• CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - DIMANCHE 08 08 2021


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    Bonne soirée


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  • Annika Schleu a fait le tour de la toile vendredi dans une scène aussi cocasse que triste. Durant l'épreuve de saut d'obstacles du pentathlon moderne, l'athlète a bataillé sur un cheval qui refusait de sauter, alors qu'elle était en tête du classement général. Les larmes aux yeux, l'Allemande a vite compris que le titre olympique s'était envolé.

     

    Schleu, qui se débattait avec sa monture nommée Saint Boy, recevait l'ordre par la coach de pentathlon allemande Kim Raisner de «bien frapper» le cheval récalcitrant (vidéo du tweet). Une consigne qu'elle a appliquée à la lettre, donnant lieu à une scène qui a agacé les associations de protections des animaux, comme Peta en Allemagne. Mais cette maltraitance ne s'est pas arrêtée là. Après le forfait de son athlète, Kim Raisner a assené un coup de poing sur le flanc gauche de Saint Boy. Un geste qui n'est évidemment pas passé inaperçu et qui a entraîné son exclusion des Jeux olympiques.

    En effet, selon le règlement du pentathlon moderne, il est interdit de toucher l'animal. Le comité exécutif de l'Union Internationale du Pentathlon Moderne a adressé un «carton noir» à l'entraîneur de l'équipe d'Allemagne, précisant qu'il a «examiné des séquences vidéo montrant Mme Raisner semblant frapper le cheval Saint Boy, monté par Annika Schleu, avec son poing pendant la discipline d'équitation du pentathlon moderne féminin».

    L'ancienne pentathlonienne moderne qui a participé aux JO d'Athènes en 2004 sera donc absente des épreuves masculines de pentathlon de ce samedi, tout comme le cheval à l'origine de cette affaire, qui ne fait pas partie des montures retenues.

    Le Figaro Sports


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  • Météo France a placé ce samedi 7 août au matin trois départements de la région Auvergne Rhône-Alpes en vigilance orange concernant des pluies et inondations.

    L’Isère, la Savoie et la Haute-Savoie ont été placées en vigilance orange concernant des pluies et inondations ce samedi 7 août à 10 h.

    Des précipitations de fortes intensités et des cumuls de pluie sur de courtes durées (moins de 6 heures), sont prévus sur les trois départements concernés.

    « Localement, sur les départements en vigilance orange, on peut avoir 60 à 80 mm en moins de 6 heures, ce qui peut engendrer un fort ruissellement, un débordement des cours d’eau et des glissements de terrain », expliquent les météorologistes de Météo France.

    Vigilance orange de vigueur jusqu’à samedi soir

    « Les secteurs les plus à risque sont situés près du relief : autour du Vercors, de la Chartreuse et de Belledone en Isère, les avant-pays et les massifs préalpins (Chablais, Borne-Aravis, Bauges) en Savoie », précise Météo France.

    Les personnes habitant ces territoires sont invitées à se mettre à l’abri chez elles et à ne pas se rendre dans leurs sous-sols.

    La vigilance orange est attendue jusqu’à 21 h ce 7 août.

    Ouest-France


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  • Mi-juillet, aux États-Unis, un ermite de 81 ans a été incarcéré pour occupation illégale d’une propriété. Depuis, son squat a été brûlé, créant un imbroglio juridique.

    Cela faisait 27 ans que David L. vivait reclus de la société dans ce squat de Canterbury, dans le New Hampshire, aux États-Unis. Mais depuis le 15 juillet, l’homme de 81 ans a été expulsé et placé en détention pour occupation illégale de la propriété, racontent nos confrères de Ouest France. "Tout ce que possède un homme, vous le prenez", a déploré l’ermite lors de son procès. Mais rien n’y fait, l'octogénaire n’a désormais plus rien, mis à part le soutien de certains locaux et internautes, touchés par l’affaire.

