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  • CHANTUOUVIVELAVIE : BONSOIR - 27 10 2018

     

    Je vous souhaite une bonne soirée


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  • J'adore cette chanson, ce que je l'ai écouté autrefois !

     LIEN : https://fr.wikipedia.org/wiki/Amanda_Lear

    Vous saurez tout sur Alain Tapp devenu Amanda Lear après une opération à Cacablanca !


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  • Amanda Lear avoue se faire payer pour passer à la télé : "C'est un métier"

    Participer à une émission télé, "c'est un travail, comme chauffeur de taxi ou caissière, qui mérite salaire", a assumé Amanda Lear, invitée ce samedi 27 octobre d'On refait la télé sur RTL.

    C'est une invitée aux multiples talents que reçoivent Eric Dussart et Jade en ce dernier week-end d'octobre sur RTL. Peintre, chanteuse, comédienne, animatrice, écrivain… Amanda Lear cumule les casquettes depuis des décennies. Et si elle excelle aussi dans l'art de l'autodérision, cette artiste éclectique est bien consciente de sa valeur.

    Au micro d'On refait la télé, Amanda Lear a ainsi reconnu sans rougir qu'elle exigeait d'être payée pour participer à une émission. "C'est un métier. Je vais me lever tôt, me maquiller, donner mon temps, être drôle, jouer un rôle… C'est un travail, comme chauffeur de taxi ou caissière. Et tout travail mérite salaire, donc je pense que c'est normal qu'on nous paye", a assumé l'ancien mannequin qui fut l'égérie de Salvador Dalí.

    Amanda Lear a précisé avoir un barème en fonction du type d'émission (prime-time, deuxième partie de soirée…). Elle a soigneusement évité de dire quelle somme elle réclamait, mais, à l'entendre, l'ex de David Bowie est intraitable en affaires : "Vous n'avez pas de budget, pourquoi vous m'appelez, moi ? Appelez Danièle Gilbert", est sa réponse aux producteurs qui n'ont pas les moyens de la rémunérer.

    "Ce n'est pas un tabou, il faut bien que je paye mon épicier. Je ne vais pas le payer avec un autographe", s'est justifiée Amanda Lear, expliquant que, quand elle est invitée dans une émission télé, elle ne se contente pas d'être "mignonne" et passive. "On vous demande de participer, de réagir. Dans l'oreillette, vous avez la productrice, Catherine Barma ou autre, qui dit 'Vas-y, balance !' Elle vous pousse à en faire des tonnes parce qu'il faut faire de l'audience. Il faut être pimpante, joyeuse, c'est un rôle ! On vient de vous annoncer que votre chat est mort, vous avez envie de chialer, et bien non : il faut être drôle", a balancé l'ancienne sociétaire des Grosses Têtes.

    Eric Dussart n'a toutefois pas eu à débourser un centime pour avoir Amanda Lear dans le studio d'On refait la télé. Elle était en effet venue pour parler de son dernier livre : "La promotion, c'est différent, car vous me faites l'honneur, la joie, le plaisir de parler de mon produit", a expliqué celle qui sort Délires, un recueil de pensées, souvenirs et réparties. 

    Télé Loisirs.fr


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  • L’adolescent de 15 ans avait été contraint d’endosser la responsabilité d’un grand qui avait foncé sur un policier et l’avait blessé. Le point de départ de cette affaire, c’est l’alerte pour un cambriolage dans les locaux de l’association d’insertion Imaj, à Villiers-le-Bel, dimanche dernier.

    Il est autour de 4h30 du matin lorsque les fonctionnaires arrivent sur place, rue Alexis-Varagne, dans le quartier des Carreaux. Ils surprennent plusieurs individus prenant la fuite à pied, après avoir forcé les locaux appartenant à la mairie. Parmi eux, un jeune monte dans une voiture et prend la fuite, percutant au passage le policier qui se trouvait devant lui, avant de s’échapper. Le fonctionnaire de police a été légèrement blessé et a été conduit au centre hospitalier de Gonesse, après avoir été pris en charge par les secours. Ses blessures lui ont occasionné 5 jours d’incapacité délivrés par le médecin de l’unité médico-judiciaire.

    Des policiers pas convaincus

    Les policiers ont retrouvé la voiture du fuyard peu après, abandonnée dans un champ, les portières verrouillées. Un véhicule qui a ensuite été passé au crible par les fonctionnaires de la police technique et scientifique.

    Ce même jour, un adolescent pousse la porte du commissariat. Agé de 15 ans, il explique qu’il était au volant de la voiture et a foncé sur le policier. Il est entendu par les enquêteurs et livre une version qui ne les convainc pas. Les policiers, qui doutent d’avoir affaire au véritable conducteur, l’auditionnent une second fois. L’ado reconnaît alors avoir tenté d’endosser la responsabilité des faits, sous la contrainte de l’auteur qui lui a fait sans doute miroiter la clémence présumée de la justice des mineurs.

    Des empreintes digitales et génétiques retrouvées

    L’enquête a pu rapidement désigner le véritable conducteur, lequel avait laissé dans la voiture des empreintes digitales et génétiques. L’adolescent a été remis en liberté alors que les policiers interpellaient le suspect, appréhendé devant chez lui alors qu’il s’installait au volant d’une autre voiture.

    Ce jeune homme âgé de 22 ans a été placé en garde à vue dans le cadre d’une procédure ouverte pour vol par effraction, conduite sans permis, violence avec arme par destination sur personne dépositaire de l’autorité publique. Originaire de Villiers-le-Bel, il a reconnu être impliqué dans le déroulement des faits du dimanche, expliquant avoir pris la fuite parce qu’il conduisait sans permis. Déféré devant la justice jeudi, il a été condamné en soirée à 22 mois de prison en comparution immédiate.

    Le Parisien


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  • Hongrie: un trésor du 18e siècle trouvé dans le Danube asséché

    Des archéologues ont découvert un trésor de quelque 2.000 pièces d’or et d’argent à bord d’une épave gisant au fond du Danube depuis le 18e siècle et révélée par le niveau exceptionnellement bas des eaux du fleuve, ont-ils annoncé jeudi.

    « Environ 2.000 pièces de monnaie ont été trouvées, ainsi que des armes, piques, boulets de canon, épées et autres sabres », a confié à l’agence MTI Katalin Kovacs, archéologue au Centre du musée Ferenczy de Szentendre, près de Budapest. La découverte s’est produite cette semaine à Erd, au sud de Budapest, où les archéologues travaillaient jeudi d’arrache-pied pour extraire un maximum d’éléments avant une imminente remontée des eaux, a constaté un photographe de l’AFP.

    Des pièces d’or et d’argent

    Comme plusieurs autres cours d’eau d’Europe, le Danube est au plus bas après un long épisode de sécheresse. Son niveau est tombé à 38 cm à Budapest, un record historique qui affecte la navigation fluviale. Le trésor d’Erd a été trouvé à bord de l’épave d’un navire commercial dont la nationalité doit encore être déterminée, ont indiqué les archéologues. Il comprend des pièces d’or et d’argent, dont des ducas et des pennies. « Les pièces sont à 90 % étrangères et datent de 1630 à 1743 », a précisé l’archéologue Balazs Nagy à la radio privée Klub, soulignant qu’elles avaient été frappées aux « Pays-Bas, en France, à Zurich, ou encore au Vatican ».

    Extraire le plus de matériaux possible

    Les archéologues sont assistés dans leur travail par des plongeurs et des drones afin d’extraire le plus de matériaux possible alors qu’une forte remontée du niveau des eaux est attendue à partir de samedi. Le niveau bas du fleuve a déjà mené à la mise au jour de débris de l’ancien pont François-Joseph de Budapest, détruit pendant la Seconde guerre mondiale, ainsi que d’une bombe américaine de la même époque.

    20 Minutes


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  • Une mamie de 88 ans interceptée à 126 km/h au lieu de 80

    Drôle de surprise pour les gendarmes d’Avranche mercredi dernier. Ils ont arrêté une dame de 88 ans pour un excès de vitesse de 40 km/h au-dessus de la limite autorisée !

    Les faits se sont déroulés ce mercredi 24 octobre du côté du département de la Manche. Dans la bourgade de Margueray plus précisément. Une octogénaire de 88 ans a été arrêté par la gendarmerie locale sur la départementale 975. La cause ? La vieille dame a été prise en excès de vitesse. Et pas un petit. Elle roulait à 133 km/h sur une route limitée à 80 km/h. L’excès de vitesse a été ramené à 126 km/h. Nous sommes donc toujours loin des 80 km/h autorisées. Très loin même. Plus de 40 km/h au-dessus !

    Rétention de permis et 135 euros d’amende

    Malgré son âge avancée, la vieille dame n’a bénéficié d’aucune clémence des forces de l’ordre. Elle a écopé d’une amende de 135 euros. 4 points lui ont également été retirés sur son permis de conduire. Ce dernier fait même l’objet d’une rétention (une suspension provisoire qui pourra durer 72 heures maximum). Elle risque également une suspension de permis.

    Autonews


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  • Livraisons d'armes à Ryad : Macron accuse implicitement Merkel de "démagogie"

    Emmanuel Macron a critiqué implicitement son alliée européenne Angela Merkel, dénoncant la "pure démagogie" des pays qui, comme l'Allemagne, veulent cesser d'exporter des d'armes vers l'Arabie saoudite en raison du scandale Khashoggi. "C'est pure démagogie que de dire d'arrêter les ventes d'armes" à Ryad suite à l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi au consulat saoudien d'Istanbul début octobre, une affaire qui provoque un scandale international.

    Les ventes d'armes n'ont "rien à voir avec M. Khashoggi, il ne faut pas tout confondre", a-t-il lancé au cours d'une conférence de presse à Bratislava, dans une rare expression publique de désaccord avec sa principale partenaire en Europe. 

    "Je suis très admiratif envers ceux qui, avant de savoir, disent 'on ne vendra plus d'armes' ! Ils en vendent déjà parfois plus que la France à travers les joint ventures (coentreprises) qu'ils ont !" a dit le président français, en réponse à la question d'une journaliste sur les appels de l'Allemagne et de l'Autriche à cesser les ventes d'armes à Ryad.

    "Quel est le rapport entre les ventes d'armes et M. Khashoggi?"

    Angela Merkel est revenue depuis Prague sur la proposition allemande faite en début de semaine de ne plus livrer d'armes à Ryad. "Nous avons dit qu'il faut éclaircir ce qui constituait les dessous de ce crime horrible et jusque-là, nous n'allons pas fournir d'armes à l'Arabie saoudite", a-t-elle expliqué. "Nous allons naturellement parler au sein de l'UE pour savoir comment nous voyons nos démarches ultérieures", a précisé Angela Merkel.

    "Et quel est le rapport entre les ventes d'armes et M. Khashoggi ?" a interrogé Emmanuel Macron. "Je comprends le lien avec le Yémen (où l'Arabie saoudite, alliée aux Emirats, mène une guerre contre les rebelles houthis) mais il n'y en a aucun avec M. Khashoggi ! Si on veut prendre des sanctions, il faut en prendre dans tous les domaines ! Il faut dans ce cas arrêter de vendre des véhicules", a poursuivi avec agacement Emmanuel Macron, interrogé par la presse. L'automobile est un des fleurons de l'industrie allemande.

    Concernant l'affaire Khashoggi, le président français a déclaré attendre "que les faits soient établis clairement et surtout les responsables et les commanditaires, pour en tirer les conséquences et les sanctions", qui doivent être "claires, cohérentes" "dans tous les domaines et "avec une réponse européenne". "Et il faut qu'elles aient un lien" avec cet assassinat, qu'il "condamne avec fermeté".

    La ministre autrichienne des Affaires étrangères Karin Kneissl a déclaré au journal allemand Die Welt être favorable à un gel des livraisons, mais le justifiant par la guerre au Yémen plutôt que l'affaire Khashoggi. "L'arrêt des livraisons d'armes, suggéré par la chancelière Merkel, serait en tout cas le bon signal. L'Autriche n'a fourni aucun matériel de guerre à l'Arabie saoudite depuis le début de la guerre au Yémen en mars 2015 et l'implication de l'Arabie saoudite dans ce pays", a-t-elle déclaré. Sur le Yémen, Emmanuel Macron a dit que "la France a demandé des gages et de la clarté sur le conflit au Yémen, où nous sommes très attachés aux règles humanitaires".

    "L'Arabie saoudite est un pays stratégique dans la géopolitique mondiale"

    Ce désaccord franco-allemand pourrait peut-être aussi avoir des répercussions de plus long terme sur la relation profonde entre les deux pays, traditionnels indissociables alliés européens. L'hebdomadaire allemand Der Spiegel affirme que Paris a menacé indirectement de mettre un terme au projet de développement d'un avion de combat franco-allemand, si Berlin ne donnait pas son accord dès le début pour que le futur appareil soit vendu sans restriction à l'export, "y compris dans des pays en crise comme l'Arabie saoudite".

    Emmanuel Macron, qui était à Bratislava pour parler d'Europe, notamment pour tenter de trouver des solutions avec les pays d'Europe centrale en désaccord avec la France sur la politique migratoire, a aussi rappelé sans détour l'importance de l'alliance avec l'Arabie saoudite pour la France et les autres pays occidentaux, qu'il s'agisse de lutte anti-Daech, de coopération militaire ou encore de fourniture de pétrole. "Il y a une coopération forte avec la plupart des pays occidentaux, avec des relations militaires qui sont claires, revendiquées, et totalement transparentes", a-t-il averti.

    Enfin, "l'Arabie saoudite est un pays stratégique dans la géopolitique mondiale, dans la fourniture de pétrole au reste de la planète. Beaucoup s'interrogent sur la montée du prix du pétrole. Qu'ils s'interrogent aussi sur les conséquences qu'il promeuvent compte tenu de la place de ce pays dans cette géopolitique. Nous n'en sommes pas dépendants mais nous avons des partenariats et des règles se sont mises en place", a-t-il souligné.

    Paris Match

    Pour qui il se prend Manu !


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  • Doubs : une maman de 21 ans tuée sous les coups de son compagnon

    Un jeune homme de 23 ans est en garde à vue, suspecté d’avoir tué sa femme de 21 ans en la rouant de coups, jeudi après-midi, à Mandeure (Doubs).

     

    «J'ai tué ma femme. Venez vite».

    Le mis en cause aurait lui-même contacté les secours, rapporte France Bleu. Violemment frappée dans l’appartement familial, la jeune maman est décédée des suites de ses blessures au CHU de Besançon, lui a initialement été hospitalisé d’office.

    Dans le logement du troisième étage de ce petit immeuble, les secouristes ont découvert la victime au sol, inconsciente. Elle aurait été frappée à mains nues. La scène se serait déroulée sous les yeux de la petite fille du couple, âgée de 13 mois.

    Le Parisien


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 26 10 2018


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  • Yvelines : une femme enceinte poignardée et un enfant grièvement blessé

    Une femme enceinte de huit mois a été poignardée à son domicile à Limay, dans les Yvelines, et un enfant a été grièvement blessé, des faits pour lesquels l'ex-femme du compagnon de la victime a été interpellée vendredi matin, a appris l'AFP de source policière, confirmant des informations du Parisien.

    L'enfant a fait une grave chute sur la tête.

    Vers 16 heures, jeudi, avenue du docteur Guilleminot, une femme s'est rendue au domicile de la victime de 31 ans, la frappant de plusieurs coups de couteau au ventre et à la gorge, a indiqué une source policière. Un enfant de deux ans, bousculé à cette occasion, a fait une grave chute sur la tête et a perdu connaissance. La femme et l'enfant, grièvement blessés, ont été transportés à l'hôpital alors que l'assaillante prenait la fuite, selon la même source. Un adolescent de 16 ans, très choqué, a été lui aussi conduit à l'hôpital par les secours.

    Elle aurait agi par "jalousie".

    Soupçonnée d'être l'auteur de ces coups, l'ex-femme du compagnon de la victime a été arrêtée vendredi matin à 9h30 à son domicile de Mantes-la-Ville, dans le même département, a précisé la police. Cette femme de 38 ans aurait agi par "jalousie", selon cette même source. Elle avait déposé une plainte en janvier contre la nouvelle compagne de son ex-mari, pour "maltraitances" sur ses enfants, mais ces accusations n'avaient pas été corroborées. Une enquête pour "tentative d'homicide" a été confiée au commissariat de Mantes-la-Jolie.

    Europe 1


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  • Hausse des prix du carburant : la grogne monte, le gouvernement redoute des blocages

    Plusieurs membres du gouvernement tentaient jeudi de désamorcer le mécontentement croissant des Français au sujet de la hausse des prix du carburant, alors que des appels au blocage des routes pour le 17 novembre se multiplient sur les réseaux sociaux.

    "Je ne nie pas le fait que ce soit difficile pour certains Français qu'on augmente la fiscalité sur le gazole. Mais nous avons 3,8 milliards d'euros de dispositifs d'aide pour accompagner ces Français dans la transition écologique", a défendu la secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Brune Poirson, au micro de "Sud Radio".

    "Regardons la fiscalité dans sa globalité, d'un côté on allège les charges sur le travail et de l'autre on taxe plus la pollution", a-t-elle ajouté.

    "Nous assumons"

    "Nous assumons de mener une politique de transformation de l'énergie (...) en ayant annoncé la couleur avant puisque (la hausse de la fiscalité) a été votée dans le budget l'année dernière, avec une trajectoire pour 5 ans", a pour sa part insisté le ministre de la Transition écologique François de Rugy, interpellé au Sénat lors des questions au gouvernement.

    "Nous assumons de faire ce qui a été revendiqué par de nombreux parlementaires, d'ailleurs, sous plusieurs mandats, de supprimer progressivement un certain nombre de niches fiscales (...) non écologiques", comme celle sur le gazole non routier, a-t-il ajouté.

    La ministre des Transports, Elisabeth Borne, invitée de Radio Classique, a souligné pour sa part que la hausse des carburants était "en grande partie liée à l'évolution des cours mondiaux du pétrole".

    Taxation alourdie

    Dans les faits, les prix de l'or noir se sont en effet redressés cette année, passant de 65 dollars début janvier pour le baril de Brent de la mer du Nord à 86 dollars début octobre, avant de refluer autour des 75 dollars actuellement.

    Le prix moyen d'un litre de sans plomb 95 à la pompe s'élevait la semaine dernière à 1,55 euro, à peine plus que celui du gazole, à 1,52 euro, selon le ministère de la Transition écologique et solidaire.

    Mais la hausse du prix des carburants s'explique aussi par la taxation qui s'est alourdie, surtout pour le diesel depuis le 1er janvier. Les taxes sur le gazole ont ainsi augmenté de 7,6 centimes par litre au total, avec notamment la contribution climat énergie ("taxe carbone"). Pour l'essence, l'augmentation a été de 3,9 centimes par litre.

    Cette politique devrait être renforcée en 2019, avec des hausses de 6 centimes pour le diesel et 3 centimes pour l'essence, puis à nouveau jusqu'en 2022, l'objectif étant de rendre l'essence moins onéreuse que le diesel, jugé plus polluant.

    Pétition et appels au blocage

    Sur ce sujet sensible, à l'heure où l'exécutif est englué depuis plusieurs mois dans une polémique sur le pouvoir d'achat, plusieurs membres de l'opposition ont dénoncé à l'unisson ces hausses cette semaine.

    Lundi, l'ancienne ministre socialiste de l'Environnement, Ségolène Royal a affirmé que le gouvernement cherchait "à justifier un matraquage fiscal par l'écologie".

    Un constat partagé par le président du groupe les Républicains à l'Assemblée, Christian Jacob qui estimait jeudi sur "Europe 1" que ces "taxations punitives" servaient principalement à "faire marcher la pompe à fric" pour le gouvernement.

    Dans ce contexte, la pétition lancée par Priscilla Ludosky, une automobiliste en colère, sur "Change.org" pour faire baisser les prix à la pompe a déjà recueilli plus de 280.000 signatures. Et des appels à bloquer les routes et les autoroutes le 17 novembre prochain se multiplient sur les réseaux sociaux.

    Une vidéo de Frank Buhler, qui se présente comme un délégué de circonscription du parti Debout la France (DLF) dans le Tarn-et-Garonne où il appelle à un tel blocage national "pour exiger une baisse des tarifs de l'essence", a été vue 3,3 millions de fois sur Facebook et était largement partagée jeudi.

    L'OBS


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  • Macron déplore l'achat d'avions américains par la Belgique

    Des chasseurs américains F-35 ont été préférés par Bruxelles aux Rafale français ou aux Eurofighter européens.

    Le président français Emmanuel Macron «regrette» la décision du gouvernement belge d'acheter des avions de chasse F-35 américains «plutôt qu'une offre européenne», une décision qui «stratégiquement va a contrario des intérêts européens», a-t-il déclaré vendredi devant la presse à Bratislava.

    Le gouvernement belge a annoncé jeudi avoir choisi le F-35 américain pour remplacer sa flotte vieillissante d'avions de chasse F-16, au détriment notamment du Rafale français.

    «L'offre française est arrivée après la clôture. Je regrette le choix fait. Il n'y avait pas que l'offre du Rafale, il y avait aussi l'Eurofighter, un vraie offre européenne. La décision est liée à une procédure belge, à des contraintes politiques du pays mais stratégiquement va a contrario des intérêt européens», a-t-il ajouté.

    "Ma détermination en sort renforcée"

    «Je ferai tout pour que dans les appels d'offres à venir, des offres européennes soient promues», a-t-il promis, lors d'une visite Slovaquie consacrée à la promotion de ses projets pour l'Europe, dont l'Europe de la défense.

    «L'Europe doit développer une vraie capacité d'industrie de défense européenne, dans tous les pays qui croient à cette aventure. Ma détermination en sort renforcée», a-t-il conclu.

    «L'Europe ne sera forte que si elle est vraiment souveraine et si elle sait se protéger elle même. Nous héritons d'habitudes passées, les projets évoqués ont été lancés avant mon arrivée», a-t-il encore précisé.

    Paris Match


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  • Zemmour, admirable du début à la fin comme d'habitude !


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  • Le Pen répond à Griveaux : «Ce gouvernement est un ramassis d'arrogants»

    Invitée d'Europe 1, la présidente du RN a réagi aux propos tenus par le porte-parole du gouvernement dans Le Figaro. Le patron du PS, Olivier Faure, l'a également accusé de «jouer avec les extrêmes».

     

    La réponse ne s'est pas fait attendre. Dans une interview au Figaro daté de ce vendredi, le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, étrille violemment les oppositions. Il traite notamment Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, Laurent Wauquiez et Olivier Faure de «faussaires de la politique». Cette sortie, qui vise l'ensemble de la classe politique, n'a pas manqué de faire réagir les intéressés et leurs représentants, qui sont immédiatement montés au créneau pour lui rendre la pareille.

    Marine Le Pen l'a sèchement attaqué sur Europe 1. «Ce gouvernement est un ramassis d'arrogants, qui n'ont jamais rien prouvé de leur vie, et qui pensent que le simple fait d'avoir été choisis par Emmanuel Macron fait d'eux des demi-dieux... Je dis à M. Griveaux qu'il ferait mieux de regarder un petit peu la situation dans laquelle il est en train de mettre les Français avec son gouvernement», a asséné la présidente RN, l'invitant à «être un peu plus modeste dans ses propos» et à «faire preuve d'un peu d'humilité».

    Sur Twitter, le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, n'a lui non plus pas mâché ses mots. «Est faussaire celui qui prétend être la droite, la gauche, le centre, la raison, le bon sens», a-t-il martelé, en allusion au positionnement politique de la majorité. «Le faussaire mime la vertu mais joue avec les extrêmes qu'il valorise pour mieux se poser en rempart», a ajouté le patron de Solférino, accusant La République en marche de chercher à faire monter le Rassemblement national et la France Insoumise pour apparaître comme la seule alternative républicaine.

    Du côté des Républicains, c'est la porte-parole du parti, Laurence Sailliet, qui a répondu à Benjamin Griveaux. «Au concours du mépris, Emmanuel Macron a fait un émule qui va bientôt dépasser son maître», a-t-elle lancé sur Twitter, dénonçant le «quinquennat du mépris». Pour l'heure, aucun Insoumis ne semble avoir réagi aux propos du secrétaire d'État, qui dénonce les «outrances» de Jean-Luc Mélenchon et qualifie leur parti de «mouvement populiste».

    Le Figaro.fr

    M. Le Pen répond à B. Griveaux "Vous êtes un ramassis d'arrogants" 26/10   (vers la fin)


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  • Haute-Savoie : sur les routes, on installe des radars à animaux !

    Sur la commune de Doussard, on agit concrètement pour les animaux sauvages. Comment ? En installant des " radars à animaux " chargés de prévenir les automobilistes du passage des cerfs, sangliers et autres blaireaux. Et force est de constater que ça marche !

     

    Cela fait maintenant un an que des radars à animaux sauvages ont été installés en Haute-Savoie, plus précisément sur les routes autour de la commune de Doussard.

    Car le maire de la commune l'a bien compris : une forte densité d'animaux sauvages et beaucoup d'automobilistes peuvent amener à des drames, a fortiori quand le territoires desdits animaux est traversé de toutes parts par des départementales ou des autoroutes.

    Cohabitation

    C'est pourquoi le Conseil Départemental a décidé d'agir en faveur de la faune, en plaçant quatre radars un peu spéciaux. Ceux-là n'en veulent pas à votre porte-monnaie, ils sont chargés de détecter des animaux grâce à des caméras infrarouges.

    Ainsi, ils avertissent l'automobiliste de l'approche imminente d'un grand animal… et ça marche ! Jugez plutôt : l'année dernière, on a recensé 50 collisions avec des animaux sauvages et en cette année 2018… seulement 15 en l'espace de dix mois.

    Technologie

    Mais concrètement, comment ça fonctionne ? C'est très simple ! Quatre mâts ont été installés au bord des routes, sur lesquels on a juché des caméras détectant les mouvements de part et d'autre de la route.

    Ces caméras très sensibles détectent aussi bien les grands animaux (cerf, sanglier, chevreuil…) que les plus petits (lièvre, lapin, martre, renard…). Si jamais un animal est repéré, un message s'affiche sur les panneaux lumineux et les automobilistes lèvent le pied.

    Résultats probants

    Cela fait maintenant un an que ces dispositifs ont été disséminés un peu partout le long de la RD 1508 et les résultats sont plus qu'encourageants. Les collisions avec des animaux ont dégringolé de 80% sur ce tronçon très fréquentés par les animaux sauvages.

    Et cerise sur le gâteau : le tout n'aura pas coûté si cher. En tout et pour tout, les radars ont coûté 60 000 euros au Conseil Départemental.

    OH My Mag

    Bravo à cette commune, d'autres devraient en faire autant !


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  • Soda, inondations, cartes grises… toutes les taxes qui ont vu le jour sous Emmanuel Macron

    Taxe additionnelle sur les cartes grises, taxe GEMAPI, taxe soda, taxe sur les entreprises, impôt sur la fortune immobilière... Depuis le début de son quinquennat, Emmanuel Macron a lancé des contributions fiscales qui sont plus ou moins passées inaperçues.

    LIEN article : https://www.msn.com/fr-fr/finance/impots/soda-inondations-cartes-grises%e2%80%a6-toutes-les-taxes-qui-ont-vu-le-jour-sous-emmanuel-macron/ar-BBOSQjS?ocid=PerDHP

     


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  • «I killed them all»: L'héritier Robert Durst va être jugé pour meurtre

    L'héritier d'une célèbre famille new-yorkaise avait semblé faire des aveux par mégarde dans le documentaire de HBO «The Jinx», en 2015...

    Ce cold case avec été relancé en 2015. Le richissime et sulfureux héritier Robert Durst, qui fut au coeur du documentaire HBO The Jinx, va être jugé pour le meurtre de son amie Susan Berman, tuée d’une balle dans la tête à son domicile en 2000, a ordonné jeudi un juge de Los Angeles.

    L’accusation affirme que Robert Durst a tué Susan Berman autour du 23 décembre 2000 pour l’empêcher de répondre aux policiers new-yorkais enquêtant sur la disparition de sa femme Kathleen en 1982.

    « Confession »

    Robert Durst a toujours démenti avoir tué sa femme ou Susan Berman, et plaide non coupable des charges retenues contre lui. Dans la dernière scène de The Jinx, Durst semblait pourtant faire un aveu involontaire, se murmurant à lui-même alors qu’il était aux toilettes et que son micro sans fil n’était pas désactivé : « What the hell did I do ? Killed them all, of course » (« Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Je les ai tous tués, bien sûr »).

    Selon le juge Mark Windham, ces déclarations sont « cryptiques ». « Mais sans une explication de l’accusé, elles représentent une confession succincte de plusieurs meurtres. »

    Sous l’emprise de la drogue ?

    Le sulfureux héritier – qui a déjà été jugé et acquitté pour le meurtre d’un voisin lorsqu’il s’était réfugié au Texas – avait été arrêté en mars 2015 à la veille de la diffusion du dernier épisode du documentaire. Lors d’un entretien avec les procureurs à la suite de son arrestation, Robert Durst avait toutefois affirmé qu’il était sous l’emprise de la drogue pendant le tournage, ajoutant qu’il pourrait accepter un accord amiable sur les chefs d’accusation de meurtre.

    20 Minutes


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