• Affaire Benalla : "On a certainement minimisé", reconnaît Brigitte Macron

    Création de Stan/pauvrefrance

    Moi, j'avais très peu affaire à lui, donc j'ai été un peu surprise", explique jeudi sur RTL l'épouse du chef de l'Etat à propos du chargé de mission à l'Elysée.

    "On a certainement minimisé, certainement". Dans un entretien diffusé jeudi 20 juin au soir sur RTL, Brigitte Macron reconnaît que le couple présidentiel n'a pas suffisament pris en considération l'affaire Benalla. "Personnellement, j'ai été étonnée de l'ampleur qu'elle a prise", reconnaît l'épouse d'Emmanuel Macron, ajoutant : "Moi, j'avais très peu affaire à lui, donc j'ai été un peu surprise".

    Et Brigitte Macron de poursuivre : "Peut-être aurait-il fallu dire tout de suite 'il y a un problème'. Mais ce n'est pas si facile parce que c'est de l'humain. Les gens qui travaillent avec nous, du jour au lendemain vous pouvez pas leur dire 'bah non, vous travaillez pas avec nous'".

    "Le temps lui rendra hommage"

     Dans cet entretien, l'épouse du chef de l'Etat s'exprime également sur son mari et ses deux ans passés à l'Elysée. "Je serais malheureuse si je le voyais baisser les bras, mais pas un instant, je ne l'ai vu dans une situation difficile. Il travaille, il travaille sans arrêt. Il se pose des questions, il répond à ces questions, il trouve des solutions", affirme-t-elle.

    Le président de la République a-t-il commis des erreurs durant cette première partie du quinquennat ? Réponse de Brigitte Macron : "Tout le monde en fait, c'est profondément humain et heureusement qu'on fait des erreurs. Il n'est qu'un homme.On n'a pas des réponses immédiates à tout et je pense que le temps lui rendra hommage"

    franceinfo

    J'aurai écrit : j'avais très peu à faire à lui !

    Mémé Brizitte est en admiration devant son petit Manu, elle est ridicule !


    4 commentaires
  • Jeudy Politique - Macron se prend pour Pompidou

    Dans son nouvel édito, Bruno Jeudy revient sur l'hommage adressé par Emmanuel Macron à l'ancien président de la République Georges Pompidou.

    D'un grand homme à l’autre. Emmanuel Macron aime à se comparer aux autres présidents. Enfin pas tous. Les noms de ses prédécesseurs préférés varient selon les méandres de sa propre itinérance mémorielle. Au début du quinquennat, il alterne les références au général de Gaulle et à François Mitterrand. Il n'hésite pas à surjouer la posture gaullienne. Le jeune président s'imagine dans la peau du fondateur de la Ve. Il joue (un peu) également des symboles de l'ancien président socialiste. 

    La marche triomphale le long de la Pyramide du Louvre le soir de son élection participe de ces symboles qui vont permettre à Emmanuel Macron de rentrer dans le costume présidentiel. Pour la plus grande joie de certains de ses conseillers qui voient dans le plus jeune président de la Ve une synthèse gaullo-mitterrandiste. La modestie n'étouffe pas la Macronie. Depuis, la crise des « gilets jaunes » est passée par là. Elle a balayé «Macron-Jupiter». La présidence en surplomb en a pris un coup. Et le successeur de François Hollande a dû redescendre sur terre pour découvrir les affres de la démocratie participative via le « grand débat national ».

    "

    Il a une tête de Français

    "

    Au seuil de l'acte 2 de son mandat qu'il veut « plus humain », « plus proche des territoires et des Français », Emmanuel Macron s'est trouvé une nouvelle source d'inspiration : Georges Pompidou. Célébrant mercredi à l'Elysée le cinquantième anniversaire de l'élection du deuxième président de la Ve, Emmanuel Macron a rendu un hommage appuyé à son prédécesseur de droite, dirigeant emblématique d'une « France heureuse et prospère ». Un président aimé des Français notamment pour sa simplicité et sa modestie.

    En quête de réhabilitation auprès de Français qui ne l'apprécient guère, Emmanuel Macron a sauté sur l'occasion pour dresser un portrait en miroir de sa propre personne. Il a salué la « capacité à embrasser la modernité, à ne pas avoir peur du progrès, à prendre des risques » de Georges Pompidou. N’hésitant pas à se paraphraser, l'actuel président a ensuite relevé dans le bilan qu’il a dressé des années Pompidou des « permanences françaises » (l'installation des institutions) ainsi que « l'art d’être français ».

