• Les enfants venaient de rentrer de l’école et s’étaient introduits dans une forêt pour y chercher les animaux perdus

    Trois enfants ont été tués lundi par des lions près de la réserve naturelle du Ngorongoro, en Tanzanie, alors qu’ils essayaient de retrouver du bétail perdu. Âgés de 9 à 11 ans, ces enfants venaient de rentrer de l’école et s’étaient avancés dans une forêt pour y chercher les animaux, a déclaré Justine Masejo, le chef de la police d’Arusha. « C’est là que les lions ont attaqué et tué trois enfants, en blessant un (autre) », a-t-il ajouté.

    Des problèmes fréquents

    Situé au nord du pays, le Ngorongoro, un cratère mondialement connu pour ses paysages et sa faune sauvage, est classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Le chef de la police a appelé les communautés environnantes à « prendre leurs précautions contre les bêtes féroces, particulièrement quand elles demandent à leurs enfants de s’occuper du bétail ».

    La Tanzanie autorise les éleveurs à vivre dans les parcs nationaux et à faire paître leur bétail aux côtés de la faune sauvage. Mais les conflits entre humains et animaux, comme avec les lions et les éléphants, sont fréquents, ces derniers attaquant parfois les habitants, le bétail ou bien détruisant les cultures. L’année dernière, la Tanzanie a extrait 36 lions du parc national du Serengeti, proche du Ngorongoro, après des attaques.

    20 Minutes


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  • Un policier de 51 ans a mis fin à ses jours en fin de semaine dernière dans la Drôme. Il avait disparu depuis une dizaine de jours.

    Son corps sans vie a été découvert en lisière de forêt à Divajeu (Drôme), ce vendredi. Un policier de 51 ans affecté à Carpentras (Vaucluse) s’est donné la mort en utilisant son arme de service. Marié et père de deux enfants, le défunt avait disparu depuis une dizaine de jours et était recherché. Les circonstances de son geste fatal ne sont pas connues. Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie de Crest.

    Il s’agirait du 21ème suicide d’un policier national depuis le début de l’année. Un triste bilan auquel il faut ajouter le décès d’un élève policier adjoint qui s’est donné la mort le 19 juillet dernier. Quelques jours plus tôt, un policier de 56 ans qui travaillait au commissariat de Verdun (Meuse) s’est ôté la vie.

    Le ministère de l’Intérieur a mis en place deux dispositifs pour lutter contre ces tragédies qui touchent durement les policiers. Une ligne d’écoute est disponible pour les fonctionnaires victimes d’agressions ou de menaces au 0800 95 00 17, tous les jours, de 5 heures à 23 heures ; et une cellule de soutien psychologique est aussi ouverte 24h/24 au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    De plus, trois associations luttent également contre ces drames à répétition : SOS Policiers en Détresse (PEPS-SOS), Assopol, et Alerte police en souffrance (APS).

    ACTU 17


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  • Le corps sans vie d’une femme de 88 ans a été retrouvé à Astaillac en Corrèze le samedi 24 juillet dernier. Cette dernière est morte par noyade. Son fils unique de 59 ans est passé aux aveux, il a été mis en examen et placé en détention provisoire.

    Elle était partie voir son fils en Corrèze mais n’est jamais revenue. Suzanne Sirvent, 88 ans, une habitante du village de Mondavezan en Haute-Garonne, a été retrouvée sans vie à Astaillac (Dordogne) où elle se trouvait avec son fils de 59 ans rapporte La Dépêche. L’octogénaire qui était une correspondante du quotidien régional, est morte par noyade.

    Les gendarmes ont d’abord privilégié la piste accidentelle mais c’est la piste criminelle qui s’est imposée. Le fils de la défunte a été placé en garde à vue puis a reconnu les faits. Il a ensuite été mis en examen pour « meurtre sur ascendant » et écroué. Un juge d’instruction a été nommé et les gendarmes de la section de recherches (SR) de Limoges sont chargés de mener la suite des investigations.

    Car malgré les aveux du quinquagénaire, il est nécessaire de « vérifier les faits » a rappelé le procureur de la République de Limoges, Baptiste Porcher. Le suspect, dont les motivations ne sont pas connues, risque la réclusion criminelle à perpétuité.