     

    Dans les colonnes de l’Union Leader, c’est une de ses amies qui témoigne : "C'était sa maison, la seule qu'il connaisse". Et Jodie Gedeon d’ajouter : "Pour moi, cela ne devrait pas être la fin. Je sais que les gens vont toujours aider". Et en effet, sur les réseaux sociaux, l’affaire médiatique a entraîné de nombreuses propositions pour améliorer la vie de l’ermite. Moderniser la structure, construire une route, payer ses impôts pour garder le terrain… la boîte à idées est riche. Trois différentes campagnes de dons ont même été organisées pour trouver une nouvelle maison pour "River Dave".

    Un incendie volontaire ?

    Une situation d’autant plus dramatique pour David L. que sa maison a brûlé, le 4 août dernier, quelques semaines après son incarcération. Un incendie dont la cause n’a pas encore été identifiée, les autorités cherchant désormais à comprendre si l’acte était volontaire ou non. "Nous pouvons tous supposer quelle est la cause, mais vous ne pouvez pas dire comment cela a commencé sans faits", a déclaré le chef des pompiers de Canterbury, Mike Gamache. Avant de conclure : "Avec l'attention médiatique que cela devenait, je ne suis pas surpris".

    Nichée sur un petit terrain accessible seulement par bateau, la petite cabane de deux étages de David L. appartenait à une famille qui avait abandonné le terrain depuis 1963, précise Associated Press. Sauf qu’en 2015, le propriétaire décide de démolir la maison… et donc d’expulser son squatteur. En plus des taxes foncières non payées, la Ville l’a alerté en effet de la mauvaise "évacuation des déchets solides et septiques et des violations potentielles de zonage créées par la maison".

    "Nous devons maintenant parler au propriétaire et à l’avocat pour voir s’il est possible de louer ou de vendre le terrain à David. Puis, répondre aux demandes de la Ville", a précisé son amie Jodie Gedeon sur une publication Facebook, juste après l’incendie de la maison. L’installation d’une route d’accès et d’une fosse septique serait par exemple des pistes d’étude intéressantes, selon cette dernière.

    27 ans plus tôt, David L. s’était installé dans cette cabane inhabitée et avait souhaité tout aménager seul, jusqu’aux panneaux solaires. Chez les voisins, il est apprécié et perçu comme une figure locale. Mais l’ancien vétéran de l’US Air Force doit désormais rendre des comptes devant la justice. Si le juge considère que David L. "ne fait de mal à personne", le sort de l’ermite paraît bien difficile aujourd’hui. Son incarcération ne pourra pas dépasser 30 jours. Mais l’ermite s'acharne : il préfère finir ses jours en prison, plutôt qu'on l'interdise d’habiter à nouveau sur son terrain.

    Capital


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  •  France. La production de vin en chute libre en 2021, du jamais vu depuis la guerre

    © Franck Dubray, Ouest-France En avril, alors que le gel menaçait les bourgeons dans les vignes, des viticulteurs ont utilisé des bougies et des braseros pour réchauffer l’atmosphère.

    Gel, grêle, mildiou, oïdium… Avec les fléaux qui ont touché les vignobles cette année, la récolte sera sans doute la pire qu’on ait enregistrée depuis 75 ans.

    Selon les estimations du ministère de l’Agriculture, la production viticole devrait plonger à 34 millions d’hectolitres à l’issue des vendanges qui viennent de commencer.

    C’est 24 % de moins qu’en 2020 et sans doute la plus mauvaise que la France, deuxième producteur de vin au monde après l’Italie, ait connue depuis la guerre. Coup terrible pour les 85 000 vignerons et caves coopératives ainsi que pour l’économie tricolore : 12 milliards d’euros de vins et spiritueux filent chaque année à l’étranger, l’équivalent d’un tiers des exportations d’Airbus.

    Certes, le vignoble français, du fait de la baisse nationale de consommation de vin, cognac et armagnac, est en régression régulière et la récolte moyenne des années 2010 est un tiers moins élevée que celle des années 1970.