    L'occasion de réaffirmer ces deux expressions qu’il avait déjà employées, au mois d'avril, lors de sa conférence de presse post-grand débat. Deux expressions devenues, à mi-mandat, ses nouveaux credo. «Georges Pompidou pensait toujours à la fois vieille France et nouvelle France. Il avait une tête de Français», a-t-il insisté en évoquant le visage si particulier du natif de Montboudif dans le Cantal. A l'entendre donc, le fils de médecins d'Amiens monté à la capitale pour réussir sa vie aurait connu une destinée similaire à celle de son illustre prédécesseur. Macron-Pompidou même combat, même destin. A voir…

    Certes, les deux hommes ont quelques points communs : des débuts de carrière dans la même banque d'affaires (Rothschild) ; un même goût pour les lettres et les arts mais le jeu des comparaison s'arrête très vite. La « Pompidou mania » bat son plein. Emmanuel Macron n'est pas le seul à vouloir se revendiquer de Georges Pompidou. Edouard Philippe l'a cité lors de son derniers discours de politique générale et François Fillon en avait fait sa référence absolue lors de sa campagne présidentielle.

    Plus giscardien que pompidolien

    En vérité, Emmanuel Macron est sûrement plus giscardien que pompidolien, plus proche du libéralisme de VGE que de la religion de l'industrie du gaulliste cantalou. Du reste, les historiens sont d'accord pour faire remarquer que la « modernité » de Pompidou a vite été dépassée par celle de son successeur assurément plus réformateur. Curieusement, Emmanuel Macron cite justement assez peu VGE depuis le début de son mandat.

    S'il a carrément zappé les années Chirac, l'actuel président prend soin de ménager Nicolas Sarkozy dont il apprécie l'énergie et la créativité. Il le consulte assez régulièrement. Il l'a invité au printemps à participer aux commémorations de la résistance sur le Plateau des Glières. N'a-t-il pas enfin repris à son compte une partie des mesures de l'ancien maire de Neuilly (heures sups défiscalisées, quotas d’immigration…) ? Le seul prédécesseur qu'il n'évoque jamais est François Hollande dont il fut le collaborateur et le ministre. Un contre-modèle pour Emmanuel Macron qui préfère puiser, là aussi, son inspiration…à droite.

    Paris Match


    3 commentaires
  • Quand un certain Macron s’en prend plein la g…

    Après Mattéo Salvini et l’Italie, notre seigneur et maître, le président de notre République, Emmanuel Macron, qui se voit déjà en dictateur de l’Europe, en prend plein la gueule de la part de Santiago Abascal et de l’Espagne.

    e président du parti VOX le remet proprement à sa place en lui demandant de s’occuper de ses propres affaires et surtout de ne pas s’ingérer, ni d’intervenir, dans la politique d’un pays européens dont il n’est pas encore le Maître d’œuvre : « Vous devriez plutôt vous préoccuper de votre France islamique »,lui a répondu le leader charismatique du parti d’extrême droite VOX Espagne.

    Macron s’était permis de conseiller au parti centriste « Ciudadanos » de ne pas pactiser avec le parti d’extrême droite VOX.

    Il supposait que ce parti centriste était à sa botte comme l’est, en France, le parti MODEM, dirigé par, paraît-il, François Bayrou.

    Ce que Macron n’a pas encore compris c’est que ce parti d’extrême droite espagnol n’est pas « diabolisé » par la marque indélébile « Le Pen ».
    Qu’il était pratiquement invisible encore en 2017 et qu’aujourd’hui il permet à la droite espagnole, celle du Parti Popular, d’occuper la Mairie de la capitale Madrid, en lieu et place de l’extrême gauche.

    De remplacer la « Podemos » Manuela Carmena par le populaire José-Luis Martinez-Almeida et cela grâce au pacte réussi entre le Parti Popular, Ciudadanos et Vox et cela s’est également produit dans d’autres mairies.

    « Monsieur Macron devrait apprendre à ne pas mettre son nez dans la politique espagnole. Il devrait plutôt se préoccuper de toutes ces églises incendiées et cimetières vandalisés en France, de ramener la paix les samedis dans son pays et de rendre à ses compatriotes leur identité nationale étranglée par une France islamisée.

    Et il devrait également s’intéresser de plus près au parti qui a gagné les dernières élections européennes et a démontré que la France en a « plein le dos » d’un président globaliste et ennemi de la souveraineté de sa Nation. »

    Une Nation qui a malheureusement la malchance de posséder la droite la plus bête du monde… » qui avait » car actuellement elle n’existe même plus !

    Cela est fort bien envoyé, Monsieur Abascal, et vous ajoutez qu’à partir de ce prochain samedi, pour en finir avec la politique de l’extrême gauche, la mafia des vendeurs africains, « Los Manteros » qui sèment le trouble à Madrid, n’auront plus droit de se propager à volonté.

    On peut être assuré qu’il ne s’agit pas d’une promesse électorale, comme celle du ministre de l’intérieur, Castaner, qui « envisage de réfléchir sur la question des quotas de l’immigration ». De qui se moque-t-il ? A moins qu’il envisage de les « stabiliser » à 400.000 par an, ou un peu plus ? L’été arrive et la saison de la pêche (aux voix) est ouverte, qu’on se le dise !

