• Une femme âgée de 33 ans, couverte d’hématomes et traces de coups multiples, a succombé à ses blessures dans la nuit de dimanche à lundi à Douai. Son conjoint a été placé en garde à vue pour homicide volontaire.

    Une femme de 33 ans est décédée à Douai (Nord) dans la nuit de dimanche à lundi, « de cause apparemment traumatique », et son concubin a été placé en garde à vue pour homicide volontaire, selon le parquet de Douai, confirmant une information de 20 minutes .

    Les pompiers ont été appelés vers 4 h 45 pour une femme en arrêt cardiaque.

    Selon une source policière, la victime, de 33 ans, est retrouvée au domicile couverte d’hématomes et traces de coups multiples, et succombera à ses blessures. Son conjoint avait des traces de sang sur les mains.

    L’homme en garde à vue était placé sous surveillance électronique

    « Son concubin de 38 ans, bénéficiait d’une mesure d’aménagement de peine, détention à domicile sous surveillance électronique, pour l’exécution d’une peine de 10 mois d’emprisonnement pour vol aggravé et dégradations graves du bien d’autrui », a indiqué le procureur de la République de Douai, Frédéric Teillet, sollicité par l’AFP.

    « Son casier judiciaire ne porte la trace d’aucune mention de condamnation pour violences sur conjoint », a-t-il ajouté. « L’enquête doit déterminer les circonstances du drame ».

    Pour rappel, le 3919 est le numéro gratuit et ouvert 7 jours sur 7 pour les femmes victimes de violences conjugales.

    Ouest-France


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  • Guy Joao, le « faux Xavier Dupont de Ligonnès », est mort

    Son existence avait brusquement basculé le 11 octobre 2019 alors qu'il atterrissait à l'aéroport de Glasgow. En effet, le septuagénaire, qui partageait sa vie entre la France et l'Écosse, avait fait l'objet d'une méprise inouïe et fracassante en étant confondu avec l'homme le plus recherché de France : Xavier Dupont de Ligonnès. Guy Joao, dont le cauchemar avait commencé sur la base d'un témoignage anonyme, est décédé vendredi 28 mai, à l'âge de 71 ans des suites d'une longue maladie, a annoncé son épouse Mary à M6.

     

    Ce 11 octobre 2019, il est interpellé à sa sortie de l'avion et passera plus de vingt heures en garde à vue, avant d'être relâché par la police écossaise. Au début de sa garde à vue, les autorités pensent avoir arrêté le fugitif le plus célèbre de France, soupçonné d'avoir tué les cinq membres de sa famille en avril 2011 à Nantes. Ce matin d'automne 2019, tout va très vite. Un témoignage anonyme est transmis par le bureau londonien d'Interpol à la police française : Xavier Dupont de Ligonnès s'apprêterait à prendre un vol pour Glasgow depuis l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, à Paris.

    Une dénonciation calomnieuse

    Les enquêteurs français, qui n'ont pas le temps de monter une équipe de surveillance, préviennent immédiatement leurs homologues de Scotland Yard, tout en leur communiquant des « moyens d'identification ». Dans la soirée, la police écossaise indique qu'un homme a bien été arrêté à l'aéroport de Glasgow et qu'il a été placé en garde à vue à la suite d'un « mandat d'arrêt européen émis par les autorités françaises ». Il sera plus tard découvert que c'est en réalité Scotland Yard qui avait reçu un témoignage anonyme et prévenu directement la police française, contrainte de lui demander d'agir.

     

    La méprise s'est en partie jouée sur la comparaison des empreintes digitales. Une information de Scotland Yard, qui avait dans un premier temps annoncé que celles de l'homme arrêté correspondaient à celles de Dupont de Ligonnès, avait finalement été démentie. Les empreintes digitales de cet homme correspondent en réalité à cinq points sur treize par rapport à celles de Dupont de Ligonnès, quand la France se base sur douze pour parler de correspondance. Il faudra un test ADN pour que Guy Joao soit mis hors de cause.

    « Je n'ai toujours reçu aucune excuse de la justice française et écossaise »

    Le Point, qui s'était à l'époque rendu en Écosse, où Guy Joao résidait avec sa femme, avait recueilli les témoignages de connaissances de cet homme, qui parlaient à l'unanimité d'un homme « discret » et « charmant ». Ce retraité de l'usine Renault, d'origine portugaise et propriétaire depuis « au moins 30 ans à Limay » (Yvelines), menait une existence paisible. Il avait depuis quelques années refait sa vie avec Mary, Écossaise d'origine, qui habitait à Dunoon, petite ville située dans la péninsule de Cowal dans l'Argyll and Bute, à plus d'une heure de Glasgow.

