• Fort de Brégançon : Macron a reçu l’autorisation de construire une piscine

    Le président de la République, qui arrivera dans son lieu de villégiature juste après le conseil des ministres du 3 août, disposera, comme il le souhaitait, d’une piscine hors-sol dont la construction a tant fait parler.

    Son évocation avait fait polémique, mais la piscine du fort de Brégançon (Var), voulue par Emmanuel et Brigitte Macron, sera bel et bien construite. Le président de la République a obtenu l’autorisation des Architectes des bâtiments de France (ABF), a confirmé son entourage au Figaro. Le site étant classé monument historique, la construction de cette piscine nécessitait en effet l’accord de l’ABF.

    Le chef de l’État a privilégié une piscine hors-sol car «il était impossible de creuser dans le terrain», son coût est plus «raisonnable» et ce bassin, qui sera démontable, peut être construit en seulement quelques jours. Emmanuel Macron souhaitait que la construction de la piscine soit finalisée dès cet été. Le président de la République a, en effet, prévu d’arriver au fort de Brégançon «après le dernier conseil des ministres qui a lieu le (vendredi) 3 août, pour une dizaine de jours», précise l’Élysée. Lorsque le président n’y séjournera pas, le lieu de villégiature, dont la gestion est désormais assurée par la présidence, restera ouvert au public.

    L’achat et l’installation de la piscine, profonde de 1,2 mètre et longue de dix mètres sur quatre, coûteront 34.000 euros, nous a confirmé la présidence. La somme sera prélevée sur le budget de Brégançon, qui s’élève à 150.000 euros par an (contre 200.000 auparavant). Ce montant n’a pas manqué de susciter l’émoi de certains élus politiques. Pour faire passer la note, la présidence de la République a fait valoir que la construction de cette piscine leur permettrait de se baigner tranquillement, à l’abri des regards indiscrets et ainsi d’éviter d’utiliser la plage en bas du fort. Un déplacement qui nécessite la mobilisation, selon l’Élysée, de onze gendarmes postés sur des bateaux de sauvetage au large et qui coûterait 60.000 euros chaque été.

    Le Figaro.fr

    Manu a peur que l'on voit mémé brizitte ! Pourtant elle ne se gêne pas de montrer ses jambes et ses cuisses en public :

    Fort de Brégançon : Macron a reçu l’autorisation de construire une piscine

    Fort de Brégançon : Macron a reçu l’autorisation de construire une piscine

    Fort de Brégançon : Macron a reçu l’autorisation de construire une piscine

    Fort de Brégançon : Macron a reçu l’autorisation de construire une piscine

    Fort de Brégançon : Macron a reçu l’autorisation de construire une piscine

    etc. etc. etc. Pas besoin qu'elle soit sur une plage pour montrer ses jambes allumettes voir plus ... !!!


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  • Macron est nul face à l'interpellation de l'ouvrier !


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  • C'était avant les élections, hélas, les français n'ont pas compris puisqu'il a été élu ! macron se contente de sourire ...


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  • Ne manquez pas Brizitte qui nous montre toujours ses jambes allumettes !


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  • Ajoutée le 12 juil. 2018

    Suite à notre appel lancé auprès de l'armée française et des forces de l'ordre, Serge Petitdemange enfonce le clou et exige, au nom du peuple, la démission du président illégitime Emmanuel Macron.

    Mais qui  c'est celui là ??? Il en dit des vérités !!!

    J'ai trouvé le site  de ce monsieur :

    http://rrf13.e-monsite.com/pages/a-la-decouverte-de-r-r-f/historique.html


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  • Plan pauvreté et Coupe du monde : la colère de Macron après les propos de sa ministre de la Santé

    Quand il a découvert les propos de la ministre Agnès Buzyn liant le report du plan pauvreté et la Coupe du monde, Emmanuel Macron s'est mis en colère, raconte Le Canard Enchaîné. "Comment peut-on sortir des conneries pareilles?", s'est énervé le chef de l'Etat.