    © Manuel Gomez pour Dreuz.info.


    6 commentaires
  • Macron célèbre l'Appel du 18 juin avec l'un des derniers Compagnons de la Libération

    Macron célèbre l'Appel du 18 juin avec l'un des derniers Compagnons de la Libération

    Dessin  & texte de Stan : La présence de macron en ces lieux dont il est l’antithèse, est un blasphème.

     

    Âgé de 98 ans, Hubert Germain est l'un des quatre Compagnons de la Libération encore en vie.

    Emmanuel Macron a célébré mardi au Mont-Valérien, à Suresnes, dans les Hauts-de-Seine, le 79e anniversaire de l'Appel du 18 juin en compagnie de l'un des quatre des derniers Compagnons de la Libération, Hubert Germain, âgé de 98 ans.

    En présence d'anciens combattants et de nombreux enfants, le chef de l'État a assisté aux commémorations de l'Appel lancé en 1940 par le général de Gaulle et s'est recueilli dans la crypte aux victimes du nazisme en étant accompagné, pour la première fois, de deux arrière-petits-enfants de combattants de la 2e Guerre mondiale.

    Le dernier d'entre eux sera inhumé au Mont-Valérien

    Hubert Germain, né en août 1920, est l'un des quatre Compagnons de la Libération encore en vie, sur les 1.038 qui avaient été distingués pour leur engagement au sein de la France libre pendant l'Occupation allemande. Les trois autres sont Daniel Cordier, Pierre Simonet et Edgard Tupët-Thomé. Il est prévu que le dernier d'entre eux qui décédera sera inhumé au Mont-Valérien, le principal lieu d'exécution de résistants et d'otages par l'armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale. Charles de Gaulle y a inauguré en 1960 le Mémorial de la France combattante.

    Anciens combattants, enfants et salutations

    À l'issue de la cérémonie, en présence notamment de la ministre des Armées Florence Parly et de la secrétaire d'État aux anciens combattants Geneviève Darrieussecq, Emmanuel Macron a salué pendant près d'une heure de nombreux anciens combattants, invités et enfants. L'an dernier, il avait à cette occasion sèchement recadré un jeune qui l'avait appelé "Manu".

    Europe 1

     


    3 commentaires
  • Qu'il s'envole, retombe en Afrique et se fasse bouffer par un lion !

    Et vous, vous écririez quoi ?


    6 commentaires
  • LaRem dévoile ses premiers candidats aux municipales de 2020

    © Joel Saget - AFP Stanislas Guerini

    La République en marche a dévoilé lundi ses 19 premiers candidats pour les élections municipales, de Toulon à Mayenne en passant par Pontarlier, en se fixant l'objectif d'atteindre au moins 10.000 conseillers municipaux après mars 2020.

    Désireuse de réussir son "implantation territoriale", selon son délégué général Stanislas Guerini, LaRem a donné le coup d'envoi de ses investitures, qui devraient s'étaler jusqu'à décembre. Il faudra en effet le temps pour trancher des cas épineux, notamment dans les plus grandes villes (Paris, Lyon, Marseille, Toulouse...).

    Sortants et nouveaux arrivants 

    Lundi, le parti présidentiel a sélectionné pour sa première vague quelques cas emblématiques des problématiques de terrain, entre soutiens à des maires sortants jugés compatibles ou mises en avant de "marcheurs" pur sucre pour accomplir la promesse de renouvellement. Ainsi, afin de "favoriser le rassemblement", les maires sortants issus de centre-gauche ou droite bénéficieront du soutien de LaRem à Valenciennes (Laurent Degallaix), Clichy-sous-Bois (Olivier Klein), à Saint-Orens de Gameville en Haute-Garonne (Dominique Faure), ou encore à Alençon (Emmanuel Darcissac). À Nevers, le maire Denis Thuriot, rallié de longue date à LaRem, sera logiquement appuyé. 

        

    Des cadres de LaRem ont également reçu des investitures comme la députée Cécile Muschotti qui défiera le maire (LR) Hubert Falco à Toulon, le député Romain Grau, qui affrontera à Perpignan le député RN Louis Aliot, ou encore le vice-président du conseil général du Doubs Pierre Simon à Pontarlier. Mais aussi des simples marcheurs, comme l'avocat Gérard Chemla à Reims, l'entrepreneuse Rachida Kaaout à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) ou le pompier professionnel Josselin Chouzy à Mayenne. 

    Multiplier par cinq le nombre de conseillers 

    Autre symbole, Benoît Mathieu, fondateur d'un site d'information local, mènera une liste à Cavaillon (Vaucluse) où le Rassemblement national est en position de force. "Il faudra faire un choix républicain en cas de risque de victoire du RN sur nos territoires", a souligné Stanislas Guerini. "Ce sera vrai dans nos stratégies de premier tour et ce sera un réflexe évident dans les stratégies de deuxième tour", a-t-il insisté.