    ACTU 17


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  • Trois accidents mortels sont survenus en Nouvelle Aquitaine jeudi 5 août dans la soirée. Un cycliste de 75 ans, un motard de 46 ans et un jeune homme de 19 ans sont décédés.

    Un accident s’est déroulé dans la nuit de jeudi 5 à ce vendredi 6 août à Saint-Julien-en-Born (Landes). Comme le relate Sud Ouest, un cycliste âgé de 75 ans a été percuté par une voiture peu avant minuit. La victime a été déclarée décédée à l’arrivée des secours sur les lieux de l’accident. Choqué, le conducteur de la voiture a été pris en charge par une équipe médicale.

    Les circonstances de la collision n’ont pas encore été déterminées. Une enquête a été ouverte et des dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants ont été réalisés. Selon les premiers éléments, le deux-roues aurait présenté un défaut d’éclairage, écrivent nos confrères.

    Deux autres accidents mortels

    Deux autres accidents ont eu lieu le même soir sur les routes de Nouvelle Aquitaine. Aux alentours de 18 h, un motard âgé de 46 est décédé après une perte de contrôle sur une route mouillée, à Saint-Sulpice-de-Roumagnac (Dordogne), rapporte France Bleu Périgord. À l’arrivée des secours, le motard était en arrêt cardio-respiratoire et n’a pas pu être réanimé.

    En outre, un jeune homme de 19 ans est décédé après un accident de moto à Canéjan (Gironde). Son deux-roues a percuté un grillage, indique France Bleu Gironde. Son passager, également âgé de 19 ans, a été gravement blessé et son pronostic vital était engagé ce vendredi matin. Il a été hospitalisé au CHU de Bordeaux Pellegrin.

    Ouest-France


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  • Un père de famille de 57 ans domicilié à Hendaye (Pyrénées-Atlantiques) a été mis en examen et placé en détention provisoire. Il a reconnu avoir violé sa fille durant plusieurs années alors qu’elle était âgée de six ans au moment des premières agressions.

    C’est une sordide affaire qui a été mis au jour grâce aux déclarations de la victime, à l’école. Cette petite fille a confié qu’elle avait été violée durant plusieurs années par son père raconte France Bleu. Les enseignants ont pris son témoignage au sérieux et ont alerté la police. Une enquête a alors été ouverte.

    Placé en garde à vue puis déféré devant un juge d’instruction, le père de famille de 57 ans est passé aux aveux. Les faits remontent à la période entre 2012 et 2017.

    Son épouse affirme n’avoir rien remarqué

    L’homme a été mis en examen et a été écroué en février dernier. Le quinquagénaire est actuellement incarcéré à la maison d’arrêt de Bayonne. Interrogée, son épouse qui travaille dans un hôpital a déclaré qu’elle n’avait jamais rien remarqué.

    Le mis en cause, qui est intermittent du spectacle, est connu pour avoir joué des petits rôles dans des séries télévisées françaises.

    ACTU 17


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  • Une jeune femme d’une vingtaine d’années a tenté de mettre fin à ses jours ce jeudi à la gare de Genlis en Côte-d’Or, en s’asseyant sur les voies. Le conducteur du train n’a pas pu l’éviter.

    Les gendarmes ont confirmé qu’il s’agissait d’une tentative de suicide. Une jeune femme d’une vingtaine d’années a été prise en charge par les secours ce jeudi en fin de matinée, en gare de Genlis rapporte Le Bien Public. Consciente, elle avait les deux jambes en partie sectionnées. Cette dernière a été conduite au centre hospitalier universitaire (CHU) de Dijon.

    La victime était assise sur les voies, et malgré le freinage d’urgence du train qui reliait Besançon à Dijon, le drame n’a pu être évité.

    Les passagers du train ont quant à eux dû être évacués par bus. Les gendarmes ont procédé à des constatations sur place et le trafic a été rétabli quelques heures plus tard.

    ACTU 17


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  • L’homme très grièvement blessé ce mercredi soir par le tir d’un policier lors d’un contrôle routier à Marseille est décédé des suites de ses blessures, a-t-on appris ce jeudi.

