• Des centaines de milliers de canards supplémentaires vont être abattus, a indiqué vendredi le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie, ajoutant qu'il fallait "aller plus vite" pour contenir la diffusion de la grippe aviaire.

    "Ce sont quasiment 400.000 canards qui ont été abattus dans le département des Landes. […]. Ça va être encore des centaines de milliers, c'est une certitude", a-t-il dit sur France Bleu Gascogne.

    "L'objectif, c'est de faire un dépeuplement massif pour contenir l'épidémie", a ajouté le ministre, qui doit se rendre ce vendredi dans le département des Landes où 119 foyers de grippe aviaire ont été confirmés.

    Il faut "accélérer dans la course contre la montre" face à la grippe aviaire, a plaidé Julien Denormandie, rappelant la décision de réquisitionner des abattoirs.

    "Jusqu'à présent, nous avions un vide sanitaire à trois kilomètres autour des foyers. De ces trois kilomètres, nous allons passer à cinq kilomètres", a-t-il également expliqué.

    Le virus H5N8 de la grippe aviaire, non transmissible à l'être humain, se propage rapidement en ce moment en Europe via les migrations d'oiseaux sauvages, ce qui fait craindre au secteur de l'élevage de subir des abattages massifs comme lors de précédentes épizooties.

    Reuters

    J'espère qu'ils ne souffrent pas quand ils les tuent ! Au moins, ils ne seront pas gavés pour faire leur saloperie de foie gras !


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  • Gabin s'adresse à Macron ! Si je vous le dis, faut me croire !


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    Comment a t-on pu laisser ce chien devenir aussi maigre ?


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  • Une jeune femme de 19 ans tuée par un requin en Nouvelle-Zélande

     

    Une mort choquante sous des yeux impuissants. Kaelah Marlow, une jeune femme de 19 ans, a succombé jeudi à l’attaque d’un requin à Waihi Beach, en Nouvelle-Zélande.

    Le «NZ Herald» explique que la jeune femme a d’abord été vue par des sauveteurs en mer qui l’ont aussitôt sortie de l’eau. Une fois sur la plage, un secouriste ont tenté de la réanimer par un massage cardiaque, en vain. «Le regarder essayer de sauver la jeune femme, sans succès, et voir le visage du sauveteur, tout blanc, était une expérience très traumatisante», a raconté un témoin. «Je n’arrive pas à oublier le visage extrêmement grave qu’il avait en quittant la plage», a-t-il ajouté.

    Face au choc de ce drame, plusieurs membres de la communauté sont venus honorer la mémoire de la victime en déposant des fleurs et des messages de respects sur les lieux. Le commandant de la région de l'est de Waikato, l'inspecteur Dean Anderson, a déclaré vendredi dans un communiqué: «La police tient à honorer la jeune femme décédée hier soir à Waihi Beach, ainsi que sa famille et ses amis en cette période très difficile. Nous ne pouvons pas donner plus de détails mais le ferons, après consultation avec sa famille, lorsque le temps sera venu». Il a ajouté ne pas pouvoir confirmer que sa mort est entièrement due à l’attaque mais que ses blessures le laissent penser. «Une autopsie est prévue aujourd'hui et cela nous permettra de mieux comprendre ce qui s'est passé. Nous savons que sa mort a été extrêmement traumatisante pour ceux qui étaient à Waihī Beach hier et nous offrons des services de soutien aux victimes à quiconque en a besoin», a-t-il ajouté.

    Difficile de déterminer de quelle espèce il s'agit

    Un témoin a expliqué que les conditions de mer étaient «plutôt agitées» jeudi avec de petites déchirures et beaucoup de débris échoués jusqu'aux dunes de sable, mais que les nageurs pouvaient rester dans les vagues. L’épouse de ce témoin a ajouté qu’un couple avait dit avoir vu un requin la veille. Riley Elliott, spécialiste des requins interrogé par le «NZ Herald» a expliqué qu’il était difficile de savoir quelle espèce avait attaqué la jeune femme mais qu’un jeune requin blanc avait été vu ces derniers mois dans cette zone.

    Paris Match

    Elle savait qu'il y avait des requins, qu'allait-elle faire là ?


