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  • Une petite vidéo qui dérange le gouvernement et surtout Monsieur Macron ! elle disparaît de beaucoup d'endroits donc je la poste ici pour qu'elle dure encore un peu :) Bon visionnage à bientôt amis. Fallout video


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  • Mai 2017 - A écouter et réécouter !!!

    Voir aussi une excellente video : https://www.youtube.com/watch?v=aazHedZcBZ8


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  • "Gilets jaunes" : Macron exprime sa "honte" et dénonce les violences à Paris

    Le chef de l'État s'est fendu d'un tweet, samedi, en fin de journée, dénonçant les "gilets jaunes" qui avaient agressé les forces de l'ordre, des journalistes, des élus et "violenté d'autres citoyens". 

    Le président Emmanuel Macron a exprimé sa "honte" face aux violences qui ont marqué les manifestations des "gilets jaunes" samedi notamment à Paris, dénonçant ceux qui ont "agressé" les forces de l'ordre et "violenté d'autres citoyens".

    "Merci à nos forces de l'ordre pour leur courage et leur professionnalisme. Honte à ceux qui les ont agressées. Honte à ceux qui ont violenté d'autres citoyens et des journalistes. Honte à ceux qui ont tenté d'intimider des élus. Pas de place pour ces violences dans la République", a twitté le chef de l'État.

    Europe 1

    C'est ça la réponse au peuple français pour son mécontentement ? Quel faux-luc !


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  • En Belgique, Macron interrompu par un étudiant qui le traite de "menteur"

    Emmanuel Macron a pris la parole devant des étudiants ce mardi à Louvain, en Belgique, lors d'un rendez-vous public consacré à l'Europe. Un curieux dialogue s'est alors engagé entre lui et un jeune homme présent dans le public, qui brandissait une banderole l'accusant d'avoir du sang sur les mains.

    Alors qu'il séjourne en Belgique, le temps d'une visite d'Etat en ce début de semaine, Emmanuel Macron a fait escale à Louvain. Il s'agissait pour lui de participer à une rencontre publique intitulée "Nous, demain, l'Europe" avec le Premier ministre belge, Charles Michel, devant un parterre d'étudiants. Mais son discours ne s'est pas déroulé comme prévu: le chef de l'Etat a été interrompu par un membre de l'assistance qui brandissait une banderole. "Le sang coule de leurs mains, renseignez-vous", pouvait-on y lire. 

    "Il faut dire des mains de qui?" a d'abord demandé Emmanuel Macron. "Pourquoi vous matraquez vos étudiants? Pourquoi vous êtes le seul pays qui utilise des grenades contre sa propre population?" lui a crié en retour le jeune homme. "Là, vous dites n'importe quoi", a rétorqué Emmanuel Macron à celui-ci, qui l'a également traité de "menteur". 

    "Ne mettez pas des papiers partout!"

    Le président de la République a ensuite demandé à son interlocuteur de ne pas "l'invectiver" et à la sécurité de ne pas l'expulser de la salle. '"C’est un lieu de discussion. Je réponds d’abord à votre camarade puis je vous répondrai", a-t-il poursuivi. Emmanuel Macron s'est ensuite inquiété du jet de tracts de son détracteur. "Et ne me mettez pas des papiers partout car quelqu’un va les ramasser et ce ne sera pas vous", a-t-il lancé. 

    Revenant sur l'épisode desblocages d'universités il y a quelques mois, Emmanuel Macron a plus tard développé sa réponse aux accusations mais celui qui les avait formulées était alors parti de lui-même. "En France, les CRS ne s’attaquent pas aux étudiants. Il y a pendant des jours et des jours des étudiants et beaucoup de non-étudiants, y compris un petit chien extrêmement sympathique qui avait un compte Twitter, qui ont saccagé l’université de Tolbiac", a-t-il commencé. 

    L'ironie de Macron 

    Un brin ironique, il a enchaîné: "Il faut arrêter les bêtises! La moitié des gens ne sont pas des étudiants là depuis longtemps, ce sont des groupes anarchistes. Malheureusement, ils ont arrêté les études depuis très longtemps et n’ont pas envie de s’y remettre. Je serais très favorable à ce qu’ils reprennent les études mais eux n’ont pas envie."

