• Calvados. Accident à Danestal : la voiture termine sur le toit, à quelques centimètres d’une maison

    Un spectaculaire accident s’est produit ce lundi 28 juin 2021, à Danestal, entre Dozulé et Pont-l’Évêque. Après avoir percuté un feu de chantier, un automobiliste a effectué un tonneau avant de finir sa course, sur le toit, au pied d’une habitation.

    Lundi 28 juin 2021, en milieu d’après-midi, un accident a eu lieu à l’entrée du bourg de Danestal (Calvados), entre Dozulé et Pont-l’Évêque : un véhicule circulant dans le sens Annebault-Dozulé a heurté le feu tricolore de chantier présent sur la voie.

    Fin de course au pied du garage

    « Le véhicule a heurté le feu de chantier, fait un tonneau pour finir devant l’entrée d’une habitation », précise le major Sébastien Becker, commandant de la communauté de brigades de Villers-sur-Mer, intervenu sur les lieux avec son unité. Et plus précisément devant l’entrée du garage… « Le conducteur de 40 ans, seul en cause, réside à Pont-l’Évêque. »

    Il a perdu le contrôle de son véhicule, vraisemblablement du fait d’une « vitesse excessive », précise encore le major. Il a été conduit par les pompiers à l’hôpital de Criquebœuf pour un examen de contrôle.

    Ouest-France


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  • C’est une vieille méthode, utilisée depuis la nuit des temps par les casseurs de banque. Trois « termitiers », comme les appellent les policiers dans leur jargon, ont été écroués vendredi par le tribunal correctionnel d’Évry-Courcouronnes (Essonne), qui a décidé de renvoyer cette affaire au 3 juillet . Le trio, âgé de 30 à 47 ans, est soupçonné d’avoir tenté de creuser un tunnel pour cambrioler une agence de la caisse d’Épargne de Sainte-Geneviève de Bois.

    Un trou dans le pavillon situé à côté de l’agence

    En avril, les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme de la police judiciaire (PJ) de Versailles apprennent qu’une équipe de casseurs de banque est à l’œuvre dans une rue de cette ville de la banlieue sud de Paris. Les malfaiteurs se sont emparés d’un pavillon abandonné, squatté et voué à la destruction, qu’ils ont transformé en chantier. « La maison est située à quelques mètres de l’agence bancaire », précise une source proche de l’affaire. Les policiers se rendent sur les lieux et constatent qu’un trou a été creusé. Un début de tunnel, plutôt bien réalisé, part vers la banque sur une longueur de trois mètres. « Sur place, il y a des outils et un groupe électrogène. Le voisinage confirme qu’un groupe d’ouvriers a travaillé avec une petite pelleteuse durant le week-end de Pâques ».

    Un dispositif de surveillance est mis en place sur les lieux. Les fonctionnaires identifient plusieurs personnes qui s’affairent dans et autour de la masure et attendent avec impatience de les arrêter en flagrant délit. Mais du jour au lendemain, le chantier s’arrête. « Nous avons appris par la suite, confie une source proche de l’enquête, que les hommes s’étaient disputés avant de décider d’abandonner le travail d’équipe ».

    Coup de filet à Brétigny et à Marseille

    Le 22 juin, la police siffle la fin du match. Un suspect est interpellé à Brétigny-sur-Orge et les deux autres sont arrêtés à Marseille (Bouches-du-Rhône). Au cours des perquisitions menées à leurs domiciles, les forces de l’ordre mettent la main sur des gilets jaunes, un perforateur et des vêtements pleins de terre qui ont été vus durant la période d’activité. Ces trois hommes sont tous connus des forces de l’ordre pour des vols et délits de droit commun. Ils sont placés en garde à vue dans les locaux versaillais de la PJ. Les enquêteurs entendent également des jeunes gens du secteur qui auraient été embauchés pour aider sur le chantier.

    Au cours des auditions, les malfaiteurs passent des aveux partiels. L’un d’eux avoue qu’il a reçu cette proposition provenant d’une connaissance de Brétigny. Son rôle consistait à creuser ce tunnel pour rejoindre la banque où se trouvent de nombreux coffres. Les deux autres nient toute implication dans cette tentative de cambriolage. Ils s’expliqueront devant le tribunal dans quelques jours.

    Le Parisien


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  • Briançon : Le père au volant fait une sortie de route, son épouse et son fils tués dans l’accident

    Une voiture a violemment percuté un poids lourd en stationnement à la sortie de Briançon (Hautes-Alpes) dans la nuit de vendredi à samedi. Une mère et son fils ont été tués. Le père de famille est quant à lui grièvement blessé, il a été secouru par une patrouille de policiers.

