• Christophe Castaner : l’ancien ministre de l’Intérieur testé positif à la Covid-19

    Ce lundi 26 octobre, des sources parlementaires citées par l'AFP ont indiqué que Christophe Castaner avait été testé positif au coronavirus. L'ancien ministre de l'intérieur est actuellement à l'isolement.

    Le coronavirus n’épargne personne, pas même les politiques. Au mois de septembre, Jean Castex a été contraint à l’isolement après avoir été en contact avec le directeur du Tour de France, Christian Prudhomme, testé positif à la Covid-19. Si les résultats de son test de dépistage se sont avérés négatifs, le Premier ministre a dû rester en quarantaine à Matignon pendant sept jours. Une mesure stricte à laquelle Brigitte Macron a elle aussi été soumise il y a seulement quelques jours. Lundi 19 octobre, l’entourage de la Première dame a indiqué qu’elle avait été « en contact le jeudi 15 octobre avec une personne déclarée positive à la Covid-19 ». Asymptomatique, l’épouse du président de la République a ensuite été testée négative.

    Christophe Castaner a contracté le coronavirus

    Mais tout le monde n’a pas la même chance. Ce lundi 26 octobre, Christophe Castaner a été déclaré positif au coronavirus. « Le président du groupe LREM à l’Assemblée et ex-ministre de l’Intérieur […] a été testé positif à la Covid-19 et est actuellement "à l’isolement" », ont indiqué des sources parlementaires à l’AFP, confirmant ainsi une information de BFMTV. Contacté par 20 Minutes, un député de la majorité a révélé que l’annonce aurait été faite à des membres de La République en Marche « il y a quelques jours ». Âgé de 54 ans, l’ancien membre du gouvernement continuera d’exercer ses fonctions à distance. Selon un décompte de l’AFP, « au moins une dizaine de députés ont été testés positifs au coronavirus ces derniers jours ».

    Voici


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  • Lyon: plus de trois tonnes de déchets repêchés dans la Saône et le Rhône

    Chaque année, un groupe de bénévoles de l'association lyonnaise Odysseus tente de nettoyer les fonds du Saône et du Rhône.

    Ce samedi matin, les bénévoles de l'association Odysseus sont partis à la pêche aux déchets dans la darse de Confluence, un bras de la Saône qui traverse Lyon. Un petit cours d'eau où les riverains viennent souvent jeter n'importe quoi. Dans le butin des bénévoles: des bouteilles en verre, des canettes, des chaussures, des sacs plastiques, mais aussi des chaises et des trottinettes électriques.

    Au total, trois tonnes de déchets ont été collectés, dont 82 trottinettes électriques.

    "Elles étaient situées à côté des berges au moment où elles ont été jetées. Mais le temps passe et les crus et le courant les ramènent dans le chenal où elles sont plus difficiles à repêcher", explique Lionel Rard, président de l'association Odysseus.

    Problème: ces trottinettes peuvent être responsables d'une importante pollution de l'eau. "A force, les batteries au lithium s'ouvrent et dégagent leur substance nocive", détaille Lionel Rard.

    BFM.TV


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  • Des passagères australiennes ont rapporté avoir subi des examens corporels poussés à l’aéroport de Doha, au Qatar, le 2 octobre dernier. L’aéroport cherchait à identifier la mère d’un nouveau-né prématuré abandonné dans les toilettes. Le bébé se trouve en bonne santé.

    Les faits remontent au 2 octobre dernier et ont été révélés par la télévision australienne Seven News. Des passagères ont subi de force des examens corporels poussés à l’aéroport international Hamad, à Doha.

    L’aéroport de la capitale qatarie dans un communiqué qu’il avait été demandé à des femmes « de participer » à des requêtes visant à localiser la mère d’un nouveau-né prématuré abandonné dans les toilettes.

    Forcées à faire des frottis

    Ces femmes, dont le nombre n’a pas été précisé, ont été débarquées d’avions et conduites dans des ambulances où elles ont subi des examens pour savoir si elles avaient accouché récemment.

