• Thal-Marmoutier (67) : un couvent franciscain devenu la « Rolls » des structures d’accueil pour migrants

    Depuis l’hiver 2017, le couvent franciscain de Thal-Marmoutier, en Alsace, ouvre une partie de ses bâtiments à des réfugiés originaires d’Afrique subsaharienne, qui arrivent par groupe de 50, trois fois par an. Encadrés et accompagnés par une association et par des agents du service public, ces réfugiés se préparent à leur intégration à la société française, sans subir les lourdeurs administratives dont souffrent souvent les nouveaux arrivants. […]

     

    « Ce sont des Thalois, maintenant. Ils vivent et travaillent ici. Certains n’apprécient pas qu’ils soient là. Je le sais. Ce sont les premiers Noirs du coin », plaisante-t-il. « Mais ce sont des Thalois. Et ceux qui vous diront le contraire sont juste des c***« .

    […] Personne ne semble prêter attention aux reliquats catholiques encore présents ici et là. La salle de télé est toujours nommée « Béthléem », et la salle d’éducation civique « Nazareth ». Tout le monde semble également se moquer qu’un immense Christ en Croix surplombe les tables de cours, dans la salle de classe du rez-de-chaussée qui servait autrefois de chapelle.

    Le décor est d’autant plus cocasse que la quasi-totalité des 55 réfugiés est de confession musulmane. « Étudier dans une chapelle ? Ça ne me dérange pas. Je suis là pour apprendre le français, pas une nouvelle religion« , sourit Abdelkarim, un jeune Somalien de 24 ans dont une partie de la famille a été massacrée par les islamistes Shebab. « C’est vrai qu’enseigner le principe de laïcité à des musulmans dans une chapelle, c’est drôle« , renchérit une bénévole. La cohabitation avec sept religieuses franciscaines dévouées à Saint François d’Assise ne semble pas non plus perturber les nouveaux locataires des lieux, bien au contraire.

    FDSOUCHE

    Lamentable !


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  • L'ex-président tunisien Ben Ali enterré dans l’indifférence à Médine

    Les funérailles de l'ancien président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali ont eu lieu samedi à Médine en Arabie saoudite. Passé sous silence par les médias saoudiens, son enterrement n'a pas non plus fait la Une en Tunisie.

    Le président tunisien déchu Zine el-Abidine Ben Ali a été enterré samedi 21 septembre dans la ville sainte musulmane de Médine dans l'ouest de l'Arabie saoudite.

    L'ancien chef de l'État, qui est mort à Jeddah, au sud de Médine jeudi 19 septembre, a été inhumé dans le cimetière d'Al-Baqi, près du mausolée du prophète Mahomet, après la prière de l'après-midi.

    Recouverte d'un linceul vert, la dépouille de l'ex-président a été transportée vers sa dernière demeure par un cortège de plusieurs hommes. Vêtus de blanc, ils ont traversé une esplanade marbrée, à l'ombre du dôme vert de la grande mosquée du prophète, avant de pénétrer dans le cimetière.

    Son enterrement à Médine avait été annoncé auparavant par un de ses gendres sur Instagram. "Aujourd'hui, les funérailles du président Zine el-Abidine Ben Ali auront lieu après la prière de l'après-midi à Médine et il sera enterré dans les lieux saints, près du tombeau du Prophète" Mahomet, avait indiqué le rappeur K2Rhym, de son vrai nom Karim Gharbi.

    Indifférence des médias tunisiens

    Une partie de la famille de Ben Ali recevra par ailleurs des condoléances dimanche à Sidi Bou Saïd, banlieue huppée de Tunis, selon une annonce publiée dans le quotidien francophone tunisien La Presse.

    Chassé par la rue le 14 janvier 2011 après avoir installé un régime policier en Tunisie deux décennies durant, Ben Ali est décédé jeudi en exil.

    Son décès a été passé sous silence par les médias saoudiens.

    Il n'a pas fait la Une de l'actualité ni des conversations en Tunisie non plus, alors que le pays s'apprête à élire ses députés le 6 octobre, puis à choisir un président entre deux outsiders, un homme d'affaires emprisonné et un universitaire prônant une décentralisation radicale.

    France 24


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  • "Celui qui ne tabasse pas sa femme n’est pas un homme" : une émission de télé marocaine suspendue

    Les propos du très populaire chanteur Adil El Miloudi ont été sanctionnés par la Haute autorité de la communication audiovisuelle.

    "Celui qui ne tabasse pas sa femme n'est pas un homme", a déclaré très populaire chanteur Adil El Miloudi, soulevant des rires complices de l'acteur Sami Naceri et de l'animateur de l'émission Kotbi Tonight sur Chada TV, en juin dernier. Une complaisance qui a valu le 17 septembre 2019 une suspension d'antenne à l'émission et un déferlement de réactions sur les réseaux sociaux.

    L'animateur a beau rappeler en plaisantant que "c'est interdit de frapper sa femme partout dans le monde". Le chanteur persiste.

    «Au Maroc, cela est normal, chacun peut faire ce qu'il veut de sa femme, la frapper, la tuer» - Adil El Miloudi, chanteur, à Kotbi Tonight

    Ces propos "constituent une apologie de la violence à l'égard de la femme, une incitation expresse à cette violence, présentée de manière positive comme un attribut de la virilité, (...) voire même un comportement recommandable pour la consolidation des liens conjugaux", s'indigne le communiqué de la Haute autorité de la Communication audiovisuelle (HACA).

     

     

    "Ton badin"

    Face à ce "discours explicitement violent", l'animateur a adopté "un ton badin" et "laissé toute latitude à l'invité de répéter ses assertions appelant à la violence à l'égard des femmes", poursuit le texte. Aucune mention n'est faite de l'attitude de Samy Naceri, lui aussi très en phase avec le chanteur.