    Reconstituer un stock d’urgence

    Cependant, l’anémie du cru 2021 s’explique par une exceptionnelle série de fléaux. À la mi-avril, le gel a frappé jusqu’aux quatre cinquièmes des vignes au moment où percent les bourgeons. En mai-juin, ce fut la grêle avant que, cet été, surgissent des maladies favorisées par le temps pluvieux : le mildiou, l’oïdium, la coulure. Et on peut encore subir le botrytis d’ici la vendange, redoute Christian Gauthier, président de la Fédération des vins de Nantes. Lui-même explique devoir traiter les vignes plus que les années précédentes. Du moins, entre deux averses…

    Cette récolte, qui n’atteindra que 25 à 20 % d’une année normale dans le vignoble nantais, succède à un millésime 2020 dont la production, satisfaisante en volume, a vu ses ventes durement touchées par les fermetures des bars et restaurants.

    À ce jour, aucune aide particulière n’a été versée par l’État, sinon aux jeunes vignerons. La meilleure des assurances,rappelle Christian Gauthier,c’est le stock qu’on constitue les bonnes années pour vendre lors des mauvaises. Mais après des récoltes faibles en 2016, 2017 et 2019, il ne faudrait pas qu’un autre accident climatique survienne en 2022.

    Ouest-France


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  • Groenland. Un ours blanc en sursis après avoir attaqué à plusieurs reprises des documentaristes

    Illustration

    Un ours blanc a été classé « à problèmes » mardi 3 août après avoir attaqué une équipe de documentaristes dans une station du nord-est du Groenland, a annoncé l’armée danoise, autorisant qu’il soit abattu en cas de récidive.

    Tout a commencé le lundi 2 août, très tôt dans la matinée, alors que le soleil ne se couche pas à cette latitude en cette saison, un ours blanc est parvenu à passer la tête par une fenêtre mal fermée dans un local de recherche où logeait une équipe de tournage, à environ 400 mètres à l’écart de la petite base militaire de Daneborg au Groenland.

    Selon le récit du « Commando arctique », unité danoise stationnée sur place, il a alors mordu un des trois hommes à la main, avant que l’équipe parvienne à le faire fuir en utilisant ses pistolets d’alarme.

    Transporté dans un premier temps à Daneborg, le documentariste blessé a dû être évacué à Akureyri en Islande.

    L’ours est revenu à deux reprises

    Déjà crédité de cinq incidents jusqu’ici, l’ours est alors revenu plus tard dans la matinée, puis une nouvelle fois dans la nuit du lundi 2 au mardi 3 août, et est parvenu à briser une fenêtre du local scientifique avant de s’enfuir, effrayé à nouveau par les deux rescapés.

    « Les autorités locales l’ont désormais catégorisé comme’ours à problèmes’, ce qui autorise à l’abattre, s’il revient », a précisé le Commando arctique dans un communiqué.

    L’incident intervient alors que le nord-est du Groenland vient de subir une vague de chaleur, avec un nouveau record de 23,4 degrés enregistré dans la région.

    Selon les spécialistes, le recul de la banquise, terrain de chasse des ours, les contraint à rester à terre plus souvent et entraîne des problèmes de sous-alimentation menaçant l’espèce, déjà classée vulnérable.

    S’ils restent rares, les incidents avec l’homme se multiplient, les ours s’approchant plus régulièrement des habitations, en quête de nourriture, selon les protecteurs de l’environnement et les autorités.

    Selon une étude parue dans Nature Climate Change en juillet 2020, ces plantigrades emblématiques de l’Arctique – environ 25 000 individus actuellement – sont menacés d’extinction autour de 2100.

    Ouest-France


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  • Il prête sa Tesla à son beau-père et reçoit une facture de 14.000$

    La relation entre un père et son gendre n’est pas toujours simple, mais de là à penser que ce que nous allons vous raconter était volontaire, il ne faut pas exagérer. Il y a quelques jours de cela, le propriétaire d’une Tesla reçoit une facture de 14.000$ pour l'achat du système Autopilot. Problème, il est certain de n’avoir jamais rien acheté.