    « (Les fonctionnaires) forçaient les femmes à subir des examens corporels essentiellement des tests forcés de Papanicolaou (des frottis, ndlr) », a déclaré dimanche à l’AFP une source à Doha qui a été informée d’une enquête interne sur l’incident.

    L’aéroport international de Doha a indiqué que « le personnel médical avait exprimé ses inquiétudes aux responsables de l’aéroport concernant la santé et le bien-être d’une mère qui avait juste donné la vie et demandé à la localiser avant qu’elle ne parte ».

    « Les individus ayant eu accès au secteur de l’aéroport où le nouveau-né a été trouvé ont été invités à participer aux recherches », ont poursuivi les autorités aéroportuaires sans préciser ce qui avait été demandé aux femmes interrogées, ni leur nombre.

    Une enquête en cours

    En raison de l’incident, l’un des vols, le QR908 de Qatar Airways à destination de Sydney, a eu quatre heures de retard, selon le site de surveillance Flight Radar 24.

    Des femmes d’autres pays et d’autres vols ont subi des examens similaires. Une enquête est en cours au Qatar, selon Seven News.

    L’aéroport de Doha a appelé dimanche à ce que la mère du bébé se manifeste, laissant penser que les examens n’avaient servi à rien. « Le nouveau-né reste non-identifié, mais il est en bonne santé aux mains du personnel médical et social », a indiqué l’aéroport, appelant toute personne ayant des informations sur la mère à les communiquer.

    Le ministère australien des Affaires étrangères et du Commerce a indiqué à Seven News avoir « fait officiellement part aux autorités » du Qatar de ses « graves inquiétudes concernant l’incident ». Il a ajouté avoir « reçu l’assurance que des informations détaillées et transparentes sur l’événement seraient bientôt fournies » par le Qatar.

    Le Qatar pratique loi islamique qui punit sévèrement les femmes qui tombent enceinte hors mariage. Sollicitée dimanche, la compagnie Qatar Airways n’a pas fait de commentaires.

    Ouest-France


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  • Trois hommes âgés de 26 à 33 ans ont été condamnés chacun à cinq ans de prison

    Ils ont sillonné la Côte d'Azur pendant deux ans, entre 2017 et 2019, et amasser plusieurs centaines de milliers d’euros, soutirées à des dizaines de personnes âgées. Spécialistes du vol par ruse, trois hommes qui se faisaient passer pour des plombiers, des électriciens et même des policiers auprès de leurs victimes ont été condamnés chacun à cinq ans de prison par le tribunal correctionnel de Nice, rapporte Nice-Matin.

    Et selon le quotidien régional, le modus operandi était toujours le même. Pendant que Michael K., 29 ans, faisait mine d’effectuer son travail de vérification ou de réparation, son frère Akim K. et son beau-frère Georges F., 26 et 33 ans, fouillaient les lieux à la recherche essentiellement de bijoux et d’argent. Ils auraient notamment réussi à repartir d’une résidence de la promenade des Anglais avec un diamant estimé à 900.000 euros selon sa propriétaire.

    20 Minutes


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  • Une mère au foyer a été tuée vendredi soir (samedi matin à Paris) à coups de poings par son conjoint, sur l'île de Maupiti, en Polynésie française, et le meurtrier présumé a été placé en garde à vue, a révélé la chaîne locale Polynésie Première.

    Un homme "violent de manière générale"

    L'auteur présumé a frappé sa concubine au visage devant deux témoins, lors d'une soirée "très arrosée", selon le maire. Cette soirée avait lieu au domicile des conjoints, tous deux âgés de 42 ans et parents de trois enfants. Les pompiers ont tenté de réanimer la victime en pratiquant 40 minutes de massage cardio-respiratoire, mais Mélissa est décédée sur place. L'homme a reconnu les faits mais n'a évoqué aucun mobile.