    La présentation du plan pauvreté? "Cela dépend peut-être aussi des matches de l'équipe de France. Il faut aussi de la disponibilité", lâchait la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, sur LCI. "Normalement, ce plan devrait être présenté autour du 10 juillet, mais nous verrons si la France est en demi-finale ou pas", complétait-elle, provoquant dans la foulée une polémique sur l'opportunité de lier les deux événements. Les membres du gouvernement avaient passé ensuite plusieurs jours à déminer l'affaire.

    Une bourde donc. Et Agnès Buzyn en a pris conscience. Selon Le Canard Enchaîné, elle a "fondu en larmes devant le Premier ministre et certains de ses collègues".

    La colère d'Emmanuel Macron

    Si sur le fond, le plan pauvreté n'était pas prêt à être présenté, c'est la forme de l'annonce - en le liant au football, même si en effet en pleine Coupe du monde, les yeux des Français sont davantage tournés vers leur équipe nationale, qui plus est après la qualification en finale - qui a énervé Emmanuel Macron. "Comment peut-on mêler le foot et le plan? Comment peut-on sortir des conneries pareilles? C'est n'importe quoi! Non seulement ils n'ont pas fait le boulot, mais ils me font porter le chapeau! Mais ils sont dingues!", aurait lancé le Président à son retour du Nigeria.

    Une fois la bourde passée, le gouvernement a insisté sur le fait que le report à l'automne du plan ne retarderait pas son entrée en vigueur, à savoir au 1er janvier 2019. Devant le congrès réuni à Versailles, Emmanuel Macron - sans donner de détails sur son contenu - a défendu sa philosophie : "Pas de nouvelles aides, en solde de tout compte, mais un accompagnement réel vers l'activité."

    le JDD.fr

    macaron avait pourtant bien dit qu'on allait attendre le résultat de la demi finale, où macaron est allé, pour parler du plan pauvreté !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MERCREDI 11 07 2018

    Une certaine ressemblance !

     

    Passez une bonne journée


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  • Les élucubrations de macron à Versailles.

    Dans son discours lénifiant qui a coûté 3177,77 €/minute macron a déclaré que « La république n'a aucune raison d'être en difficulté avec l'islam », c'est du négationnisme mais comme c'est le roi des cons qui le dit il n'y a plus rien à dire...les voix des électeurs musulmans sont sacrées.

    La bouffe halal imposée dans les cantines, les prières de rue, l'égorgement à vif des animaux dans les abattoirs, les horaires de piscine aménagées, les zones de non droit, les femmes déguisées en sacs poubelles qui refusent d'enlever le voile lors des contrôles de police, l'antisémitisme institutionnel, l’homosexualité l'abomination religieuse, les femmes dans les rues agressées pour leur tenue...Tiens, qu'il envoie sa pouf faire un tour dans les quartiers en éclaireuse, elle qui a toujours le foin qui dépasse de la charrette quand elle se baisse, elle rentrera rasée de près...

    Mais à par ça la république n'a aucune raison d'être en difficulté avec l'islam.  sauf que si on suppose que la république n'a pas de problème avec l'islam, l'islam lui a un très gros problème avec la république, si elle n'est pas islamique.. et çà, le roi des cons fait toujours semblant de l'ignorer.

    Macron appelle à un patriotisme nouveau

    Il décrit le "combat en train de se livrer entre le repli nationaliste et le progressisme contemporain". "Je m'attacherai à ce combat" En fait il veut supprimer tous les partis souverainistes, il a déjà débuté avec l'ex FN à l'aide de sa nouvelle justice aux ordres, et les autres suivront pour le bien de sa « nation ». Son combat n'est pas celui des idées, il en est dépourvu, il utilise le parquet financier pour éradiquer ses adversaires comme hollande l'avait fait avec les Républicains. Mélenchon ne risque rien, il est l'idiot utile de macron.

    Il redéfinit le sens du patriotisme, il n'est pas national, il est mondialiste. La nation France et les français qui la composent ne représentent rien à ses yeux. Il ne reconnaît qu'une seule nation, celle de la finance internationale composée de banquiers et de spéculateurs.

    Stan : http://pauvrefrance.centerblog.net/

    Trop bien ce qu'il dit de la pouf du petit roi poudré !!!