        

    Plus généralement, l'objectif est d'améliorer le maillage territorial du parti présidentiel qui a "besoin d'élus locaux progressistes". "Nous avons besoin de ce relais local, qui parfois nous a fait défaut, pour réussir le dernier kilomètre de la réforme", a renchéri Stanislas Guerini. "Nous comptons aujourd'hui 2.000 conseillers municipaux" avec l'étiquette LaRem. "Nous voulons au moins multiplier par cinq" ce chiffre, notamment dans la perspective des élections sénatoriales de septembre 2020, a-t-il ajouté. 

    BFM.TV

     


    3 commentaires
  • Nord : six députés LREM écrivent à Stanislas Guerini pour dénoncer des problèmes au sein du mouvement

    Ils annoncent leur retrait du comité politique d'En Marche dans le département.

    Six députés LREM du Nord ont écrit un courrier à Stanislas Guerini, délégué général du mouvement, pour lui annoncer leur retrait du comité politique d'En Marche dans le département, rapporte France Bleu Nord samedi 15 juin, confirmant une information du Parisien. Il s'agit de Charlotte Lecoq, Valérie Petit, Anne-Laure Cattelot, Jennifer de Temmerman, Catherine Cosson et Dimitri Houbron.

     

    Les signataires dénoncent un hiatus entre le discours affiché d'égalité entre les femmes et les hommes, et une forme de sexisme dans le mouvement. Ils évoquent également des "violences politiques".

    Ils réclament aussi une réunion avec Stanislas Guerini et Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des comptes publics.

    franceinfo


    3 commentaires
  • L'arbre symbole de l'amitié Trump-Macron est mort

    Comme un symbole des relations entre les deux chefs d'Etat, le chêne n'a pas survécu

    Il n’a pas passé le cap de la quarantaine. Le chêne planté par Donald Trump et Emmanuel Macron dans les jardins de la Maison Blanche avait servi à afficher leur amitié, lors de la visite du président français en avril 2018. Mais comme un symbole, la greffe n’a pas pris, et alors que les relations se sont depuis tendues, l’arbre n’a pas survécu.

    Entre deux accolades appuyées, les chefs d’Etat, pelles dorées en main, avaient jeté une poignée de terre sur les racines de l’arbuste, sous l’œil de leurs épouses et, surtout, des caméras du monde entier. La jeune pousse venait d’une forêt du nord de la France où périrent plus de 2.000 Marines américains pendant la Grande Guerre.

    Mort en quarantaine

    Mais le chêne symbole de l’amitié franco-américaine avait presque immédiatement disparu, pour être placé en quarantaine. « C’est obligatoire pour tout organisme vivant importé aux Etats-Unis », avait alors expliqué l’ambassadeur de France aux Etats-Unis de l’époque, Gérard Araud. « Il sera replanté après. »

    En fait, l’arbre est mort en quarantaine et n’a jamais été replanté, a-t-on appris cette semaine de source diplomatique, alors qu’Emmanuel Macron et Donald Trump se sont retrouvés à l’occasion du 75e anniversaire du Débarquement allié en Normandie. Ils se sont efforcés de mettre en sourdine les nombreux désaccords, de l’Iran au commerce, qui ont terni leurs relations au cours de cette dernière année.

    20 Minutes


    3 commentaires

  • 3 commentaires
  •  

    Macron : "Nous avons su endiguer cette vague des nationalismes" en Europe

    Le psychopathe européen !

    Emmanuel Macron a estimé vendredi que les résultats des élections européennes montrent que "nous avons su endiguer cette vague, cette montée des nationalismes", en commençant à répondre à "la crise d'efficacité" des démocraties. "Je regarde les dernières élections européennes, en Europe, nous avons su endiguer cette vague cette montée des nationalismes", a déclaré le chef de l'Etat lors d'une conférence de presse commune à l’Élysée avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau. Les grands partis dominant traditionnellement le Parlement européen (PPE et sociaux-démocrates) ont subi des pertes importantes lors du scrutin du 26 mai mais la poussée populiste de droite (plus de 170 sièges répartis en trois groupes, sur 751) a été limitée, écologistes et centristes libéraux enregistrant de leur côté une nette progression.

     

    En France, après la courte défaite de sa liste - 22,41% contre 23,31% pour celle du Rassemblement national (RN)-, le président s'estime conforté pour être au centre du jeu, lui qui a fait de la "refondation de l'Europe" l'une de ses priorités. "Le défi de celles et ceux qui portent l'idée de progrès dans toutes les démocraties, c'est un défi d'une part d'efficacité, c'est de montrer que nos politiques changent la vie des gens et leur permettent de vivre mieux", a analysé Emmanuel Macron.