    Le contrôle routier de mercredi aurait fait suite à un premier refus d’obtempérer mardi soir, lors duquel un policier avait été légèrement heurté par le véhicule, selon une source policière citée par l’AFP. Puis, mercredi soir, la voiture aurait été repérée en stationnement, et l’agent aurait confirmé qu’il s’agissait bien de la même qui l’avait touché la veille.

    Arrêt cardio-respiratoire

    Les fonctionnaires se sont donc approchés du véhicule pour le contrôler, mais le conducteur a fait machine arrière et percuté un policier. Alors qu’il faisait une nouvelle manœuvre pour repartir, un gardien de la paix a fait usage de son arme au niveau de la portière et atteint le chauffeur, toujours selon cette source policière.

    Les marins-pompiers sont intervenus auprès du conducteur en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée, dans le IIIe arrondissement de Marseille, dans le quartier de La Belle de Mai.

    Deux enquêtes ont été ouvertes : l’une pour «tentative d’homicide» confiée à la police judiciaire et la seconde pour l’usage de l’arme à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).

    Libération


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  • Le véhicule de cet homme de 36 ans était arrêté mardi soir entre la deuxième et la troisième voie de circulation

    Il a créé un gros bouchon sur le périph toulousain. Un automobiliste de 36 ans s’est tout bonnement… endormi au volant de son véhicule, alors qu’il circulait sur le périphérique de Toulouse, mardi soir vers 23 heures, rapporte La Dépêche du Midi.

    C’est un équipage de police de Colomiers qui l’a surpris, alors que le véhicule était arrêté entre la deuxième et la troisième voie de circulation, au niveau de la sortie vers Auch. Arrivés à hauteur de la voiture, les policiers ont trouvé le plafonnier allumé et un homme inconscient. Des bouteilles d’alcool se trouvaient près de lui.

    1,66 g d’alcool par litre de sang

    Quand ils ont ouvert la porte, l'homme s'est réveillé. Un contrôle d'alcoolémie a révélé la présence d'1,66 g d’alcool par litre de sang, soit plus de trois fois la limite autorisée. 

    Malgré ses protestations, il a été conduit au commissariat central de Toulouse où il a été placé en garde à vue. Loin de s'en tenir là, cet homme connu des services de police a ensuite dégradé la caméra de vidéo-surveillance de sa cellule, dans la nuit de mardi à mercredi.

    20 Minutes


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  • Un chien sauvé de la noyade à…800 mètres des côtes corses

    Les sauveteurs de la société nationale de sauvetage en mer (SNSM) de Propriano (Corse) ont sauvé un Border Collie qui se trouvait au milieu de la Méditerranée.

     Sauvetage improbable en mer Méditerranée. Les sauveteurs de la société nationale de sauvetage en mer (SNSM) de Propriano (Corse) ont sauvé ce week-end un chien qui se trouvait au milieu de l’eau à…800 mètres des côtes corses. Ce sont des témoins à bord d’un navire qui ont alerté les sauveteurs, arrivés rapidement près de l'animal. «Nous ne pouvions pas arrêter le bateau, car la décélération produit une vague qui aurait risqué de submerger la victime, a expliqué à l'association 30 Millions d’Amis Laurence Flament, sauveteuse en mer. Les plongeurs ont donc sauté du bateau en marche. Dès que le chien les a vus, il s’est mis sur le dos pour se laisser prendre».

    Remonté à bord, le Border Collie a été mis sous oxygène le temps de retourner sur la terre ferme afin d’être placé dans une clinique vétérinaire. Mais alors que l’équipe et le chien ont débarqué, quelqu’un a lancé sur le quai : «Je le connais, ce chien !». L’animal faisait l’objet d’une annonce «chien perdu» sur Pet Alert. L’équipe a alors consulté ladite annonce et a constaté que l’animal correspondait au descriptif de celle-ci.

    Joint par téléphone, le maître s’est mis à pleurer au bout du fil. Lorsqu’il est arrivé sur le quai, il a crié : «Max !» et le chien s’est levé d’un coup !». «Max a quand même été emmené chez le vétérinaire pour vérifier son état, mais il a pu sortir de suite et retourner chez lui», a précisé Laurence Flament. Nul ne sait de quelle manière le Border Collie s’est retrouvé dans cette situation périlleuse, l’évènement aurait pu virer au drame. «Si nous étions arrivés 5 ou 10 minutes plus tard, il aurait coulé», a confié la jeune femme.