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  • Congrès : Macron formule une proposition... récemment rejetée par son propre parti

    Le président souhaite débattre avec les parlementaires lors du prochain Congrès en 2019, ce que la Constitution interdit jusqu'ici. Une proposition rejetée fin juin par le patron des députés marcheurs, Richard Ferrand...

    C'est une absence très remarquée. Après son discours devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles, ce lundi, Emmanuel Macron quitte la tribune, raccompagné par le président de l'Assemblée nationale, François de Rugy. La séance est suspendue pendant dix minutes, puis les quelque 900 députés et sénateurs rejoignent leur place. Les présidents des groupes parlementaires de l'Assemblée et du Sénat se succèdent pendant plus de deux heures à la tribune de la salle du Congrès, décorée de stuc et de deux grandes tapisseries des Gobelins. Mais le président n'est plus là. l'article 18 de la Constitution précise qu'un «débat» peut avoir lieu... Mais «hors sa présence».

    L'année prochaine, Emmanuel Macron pourrait bien rester dans la salle pour «écouter» l'opposition et lui «répondre». «J'ai demandé au gouvernement de déposer dès cette semaine un amendement au projet de loi constitutionnel, qui permettra que lors du prochain Congrès je puisse rester, non seulement pour vous écouter, mais aussi pour pouvoir vous répondre», a déclaré le chef de l'État, alors que la révision constitutionnelle est examinée dès ce mardi en première lecture dans l'hémicycle de l'Assemblée. Le président de la République veut ainsi répondre «aux pires reproches» faits «à cette procédure», en référence aux critiques de parlementaires de l'opposition. Certains, parmi lesquels des députés de la France Insoumise (LFI), ont choisi de boycotter le rendez-vous, dénonçant un exercice «autocratique, monarchique».

     

    Proposition rejetée par LaRem

    Ironie du sort, cette proposition d'Emmanuel Macron a déjà été formulée à l'Assemblée nationale... et rejetée par les députés de son propre parti, La République en marche (LaREM). Lors du passage en commission des lois du projet de loi constitutionnelle, fin juin, plusieurs amendements ont été déposés dans ce sens par les élus communistes Sébastien Jumel et André Chassaigne (PCF), le centriste Jean-Christophe Lagarde (UDI), le nationaliste corse Michel Castellani (non-inscrit) et le macroniste Paul Molac (LaREM). Objectif de leur texte: que «le président de la République puisse entendre nos réponses et que ce moment ne soit pas le moment d'expression unilatérale d'un discours descendant, voire condescendant, de ce Dieu qui n'est pas le moins du monde caché», avait souligné Sébastien Jumel.

    Mais Richard Ferrand, le président du groupe LREM à l'Assemblée, rapporteur général du texte et proche d'Emmanuel Macron, avait souligné qu'on «remettrait en jeu la position de non-responsabilité devant le Parlement» du chef de l'État. «L'esprit de 2008» (la possibilité pour le chef de l'État de s'exprimer devant le Congrès a été rétablie en 2008, NDLR) est «cohérent et pertinent». Et de conclure: «Il ne peut être interpellé directement».

    Le Figaro.fr

    Surtout n'oubliez pas que cette réunion a coûté presque 300 000 € !

    Les dépenses somptueuses continuent !

    Tout ça, pour entendre des "conneries" !

     


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  • Par RT FRANCE


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  •  

    Congrès de Versailles: "Je sais que je ne réussis pas tout" avoue Macron

    En introduction de son discours au Congrès de Versailles, le président a assuré ne pas avoir oublié les colères et les peurs des Français.

    En congrès à Versailles devant le Parlement, Emmanuel Macron a, dans son long discours, tenu à rassurer, en expliquant ne pas avoir oublié "les peurs, les colères, accumulées pendant des années", qui ont conduit à son élection et "n'ont pas disparu en une année", disant savoir qu'il "ne réussi(t) pas tout".

    "Je n'ai rien oublié, et vous non plus, du choix que la France a fait il y a une année", entre d'un côté "toutes les tentations de la fermeture et du repli et de l'autre la promesse républicaine, entre d'un côté tous les mirages du retour en arrière et de l'autre les yeux ouverts, le réalisme et l'espérance assumée", a-t-il déclaré devant les parlementaires.