    "Il m'a simplement dit : 'Tant pis, je vais assumer', il n'avait pas l'air d'avoir des regrets", a déclaré à l'AFP le maire de Maupiti, Woullingston Raufauore, arrivé sur place peu après le drame. Non loin de Bora Bora, Maupiti est une île appréciée des touristes, surtout connue pour son lagon turquoise où séjournent des raies manta, et pour ses pétroglyphes gravés par les Polynésiens d'autrefois. "Il n'y a jamais de faits divers graves ici, il y a bien déjà eu un meurtre de cette nature, mais c'était il y a plus de 30 ans", regrette le maire. Il reconnaît toutefois que l'homme était "violent de manière générale et avait aussi eu des altercations avec les gendarmes". En dépit de violences conjugales à répétition, ni la concubine, ni son entourage n'avaient porté plainte.

    Au moins 59 féminicides depuis le début de l'année

    L'auteur présumé a été conduit en avion à Papeete, où il a été placé en garde à vue à la gendarmerie. Le parquet a indiqué qu'il allait requérir la détention provisoire lors du défèrement prévu dimanche. Le corps de la victime sera autopsié en début se semaine à Tahiti, toujours selon le parquet.

    Cette affaire porte à au moins 59 le nombre de féminicides présumés depuis le début de l'année, selon un décompte de l'AFP. En 2019, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, soit 25 de plus que l'année précédente, selon les derniers chiffres officiels.

    Europe 1


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  • Au moins six élèves âgés de 9 à 12 ans ont été tués et plusieurs autres blessés dans un massacre perpétré dans une école à Kumba, dans la région anglophone du Sud-Ouest samedi 24 octobre, selon le bilan communiqué dans la soirée par le Premier ministre camerounais.

    C'était un jour de classe comme un autre, dans ce collège privé situé en plein cœur de la ville de Kumba. Quand soudain, en fin de matinée, des hommes armés non identifiés ont débarqué. Selon des témoignages, ils ont ouvert le feu sur plusieurs élèves dans une rage qui a déclenché un véritable carnage avant de disparaître aussi mystérieusement qu'ils sont arrivés. Derrière eux, des corps sans vie, des blessés, du sang, des larmes, de l'horreur, rapporte notre correspondant à Yaoundé, Polycarpe Essomba.

    Le Premier ministre a évoqué dans la soirée samedi un bilan de six morts parmi les élèves. L'ONU recense elle huit morts. « Au moins huit enfants ont été tués par des coups de feu et des attaques à la machette. Douze autres ont été blessés et emmenés dans des hôpitaux locaux », a indiqué le bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) au Cameroun dans un communiqué.

    Vague d'émotion

    Les premières images de ce massacre n'ont pas tardé à circuler sur les réseaux sociaux, entraînant avec elles un flot d'indignations comme on en n'a rarement observé, depuis bientôt quatre ans que dure ce conflit en zone anglophone. Des hommes politiques de tous bords, des ONG, des artistes, des citoyens ordinaires, avec souvent les mêmes interrogations : qui peut être aussi fou pour ouvrir le feu sur d'innocents enfants ? Au nom de quelle cause ? Jusqu'où va-t-on pousser l'horreur ? Questions pour la plupart sans réponse.

    La ville de Kumba s'est quant à elle drapée du voile du deuil, pendant que le pays tout entier peine à contenir sa douleur et son émotion.

    « Horreur absolue »

    René Sadi, le porte-parole du gouvernement, condamne « avec la dernière énergie les auteurs de cet acte odieux, lâche et abominable, perpétré contre des jeunes innocents ». Il accuse « les rebelles sécessionnistes » d'être à l'origine de l'attaque et annonce l'ouverture d'une enquête. Idem pour le Premier ministre Joseph Dion Ngute, sur Twitter, qui a organisé une réunion d'urgence après l'attaque.

    Maurice Kamto, leader de l'opposition, a parlé d'« horreur absolue ». « Combien de morts faut-il encore pour qu'une solution politique ramène la paix dans le NOSO (Nord-Ouest et Sud-Ouest, les deux régions anglophones) ? », a-t-il réagi.

    Plusieurs voix de la société civile demandent pour leur part une enquête indépendante pour déterrminer s'il s'agit de combattants sécessionnistes ou de miliciens, et l'ouverture d'un dialogue politique pour régler le conflit. C'est le cas de Maximilienne Ngo Mbe, directrice exécutive du Redhac, le réseau des défenseurs des droits humains en Afrique centrale.

