• L'anesthésiste belge de 51 ans Helga Wauters, en état d'ivresse lors d'une césarienne à l'issue tragique, a reconnu que son alcoolisme était "incompatible" avec sa profession au premier jour de son procès à Pau (Pyrénées-Atlantiques).

    "Je reconnais aujourd'hui que mon addiction était incompatible avec ma profession", "je regretterai ce décès toute ma vie", a-t-elle déclaré devant le tribunal correctionnel. 

    Mince, chevelure courte grisonnante, pull-over turquoise, l'anesthésiste a lu une déclaration, sans un regard pour la famille de la victime, Xynthia Hawke, en expliquant qu'elle souhaitait ensuite garder le silence pour ce procès qui dure jusqu'à vendredi.

    "Je considère qu'on m'a fait porter seule le poids de ce drame", a notamment justifié celle qui a souvent minimisé sa responsabilité au cours de l'enquête, invoquant notamment des difficultés de communication au sein de l'équipe du bloc. 

    Elle a expliqué n'être "pas encore capable de maîtriser" son alcoolisme, tout en assurant ne pas vouloir se "faire passer pour une victime". 

    Six ans après les faits, l'anesthésiste doit répondre d'"homicide involontaire", un délit punissable de trois ans de prison maximum. 

    Sous contrôle judiciaire, elle vit chez ses parents en Belgique.

    Ce 26 septembre 2014, alors qu'elle était sous l'emprise de l'alcool, elle avait multiplié les erreurs médicales lors d'une césarienne pratiquée sur Xynthia Hawke, Britannique de 28 ans, dont le terme était dépassé de quelques jours, selon l'accusation.

    Le Dr Wauters, de garde, lui avait posé une péridurale dans l'après-midi mais l'accouchement se compliquant, une césarienne en urgence était devenue nécessaire. A son retour, l'anesthésiste sentait l'alcool selon des témoins.

    Alors que le bébé était extrait vers 22H20, tout avait basculé. "Xynthia va se mettre à bouger, se réveiller, elle vomit. Elle se débat et réussit à s'arracher le tube", a relaté le major de gendarmerie dans sa déposition devant le tribunal.

    D'après les témoignages confirmés par une expertise, le médecin, en poste depuis une dizaine de jours, avait intubé les voies digestives, au lieu des respiratoires. Puis le médecin avait utilisé un ballon non relié à de l'oxygène au lieu du respirateur du bloc, qu'elle ne savait pas utiliser. 

    La jeune Britannique était décédée quatre jours plus tard des suites d'un arrêt cardio-respiratoire, sans voir son bébé, sain et sauf.

    Devant les enquêteurs, elle reconnaîtra avoir commencé sa journée par un mélange de vodka et d'eau, "comme tous les jours" depuis dix ans et être sortie dans la soirée prendre un "verre de rosé" ou deux chez des amis. 

    Etudiante "brillante", selon le gendarme, cette ancienne internationale de hockey sur gazon, née d'un père gynécologue et d'une mère économiste, avait plongé dans l'alcoolisme après une séparation d'avec sa compagne en 2005. 

    Malgré deux licenciements pour faute grave liés à son alcoolémie en Belgique, "ses antécédents n'ont jamais été signalés à l'ordre des médecins belges", a relevé l'enquêteur de gendarmerie.  

    AFP

    Inadmissible !


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  • Berlin et Paris dénoncent une "implication et une responsabilité" russe dans l'empoisonnement de l'opposant Alexeï Navalny et appellent à des sanctions.

    Les ministres des Affaires étrangères français et allemand ont publié ce mercredi un communiqué commun où ils parlent d'une "terrible tentative d'assassinat qui constitue une atteinte aux principes élémentaires de démocratie et de pluralisme politique".

    "Il est clair que si les événements ne sont pas éclaircis, si les informations nécessaires ne sont pas fournies, alors des sanctions ciblées et proportionnées contre les responsables du côté russe seront inévitables", a averti le ministre des affaires étrangères allemand, Heiko Maas.

    Cet avertissement intervient au lendemain de la confirmation par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) du fait qu'Alexeï Navalny a bien été empoisonné par un agent neurotoxique du groupe Novitch ok, une substance conçue par des spécialistes soviétiques à des fins militaires.

    Le Kremlin lui continue de nier toute responsabilité. "La Russie veut sincèrement faire la lumière sur toutes les circonstances, les raisons et la nature de ce qui s'est passé à Omsk", a dit Dmitri Peskov, le porte-parole du président Vladimir Poutine.

    "une déclaration inacceptable" pour Moscou

    Une "déclaration inacceptable par son contenu et sa tonalité", a par la suite réagi la diplomatie russe dans un communiqué, en accusant Paris et Berlin de se placer ainsi "à la tête d'une coalition antirusse" qui est en train de se former selon Moscou au sein de l'Union européenne.