    Il ne pensait pas se retrouver avec une telle facture sur les bras en prêtant sa voiture à son beau-père pour une après-midi, et pourtant. 

    Dominic Preuss, cadre et directeur de produits chez Google, a vu son compte bancaire bien allégé après l’achat de l’Autopilot sur sa Tesla Model 3. 

    Il a d’ailleurs partagé son histoire auprès de ses abonnés sur Twitter qui n’ont pas tardé à réagir.

    “Si vous double-cliquez deux fois sur le panneau de changement de vitesse et activez accidentellement le pilote automatique dans un Model 3, Tesla vous facturera automatiquement 14 100 $ si vous n'avez pas acheté de pilote automatique auparavant.” 

    Bien sûr tout est rentré dans l’ordre et le propriétaire a été remboursé entièrement par Tesla.

    Mais il est tout de même inquiétant de se dire qu’il est si facile de dépenser une telle somme dans une Tesla, sans mot de passe, sans confirmation, rien.

    AutoNews


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  • Henri Sannier face à la maladie : "C’est dur de garder le moral"

    Dans une interview accordée au Courrier Picard, ce vendredi 6 août, le journaliste sportif Henri Sannier est revenu sur le combat difficile qu’il mène au quotidien contre la neuropathie qui le cloue à un fauteuil.

    Tout a commencé en décembre 2020. Alors qu’il faisait une longue balade en VTT, Henri Sannier est percuté de plein fouet par une voiture. Un accident qui est lourd de conséquences pour l’ancien présentateur de France Télévisions. Après avoir passé quelques jours d’observations à l’hôpital, les médecins ont vu son état se dégrader au fil des semaines. Ne pouvant plus marcher, le personnel médical lui a diagnostiqué une neuropathie. Un douloureux trouble neurologique sur lequel est revenu Henri Sannier dans les colonnes du quotidien Courrier Picard, en kiosque ce vendredi 6 août. "Cette maladie fait que je suis un peu paralysé des jambes. Je suis aussi paralysé partiellement des mains, détaille-t-il. Pour le reste, mon cerveau fonctionne bien. C’est surtout marcher qui est difficile"Un état de santé particulièrement inquiétant qui a nécessité d'autres consultations médicales. "En réalité, on ne sait pas d’où ça vient", confie-t-il avant de préciser : "Il paraît que ça peut être un choc émotionnel. Ou cela peut venir du vaccin contre la grippe."

    Coincé dans un fauteuil roulant, Henri Sannier avoue faire "le maximum pour ne pas se laisser aller". Cependant, cela se révèle être une véritable épreuve au quotidien pour ce passionné de sport. "C’est dur de garder le moral quand on ne peut pas marcher", partage-t-il avec une certaine émotion. Heureusement, l’ancien animateur peut compter sur ses petits-enfants. Un soutien de taille qui "l’aide beaucoup". Bien qu’il ait quitté les plateaux d’émission, Henri Sannier reste un homme engagé et actif. Actuel maire d’Eaucourt-sur-Somme, une commune des Hauts-de-France, l’homme de 71 ans continue d’assurer "ses permanences" et ses "conseils municipaux". Des occupations qui lui permettent alors de se changer les idées et de garder le cap sur l’avenir.

    Henri Sannier : son état de santé s’améliore

    S’il réussit à trouver un semblant d’autonomie grâce à un fauteuil électrique qui lui permet de se balader, Henri Sannier est prêt à tout pour pouvoir de nouveau remarcher. L’ancien journaliste poursuit actuellement sa rééducation dans le grand centre de Berck, entouré d’un "personnel super sympa"Force de courage et de ténacité, ce passionné de cyclisme a déjà fait de beaux progrès. "Cela commence à porter ses fruits, dit-il avec fierté. J’arrive à me mettre debout et à tenir tout seul même si je ne marche pas encore". Et une petite victoire en amenant une plus grande, Henri Sannier est capable de tenir un verre à la main, "ce qui est important pour boire l’apéro", partage-t-il au journaliste avec humour.