    Paris Match


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  • Des centaines de personnes sont tuées chaque année par la foudre au Bangladesh

    La foudre a causé la mort de seize personnes mercredi lors d’une fête de mariage au Bangladesh, ont indiqué les autorités.

    Les faits sont survenus dans la ville de Shibganj, dans le district occidental de Chapainawabganj située non loin de la frontière avec l’Inde. Les invités venaient de descendre d’un bateau, pour se mettre à l’abri de l’orage lorsque la foudre a frappé, a indiqué à l’AFP l’administrateur gouvernemental de la ville.

    Des foudres particulièrement meurtrières au Bangladesh

    Selon Sakib Al-Rabby, seize personnes sont décédées après avoir été frappées à quelques secondes d’intervalle par la foudre La mariée ne faisait pas partie du groupe mais le marié a été blessé.

    De violents orages de mousson ont récemment frappé le Bangladesh et une semaine de pluies torrentielles dans le district de Cox’s Bazar, dans le sud-est du pays, a fait une vingtaine de morts, parmi lesquels six réfugiés Rohingyas.

    Des centaines de personnes sont tuées chaque année par la foudre au Bangladesh. Selon un bilan officiel, en 2016, la foudre a fait plus de 200 morts, dont 82 en une seule journée de mai, mais la plupart des victimes ne sont jamais officiellement enregistrées. Un organisme indépendant a estimé que, cette année-là, 349 personnes ont été mortes foudroyées.

    La déforestation en cause ?

    Selon certains experts, la déforestation est à l’origine d’un nombre croissant de décès. Pour tenter de limiter les conséquences du changement climatique et le nombre de décès liés à la foudre, ce pays d’Asie du Sud a planté des centaines de milliers de palmiers.

    20 Minutes


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  • "La nuit était un enfer": devant son entrepôt brûlé, au milieu des pins calcinés, Christos Sfetsas déplore "les dégâts énormes" dans son village aux portes d'Athènes, en proie aux flammes depuis mardi.

    Des carcasses de maisons calcinées, des villages désertés, le ciel d'Athènes obscurci par les fumées âcres: le sinistre, en passe d'être maîtrisé mercredi, a pris mardi après-midi dans une pinède au pied du mont Parnès, l'une des trois collines qui encadrent la capitale grecque.

    Comme des centaines d'autres habitants, Christos Sfetsas a quitté sa maison de Varympompi mardi après-midi après l'ordre d'évacuation, alors que le feu se propageait sur quatre fronts et devenait incontrôlable.

    "Les dégâts matériels sont énormes, sans parler de la forêt", constate le septuagénaire, en découvrant "le désastre" à son retour mercredi à l'aube. "Les flammes ont frôlé notre maison mais heureusement elle n'a pas subi de dommages".

    A 30 km au nord d'Athènes, Varympompi, poumon de la capitale, est une escapade fréquente des Athéniens.

    "Jadis un paradis", Varympompi est maintenant devenu "un lieu rasé" par les flammes, se lamente M. Sfetsas. Le feu s'est propagé très vite, "en une demi-heure, c'était le désastre".

    Désormais, tavernes, entreprises et habitations ne sont plus que des squelettes carbonisés d'où s'échappe encore de la fumée. Cà et là, des voitures calcinées et des pins brûlés. La place centrale ressemble à un village fantôme vidé de ses habitants, a constaté un vidéaste de l'AFP tôt mercredi matin.

    Plus de 300 personnes avaient été évacuées mardi soir de Varympompi et de deux autres villages voisins et la police dit avoir aidé 70 personnes de localités entourées par les flammes.

    L'incendie n'a pas fait de victime mais selon les premières estimations, près de 80 maisons et une trentaine d'entreprises ont été sérieusement endommagées.

    Hélicoptères et avions bombardiers d'eau survolaient mercredi matin la région, où l'un des quatre fronts restait toujours actif, mais la situation était "meilleure", selon le ministre adjoint de la Protection civile Nikos Hardalias.