    Le choc a été violent et le véhicule s’est embrasé juste après. Le drame s’est produit dans la nuit de vendredi à samedi vers 1 heure du matin. La voiture d’une famille serbe a fait une sortie de route sur la RN 94, route d’Italie, à la sortie de Briançon, en direction de Montgenèvre détaille Le Dauphiné.

    Le véhicule a brutalement percuté un poids lourd en stationnement, le faisant reculer de deux mètres. La voiture de la famille, qui se dirigeait vers Paris pour des vacances, a rapidement pris feu. Une patrouille de la police aux frontières (PAF) est rapidement arrivée sur place et les fonctionnaires ont essayé d’éteindre l’incendie avec leur extincteur, parvenant à extraire le conducteur de l’habitacle. L’homme est grièvement blessé.

    Les policiers « n’ont jamais pris en chasse la voiture », a précisé le procureur de la République de Gap, Florent Crouhy, à nos confrères, ajoutant que des témoins ont confirmé qu’ils étaient arrivés après la collision. Un peu plus tôt dans la nuit, les policiers de la PAF avaient aperçu un véhicule passant à pleine vitesse devant le poste frontière de Montgenèvre. Ils ont ensuite décidé de partir en patrouille. L’accident s’est produit plusieurs kilomètres plus loin. C’est un couple qui passait par là qui a alerté les secours.

    18 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place mais il était déjà trop tard. Malgré la tentative de sauvetage des policiers, l’épouse du conducteur et son fils qui était âgé de 16 ans, sont décédés. Le pronostic vital du père n’est pas engagé.

    Le père au volant s’est-il endormi ?

    Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte par le parquet et confiée à la brigade de sûreté urbaine du commissariat de Briançon. Les investigations permettront de déterminer ce qui s’est exactement passé. Le conducteur s’est-il endormi ? Sa voiture a-t-elle rencontré un problème mécanique ? Les policiers n’ont en tout cas pas relevé de traces de freinage souligne Le Dauphiné.

    L’enquête permettra aussi de savoir si c’est cette voiture qui était passée à toute vitesse devant le poste frontière, peu avant le drame. Le père de famille a fait l’objet d’une analyse toxicologique comme c’est le cas à chaque fois dans ce type de procédure. Il n’a pas encore pu être entendu par les enquêteurs étant donné son état de santé.

    ACTU 17


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  • Le 25 juin 2021 vers 20h30, deux footballeurs marseillais ont été pris pour cible alors qu'ils venaient de terminer un match. L'un des joueurs est décédé et l'autre serait actuellement entre la vie et la mort.

    Un homme a été tué et un autre grièvement blessé par balle vendredi 25 juin 2021 au cours d'un tournoi de football dans une cité de Marseille, a indiqué à l'AFP la préfecture de police confirmant une information du quotidien La Provence. Alors que les footballeurs se trouvaient à proximité du stade La Martine dans le 15e arrondissement de Marseille, une voiture est arrivée et ses occupants ont tiré sur deux joueurs qui participaient à ce tournoi inter-quartiers, la HCup.

    L'un serait décédé et l'autre se trouve dans un état "très grave", a indiqué la même source. Le joueur grièvement blessé aurait été évacué en urgence vers l'hôpital nord, révèle le site de France 3 Provence Alpes Côte d'Azur. L'homme abattu serait âgé d'une trentaine d'années et aurait été touché d'au moins quatre balles selon actumarseille. Un dispositif de soutien psychologique devait être mis en place pour les spectateurs qui ont assisté à la scène. Le sous-préfet doit se rendre sur place. La police judiciaire a été chargée de l'enquête.

    "Il y a eu un mouvement de foule, puis le calme est revenu avant que la police ne fasse évacuer le stade" a confié un témoin du crime auprès des journalistes de France 3. Selon Nadia Boulainseur, maire du XVe arrondissement de Marseille, les deux footballeurs pourraient faire partie de l'équipe du quartier de Malpassé situé dans le XIIIe arrondissement.

    Interviewé par BFMTV, Eddy Sid (délégué SGP Unité FO Police) a confié : "L'acte était manifestement bien préparé. Les deux victimes ont été littéralement exécutées. L'un des deux potentiellement connu des services de police. On a probablement affaire à un règlement de comptes."

    Pure People


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  • Tour de France : une spectatrice imprudente provoque une chute impressionnante du peloton

    Un effet domino impressionnant. La première étape de l’édition 2021 du Tour de France a été marquée ce samedi 26 juin par une chute massive au cœur du peloton, vraisemblablement provoquée par la pancarte d’une spectatrice.

    Alors que les coureurs venaient de passer le sommet de la côte de Saint-Rivoal (Finistère), une spectatrice imprudente, tenant une pancarte sur laquelle était inscrite « Allez Opi Omi ! » a tourné le dos au peloton. L’Allemand Tony Martin a heurté de plein fouet sa pancarte, qui dépassait sur la chaussée.