    L'émission Kotbi Tonigh sera donc suspendue pendant trois semaines, selon la HACA. A ce stade, aucune poursuite judiciaire n'a été engagée contre Adil El Miloudi malgré des flots de réactions outrées sur les réseaux sociaux marocains. Les attitudes misogynes et sexistes sont monnaie courante au Maroc et rarement condamnées par les autorités.

     

    Précédent

    Dans ce contexte, la HACA a jugé particulièrement important de transmettre sa décision à "la presse féminine, aux ONG féminines et droits de l'Homme, aux organisations internationales: ONU Femmes, Unesco, etc.", indique le mail accompagnant son communiqué.

    L'an dernier, la HACA avait sanctionné une émission radio de Chada FM, parce qu'un chroniqueur présenté comme un "guérisseur" avait affirmé à l'antenne que "les femmes les plus exposées au cancer de l'utérus sont celles qui ont recours à la prostitution ou à l'adultère".

    La presse marocaine, citant l'Observatoire national de la violence à l'égard des femmes, rappelle que 81 femmes ont été tuées en 2016, victimes de violences conjugales.

    franceinfo


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  • Hélas, c'est vrai !


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  • Migrants: l'Italie autorise l'Ocean Viking à débarquer à Lampedusa

    L'Ocean Viking, qui attendait un port sûr pour débarquer 82 migrants secourus en mer, a été autorisé par l'Italie à accoster sur l'île de Lampedusa, a annoncé samedi SOS Méditerranée qui affrète ce navire humanitaire.

     

    "L'Ocean Viking vient de recevoir l'instruction du Centre de coordination des sauvetages en mer (MRCC) de Rome de se diriger vers Lampedusa (Italie), lieu sûr désigné pour débarquer les 82 survivants secourus lors de deux opérations", a déclaré l'ONG sur Twitter.

    Le feu vert de Rome intervient peu après l'entrée en fonction du nouveau gouvernement de Giuseppe Conte dont est absent Matteo Salvini, le ministre de l'Intérieur sortant qui s'était farouchement opposé au débarquement des navires humanitaires sur les côtes italiennes.

    Selon des précisions à l'AFP du ministère de l'Intérieur français, les 82 migrants qui débarqueront à Lampedusa seront ensuite répartis dans cinq pays européens -- Italie, France, Allemagne, Portugal, Luxembourg -- aux termes d'un accord ad hoc.

    "Il nous faut maintenant nous entendre sur un véritable mécanisme temporaire européen", a appelé sur Twitter le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner !

    L'Ocean Viking, qui a succédé à l'Aquarius et effectuait sa deuxième mission en Méditerranée, naviguait depuis près de deux semaines entre l'Italie et Malte en attente d'un port sûr pour débarquer les migrants à son bord.

    Parmi eux, Médecins sans frontières, qui opère également sur ce navire, a recensé 58 hommes, 6 femmes, 17 mineurs et un enfant de 1 an.

    A l'issue de sa première expédition fin août, l'Ocean Viking avait recueilli 356 migrants, qui ont pu débarquer à Malte. La France s'est engagée à en recueillir 150, soit près de la moitié.

    AFP

    La CSG prise sur les retraités (sur les riches, elle a été supprimée) va servir à bien prendre soin de ces gentils migrants !


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  • Deux femmes imames dirigent la prière pour un islam « progressiste » et « éclairé »

    Sur les tapis de prières, femmes et hommes sont côte à côte sans distinction. Face à eux, dans une salle parisienne, deux femmes imames prononcent le sermon, un moment inédit pour le culte musulman en France.

    « Que la paix, la miséricorde et les bénédictions de Dieu soient sur vous », déclame en arabe puis en français Eva Janadin, l’une des deux imames, bientôt suivie par l’appel à la prière entonné par Anne-Sophie Monsinay.

    La première - jean et chemisier, la seconde en jupe longue noire - sont écoutées par une soixantaine de fidèles, installés sur cinq rangées de tapis bleu, marron, orange accolés les uns aux autres, a constaté l’AFP.

    Voile non obligatoire

    Dans la salle louée pour cette occasion, hommes et femmes sont mélangés. Certaines fidèles portent un voile. D’autres non, notamment les deux imames. Le sermon est en français et les formules arabes systématiquement traduites.

    La prière avait lieu samedi à 13h30, à Paris, dans une salle dont l’adresse est tenue secrète pour des questions de sécurité.

    « Exceptionnellement, ce temps de prières a lieu un samedi car nous n’avons pas pu l’organiser un vendredi pour des raisons logistiques », précise Eva Janadin au « Parisien/Aujourd’hui en France ». « Tous les autres rendez-vous, qui se tiendront une fois par mois dans d’autres lieux, se dérouleront le vendredi soir selon le format traditionnel du culte. »

    Salutations, prosternations, incantations des noms divins, chants... l’assistance suit les mouvements et les voix de ces deux femmes de 29 et 30 ans, converties à l’islam il y a dix ans, qui animent des groupes de discussion sur les réseaux sociaux.

    « Moderne et progressiste »

    Le tout sous l’oeil d’un ami rabbin, d’invités protestants ou encore de l’Américano-malaisienne Ani Zonneveld, présidente de l’association Muslims for Progressive Values, aux Etats-Unis. L’imame de la mosquée de Berlin, ouverte en 2017, Seyran Ates, avocate d’origine turque, est aussi venue encourager ce projet « moderne et progressiste ».

    Le voeu de ces deux enseignantes depuis plusieurs années: traduire par des actes concrets leur vision d’un islam « spirituel », « progressiste » et « éclairé », qui s’inspire, entre autres, du soufisme, une branche mystique de l’islam.

    Toutes deux en sont persuadées :

    « Beaucoup de musulmanes et de musulmans ont un besoin vital d’émancipation et de libération »

    .« Il est possible de faire germer un modèle alternatif pour contrer l’islamisme et le conservatisme », assurent-elles.

    Le public approuve. Même si l’un regrette pourtant un manque d’explication dans le sermon ou une certaine forme d’élitisme.