    RFI

    De vrais sauvages !


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  • Une société russe découvre la plus importante réserve d'or au monde !

    Polyus Gold a annoncé avoir repéré un gisement d’environ 40 millions d’onces, soit 1.134 tonnes, d’or dans une mine sibérienne.

    C’est une découverte qui va rapporter gros ! La plus grande société minière de Russie a annoncé avoir découvert un gisement d’or encore inexploité. Un véritable trésor pour Polyus Gold puisqu’il s’agirait tout simplement de la plus importante réserve au monde, détaille Bloomberg. Le gisement se situe sur la mine sibérienne de Sukhoi Log et représenterait environ 40 millions d’onces, soit 1.134 tonnes avec une teneur en or moyenne de 2,3 grammes par tonne. Le gisement représente à lui seul un quart des réserves d’or russes.

    La mine de Sukhoi Log est située dans la région isolée d’Irkoutsk en Sibérie. Elle avait été découverte par des géologues soviétiques en 1961. Après avoir longtemps cherché à se débarrasser de ce gisement, le gouvernement russe a fini par le vendre à la compagnie minière Polyus. Selon la société, les coûts de production pour cet énorme gisement pourraient atteindre 2,5 milliards de dollars.

    Record pour l’or en août

    "Nous sommes satisfaits des résultats. La publication de la première estimation des réserves de minerai représente une étape importante pour la stratégie de développement à long terme de Polyus et confirme la position de Sukhoi Log comme l'un des gisements d'or de plus haut calibre au monde", a déclaré Pavel Grachev, directeur général de Polyus, dans un communiqué.

    Les réserves découvertes cette semaine pourraient permettre une production annuelle totale d’environ 1,6 million de tonnes, détaille le Financial Times. Le gisement devrait également inciter l’entreprise minière russe à augmenter sa production annuelle d’au moins 70%.

    Reste que le gisement est compliqué à exploiter et que la société russe va devoir développer d’importantes technologies pour y accéder. Mais les efforts pourraient s’avérer payants alors que le prix de l’or a atteint un record en août. Selon Forbes, cette découverte représente également une aubaine pour l’actionnaire majoritaire de Poluys. Avec cette annonce, Suleiman Kerimov est en effet devenu l’homme le plus riche de Russie.

    Capital


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  • Le policier qui a tué par balles un automobiliste mi-octobre à Poissy (Yvelines) après une course-poursuite a été mis en examen pour homicide volontaire, a-t-on appris samedi auprès du parquet de Versailles, fragilisant la thèse de la légitime défense avancée après les faits.

    "Les premiers éléments de l'enquête (...), l'autopsie et les éléments techniques n'ont pas permis pour l'instant d'aller dans le sens de la légitime défense", a déclaré le ministère public à l'AFP, confirmant une information du Parisien.

    Une longue course-poursuite

    Mis en examen mercredi, ce policier de la brigade anticriminalité (BAC) Paris a été placé sous contrôle judiciaire. Dans la nuit du samedi 17 octobre, il a tué un automobiliste de 28 ans après une longue course-poursuite entamée dans la capitale. Selon une première version des faits présentée par le parquet et une source policière quelques heures après l'incident, il avait ouvert le feu sur le véhicule au moment où celui-ci lui fonçait dessus.

     

    Europe 1

    Une honte, à la place des flics, je laisserai courir les truands !


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  • Après 30 années passées à se cacher des autorités, un Chinois de 52 ans a finalement décidé de se livrer aux autorités. Mais celles-ci ne l’avaient jamais recherché.

    30 ans de cavale pour… rien. On pourrait croire à la parodie d’un film d’action et pourtant, cette histoire est bien réelle. Après une cavale de 30 ans, un Chinois de 52 ans, a finalement décidé de se rendre à la police. Mais c’est une fois au commissariat que l’homme s’est rendu compte que les autorités ignoraient totalement son existence.

     

    Alors, quel évènement a bien pu pousser cet homme du nom de Zhou à partir en cavale durant trois décennies? Dans les années 1990, une bagarre éclate à Yinchuan, dans le nord-ouest de la Chine, dans laquelle Zhou est impliqué.

