qui nous a joint au standard d'Europe 1. Il s'alarme en apprenant le temps de sommeil très court du chef de l'Etat (à peine trois heures par nuit, selon ses proches) et le met en garde : "Il faut qu'il fasse très attention. Il lui faut une force mentale énorme pour travailler. Et le repos physique induit le repos mental", souligne ce professionnel. 

    Une séquence politique "éprouvante"…

    Au-delà de l'"usure morale" évoquée par Catherine Nay, Bruno Jeudy, rédacteur en chef à Paris Match, va jusqu'à parler de "vrai coup de pompe politique". Selon lui, la fatigue du chef de l'Etat est "logique après 17 mois de présidence intensive", et a fortiori depuis la réforme de la SNCF. Se sont ensuite enchaînées l'affaire Benalla, des démissions de ministres à la chaîne, et des erreurs de communication politique. Cette période est "éprouvante pour le président puisque rien ne marche. Quand il apparaît, il agace. Quand il parle, il met les réseaux sociaux et une partie de la presse en furie", alerte le journaliste.

    Entendu sur Europe 1 Ce qui est inquiétant, c'est qu'Emmanuel Macron n'a pas encore vu les vraies turbulences que l'on peut connaître à l'Elysée

    … Mais loin d'être insurmontable.

    Si Emmanuel Macron a un problème de communication, il n'a pourtant pas "traversé des épreuves extrêmement difficiles", considère le rédacteur en chef de Paris Match. "À la même époque, François Hollande était en pleine affaire des Bonnets rouges, en pleine 'jacquerie' en Bretagne. Après un an et demi de pouvoir, Nicolas Sarkozy était en pleine crise financière. C'était quand même autre chose. Et c'est ça qui est inquiétant avec Emmanuel Macron. Il n'a pas encore vu les vraies turbulences que l'on peut connaître à l'Elysée."

    Une communication qui fait défaut.

    Tout de même, il y a bel et bien eu des couacs ces derniers mois. Mais selon Catherine Nay, c'est Emmanuel Macron, lui et lui seul, "qui les a produits." En cause selon elle, une concentration trop grande du pouvoir aux seules mains du locataire de l'Elysée. Si l'homme veut tout régenter, alors il doit parfois "improviser", et ainsi se risquer à commettre des erreurs de communication. Pour les deux analystes politiques, la justification maladroite de la pause d'Emmanuel Macron en est l'illustration. Plutôt que d'avouer à demi-mot sa fatigue, "ce qui a accentué l'inquiétude des Français", le président aurait dû indiquer qu'il vidait son agenda pour préparer sérieusement son "parcours mémoriel", prévu la semaine prochaine. 

    À l'occasion des célébrations du centenaire de la fin de la Première guerre mondiale, Emmanuel Macron doit en effet sillonner onze départements de l'est et du nord de la France, marqués par le conflit. Cette longue itinérance s'achèvera le 11 novembre par une cérémonie à Paris, à laquelle participeront une centaine de dirigeants étrangers.

    Europe 1


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  • Video de Pierre trublion sur youtube


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  • Ségolène Royal critique la posture monarchique d'Emmanuel Macron

    Nommée ambassadrice pour l'écologie par le gouvernement, Ségolène Royal n'hésite pas à tacler le président de la République.

    Le nouveau livre de Ségolène Royal 'Ce que je peux enfin vous dire' n’épargne personne. Nommée par le gouvernement ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique, la candidate à la présidentielle de 2007 n'hésite pourtant pas à tacler l'exécutif et notamment le président de la République.

    Si elle assure dans un premier temps avoir été bluffée par l’ascension en politique d’Emmanuel Macron, elle évoque sa posture semblable à celle d'un monarque:

    "Emmanuel Macron confond sans doute l’autorité et la juste autorité (…) Le mythe de l’homme seul, hériter des rois de France et de Napoléon ne tient pas en démocratie", écrit-elle, taclant également sa "verticalité, concept du monde d'avant".

    "L'autorité tient un temps"

    Pour elle, Emmanuel Macron refait les mêmes erreurs que François Hollande son prédécesseur. Elle tacle la propension du président à se précipiter pour "alléger, l’impôt des plus riches", ajoutant que "l’autorité tient un temps seulement et se transforme en autoritarisme".

    Des mots très durs qu’elle nuance toutefois lorsqu’elle évoque l’homme en lui-même:

    "Ce que je trouvais très sympathique et respectable, c’est qu’il ait osé épouser une femme de 24 ans de plus que lui. Je me disais qu’il en avait fallu à tous les deux du courage", ajoute-t-elle à propos d’Emmanuel Macron.

    BFM.TV


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  • Cliquez sur arrêt pour lire les textes les plus longs !

     

    Le conseil des ministres et le conseil de défense habituellement prévus le mercredi ont été avancés d'une journée, pour permettre à Emmanuel Macron de "souffler". Une situation inédite.

    Il n'y aura pas de conseil de défense et de conseil des ministres mercredi 31 octobre, car ces réunions sont avancées à mardi matin. Cela arrive parfois lorsque le président part en déplacement, mais cette fois, Emmanuel Macron part... souffler.

    "Au bout de 16 mois, il y a une part de fatigue"

    "C'est surprenant" sourit-on dans "l'ancien monde", où l'on affirme qu'on ne se serait jamais permis pareille liberté. Mais "quand on est fatigué, il est important de se reposer au risque de perdre toute lucidité", persifle un ancien conseiller de François Hollande. Depuis quelques jours, certains observateurs glosent sur les traits tirés du président, sa mauvaise mine et ses premiers cheveux blancs.

    Une baisse de forme que ne confirment d'ailleurs pas tous ceux qui ont été reçus récemment à l'Elysée. Mais il est vrai que l'été n'a pas été reposant, et la rentrée a été agitée admet un cadre de la majorité qui le concède : "au bout de 16 mois, il y a une part de fatigue".

    Six jours de déplacement à venir

    Exit le mythe du demi-dieu et de ses trois heures de sommeil par nuit entretenu au début du quinquennat. À partir de dimanche, Emmanuel Macron entame un marathon de presqu'une semaine dans l'est et le nord de la France : 11 départements à visiter en six jours pour le centenaire de l'armistice de 1918.

    Le président doit donc reprendre son souffle, ou plutôt "préparer ce déplacement hors norme" corrigent ses collaborateurs. Il part, en famille, dans un cadre privé. Où ? Ni à La Lanterne à Versailles, ni au Touquet dit l'Elysée, en espérant garder le secret.

    franceinfo

    Pauvre Manu, il est fatigué !

     


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