    « J’ai beaucoup aimé l’ouverture de cette prière », témoigne, à la sortie, Afida, 41 ans. Cette femme qui travaille dans le marketing en région parisienne ajoute :

    « Traditionnellement dans une mosquée, on doit trouver la salle pour les femmes, on sent plein de regards, de jugements. C’est un frein pour moi, je ne me rends pas fréquemment à la mosquée. Là, c’est la première fois que je me suis sentie au bon endroit. »

    Pour Mustapha Chaqri, 35 ans, « cet événement symbolise le retour à l’islam d’origine ». Car selon lui:

    « L’islam ne fait aucune différence entre homme et femme. »

    Mehdi, étudiant algérien vivant en France, raconte que « peu importe » pour lui la mixité de la salle. « Déiste », c’est « la démarche spirituelle qui l’intéresse ».

    Trouver un lieu fixe

    Ludovic-Mohamed Zahed, imam homosexuel, qui avait ouvert et dirigé en 2012 et pendant plusieurs mois un lieu de culte « inclusif » rassemblant dans une même salle « femmes, hommes, homosexuels, hétérosexuels, croyants ou non... », a vu dans la cérémonie la poursuite d’un « grand mouvement ».

    Les deux promotrices du projet disent avoir réuni « plusieurs milliers d’euros » auprès de leurs sympathisants pour pouvoir louer un local parisien, une fois par mois pour la prière du vendredi, et ce, pendant un an. Ce lieu sera amené à changer.

    Leur objectif est maintenant de trouver des mécènes pour avoir un lieu de prière fixe.

    L'OBS


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  • Un homme de 28 ans a été condamné vendredi soir à trois ans d'emprisonnement, dont un avec sursis simple, par le tribunal correctionnel de Chambéry, pour apologie et préparation individuelle à la commission d'un acte de terrorisme.

     

    "Dites bien à tout Chambéry que je n'ai pas peur de la mort, la mort est belle, je l'attends avec impatience." Naïm K., Chambérien jusqu'ici sans casier judiciaire, avait envoyé ce SMS à des contacts, en juin 2018, leur demandant aussi d'effacer son numéro.  "Demain, vous serez fiers de moi. Si quelqu'un cherche après moi, ne dis rien du tout", avait-il ajouté à l'un d'eux.

    "J'étais pas bien", s'est justifié ce jeune homme athlétique depuis le box des prévenus. Comparaissant pour préparation individuelle à la commission d'un acte de terrorisme, apologie publique d'un acte de terrorisme, détention et acquisition d'arme de catégorie B et de munitions, cet éducateur sportif a tenté d'apporter une réponse à chaque élément troublant. Son voyage à Toulouse d'abord, depuis Pau, en direction de Chambéry. Dans la ville rose, en 2017, il s'arrête rue Sergent-Vigné, là ou Mohamed Merah avait été neutralisé en 2012. Il prend une photo, conservée dans son téléphone. Sur Snapchat, il y ajoute deux émoticônes, un cœur et un biceps, ainsi que la mention "Moha, que Dieu lui pardonne, les hommes vrais".

    Une fascination pour Mohamed Merah !

    Il raconte à l'audience "à cette époque, je lisais des livres sur cette histoire-là", comme sur d'autres faits divers. Il avait eu "envie d'aller voir". La phrase ajoutée sur la photo ? "De la provocation." Sur Facebook, un temps, il utilise le nom d'Abou Youssouf, le nom de guerre de Merah : "pure coïncidence", affirme-t-il. Le bonnet noir à franges noires et blanches identique à celui du "tueur à scooter" ? Il l'avait acheté "pour rigoler, faire le zouave" . Dans son téléphone, Naïm K. a aussi une photo de Abri Essid, demi-frère de Mohamed Merah. Dans son ordinateur, un article de Libération sur les négociations du Raid avec Merah. Chez lui, sont retrouvés plusieurs livres sur Merah, l'islam, le grand banditisme, ainsi qu'une arme, des munitions et un sabre japonais.

    "C'est cette accumulation de choses qui a fait que vous avez suscité beaucoup d'inquiétudes", résume la présidente du tribunal Aude Favoulet, rappelant que l'enquête avait commencé par l'alerte d'un informateur anonyme.  Lui fait valoir "un trop plein", alors qu'il n'avait plus d'emploi et était en pleine séparation d'avec sa femme. Début 2018, il avait brièvement vu un psychologue, explique son défenseur Me Archibald Celeyron. "Je regrette et condamne les actes de Mohamed Merah, ils n'ont rien à voir avec l'islam (...). Moi, je n'ai jamais eu l'intention de faire du mal à personne", assure Naïm K.

    Le profil du "loup solitaire"

    Il avait d'ailleurs assisté aux obsèques d'Ahmed Merabet, policier tué par les frères Kouachi en janvier 2015, qui était un cousin éloigné de son père. Pour la vice-procureur de Chambéry Mélanie Callec, Naïm K. a le profil du "loup solitaire". "Il est certes inséré, mais extrêmement fragile." Elle a requis cinq ans d'emprisonnement. Le tribunal a par ailleurs condamné l'autre homme, de 32 ans, qui lui avait fourni l'arme, à douze mois d'emprisonnement, dont six mois avec sursis simple.

    Europe 1

    Ah, on donne quand même le prénom !


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  • Quel est ce  mystérieux « Institut des Cultures d’Islam »… financé par la Mairie de Paris ?

    Quel est ce  mystérieux « Institut des Cultures d’Islam »… financé par la Mairie de Paris ?

     

    Le saviez-vous ? La ville de Paris finance un certain « Institut des Cultures d’Islam ». En prétendant que la Loi de 1905 est respectée.

    Rappel des articles RR

    http://resistancerepublicaine.eu/2013/11/28/aujourdhui-delanoe-inaugure-linstitut-des-cultures-dislam-par-jarczyk/

    http://resistancerepublicaine.eu/2011/12/17/udcc-deuxieme-interpellation-de-delanoe-quid-du-financement-de-linstitut-des-cultures-dislam/

    Une salle de prière musulmane financée par le contribuable, cela ne gêne personne ?