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  • Un couple retranché à son domicile avec son enfant interpellé par le GIGN

    Un couple de parents, retranchés à leur domicile avec leur enfant, a été interpellé ce vendredi vers 4h00 par les gendarmes d'élite du GIGN qui ont donné l'assaut à Joinville, en Haute-Marne. La veille, le couple était convoqué pour remettre ses trois enfants aux services sociaux, sur décision de justice. Mais le père a refusé de confier le plus jeune, âgé de 6 ans.

    Menace de tuer l'enfant puis de se suicider 

    Cet homme, déjà connu pour des affaires de violences avec arme, s'était alors enfermé chez lui avec sa compagne et leur fils, menaçant d'incendier le domicile et de mettre fin aux jours de l'enfant avant de se suicider. Après toute une nuit de négociations pour tenter de mettre fin à la situation, le GIGN a donné l'assaut et investi la maison. L'enfant a été retrouvé en bonne santé, ses parents ont été arrêtés et placés en garde à vue.

    Europe 1


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  • Macron à Jarnac : "Il essaie de capter tous les héritages qui peuvent rapporter gros"

    Après des hommages à Charles de Gaulle, Jacques Chirac ou encore Valéry Giscard d'Estaing, Emmanuel Macron se rend à Jarnac en Charente pour honorer la mémoire de François Mitterrand, mort il y a 25 ans, le 8 janvier 1996. Le chef de l'Etat se recueillera sur sa tombe avant de se rendre dans la maison natale du président socialiste, devenu un musée. Un clin d'œil vers un électorat de gauche ?

    "Il essaie de capter tous les héritages qui peuvent rapporter gros", analyse Catherine Nay, journaliste politique, collaboratrice d'Europe 1 et autrice de l'ouvrage Le Noir et le Rouge, histoire d'une ambition, sur François Mitterrand. "D'abord c'est un exercice qu'il adore faire : ce numéro d'acteur, de se mettre dans la peau de l'autre, de prendre ses intonations au besoin".

    Un "habit d'Arlequin"

    "Il y a d'abord eu l'année De Gaulle. Dès son arrivée à l'Elysée, il y avait les mémoires du général, bien en vue sur son bureau, puis l'hommage à Valéry Giscard d'Estaing, plus discret, mais sincère. Et puis maintenant, Mitterrand", énumère Catherine Nay. "Pour plaire à tous ces panels d'électeurs, quand on est 'en même temps', il faut endosser forcément un habit d'Arlequin."

     

    L'héritage de François Mitterrand, tant politique qu'humain a laissé de nombreuses traces ans l'histoire de la France. "Mitterrand, c'est l'abolition de la peine de mort, la retraite à 60 ans. Bien que cela a été une réforme à contretemps, au moment où les Français avaient une espérance de vie de trois mois supplémentaires par an", explique Catherine Nay. " La pyramide du Louvre, l'Opéra Bastille et Mazarine et sa mère devant le cercueil".

    "Un secret qui ne serait plus possible aujourd'hui de garder", ajoute l'analyse politique. "A l'époque, il n'y avait pas la presse people, il n'y avait pas les réseaux sociaux : François Mitterrand était un homme heureux."

    "Un personnage de roman"

    "C'est celui qui a amené la gauche au pouvoir, au bout de 23 ans, en se donnant du mal, en allant de village en village", rappelle-t-elle. De François Mitterrand, président de 1981 à 1995, Catherine Nay retient un "personnage de roman, avec ses ombres et ses lumières". "Un homme qui n'a jamais sacrifié ses plaisirs à l'ambition, qui avait des vies plurielles. Et puis, surtout, qui avait et cette autorité naturelle. Et quand il partait, on l'écoutait, on en avait peur, on le craignait." Selon elle, depuis à gauche, personne de son envergure n'a émergé. "Le moule est cassé", analyse-t-elle.

    Europe 1


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  • "J'ai perdu 160 kilos" : Guy Carlier se confie sur son impressionnante perte de poids !

    Ce jeudi 7 janvier 2021, invité de Non Stop People, Guy Carlier a révélé l'impressionnant nombre de kilos qu'il avait réussi à perdre durant ces dernières années.