    Conscient des effets positifs de sa rééducation, l’ancien présentateur de l’émission Tout le sport ne se fixe pas de date précise pour retrouver toute sa mobilité. Doucement mais sûrement, Henri Sannier garde l’espoir de pouvoir remarcher dans quelques mois. Un véritable compétiteur dans l’âme !

    GALA


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  • C'est une scène d'une rare intensité qu'une équipe de vidéastes a eu le privilège de filmer il y a quelques semaines en Finlande.

    Le 1er juillet dernier, Samuli Kiiveri, Olli Pietilä et Tuomas Manninen visitaient le Boreal Wildlife Centre, situé à Kuhmo, dans l'est du pays, lorsqu'ils sont tombés sur deux ours visiblement de mauvaise humeur, qui se sont lancés dans un affrontement aussi violent qu'impressionnant à seulement quelques mètres de leurs objectifs.

    "Une expérience qui a laissé toute l'équipe de tournage sans voix"

    Comme vous pouvez le voir en bas de l'article, les trois acolytes avaient disposé plusieurs caméras dans le secteur, ce qui a permis de filmer l'affrontement sous différents angles. Les deux ours "avaient à peu près la même taille et ils ont commencé à rugir très fort l'un contre l'autre, et quelques instants plus tard, ils se sont livrés à une bagarre féroce", témoigne l'équipe auprès du site Petapixel.

     

    "Selon les experts, ils ne se battraient pas si brutalement uniquement pour la nourriture. Il s'agit de la domination de la région, car les femelles préfèrent les mâles plus forts", poursuivent-ils. "Toute la scène, à commencer par les rugissements extrêmement forts suivis d'un grand combat, a été une expérience qui a laissé toute l'équipe de tournage sans voix et même confuse pendant un certain temps", déclare de son coté Samulin Matkassa, qui a posté la scène sur son compte Youtube.

    Un spectacle très rare

    Après avoir capturé ces images, les vidéastes ont appris des habitants du secteur qu'il n'y a eu qu'un seul combat d'ours d'une telle ampleur rapporté dans la zone au cours de la dernière décennie et demie. "Vraiment une expérience unique dans une vie", conclut Samulin Matkassa.

    Gent Side


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  • Pyrénées : Un berger chargé par un ours qui venait d’attaquer son troupeau

    Les faits se seraient déroulés sur les hauteurs de Saint-Lary, dans la nuit de mardi à mercredi

    Le berger « a eu la peur de sa vie, il s’est cru mort » raconte Lisa, une bergère de sa connaissance. Un ours a poursuivi un berger décrit comme expérimenté, après avoir attaqué ses bêtes sur les hauteurs du village de Saint-Lary, en Ariège, a affirmé vendredi le maire de la commune, Gérard Dubuc, qui a porté plainte.

    Pour lui, c’est la première fois qu’un berger est attaqué par un ours, depuis que le programme de réintroduction de l’ours brun a été engagé dans les années 1990. Les faits se seraient produits vers 1h dans la nuit de mardi à mercredi, près de la cabane de montagne de ce berger d’une soixantaine d’années, sur l’estive de l’Estremaille, à 2.000 mètres d’altitude, dans les Pyrénées.

    « Heureusement il a eu le temps de rentrer et de refermer la porte »

    « Le troupeau était regroupé à peu près à 50 mètres de la cabane (…) Le berger a entendu du bruit et des mouvements près de la cabane. Il est sorti pour voir ce qu’il se passait », raconte Gérard Dubuc. « L’ours a laissé les brebis qu’il poursuivait et a chargé en direction du berger. Heureusement pas très loin de la cabane, il a eu le temps de rentrer et de refermer la porte », détaille-t-il, affirmant que l’ours était « en furie, en pleine prédation ».