    S'il avait dans un premier temps refusé de prendre la parole, Guy Joao avait finalement accepté d'accorder une interview à M6 en octobre 2020, an après les faits. « Je n'ai toujours reçu aucune excuse de la justice française et écossaise. J'attends toujours », avait-il confié à l'antenne. « La moindre des choses, c'est que mon épouse et moi recevions un dédommagement financier », avait-il déclaré.

    Xavier Dupont de Ligonnès est-il mort ou vivant ?

    Dix ans après la découverte des corps de la femme de Xavier Dupont de Ligonnès et de leurs quatre enfants enterrés sous la terrasse de leur maison, le mystère reste entier autour de la « tuerie de Nantes », tandis que la question « Xavier Dupont de Ligonnès est-il mort ou vivant ? » reste une des plus grandes énigmes de ce début de siècle.

    Les enquêteurs continuent de travailler sur l'affaire. Selon le JDD, une perquisition a, par exemple, eu lieu le 18 mai dernier par les membres de la police judiciaire de Nantes et de l'Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP). L'intervention a eu lieu à l'intérieur de l'abbaye de Saint-Michel-en-Brenne, dans l'Indre, à la suite des dires d'un témoin qui déclarait avoir reconnu Xavier Dupont de Ligonnès. Elle n'a cependant rien donné.

    LE POINT


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  • Un employé d’un supermarché de Grenoble (Isère) a été poignardé au thorax ce dimanche matin alors qu’il tentait de stopper un voleur dans le magasin. Le pronostic vital de la victime de 21 ans est engagé.

    Grièvement blessé pour avoir tenté d’empêcher un vol. Un client a essayé de dérober des bouteilles d’alcool dans l’Intermarché du boulevard Maréchal-Foch à Grenoble, vers 10 heures selon Le Dauphiné. Pris la main dans le sac, le voleur aurait aurait exhibé un couteau puis poignardé l’employé au niveau du thorax.

    L’agresseur s’est enfui. Il est activement recherché par la police. La victime, âgée de 21 ans, a été prise en charge par le SAMU avant d’être conduite au CHU de Grenoble Alpes alors que ses jours étaient en danger.

    Le supermarché est resté fermé le temps que les enquêteurs procèdent aux différentes constatations et relevés de traces et indices sur place. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale.

    ACTU 17


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  • Le pilote suisse de Moto3 Jason Dupasquier, accidenté samedi en qualifications du Grand Prix d'Italie, est décédé à l'âge de 19 ans dimanche, a annoncé le promoteur du Championnat de monde de vitesse moto dans un communiqué. 

    «En dépit des efforts de l'équipe médicale du circuit et de tous ceux qui se sont ensuite occupés du pilote suisse, l'hôpital (Careggi, à Florence, où il avait été transporté, ndlr) a annoncé que Dupasquier a malheureusement succombé à ses blessures», est-il précisé.

    L'hôpital, pour sa part, a confirmé à l'AFP «le début de la procédure de constatation de la mort cérébrale, en raison de lésions cérébrales graves incompatibles avec sa survie». Le jeune pilote avait «subi pendant la nuit une chirurgie thoracique pour une lésion vasculaire», avait indiqué l'hôpital à l'AFP dans la matinée. «De graves lésions cérébrales (persistaient) et il (restait) en soins intensifs dans un état très grave», avait ajouté un porte-parole.

    Dupasquier est tombé entre les virages 9 et 10 du circuit du Mugello dans les derniers instants des qualifications samedi. Selon les images de télévision ne montrant que la fin de sa chute et les déclarations des autres pilotes impliqués, le Japonais Ayumu Sasaki et l'Espagnol Jeremy Alcoba, il aurait été touché par au moins une moto, avant de glisser inanimé sur la piste.

     

    Après une quarantaine de minutes d'intervention des secouristes arrivés sur place immédiatement, le Suisse «polytraumatisé et dans un état grave» mais «stable» a été transféré par hélicoptère médical au centre de traumatologie de l'hôpital Careggi. Fils du pilote de motocross et Supermotard Philippe Dupasquier, Jason avait fait ses débuts en Supermotard, avant de se concentrer sur la vitesse sur circuit, passant par tous les échelons, malgré une blessure au fémur gauche qui l'avait privé de la saison 2018.

    Le N.50 avait fait ses débuts en Mondial en 2020 sous les couleurs de l'écurie allemande PrüstelGP, qui fait courir des KTM. Il n'avait marqué aucun point et s'était classé 28e pour sa première saison. En 2021, après cinq départs, il était 10e du classement des pilotes avec 27 unités. Sur le circuit du Mugello dimanche, où les courses se poursuivent, de nombreux pilotes arborent des autocollants en hommage au jeune Suisse.