    "Au lieu de coopérer dûment avec la Fédération de Russie afin d'éclaircir les circonstances de ce qui s'est passé avec ce blogueur, les gouvernements allemand et français sont passés à des menaces et des tentatives de chantage à notre égard", dénonce le ministère russe des Affaires étrangères.

    Alexeï Navalny est tombé gravement malade à bord d'un avion en Sibérie. Sa famille a obtenu son transfert en Allemagne pour y être soigné dans un hôpital berlinois.

    L'opposant russe âgé de 44 ans reste actuellement en convalescence dans la capitale allemande. Il a directement accusé Vladimir Poutine d'être derrière son empoisonnement.

    Microsoft Euronews


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  • "Ils ont échappé à une mort certaine": à Tende, un gendarme a sauvé 17 personnes des intempéries

    Un groupe de 17 personnes s'est retrouvé bloqué par les eaux vendredi soir. Un gendarme a réussi à les sauver in extremis, avant que la route ne s'effondre.

    L'adjudant David Garcia fait partie de la première ligne des secours déployés vendredi soir dernier dans le département des Alpes-Maritimes, submergé par les eaux. Ce commandant de gendarmerie de Tende, dans la vallée de la Roya, est venu en aide à un groupe de 17 personnes piégées par les pluies diluviennes, accompagné d'une policière municipale et d'un agent du service des routes.

     

    "La situation était assez catastrophique puisque ces personnes étaient bloquées dans une vague de boue. Il y avait des enfants et des femmes âgées qui n'arrivaient pas à passer, donc on a dû les porter. Une fois la dernière personne passée, la route s'est effondrée derrière nous. Ils ont échappé, à quelques minutes près, à une mort certaine", raconte-t-il à BFMTV.

    "Pas de solution de repli"

    Une fois délivré, le groupe s'est réfugié pour le reste de la nuit dans une cabane à proximité. "On n'avait pas d'autre solution de repli puisque la route s'était effondrée devant et derrière nous, précise le gendarme. On n'était pas très sereins à cause des chutes d'arbres, de rochers et des carcasses de voitures qui tapaient à l'endroit où nous nous trouvions."

    Ce n'est qu'au petit matin, quand la tempête a commencé à se calmer, qu'ils ont pu s'extraire de leur refuge et "prendre les chemins de montagne pour arriver à midi à Tende". Cinq jours plus tard, le village reste sinistré avec des maisons éventrées par dizaines, des routes coupées et des infrastructures ravagées.

    BFM.TV


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  • Un gigantesque incendie détruit un dépôt de meubles à Marseille

    Un incendie impressionnant s'est déclaré dans un dépôt de meubles de 10.000 mètres carrés, mardi soir à Marseille, a appris l'AFP auprès des marins-pompiers de la ville. 

    Peu avant une heure du matin mercredi, une centaine de pompiers et 30 engins étaient encore mobilisés contre les flammes, dans une zone semi-industrielle proche du cimetière Saint-Pierre, à l'est de la ville. La cause du départ de feu est encore inconnue, mais aucun blessé n'est à déplorer pour l'instant.

    Les marins-pompiers, appelés sur place vers 23h10, étaient notamment équipés d'une douzaine de lances à incendie d'une capacité de 1.000 litres par seconde chacune.

    Des explosions étaient entendues, "sans doute des bombes de peinture ou des aérosols" présents parmi les meubles stockés dans ce dépôt, selon le porte-parole des marins-pompiers. Evacués et examinés par les secours sur place, les trois gardiens du site n'ont été atteints ni par les flammes ni par les importantes fumées dégagées par le sinistre.

    Europe 1


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  • Un policier texan a été suspendu après la mort, samedi, d’un homme noir dans une épicerie.

    Une nouvelle bavure policière ? Un officier texan a été suspendu cette semaine après qu’il a tiré sur un homme noir samedi dans une épicerie. Une enquête interne a été ouverte afin de comprendre les circonstances exactes de ce drame, explique le magazine «People». La famille de Jonathan Price, 31 ans, a déjà donné sa version de l’histoire. D’après elle, le trentenaire a été abattu alors qu’il tentait d’intervenir pour mettre fin à la dispute d’un couple. Selon le «Texas Tribune», un homme était en train de s’en prendre violemment à sa compagne et Jonathan Price aurait simplement essayé de venir en aide à cette dernière.