     

    « C’est le quotidien des bergers aujourd’hui. La situation est catastrophique. Il faut que l’Etat prenne des décisions drastiques », a réagi Alain Servat, président de la Fédération pastorale de l’Ariège (FPA). Les opposants à l’ours réclament l’abattage des ours agressifs.

    55 brebis retrouvées mortes cette semaine

    L’ours des Pyrénées étant menacé d’extinction, la France a engagé dans les années 1990 un programme de réintroduction d’ours venant de Slovénie. La plupart vivent dans la partie centrale du massif, notamment en Ariège.

    Selon l’Association pour la sauvegarde du patrimoine d’Ariège-Pyrénées (ASPAP), 55 brebis ont été retrouvées mortes cette semaine dans une estive, à la suite d’un dérochement, le terme employé par les éleveurs pour décrire des chutes mortelles de brebis depuis une falaise, sous la menace d’un ours.

    Trois ours tués illégalement en 2020

    En avril, environ 250 éleveurs des Hautes-Pyrénées ont manifesté dans le village d’Arreau, après trois attaques d’ours contre des troupeaux en l’espace de dix jours. La préfecture des Hautes-Pyrénées avait alors déclenché le protocole « ours à problèmes », qui autorise les tirs de balles en plastique dans l’arrière-train de l’animal, suivi de détonations, afin de l’effrayer.

    En 2020, trois ours ont été tués illégalement dans les Pyrénées, deux en Espagne et un en France. Les associations pro-ours réclament de leur côté le remplacement de ces trois ours et de nouveaux lâchers, pour assurer la pérennité de la présence de l’espèce dans les montagnes pyrénéennes. Il y en a environ une soixantaine dans le massif.

    20 Minutes


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  • Dix secondes après la chute de l’homme en fauteuil roulant, le passage d’une rame a été annoncé

    Il s’en est fallu de peu. Mercredi, un drame a été évité de justesse dans le métro de New York, aux Etats Unis. Peu après 13 heures, un homme en fauteuil roulant est tombé sur la voie à la station d’Union Square, au cœur de Manhattan, rapportent The New York Post et la chaîne de télévision CBS. Les circonstances de cette chute n’ont pas été déterminées.

    Mais rapidement, les autres voyageurs présents sur le quai ont été pris de panique. Et il y avait de quoi, car dix secondes après la chute de l’homme âgé d’une trentaine d’années, le passage d’une rame a été annoncé. C’est alors qu’est intervenu un bon samaritain, un homme vêtu d’un tee-shirt noir et d’un jean qui se trouvait sur le quai lors de l’incident, racontent les médias américains.

    « Il n’a pas hésité une seconde à sauter sur la voie »

    Ce dernier a agi très rapidement. Le sauveteur a eu le bon réflexe de sauter sur la voie, jeter le fauteuil roulant sur le quai et d’attraper la victime. Il a également reçu l’aide des autres passagers, qui ont tiré les deux hommes pour qu’ils puissent remonter au plus vite sur le quai et qu’ils soient ainsi mis hors de danger.

     

    La scène du sauvetage héroïque a été filmée par Lauren Mennen, une journaliste de CBS qui était présente sur le quai par hasard ce jour-là. Lors de son témoignage, celle-ci a expliqué qu’elle avait été très impressionnée par le courage du bon samaritain. « Il n’a pas hésité une seconde à sauter sur la voie », a-t-elle déclaré.

    Elle a également qualifié de « héros » tous les autres passagers qui sont intervenus afin de mettre le sauveteur et la victime en sécurité rapidement. Pour l’heure, l’identité du bon samaritain n’a pas été dévoilée. L’homme qui a chuté sur la voie a été blessé et a été transporté à l’hôpital « dans un état stable » pour être soigné. S’il a été très choqué, son pronostic vital n’est pas engagé.

    20 Minutes


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  • Plus de dix roquettes ont été tirées ce vendredi 6 août depuis le sud du Liban en direction d’Israël, a indiqué l’armée israélienne. Le Hezbollah a revendiqué ces tirs, Israël a riposté.