    En tête du peloton, la chute du cycliste a provoqué celles de dizaines d’autres de coureurs, provoquant un véritable chaos.

    Le Tour rappelle les spectateurs à l’ordre

    Selon « l’Equipe », Tony Martin, quadruple champion du monde du contre-la-montre, a été sévèrement touché lors de l’incident et saignait notamment abondamment de la main. Plusieurs cyclistes ont dû être pris en charge par les équipes médicales, et le coureur allemand Jasha Sütterlin, du Team DSM, blessé, a abandonné la course.

    L’incident a brièvement scindé le peloton en deux, avant de se reconstituer.

    « Nous sommes heureux de voir le public sur le bord des routes pour ce Tour de France 2021. Mais pour que le Tour soit un succès, veuillez respecter la sécurité des coureurs ! Ne risquez pas tout pour une photo ou pour apparaître à la télévision », a tweeté le compte officiel du Tour de France comme rappel des mesures élémentaires de sécurité.

    La première étape du Tour de France, longue de 197,8 kilomètres, doit relier Brest et Landerneau. Pour cette 108ème édition, les 184 coureurs en lice vont affronter plus de 3 400 kilomètres jusqu’à la traditionnelle arrivée sur les Champs-Elysées à Paris, le 18 juillet prochain.

    L'OBS


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  • À Dijon, elle déverse près de 50 000 € dans une fontaine et se baigne au milieu des billets

    Une femme a été évacuée d’une fontaine installée dans le centre-ville de Dijon (Côte-d’Or), jeudi 24 juin. Elle se baignait dans l’eau après y avoir déversé plus de 47 000 € en petites coupures ! Fragile psychologiquement, la quinquagénaire a été transportée à l’hôpital.

    Une femme a été prise en charge par les secours, jeudi 24 juin dans l’après-midi, alors qu’elle se baignait dans une fontaine du centre-ville de Dijon (Côte-d’Or). Elle venait de déverser dedans plus de 47 000 €, indiquent la police et la préfecture à l’AFP.

    Alertés après un appel du Samu vers 14 h 30, quatre pompiers se sont occupés de l’évacuer alors qu’elle nageait dans une fontaine de la place de la République et l’ont transportée vers le CHU de la ville.

    « Fragile sur le plan psychologique »

    Des agents de la police nationale et municipale se sont ensuite chargés de faire vider la fontaine puis de collecter l’argent retrouvé sous forme de coupures de 10, 20, 50 et 100 €. « On est intervenu pour mettre la femme en sécurité et pour récupérer les billets flottants dans l’eau », a indiqué la police, évoquant une « quinquagénaire fragile sur le plan psychologique », sans préciser davantage l’origine des fonds ou avancer une explication à ce geste.

    « Nous en sommes à ce stade à 47 200 € identifiés », a pour sa part indiqué la préfecture de Côte-d’Or jeudi soir. La présence policière visait également à s’assurer qu’aucun passant ne soit tenté de s’emparer des liquidités. D’après le quotidien régional Le Bien Public, qui a révélé l’histoire, la « nageuse » est originaire de Nancy.

    Ouest-France


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  • Espagne : John McAfee se suicide le jour de l’annonce de son extradition vers les Etats-Unis

    Son suicide survient quelques heures après l’annonce de son extradition vers les Etats-Unis. John McAfee, le créateur américain du célèbre logiciel antivirus éponyme recherché par son pays pour évasion fiscale, s’est a priori donné la mort ce mercredi dans une prison espagnole, où il était placé en détention provisoire depuis son arrestation en octobre 2020.

    Selon El Pais, John McAfee, 75 ans, a été retrouvé pendu dans sa cellule. Malgré des manœuvres de réanimation, l’homme n’a pas pu être sauvé. « Il a été retrouvé mort dans sa cellule, apparemment il s’est suicidé », a expliqué une porte-parole des autorités pénitentiaires de Catalogne, la région du nord-est de l’Espagne où il était détenu.

    La justice espagnole avait autorisé, plus tôt dans sa journée, son extradition aux États-Unis. Le feu vert de l’Audience nationale pouvait encore faire l’objet d’un recours judiciaire et l’extradition devra aussi être approuvée par le gouvernement espagnol, précisait le jugement du tribunal.

    Des millions de dollars non déclarés

    John McAfee avait été arrêté au lendemain de la publication par un procureur américain d’un acte d’accusation le visant pour avoir omis de déclarer des millions de dollars de revenus issus de la promotion de cryptomonnaies, de services de consultant, de conférences ainsi que de droits vendus pour qu’un documentaire sur sa vie puisse être réalisé. Selon la justice américaine, John McAfee aurait aussi dissimulé des biens, notamment immobiliers, un yacht et une voiture en les mettant également au nom d’autres personnes.

    Après avoir fait fortune avec son antivirus éponyme dans les années 1980, John McAfee est devenu un gourou des cryptomonnaies grâce auxquelles il affirme gagner 2 000 dollars par jour et est suivi par près d’un million de personnes sur Twitter. L’entrepreneur a d’ailleurs été inculpé en mars par la justice américaine pour avoir promu auprès de ses fans sur Twitter plusieurs opérations liées aux cryptomonnaies sans leur dire qu’il allait probablement en retirer de coquettes sommes.

    John McAfee avait défrayé la chronique en 2012 lorsque son voisin au Belize, petit pays d’Amérique centrale, avait été mystérieusement assassiné, un crime non résolu à ce jour. La police avait alors découvert qu’il vivait avec une jeune fille de 17 ans et qu’il détenait plusieurs armes dans sa maison. McAfee était parti dans une cavale rocambolesque qui avait tenu les médias en haleine pendant un mois. En 2015, il avait été arrêté aux États-Unis pour conduite sous l’emprise de stupéfiants et s’était fait ensuite discret dans les médias... jusqu’à janvier 2019 lorsqu’il avait fui son pays dont il voulait briguer la présidence.

    Le Parisien


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  • Blessée à l'abdomen, la femme s'est réfugiée chez sa voisine. A ce moment, "les deux femmes entendaient alors un choc sourd et constataient que l'homme venait de se défenestrer" explique le procureur de la République de Nancy François Pérain.

    À Nancy, dimanche soir, peu après 20 heures, une jeune femme âgée de 30 ans s'est réfugiée chez sa voisine, expliquant avoir été poignardée par son compagnon. Ce dernier, âgé de 30 ans également, reste seul dans l'appartement avec leur bébé de 12 mois. Selon les premiers éléments, obtenus par BFMTV, il semble qu'il se soit alors donné 18 coups de couteau, avant de se défenestrer.

    "La voisine a appelé le 17. Les deux femmes entendaient alors un choc sourd et constataient que l'homme venait de se défenestrer", explique le procureur de la République de Nancy François Pérain dans un communiqué, obtenu par l'Agence France-Presse (AFP).

    Le pronostic vital de la femme non engagé

    La femme "venait de se faire agresser par son concubin et présentait deux plaies par arme blanche à l'abdomen", détaille-t-il.

    Selon nos informations, elle a été sérieusement blessée, et est hospitalisée mais son pronostic vital n'est pas engagé. Ses deux enfants - le bébé et un enfant de 5 ans - sont sains et saufs, et ont été provisoirement placés, d'après l'AFP.

    De multiples plaies "peu profondes" par arme blanche au thorax de l'homme mort ont été constatées par le médecin légiste et les policiers ont trouvé dans l'appartement du couple une paire de ciseaux ensanglantée. La police pense pour le moment qu'il se serait automutilé avant de se jeter par la fenêtre. Une autopsie sera effectuée rapidement pour en savoir davantage.

    "Aucune plainte ou main courante pour des violences conjugales"

    L'homme était semble-t-il inconnu des services de police. Selon les premières recherches, "aucune plainte ou main courante n'avait été déposée par la femme pour des violences conjugales", explique le procureur.

    Une enquête a été ouverte par le parquet de Nancy. François Pérain, a précisé que la femme sera entendue "dès que son état de santé le permettra".

    BFM.TV


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  • Trois personnes ont été blessées dans l’effondrement de deux immeubles situés dans le centre-ville de Bordeaux, dans le secteur de la porte de Bourgogne, selon un bilan définitif du porte-parole des pompiers auprès de l’AFP. L’un d’eux, âgé de 28 ans, l’est grièvement et son pronostic vital est « probablement engagé », précise cette même source. Les faits concernent deux immeubles d’habitation de trois étages situés au 19 et 21 rue de la Rousselle, nous rapporte la préfecture de la Gironde, confirmant une information de France Bleu.

    Un des deux immeubles était vétuste et en travaux. L’autre était habité par neuf personnes. La préfecture ne fait état d’aucun décès. Parmi les autres personnes victimes de l’accident, une n’a pas souhaité être prise en charge et cinq autres l’ont été par une cellule médico-psychologique, précise la préfecture. Six autres occupants de l’immeuble, « indemnes », ont été évacués avec l’aide d’un bras élévateur articulé (nacelle).

    Les pompiers ont mis en œuvre des moyens spécialisés impliquant des équipes cynotechniques et en sauvetage-déblaiement pour rechercher d’éventuels sinistrés. « Il n’y a pas de personnes décédées », ni d’habitants portés disparus, a souligné le lieutenant-colonel Arnaud Mendousse, porte-parole du service départemental d’incendie et de secours de la Gironde.

    Un effondrement non loin mercredi

    Selon un voisin, « vers minuit et demi, il y a eu un gros vrombissement et un mini-tremblement de terre sur la fin ». « Je suis descendu, c’était impressionnant », a ajouté Patrick Calafato selon qui le sinistre est survenu avant une forte pluie qui s’est brièvement abattue sur la ville dans la nuit. Toute la rue était bloquée par des amas de gravats, a constaté l’AFP sur place. Autour, une dizaine d’immeubles à proximité ont été évacués. Les habitants ont été relogés chez des proches ou par la municipalité.

    Selon le maire-adjoint du quartier Amine Smihi, il est « beaucoup trop tôt » pour déterminer les causes du sinistre. « Est-ce que ce sont les travaux ou la météo ? Nous ne savons pas pour le moment », a ajouté l’adjoint à l’AFP, en écartant toute « problématique de vétusté » sur ces immeubles. Aucun n’était concerné par un arrêté de péril. « Les orages font vraisemblement partie des causes » de ce type de sinistres. On a essuyé des pluies et des orages d’une exceptionnelle intensité », a relevé le maire écologiste Pierre Hurmic devant la presse, tout en évoquant de possibles « causes multiples ».

    Une expertise technique a été diligentée par les services techniques. L’immeuble en rénovation était étayé. D’après les premières constatations, c’est l’effondrement de ce bâtiment « qui a entraîné l’écroulement de l’immeuble voisin », selon M. Smihi décrivant des tas de gravats de « plusieurs mètres de hauteur ».

    Mercredi dernier, un autre immeuble s’est effondré, non loin de là, rue Planterose, alors que des travaux de sécurisation venaient d’être entamés. Au total, 12 immeubles avaient dû être évacués, selon Sud Ouest. Il s’agissait d’un problème plus large, à l’échelle de la rue. « On s’est rendu compte qu’on avait un problème d’habitat indigne très prononcé dans cette rue », expliquait auprès de 20 Minutes Stéphane Pfeiffer, adjoint au logement.

    Le Parisien


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  • Ce samedi, les policiers chargés de l’enquête étaient toujours aux trousses du voleur violent qui s’est volatilisé dans les bois. L’agression a eu lieu jeudi soir, à 21h30, au bois de Boulogne, au carrefour des Sablons (XVIe), non loin du jardin d’acclimatation. Elle s’est déroulée alors que la victime venait de récupérer sa voiture garée dans le bois de Boulogne (XVIe). La septuagénaire est montée dans sa Clio et ne l’a pas verrouillée. Elle a également posé son sac à main sur le siège avant passager.

    À un feu rouge, un homme, tout habillé de noir, cagoulé, en a profité pour ouvrir la porte et s’emparer du sac à main. Un classique vol à la portière qui a mal tourné. La victime a tenté de retenir son sac. Le voleur a insisté et a tiré plus fort. Les doigts de la septuagénaire se sont alors accrochés à la lanière en cuir. C’est là que le voleur lui a cisaillé le doigt en tirant plus fort. La victime hurlait. L’agresseur a ensuite pris la fuite, avec le sac.

    Arrivés sur place, les pompiers ont récupéré la phalange du majeur gauche arrachée. La victime a été conduite à l’hôpital Georges-Pompidou (XVe). Sa voiture a été remorquée par une dépanneuse. Une enquête a été ouverte pour « vols avec violence ayant possiblement entraîné une infirmité permanente ». Vendredi, les enquêteurs avaient recueilli le témoignage d’un passant qui a assisté à la scène. Ils ont épluché les images des caméras de vidéo surveillance de ce secteur du XVIe arrondissement, entre le carrefour Sablons, Neuilly et la porte Maillot (XVIe). Les techniciens de la police scientifique ont, eux, passé au peigne fin les surfaces de la carrosserie de la voiture potentiellement touchées par l’agresseur et potentiellement porteurs de traces et d’indices…

    Le Parisien


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  • Les douaniers ont découvert 50 kilos de billets de banque dans une voiture circulant sur l’autoroute A2. Le conducteur venait de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) et se dirigeait vers le Luxembourg. Au total, il transportait près d’un million d’euros.

    Que faisait cet homme avec cette somme d’argent colossale en petites coupures ? Vers 11h45 le 10 juin dernier, les douaniers de Saint-Aybert, près de Valenciennes (Nord) ont procédé au contrôle d’un homme au volant d’une voiture immatriculée en Allemagne sur l’autoroute A2.

    Le conducteur a déclaré qu’il venait de Boulogne-sur-Mer et qu’il se dirigeait vers le Luxembourg. Dans le coffre du véhicule, les douaniers ont fait une surprenante découverte. Ils ont trouvé trois sacs de billets de banque pour un poids de 50 kilos. 12 heures ont été nécessaires aux douaniers pour faire le décompte explique le procureur de la République de Lille dans un communiqué.

    973 136 euros

    Au total, le suspect transportait 832 735 livres sterling ainsi que 3500 euros, soit un montant de 973 136 euros. L’homme a été placé en retenue douanière puis en garde à vue. « Sur instructions du parquet de la juridiction interrégionales spécialisées (JIRS) du tribunal judiciaire de Lille, les investigations sont confiées à l’unité lilloise du Service d’enquêtes judiciaires des finances (SEJF) », précise le communiqué.

    « Sur le temps de la flagrance, les officiers de douane judiciaire ont recueilli des éléments motivants l’ouverture d’une information judiciaire des chefs notamment de blanchiment douanier, blanchiment de droit commun en bande organisée et association de malfaiteurs », détaille le parquet. Le mis en cause a été placé en détention provisoire. « Il s’agit de la plus importante saisie d’argent liquide réalisée par la douane française cette année », ont précisé les douaniers.

    ACTU 17


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  • C’est peu dire qu’il était apprécié. La popularité de Philousports, personnalité très suivie sur Twitter pour ses commentaires sur l’actualité sportive, se mesure à la quantité impressionnante d’hommages qui se multiplient sur les réseaux sociaux depuis l’annonce de sa mort hier.

    Il souffrait de myopathie et avait une trachéotomie.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/de-kylian-mbapp%c3%a9-%c3%a0-lolympique-de-marseille-pluie-dhommages-pour-philousports/ar-AALeUlB?ocid=msedgntp


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  • Plus d’une dizaine de personnes ont été blessées dans l’effondrement partiel du chantier d’une école d’Anvers, en Belgique. Au moins trois ouvriers sont morts.

    Trois ouvriers du bâtiment sont morts et deux sont toujours portés disparus samedi, au lendemain de l’effondrement partiel du chantier d’une école d’Anvers, en Belgique.

    « Malheureusement, nous devons signaler qu’une troisième victime vient d’être retrouvée sous les décombres. Malgré ce terrible bilan, les secours continuent sans relâche jusqu’à ce que nous soyons aussi en mesure de retrouver les deux autres personnes disparues », ont tweeté les pompiers de la ville.

    Deux des ouvriers morts étaient originaires du Portugal et de Roumanie et la nationalité de la troisième victime n’est pas connue, a indiqué la police aux médias locaux.

    Les sauveteurs sont à la recherche d’un ouvrier portugais et d’un Russe.

    Le roi de Belgique attendu sur place

    Neuf autres personnes ont été blessées dans l’accident qui s’est produit vendredi après-midi.

    L’école étant encore en construction, aucun élève n’était présent. La cause de l’effondrement n’était pas connue.

    Le roi Philippe de Belgique devait se rendre sur les lieux samedi.

    Ouest-France


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  •  La police aurait été contactée vendredi soir par un homme expliquant qu’un de ses amis l’avait appelé pour lui dire qu’il avait tué sa femme

    Le corps d’une femme d’une trentaine d’années a été retrouvé dans son appartement vendredi soir à Montbéliard ( Doubs), sans que la cause de son décès ne soit encore connue, et son conjoint est recherché par les forces de l’ordre, a-t-on appris ce samedi de source policière. La police aurait été contactée vendredi vers 20h30 par un homme expliquant qu’un de ses amis l’avait appelé pour lui dire qu’il avait tué sa femme, selon cette source.

    Sur place, « une femme d’environ 30 ans » est découverte sans vie, a ajouté cette même source. « Une femme a bien été découverte morte dans un appartement », a confirmé la procureure de la République de Montbéliard Ariane Combarel, incitant néanmoins à « la plus grande prudence » car la défunte n’a pas été « identifiée formellement » et « la cause de la mort n’est pas apparente ».

    Son conjoint, âgé de 41 ans, était toujours recherché ce samedi. Selon L’Est républicain, cet homme est connu de la justice, mais pas pour des faits de violences conjugales, et le couple n’avait pas d’enfant. Le commissariat de la ville n’a pas souhaité communiquer.

    20 Minutes


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  • Malestroit. Un incendie se déclare à l’église Saint-Gilles où des bidons d’essence ont été retrouvés

    Vendredi 18 juin 2021, vers 23 h 30, un incendie s’est déclaré à l’église Saint-Gilles de Malestroit (Morbihan). Un individu aurait mis le feu à l’échafaudage de la façade nord de l’édifice, à l’aide de briquets et d’essence. Les pompiers confirment avoir retrouvé des bidons.

    L’église de Malestroit (Morbihan) a été visée par une tentative d’incendie, vendredi 18 juin 2021, vers 23 h 30. Un individu, muni de bidons d’essence, aurait mis le feu à l’aide de briquets à l’échafaudage (en place pour la rénovation de l’édifice) de la façade nord de l’église, dans la petite rue du Lion d’Or.

    À l’arrivée des pompiers, le feu était déjà maîtrisé. C’est l’employé d’un café de la commune qui a réagi. « Eddy, notre serveur, a été très courageux. Il a pris l’extincteur du bar pour intervenir rapidement », témoigne la patronne de la Vieille Auberge.

    Un suspect a été arrêté

    L’église n’a subi aucun dégât, confirment les pompiers, qui avaient dépêché une trentaine de soldats du feu sur place. « On est peut-être passé à côté d’une grosse catastrophe », réagit le maire de la ville, Bruno Gecquello. « Je vais faire en sorte de sécuriser les échafaudages pour la saison estivale », précise l’élu.

    Après cet incendie, un suspect a été arrêté par la gendarmerie de Guer. Une enquête est en cours à la brigade d’investigation de Vannes.

    Ouest-France


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  • Une mère force sa fille à enterrer sa petite sœur de 4 ans, tuée après une punition de 3 jours

    Une mère américaine a été inculpée en Caroline du Nord. Elle est accusée d’avoir forcé sa fille de 13 à enterrer sa petite sœur de 4 ans, dont les restes ont été découverts dans le jardin.

    Malikah Bennett a été inculpée en Caroline du Nord pour le meurtre de sa fille. Cette Américaine de 31 ans est accusée d’avoir forcé son autre fille adolescente de 13 ans à enterrer sa petite sœur de 4 ans. Les restes de l’enfant ont été découverts le mois dernier dans le jardin du domicile familial, rapporte ABC News. Elle est poursuivie meurtre au premier degré, abus sur mineur, coups et blessures ayant provoqué la mort. Elle avait déjà été inquiétée en février 2020 pour d’autres abus sur ses enfants.

    En plus de la trentenaire, la police a également inculpé la mère de Malikah Bennett, Tammy Taylor Moffett, âgée de 53 ans et accusée de complicité de meurtre. D’après Counton2, si le corps a été découvert en mai dernier, la fillette aurait disparu depuis l’été 2020. C’est en août de cet année-là qu’elle aurait perdu la vie.

    Le corps caché dans des sacs poubelle

    Avant de mourir, la petite Miegellic «Jelli» Young aurait été forcée par sa mère à rester debout durant trois jours dans la buanderie pour la punir d’avoir sali son pantalon. Peu à peu affaiblie par ces journées de torture, son corps a fini par lâcher et elle est tombée contre la porte, se cognant la tête. La mère a tenté de la réanimer, en vain, a raconté la grande sœur de 13 ans à la police.

    Après la mort de son enfant, la mère aurait mis le corps dans deux sacs poubelle en plastique noir cachés dans le coffre d'un SUV. Au bout de cinq jours, l’odeur est devenue tellement forte que Malikah Bennett se serait rendue dans une boutique pour acheter une pelle. Elle aurait ensuite creusé un trou et demandé à sa fille d’aller chercher le corps et de le placer dans la tombe, avant de la lui faire recouvrir de terre.

    Paris Match


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  • Elle était en « pronostic vital très engagé » puis en « mort cérébrale ». Miriam, la jeune femme de 31 ans, de nationalité italienne, renversée ce lundi par une trottinette électrique, quai de la Mégisserie (Ier), est décédée. Dans son entourage, c’est la stupeur et le chagrin. « On est tous détruits », résume une proche. Il y a aussi de la colère… Les deux jeunes femmes, qui ont renversé la victime avec leur trottinette ne se sont pas arrêtées…

    Le drame a eu lieu ce lundi à 1 heure du matin. La victime, serveuse dans un restaurant italien parisien, marchait avec une amie sur les voies sur berge, voie Georges-Pompidou, au niveau du pont au Change, le long de l’île de la Cité, lorsqu’elle a été violemment percutée par la trottinette « qui déboulait à toute allure », précise un proche. La victime a été projetée au sol. Sa tête a heurté le trottoir. Les deux « chauffards » ont continué leur route.

    Un appel à témoins lancé

    Les plongeurs de la brigade fluviale qui patrouillaient sur la Seine, témoins, ont sauté de leur bateau et ont tenté de ranimer la victime en attendant les secours. Miriam était en arrêt cardiorespiratoire. Bien que son cœur soit reparti après 30 minutes de massage, elle avait été ensuite transportée en urgence absolue, inconsciente à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (XIIIe). « Les médecins étaient très pessimistes », indique une source proche du dossier.