     

    Ses proches ont également affirmé que cet ancien joueur universitaire de football avait été visé à plusieurs reprises par les tirs du policier. «Il avait un grand cœur. Il essayait toujours d’aider les autres. Ils m’ont pris mon fils. Ils ont pris mon bébé», a déclaré Marcella Louis, sa mère, citée par la chaîne WFAA. Sur NBC5, un porte-parole de la famille a rappelé à quel point le jeune homme était un athlète reconnu et un héros local. «Tout le monde s’accorde à dire qu’il n’était pas le genre de personne qui aggrave une situation avec les forces de l'ordre. Ils essaient de comprendre comment cela s'est produit», a-t-il commenté.

    Le Department of Public Safety a publié un communiqué pour tenter d’expliquer ce qui se serait déroulé samedi. Après l’arrivée de la police, Jonathan Price aurait levé les bras avant d’essayer de leur raconter la situation. Mais l’agent aurait malgré tout voulu arrêter l’homme, qui aurait «résisté de façon non menaçante, en s’éloignant». L’agent a alors d’abord tiré avec son taser puis avec son arme. «Les premiers éléments de l’enquête indiquent que les actions de l’officier ne sont pas objectivement raisonnables».

    Paris Match

    Ce policier doit être radié à vie !


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  • L'affaire fait scandale aux Pays-Bas : un ancien gynécologue, aujourd'hui décédé, a utilisé son propre sperme lors d'inséminations artificielles sur des femmes qui pensaient recourir à des donneurs anonymes, engendrant au moins 17 enfants, a annoncé, mardi 6 octobre 2020, l'hôpital dans lequel il exerçait.

    Jan Wildschut a travaillé de 1981 à 1993 auprès de la clinique de fertilité de l'hôpital Isala à Zwolle, dans le nord des Pays-Bas. Au moins 17 enfants ont été conçus via les pratiques du gynécologue, par ailleurs père de famille, a fait savoir l'hôpital dans un communiqué, qualifiant ces actes de « moralement inacceptables ».

     

    L'établissement, appelé à l'époque hôpital Sophia, n'exclut pas la possibilité que Jan Wildschut soit le père biologique de plus d'enfants. L'hôpital, qui a appris la nouvelle fin 2019, a décidé de la rendre publique conjointement avec la famille du médecin et les enfants concernés afin de contribuer à une « plus grande transparence » en matière de dons de sperme. Selon le média local De Stentor, l'affaire a été révélée par hasard lorsqu'un des enfants a obtenu une correspondance ADN avec une nièce de Jan Wildschut, décédé en 2009, via une base de données commerciale.

    « Impression amicale, engagée et honnête »

    « Nous n'avons jamais soupçonné qu'il aurait lui-même pu être le donneur », a déclaré auprès du journal un parent souhaitant rester anonyme, ajoutant que le gynécologue rendait une « impression amicale, engagée et honnête ». Informée de l'affaire, l'Inspection de la santé et de la jeunesse (IGJ) a indiqué qu'elle n'ouvrira pas d'enquête étant donné que les faits se sont déroulés à une époque où il n'existait aucune loi ou réglementation sur les traitements en matière de fertilité, d'après l'hôpital.

    L'année dernière, une série de tests ADN a montré que l'ancien directeur d'une banque de sperme néerlandaise, soupçonné d'avoir utilisé à de nombreuses reprises son propre sperme au lieu de celui du donneur choisi, était le père biologique de 49 enfants.

    Le Point


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  • Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine, a été le théâtre d'un coup de filet inédit. Les policiers ont saisi plus de 930.000 euros en liquide, ainsi que 22 kg de cocaïne et 426 kg de résine de cannabis.

    L'information révélée par le journal Le Point a été confirmée par l'AFP. Selon Le Parisien, la drogue et l'argent en liquide ont été découverts dans des voitures stationnées dans un parking de Courbevoie et chez des trafiquants de drogue qui étaient "pistés" par la police depuis plusieurs mois.

    Darmanin salue le travail des policiers

    Le parquet de Nanterre a de son côté confirmé la tenue de cette opération menée par la sûreté territoriale des Hauts-de-Seine sur commission rogatoire d'un juge d'instruction de Nanterre dans le cadre d'une enquête débutée en octobre 2019. Cette enquête est menée dans le cadre d'une information judiciaire ouverte le 13 mars dernier, a précisé le parquet, sans donner plus de détails.

    "Félicitations aux policiers des Hauts-de-Seine pour ces saisies exceptionnelles", a réagi le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin sur Twitter. "Notre lutte contre ce fléau social, sanitaire et économique est tota

     

    Europe 1

    Ce n'est rien à côté de tout le trafic de drogue !


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  • Une recrudescence de vols de vélos dans la moitié nord de la France avec le même mode opératoire avait provoqué l'ouverture d'une information judiciaire. Les sept mis en examen ont été principalement interpellés en région parisienne.