    Selon le média Global Times, qui relaie une information de Beijing News, l’homme craint alors d’avoir grièvement blessé l’un des participants et décide de s’enfuir. Le lendemain, il revient sur les lieux et découvre avec horreur la présence d’une voiture de police.

    30 années à vivre dans la peur

    Zhou prend peur et décide de disparaître, persuadé d’être impliqué dans cette affaire et que la police est à sa recherche. S’en suit une cavale de 30 ans, pendant laquelle l’homme va vivre dans la plus grande discrétion.

    Rongé par les remords, il décide finalement de se rendre à la police, persuadé qu’il va finir ses jours en prison. Zhou va alors découvrir qu'il n'a jamais été recherché par les autorités et que toute cette histoire n’était qu’un vaste malentendu. Selon Beijing News, l’ex-fugitif a éclaté en sanglots, en songeant à toutes ces années "qu’il avait gâchées".

    RMC


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  • Côtes-d’Armor. Un jeune de 20 ans et un septuagénaire tués dans un choc frontal à Plaintel

    Un dramatique accident s’est produit ce samedi 24 octobre 2020, vers 9 h 30, sur la route départementale 790 reliant Saint-Brieuc à Rostrenen, à hauteur de Plaintel (Côtes-d’Armor). Deux hommes ont perdu la vie, un jeune âgé d’environ 20 ans et un septuagénaire.

    Terrible accident de la route ce samedi 24 octobre, en milieu de matinée, peu avant 10 h, dans les Côtes-d’Armor. Deux voitures sont entrées en collision dans un choc frontal en ligne droite, sur la route départementale 790 (axe Saint-Brieuc-Quintin), à Plaintel, près du rond-point de Malakoff, au lieu-dit Raussan.

    Deux jeunes vivant dans le Centre-Bretagne

    Le choc a été très violent sur cet axe limité à 80 km/h. L’avant des deux voitures, dont l’une tractait une remorque, a été broyé. Dans l’un des deux véhicules, un homme de 75 ans, habitant dans une commune proche de Saint-Brieuc, a été tué sur le coup. Il roulait en direction de Quintin.

     

    L’autre voiture, arrivant dans le sens inverse, transportait deux jeunes, âgés de 20 et 21 ans et originaires du canton de Rostrenen. Le passager a également perdu la vie. Le conducteur a été pris en charge dans un état grave par les pompiers et le Smur, avant d’être transporté au centre hospitalier Yves-Le Foll de Saint-Brieuc.

    Si l’un des deux véhicules semble s’être déporté sur la voie de gauche, les enquêteurs de la gendarmerie restaient dans le flou, samedi soir, sur les circonstances précises de ce drame. La brigade de Quintin, compétente sur le secteur, va poursuivre ses investigations (auditions, analyses toxicologiques...) pour tenter d’y voir plus clair.

    Cet accident a mobilisé de nombreux moyens de secours samedi matin, et a engendré la fermeture de cet axe, l’un des principaux du département. Les pompiers ont dépêché trois ambulances et un engin de secours routier, en provenance des casernes de Saint-Brieuc, de Trégueux (Le Perray) et Quintin.

    Ouest-France


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  • La jeune fille musulmane bosniaque avait été tondue par sa famille parce qu'elle fréquentait un jeune Serbe chrétien.
     

    Cinq membres de la famille de la jeune fille bosniaque tondue, ses parents et leurs trois enfants, ont été expulsés ce samedi matin, a annoncé le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin dans un communiqué de presse.

    "La famille Zairovith" a été reconduite "à Sarajevo", capitale de la Bosnie-Herzégovine, précise le document. En août dernier, la jeune fille musulmane, âgée de 17 ans, avait été frappée et tondue par sa famille parce qu'elle fréquentait un jeune Serbe chrétien, affaire qui avait provoqué un vif émoi dans le pays.

    "Cette expulsion du territoire national fait suite aux comportements inadmissibles de cette famille en août dernier (coups et tonte d'une adolescente amoureuse d'un jeune homme serbe d'une autre confession)", a détaillé le ministre.