    Ce vendredi, le parquet de Paris a confirmé avoir ouvert une enquête du chef d’homicide volontaire par conducteur, aggravé par le délit de fuite. De son côté, le service de traitement judiciaire des accidents (STJA) de la préfecture de police, à qui le parquet de Paris a confié l’enquête, a lancé un appel à témoins pour retrouver les deux fuyardes.

    David Belliard demande aux deux fuyardes de se rendre

    Ces spécialistes des délits routiers, qui gèrent les accidents sur la capitale, ont placardé un avis le long des quais, notamment sur les fontaines à eau, sur le segment du pont au Change, là où des gens ont pu croiser la trottinette. Les enquêteurs demandent aux éventuels promeneurs du quartier, témoins, de se manifester, en contactant les enquêteurs du STJA, disponibles 24 heures su 24 au 01.44.08.62.70. Les images de vidéosurveillance pourraient aussi donner des éléments de réponse… « Il y avait du monde sur les quais ce jour-là », espère un proche du dossier.

    Ce drame absolu, sur fond de polémique de la dangerosité des trottinettes électriques à Paris, a fait réagir élus de tous bords, Parisiens, associations, internautes sur les réseaux sociaux.

    Ce vendredi soir, David Belliard, l’adjoint (EELV) chargé des transports d’Anne Hidalgo, a adressé « ses plus sincères condoléances aux proches de la victime ». L’écologiste qui martèle que « la sécurité des usagers les plus vulnérables que sont les piétons fait partie de mes priorités » demande à ce « que toute la lumière sur cet accident soit faite », que « les auteurs de ce drame soient jugés ». Et demande aux deux jeunes filles « de se rendre ».

    La jeune femme a fait don de ses organes

    Originaire de la région de Capalbio, en Toscane, Miriam avait quitté l’Italie pour s’installer à Paris, à Saint-Germain-des-Prés (VIe) et travaillait dans un petit restaurant italien du quartier, rue Grégoire de Tours (VIe), en tant que serveuse responsable.

     

    La jolie brune s’est éteinte mercredi, à 4 heures du matin au service réanimation de la Pitié-Salpêtrière (XIIIe). La famille a fait don de ses organes, selon le souhait de Miriam. « Son dernier geste d’amour », résume un proche.

    Le Parisien


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  • Cinq gendarmes ont été blessés lors de l'intervention pour disperser une rave party illégale à Redon (Ille-et-Vilaine) et un jeune participant «de 22 ans a perdu une main», a annoncé samedi matin le préfet d'Ille-et-Vilaine Emmanuel Berthier.

    Deux gendarmes ont été évacués à l'hôpital de Redon, a-t-il précisé, en dénonçant «des heurts d'une grande violence». Selon le préfet, «1500 personnes» s'étaient donné rendez-vous pour une rave party en hommage à Steve Maia Caniço, décédé à Nantes il y a deux ans lors de la Fête de la musique, en tombant dans la Loire au moment de l'intervention de la police.

    Plus de 400 gendarmes tentaient samedi de disperser une rave party en Bretagne (ouest de la France), a indiqué la préfecture qui a fait état de "plusieurs blessés" du côté des forces de l'ordre comme des fêtards.

    La gendarmerie était intervenue dans la nuit pour empêcher cette rave party près de Redon. Selon la préfecture, les fêtards ont tenté d'installer la fête sur l'hippodrome de la localité.

    "Des individus violents qui refusent de quitter les lieux"

    «Depuis plusieurs heures les forces de l'ordre sont confrontées à des individus violents qui refusent de quitter les lieux», avait indiqué la préfecture auparavant. La gendarmerie nationale a confirmé dans un tweet qu'une opération était «en cours» et indiqué que «plus de 400 gendarmes» sont engagés «pour faire cesser les troubles».

    Selon les autorités, interrogées par l'AFP, «les forces de l’ordre font face à des individus très violents et essuient des jets de cocktail molotov, boules de pétanque, morceaux de parpaings».

    «A cette heure, plusieurs blessés sont dénombrés de part et d’autre. Ils sont pris en charge par les services de secours et les associations de protection civile, mobilisés sur place par le préfet», avait indiqué la préfecture sur Twitter.

    «Depuis hier soir, il n'y a pas de musique", mais "les individus qui participent à cette rave illégale sont toujours présents sur site», a précisé à l'AFP la préfecture samedi matin.

    Vendredi, les autorités locales avaient pris un arrêté d'interdiction, craignant qu'un «rassemblement festif à caractère musical de type teknival ou rave-party» puisse regrouper «plusieurs centaines de participants» dans le département.

    La fête a été organisée malgré le couvre-feu qui entre en vigueur à 23 heures, et doit être levé à compter de dimanche en raison de l'amélioration du reflux de l'épidémie de coronavirus.

    Paris Match


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