    "Il n’y a eu aucune intervention avec de la violence contre eux. Il y a eu beaucoup de blessés dans nos forces de l’ordre, il n’y en a pas eu de leur côté", a encore dit Emmanuel Macron. Enfin, le chef de l'Etat a clos sa réponse en parlant de l'évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. "Et nous avons évacué des gens à Notre-Dame-des-Landes, car je pense qu’il faisait référence à ça, comme nous allons continuer à le faire" quand l'ordre public est mis en cause, a-t-il avancé.  

    BFM.TV


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  • INFORMATION EUROPE 1 - LREM visé par une enquête préliminaire sur l'origine de 144.000 euros de dons

    © ERIC FEFERBERG / AFP INFORMATION EUROPE 1

     

    L'origine de 144.000 euros de dons perçus par La République en marche en 2017 n’a pas pu être identifiée par la Commission des comptes des campagne, poussant le parquet de Paris à ouvrir une enquête préliminaire.

    Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire mardi concernant des recettes du parti La République en marche, qui n'ont pas pu être retracées par la Commission des comptes de campagne, a appris Europe 1.

    Un signalement de la Commission des comptes de campagne.

    La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) a dénoncé le 12 novembre auprès du parquet de Paris des faits "susceptibles de constituer une infraction à la législation sur la transparence de la vie publique", fait savoir le parquet. Ce signalement "fait suite au contrôle des justificatifs de recettes transmis par l’association du financement du parti LREM", poursuit-il.

    L'origine de 144.000 euros de dons non-identifiée.

    L’origine de certains dons perçus par le parti présidentiel sur l'année 2017 n’a en effet pas pu être identifiée par la CNCCFP. La somme totale de ces dons non-retracés atteint 144.000 euros, donnés par chèques, virements ou encore paiements électroniques. L’enquête préliminaire a été confiée à l’Office central de lutte contre la corruption (OCLCIFF). 

    Europe 1 très fier de sa découverte ! (rire)

    INFORMATION EUROPE 1 - LREM visé par une enquête préliminaire sur l'origine de 144.000 euros de dons


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  • Le président français s’adresse ce 18 novembre au Bundestag pour la journée de commémoration des victimes civiles et militaires des guerres et tyrannies, baptisée «Jour du Souvenir». Il doit se pencher sur les relations franco-allemandes.

    (assez vite, on n'entend plus la traduction allemande)


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  • En France des grévistes pour l'essence mais le couple Macron danse happy

     


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  • Nouvelle chute pour Macron, seulement 25% des Français en sont satisfaits

    Selon le baromètre mensuel de l'Ifop pour le JDD, la cote de popularité d'Emmanuel Macron perd encore quatre points en novembre, à 25% de satisfaits. La chute est encore plus lourde pour le Premier ministre Edouard Philippe, avec une baisse de 7 points, à 34%.

     

    La popularité d'Emmanuel Macron reprend sa descente. Après une accalmie en octobre (il était stable à 29% d'avis favorables), le Président perd 4 points en novembre et ne réunit plus que 25% de satisfaction, selon notre baromètre Ifop*. C'est une fois encore son plus bas niveau qui est atteint. Depuis le début de l'année, le chef de l'Etat a tout simplement perdu dans notre enquête mensuelle la moitié de son capital, puisqu'il était encore à 50% de popularité en janvier.

    Emmanuel Macron espérait se relancer en novembre avec sa longue "itinérance mémorielle", mêlant commémorations de l'Armistice et contact direct avec les Français : c'est raté, l'opinion retenant sans doute avant cela la colère sociale qui s'est cristallisée à travers le mouvement des "gilets jaunes". Le décrochage est le plus prononcé chez les commerçants-artisans-chefs d'entreprise et les ouvriers (-9 points par rapport à octobre), mais aussi chez les moins de 34 ans et les salariés du public. De même, les sympathisants LR ne sont plus que 18% à être bienveillants à son égard (-(-9) tandis que le Président n'est pratiquement plus porté que par le socle macroniste (84%).