    Guy Carlier était l'invité d'Évelyne Thomas dans son émission de Non Stop People ce jeudi 7 janvier 2021. L'ancien chroniqueur le plus redouté du paf, lorsqu'il officiait dans On ne peut pas plaire à tout le monde sur France 3, a dévoilé combien de kilos il avait réussi à perdre au cours des dernières années. Ainsi, Guy Carlier confie : "Là, je dois en être à 160 kilos. Ça a pris quand même une douzaine d'années. À l'époque où j'étais très médiatisé, c'est-à-dire à l'époque Marc-Olivier Fogiel dans On ne peut pas plaire à tout le monde, je dépassais les 250 kilos, j'étais plus qu'en danger." Le snipper se penche aussi sur les causes de son obésité : "c'était évidemment lié à une maladie, une addiction. Ça aurait pu être la cocaïne, l'alcool… c'était la boulimie. Il a d'abord fallu que je me soigne."

    "Je cherchais le moyen de marcher le moins possible"

    Guy Carlier poursuit décrivant qu'il vivait cette maladie "dans la solitude". D'autant plus qu'il était très médiatisé. "Les gens disaient : 'On arrive à oublier'. Tu parles ! Moi je n'oubliais pas. Il y avait une espèce de bénéfice secondaire qui était le fait que j'étais connu," et d'ajouter : "Quand je revois les images chez Marc-Olivier Fogiel, c'est terrifiant". Le père du Youtubeur Carlito assure ensuite que cette importante perte de poids lui permet désormais "de pouvoir marcher, même si je suis en rééducation des genoux, car on ne peut pas peser 250 kilos sans que ça ait des répercussions." Il se souvient aussi de l'époque où il faisait partie de la bande du Fou du Roi sur France Inter, aux côtés de Stéphane Bern : "Je cherchais le moyen de marcher le moins possible. Je pense que les toubibs avaient calculé que je devais marcher 50 mètres maximum par jour".

    "Je montais dans le monte-charge des pianos"

    Pour vaincre ses difficultés à se déplacer, Guy Carlier avais trouvé des astuces pour rejoindre le studio de l'émission : "J'avais repéré l'endroit où on descendait les pianos à queue sur la scène. [...] Je me garais là. Je montais dans le monte-charge des pianos à queue pour arriver juste derrière la scène avant l'émission, avant tout le monde pour pas qu'on me voit. [...] On déjeunait avec Stéphane Bern dans un restaurant en face de France Inter. Il n'y avait que la rue à traverser mais je prenais ma voiture et je la donnais au voiturier. Je ne traversais pas, c'était impossible pour moi", conclu-t-il.

    Télé Loisirs


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  • La Californie déploie des dizaines de remorques frigorifiques pour les morts du Covid

    © Apu GOMES Une salle d'urgence temporaire a été établie dans un parking par l'hôpital Providence Cedars-Sinai de Tarzana en Californie, où les hôpitaux sont débordés par les cas de Covid-19, le 3 janvier 2021

    Les autorités californiennes ont annoncé jeudi avoir déployé au moins 166 remorques frigorifiques pour servir de morgues provisoires dans les hôpitaux submergés par les décès liés au Covid-19.

    Avec au moins 2.500 morts du coronavirus chaque semaine, la Californie est devenue l'un des principaux foyers de la pandémie aux Etats-Unis et les morgues traditionnelles sont pleines.

    Les contaminations avaient commencé à se multiplier avant même que les réunions familiales de la fête de Thanksgiving, fin novembre, ne propagent encore davantage le coronavirus, et l'Etat américain le plus peuplé se prépare désormais à "une explosion sur une explosion" des cas, alimentée par les festivités de Noël et du jour de l'An.

    Mark Ghilarducci, directeur des services d'urgence de Californie, a donc activé le "plan de gestion des décès massifs", pour faire en sorte que tous les défunts puissent être "traités avec respect et dignité".

     

    La plupart des remorques frigorifiques n'étant pas spécifiquement conçues comme des morgues, elles vont être aménagées pour au moins doubler leur capacité de stockage des corps.

    Des membres de la Garde nationale ont également été dépêchés cette semaine pour venir en aide aux services de médecine légale de Los Angeles, où une personne meurt du Covid-19 toutes les quinze minutes.

    Selon le Los Angeles Times, les services de pompes funèbres sont obligés d'éconduire des familles en deuil car ils n'ont plus la capacité de prendre en charge les défunts.