     

    "La tâche est devant nous"

    "C'est aussi de montrer que nous avons un chemin et que nous construisons sur chacun de ces sujets, révolution numérique, changement écologique et peur migratoire, des transitions qui permettent à chacun de trouver sa place dans la société", a-t-il ajouté. "C'est parfois plus difficile que le discours de haine, c'est parfois plus difficile que d'être contre tout, mais je pense que c'est le défi qui est le nôtre", a insisté le président de la République. "La tâche est devant nous et nous continuerons à nous y atteler sans rien céder des valeurs et des principes", a-t-il conclu.

    "C'est une question d'actions concrètes qui vont réduire les anxiétés des citoyens, démontrer que nos institutions, nos capacités en tant que société, sont là pour justement donner des opportunités, pour faire face de façon réussie aux grands défis auxquels on s'affronte", a abondé le Premier ministre canadien.

    Paris Match

    Le canadien, aussi noc que macaron !


    3 commentaires
  • Que macron, le menteur diplômé disparaisse ... !

    Super Créa de mon ami  Stan : http://pauvrefrance.centerblog.net/


    4 commentaires
  • Emmanuel Macron veut remplacer des hauts fonctionnaires pas assez loyaux

    REFORMES ACCÉLÉRÉES - Emmanuel Macron a demandé lors du conseil des ministres le remplacement de dirigeants d'administration centrale afin de faciliter et accélérer l'adoption de réformes.

    Emmanuel Macron veut remplacer des dirigeants d'administration centrale pour faciliter l'application de certaines réformes. Le président de la République a demandé que, dès le mois de juin, commencent à être remplacés certains dirigeants d'administration centrale en désaccord avec la politique du gouvernement. Lors du conseil des ministres, "le président de la République a souhaité  que les nominations à la tête des administrations centrales puisse refléter notre volonté" que les réformes soient "accélérées", avec "une traduction perceptible par nos concitoyens", a déclaré la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. "Il y aura probablement des annonces et des mouvements à partir de la semaine prochaine et dans le courant du mois de juin", a-t-elle ajouté. 

     

    Depuis le tout début de son quinquennat le chef de l'Etat avait annoncé  vouloir remplacer les hauts fonctionnaires réticents, à qui, selon son entourage, il reproche régulièrement de freiner ses réformes. Une forme de "spoil system" à la française, traduisez "système des dépouilles", une pratique américaine consistant à remplacer les responsables clés des administrations par des personnalités dont la loyauté est acquise au nouveau pouvoir. Mais il n'a pas jusqu'ici mené de remplacements de grande ampleur, se contentant de mettre les hauts fonctionnaires sous pression, en les faisant convoquer parfois à l'Elysée, ou en sondant les postulants avant leur nomination, selon la même source.

    "Une difficulté supplémentaire"

    "Il est évident que le déploiement des politiques publiques nécessite que les responsables des administrations centrales soient parfaitement en accord avec ces déploiements. On imagine pas que le directeur général des Finances publiques soit en désaccord avec le prélèvement à la source qu'il est supposé mettre en oeuvre. C'est une difficulté supplémentaire que l'on peut s'éviter",  a-t-elle fait valoir.

    Sibeth Ndiaye a relevé, sans vouloir préciser les ministères visés, qu'"il y a des endroits où ça ne se passe pas très bien, parce que la personne n'est pas au bon endroit au bon moment et que cela nécessite donc des changements. C'est à ce type de changement que le président a appelé le gouvernement".

    LCI Newsroom 

    C'est le roi manu qui commande, non mais !

     


    3 commentaires
  • GE Belfort : sous le feu des critiques, Emmanuel Macron tente de rassurer

    Alors que les critiques pleuvent après l'annonce de General Electric de supprimer plus de 1.000 postes en France, le chef de l'État a tenté de rassurer en affirmant que le gouvernement allait veiller à ce que l'entreprise américaine respecte ses engagements.

     

    Le géant américain General Electric (GE) a annoncé mardi envisager la suppression de plus de 1.000 postes en France, notamment sur le site de Belfort et en région parisienne. Face à cette annonce, Emmanuel Macron a affirmé à Bruxelles que le gouvernement serait "extrêmement vigilant". 

    Après son rachat de la branche énergie d'Alstom en 2015, alors qu'Emmanuel Macron était ministre de l'intérieur, GE s'était engagé à créer un millier d'emplois nets en France. Or le groupe américain a indiqué mardi envisager jusqu'à 792 suppressions de postes dans l'entité gaz, et 252 dans celle dédiée aux fonctions supports.

    "Le gouvernement est à l'oeuvre et les engagements qui avaient été pris par General Electric devront être tenus", a déclaré pour sa part le chef de l'État à l'issue d'un sommet informel de l'Union européenne. "Nous serons extrêmement vigilants pour que tous les engagements qui ont été pris par GE soient tenus", a-t-il insisté, en affirmant "la mobilisation de tout le gouvernement pour que toutes les solutions soient trouvées". 