    "Catastrophe écologique"

    "Ma maison a échappé au pire, Dieu nous a sauvés, mais les maisons avoisinantes ont été brûlées", a déclaré à l'AFP Giorgos Mitropoulos, un étudiant qui vient en aide aux voisins et aux pompiers.

    Il déplore "la catastrophe écologique" au pied du mont Parnès, inscrit sur Natura, le réseau européen de protection de la nature, et qui avait déjà subi des ravages lors d'un incendie important en 2007.

    "Heureusement, de nombreux volontaires ont sauvé les animaux, les chevaux, les chiens et les chats", se félicite l'étudiant.

    Près de 200 chevaux qui se trouvaient dans les centres équestres du secteur ont été déplacés sains et saufs, selon la confédération grecque d'équitation.

    Les autorités ont fait face à un "feu difficile", en raison des "conditions caniculaires extrêmes", a expliqué le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, venu sur les lieux mercredi matin.

    Mais Christos Sfetsas impute la responsabilité aux autorités forestières et au "manque de mesures de prévention, comme la mise en place de routes de protection des forêts contre les incendies".

    Mercredi dès l'aube, des fumées grises et une odeur âcre s'étaient répandues sur tout le bassin athénien qui compte près de quatre millions d'habitants, plus d'un tiers de la population du pays.

    Si de nombreux Athéniens étaient en vacances en ce début août, les autorités ont recommandé à tous de rester le plus possible à l'intérieur ou de porter un masque pour se protéger des cendres et des particules des fumées.

    La FranceChypre, les Pays-Bas, la Slovénie et la République tchèque vont envoyer des renforts aériens et terrestres, selon l'agence de presse grecque ANA, pour assister les soldats du feu qui espèrent maîtriser le feu dans "les prochaines heures".

    En raison des températures dépassant les 40 degrés sur Athènes et la Grèce, "le risque d'incendie reste très élevé", a précisé M. Hardalias, selon lequel 40 feux étaient en cours mercredi.

    Trois d'entre eux ravageaient une forêt de l'île touristique de Rhodes (sud-est) depuis dimanche, le sud du Péloponnèse où trois villages ont été évacués, et l'île d'Eubée, où huit villages ont été également évacués.

    Le Point


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  • Une Espagnole de 79 ans a été arrêtée à Vila Real, dans le nord du Portugal, aux côtés de deux autres Espagnols âgés de 26 et 60 ans, dans le cadre d'une opération menée par les forces de l'ordre espagnoles et portugaises.

    Une Espagnole de 79 ans, soupçonnée d'être à la tête d'un groupe de narcotrafiquants, a été arrêtée au Portugal, ont annoncé mardi les autorités espagnoles. Selon la Garde civile espagnole, cette femme, qui a largement passé l'âge d'être à la retraite, était la patronne d'un groupe qui importait de la cocaïne depuis la République dominicaine vers le Portugal.

    Elle a été arrêtée à Vila Real, dans le nord du Portugal, aux côtés de deux autres Espagnols âgés de 26 et 60 ans, dans le cadre d'une opération menée par les forces de l'ordre espagnoles et portugaises. "Ils introduisaient la cocaïne dans la péninsule (ibérique) via des ports portugais en utilisant une société légale créée pour importer du corail de République dominicaine", a expliqué la Garde civile dans son communiqué.

    La femme de 79 ans était la chef du groupe ainsi que la gérante et la propriétaire de la société-écran", a détaillé la Garde civile.

    Grossiste pour d'autres trafiquants

    Les enquêteurs ont arrêté ces trois personnes après avoir découvert de la cocaïne dissimulée dans l'entreprise et dans leur domicile au Portugal. Ce groupe faisait office de grossiste pour d'autres trafiquants qui écoulaient ensuite la cocaïne notamment dans le sud de l'Espagne.

    La péninsule ibérique est l'une des principales porte d'entrée de la cocaïne en Europe pour les narcotrafiquants qui utilisent des procédés parfois dignes de films d'espionnage. Un sous-marin parti d'Amérique latine et convoyant 100 millions d'euros de cocaïne avait ainsi été intercepté dans la région espagnole de Galice (nord-ouest), proche du Portugal, en novembre 2020.

    Paris Match


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