    Cinq personnes ont été mises en examen pour "vols en bande organisée" de vélos et placées en détention provisoire, deux autres ont été mises en examen pour "recel en bande organisée", indique par communiqué mardi 6 octobre le parquet de Rennes. Elles sont soupçonnées d'une dizaine de cambriolages entre février 2019 et septembre 2020 dans les départements du Loir-et-Cher, de la Moselle, des Vosges, des Deux-Sèvres, de l'Ille-et-Vilaine, de la Vienne et du Pas-de-Calais.

    Cette recrudescence de vols de vélos a été constatée dans toute la moitié nord de la France dès février 2019. À chaque fois, le même mode opératoire. Les voleurs passaient par les toits des magasins, la nuit. "Les vols ciblaient systématiquement des vélos de valeur ainsi que leurs accessoires", précise le communiqué.

    Des ressortissants moldaves et ukrainiens impliqués

    Devant l'ampleur du phénomène, un groupe d’enquête composé de la Section de recherche d’Orléans et du détachement de l’Office central de lutte contre la délinquance itinérante de Rennes a été mobilisé. Une information judiciaire a été ouverte le 29 septembre à la Juridiction inter-régionale spécialisée de Rennes. L'enquête a permis d'identifier "trois ressortissants moldaves impliqués dans les vols et plusieurs ressortissants ukrainiens impliqués dans une filière de recel des vélos et accessoires volés".

    Alors que cette équipe se préparait de nouveau à commettre un cambriolage en fin de semaine dernière, la filière -des voleurs aux receleurs- a été interpellée le 2 octobre, principalement en région parisienne. Les perquisitions ont permis de découvrir des vélos qui ont été volés lors du dernier cambriolage qui a eu lieu fin septembre à Migné-Auxances (Vienne).

    Les sept personnes interpellées ont été présentées lundi au juge d'instruction de Rennes. La plupart n'avait jamais été condamné. Cinq d’entre eux ont été mis en examen des chefs de "vols en bande organisée, recel en bande organisée de vol commis en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de commettre un crime". Deux autres ont été mis en examen pour "recel en bande organisée de vol commis en bande organisée et association de malfaiteurs en vue de commettre un crime" et ont été placés sous contrôle judiciaire.

    franceinfo


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  • Un homme âgé de 49 ans a été mis en examen et écroué pour le viol d’une femme de 95 ans qui souffre de la maladie d’Alzheimer.

    Le mis en cause a été trahi par un enregistrement audio. Un kinésithérapeute exerçant dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), situé à Châteauneuf-les-Martigues près de Martigues (Bouches-du-Rhône), a été interpellé mardi dernier rapporte La Provence.

    Cet homme âgé de 49 ans est accusé d’avoir violé une pensionnaire de 95 ans, atteinte de la maladie d’Alzheimer. Placé en garde à vue, il a été présenté à un juge d’instruction ce vendredi avant d’être mis en examen pour « viol sur personne vulnérable ». Le quadragénaire a été placé en détention provisoire.

     Des aides-soignants ont prévenu la police

    Ce sont des aides-soignants qui ont donné l’alerte alors qu’ils avaient de forts soupçons. Le mis en cause a été trahi par un enregistrement audio qui avait été installé dans la chambre de la victime.

    Une information judiciaire a été ouverte et les enquêteurs cherchent désormais à déterminer si l’homme n’a pas fait d’autres victimes.

    ACTU 17


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  • Le prévenu va également être jugé pour des violences intrafamiliales commises depuis deux ans.

    Un habitant de Cognac (Charente) âgé de 24 ans va être jugé ce lundi au tribunal correctionnel d’Angoulême dans le cadre d’une comparution immédiate rapporte La Charente Libre. Il lui est notamment reproché d’avoir cassé le bras de son bébé âgé de quatre mois, la semaine dernière.

    Des violences à l’encontre de ses quatre enfants – les siens et ceux de sa compagne – qui seraient récurrentes et pour lesquelles il sera également jugé. Le prévenu est aussi accusé de violences conjugales.

    C’est l’un des enfants qui a dénoncé les faits aux forces de l’ordre précise Sud Ouest. Déjà connu de la justice, le prévenu a alors été placé en garde à vue avant d’être déféré ce samedi.

    ACTU 17


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  • Un jeune homme de 20 ans a été tué en pleine rue à Orly (Val-de-Marne) ce samedi soir.

    Les forces de l’ordre et les secours ont été alertés vers 18h40. Un jeune homme de 20 ans était très grièvement blessé et gisait au sol à l’angle de l’avenue des martyrs de Châteaubriant et de la rue Jean Prouvé à Orly. Les sapeurs-pompiers l’ont pris en charge alors qu’il était en arrêt cardio-respiratoire. Les policiers sont arrivés peu après. Une cinquantaine de personnes se trouvaient sur place.