     

    Macron se rapproche des records d'impopularité de Hollande

    Nouvelle chute pour Macron, seulement 25% des Français en sont satisfaits

    Les scores enregistrés ces derniers mois par Emmanuel Macron se rapprochent de plus en plus de ceux - historiquement bas dans la Ve République - de François Hollande lorsqu'il était à l'Elysée. En novembre 2013, à la même période de sa présidence, François Hollande recueillait en effet 20% de satisfaction. L'écart n'avait jamais été aussi faible entre le socialiste et son ancien conseiller. D'autant que l'ancien chef de l'Etat était légèrement remonté les deux mois suivants (22%), avant de sombrer pour atteindre 13% l'année suivante, en novembre 2014. Pour rester dans la comparaison, Nicolas Sarkozy avait pour sa part encore 44% de popularité en novembre 2008.

    Le Premier ministre n'est pas épargné par la chute, alors qu'il n'avait été jamais autant éloigné de la popularité de son binôme. Edouard Philippe perd même 7 points en un mois et retrouve 34% de satisfaction, comme en septembre. Une autre victime des gilets jaunes? Le chef du gouvernement avait en personne annoncé mercredi plusieurs mesures destinées à compenser la hausse des prix du carburants et à désamorcer la grogne. Là encore raté : il perd dans les mêmes catégories de la population que le chef de l'Etat, avec notamment 11 points de recul chez les 18-24 ans et les commerçants-artisans-chefs d'entreprise. Mais aussi... les sympathisants LR (36%), son ancien parti.

    le JDD.fr

    Encore 25 % de pro macron, soit de français cons !


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  • Ajoutée le 17 avr. 2017

    Résumé des déclarations délirantes du candidat de la finance et de l'escroquerie.

     


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  • Macron inaugure le TGV marocain financé à 50% par la France !

    Al-Boraq est entré légèrement en avance dans l’immense gare blanche de Rabat, tout juste terminée. A bord du nouveau TGV, Emmanuel Macron et Mohammed VI ont profité d’une dizaine de minutes supplémentaires avant de descendre sur le quai.

     

    Les deux hommes venaient de déjeuner dans les wagons du premier train grande vitesse du continent. Au bout de sept ans de chantier (et trois ans de retard), cette ligne de 350 kilomètres relie désormais Casablanca à Tanger en deux heures et dix minutes, soit un temps de trajet divisé par deux.

    La facture de 2 milliards d’euros à été pour moitié prise en charge par la France, via différents prêts. Présenté par l’Elysée comme un «phare de la relation bilatérale entre la France et le Maroc», le projet titanesque, lancé pendant le mandat de Nicolas Sarkozy et impliquant plusieurs groupes tricolores (Vinci, Alstom, SNCF, Cegelec…), doit servir de vitrine pour décrocher d’autres contrats ferroviaires en Afrique.

    Côté marocain, il entre dans la logique de développement de la région de Tanger, qui se présente comme un hub à la croisée des deux continents.

    Réservé à une élite économique

    «Le TGV n’est pas un luxe quand on estime que la mobilité est un élément majeur de développement d’un pays, qui permet de rejoindre les deux grands centres économiques du royaume, avec d’un côté Casablanca où siègent les banques et les grandes entreprises, et de l’autre Tanger, pôle portuaire industriel international», explique l’économiste spécialisé dans l’évaluation des politiques publiques Mehdi Fakir.

    Un train réservé à une élite économique, c’est justement le reproche adressé par certains voyageurs marocains. Ce jeudi, tous les trains de l’Office national des chemins de fer (ONCF) desservant Rabat ont été suspendus «pour des raisons de sécurité liées à l’inauguration royale du TGV». Un mois plus tôt, le déraillement d’un train classique avait provoqué la mort de sept personnes sur ces mêmes rails.

    Mal Barrés


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  • Congrès des maires de France: Emmanuel Macron ne s'y rendra pas cette année

    L’an dernier, il avait pourtant promis de venir chaque année « rendre compte des engagements » du gouvernement…

     

    Alors que le Congrès des maires de France doit se tenir du 20 au 22 novembre prochain, à Paris, Emmanuel Macron a d’ores et déjà prévenu qu’il ne serait pas de la partie cette année, a annoncé l’Elysée dans un communiqué de presse, ce jeudi. Le chef de l’Etat a choisi de recevoir mercredi à l’Elysée le bureau de l' AMF et plusieurs centaines de maires, a ajouté le palais présidentiel.