    Voici comment l’ « organisme » se présente sur son site :

    https://www.institut-cultures-islam.org/lici-cest/

    L’Institut des Cultures d’Islam est un établissement culturel de la Ville de Paris.

    Ancré dans le quartier populaire de la Goutte d’Or et ouvert sur le monde, il est à la fois un centre d’art contemporain, une scène musicale, un lieu de dialogue et d’apprentissage.

    L’ICI organise toute l’année des expositions, concerts, conférences, cafés littéraires, projections-débats, activités culturelles, cours d’arabe, de wolof, de calligraphie, de chant, de cuisine…

    Un public d’une grande diversité vient y découvrir des artistes, universitaires et spécialistes des cultures d’Islam. L’ICI propose au jeune public une offre dynamique : ateliers artistiques et culturels, spectacles vivants, ciné-goûters et visites sur mesure des expositions pour les enfants, les familles, les écoles et les centres de loisirs.

    Les activités de l’ICI se répartissent sur deux bâtiments, qui comportent chacun des espaces d’exposition et des salles de cours. Le site de la rue Léon dispose également d’un patio, d’une scène à ciel ouvert et d’un restaurant (La Table Ouverte) tandis que l’on trouve un hammam dans celui de la rue Stephenson.

    Une salle de prière, gérée par une association cultuelle, occupe le premier étage de ce bâtiment, dans une configuration inédite et « respectueuse » de la loi de 1905.

    https://ripostelaique.com/institut-cultures-dislam-parisien-inflige-deroute-judiciaire-a-delanoe.html

    https://ripostelaique.com/institut-des-cultures-dislam-hidalgo-definitivement-condamnee.html

    Hidalgo et Delanoë condamnés pour avoir financé un lieu de culte, la salle de prière devant être modifiée etc. ce contribuable parisien est néanmoins obligé de lancer d’autres coûteuses initiatives pour les obliger à appliquer la décision du tribunal…  L’affaire est en cours. La justice n’est pas du côté du pékin moyen…

     

    Exposition de septembre…

    Du 19 septembre 2019 au 09 février 2020, l’Institut des Cultures d’Islam présente “L’œil et la nuit”, exposition curatée par Géraldine Bloch. Les œuvres de dix-huit artistes originaires d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Europe interrogent notre perception du monde de la nuit, entre profane et sacré, réel et imaginaire.

    L’Islam et la nuit

    L’Islam et la nuit cultivent des affinités particulières. De la science des astres à l’élan mystique, de la veille au rêve, du texte sacré aux rituels, des mots à la magie, le monde nocturne habite avec une prégnance remarquable l’imaginaire des cultures d’Islam. La nuit y est une expérience majeure et initiatique : dans le Coran c’est lors d’un voyage nocturne et céleste – l’Isra – que le prophète Mahomet reçoit le message divin ; et au cours de la nuit du doute chaque musulman est invité à observer le hilal, fin croissant de lune dont l’apparition annonce le mois de ramadan

    Résistance Républicaine

    La loi de 1905 est bien bafouée !


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  • "Avec des salles mixtes on revient à l'Islam premier" : à Paris, une première mosquée mixte crée un débat au sein de la communauté musulmane

    C'est une mosquée d'un genre nouveau qui ouvre samedi 7 septembre au soir à Paris. Une salle de prière mixte, où hommes et femmes prient ensemble. Mais l'initiative ne trouve pas forcément grâce aux yeux de tous.

    "De ce côté ce sont les femmes, et là bas c'est les hommes". À la Grande mosquée de Paris, à l'heure de la prière, c'est chacun son espace. Entrées séparées et salles distinctes, il n'est pas question de prier juste à côté de quelqu'un du sexe opposé.

    Une fidèle détaille : "C'est un homme qui conduit la prière. Il est dans la grande salle des hommes et on l'entend avec des haut-parleurs. Nous sommes séparés mais ce n'est pas la faute des hommes, c'est la faute des femmes ! Elles crient, elles ramènent les enfants, c'est un peu l'anarchie. Alors que les hommes aiment bien être tranquilles."

    En tant que femmes on se retrouve reléguées à des lieux secondaires : des sous-sols, des garages...

    Kahina Bahloul

    Cette séparation, à la Grande mosquée de Paris, convient à tout le monde, ou presque. Mais elle agace profondément les initiatrices de salles mixtes. Que ce soit celle baptisée Simorgh et qui est inaugurée samedi 7 septembre, ou encore la mosquée Fatima que Kahina Bahloul espère ouvrir dans quelques mois.

    "Il y a un discours général qui ne répond plus aux défis de notre époque", analyse cette doctorante à l'Ecole pratique des hautes études : "En tant que femmes on se retrouve reléguées à des lieux secondaires. Des sous-sols, des garages... je l'ai déjà vécu et on considère que ce n'est plus acceptable."

    Kahina Bahloul a donc lancé un financement participatif pour la location d'une salle de prière où une femme pourra aussi conduire la prière devant les hommes. Cela ne pose aucun problème aux yeux de l'islamologue Éric Geoffroy, professeur à l'université de Strasbourg : "Le Coran ne parle pas du tout de cette question. Dans l'Islam, tout ce qui n'est pas interdit est permis. Dans l'histoire de l'Islam et jusqu'à des périodes assez récentes, il y avait des femmes muftis qui enseignaient aux hommes. Avec des salles mixtes on revient à l'Islam premier."

    Des menaces de mort à l'encontre de Kahina Bahloul

     Une analyse qui est pourtant loin d'être partagée par toute la communauté musulmane. Abdallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman, ne voit pas la mixité d'un bon oeil : "Quand vous avez une femme qui se prosterne devant vous et qui a le derrière en haut, pour l'homme qui est juste derrière ce n'est pas tellement esthétique, si j'ose dire. Les religions datent de plusieurs siècles et on ne peut pas modifier les choses comme ça du jour au lendemain."