    Plusieurs autres équipages des forces de l’ordre ont été nécessaires pour établir un périmètre de sécurité afin que les secours ne soient pas gênés. La victime présentait « de multiples plaies de natures diverses » sur le corps et sur la tête a indiqué le parquet ce dimanche, cité par Le Figaro. Cette dernière a été déclarée morte à 19h35 après des tentatives de réanimation.

     

    Le défunt n’était pas connu des services de police et habitait à proximité du lieu des faits. Une autopsie sera pratiquée lundi et permettra de déterminer les causes exactes de son décès.

    Un couteau et une bombe lacrymogène saisis

    Sur place, les policiers ont découvert et saisi des objets ayant pu servir « d’armes par destination » a ajouté le parquet. Selon une source policière, un couteau et une bombe lacrymogène ont été découverts dans des buissons bordant le parc municipal, sans que l’on sache à ce stade si ces deux armes ont été utilisées par le ou les auteurs.

     

    Dans quelles circonstances la victime a-t-elle été tuée ? Des témoins ont évoqué la présence de trois autres suspects qui ont pris rapidement la fuite avant l’arrivée de la police. La piste d’un règlement de comptes ou d’une rixe entre bandes rivales opposant des jeunes d’Orly et de Villeneuve-le-Roi, est étudiée. L’enquête a été confiée aux policiers du Service départemental de police judiciaire (SDPJ).

    ACTU 17

    Ce ne sont pas les gentils jeunes dont parlait Zemmour qui ont pu faire ça !


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  • Il s’agit de la plus grosse prise jamais réalisée en Guyane. Près d’une demi-tonne de cocaïne a été saisie au port de Degrad des Cannes ce jeudi soir.

    Les agents de l’OFAST Antilles-Guyane (Office anti-sutpéfiants) ont de quoi se féliciter de leur travail. Au cours d’une importante opération de police, ils ont saisi pas moins de 540 kilos de cocaïne rapporte le quotidien régional France Guyane. Une centaine de gendarmes a également participé à l’opération.

    « Je ne pense pas que cela ira jusqu’à 540 kg mais l’on peut estimer que le poids affichera plus de 500 kg », a précisé le procureur de la République de Fort-de-France, Renaud Gaudeul, ce samedi.

    Plusieurs suspects en garde à vue

    Au moins un homme a été interpellé après la découverte de 18 sacs de 30 kilos de drogue. Ce dernier est un cadre de la société de transport maritime Somarig mais également un militant syndical des dockers de FO. Le parquet a indiqué que « plusieurs gardes à vue » étaient en cours.

    Les investigations ont été confiées « au regard de l’ampleur présumée du trafic, à la juridiction interrégionale spécialisée de Fort-de-France (JIRS) » a stipulé le parquet.

     

    La cocaïne saisie serait pure à 96% en provenance d’Amérique du Sud et la quantité représenterait plusieurs dizaine de millions d’euros détaille le quotidien. Cette prise est un record en Guyane et l’une des plus importantes depuis le début de l’année en France.

    Deux autres importantes saisies en janvier

    En janvier dernier, 700 kilos de cocaïne avaient été découverts en Gironde et trois suspects avaient été interpellés. Quelques jours plus tôt, 500 kilos de cette même drogue avaient été trouvés dans un chargement de bananes en provenance de Colombie, à Rungis (Val-de-Marne).

    ACTU 17


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  • Un salarié a été licencié pour "faute grave" à Mulhouse (Haut-Rhin) parce qu'il était retourné au travail après avoir passé un test Covid-19 qui s'est avéré positif, a-t-on appris samedi.

     

    "Il en a parlé à ses collègues"

    Le 14 juillet, Sébastien Klem est revenu de Biarritz avec sa fillette de 4 ans et a repris son emploi à l'office HLM de Mulhouse. Selon lui, il n'avait alors qu'une petite toux mais aucun autre symptôme. Deux jours plus tard, c'est dit-il par hasard, en passant près d'un drive de dépistage Covid où il n'y avait pas d'attente, qu'il a décidé de se faire tester. Ensuite, il est retourné à son bureau. Mais le soir-même, Sébastien Klem a été informé que son test était positif. Aussitôt, il a prévenu son employeur afin que des mesures soient prises. L'étage où il travaillait a été fermé et il a été demandé à toutes les personnes présentes de se faire tester. Sébastien Klem a lui été mis en quatorzaine avec sa fille.

    Mi-août ce salarié a reçu une lettre recommandée pour un entretien préalable en vue d'un éventuel licenciement, puis le 24 août sa lettre de licenciement pour faute grave. Selon la direction, "il n'aurait pas dû retourner au travail après le test. On ne fait pas un dépistage si on n'a pas de suspicion". Interrogé par le quotidien les Dernières Nouvelles d'Alsace, le directeur général de l'office HLM, Eric Peter, a accusé son salarié d'être "venu travailler avec des symptômes". "Il en a parlé à ses collègues. Il avait de la toux, de la fièvre, le nez qui coule, les yeux rouges", a-t-il affirmé. 