    Le Hezbollah libanais a tiré plus de dix roquettes sur Israël ce vendredi 6 août, provoquant des tirs de représailles, une escalade majeure entre l’État hébreu et le mouvement chiite soutenu par l’Iran.

    L’escalade a débuté après le tir d’une dizaine de roquettes, revendiqué par le Hezbollah, sur des territoires dans la région disputée du plateau du Golan occupé par Israël depuis 1967, au lendemain de frappes aériennes israéliennes sur le sud du Liban.

    En réponse aux raids aériens israéliens, la Résistance islamique a bombardé avec des dizaines de roquettes un territoire près des positions des forces d’occupation israéliennes dans la région des fermes de Chebaa​, appellation libanaise de ce secteur, a déclaré le Hezbollah dans un communiqué.

    Plusieurs explosions

    Un correspondant de l’AFP dans le sud du Liban a déclaré avoir entendu plusieurs explosions et vu de la fumée s’élever de la zone contestée des fermes de Chebaa.

    Peu de temps après la revendication faite par le Hezbollah, l’armée israélienne a déclaré avoir mené des frappes de représailles contre le Liban pour la deuxième journée consécutive.

    L’armée israélienne est en train de frapper les sources de lancement (des roquettes) au Liban, a indiqué un communiqué de l’armée.

    Jeudi, l’aviation israélienne avait revendiqué ses premiers raids aériens depuis des années au Liban, affirmant avoir visé des sites de lancement de roquettes après des tirs depuis le sud du Liban vers le nord d’Israël, n’ayant pas été revendiqués.

    Une escalade « très dangereuse »

    La Force intérimaire des Nations Unies au Liban (Finul) a estimé vendredi que cette escalade était très dangereuse ​et a appelé à un cessez-le-feu immédiat.

    C’est une situation très dangereuse, avec des actes d’escalade observés des deux côtés au cours des deux derniers jours, a averti la Finul dans un communiqué.

    Le commandant de la mission onusienne, le général Stefano Del Col, a affirmé être en contact avec les parties concernées, les appelant à cesser immédiatement le feu.

    L’aviation israélienne bombarde régulièrement des positions présumées du Hamas palestinien dans la bande de Gaza et mène aussi des frappes en Syrie voisine, où elle cible des positions de forces pro-iraniennes.

    Mais ses dernières frappes aériennes connues au Liban remontent à 2014, avait confirmé jeudi à l’AFP l’armée israélienne.

    Ouest-France


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  • Les enfants venaient de rentrer de l’école et s’étaient introduits dans une forêt pour y chercher les animaux perdus

    Trois enfants ont été tués lundi par des lions près de la réserve naturelle du Ngorongoro, en Tanzanie, alors qu’ils essayaient de retrouver du bétail perdu. Âgés de 9 à 11 ans, ces enfants venaient de rentrer de l’école et s’étaient avancés dans une forêt pour y chercher les animaux, a déclaré Justine Masejo, le chef de la police d’Arusha. « C’est là que les lions ont attaqué et tué trois enfants, en blessant un (autre) », a-t-il ajouté.

    Des problèmes fréquents

    Situé au nord du pays, le Ngorongoro, un cratère mondialement connu pour ses paysages et sa faune sauvage, est classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Le chef de la police a appelé les communautés environnantes à « prendre leurs précautions contre les bêtes féroces, particulièrement quand elles demandent à leurs enfants de s’occuper du bétail ».

    La Tanzanie autorise les éleveurs à vivre dans les parcs nationaux et à faire paître leur bétail aux côtés de la faune sauvage. Mais les conflits entre humains et animaux, comme avec les lions et les éléphants, sont fréquents, ces derniers attaquant parfois les habitants, le bétail ou bien détruisant les cultures. L’année dernière, la Tanzanie a extrait 36 lions du parc national du Serengeti, proche du Ngorongoro, après des attaques.

    20 Minutes


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