    Abdallah Zekri doute du succès de ces initiatives. Pour autant il assure respecter la liberté de ceux et celles qui les portent. D'autres se sont déjà montrés plus virulents : Kahina Bahloul s'est vu qualifiée de "sale sorcière" et a même reçu des menaces de mort.

    franceinfo


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  • Des militantes pro-burkini investissent une piscine parisienne et provoquent sa fermeture

    Ce 1er septembre, une quinzaine de militantes féministes ont investi une piscine parisienne pour protester contre l'interdiction du burkini. Depêchée sur place, la police a mis fin à cette opération coup de poing.

    Une quinzaine de militantes féministes et musulmanes ont provoqué la fermeture d'une piscine à Paris ce 1er septembre après s'être baignées en maillot deux pièces et en burkini, pour protester contre l'interdiction de ce maillot de bain couvrant controversé. Le petit groupe a pénétré dans une piscine du XIe arrondissement et cinq femmes musulmanes se sont baignées en burkini, soutenues par d'autres militantes féministes en maillots une ou deux pièces, mais aussi des personnes transgenres et des hommes membres du collectif créé pour l'occasion, selon un journaliste de l'AFP.

    «On se baignera, on se baignera ! Même si les racistes ne veulent pas, nous on se baignera !» : leurs chants militants ont été accueillis avec des regards tantôt amusés, tantôt indignés des autres nageurs. L'opération coup de poing a provoqué l'intervention des maîtres-nageurs, puis celle de la police, sans aucun heurt. Lors d'une brève altercation, un homme irrité par l'initiative a montré son sexe aux militantes.

    Après une trentaine de minutes, la direction a fait fermer la piscine et les militantes sont reparties en déployant une banderole avec le slogan, «piscine pour toutes, stop islamophobie».

    «Le but, c'est d'accéder à la piscine en tant que femmes musulmanes qui portons le voile», a déclaré à l'AFP Nargesse (sans donner son nom de famille), 27 ans, avant de se baigner en burkini. «On veut revendiquer notre choix de le porter et de pouvoir continuer à avoir nos loisirs sans qu'on puisse être importunées par des règlements discriminants», a ajouté la jeune femme, en dénonçant «la montée des idées islamophobes».

    Dans un communiqué, le collectif a réclamé «le changement des règlements intérieurs des piscines, et l'accessibilité aux loisirs pour tous-tes». «Nos corps nous appartiennent, nous les couvrons ou les découvrons pour des raisons qui nous regardent», ont fait valoir les militantes.

    Une action du même type à Grenoble mi-juin avait suscité une polémique nationale. Le Premier ministre Edouard Philippe avait estimé que les règles des piscines publiques doivent être respectées, et qu'«aucune conviction religieuse» ne pouvait être prise en compte pour y déroger. La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait elle condamné «les associations à caractère communautariste» qui tentent d' «imposer» un débat sur le burkini «qui n'a pas lieu d'être».

    RT France

    Ce n'est pas être islamophobe que de ne pas vouloir le burkini dans les piscines !


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  • Attaque de Villeurbanne: le flou demeure sur les motivations du suspect

    Les enquêteurs tentent dimanche de faire la lumière sur les raisons qui ont poussé un Afghan de 33 ans à semer la terreur à l'arme blanche samedi près d'une station de métro dans l'agglomération lyonnaise, faisant un mort et huit blessés.

     

    L'hypothèse terroriste n'est pas privilégiée à ce stade, le Parquet national antiterroriste (PNAT) n'ayant pas été saisi, mais il suit la situation de près, assure le parquet de Lyon.

    Nicolas Jacquet, procureur de la République, tiendra une conférence de presse à 15h00 au TGI.

    La police judiciaire, chargée de l'enquête, fait face à un individu qui "n'est pas très prolixe" et qui a changé trois fois de versions dans les premières minutes de sa garde à vue samedi, selon une source policière.

    Sur l'esplanade de la sortie du métro Laurent Bonnevay de Villeurbanne, où ce demandeur d'asile s'est attaqué à l'aveugle à des passants samedi, le cordon de sécurité a été levé et calme était revenu dimanche matin, a constaté l'AFP.

    Plusieurs tâches de sang en partie nettoyées et un ruban jaune de police abandonné par terre témoignaient du drame de la veille. Et quelques fleurs déposées par des voisins étaient visibles çà et là.

    Vers 16H30 samedi, le suspect armé d'un couteau et d'une fourche de barbecue "s'est mis à mettre des coups de couteau dans tous les sens" devant un arrêt du bus, selon le témoignage d'une jeune fille au débardeur taché de sang, interrogée par l'AFP peu après les faits.

    Il a tué un jeune homme de 19 ans, blessé huit personnes dont trois demeuraient en urgence vitale absolue. Et c'est grâce à l'intervention des passants et des agents TCL (les transports en commun lyonnais) qu'il a pu être appréhendé.

    Le maire de Villeurbanne Jean-Paul Bret a salué le "courage" de ces "gens qui ont quand même pris leurs responsabilités".

    Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux et diffusée par de nombreuses chaînes de TV, on voit un homme à la peau mate, barbe noire courte, bien taillée, sweet capuche noir et baskets rouges avec une lame et une petite fourche dans une main discutant avec des hommes, avant de jeter ses armes puis s'accroupir à la sortie d'un ascenseur du métro.

    - Vives réactions politiques -

    De nombreux témoins ont été très choqués par la violence de la scène, selon les pompiers. La préfecture a mis en place dès samedi soir un centre d'accueil des victimes et de leurs familles dans une salle de la mairie du 8e arrondissement.

    Dimanche matin, personne ne s'y était encore présenté mais plusieurs appels ont été reçus et traités par les agents de la Croix-Rouge, les pompiers et les représentants d'associations de victimes.

    Les élus locaux n'ont cessé d'appeler à la prudence depuis samedi face à des motivations encore inconnues, l'élue d'opposition de Villeurbanne, Emmanuelle Haziza, appelant notamment à être "unis face à l’horreur".