    "Aujourd'hui il nie les faits. Ces derniers (collègues) nous ont fourni des attestations écrites", a-t-il insisté, assurant que "la réaction de ses collègues a été violente" car "ils ne comprennent pas qu'il soit venu travailler dans ces conditions". "On peut être inconscient mais là c'est de l'irresponsabilité. On ne joue pas avec la vie des gens", a souligné Eric Peter, estimant qu'au vu de "la gravité des faits, il n'y avait "pas d'autre sanction possible".

    Sébastien Klem plaide, lui, la bonne foi, assurant qu'il n'avait eu aucune suspicion avant le test, n'ayant qu'une légère toux. Il a décidé de porter l'affaire devant les prud'hommes. Une convocation de conciliation est prévue le 3 novembre.

    Europe 1


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  • Lamu était une star de Tiktok. Son histoire fait froid dans le dos… Elle a été brûlée vive par son ex-compagnon.

    C’est une histoire glaçante… Elle s’appelait Lamu, elle était blogueuse et très populaire sur TikTok. Cette influenceuse chinoise a été incendiée par son ex-mari. Selon les informations des médias, la jeune femme était en pleine vidéo en direct lorsque son ancien compagnon l’a attaquée. Selon les premiers éléments de l’enquête, il se serait introduit chez elle par effraction avec un briquet et de l’essence. Il l’aurait ensuite attaqué devant ses abonnés, car elle était en direct, mais également devant les membres de sa famille.

     

    Lamu avait des brûlures sur plus de 90 % de son corps. Elle s’est battue à l’hôpital durant plus de deux semaines mais elle est malheureusement décédée suite à ses blessures. Si l’ex-mari a été arrêté par la police, il n’a pas encore confié ses motivations. Selon les rumeurs, ce dernier aurait voulu se venger car Lamu avait demandé le divorce pour violence domestique. Suivie par plus de 782 000 personnes que Douyin, la version chinoise de TikTok, Lamu était une véritable star. Dans la journée du 14 septembre dernier, alors qu’elle chantait une chanson typique du Tibet, ses abonnés ont vu sa publication passée subitement à un écran noir avant d’entre des cris.

    Deux jours après l’agression, sa sœur a pris la parole en lançant un appel pour obtenir une aide financière pour sauver sa sœur. Cette dernière a tout de même récolté environ 125 000 euros et malgré la mobilisation et le travail des médecins, la jeune femme était dans un état désespéré. Mère de deux enfants, elle était battue depuis des années, son ex-mari avait même menacé de tuer l’un de leurs enfants si elle divorçait. Il est depuis mis en examen pour homicide volontaire.

    Public


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  • L’effroyable drame s’est déroulé dans une habitation de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis) ce samedi matin. Le premier bilan fait état de cinq morts dont quatre enfants, ainsi qu’au moins trois blessés graves.

    Terrible scène de crime ce samedi matin dans un logement de la rue Emmanuel Arago à Noisy-le-Sec, où vit une famille d’origine sri-lankaise. La police, les pompiers et le SAMU sont sur place depuis 11h00 environ.

    Selon les premiers éléments, un oncle aurait violemment attaqué les autres membres de sa famille en utilisant un marteau et semble-t-il un couteau. Deux victimes ont été déclarées mortes à l’arrivée des secours puis trois autres vers 12h30. Quatre enfants font partie des défunts, ainsi qu’une femme.

     

    Au moins trois autres personnes sont aussi gravement blessées. Elles ont été évacuées à l’hôpital en état d’urgence absolue. Les victimes se trouvaient à différents endroits dans le pavillon.

    L’alerte a été donnée par l’une des victimes, un adolescent blessé et ensanglanté, qui est parvenu à s’enfuir de la maison et s’est réfugié dans un bar. Le gérant de l’établissement a prévenu la police. Les forces de l’ordre ont ensuite été contraintes d’utiliser un bélier pour casser la porte de l’habitation et pénétrer à l’intérieur.

    Le tueur présumé hospitalisé

    L’auteur présumé des faits a été transporté à l’hôpital Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine) pour être soigné, il est grièvement blessé. Les circonstances exactes des faits ainsi que les motivations de cet homme sont inconnues à ce stade.

    Les policiers du Service départemental de police judiciaire (SDPJ) qui ont été chargés de l’enquête, sont sur place, tout comme un magistrat du parquet.

    ACTU 17


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  • Deux hommes avaient décidé de voler une BMW dans la nuit de jeudi à vendredi à Thiais (Val-de-Marne). Leur tentative a viré au drame. L’un des agresseurs est mort poignardé.