    Alors que le chef de l’Etat avait promis l’an dernier de venir chaque année « rendre compte des engagements » du gouvernement devant le Congrès de l’Association des Maires de France, c’est le Premier ministre Edouard Philippe​ qui s’y rendra pour prononcer le discours de clôture.

    20 Minutes

    Une promesse de plus non tenue mais on a l'habitude !


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  • La scène s’est déroulée le 10 novembre sur la clairière de Rethondes, lors de l’inauguration d’une plaque commémorative du centenaire de l’Armistice.

    Samedi 10 novembre, le président Emmanuel Macron et Angela Merkel étaient à Compiègne pour inaugurer une plaque commémorant la signature de l'Armistice de la Première Guerre mondiale. Le duo franco-allemand s'est retrouvé sur la clairière de Rethondes, le lieu même où a été scellée la fin de la guerre 1914-1918, pour dévoiler cette nouvelle plaque au pied de la Dalle sacrée posée au centre de la clairière et y déposer une gerbe.

    À l'issue de cette cérémonie, Emmanuel Macron et Angela Merkel sont allés saluer quelques invités présents à l'inauguration. Parmi eux, une centenaire a été particulièrement émue par cette rencontre avec le président français. "Une petite dame comme moi, serrer la main du président de la République, c'est fantastique. Ne me faites pas pleurer", a-t-elle ajouté pendant qu'Emmanuel Macron lui tenait chaleureusement la main.

    "Vous êtes Madame Macron ?"

    Angela Merkel, qui se tenait au côté du président français, s'est alors avancée à son tour pour saluer l'ancêtre qui n'a pas semblé reconnaître la chef du gouvernement allemand. Au moment d'immortaliser la rencontre, la vieille dame demande ainsi à Angela Merkel : "Vous êtes Madame Macron ?". Ce à quoi l'intéressée répond patiemment à deux reprises : "Je suis la chancelière d'Allemagne". Cet échange à la fois tendre et amusant a été repéré par la RTBF (Radio Télévision Belge Francophone) avant d'être repris sur les sites français.

    Le Figaro Madame

    On peut lui pardonner, à son âge, d'être contente de rencontrer macaron ! (rire)


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  • Emmanuel Macron et Angela Merkel commémorent l'armistice dans la clairière de Rethondes

    Les deux dirigeants ont dévoilé une plaque pour réaffirmer «la valeur de la réconciliation franco-allemande».

    Emmanuel Macron et Angela Merkel ont dévoilé ce samedi une plaque pour commémorer l’armistice de 1918, lors d’une cérémonie hautement symbolique dans la clairière de Rethondes (nord) où fut scellée la fin de la Première Guerre mondiale.

    C’est la première fois depuis 1945 que le président français et le chef du gouvernement allemand se rencontrent dans ce mémorial, situé dans une clairière de la forêt de Compiègne. L’armistice y fut signé le 11 novembre 1918, dans un wagon restaurant, mettant un terme à un conflit qui fit 18 millions de morts.

    Lors d’une cérémonie sobre et sans discours, épargnée par le crachin, les deux dirigeants ont dévoilé une nouvelle plaque au pied du monument la «Dalle sacrée». Le président français et la chancelière allemande ont déposé une gerbe avant une courte visite dans une réplique du wagon, reconstituée en 1962.

    Sur la nouvelle plaque figure ce court texte : «A l’occasion du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918, Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République Francaise, et Madame Angela Merkel, Chancelière de la République Fédérale d’Allemagne, ont réaffirmé ici la valeur de la réconciliation franco-allemande au service de l’Europe et de la paix». 

    Une inscription nettement moins martiale que les termes toujours gravés sur la «Dalle sacrée» : «Ici le 11 novembre 1918 succomba le criminel orgueil de l’empire allemand vaincu par les peuples libres qu’il prétendait asservir».

    Libération 


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