    Condamnés à un an d'emprisonnement dont quatre mois avec sursis

    Les parents ont été condamnés par le tribunal correctionnel ce vendredi soir par le tribunal correctionnel de Besançon à un an d'emprisonnement dont quatre mois avec sursis, ainsi qu'à une interdiction de territoire français de cinq ans. Ils ont été interpellés dès la fin de leur procès. L'oncle et la tante de la jeune fille, condamnés à la même peine que les parents, bénéficient du statut de réfugié.

    Réagissant à cette affaire en août dernier, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, avait estimé que ces derniers, arrivés en France en 2016, n'avaient "rien à faire sur le sol national".

    Après leur interpellation, les cinq membres de la famille de la jeune fille ont été acheminés au Centre de rétention administrative de Metz, puis conduits ce samedi matin à Nancy pour rallier Sarajevo, a précisé l'entourage de Gérald Darmanin à l'Agence France-Presse.

    "La punir, pour qu'elle ne sorte plus"

    "Cette adolescente est prise en charge par l'aide sociale à l'enfance", a ajouté le ministre. La jeune femme obtiendra "un titre de séjour", à sa majorité.

    A l'audience, la jeune fille et la famille de son petit ami, présente au moment des faits le 17 août, ont affirmé qu'elle avait été emmenée dans sa chambre, molestée par les quatre adultes et tondue par son oncle.

    Les parents, l'oncle et la tante ont reconnu pour leur part une ou deux claques, tout au plus, et soutenu que c'était son père qui l'avait rasée pour "la punir, pour qu'elle ne sorte plus" après une fugue de quatre jours avec le jeune homme, de trois ans son aîné.

    BFM.TV

    Expulsés juste 5 ans,  quant à l'oncle et la tante, réfugiés, pas expulsés !

    Il fallait les expulser à  vie !


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  • Une femme de 88 ans a été retrouvée morte à son domicile à Valenciennes (Nord) ce jeudi soir.

    Macabre découverte dans une maison de Valenciennes ce jeudi soir vers 19h30. Une femme a alerté la police car elle venait de retrouver sa mère de 88 ans sans vie, dans sa maison située sur l’avenue Faidherbe.

    Sur place, les policiers n’ont pu que constater le décès de l’octogénaire. La piste d’une morte naturelle a rapidement laissé place à celle d’un homicide volontaire précise une source proche de l’enquête. La victime avait une écharpe nouée autour du cou, laissant penser qu’elle a pu être étranglée, et les enquêteurs ont retrouvé de nombreuses traces de sang dans l’habitation. Le logement était également dans un grand désordre, ce qui n’était pas habituel pour l’habitante.

     

    Les techniciens de la police scientifique se sont rendus sur place afin de procéder à des relevés de traces et indices. Les policiers espèrent être en capacité d’isoler un ADN qui pourrait amener à l’identification d’un ou plusieurs suspects.

    Cambriolage qui tourne mal ? Homicide volontaire ? Qui en voulait à cette femme de 88 ans ? Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat local pour l’heure. Une autopsie doit être pratiquée.

    ACTU 17


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  • La victime a été conduite en état d’urgence relative à l’hôpital.

    Les sapeurs-pompiers ont été appelés ce vendredi soir pour intervenir au domicile d’un homme habitant dans la rue Boileau à Lyon (6e). Ce dernier était inconscient à son domicile. Une fois sur place, l’homme qui est âgé d’une cinquantaine d’années s’est soudainement réveillé et a porté de nombreux coups aux deux pompiers, un caporal et un adjudant.

    L’un des soldats du feu âgé d’une vingtaine d’années a été grièvement blessé et conduit à l’hôpital Edouard Herriot (3e) alors qu’il était en état d’urgence relative. Il est hospitalisé.

    L’homme infecté par la Covid-19

    L’agresseur a été interpellé et placé en garde à vue. Ce dernier était alcoolisé au moment des faits. Il est également malade du Covid-19 précise le syndicat Sud-Sdmis. « Encore une fois le calme de l’équipage et l’absence de réaction des sapeurs-pompiers à permis de « limiter la casse » : jusqu’à quand cela va-t-il durer ? », s’interroge l’organisation syndicale sur Facebook.