    La majorité des comtés de Californie, dont celui de Los Angeles - où les ambulances tournent souvent des heures avant de trouver un lit pour leur patient - ont mis en place des mesures de restriction qui limitent les déplacements et les activités.

    AFP


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  • Emmanuel Macron, c’est l’homme sans projet, parce que c’est l’homme sans convictions." Cette phrase est signée de l'actuel ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, quelques semaines avant sa nomination dans le gouvernement d'Edouard Philippe, premier du quinquennat d'Emmanuel Macron. Comme lui, plusieurs autres ministres, dont François Bayrou à la Justice et Marielle de Sarnez aux Affaires européennes, ont eu des mots très durs contre Emmanuel Macron, quelques mois avant leur nomination.


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  • La police du Capitole a annoncé, jeudi, qu'un agent avait succombé à ses blessures infligées lors d'affrontements avec des partisans du président Donald Trump, après leur intrusion violente au Capitole, à Washington.

    Un policier assurant la garde du Capitole, Brian Sicknick, est décédé, jeudi 7 janvier, des suites des blessures reçues lors des violences commises la veille par des partisans de Donald Trump.

    L'agent "était déployé sur les affrontements au Capitole, mercredi 6 janvier 2021, et a été blessé lors de contacts physiques avec les protestataires", a indiqué la police du Capitole dans un communiqué. "Il est retourné à ses quartiers et s'est effondré. Il a été emmené à l'hôpital local où il a succombé à ses blessures" jeudi soir, selon le communiqué de l'USCP.

    Quatre protestataires sont morts durant ces incidents, dont une femme touchée par une balle tirée par la police. Pour les trois autres décès, les circonstances n'ont pas encore été éclaircies.

    Le chef de la police du Capitole démissionne

    Censée être une simple formalité, la certification de la victoire de Joe Biden par les deux chambres du Congrès réunies en session extraordinaire a tourné à "l'insurrection", "presque à la sédition" selon les termes du président élu, quand une foule de partisans du président sortant a envahi le Capitole, interrompant les débats.

    Les images prises de l'intérieur du majestueux bâtiment marqueront l'Histoire : élus portant des masques à gaz, agents de la police en civil arme au poing, manifestants installés dans les bureaux des parlementaires.

    Ces scènes ont suscité consternation et indignation à travers le monde, et l'image des États-Unis, qui se posent volontiers en modèle démocratique, a été durablement abîmée.

    Très critiqué pour son manque d'anticipation, le chef de la police du Capitole, Steven Sund, a présenté sa démission.

    Au lendemain de cette journée de chaos qui a ébranlé l'Amérique, Donald Trump, accusé par Joe Biden d'avoir miné la démocratie, a lancé un rare appel à la "réconciliation", condamnant "une attaque odieuse" sur le Capitole.

    Dans une vidéo qui marque un changement net de ton, le président républicain s'est dit "scandalisé par la violence" à laquelle se sont livrés quelques centaines de ses sympathisants.

    "Je vais désormais me concentrer sur une transition de pouvoir ordonnée et sans accrocs", a-t-il encore assuré.

    France 24


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  • Fini de jouer avec les mots, il n'y a qu'un seul et unique camembert en Normandie, et il s'agit de l'AOP, au lait cru moulé à la louche. La Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), interdit, depuis le 1er janvier, aux fromages industriels d'inscrire la mention "fabriqué en Normandie" sur leur étiquette.

    "C'est un symbole"

    Entre les camembert dont l'étiquette indique "fabriqué en Normandie", et les camemberts de Normandie ayant l'AOP, les consommateurs sont complètement perdus. "C'est marqué Normandie, et Normandie, ce n'est pas clair", déplore une cliente, au micro d'Europe 1.

    Mais désormais, la confusion est terminée. Les camemberts industriels ne peuvent plus mentionner la Normandie sur leur étiquette. Une victoire pour Véronique Richez-Lerouge, autrice de Main basse sur les AOP. "Protéger un camembert au lait cru moulé à la louche, ça veut dire que dans 60 ou 100 ans, les gens pourront continuer à apprécier ce camembert qu'a inventé Marie Harel au coeur de la Révolution française. C'est important, c'est un symbole."