    Le dernier pilote décédé en Grand Prix, avant Dupasquier, était l'Espagnol Luis Salom au GP de Catalogne 2016 en Moto2.

    Le Figaro Sport


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  • Robertine, 97 ans, boit jusqu'à 20 bières par jour

    Robertine Houbrechts, assise à la terrasse de son café favori.

    À chacun ses secrets pour rester jeune. Robertine Houbrechts, une Belge originaire de la région de Malines, a opté pour la bière ! Du haut de ses 97 ans, cette amoureuse des moments entre amis autour d'une belle choppe de blonde bien fraîche boit entre 12 et 20 bières par jour.

    "J'ai parfois la tête qui tourne, mais c'est dû à la vieillesse"

    En compagnie de son ami Félix, elle se rend tous les soirs dans un petit café où elle commande toujours la même chose. Si pour la plupart des gens, cette quantité d'alcool suffirait largement pour trouver une ivresse aussi solide que méritée, il n'en est rien pour la nonagénaire :

    "J'ai parfois la tête qui tourne, mais c'est dû à la vieillesse. Le médecin me dit que tant que tout va bien, je peux me rendre au café, cela ne peut pas me faire de mal. D'ailleurs je bois de la bière depuis des années, et je suis toujours en vie".

    (Presque) jamais malade

    Robertine n'est donc pas la première venue, loin de là, lorsqu'il s'agit de lever le coude. "Robertine sait en effet bien tenir l'alcool", reconnaît d'ailleurs volontiers une ancienne patronne de bar interrogée par nos confrères de 7sur7"Un soir normal, elle sait enchaîner quinze flûtes mais s'il y a de l'ambiance, ça peut grimper à 22. De la Jupiler uniquement. Elle n'avale rien d'autre".

    Cette dernière n'a connu Robertine malade que deux fois. "Une fois, j'ai craint le pire. Mais deux jours plus tard, elle était à nouveau assise sur le banc, à sa table préférée près de la fenêtre. Avec sa flûte évidemment. Il va de soi qu'elle est parfois saoule".

    Gent Side


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  • Deux Algériens en situation irrégulière ont été interpellés ce lundi à Paris après avoir été reconnus par une policière hors service. Ils étaient recherchés depuis plusieurs jours. Les deux hommes sont accusés d’avoir cambriolé puis violé une retraité de 69 ans à son domicile, à Palaiseau (Essonne), la semaine dernière. Ils ont été mis en examen et dorment désormais en prison.

    Ces faits sordides se sont déroulés dans la nuit du 20 au 21 mai dernier à Palaiseau. Deux individus se sont introduits dans une maison en forçant la porte du garage vers 03h15. L’habitante âgée de 69 ans a entendu du bruit et s’est retrouvée nez à nez avec les deux hommes qui étaient en train de fouiller son habitation.

    L’un d’entre eux a menacé la victime avec un couteau avant de la forcer à entrer dans sa chambre et la violer. « La victime aurait ensuite été obligée de supplier les deux agresseurs pour ne pas que le second individu la viole à son tour », précise une source proche de l’enquête. Elle l’a repoussé et s’est blessée a une main. Les deux complices ont finalement pris la fuite, emportant un téléphone, une tablette tactile, des bijoux et un sac à dos.

    L’auteur du viol s’est coupé avec son couteau dans la maison, semble-t-il en manipulant son arme blanche tout seul. « Il a laissé du sang sur place mais aussi sur tout le trajet de leur fuite, jusqu’à la gare RER de Massy-Palaiseau », ajoute cette même source. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté départementale (SD) de l’Essonne. La sexagénaire, choquée et blessée, a été transportée à l’hôpital où elle s’est vu attribuer 21 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

    Déjà connus de la police, ils sont rapidement identifiés

    Les premières investigations ont permis de mettre un visage sur les deux agresseurs, par l’intermédiaire des vidéosurveillances de la gare. « Sur les images, le violeur présumé présentait une plaie à la main gauche », ajoute cette source. La technologie a ensuite aidé les enquêteurs. Le logiciel de reconnaissance faciale du fichier de traitement des antécédents judiciaires (TAJ) a en effet permis d’obtenir une possible identité du mis en cause blessé à la main. Après vérifications, il s’agissait bien de cet homme, un ressortissant algérien de 21 ans, déjà connu des services de police.

    La suite des recherches a amené l’identification de son complice, puisqu’ils étaient ensemble lors de faits précédents. Âgé de 19 ans, ce dernier est lui aussi un ressortissant algérien. Les deux hommes étaient en situation irrégulière sur le territoire depuis plusieurs mois. Un mandat de recherche a été émis par le parquet et diffusé dans les services de police.

    Et le travail des enquêteurs a payé. C’est une policière hors service, affectée à la brigade des réseaux ferrés (BRF), qui a repéré les deux suspects ce lundi vers 18h20, alors qu’elle se trouvait à la gare Montparnasse (XIVe). Elle a rapidement demandé de l’aide aux agents de la sûreté ferroviaire (SUGE) pour les interpeller sans tarder. Ils ont été placés en garde à vue, puis transférés dans les locaux de la SD de l’Essonne.

    Ils finissent par passer aux aveux

    Face aux enquêteurs, les deux suspects auraient nié les faits dans un premier temps, expliquant n’avoir aucun souvenir de cette nuit du 20 au 21 mai durant laquelle la victime a été violée et dépouillée. Une amnésie provoquée par leur consommation excessive de Rivotril, un antiépileptique appartenant à la famille des benzodiazépines, selon leur récit. Un peu plus tard durant sa garde à vue, l’auteur présumé du viol est passé aux aveux et aurait reconnu l’ensemble des faits. Il aurait affirmé avoir agi avec son complice, alors qu’il était dans un état second, mais ne pas avoir prémédité le viol, souhaitant, selon lui, uniquement commettre des vols dans cette maison qu’ils auraient choisie au hasard. Concernant sa blessure à la main, le mis en cause n’aurait donné aucune explication pour l’heure.

    Le second suspect aurait lui aussi reconnu les faits, dans un second temps. Les deux hommes ont aussi déclaré qu’ils étaient entrés en France illégalement il y a une dizaine de mois, en passant par l’Espagne. Le violeur présumé faisait déjà l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF). Par ailleurs, les deux suspects seraient impliqués dans de nombreuses autres affaires depuis leur arrivée en France souligne cette même source.

    Des prélèvements ADN ont été effectués dans la maison de la victime et des analyses sont en cours. Elles permettront d’obtenir un nouvel élément mettant en cause les deux individus dans ce dossier. Déférés, ils ont été mis en examen ce mercredi avant d’être placés en détention provisoire.

    ACTU 17

    Après la prison, va t'on les renvoyer en Algérie ? En Suisse, ce serait déjà fait !


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  • La vidéo a été fortement relayée sur les réseaux sociaux ce jeudi, les internautes saluant le sang-froid des gendarmes. Les faits se sont déroulés le 14 mai à Butry-sur-Oise (95) où une femme, visiblement fragile psychologiquement, déambulait dans la rue avec un fusil. Un gendarme a pu la maîtriser en la plaquant au sol par surprise après s'être introduit dans une ruelle perpendiculaire par le jardin de voisins. Un coup de feu est parti, sans faire de blessé. L'interpellée a été internée dans un service psychiatrique.


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  • En cavale depuis 2006, un trafiquant de drogue italien réfugié en Espagne a été arrêté alors qu’il se rendait à Rome à l’anniversaire de sa fille.

    Un trafiquant de drogue italien, en cavale depuis plus de 15 ans, a été arrêté lorsqu’il s’est rendu au 23e anniversaire de sa fille à Rome, a annoncé ce vendredi 28 mai la police italienne.

    David Cittadini avait pris le maquis en mars 2006 après sa condamnation à 13 ans et 4 mois de réclusion pour trafic international de drogues, selon un communiqué.

    Arrêté peu avant le 23e anniversaire de sa fille

    Les gendarmes italiens étaient sur ses traces et savaient qu’il se cachait en Espagne mais qu’il maintenait des rapports étroits avec sa mère et sa fille, toutes deux résidant dans un quartier de Rome.

    Dans les jours précédant le 23e anniversaire de la fille, des gendarmes en civil ont commencé à surveiller la maison où vivaient les deux femmes, jusqu’à ce qu’un homme ressemblant au fugitif apparaisse dans l’immeuble.

    Le chef d’un réseau démantelé

    Les forces de l’ordre sont alors intervenues et ont arrêté l’homme qui tentait de se cacher dans une chambre à coucher. Le fugitif disposait d’une fausse carte d’identité italienne qu’il avait utilisé le matin même pour embarquer sur un vol Barcelone-Rome.

    David Cittadini était considéré comme l’un des chefs d’un réseau de trafiquants de drogue démantelé à la suite d’une enquête lancée après deux importantes saisies de drogue : 16 tonnes de haschich en 1999 et surtout 2,1 tonnes de cocaïne, saisies en 2004 par les douanes espagnoles au large des îles Canaries, selon la même source.

    Ouest-France


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  • Une mère de famille a été mise en examen et incarcérée dans l'Hérault, neuf mois après la mort de sa fille de 13 ans à la suite de mauvais traitements incluant de la malnutrition, a-t-on appris vendredi de source proche du dossier. L'adolescente est morte en août 2020 dans le village de Montblanc, entre Béziers et Pézenas, d'un arrêt cardiaque.

    Le médecin des pompiers avait constaté que la victime ne pesait que 28 kilos pour 1,45 mètre. Elle avait perdu des dents et avait les cheveux arrachés, selon les constatations médicales.

    Sa mère est poursuivie pour privation de soins et d'aliments suivie de mort d'une mineure de moins de 15 ans par ascendant et délit de violence sur deux autres de ses filles, d'un an et sept ans, selon la même source.

    Deux autres personnes ont été mises en examen dans cette affaire: le beau-père de la victime - mis en examen pour les mêmes motifs que la mère et placé en détention provisoire - et la soeur aînée de l'adolescente décédée, qui a elle été placée sous contrôle judiciaire et mise en examen pour non dénonciation des faits.

    Les trois suspects ont été interpellés à Mèze -ville située entre Montpellier et Sète- par les militaires de la compagnie de gendarmerie de Pézenas mardi. En début d'après-midi, le parquet de Béziers n'avait pas répondu aux sollicitations de l'AFP sur cette affaire.

    Paris Match


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  • Lundi 24 mai, un bébé est décédé après avoir ingéré par accident la méthadone ses parents ex-toxicomanes. Le père et la mère du petit garçon de 14 mois ont été mis en examen pour "homicide involontaire".

    C’est un véritable drame. Lundi 24 mai, un enfant de 14 mois est décédé dans la commune de Bussy-Albieux (Loire), après avoir ingéré de la méthadone. Une drogue qui appartenait à ses parents, révèle nos confrères du Progrès . Déjà condamnés pour des faits liés à leur toxicomanie, la mère et le père du bambin ont été mis en examen pour "homicide involontaire" puis laissés libres sont contrôle judiciaire.

     

    Dans le cadre du protocole "mort subite du nourrisson", des analyses ont effectué et ont révélé une "concentration importante de méthadone de 453 ng/ml dans les urines." Ainsi, "Tout autre cause au décès qu’une surdose médicamenteuse" ont été écartée selon David Charmatz, procureur de la république de Saint-Etienne. Dans la foulée, d’autres tests ont été réalisés sur l’autre enfant du couple âgé de trois ans. Des examens qui n’ont montré aucune trace de méthadone ni aucun signe de maltraitance. Néanmoins, "compte tenu du danger au domicile parental", une ordonnance de placement provisoire a été demandée par le parquet.

    Ancien toxicomane, le couple bénéficiait d’un traitement de substitution à la méthadone. Une substance fournie pour aider à réduire progressivement la dépendance à l’héroïne.

    Public


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  • Un homme a porté plusieurs coups de couteau à une policière municipale dans les locaux de la police municipale de La Chapelle-sur-Erdre, en Loire-Atlantique. La policière serait grièvement blessée. Le suspect aurait pris la fuite en voiture et 240 gendarmes sont mobilisés pour le retrouver.

    L'auteur des faits, qui avait pris la fuite, a été interpellé après un échange de coups de feu durant lequel deux gendarmes ont été blessés, notamment à la main et au bras, selon la gendarmerie. Un troisième gendarme était en état de choc.

    "Les Gendarmes ont neutralisé l’individu suspecté de l'agression au couteau de la policière municipale de la Chapelle-sur-Erdre", avait confirmé sur Twitter le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, qui est attendu sur place.

    L'homme, blessé lors de l'arrestation, a succombé à ses blessures, ont indiqué des sources proches de l'enquête dans l'après-midi.

    ......


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  • Une mère a été tuée au Texas devant ses trois enfants qu’elle conduisait à l’école.

    Samantha Lopez, âgée de 28 ans, a été retrouvée morte lundi au petit matin. Cette jeune américaine habitant au Texas a été tuée par balle juste devant chez elle alors qu’elle s’apprêtait à conduire ses enfants à l’école. Les trois petits de 2, 6 et 10 ans ont été témoins du crime mais n’ont pas été blessés physiquement durant l’incident, rapporte la chaîne locale KSAT. Un homme considéré comme un témoin clef mais pas encore officiellement comme le suspect a été interrogé par la police mais personne n’aurait encore été officiellement arrêté.

    Le chef de la police de San Antonio, William McManus, a expliqué lundi en conférence de presse que les enquêteurs «étaient pratiquement certains» que l’homme en question était l’ex-mari de la victime. Il avait interdiction de l’approcher et avait déjà violé cette ordonnance de restriction en 2019. «Elle avait cet protection pour elle mais ça n’a pas marché», a regretté la mère de la jeune femme. «J’ai perdu une fille, c’est dur. Un démon du passé est venu et a fait ce qu’il a fait et a détruit une famille. Un lâche ne tire pas dans le dos et alors qu’elle est à terre, ne continue pas à tirer. C’est terrible et c’est une mort terrible pour elle», a-t-elle ajouté lors d’une veillée organisée mardi soir pour honorer la mémoire de la victime.

    Le shérif a déclaré après le meurtre qu'il croyait que le système judiciaire avait laissé tomber Samantha Lopez et sa famille, et qu'un système devait être mis en place pour assurer la sécurité des victimes de violence familiale.

    Paris Match


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  • Le chauffeur routier avait été intercepté par les douanes sur l'A36 entre Besançon et Montbéliard le 21 mai dernier avec près d’une demi-tonne d’herbe de cannabis dissimulée sous des sacs de sable

    Un chauffeur routier croate de 37 ans a été interpellé le 21 mai dernier sur l’A36 entre Besançon et Montbéliard par les douanes avec 459 kg d’herbe de cannabis dissimulés sous des sacs de sable et des cartons de serviettes en papier. Soit une valeur à la revente de près de deux millions d’euros, rapporte L’Est Républicain. Il comparaissait mardi devant la justice à Montbéliard.

     

    L’itinéraire sinueux de 5.000 kilomètres choisi, la présence de deux téléphones portables dont il a refusé de donner les codes d’accès, son incapacité à dire avec précision où il avait chargé la marchandise et sa destination n’ont pas convaincu la justice de son innocence. Il a finalement écopé de quatre ans de prison ferme avec maintien en détention, de deux amendes d’un montant total de 1.500 euros auxquelles devrait s’ajouter celle de l’administration des douanes et qui devrait correspondre à la valeur marchande de la drogue.

    20 Minutes


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  • Pris en flagrant délit de transaction de drogue, un homme s’est mis à courir en voyant les policiers. Il s’est jeté dans un canal. C’est finalement l’un des agents qui est allé le sauver, alors qu’il était épuisé et en difficulté dans l’eau.

    L’intervention de ce policier et ses collègues était vitale pour cet homme de 19 ans qui était déterminé à échapper à son interpellation. Il venait de se jeter dans le canal alors qu’il était essoufflé. Les fonctionnaires lui ont sauvé la vie.

    Tout est allé très vite ce vendredi soir vers 18h30 lorsque les policiers ont aperçu un homme et une femme dans la rue Abbé Lemire, dans le nord de Nancy. Ces derniers étaient en pleine discussion. L’un et l’autre tenaient quelque chose en main et les policiers ont rapidement compris qu’il s’agissait d’une transaction de drogue.

    30 grammes de cocaïne

    Les fonctionnaires décident alors de s’approcher. A la vue des forces de l’ordre, le jeune homme se met immédiatement à courir vers la rue Oberlin, avant même que l’échange puisse se faire. Deux des trois policiers partent à sa poursuite, le troisième restant avec l’acheteuse. Le fuyard prend la rue Henri Bazin et se débarrasse d’un sachet qui sera récupéré peu après. Il contenait environ 30 grammes de cocaïne. Un peu plus loin, le suspect met quelque chose dans sa chaussette puis se jette à l’eau entre deux péniches. Il est clairement prêt à tout pour ne pas terminer au commissariat.

    Le jeune homme nage le long d’une péniche mais semble déjà bien essoufflé après sa longue course. Les policiers lui demandent de revenir à la berge mais il refuse et continue à avancer. Mais il est épuisé et commence à couler. L’un des fonctionnaires ne perd pas un instant de plus : il retire son ceinturon, son gilet pare-balles et ses chaussures, puis se jette à l’eau pour secourir cet homme en perdition.

    Il remercie les policiers

    Le suspect a été ramené à la berge par ce policier, aidé par ses collègues. Les sapeurs-pompiers avaient été prévenus et ont pris en charge le jeune homme, qui n’a pas manqué de remercier les forces de l’ordre qui venaient de lui sauver la vie indique une source proche de l’enquête. Dans sa chaussette, les policiers ont trouvé une liasse de billets. Sans aucun doute l’argent qu’il avait amassé au cours de la journée en vendant de la drogue. Ce ressortissant mexicain domicilié à Nancy a été transporté à l’hôpital Central de Nancy pour y subir des examens, alors qu’il régurgitait encore de l’eau.

    L’homme a été placé en garde à vue au cours du week-end, une fois que son état de santé s’était amélioré. La consommatrice de 34 ans à qui il devait vendre de la cocaïne, a reconnu les faits. Le mis en cause de 19 ans sera jugé au tribunal correctionnel dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), également appelée « plaider-coupable », en mars 2022, pour des faits de trafic de stupéfiants.

    Dans un communiqué, le syndicat Unité SGP Police FO « rappelle, s’il en est encore besoin, que les policiers sont au service de toute la population et qu’ils sont prêts à risquer leur vie pour sauver celle d’un honnête citoyen tout comme celle d’un délinquant ». L’organisation salue également « le professionnalisme et le courage de ce policier qui, au péril sa vie, n’a pas hésité à porter secours à un dealer dont la vie était menacée ».

    ACTU 17


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  • Un tueur en série s’était accusé à sa place : un homme arrêté pour un meurtre datant de 1983

    Un tueur en série s’était dénoncé pour ce meurtre… mais il n’était pas le véritable coupable. La semaine dernière, un homme, Thomas Elvin Darnell, a été arrêté et inculpé pour un crime remontant à 1983. Le 17 mars de cette année-là, Laura Marie Purchase, une jeune américaine, a été retrouvée morte, le corps en train de brûler dans une zone boisée de Conroe, au Texas. L’enquête avait révélé qu’elle avait été violée et étranglée. Il avait fallu trois ans au FBI pour identifier la victime. L’ADN du meurtrier avait lui été découvert sur son corps.

     

    La police avait établi que Laura Marie Purchase avait été vue pour la dernière fois le 5 mars 1983. Elle vivait alors avec un homme, un musicien répondant au nom de Howie ou Howard. Mais peu d’informations avaient été découvertes sur cette affaire. Henry Lee Lucas, un tueur en série autoproclamé surnommé le «Confession Killer» avait avoué le crime peu de temps après et avait été condamné en 1986. Il devait son nom dans les médias à la centaine de meurtres qu’il avait avoués. Seuls trois d’entre eux ont été officiellement vérifiés, dont celui de Debra Jackson en 1979, qui lui avait valu une condamnation à mort, peine commuée en réclusion à perpétuité en 1998. Il est mort en prison en 2001.

    Aidés par un site de généalogie génétique

    En 2007, la police a décidé de rouvrir l’enquête, profitant des progrès de la science pour faire analyser l’ADN découvert sur le corps et le comparer à celui de l’homme en prison. Un an plus tard, les enquêteurs ont découvert qu’il ne correspondait pas à Henry Lee Lucas, raconte ABC News. Le criminel et son complice avaient alors étaient tous les deux éliminés de cette affaire.

    En 2019, les autorités ont choisi d’envoyer l’ADN du suspect à l’un des sites de généalogie génétique ouverts au grand public afin de permettre de retrouver des ancêtres et de connaître ses origines. C’est alors qu’un suspect s’est dégagé, Thomas Elvin Darnell, dont l’ADN a été officiellement confirmé en avril dernier. Il a été arrêté le 11 mai à Kansas City, chez lui, et a été extradé le 20 mai vers le comté de Montgomery, où a eu lieu le crime. Il a été inculpé pour meurtre sans possibilité de remise en liberté sous caution. La police n’a pour l’instant pas précisé le mobile du crime ni le possible lien entre cet homme et la victime.

    Paris Match


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  • Ce projet familial a vu le jour en 2019, quand un père et son fils, originaires des États-Unis, ont fait l’acquisition d’un Douglas R4D. Toutes les pièces n’ont pas été gardées, évidemment, et la restauration et l’aménagement ont alors pu commencer.

    C’était un rêve d’enfant. Depuis ses 12 ans, Gino Lucci rêve de conduire un avion, et à défaut de devenir pilote de ligne, il a tout de même réussi à passer son permis poids lourd. Le voilà donc désormais au volant de son camping-car créé à base d’un ancien avion-cargo.

    Mais les travaux pour en venir à ce résultat n’ont pas été simples du tout. Aidé par son fils, le mécano aux idées géniales a dû s’adapter selon la forme de l’ancien engin volant. Une bonne partie des pièces d’origines ont donc été données à un autre projet de restauration d'avion de la même époque.

    Pour ce qui est de la base, la carlingue du R4D a été posée sur un châssis de semi-remorque afin que son transport ne pose aucun problème sur l’autoroute.

    À l’intérieur, c’est un camping-car “normal”. Salle de bain, chambres, cuisine aménagée, cockpit… Bref, un véhicule banal.

    Le propriétaire s’est d'ailleurs donné beaucoup de mal pour que le cockpit reste d’origine au maximum en adaptant les boutons de base à ceux d’un camping-car. La climatisation est simplement venue remplacer le pilote automatique…

    Et même s’il est probablement très agréable de conduire cet engin. On suppose tout de même que les manœuvres ne doivent pas toujours être simples, surtout quand il s’agit de passer à la pompe à essence.

    Auto News


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  • Une femme a été tuée à coups de marteau ce lundi matin à Arpajon (Essonne). L’auteur présumé des faits a été interpellé, il est actuellement en cellule de dégrisement.

    Le meurtre a eu lieu dans un appartement d’Arpajon alors que les deux enfants de la victime se trouvaient dans le logement. Le parquet d’Évry a ouvert une enquête pour « meurtre » et « tentative de meurtre », étant donné qu’une seconde femme a été blessée par l’auteur présumé des faits.

    Ces deux femmes seraient venues passer le week-end chez un homme de 39 ans qui vivait seul dans un appartement depuis deux mois indique Le Parisien de source policière. La victime, une Erythréenne, aurait demandé au trentenaire qui était ivre, de faire moins de bruit. Il était environ 5 heures du matin. Une remarque que cet homme n’aurait pas apprécié.

    L’un des enfants aurait été témoin du crime

    Ce dernier s’est servi d’un marteau pour frapper à mort la mère de famille. La seconde femme a été blessée en tentant de s’interposer. En outre, les enfants de la victime, une fillette de 2 ans et demi et un garçon de 11 ans, dormaient dans une pièce voisine. Ils ont été réveillés par les hurlements. Le petit garçon aurait assisté à cette horrible scène.

    Les deux enfants ont fait l’objet d’une ordonnance de placement provisoire. Leur père vit dans un hôtel à Paris.

    Le tueur présumé a été interpellé par la police. Il a été placé en cellule de dégrisement et en garde à vue différée. L’homme sera entendu par les enquêteurs une fois que son alcoolémie sera revenue à zéro. Pour l’heure, on ne sait pas si la défunte et cet homme sont de la même famille ou s’ils avaient une relation amoureuse ou amicale.

    ACTU 17


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  • Une jeune femme a été poignardée à mort en pleine rue à Hayange (Moselle) dans la nuit de dimanche à lundi. Le tueur, qui serait son conjoint, est en fuite. Il venait semble-t-il de sortir de prison.

    L’horreur en pleine rue, à Hayange, près de Thionville. Une jeune femme de 21 ans a été tuée à coups de couteau à proximité de son domicile, entre minuit et 1 heure du matin selon France Bleu. Les secours ne sont pas parvenus à la sauver. La victime était mère d’une petite fille de 4 ans précise BFMTV.

    L’auteur présumé des faits serait le conjoint de la défunte. Âgé de 23 ans, il est bien connu des services de police et était placé sous bracelet électronique. Un bracelet qu’il aurait arraché selon la chaîne d’informations.

    « La victime a tenté de se réfugier au commissariat »

    Le maire RN de la ville, Fabien Engelman, fait part de sa colère sur Facebook. « Cet individu est très connu des services de police. Il venait à peine de sortir de prison », écrit-il. « Il s’agirait de son conjoint qui est un ressortissant kosovar, en possession d’un titre de séjour »« Que faisait-il encore sur le territoire Français ? Cela démontre une fois encore le laxisme de ce gouvernement », poursuit l’édile. « La victime a tenté de se réfugier au commissariat de la police nationale de Hayange, malheureusement fermé à partir de 18h ».

    Le tueur présumé aurait pris la fuite en voiture. La police judiciaire de Metz est en charge de cette enquête. Selon le collectif « Féminicides par compagnons ou ex », si la piste d’un féminicide se confirme, il s’agirait du 43ème cas en France depuis le 1er janvier.

    ACTU 17


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  • Doubs : Les douaniers découvrent 400 kg d’herbe de cannabis dans un poids lourd sur l’A36

    Les douaniers ont saisi pas moins de 400 kilos d’herbe de cannabis dans un poids lourd, sur l’autoroute A36, dans la nuit de jeudi à vendredi. Le chauffeur a été placé en garde à vue.

    C’est de nouveau une belle saisie de drogue pour les douaniers. Ces derniers sont toujours très actifs et contrôlent de nombreux véhicules. Dans la nuit de jeudi à vendredi, ils ont arrêté le chauffeur d’un poids lourd qui arrivait d’Espagne et qui circulait sur l’autoroute A36 indique L’Est Républicain.

    Le contrôle s’est déroulé sur l’aire du Charme, vers minuit. Dans la remorque, une forte odeur a attiré leur attention. Les premières recherches leur ont permis de découvrir une énorme quantité d’herbe de cannabis cachée dans des dizaines de cartons. Il y avait au total 400 kilos de drogue.

    Le chauffeur de nationalité étrangère a été interpellé puis « remis aux enquêteurs de la police judiciaire de Besançon », a précisé le parquet de Montbéliard. Il a été placé en garde à vue. Ce cannabis était semble-t-il destiné au marché allemand.

    Fin avril, les douaniers ont mis la main sur 2,6 tonnes de cannabis lors de trois contrôles différents, dans les Pyrénées-Atlantiques, l’Aude et les Pyrénées-Orientales. Une perte pour les trafiquants estimée à 17 millions d’euros.

    ACTU 17


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