    Plus de 200 sapeurs-pompiers avaient manifesté à Lyon au début du mois pour dénoncer les agressions dont ils sont régulièrement victimes.

    ACTU 17


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  • Tags sur une école à Lyon : le maire du 8e, les professeurs et les élèves menacés de décapitation

    Des tags ont été découverts sur une école du 8ème arrondissement de Lyon ce samedi matin. Il s’agit de menaces de mort visant le maire de l’arrondissement mais également les professeurs et les élèves de l’école.

    « Le maire du 8e on va te décapiter la tête », « Continuez, on va vous décapiter les profs et les élèves ». Ce sont les menaces qui ont été taguées sur l’école Philibert Delorme, située au 159 route de Vienne à Lyon, et découvertes ce samedi matin.

    Ces messages visent Olivier Berzane, le maire EELV du 8ème arrondissement, mais également les enseignants et les élèves. « Est-ce un acte isolé de quelqu’un ne sachant pas quoi faire de sa soirée ou une menace sérieuse ? C’est dans tous les cas d’une violence extrême », a réagi l’élu, au Progrès« C’est de la haine gratuite », a-t-il ajouté. Olivier Berzane a déposé plainte. Les inscriptions doivent être nettoyées dans la journée.

     ACTU 17

     


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  • Une mère de famille et ses enfants ont été séquestrés à leur domicile jeudi 22 octobre à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), rapporte ce vendredi France Bleu Paris. Les faits se sont produits en plein jour. D'après une source policiaire contactée par France Bleu, en fin de matinée, sept cambrioleurs "gantés et masqués" se sont introduits dans un appartement d'Aubervilliers. Ils ont attaché la mère pour la forcer à dévoiler où elle cachait ses économies. Les enfants ont été emmenés dans une autre pièce et retenus à cet endroit.

    Finalement, les malfaiteurs sont repartis avec 1 000 euros en liquide et des cartes bancaires. Ils ont détaché leurs victimes avant de s'enfuir. Une fois libérée, la femme a averti la police. Plus tard dans la journée, deux hommes suspectés d'appartenir à ce "gang" ont été interpellés. Les cinq autres sont toujours recherchés.

    franceinfo


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  • Le policier blessé et a déposé plainte contre le chauffard âgé de 23 ans, qui a été remis en liberté.

    Un contrôle refusé et un policier blessé. Encore. Il était 18 heures ce mercredi à Agen (Lot-et-Garonne) lorsqu’une patrouille de police a quitté sa place de stationnement. Les fonctionnaires ont alors aperçu un homme au volant d’une Renault Kangoo arrivant à pleine vitesse, qui a fait un écart et s’est arrêté un peu plus loin raconte Sud Ouest.

    Ce dernier est sorti de son véhicule pour s’en prendre verbalement aux forces de l’ordre, qui étaient en tenue d’uniforme… dans une voiture banalisée. Un détail que le chauffard n’avait certainement pas remarqué. Les policiers ont ordonné à cet homme de s’arrêter pour un contrôle.

     

    Mais le suspect a refusé et a redémarré. Alors qu’il était arrêté un peu plus loin, l’un des fonctionnaires s’est penché dans l’habitacle de la Kangoo pour se saisir des clefs de contact. Mais le chauffard a une nouvelle fois redémarré, traînant le policier sur plusieurs mètres avant que ce dernier ne réussisse à couper le contact.

    Cinq jours d’ITT

    Le mis en cause âgé de 23 ans a été interpellé et placé en garde à vue. Ce dernier avait consommé des produits stupéfiants au moment des faits. Le policier a été blessé et s’est vu attribuer 5 jours d’Incapacité totale de travail (ITT). Il a déposé plainte.

     

    Au cours de ses auditions, le jeune chauffard a expliqué qu’il n’avait « pas que ça à faire » pour justifier son geste et ce refus d’obtempérer. L’homme a été remis en liberté, il sera convoqué ultérieurement par la justice pour répondre de ses actes.