     

    Emmanuel Macron a également souligné "la peur du déclassement pour soi-même et ses enfants", "la rage devant l'impuissance publique", et "un pays qui se sent coupé en deux non pas seulement entre parties opposées mais, plus grave encore, entre sa base et son prétendu sommet".

    Evoquant "l'impression du citoyen d'être ignoré, méprisé", il a parlé, "à la base", "des femmes et (des) hommes au travail ou qui cherchent du travail sans en trouver, tous ceux qui ont du mal à boucler les fins de mois", face "au sommet, ceux qui sont au pouvoir, leur discours de soi-disant puissants qui ne change jamais rien et auquel, en plus, on ne comprend plus rien."

     

    "Je n'oublierai pas"

    "Je n'ai rien oublié de ces colères, de ces peurs", a-t-il insisté, en parlant également de la "'peur de l'autre, des grands changements, du fracas du monde, les tensions avec l'Iran, la guerre commerciale lancée par les États-Unis, les divisions de l'Europe".

    "Je n'ai pas oublié, je n'oublie pas, et je n'oublierai pas", a-t-il martelé.

    "C'est pourquoi je suis devant vous", "humble mais résolu", et "je vais vous faire une confidence: il y a une chose que tout président de la République sait: il sait qu'il ne peut pas tout, il sait qu'il ne réussira pas tout, et je vous le confirme, je sais que je ne peux pas tout, je sais que je réussis pas tout".

    "Mon devoir est de ne jamais m'y résoudre et de mener inlassablement ce combat", a-t-il encore dit, soulignant que "tout président de la République connaît le doute, bien sûr, et je ne fais pas exception à la règle", a-t-il assuré.

    BFM.TV 


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  • RT FRANCE

    On n'en a pas entendu parler dans les merdias ! On ne parle que du pauvre policier qui a tué involontairement un jeune délinquant et aussi de la Coupe du monde de foot !


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  • Macron dévisse fortement dans les sondages

    Le chef de l'Etat voit un brutal décrochage de sa cote de popularité et tombe à 34% de confiance, selon un sondage Elabe pour Les Echos et Radio Classique. C'est à peine trois points de plus que François Hollande au même moment de son mandat...

    C'est un signal inquiétant pour le chef de l'Etat. Selon le baromètre Elabe pour «Les Echos» et Radio Classique, la cote de confiance d'Emmanuel Macron dévisse au mois de juin. Alors qu'il se maintenait à un peu plus de 40% d'opinions favorables depuis son accession à l'Elysée, le président de la République voit la part de Français le soutenant chuter à 34%, quand celle de ceux qui ne lui font pas confiance progresse de 5 points à 60%. "C'est le mois de tous les records pour Emmanuel Macron. Il atteint son niveau le plus bas depuis le début du quinquennat, il affiche sa plus forte baisse et les fractures entre les catégories socioprofessionnelles et les territoires n'ont jamais été aussi fortes", analyse le président d'Elabe Bernard Sananès, interrogé par le quotidien économique. Autre indicateur qui devrait alerter Emmanuel Macron: sa cote de popularité se situe à peine trois points au-dessus de celle de François Hollande au même moment de son mandat.

     

    Pensions de réversion, 80km/h, crise des migrants...

    Plusieurs pistes pourraient expliquer cet effondrement. La communication tous azimuts du chef de l'Etat qui en quelques semaines a rabroué sèchement un collégien qui l'appelait "Manu" lors de la cérémonie du 18 juin, évoqué le "pognon de dingue" des aides sociales, avant de poser avec des danseurs transgenres à l'Elysée. Des épisodes qui ont pu dérouter une partie des Français. Le couac gouvernemental sur les pensions de réversion a encore affaibli la cote de popularité du président de la République chez les 50-64 ans, chez lesquels sa popularité chute de 12 points. Enfin, la crise migratoire éprouve le "en même temps" présidentiel: jugé trop laxiste par la droite et trop sévère par la gauche, le chef de l'Etat perd de chaque côté de l'échiquier politique, en recule de 3 points à gauche à 26%, et de six points à droite à 35%. Enfin l'obstination de l'exécutif sur la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes nationales, mesure décriée par près des trois-quarts des Français, a coûté cher au président de la République et à son Premier ministre, qui perd lui aussi six points à 31% d'opinions favorables.

    Challenges

    Youpi !


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  • L’annonce du « plan pauvreté » suspendue aux résultats des Bleus

    Alors qu’elle devait intervenir mi-juillet, la présentation des mesures du « plan pauvreté » par Emmanuel Macron est reportée. En cause : la Coupe du monde.

     

    C’est ce qui s’appelle avoir le sens des priorités.

    Alors qu’il devait annoncer les grandes lignes du très attendu « plan pauvreté » aux alentours du 10 juillet, Emmanuel Macron a décidé de repousser cette annonce… qui pourrait rentrer en conflit avec sa présence à la potentielle demi-finale de Coupe du monde de l’équipe de France.

    « Ça dépend peut-être aussi des matches de l’équipe de France », a annoncé la ministre des Solidarités et de la Santé Agnès Buzyn, ce mercredi, évoquant une question de « disponibilités ». Emmanuel Macron avait en effet « promis » qu’il se rendrait en Russie pour soutenir les Bleus si l’équipe de France se qualifiait pour les demi-finales. Or une potentielle demie, contre le Brésil ou la Belgique, se tiendrait le 10 juillet à 20 heures.

    Le chef de l’Etat ne voulait certainement pas voir une annonce de cette ampleur passer inaperçue, engloutie entre deux matchs de Coupe du monde à très fort enjeu. L’annonce est donc reportée... à la rentrée, un moment où les Français devraient être plus réceptifs. Et certainement de bien meilleure humeur, si les Bleus venaient à revenir de Russie avec la médaille d’or.

    Le rapprochement de ces deux événements et la justification du report de l’un par l’autre n’a en tout cas pas amusé la classe politique, qui n’a pas manqué de réagir via Twitter.

    Le Parisien

    Que culot ce petit roi poudré !


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  • Sans oublier la Fête de la musique à l'Elysée, la décadence de la France !


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  • Mali: trois morts dans un attentat-suicide

    L'attaque intervient trois jours seulement avant qu'Emmanuel Macron ne se rende au Mali, dont la visite devait justement passer par le QG de la force G5-Sahel qui a été touché !

    Ce vendredi, un attentat revendiqué par un groupe jihadiste a frappé pour la première fois le quartier général de la force antijihadiste du G5 Sahel à Sévaré, dans le centre du Mali, faisant trois morts, à trois jours d'une rencontre entre les dirigeants de cette force et Emmanuel Macron.

    En plus des victimes, deux des six assaillants ont péri dont un kamikaze à bord d'une voiture piégée.

    Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, principale alliance jihadiste du Sahel, liée à Al-Qaïda, a revendiqué l'attentat dans un appel téléphonique de l'un de ses porte-parole à l'agence privée mauritanienne Al-Akhbar, connue pour recevoir et diffuser régulièrement des communiqués de cette mouvance.

     

    Trois jours avant l'arrivée d'Emmanuel Macron

    Il s'agit de la première attaque contre le quartier général de la force conjointe, lancée en 2017 par le G5 Sahel, organisation régionale regroupant le Mali, le Burkina Faso, le Niger, la Mauritanie et le Tchad.

    Elle intervient à trois jours d'une rencontre à Nouakchott, en marge du sommet de l'Union africaine dans la capitale mauritanienne, entre le président français Emmanuel Macron, qui soutient cette initiative, et ses homologues du G5 Sahel.

    Le dernier bilan s'élevait à deux militaires de cette force et un civil tués, selon les services du chef de l'Etat nigérien Mahamadou Issoufou, président en exercice du G5 Sahel, et le gouverneur de Mopti, chef-lieu de la région, le général Sidi Alassane Touré.

     

    Six assaillants

    Le gouvernement malien a précisé dans un communiqué que les deux soldats tués appartenaient à son armée. "Nous avons arrêté quatre suspects", a déclaré le gouverneur à l'AFP, ajoutant que les opérations de ratissage se poursuivraient jusqu'à l'aube.