    Emmanuel Macron rappelé à ses promesses de 2015

    À la suite de cette annonce, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire s'est engagé mardi à préserver "l'avenir industriel de Belfort" répondant ainsi à une question du député UDI Michel Zoumkeller qui a estimé que près de "3.000 emplois directs et indirects étaient menacés" dans son département.

    "En 2015, au moment du rachat d'Alstom, on a un ministre de l'Économie qui est venu dire droit dans les yeux aux salariés du Territoire de Belfort : 'On est là, on ne vous abandonnera pas, on va créer 1.000 emplois.' Il s'appelait Emmanuel Macron", rappelle l'élu UDI Michel Zoumkeller. À l'époque, Emmanuel Macron avait multiplié les déclarations rassurantes insistant sur un objectif de "zéro licenciement chez Alstom".

    "C'est du foutage de gueule"

    Dans la classe politique, le timing - 48 heures après les élections européennes - et la portée de l'annonce ont fait réagir les oppositions. C'est "scandaleux", dénonce le Rassemblement national; "irrespectueux" juge la droite, à l'unisson du communiste Sébastien Jumel. "C'est du foutage de gueule. Bien sûr que la réponse était connue et on a attendu la fin du scrutin pour l'annoncer", regrette le député de Seine-Maritime au micro d'Europe 1.

    Du côté des Républicains, le député Ian Boucard veut faire confiance au ministre de l'Économie Bruno Le Maire. "On compte sur lui pour qu'il prenne ses responsabilités, qu'il parle très concrètement avec General Electric et qu'il nous aide à trouver les pistes de diversification. Il faut que ce soit fait très rapidement pour ne pas laisser des familles en très grande difficulté", conseille-t-il.

    Belfort n'est pas un cas isolé

    Au delà du cas Belfort, General Electric n'est pas un cas isolé. "Quand je regarde ce qu'il se passe à Blanquefort, dans la Sarthe... Il y a d'autres entreprises qui vont se retrouver en grande difficulté. Quelle est la politique industrielle du gouvernement", s'interroge le patron des députés socialistes Boris Vallaud. Sur ces dossiers, le gouvernement doit, dit-il, agir, plutôt que de se contenter de prendre acte.

    Europe 1

    Ne jamais croire ce que dit macron !


    3 commentaires
  • Macron à Bruxelles, ou le début d’une bataille rangée en coulisses

    Emmanuel Macron est reparti à l'offensive au niveau européen en multipliant les discussions avec ses homologues, afin de construire une majorité "progressiste" au Parlement européen et placer ses alliés à la tête des institutions

    Un peu plus de 24 heures après la deuxième place de sa liste aux européennes, le président Macron sera ce mardi à Bruxelles pour une série de rencontres. Après s'être entretenu avec Angela Merkel dès dimanche soir, il a reçu lundi à dîner le chef du gouvernement espagnol socialiste Pedro Sanchez, sorti grand vainqueur du scrutin, qu'il voit comme un allié crucial sur la scène européenne. Mardi, Emmanuel Macron a même avancé l'heure de son départ pour Bruxelles pour y déjeuner avec les Premiers ministres belge Charles Michel, espagnol Pedro Sanchez, portugais Antonio Costa et néerlandais Mark Rutte. Puis il s'entretiendra avec les dirigeants du groupe de Visegrad (Slovaquie, République tchèque, Pologne, Hongrie), bastion du camp nationaliste. Objectif : tenter d'imposer son tempo à l’Europe et placer ses alliés à la tête des institutions.

     

    Un bras de fer stratégique. "Il y a un acte II en France. Il y aura un acte II en Europe" : c’est par ce type de déclarations, très volontaristes, que l’entourage du président Macron pose l’ambition du chef de l’Etat sur la scène européenne. A l’image de ce qu’il a fait en France, Emmanuel Macron veut surfer sur la recomposition du paysage à Bruxelles. "Il faut acter la nouvelle situation politique après les élections", explique un conseiller du président. Les deux grands partis historiques, qui se partageaient jusqu’à présent le pouvoir, ont perdu du terrain. Ils restent puissants mais les libéraux, dont les voix seront désormais nécessaires pour obtenir une majorité, veulent leur part du gâteau.

    Emmanuel Macron va donc plaider aujourd’hui pour que les postes importants, comme la présidence de la Commission ou du Parlement, ne soient plus automatiquement attribués au PPE ou au SD. "Il n’y a pas un droit éternel", souffle un proche du président français. C’est un bras de fer stratégique auquel se livre l’Elysée, et rien n’indique qu’il y parviendra. Car s’il a des alliés en Europe, Emmanuel Macron n’a pas toujours su convaincre ses partenaires européens.

    Europe 1


    3 commentaires
  • Espérons qu'aujourd'hui, les gens ne vont pas être aussi cons pour voter qu'en 2017 !!!