    "Les informations qu'on a à ce stade montreraient que c'est plutôt un acte isolé d'une personne qui était en recherche d'asile, venant d'un pays très éloigné de la France, l'Afghanistan, peut-être qui a vécu des choses terribles sur son voyage ou là-bas, et qui n'a peut-être pas supporté beaucoup de choses et qui rentre dans une crise de démence", a avancé Bruno Bonnell, député LREM du Rhône sur LCI.

    A droite et à l'extrême-droite, la nationalité de l'auteur présumé n'a pas manqué de faire réagir. "La naïveté et le laxisme de notre politique migratoire menacent gravement la sécurité des Français!", a écrit la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen sur Twitter.

    "Il y en a assez de faire preuve de mansuétude avec des +fous+ qui ressemblent quand même beaucoup à des terroristes. Que la France demande à la justice afghane de régler elle-même le cas de son ressortissant!", estimait pour sa part Julien Aubert, candidat à la présidence de Les Républicains.

    En mai, l'explosion d'un colis piégé en plein coeur de Lyon avait blessé 14 personnes, suscitant déjà une forte émotion dans la 3e ville de France, jusque là épargnée par la vague d'attentats jihadistes sans précédent (251 morts) qui frappe la France depuis 2015. Le suspect, un Algérien radicalisé de 24 ans ,a été mis en examen et écroué.

    AFP

    Si ce n'est pas un acte terroriste, c'est quoi ?

    Ils essaient de minimiser cette attaque, il y a quand même un mort !

    Quelle bande d'en culés !


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  • Guerre ethnique et raciale dans les quartiers, Grenoble n’est qu’un début ! Par Gérard Brazon

    Que se passe-t-il à Grenoble ? Il semblerait que des « jeunes gens » se seraient chahutés entre eux, auraient échangé des noms d’oiseaux, et auraient exprimé une certaine colère, comme on dit prudemment dans les médias.

     

    LIEN de l'article :

    https://gerardbrazon.wordpress.com/2019/08/28/guerre-ethnique-et-raciale-dans-les-quartiers-grenoble-nest-quun-debut-par-gerard-brazon/


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  • LÂCHE ENSAUVAGEMENT DE NOS PAYS CIVILISES - Cruauté envers les animaux

    Statistiquement, c’est peut-être un des côtés les plus sombres de l’immigration massive : la cruauté envers les animaux ! Il n’existe pas de chiffres fiables, mais il y a de plus en plus de « cas individuels » choquants en Allemagne. Les victimes sont principalement des chiens qui, dans l’islam, sont considérés comme « impurs » par nature.

    ... un reportage des Pays-Bas avait suscité l’incrédulité chez les incroyants en Allemagne : un Syrien de 26 ans avait hurlé à l’extase avec des cris « Allahu Akbar » et tué un chien policier avec une hache à Schiedam, une banlieue de Rotterdam.

     

    LIEN de l'article :

    https://louyehi.wordpress.com/2019/08/29/lache-ensauvagement-de-nos-pays-civilises-la-cruaute-des-monstrueux-aliens-muzz-envers-les-animaux-depasse-les-bornes-de-lentendement-le-nombre-dactes-sadiques-augmente/

     


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  • Multiples viols en Suède : la police menace… les femmes !

    Après quatre viols de jeunes femmes survenus au cours de la même semaine, la police de la ville d’Uppsala, en Suède, a lancé un avertissement, non pas aux violeurs, aux agresseurs sexuels, aux voleurs, mais aux femmes qui sont les victimes potentielles de cette racaille : « Vous êtes libres de vous promener dans les rues éclairées mais non pas seules dans les allées ou les parcs. La police ne peut pas être partout. »

    Ainsi donc vous voilà prévenues, femmes de Suède. La police n’est pas là pour appréhender les criminels mais pour vous demander de ne plus sortir la nuit, de rester chez vous car, dans le cas contraire, si vous êtes violées, agressées, volées, il ne faudra pas vous plaindre, vous l’aurez bien cherché !

    À Nantes-Saint-Herblain, dans les rues voisines du gymnase Jeanne-Bernard, les riverains vivent dans l’angoisse depuis que 200 à 300 migrants clandestins ont trouvé refuge, et cela depuis plusieurs mois, depuis fin octobre.

    Ils sont excédés par les agressions et l’ont fait savoir à plusieurs reprises depuis cet été à la municipalité et même jusqu’au préfet.

    À cause de l’insécurité, ils évitent de circuler dans les environs du gymnase.

    Et cela devait arriver un jour ou l’autre : une femme a été violée dans le jardin de sa maison au cours de la nuit du 14 juillet.

    En fin de semaine dernière, la députée LREM, Anne-France Brunet, est venue examiner la situation sur place.

    Les migrants, très énervés, ont été jusqu’à menacer l’un de ses accompagnateurs et l’ont fait sortir, puis ont renversé les poubelles et tapé sur la camionnette d’un artisan et l’un des migrants n’a pas hésité à sortir un couteau pour les menacer mais, n’ayez aucune crainte, personne n’a porté plainte, il ne faut surtout pas inquiéter ses « chances pour la France » et ne pas les importuner quand ils abusent de l’alcool et des drogues.

    Et ce même scénario se reproduit dans de nombreux quartiers des villes de nos provinces sans que les autorités n’interviennent.

    La priorité n’est-elle pas l’accueil des migrants, mineurs ou adultes, plutôt que la sécurité et la sérénité des citoyens français ?

    Les collectivités locales n’arrivent plus à résorber ce flot de migrants clandestins, surtout mineurs, qui « enfle » de plus de 50 % chaque année. Surtout les collectivités qui se situent le long des autoroutes et des lignes de TGV, utilisées par les filières clandestines très bien organisées.

    Six mineurs clandestins, non accompagnés, arrivés jusqu’en France avec des passages payés entre 2 000 et 5 000  euros aux passeurs, PAR QUI ? ont été interpellés dans la nuit de samedi à dimanche et placés en garde à vue au commissariat de Montpellier pour avoir commis successivement quatre vols avec violence sur des piétons « non accompagnés » également.