    Les deux voleurs ne s’attendaient sans doute pas à faire face à une telle opposition. Un couple se trouvait à proximité d’une voiture de marque BMW vers 00h30 à l’angle de la rue Hélène Muller et de la rue du Pavé Grignon à Thiais, attendant une autre personne, lorsqu’il a aperçu deux individus arriver. Au moins l’un d’eux était armé d’un couteau. Les agresseurs ont menacé le couple avec l’arme blanche et ont tenté de s’emparer de la voiture.

    Une bagarre a éclaté. La femme a reçu des coups de poing tandis que son compagnon a été blessé à la main en désarmant l’agresseur. Ce dernier a alors tenté de prendre la fuite mais a été rattrapé par sa victime qui l’a poignardé au niveau du thorax à plusieurs reprises. Le second agresseur qui était en train lui aussi de fuir, a été poignardé à son tour au niveau d’une épaule.

    Le voleur blessé a été placé en garde à vue

    L’auteur des coups de couteau est ensuite monté dans une voiture qui passait par là. Déposé à Choisi-le-Roy, il a alors fait appel aux sapeurs-pompiers précise une source policière. Les deux blessés ont été pris en charge par le SAMU. Le premier a été déclaré mort à 01h35 malgré des tentatives de réanimation. Quant au second, il a été transporté à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (XIIIe) et a été placé en garde à vue pour tentative de vol. Ses jours ne sont pas en danger.

    L’homme qui les a poignardés a de son côté était soigné à l’hôpital intercommunal de Créteil. Lui aussi a été placé en garde à vue, tout comme la femme qui l’accompagnait

    La BMW était volée

    Le Service départemental de police judiciaire du Val-de-Marne (SDPJ 94) a été saisi de cette enquête. Les policiers ont rapidement constaté que la BMW avait été volée le 17 septembre dernier à Sète (Hérault). Le mis en cause va donc devoir s’expliquer à ce sujet durant sa garde à vue.

    En outre, les enquêteurs pourront s’appuyer sur les images de vidéosurveillance de la ville de Thiais. Une grande partie des faits qui se sont produits la nuit dernière a en effet été filmée.

    ACTU 17


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  • Oise : un chasseur de 76 ans tué accidentellement par un autre chasseur

    Il était 21h15 lundi 31 août, dans le bois entre Angy et Hondainville dans l'Oise, quand un chasseur âgé de 76 ans s'est fait tirer dessus par son compagnon de chasse. Touché à la cuisse, il est décédé aux alentours de 22h30. 

    Réguler le nombre de sanglier

    Les chasseurs étaient postés sur des miradors et avaient pour mission de traquer les sangliers, responsables d'importants dégâts dans les cultures de maïs notamment. 

    "La victime a quitté son poste, sans avertir son partenaire, raconte Guy Harlé d'Ophove au téléphone. C'est à ce moment-là qu'il s'est fait tirer dessus". 

    Touché à la cuisse, il est rapidement pris en charge par les pompiers. Mais il succombe à ses blessures quelques temps après, vers 22h30.  "La blessure était maîtrisée. Il est mort suite à une crise cardiaque", avance le président de la fédération des chasseurs de l'Oise. 

    L'autopsie prévue jeudi 3 septembre, viendra éclaircir les circonstances de la mort du chasseur. 

    Deux erreurs à l'origine de l'accident

    Ce drame aurait pu être évité si les chasseurs avaient respecté les consignes de sécurité. "Il ne faut jamais quitter son poste sans avertir les autres", rappelle Guy Harlé d'Ophove. Mais selon le président de la fédération des chasseurs de l'Oise, la plus grosse faute reste celle du tireur. "Il y a une règle d'or dans la chasse, c'est qu'on ne doit jamais tirer quand on n'a pas formellement identifié la cible", insiste-t-il. "Chaque année, on martèle ce message pour éviter ce genre de drame : il faut être prudent jusqu'à en être ridicule !". 

    "C'est un drame pour la famille, qui a perdu un être cher, mais aussi pour l'auteur du tir. Sa vie est gâchée, d'autant plus qu'ils étaient amis", 
    regrette Guy Harlé d'Ophove. 


    Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Méru, pour définir les circonstances exactes de l'accident. Le chasseur, lui aussi septuagénaire, devrait perdre son habilité à porter une arme. Selon l'article 221-6 du Code pénal, il encourt jusqu'à 5 ans d'emprisonnement et 75000 euros d'amende.

    France 3

    Quelle tristesse mais ce sont les animaux qui doivent être contents !


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  • Un restaurant casher de la rue Manin, dans le XIXe arrondissement de Paris, a été saccagé dans la nuit de jeudi à vendredi. À l’intérieur de l’établissement, plusieurs tags antisémites ont été retrouvés alors que se déroule ces dernières semaines le procès des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper cacher.

    Des croix gammées, des emblèmes SS et des inscriptions visant les juifs. Le caractère antisémite du saccage d’un restaurant casher de la capitale dans la nuit de jeudi à vendredi ne fait pas de doutes.Les tables, chaises et l’ensemble du mobilier du restaurant situé rue Manin dans le XIXe arrondissement ont été renversées, rapporte un communiqué de l’Union des Étudiants Juifs de France (UEJF). Les inscriptions ont été taguées à la bombe en rouge avec des insultes en direction des « juifs » et à la gloire d’Hitler. Sur la façade du restaurant, la mention « casher » est clairement indiquée.

    Un acte antisémite en plein procès de l’attentat de l’Hyper cacher

    L’UEJF dénonce un nouvel acte antisémite et l’insécurité grandissante des juifs en France. D’autant plus que ce saccage survient en plein procès des attentats de janvier 2015 visant Charlie Hebdo et l’Hyper cacher.

    Quand on tague des croix gammées dans un restaurant casher à Paris, ce n’est pas seulement un acte de vandalisme mais une attaque antisémite qui touche l’ensemble des juifs de France dans leur quotidien, estime Noémie Madar, Présidente de l’UEJF.

    Ouest-France


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  • Le conducteur d’une voiture a refusé le contrôle de police dans la nuit de jeudi à vendredi à Lyon. Il a violemment percuté un autre véhicule dans sa fuite. Le bilan est lourd : un homme a été tué, deux autres personnes ont été évacuées à l’hôpital alors que leur pronostic vital était engagé.

    Un refus d’obtempérer est au départ de ce terrible accident qui a coûté la vie à un homme la nuit dernière vers 3 heures du matin, à l’angle des rues Baraban et d’Aubigny, à Lyon (3e) rapporte Le Progrès. Une patrouille de la Brigade anticriminalité (BAC) se trouvait dans le quartier dans le cadre d’« une enquête sur commission rogatoire d’un juge d’instruction de Lyon ouverte du chef de trafic de stupéfiants » a mentionné le parquet dans un communiqué ce vendredi.

    Les fonctionnaires recherchaient un véhicule pouvant se trouver dans le 3ème arrondissement, après avoir appris qu’une Audi A3 – un go-fast – était passée dans l’est de la ville à pleine vitesse. Selon certaines sources proches du dossier citées par LyonMag, le chauffard au volant de l’Audi a franchi de nombreux feux rouges à une vitesse atteignant 150 km/h.

    Repérés lors de la filature

    Les suspects ont alors changé de voiture dans le secteur de la Part-Dieu et ont embarqué à bord d’une Citroën C4. Les policiers ont repéré ce second véhicule, « un individu prenait la fuite en courant. Le véhicule C4 quittait quant à lui précipitamment son emplacement ». Les fonctionnaires ont décidé de prendre la voiture en « filature discrète ».

    Mais les forces de l’ordre ont été repérées peu après. Le conducteur de la C4 a alors coupé ses feux et s’est mis à accélérer. « Les policiers de la BAC décidaient alors de procéder à son contrôle » et ont donc allumé leur gyrophare et leur sirène. Le fuyard a refusé de s’arrêter et a pris la fuite, avant de percuter violemment cet autre véhicule à l’angle des rues Baraban et d’Aubigny. Le véhicule percuté a été « projeté à plusieurs mètres sous l’effet du choc », précise-t-on.

     

    Alors que les secours arrivaient, les policiers ont interpellé les occupants de la C4 « non sans difficulté en raison de leur résistance. Ils étaient immédiatement placés en garde à vue, mais transportés à l’hôpital pour examen médical eu égard à la violence du choc. »

    Deux enquêtes ouvertes

    Une trentaine de sapeurs-pompiers ont été déployés pour venir en aide aux victimes. Un homme qui se trouvait dans le véhicule percuté, est décédé. Le pronostic vital de deux autres personnes est engagé a indiqué le parquet. Trois autres personnes auraient également été grièvement blessées puis évacuées à l’hôpital en état d’urgence absolue ajoute Le Progrès. Les victimes seraient toutes des hommes âgés d’une vingtaine d’années.

    Deux enquêtes ont été ouvertes suite à cette affaire. « La première, réalisée initialement sur commission rogatoire du juge d’instruction de Lyon portant sur des faits d’importation et de trafic de stupéfiants et confiée à la DIPJ ».

    La second enquête porte sur des faits d’homicide involontaire et blessures involontaires aggravés. Elle a été confiées aux policiers de la Direction départementale de la sécurité publique du Rhône (DDSP 69).

    ACTU 17


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