    3 commentaires
  • Européennes : Macron attaque de nouveau le Rassemblement national

    En déplacement à Biarritz à neuf jours des européennes, Emmanuel Macron a attaqué le Rassemblement national en présentant ses élus au Parlement européen comme "les sortants" dont le bilan "est une catastrophe pour le pays comme pour l'Europe".

    A neuf jours des élections européennes, Emmanuel Macron s'attaque de nouveau frontalement au Rassemblement national. Le RN, "ce sont les sortants. Qu'ont fait les sortants? Ils ont voté contre tous les projets que la France a défendus en Europe y compris pour nous protéger", a dénoncé vendredi le chef de l'Etat face à des journalistes, lors d'un déplacement à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), consacré à la préparation du sommet du G7 que la station balnéaire basque accueillera du 24 au 26 août.

    La liste soutenue par Emmanuel Macron, légèrement derrière le RN selon la plupart des derniers sondages, attaque régulièrement la position du parti de Marine Le Pen qui combat l'immigration mais qui a notamment voté contre un texte renforçant les pouvoirs et moyens accordés à l'agence Frontex, considérant que l'agence se "substituera aux Etats, posant un grave problème de souveraineté". Le chef de l'Etat avait sonné la charge le 9 mai à Sibiu (Roumanie), affirmant qu'il ferait "tout" pour empêcher le RN d'arriver en tête au scrutin, comme en 2014.

    Colère dans les rangs du Rassemblement national

    Le chef de l'Etat a assuré qu'il allait continuer à s'exprimer sur l'Europe d'ici au 26 mai, mais en indiquant ne pas savoir sous quelle forme (entretien à des journaux, intervention sur des réseaux sociaux...) Ses déclarations ont suscité la colère dans les rangs du Rassemblement national.

    "Emmanuel Macron détourne la fonction présidentielle et en abuse pour se comporter en véritable chef de clan", a immédiatement rétorqué sur Twitter la tête de liste RN Jordan Bardella. Steeve Briois, vice-président du parti a lui fustigé "un chef de gang. Un gang qui a mis la France à feu et à sang", qualifiant le président de "honte".

    Le JDD.fr


    3 commentaires
  • Le mouvement des "gilets jaunes" n'a "plus de débouché politique", estime Macron

    Pour Emmanuel Macron, le mouvement des "gilets jaunes" n'a "plus de débouché politique".

    Le président de la République a fait cette déclaration, vendredi 17 mai, à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), à la veille des six mois du premier samedi de mobilisation du mouvement. "Je considère que j'ai apporté les réponses aux Françaises et aux Français sur ce qui avait conduit à ce mouvement, le 10 décembre et dans la conférence de presse que j'ai donné. Je crois que celles et ceux qui continuent aujourd'hui à faire cela, il n'y a plus de débouché politique", a-t-il justifié.

    "Nous avons fait notre part du travail, je pense que maintenant, chacun doit aller voter aux élections, quand il porte des idées, se présenter aux élections et c'est beaucoup plus difficile de proposer un projet pour que d'être contre tout le reste. On avance pas en étant contre. Aujourd'hui, je vois beaucoup de gens qui sont contre", a poursuivi Emmanuel Macron. Que celles et ceux qui ont une autre vision de ce que doit devenir le pays, la dessine politiquement, lui donne forme et se présente aux élections. La démocratie, ça ne se joue pas le samedi après-midi".

    franceinfo

    Ce sont les dernières conneries sorties par le petit Manu !!!


    4 commentaires
  • L'avenir de macron est entre vos mains, ne faîtes pas la même erreur qu'en 2017 !

    Le 26 mai, les Français ont le feu nucléaire entre les mains !

     Malheureusement, de nombreux Français semblent l’ignorer. Mais, le 26 mai prochain, à l’occasion des élections européennes, c’est le feu nucléaire qu’ils auront entre leurs mains par bulletin de vote interposé.

    En effet, une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique, tant au plan national qu’au plan européen, d’une ampleur jusque-là jamais atteinte. C’est la raison pour laquelle toute la Macronie, maintenant aux abois, et au mépris de toutes les règles démocratiques, morales et éthiques, tente de colmater les brèches d’un vaisseau amiral qui menace de sombrer.

    Un temps piloté par une Nathalie Loiseau, aujourd’hui totalement disqualifiée par son incompétence et son inexpérience politique, c’est le président de la République lui-même qui, rompant avec la neutralité institutionnelle et historique de sa fonction, se voit obligé de venir défendre son projet européen.

    Et c’est à grands renforts d’appuis médiatiques, dont il bénéficie d’ailleurs depuis le début de son mandat, et de soutiens politiques, dont les incontournables et opportunistes Bayrou, Cohn-Bendit et Raffarin, qu’il espère sauver son quinquennat et son avenir politique.

    Car il s’agit bien de son avenir politique. Il n’échappe plus à personne que Macron n’est parvenu au pouvoir qu’avec l’aide de la haute finance internationale. Que ses parrains, dont l’obscur Soros, ne l’ont poussé au sommet de l’État qu’avec l’assurance qu’il saurait renvoyer l’ascenseur et promouvoir une politique mondialiste et multiculturaliste. Mais pour cela, sa mission était double. D’abord, mettre la France au pas.