    Ces victimes ont été encerclées et malmenées, se faisant arracher les chaines en or, les sacs à main et les portables en plein centre-ville, rue de l’Écusson, selon une technique baptisée « À la Zidane », mais n’ayez crainte, ils ne tarderont pas à être remis en liberté !

    À Grenoble (Isère) c’est un homme âgé de 35 ans qui a été grièvement blessé à coups de couteau, dans la nuit de dimanche à lundi, place Lavalette, attaqué par quatre individus qui ont pris la fuite.

    De nombreuses et importantes plaies sur le crâne, les joues et les bras, son pronostic vital est engagé, selon le CHU de Grenoble-Alpes, où il a été transporté.

    Pas très loin, à Annecy, vers 2 h 35 du matin, dans la nuit de vendredi à samedi, deux jeunes hommes, âgés de 25 ans et domiciliés en Suisse, ont été agressés, et l’un d’eux lardé de coups de couteau, en plein centre-ville.

    Les deux amis avaient eu maille à partir un peu plus tôt, place de l’ancienne Grenette, devant la mairie, avec trois voyous, originaires de Bonneville, qui leur ont volé portefeuilles et portables.

    Un quatrième s’est proposé comme intermédiaire et les a accompagnés en direction de Bonlieu.

    Quai Eustache Chapuis, sous les arcades entre la place de l’ancienne Grenette et la rue du Lac, pour on ne sait quelle raison, cette racaille a poignardé l’un des deux amis.

    Transporté dans un état critique, avec des plaies à l’abdomen, aux urgences de l’hôpital où il a été opéré et sauvé puisque son pronostic vital n’est plus engagé.

    Le prétendu négociateur a pris la fuite et un appel à témoin a été lancé.

    « Tu m’as dit quoi ? Je prends combien ? T’es un fou dans ta tête », c’est ainsi qu’Abdali, surnommé « Ali du Mercure », a apostrophé le juge Jamet, qui a relevé l’outrage, quand il a été condamné à quatre ans de prison ferme pour avoir réalisé  « le sourire de l’Ange » (ouverture de la bouche jusqu’aux oreilles) sur un autre individu lors d’une bagarre sur fond de trafic de stupéfiants, dans le quartier de Miramas, dans les Bouches-du-Rhône.

    Ce « sourire de l’Ange » que l’on appelait en Algérie «  le grand sourire » quand un militaire ou un civil était égorgé d’une oreille à l’autre.

    Des centaines ont été assassinés de cette manière par nos « gentils » ennemis !

    Manuel Gomez - Riposte laïque

    Aussi cons en Suéde qu'en France !


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  • Le Courrier, journal gauchiste, ex-chrétien et pro-musulman

    Le Courrier: «La Chine veut éradiquer l’islam»

    LIEN de l'article :

    https://lesobservateurs.ch/2019/08/28/le-courrier-journal-gauchiste-ex-chretien-et-pro-musulman/

     


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  • Tariq Ramadan visé par une quatrième plainte en France

    Tariq Ramadan toujours dans la tourmente. Selon une information d’Europe 1 et le JDD publiée dimanche et confirmée au Parisien, une quatrième plainte a été déposée en France contre Tariq Ramadan, déjà accusé de viol par trois femmes dans l’Hexagone. Ce nombre monte à cinq en comptant son accusatrice en Suisse.

    Cette plainte a été déposée fin mai par « une femme, aujourd’hui âgée d’une cinquantaine d’années, qui travaillait alors comme journaliste radio ».

    Selon une autre information confirmée au Parisien, le 26 juillet dernier, cette plainte a conduit le parquet de Paris à délivrer un réquisitoire supplétif aux juges d’instruction en charge du dossier en élargissant l’enquête à des faits de viol en réunion, menaces et intimidation. Il revient désormais aux juges d’instruction en charge de l’enquête de prononcer ou non une nouvelle mise en examen pour ces faits.

    « C’est allé très vite, c’était d’une violence inouïe »

    Dans cette nouvelle plainte, la femme accuse l’intellectuel musulman de viols en réunion avec « une personne de son staff » lors d’une rencontre pour une interview réalisée le 23 mai 2014 dans la chambre d’hôtel de M. Ramadan à Lyon. « C’est allé très vite, c’était d’une violence inouïe », a déclaré à la justice la plaignante, selon des propos cités par le JDD.

    D’après la plainte, la femme aurait par ailleurs été contactée par Tariq Ramadan sur l’application Messenger le 28 janvier 2019, affirmant qu’il voulait lui faire une « proposition », « sur le plan professionnel », message auquel elle n’aurait pas répondu. Elle raconte que le lendemain, elle a reçu la visite de deux hommes. « Ils m’ont dit que Tariq Ramadan avait essayé de me joindre […] et si j’avais les idées mal intentionnées ils pouvaient arranger ça », a-t-elle affirmé.

    Depuis le 2 février 2018, Tariq Ramadan est mis en examen pour deux viols, dont un sur personne vulnérable, des accusations qu’il conteste. Pour la troisième plainte, il est actuellement placé sous le statut intermédiaire de témoin assisté.

    M. Ramadan doit par ailleurs être entendu à l’automne à Paris par un procureur suisse en vue d’une éventuelle inculpation dans le volet suisse. Il a été remis en liberté mi-novembre, sous contrôle judiciaire, après neuf mois de détention provisoire.

    Le Parisien


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  • Hamza Ben Laden, présenté comme son héritier à la tête d'Al-Qaïda, est décédé fin juillet

    Le ministre américain de la Défense, Mark Esper, a confirmé la mort d’Hamza ben Laden, l’un des fils d' Oussama ben Laden présenté comme son héritier à la tête d' Al-Qaïda, rapportée fin juillet par des médias américains.