    Les assaillants étaient au nombre de six et parlaient en bambara et en peul, a affirmé dans la soirée une source au sein de la force du G5 Sahel. Selon le porte-parole du groupe dirigé par le chef islamiste touareg malien Iyad Ag Ghaly, cité par l'agence, les assaillants ont utilisé une voiture piégée et des "infiltrés" pour perpétrer l'attentat.

    Tout le mur d'entrée a été soufflé par la déflagration, qui a projeté le véhicule à l'intérieur de l'enceinte, selon des témoins et les images diffusées après l'attaque. Les bâtiments de couleur jaune et rose du poste de commandement de la force conjointe, opérationnel depuis octobre 2017, abritent des officiers de liaison des cinq Etats membres.

    L'Express

    Trois jours trop tôt (rire)


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  • Emmanuel Macron signe la réforme ferroviaire

    La promulgation de la loi réformant le secteur ferroviaire intervient alors que les cheminots poursuivent le dernier épisode de grève cadencée commencé il y a trois mois.

    Elle est définitivement actée. Le président de la République a signé la réforme pour un nouveau pacte ferroviaire, ce jeudi après-midi, promulguant ainsi la loi. Cette signature solennelle a été faite en présence d'Élisabeth Borne, la ministre des Transports, et de Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, à l'Élysée. «Cette nouvelle page qui s'ouvre aujourd'hui pour notre système ferroviaire est importante, c'est une transformation profonde», a déclaré le chef de l'État. «Je veux dire (...) à nos concitoyens que, par cette loi aujourd'hui promulguée, le gouvernement, et avec lui le parlement, ont pris leurs responsabilités de faire ce qui était évité ou refusé depuis tant de décennies». Pour rappel, comme tout texte législatif, la loi entrera en vigueur après sa publication au Journal Officiel et celle des décrets d'application qui permettent sa mise en œuvre.

    Cette étape finale intervient quatre mois après la présentation de la réforme et de son calendrier, le 26 février dernier. Le texte avait ensuite été présenté en conseil des ministres, le mois suivant, avant de s'inviter au cœur de débats animés dans l'hémicycle. Un parcours législatif qui s'est déroulé en parallèle du mouvement social des cheminots à la SNCF, commencé au mois d'avril. Si le texte est désormais promulgué, certains syndicats refusent toujours de lâcher la pression. La CGT et SUD-Rail ont en effet appelé à la poursuite du mouvement au-delà du mois de juin et à des arrêts de travail les 6 et 7 juillet, dates correspondant aux premiers départs en vacances estivales des Français. De leur côté, la CFDT et l'Unsa ferroviaire suspendent leur participation au mouvement au-delà du 28 juin.

     

    La fin du recrutement au statut

    Mais dans les faits, quels sont les points actés par la loi? La principale mesure porteuse de discorde est la fin du recrutement au statut au 1er janvier 2020 ! Un dispositif qui offre la garantie de l'emploi et un régime de retraite spécifique, notamment. Le nouveau pacte ferroviaire entérine également l'ouverture progressive à la concurrence, deuxième «pilier» du projet de loi, dont les modalités ont été largement amendées au Sénat. Dans le détail, le calendrier prévoit que les régions qui le souhaitent puissent confier les TER à des concurrents de la SNCF, par le biais d'appels d'offres dès décembre 2019.

    Autre point clé, l'organisation de la SNCF. Le groupe sera divisé en trois sociétés anonymes à capitaux publics, à partir de janvier 2020. Le Sénat a ajouté que les titres de SNCF Mobilités, qui exploite les trains, et de SNCF Réseau, qui gère l'infrastructure, sont détenus par l'État et «incessibles». Enfin, la réforme acte la reprise d'une partie de la dette de SNCF Réseau, qui s'élève à 46,6 milliards d'euros à fin 2017. Dans le détail, 35 milliards d'euros seront repris, dont 25 milliards en 2020 et 10 milliards en 2022.

    Le Figaro.fr

    Et bien macaron se fiche pas mal des cheminots !


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