    C’est ce qu’il s’acharne à faire depuis deux ans, déclenchant la plus vaste crise sociale de ces cinquante dernières années et n’hésitant pas à faire de la répression un outil majeur de sa gouvernance. Comptant sur la durée et sur la lassitude des Français, il est en voie de réussir son pari et de faire d’une majorité de Français des déshérités.

    Le second objectif qui lui était assigné, et certainement le plus important, consistait en une victoire incontestable aux élections européennes. Face à une Europe, en particulier à l’Est et au Nord, qui marque de plus en plus souvent son scepticisme par rapport au projet européen, la tâche qui lui revenait était de redonner une nouvelle dynamique à une ambition dont les peuples se méfient ouvertement.

    Et c’est bien ce combat que Macron craint de perdre le 26 mai. Sa défaite dans les urnes signifierait, pour lui, une rupture quasiment définitive avec ses mandataires de la haute finance internationale. Par ailleurs, elle risquerait, au plan intérieur, de relancer un mouvement de contestation qui ne demande qu’à resurgir.

    On le voit donc bien, c’est à un quitte ou double qu’est confronté Jupiter. S’il perd les élections, après s’y être investi à titre personnel comme il le fait, il n’aura d’autre choix que de démissionner. Car c’est bien lui qui, par son attitude partisane, vient de transformer le scrutin du 26 mai prochain en référendum pour ou contre sa politique.

    Par ailleurs, ayant failli dans la mission qui lui était confiée par ses soutiens mondialistes et européistes, il n’aura d’autre choix que de se retirer tel un général battu en rase campagne et donc bon pour un limogeage séance tenante. Mais cette issue, inespérée pour beaucoup de nos concitoyens, ne sera possible qu’à la seule condition que la liste LREM soit laminée lors du vote programmé à la fin du mois.

    Pour cela, il importe que tous les électeurs se rendent aux urnes afin d’exprimer leur rejet de la politique intérieure de Macron et leur refus de voir se mettre en place une Europe fédérale briseuse des nations.

    Boulevard Voltaire

    Le titre est de moi (rire)


    5 commentaires
  • Angela Merkel reconnaît avoir une "relation conflictuelle" avec Emmanuel Macron

    Angela Merkel reconnaît avoir une "relation conflictuelle" avec Emmanuel Macron, dans une interview publiée mercredi par le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung.

    "Bien sûr, nous avons une relation conflictuelle", déclare la chancelière allemande, ajoutant qu'"il y a des différences de mentalité" entre elle et le président français et des "différences dans (leur) compréhension des rôles".

    "Les relations se sont-elles détériorées ces derniers mois? 'Non, pas du tout'"

    Les deux dirigeants ont eu plusieurs divergences ces derniers mois, du gel de ventes d'armes à l'Arabie Saoudite décidé par l'Allemagne après la mort du journaliste Jamal Khashoggi, au devenir de l'Union européenne, en passant par le Brexit et les reports accordés au Royaume-Uni.

    La chancelière souligne toutefois dans cette interview les "énormes progrès" réalisés grâce au couple franco-allemand, notamment en matière de défense.

    "Nous avons décidé de développer un avion de combat et un char ensemble. (...) C'est un signe de confiance que de compter davantage les uns sur les autres en matière de politique de défense", fait valoir Angela Merkel. 

    Les deux dirigeants avaient également signé en janvier le traité d'Aix-la-Chapelle sur la coopération et l'intégration franco-allemandes. Les relations se sont-elles détériorées ces derniers mois? "Non, pas du tout", assure Angela Merkel. Mais, admet-elle, les deux dirigeants ont eu des "temporalités différentes"

    Des différences de politique nationale

    La chancelière souligne ainsi que lors du discours sur la Sorbonne d'Emmanuel Macron, consacré en septembre 2017 à la relance de l'Europe, elle venait tout juste de passer le cap des élections au Bundestag et négociait une nouvelle coalition.

    Des reproches lui avaient été adressés, y compris dans son propre camp conservateur, de ne pas avoir saisi les propositions d'Emmanuel Macron.

    Angela Merkel met aussi l'accent sur les différences politiques entre les deux pays: "Je suis la chancelière d'un gouvernement de coalition et je suis beaucoup plus dépendante du Parlement que le président français, qui n'a pas du tout le droit d'entrer à l'Assemblée nationale", au nom de la séparation des pouvoirs exécutif et législatif. 

    Enfin, Angela Merkel juge à une dizaine de jours des élections européennes, qu'il s'agit d'un scrutin "d'une grande importance, une élection spéciale". Beaucoup sont "inquiets pour l'Europe, moi aussi", poursuit-elle.

    BFM.TV


    4 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique