• CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 31 10 2018

     

    Passez une bonne soirée


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  • Cette video n'était pas dans l'article

    Son cas avait suscité l'indignation à l'étranger et des violences dans le pays. La Cour suprême du Pakistan a acquitté en appel la chrétienne Asia Bibi, condamnée à mort pour blasphème en 2010, selon un verdict rendu mercredi 31 octobre. Asia Bibi se trouve actuellement incarcérée dans une prison à Multan (Centre) depuis 9 ans, et va être libérée "immédiatement".

    Ce verdict pourrait susciter la fureur des milieux religieux fondamentalistes qui appellent de longue date à l'exécution d'Asia Bibi. Mère de deux enfants, Asia Bibi avait été condamnée à la peine capitale en 2009 à la suite d'une dispute avec une musulmane au sujet d'un verre d'eau. Chrétienne du Pendjab et ouvrière agricole, elle ramassait des baies rouges dans le village d’Ittan Wali, lorsqu’elle a commis l’irréparable aux yeux de ses voisines : boire de l’eau dans un puits supposé réservé aux musulmans, détaille Le Monde.

    Un retentissement international

    Son cas avait eu un retentissement international, attirant l'attention des papes Benoît XVI et François. Asia Bibi avait également reçu le soutien de la maire de Paris Anne Hidalgo, qui avait réclamé sa grâce et l'avait élevée en 2015 au rang de citoyenne d'honneur de sa ville.

    Lors de l'examen de son recours début octobre, les juges de la Cour suprême ont remis en question le bien-fondé de l'accusation. "Je ne vois aucune remarque désobligeante envers le Coran dans le rapport d'enquête", avait observé le juge Saqib Nisar, tandis qu'un second juge relevait plusieurs points de non-respect des procédures.

    Le blasphème est un sujet extrêmement sensible au Pakistan, où l'islam est religion d'Etat. La loi prévoit jusqu'à la peine de mort pour les personnes reconnues coupables d'offense à l'islam.

    franceinfo


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  • "Fatigue psychique", "coup de pompe politique"… Pourquoi Emmanuel Macron prend-il une pause ?

    Emmanuel Macron va faire le pont de la Toussaint, de jeudi à samedi. Une décision qui ne manque pas d'alerter nos spécialistes politiques, qui notent la fatigue du président. Ils en ont parlé avec Wendy Bouchard mercredi.

    Trois jours de pause. "Comme des millions de Français", Emmanuel Macron va faire le pont de la Toussaint, de jeudi à samedi, a prévenu le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux. C'est en raison de cette pause que le conseil des ministres a été avancé de mercredi à mardi.

    Si l'Elysée a assuré qu'il ne fallait pas voir là un "coup de fatigue" mais une "gestion de l'effort", l'état du président inquiète. Pour Catherine Nay, grande voix d'Europe 1, cette pause n'est ni plus ni moins qu'un "aveu de fatigue" qui sera, in fine, dommageable pour Emmanuel Macron.

    Un risque de burn-out ?

    "Pour un primo-arrivant, la vie qu'il mène depuis un an est très lourde. Depuis la rentrée, il enchaîne les voyages, les déplacements. À chaque fois, au lieu de conquérir l'opinion, elle le délaisse", observe la journaliste politique au micro de Wendy Bouchard, mercredi matin sur Europe 1. "Ce que je crains, c'est que ce soit surtout une fatigue psychique. On peut beaucoup travailler, mais si on a une satisfaction, si on voit que ça marche, on n'est pas fatigué. Quand vous voyagez autant et quand vous êtes aussi 'mal-payé' en termes de popularité, là, vous risquez le burn-out", analyse-t-elle.

    Un temps de sommeil trop court.

    En prenant ces quelques jours, Emmanuel Macron "montre qu'il n'est pas surhumain", juge Catherine Nay. Un diagnostic que partage Alain, psychologue, qui nous a joint au standard d'Europe 1. Il s'alarme en apprenant le temps de sommeil très court du chef de l'Etat (à peine trois heures par nuit, selon ses proches) et le met en garde : "Il faut qu'il fasse très attention. Il lui faut une force mentale énorme pour travailler. Et le repos physique induit le repos mental", souligne ce professionnel. 

    Une séquence politique "éprouvante"…

    Au-delà de l'"usure morale" évoquée par Catherine Nay, Bruno Jeudy, rédacteur en chef à Paris Match, va jusqu'à parler de "vrai coup de pompe politique". Selon lui, la fatigue du chef de l'Etat est "logique après 17 mois de présidence intensive", et a fortiori depuis la réforme de la SNCF. Se sont ensuite enchaînées l'affaire Benalla, des démissions de ministres à la chaîne, et des erreurs de communication politique. Cette période est "éprouvante pour le président puisque rien ne marche. Quand il apparaît, il agace. Quand il parle, il met les réseaux sociaux et une partie de la presse en furie", alerte le journaliste.

    Entendu sur Europe 1 Ce qui est inquiétant, c'est qu'Emmanuel Macron n'a pas encore vu les vraies turbulences que l'on peut connaître à l'Elysée

    … Mais loin d'être insurmontable.

    Si Emmanuel Macron a un problème de communication, il n'a pourtant pas "traversé des épreuves extrêmement difficiles", considère le rédacteur en chef de Paris Match. "À la même époque, François Hollande était en pleine affaire des Bonnets rouges, en pleine 'jacquerie' en Bretagne. Après un an et demi de pouvoir, Nicolas Sarkozy était en pleine crise financière. C'était quand même autre chose. Et c'est ça qui est inquiétant avec Emmanuel Macron. Il n'a pas encore vu les vraies turbulences que l'on peut connaître à l'Elysée."

    Une communication qui fait défaut.

    Tout de même, il y a bel et bien eu des couacs ces derniers mois. Mais selon Catherine Nay, c'est Emmanuel Macron, lui et lui seul, "qui les a produits." En cause selon elle, une concentration trop grande du pouvoir aux seules mains du locataire de l'Elysée. Si l'homme veut tout régenter, alors il doit parfois "improviser", et ainsi se risquer à commettre des erreurs de communication. Pour les deux analystes politiques, la justification maladroite de la pause d'Emmanuel Macron en est l'illustration. Plutôt que d'avouer à demi-mot sa fatigue, "ce qui a accentué l'inquiétude des Français", le président aurait dû indiquer qu'il vidait son agenda pour préparer sérieusement son "parcours mémoriel", prévu la semaine prochaine. 

    À l'occasion des célébrations du centenaire de la fin de la Première guerre mondiale, Emmanuel Macron doit en effet sillonner onze départements de l'est et du nord de la France, marqués par le conflit. Cette longue itinérance s'achèvera le 11 novembre par une cérémonie à Paris, à laquelle participeront une centaine de dirigeants étrangers.

    Europe 1


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  • Jamal Khashoggi a été tué "par strangulation" dès son arrivée au consulat d'Arabie saoudite

    Jamal Khashoggi a été étranglé à mort dès son arrivée à l'intérieur du consulat saoudien à Istanbul, le 2 octobre, a affirmé ce mercredi le procureur turc.

    Le journaliste saoudien Jamal Khashoggi a été tué par "strangulation" dès son arrivée au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul, le 2 octobre dernier, a déclaré ce mercredi le procureur d'Istanbul, soulignant le caractère "prémédité" de ce meurtre. Son corps a ensuite été démembré.

    Expliquant que la visite à Istanbul du procureur général saoudien dans le cadre de l'enquête "n'a pas donné de résultat concret", le bureau du procureur d'Istanbul se dit dans un communiqué "obligé" de partager certains éléments révélés par son enquête.

    "Conformément à un plan prémédité, la victime Jamal Khashoggi a été étranglée à mort dès son entrée au consulat", poursuit le texte. "Le corps de la victime a été démembré et on s'en est débarrassé suite à sa mort par strangulation", ajoute-t-il.

    Le corps toujours pas retrouvé

    De plus, selon le texte, les autorités turques ont de nouveau demandé au procureur saoudien et la délégation l'accompagnant l'extradition de 18 suspects arrêtés en Arabie saoudite dans le cadre de l'enquête sur la mort du journaliste, tué dans le consulat de son pays où il s'est rendu le 2 octobre pour des démarches administratives.

    Elles ont également exigé de savoir où se trouvait le corps de Khashoggi, toujours pas retrouvé, et l'identité du "collaborateur local" mentionné par Ryad et si des éléments confirmant le caractère prémédité du meurtre avaient été mis au jour par Ryad.

    En guise de réponse, toujours selon le communiqué, le procureur d'Istanbul a été invité à se rendre en Arabie saoudite avec les éléments de l'enquête en sa possession. Le communiqué n'a pas précisé si le procureur turc entend donner suite à cette invitation. 

    Ryad veut une enquête conjointe

    Ryad a estimé, selon le texte, que seule une enquête conjointe entre les deux pays pourra permettre de déterminer ce qu'il est advenu du corps de Khashoggi et si son meurtre a été prémédité.

    Sous la pression internationale, Ryad a fini par reconnaître, après plusieurs jours de dénégations, le meurtre du journaliste dans son consulat lors d'une opération "non autorisée", mais a avancé plusieurs versions contradictoires qui ont suscité le scepticisme.

    Plusieurs responsables et médias turcs ont directement incriminé le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, dit MBS, dans ce meurtre, alors que Ryad s'efforce de le dédouaner en insistant sur le caractère "non autorisé" de l'opération. 

    BFM.TV


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  • Il faut arrêter d'employer le mot "bête" pour qualifier un idiot, un abruti d'humain !


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  • Charles Aznavour et Johnny Hallyday des « fraudeurs fiscaux » ? La violente charge d’un célèbre dessinateur

    Charles Aznavour et Johnny Hallyday ont beau être adulés par des milliers de fans, ils ne font pas pour autant l’unanimité. Et ce n’est pas le dessinateur Philippe Geluck qui dira le contraire…

    Geluck pète les plombs, c’est le nom du dernier livre du célèbre dessinateur, mais aussi tout simplement… la vérité ! Alors qu’il s’était fait plutôt discret depuis la parution de son dernier ouvrage, Peut-on rire de tout ? en 2013, Philippe Geluck est de retour sur le devant de la scène, et bien décidé à faire éclater des vérités ! D’ailleurs, ses premières victimes ne sont autres que deux superstars récemment décédées, à savoir Charles Aznavour et Johnny Hallyday. Alors qu’ils ont tous deux fait l’objet d’hommages grandioses – le premier le 9 décembre 2017 et le second le 5 octobre dernier -, Philippe Geluck, lui, n’a manifestement pas participé aux festivités

    Charles Aznavour et Johnny Hallyday, des « fraudeurs fiscaux » selon Philippe Geluck

    Dans un long entretien accordé à nos confrères de BFM TV, le dessinateur de 64 ans s’est dit « un peu heurté » - « un petit peu étant un euphémisme », affirme-t-il -, que de tels hommages aient été rendus à deux stars qui, pour lui, se résument à des « fraudeurs fiscaux ». « Je trouve ça indécent de la part d’un pays qui devrait se battre contre l’évasion fiscale de déposer un drapeau tricolore sur le cercueil de gens qui ont volé le peuple français », a d’abord lancé le dessinateur, réputé pour son franc-parler. S’il concède que Johnny Hallyday et Charles Aznavour sont de « grands artistes », le créateur de la mythique BD Le chatne leur accorde pas pour autant le droit de « voler le contribuable ». « Si on arrivait à juguler la fraude fiscale en Europe, il n’y aurait plus de dette et tout le monde aurait un emploi, payé correctement.», a-t-il même conclu.

    Ces soupçons d’évasion fiscale, Charles Aznavour en a souffert toute sa carrière. Lui, qui avait payé 10 millions de francs au fisc pour « infraction à la législation sur les changes et infractions douanières » en décembre 1977, s’est toujours défendu d’être un exilé fiscal. « J’ai répété mille fois que je n’étais pas parti, on m’a poussé dehors. Tout cela pour une affaire qui s’est soldée par un non-lieu. On aurait dû me blanchir, on ne l’a pas fait, me montrant du doigt au contraire, à tel point que certains ne voulaient plus m’engager », fustigeait-il dans les colonnes de l’Obs, en 2011. De son côté, Johnny Hallyday a plus d’une fois fait l’objet de redressements fiscaux dont l’un des derniers, survenu en décembre 2011, l’avait condamné à verser au fisc la somme de 9 millions d’euros. Et pour Philippe Geluck, les deux chanteurs ont beau avoir fait rêver les Français pendant des années, cela n’excuse pas tout… 

    VOICI


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  • Un bon moment de rigolade, ça détend !


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  • Le porteur de la bombe artisanale a été tué lors de l'explosion et trois autres personnes ont été hospitalisées. Une enquête a été ouverte pour "acte terroriste".

    "Un engin explosif a détoné." Un adolescent s'est fait exploser mercredi 31 octobre dans une antenne locale des services russes de sécurité (FSB) dans le nord du pays, selon les autorités qui ont ouvert une enquête pour "acte terroriste". "Une personne a été tuée et trois autres hospitalisées" a déclaré un porte-parole du gouverneur de la région d'Arkhangelsk. Le Comité d'enquête, organe dépendant du Kremlin, a identifié la victime décédée comme "un habitant local de 17 ans, qui a introduit un engin explosif artisanal dans le bâtiment".

    Selon le Comité national antiterroriste, les faits se sont déroulés à 8h52 (heure locale) dans l'entrée du bâtiment qui abrite l'antenne régionale du FSB, l'héritier du KGB soviétique, à Arkhangelsk, une ville située à un millier de kilomètres au nord de Moscou au bord de la mer Blanche. 

    "Selon les premières informations, la personne qui est entrée dans le bâtiment a sorti d'un sac un objet non identifié qui a explosé dans ses mains, lui causant des blessures mortelles", a précisé cet organisme dans un communiqué. Le Comité a publié sur son compte Twitter une photo tirée des images de vidéosurveillance montrant un jeune homme aux cheveux courts, en manteau noir, dans le hall d'entrée d'un bâtiment, la main dans son sac à dos.

    Des investigations sont actuellement en cours pour établir toutes les circonstances de ce crime. Des témoins sont interrogés, "des expertises ont été ordonnées", a précisé le Comité d'enquête. Les attaques contre la police ou les services de sécurité sont rares en Russie, sauf dans le Caucase du Nord, région majoritairement musulmane où les autorités font face à des rebelles islamistes.

    franceinfo


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  • États-Unis : un petit garçon drogué avec un bonbon récolté pour Halloween

    L’enfant de 5 ans aurait ingéré une forte dose de méthamphétamines, une drogue très puissante.

     

    Les images de Braylen Carwell, petit garçon de 5 ans, sur son lit d’hôpital, des électrodes scotchées sur sa poitrine, suscitent une vive émotion et un incroyable élan de solidarité aux États-Unis.

    L’enfant actuellement hospitalisé a été drogué à son insu en mangeant un bonbon qu’il avait récupéré, pendant la fête d’Halloween, en frappant aux portes des habitations de son quartier de Galion, dans l’État de l’Ohio rapporte la chaîne de télévision ABC.

    Hospitalisé en urgence après un début de crise dimanche après-midi, les médecins ont découvert lors des tests que Braylen Carwell avait ingéré une forte dose de méthamphétamines, une drogue très puissante.

    Le témoignage de la mère de l’enfant drogué (ABC6)

     

    « Le côté gauche de son visage était tout simplement paralysé. Braylen est ensuite tombé et il ne pouvait plus bouger son bras gauche. Il ne savait pas où il était ni ce qu’il faisait », explique Julia Pence, la mère de l’enfant.

    Analyses en cours

    Alertée, la police a récupéré tous les bonbons que les deux enfants du couple avaient glané la veille au soir, pour les débuts de la fête d’Halloween, en frappant comme le veut la coutume aux portes des habitants du quartier.

    Les policiers ont également envoyé des dents en plastique de style vampire au laboratoire de la police judiciaire de Mansfield pour des analyses.

    À ce stade de l’enquête, on ne sait pas encore comment le petit Braylen a pu être empoisonné mais les policiers de Galion demandent à tous les parents de vérifier ou de rapporter au poste de police toutes les friandises récupérées par leurs enfants samedi soir.

    Le Parisien


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  • Video de Pierre trublion sur youtube


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  • Ségolène Royal critique la posture monarchique d'Emmanuel Macron

    Nommée ambassadrice pour l'écologie par le gouvernement, Ségolène Royal n'hésite pas à tacler le président de la République.

    Le nouveau livre de Ségolène Royal 'Ce que je peux enfin vous dire' n’épargne personne. Nommée par le gouvernement ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique, la candidate à la présidentielle de 2007 n'hésite pourtant pas à tacler l'exécutif et notamment le président de la République.

    Si elle assure dans un premier temps avoir été bluffée par l’ascension en politique d’Emmanuel Macron, elle évoque sa posture semblable à celle d'un monarque:

    "Emmanuel Macron confond sans doute l’autorité et la juste autorité (…) Le mythe de l’homme seul, hériter des rois de France et de Napoléon ne tient pas en démocratie", écrit-elle, taclant également sa "verticalité, concept du monde d'avant".

    "L'autorité tient un temps"

    Pour elle, Emmanuel Macron refait les mêmes erreurs que François Hollande son prédécesseur. Elle tacle la propension du président à se précipiter pour "alléger, l’impôt des plus riches", ajoutant que "l’autorité tient un temps seulement et se transforme en autoritarisme".

    Des mots très durs qu’elle nuance toutefois lorsqu’elle évoque l’homme en lui-même:

    "Ce que je trouvais très sympathique et respectable, c’est qu’il ait osé épouser une femme de 24 ans de plus que lui. Je me disais qu’il en avait fallu à tous les deux du courage", ajoute-t-elle à propos d’Emmanuel Macron.

    BFM.TV


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  • Pourquoi les citrouilles sont-elles le symbole d'Halloween ?

    Symboles d'Halloween, les citrouilles sont de sortie en ce mois d'octobre. Mais au fait, pourquoi ce légume a-t-il été choisi pour célébrer cette fête folklorique aux origines celtes et païennes ? 

    Après avoir réussi à s'imposer peu à peu dans l'Hexagone ces dernières années, Halloween est aujourd'hui fêtée par de nombreux Français qui n'hésitent pas à se plier aux traditions en sculptant des citrouilles pour réaliser les fameuses "Jack O’Lantern" grimaçantes. Mais au fait, savez-vous pourquoi avoir choisi précisément ce légume pour célébrer Halloween ?

    Une légende celte

    Malgré ce que l'on pourrait imaginer, Halloween n'est pas une fête directement venue des États-Unis, mais plutôt une célébration issue de la culture celte où l'on célébrait "la fête de Samain". Cette commémoration païenne que l'on a coutume de fêter le 31 octobre, tire son origine d'un conte irlandais narrant la rencontre d'un certain "Jack Stingy" avec le Diable…

    Dans la version la plus communément répandue de cette histoire, Jack Stingy, un habitant de Wicklow (Irlande) connu pour sa méchanceté et son ivrognerie, aurait bousculé un soir de beuverie le Diable en personne qui aurait profité de cette rencontre pour lui voler son âme. Pour échapper à Satan, une idée est alors venue à Jack Stingy : accepter la demande de celui-ci à la condition qu'il lui paie un dernier verre

    Peu méfiant, Satan accepte et se transforme en pièce de monnaie pour payer le fameux dernier verre. C'est alors que rusé comme pas deux, au lieu de passer commande au tavernier, Jack glisse la pièce de monnaie dans sa poche dans laquelle il conservait une croix en argent. Subitement paralysé par la croix, le Diable supplie alors Jack de le libérer, ce que Stingy accepte de faire à condition que le Malin le laisse tranquille pendant 10 ans.

    Une décennie plus tard, le Diable cette fois bien décidé à récupérer l'âme de Jack Stingy, croise ce dernier près d'un pommier. Jack accepte que le Diable lui prenne son âme à condition que celui-ci aille d'abord lui décrocher une pomme en haut de l'arbre. Pendant que Satan s'exécute, Jack en profite pour graver une croix sur le tronc du pommier. Et là encore, voilà le Diable piégé ! En échange de sa libération, Stingy fait promettre au démon de ne plus jamais vouloir lui prendre son âme, ce que le Diable finit par accepter.

    Seulement voilà. À sa mort un soir de Samain, Jack, qui a pêché toute sa vie, se voit refuser l’entrée au paradis. Il décide alors d'aller frapper à la porte des Enfers, mais le Diable, qui lui rappelle qu'il ne peut hélas plus prendre son âme, lui indique qu'il n’entrera pas non plus chez lui.

    Quand les navets se transforment en citrouilles

    Contraint de s'en retourner de là où il vient, Jack se voit néanmoins offrir par le Diable un morceau de charbon ardent censé l'aider à éclairer son chemin. Afin de protéger la braise incandescente du froid et du vent, notre héros décide alors de la placer dans un navet soigneusement évidé de manière à se construire un lampion. 

    Surnommé par tous ceux qui le croisent "Jack à la lanterne", soit en anglais "Jack-O'-Lantern", il revient depuis chaque année hanter les vivants la veille de la Toussaint.

    Célébrée donc à l'origine par les Irlandais à l'aide de navets évidés pour réaliser des Jack-O'-Lantern, ce n'est qu'à partir de 1840 et la grande vague migratoire des Irlandais vers les États-Unis, que Halloween va progressivement adopter la citrouille.

    En effet, plus répandu aux États-Unis que le navet, ce cucurbitacée de couleur orange bien plus facile à travailler, sera abondamment prisés par les Irlandais pour célébrer leur fête qui aujourd'hui est fortement ancrée dans les traditions américaines. Et voilà vous savez tout !

    GENT SIDE


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MERCREDI 31 10 2018 Halloween

     

    Passez une bonne journée


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  • A partir d'une minute 07 à moins que vous parliez l'anglais !


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  • «Bébés sans bras» : onze nouveaux cas dans l'Ain

    L'agence de santé nationale rapporte mardi soir onze cas «suspects» supplémentaires d'enfants nés sans main et originaires du département.

     

    Nouveaux rebondissements dans l’affaire dite des «bébés sans bras». Après un huitième cas identifié dans l’Ain et signalé mardi matin à Libération par Emmanuelle Amar, la directrice du Registre des malformations en Rhône-Alpes (Remera), Santé publique France (SPF) rapporte dans un communiqué dix autres cas «suspects» supplémentaires d’enfants originaires de l’Ain nés sans bras ou sans main entre 2000 et 2014. «Ces cas doivent être confirmés avant d’entamer une analyse de la répartition spatiale et temporelle […] les investigations complémentaires sont en cours», explique SPF à Libération. S’ils étaient validés, ce dossier prendrait des allures de nouveau scandale sanitaire. Sept enfants de ce même département souffrent en effet d’une agénésie transverse du membre supérieur dans un rayon de 17 kilomètres autour du village de Druillat. C’est aussi le cas du dernier bébé répertorié par le Remera. «Il n’a pas de main droite», souligne Emmanuelle Amar qui privilégie les causes environnementales pour expliquer ces malformations en série.

    Si le huitième cas n’a été dévoilé qu’aujourd’hui, c’est parce qu’à l’époque la lettre du pédiatre mentionnant la malformation n’avait pas été ajoutée au dossier hospitalier, plus précisément au «résumé standardisé de sortie». «Ce n’était pas encore obligatoire, rapporte la directrice. L’informatisation était en cours et on ne numérisait pas.» Alertée par les médias, la mère du petit garçon né en octobre 2012 dans une maternité du Rhône, et aujourd’hui âgé de 6 ans, a pris contact vendredi avec le Remera. «La maman m’a demandé si son enfant était bien comptabilisé dans les sept nouveau-nés de l’Ain souffrant d’agénésie transverse du membre supérieur. Et ce n’était pas le cas», souligne celle qui est aussi épidémiologiste de formation. Quant aux dix autres cas «suspects» révélés dans la soirée de mardi, ils font suite «à des analyses complémentaires initiées [par Santé publique France] à partir des données hospitalières», écrit sur son site l’agence nationale de santé publique.

    Pression

     

    Deux autres «clusters» du même type, comme les appellent les scientifiques pour désigner des phénomènes concentrés dans le temps et l’espace, avaient aussi été signalés dans la commune de Guidel, dans le Morbihan ainsi qu’en Loire-Atlantique. Sous la pression médiatique, l’agence Santé publique France s’est finalement décidée à communiquer le 4 octobre, au cours d’une conférence de presse à la Maison de la Chimie à Paris. Si l’analyse statistique communiquée ce jour-là a conclu à des excès de cas par rapport à la moyenne nationale (1,7 pour 10 000 naissances) dans ces deux territoires (1), ce n’est pas le cas dans l’Ain où pourtant le Remera avait relevé un «taux 58 fois supérieur à la normale». Interrogé sur ce point, Jean-Claude Desenclos, directeur scientifique SPF, avait alors argué, sous l’œil de son directeur général, ne pas utiliser «les mêmes méthodes statistiques». Voilà pourquoi, selon SPF aucune étude étiologique n’avait été lancée dans l’Ain ni même dans les deux autres départements. «Nous avons la même façon de faire. Après, tout dépend des chiffres que vous mettez dedans !» s’était alors emportée auprès de Libération Emmanuelle Amar.

    Les conclusions de cette analyse statistique sont jugées tout aussi incompréhensibles par l’épidémiologiste et biostatisticien Jacques Estève, ancien directeur de l’unité de biostatistiques du Centre international de recherche sur le cancer et interrogé par nos confrères du Monde«Le principe de la science est de chercher une cause, non d’arrêter un suivi sous prétexte qu’il n’y a pas de cas récents», rappelle Emmanuelle Amar qui cite à titre d’exemple les scandales de la thalidomide ou de la dépakine, ce dernier ayant émergé notamment grâce aux travaux du Remera.

    Inquiétude

    D’autres voix se sont élevées pour dénoncer l’attitude de SPF dans cette affaire : celles des anciennes ministres de l’Ecologie, Delphine Batho et Corinne Lepage, des parlementaires de tous bords comme la sénatrice du groupe socialiste Sophie Taillé-Polian, le député PCF Pierre Dharréville. Pour l’eurodéputée écologiste Michèle Rivasi, «c’est la liberté de parole d’Emmanuelle Amar qui a déplu aux autorités sanitaires». Et l’écologiste d’asséner : «Tout ça c’est politique, les enjeux sont importants. […] On veut tuer les lanceurs d’alerte.» Une inquiétude apparemment entendue. D’abord, par l’actuel ministre de la Transition écologique François de Rugy qui, au micro de RTL le 7 octobre a annoncé la poursuite des «recherches» : «On ne peut pas accepter sans réagir.» Ce fut ensuite au tour de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, restée jusqu’alors très silencieuse sur ce dossier, de s’exprimer : «On relance une enquête avec ces deux agences.» La ministre avait par ailleurs assuré qu’il était «hors de question d’arrêter la subvention des registres [des malformations]», (2) y compris du Remera.

    Le registre de Rhône-Alpes était sous la menace de mettre la clé sous la porte au 1er janvier 2019 faute de financements – dont une partie provient justement de Santé publique France. Depuis Emmanuelle Amar a bien reçu une lettre lui confirmant la suspension de la procédure de licenciement à son encontre. «Un vrai soulagement», pour celle qui se dit déterminée à se battre «pour qu’une étude soit réalisée et des informations données aux parents».

    (1) Pour rappel, trois cas entre 2007 et 2008 pour la Loire-Atlantique et quatre dans le Morbihan entre 2011 et 2013.

    (2) En France, il existe six registres de surveillance des anomalies congénitales (Paris, Auvergne, Rhône-Alpes, Bretagne et deux autres en outre-mer), soit 19% des naissances vivantes au total.

    Libération


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 30 10 2018


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  • Primates, carnivores, herbivores, oiseaux, reptiles, insectes… 1000 animaux sur 80 hectares.

    En mode Safari voiture ou à pied, le Safari de Peaugres invite les explorateurs de tout âge à découvrir toutes les richesses d’une faune parfois en grand danger de disparition, à travers de vastes enclos aménagés au plus proche de l’environnement naturel des espèces.

    Loin du parc « spectacle », le plus grand parc animalier d’Auvergne Rhône-Alpes préfère être un lieu de sensibilisation au monde vivant.

    Educatif et ludique, il multiplie les structures pour inciter les visiteurs à observer, comprendre, s’enthousiasmer, s’émerveiller…

     

     

     

    Les caméras de France 2 se sont rendues au Safari de Peaugres, en Ardèche, à la rencontre, entre autres, de rhinocéros et de guépards. Nous avons suivi les soigneurs dans leur mission de préservation des espèces en voie d'extinction.

     

    Près de 80 hectares au nord de l'Ardèche, dont la moitié se visite en voiture, et l'autre à pied. À la découverte d'un millier d'animaux parfois très grands, et parfois des nouveau-nés. Le dernier arrivé de l'année 2018 est un fourmilier, une espèce menacée de disparition par la déforestation en Amérique du Sud. On y croise aussi ce jeune rhinocéros blanc, prénommé Malabar, espèce également en voie d'extinction. Il est né en captivité. Autant les lions, grâce à une libido débordante, se reproduisent rapidement, autant chez les rhinocéros, les chaleurs des femelles sont très surveillées. Leur période de fécondité est très courte, à peine 24 heures, et les partenaires se choisissent mutuellement.

    Favoriser les naissances des animaux, mais maintenir leur état sauvage

    La reproduction dans un but de sauvegarde est un atout économique qui joue aussi sur le nombre de visiteurs. Comme Malabar, deux oursons nés cette année font sensation. L'objectif du parc est de favoriser les naissances tout en respectant les espaces disponibles et le côté sauvage des animaux. Les guépards sont une autre espèce fascinante et délicate quand il s'agit de reproduction. En cas de portée avec un seul bébé, qui a peu de chances de survivre dans la nature, la mère peut choisir de le sacrifier pour ne pas se fatiguer. Zoé, par exemple, a été abandonnée en 2006 et adoptée, grâce à une ruse, par une autre guéparde déjà mère de deux petits. Une première à l'époque dans les zoos européens, depuis encouragée comme les échanges entre parcs. Bientôt, un de ces bongos mâles, sorte d'antilope, partira ainsi à destination d'Anvers, en Belgique.

    franceinfo


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  • Venise inondée, l'Italie à l'arrêt : au moins 9 morts dans les intempéries

    Le bilan est lourd. Les intempéries qui frappent l'Italie depuis dimanche ont fait neuf morts, a annoncé la protection civile, tandis que de nombreuses écoles dans tout le pays restaient fermées mardi.

    Outre les cinq victimes recensées dans le courant de la journée de lundi, un homme a été tué en Vénétie (nord-est) par la chute d'un arbre, de même qu'un pompier dans le Haut Adige (nord), engagé dans des opérations de secours. Une femme a été tuée par une coulée de boue et de rochers dans sa maison dans le Trentin (nord), ont précisé les autorités.

    Un autre homme a par ailleurs été tué lundi après-midi alors qu'il faisait du kitesurf près de Cattolica, sur la côte adriatique, une rafale de vent l'ayant projeté sur les rochers, selon la presse locale.

    Les pompiers ont effectué plus de 7.000 interventions

    Un homme est également porté disparu en mer face à la Calabre, son voilier ayant été retrouvé lundi sur les rochers de la côte sans personne à bord alors qu'un corps avait été vu en mer mais n'avait pu être récupéré en raison de la tempête.

    Selon les médias italiens, il y a également environ 170 personnes - touristes et employés des hôtels - bloquées au Col du Stelvio, à la frontière entre l'Italie et la Suisse, à plus de 2.700 mètres d'altitude, en raison de très fortes chutes de neige atteignant 1,5 m de haut. Dans le Frioul-Vénétie julienne (dans le nord-est du pays), 23.000 personnes sont sans électricité et de nombreuses routes sont impraticables, ont indiqué les autorités locales.

    Depuis le début de cette vague de mauvais temps, les pompiers italiens ont effectué environ 7.000 interventions dans tout le pays, selon l'agence AGI. Les fortes pluies accompagnées de vents qui ont atteint jusqu'à 180 km/h dans certaines régions d'Italie ont entraîné aussi de graves perturbations dans la circulation.

    A Gênes, l'aéroport sera fermé mardi jusqu'à 13 heures GMT (14 heures, heure de Paris) les pistes étant impraticables en raison des détritus apportés par la pluie, le vent et la marée. Les écoles de la ville seront fermées toute la journée, de même qu'à Rome et de nombreuses autres municipalités italiennes.

    La circulation était quant à elle toujours fortement perturbée mardi dans la capitale italienne, de nombreux arbres tombés bloquant encore des rues proches du centre de la ville.

    L'OBS


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