    Questionné sur la mort d’Hamza ben Laden lors d’un entretien à la chaîne américaine Fox diffusé mercredi soir, Mark Esper s’est abstenu de donner des détails sur l’opération au cours de laquelle il a été tué. « Je n’ai pas les détails. Et si je les avais, je ne suis pas sûr que je pourrais les partager avec vous », a déclaré le nouveau chef du Pentagone, qui a pris ses fonctions fin juillet.

    Quand on lui demande s’il est bien mort, Mark Esper répond : « c’est ce que je comprends ». Les médias américains ont annoncé fin juillet qu’Hamza ben Laden avait été tué et que les Etats-Unis avaient contribué à l’opération visant à l’éliminer. Mais sa mort n’avait jamais encore été confirmée publiquement.

    « Prince héritier du djihad »

    Considéré comme le fils préféré – voire le successeur désigné – d’Oussama ben Laden, le fondateur du réseau à l’origine des attentats du 11 septembre 2001, le jeune homme d’une trentaine d’années figurait sur la liste noire américaine des personnes accusées de « terrorisme ». Washington avait offert en février une récompense pouvant atteindre un million de dollars pour toute information permettant de le retrouver.

    Hamza ben Laden est souvent considéré comme le « prince héritier du djihad ». Des documents, dont des lettres révélées par l’AFP en mai 2015, montrent qu’Oussama ben Laden le destinait à lui succéder à la tête du jihad mondial anti-occidental.

    Quinzième de la vingtaine d’enfants d’Oussama ben Laden, fils de sa troisième femme, Hamza avait été déchu en mars de sa nationalité saoudienne.

    20 Minutes


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  • Donald Trump menace de libérer les djihadistes français détenus en Syrie si Paris ne les rapatrie pas

    Le sort des djihadistes occidentaux prisonniers en Syrie fait de nouveau débat. Au cours d'un échange avec les journalistes sur la pelouse de la Maison-Blanche, mercredi, Donald Trump a une nouvelle fois menacé de libérer les djihadistes européens dans leur pays d'origine si ces derniers ne les rapatriaient pas eux-mêmes. "Nous détenons des milliers de combattants de l'EI en ce moment. Et l'Europe doit les reprendre", a expliqué le milliardaire américain, ciblant notamment "l'Allemagne, la France et d'autres pays".

    "Nous les avons capturés, nous en avons des milliers et maintenant, comme d'habitude, nos alliés n'en veulent pas", a ajouté le président américain. "Les Etats-Unis ne vont pas les garder à Guantanamo pendant 50 ans et payer pour ça." Ce n'est pas la première fois que les Etats-Unis pressent leurs alliés européens de rapatrier les djihadistes :

    • Début août, le coordinateur du contre-terrorisme au département d'Etat américain, Nathan Sales, avait déjà fait une déclaration similaire : "La manière la plus efficace pour [empêcher leur retour sur le champ de bataille], c'est que leur pays d'origine rapatrie ces citoyens et les juge pour les crimes qu'ils ont commis".
    • Dès le mois de février, Donald Trump avait écrit sur Twitter que "le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne et les autres alliés européens" devaient rapatrier leurs djihadistes ou "nous serons forcés de les relâcher".

    Des milliers de combattants étrangers

    Les Forces démocratiques syriennes (FDS), l'alliance de combattants kurdes et arabes soutenue par Washington qui a mené la lutte contre le groupe Etat islamique, détiennent plus de 10.000 djihadistes dont 8.000 venus d'Irak et de Syrie et 2.000 étrangers venus de plus de 50 pays, y compris plusieurs centaines d'Européens, avait indiqué le représentant spécial américain pour la Syrie James Jeffrey début août. A ces djihadistes s'ajoutent 70.000 femmes et enfants des djihadistes, dont 10.000 associés aux 2.000 étrangers.

    Ces djihadistes n'ont pas renoncé à leur idéologie et "nous avons tous pour obligation de les empêcher de revenir sur le champ de bataille", avait rappelé Nathan Sales, révélant que les Etats-Unis avaient déjà rapatrié et inculpé cinq djihadistes - quatre hommes et une femme -, dont l'un a déjà été condamné. "Nous voudrions voir plus de pays d'Europe occidentale en faire de même [...] Personne ne devrait s'attendre à ce que les Etats-Unis règlent le problème pour eux".

    Alors que début août, les Etats-Unis ont annoncé avoir rapatrié un autre djihadiste, âgé de 23 ans et originaire du Texas, les pays pris pour cible par Donald Trump se montrent beaucoup plus réticents, à commencer par la France. Selon le ministère des Affaires étrangères, il y a 400 à 500 ressortissants français dans les camps gérés par les Kurdes dans le Nord-Est syrien, dont une grande majorité d'enfants.

    La France toujours opposée à rapatrier des adultes

    Soumis à la pression des familles, le gouvernement a été sommé fin mai par le Défenseur des droits de venir en aide aux enfants de djihadistes français retenus en Syrie, en faisant cesser dans un délai d'un mois les "traitements inhumains" qu'ils subissent dans les camps. Après avoir rapatrié cinq enfants en mars, la France en a rapatrié 12 début juin. Mais elle reste inflexible sur le sort des adultes : 11 djihadistes français ont été condamnés à mort en juin après avoir été transférés en Irak par les forces kurdes en Syrie. Le sort des autres prisonniers français retenus en Syrie demeure toujours très flou.

    Dans le même temps, Donald Trump perd patience. En décembre, le président américain a affirmé que l'Etat islamique était vaincu et ordonné le retrait des troupes américaines présentes en Syrie. Mais la situation sur place complique les plans du milliardaire. Un rapport du Pentagone dévoilé le 6 août révèle que l'Etat islamique est en train de "ressurgir" en Syrie. L'organisation djihadiste compte encore probablement entre 14.000 et 18.000 "membres" en Irak et en Syrie, dont 3.000 étrangers au maximum. Dans ce contexte, les camps de prisonniers sont de potentielles poudrières. 

    Le JDD.fr


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