    Les industriels ont fait appel

    Mais au goût, qu'est-ce que ça change ? Dans une fromagerie du 15ème arrondissement de Paris, Alexandre se prête au jeu. "Ça n'a pas le goût d'un camembert, c'est très standard comme goût", dit-il après avoir goûté un camembert industriel. Face au camembert AOP, en revanche, la sensation n'est pas la même. "Vous sentez le bocage, vous avez un goût plus typé, on a le goût du lait cru".

    Serait-ce donc la fin de vingt ans de guerre du camembert ? Pas si sûr. En effet, les industriels ont déjà fait appel. Le camembert industriel représente 70.000 tonnes de production annuel. Contre 5.000 tonnes pour l'AOP moulé à la louche.

    Europe 1


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    Bonne journée


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  • Voilà donc les deux pauvres oiseaux retrouvés sur le sol chez TiPrince et Roussette hier.

    Bon, bien que photographiés en pleine lumière sur la table de la cuisine, on ne se rend pas bien compte !


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    CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 07 01 2021

     

    avant passez une bonne soirée


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  • Il jouait au foot vêtu d'un sac-plastique, et voilà ce qui s'est passé lorsque Messi a vu sa photo


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  • La mauvaise désinfection du matériel qui sert aux endoscopies pourrait avoir contaminé une centaine de patients, avertis par courrier par la direction de l'hôpital d'Anvers.

    Gros scandale dans un hôpital d'Anvers en Belgique. L'hôpital Saint-Vincent du groupe GZA vient d'envoyer un courrier à 110 patients venus faire une endoscopie en octobre dernier. La raison ? Ils pourraient avoir contracté l'hépatite B ou le VIH à cause d'une erreur de désinfection du matériel, révélait mercredi 6 janvier 2021 la Gazet Van Antwerpen. Le technicien aurait échangé deux tubes lors du raccord de l'appareil qui pilote le bain de désinfection. Les endoscopes auraient donc pu être mal stérilisés.

     

    Dans le courrier envoyé aux patients concernés, la direction de l'hôpital les invite à aller passer un test sanguin gratuit le plus rapidement possible ainsi que six mois après l'endoscopie. "Il s'agit ici du pire des scénarios. Les appareils sont, en effet, nettoyés après leur utilisation, mais nous ne pouvons pas garantir à 100 % qu'aucune infection ne s'est développée", a précisé la porte-parole, Hilde Brems, citée par la RTBF et RTL Info.

     

    Les endoscopies servent dans le dépistage du cancer du côlon. Du sang se pose généralement sur l'appareil, d'où la désinfection et la stérilisation poussée des appareils après l'acte. "Le mode de transmission du VIH d'une personne à l'autre nécessite un contact étroit et la simple manipulation du matériel médical pour un entretien est insuffisante ou rend le risque de transmission presque nul. Pour l'hépatite B, nous savons à l'avance que les patients en souffrent et nous prenons des mesures de précaution supplémentaires et donc le risque de contamination est très faible", a tenu à rassurer Kristiaan Deckers, directeur médical du groupe GZA.

    Même si le risque est infime, la direction de l'hôpital Saint-Vincent d'Anvers envisage des poursuites juridiques contre le fabricant qui a commis l'erreur. "Notre service juridique se penche actuellement sur la question", a indiqué Hilde Brems.

    Capital


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  • Le cas est rarissime. Un homme âgé d'une soixantaine d'années est décédé au CHU de Limoges après avoir été griffé ou mordu par une chauve-souris. Hospitalisé en juillet 2019, il était tombé dans le coma et avait trouvé la mort le 29 août 2019, d'une encéphalite. Une inflammation du cerveau au départ inexplicable qui avait nécessité des analyses poussées à l'hôpital Necker de Paris. Grâce à un partenariat avec l'Institut Pasteur, visant à identifier les causes des encéphalites non documentées, les échantillons génétiques prélevés post-mortem sur le patient ont finalement parlé.

    Le verdict est tombé cet automne : le patient avait bien la rage après avoir contracté l'European Bat LyssaVirus de type 1 (EBLV-1) qui circule chez les chauve-souris. Un cas exceptionnel, évoqué de manière confidentielle en novembre 2020 dans un article de vulgarisation scientifique sur le site mesvaccins.net, repris et détaillé par le quotidien le Populaire du Centre.

    « On n'avait jamais eu un tel cas. C'est la première fois que cela arrive en France métropolitaine. Cela fait 35 ans que ce n'était pas arrivé au niveau mondial », reconnaît Laurent Dacheux, responsable adjoint du centre national de référence de la rage à l'Institut Pasteur. Un cas identique a été répertorié en 1985 en Russie. Les deux autres décès, en 1985 en Finlande et en 2002 en Ecosse, concernaient des chiroptérologues, des scientifiques qui travaillent sur les chauves-souris avec qui ils sont en contact direct. Ils avaient contracté un lyssavirus de type EBLV-2. Différent donc, de celui du patient limougeaud. Reste à savoir comment ce dernier, qui ne travaillait pas dans le domaine, a réussi à l'attraper.

    Selon sa famille interrogée par le corps médical, l'homme ne possédait pas d'animal de compagnie susceptible de transmettre la rage, n'avait pas voyagé en Afrique ou en Asie où le virus est plus présent. Seule hypothèse avancée : la colonie de chauve-souris, présente au-dessus de sa tête, dans son grenier avec laquelle il a donc, à un moment donné, été en contact.

    Une maladie officiellement éradiquée en France

    En France, la rage est officiellement éradiquée depuis 2001. « Le dernier cas concernant les animaux non volants remonte à 1998. Il s'agissait d'un renard. Dans notre pays, seules les chauves-souris en sont encore vecteur. Au niveau mondial, sur 60 000 décès annuels liés à cette maladie, elles ne représentent que 1 % des cas », continue Laurent Dacheux. Beaucoup sont en revanche dus à des morsures de chien.

    Le scientifique se veut rassurant : « Le risque est connu et maîtrisé. Mais la population générale n'est pas vaccinée contre la rage. Il faut donc éviter de toucher une chauve-souris si elle est à terre par exemple. Si on est mordu, il faut se rendre immédiatement dans un centre de vaccination. On peut alors éliminer le virus avant qu'il n'atteigne le système nerveux central. »

    Le problème reste l'absence de symptômes. « On ne se sent pas malade et le virus peut mettre du temps à atteindre le cerveau », indique-t-on à l'Institut Pasteur. Si tel est le cas, c'est la mort assurée.

    Le Parisien


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  • Australie: un fugitif retrouvé nu dans une zone infestée de crocodiles

    Illustration

    Un homme qui avait violé les obligations de son contrôle judiciaire a été découvert nu par deux pêcheurs dans une zone de mangrove infestée de crocodiles de l'extrême-nord de l'Australie, où il avait survécu plusieurs jours dans des arbres en mangeant notamment des escargots.

    Kevin Joiner et Cam Faust étaient en train de pêcher dimanche après-midi près de Darwin, la capitale du Territoire du Nord, quand ils ont entendu les appels à l'aide de cet homme, qui était couvert de boue et de piqûres de moustiques, selon les médias locaux.

    "On ne comprenait pas ce qu'il faisait là", a déclaré ce mercredi Kevin Joiner à Nine News. "On s'est dit qu'il avait eu un Nouvel an agité."

    Impliqué dans une affaire de vol à main armée

    L'homme était déshydraté et avait besoin d'aide, alors les pêcheurs l'ont pris avec eux, lui ont donné un short, une bière et l'ont emmené à Darwin, selon Kevin Joiner. Mais une fois à l'hôpital, il a été arrêté pour ne pas avoir respecté son contrôle judiciaire dans une affaire de vol à main armée.

    Les deux pêcheurs ont dit être tombés des nues car l'homme leur avait affirmé qu'il s'était perdu en se promenant dans la zone.

    "C'est en allant lui rendre visite à l'hôpital que nous avons découvert ça", a expliqué Cam Faust.

    Len Turner, un responsable de la police du Territoire du Nord, a confirmé aux médias que l'homme était poursuivi dans plusieurs affaires.

    "Il est en état d'arrestation mais est toujours à l'Hôpital royal de Darwin, où il est soigné pour l'épreuve qu'il s'est lui-même infligée", a-t-il dit au journal NT News.

    BFM.TV


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