    ACTU 17

    Quelle justice de merde !

    Pas de raison pour que ce genre d'acte s'arrête !


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  • Pas moins de 122 enquêtes ont été ouvertes contre cet homme de 52 ans en Allemagne. Il a été interpellé à Rumersheim-le-Haut, près de Mulhouse (Haut-Rhin).

    Un Italien âgé de 52 ans a été interpellé vendredi 16 octobre à Rumersheim-le-Haut rapporte Le Monde. L’homme était visé par un mandat d’arrêt européen lancé par l’Allemagne, où il est accusé d’avoir commis 160 viols et agressions sexuelles a précisé la police.

    Les faits présumés se sont produits entre 2000 et 2014. Le mis en cause est accusé d’avoir violé ou abusé sexuellement des enfants de ses compagnes, de plusieurs enfants de ses proches mais également de sa petite fille née en 2000 durant une dizaine d’années.

     

    Au total, ce sont 122 enquêtes qui ont été ouvertes à son encontre en Allemagne a ajouté la brigade nationale de recherche des fugitifs (BNRF). Le suspect avait récemment fuit en Alsace.

    Localisé puis interpellé par la BRI

    Les forces de l’ordre avaient été alertées le 7 octobre dernier par leurs collègues allemands. Cosimo Chionna a ensuite été localisé le 10 octobre en France. La police judiciaire de Strasbourg a alors été saisie de l’enquête. Une surveillance a été mise en place et le véhicule du fugitif, un combi van, a été repéré à Rumersheim-le-Haut détaille BFMTV. Des plaques françaises avaient été installées dessus.

     

    Ce sont les policiers de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de Strasbourg qui ont interpellé le quinquagénaire qui se trouvait au domicile de l’une de ses compagnes.

    L’homme qui est inconnu des services de police français, a été écroué à la prison de Colmar, le temps qu’il soit remis aux autorités allemandes.

    ACTU 17


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  • Indonésie: onze mineurs tués dans un glissement de terrain

    Onze mineurs sont décédés dans un glissement de terrain provoqué par de fortes précipitations en Indonésie, ont annoncé jeudi les autorités.

    Au moment de l'accident, qui s'est produit mercredi, les victimes se trouvaient à environ 20 mètres sous terre dans une mine de charbon illégale située près d'un village de la province de Sumatra du Sud.

    "En raison des fortes pluies qui se sont récemment abattues dans la région, la terre n'était pas ferme" et "les normes de sécurité étaient largement ignorées", a indiqué un fonctionnaire de l'agence de gestion des catastrophes, Ansori, qui ne porte qu'un seul nom comme nombre d'Indonésiens.

    Les corps de toutes les victimes ont été retrouvés, a-t-il précisé.

    Les mines illégales, courantes en Indonésie, sont le théâtre de fréquents accidents. 

    Au début de l'année, neuf personnes étaient décédées lors d'un glissement de terrain dans une mine d'or abandonnée dans la province de Sumatra occidental.

    L'an passé, au moins seize personnes avaient été enterrées vivantes dans une mine qui s'était effondrée dans la province de Sulawesi du Nord.

    Quelques mois plus tôt, cinq mineurs avaient péri dans un accident similaire dans une mine illégale de la même région.

    AFP


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  • La victime avait été frappée, brûlée et extorquée

    Pendant un an et demi, il a vécu l’enfer. Entre janvier 2016 et avril 2017, un homme de 55 ans a été la victime d’un couple qu’il hébergeait à son domicile de Bouxières-aux-Dames, en Meurthe-et-Moselle. Il a été frappé, brûlé mais aussi délesté de 35.000 euros, d’après L'Est Républicain.

     

    Tous ces méfaits avaient finalement été découverts grâce à la mère du quinquagénaire, qui avait donné l’alerte. Les deux accusés, Oilid Zaouari et sa compagne Emilie Poutot, étaient jugés cette semaine devant la cour d'assises de Nancy. Le premier, qui a reconnu les actes de torture et de barbarie a écopé de vingt ans de prison. Quant à la deuxième, qui n’aurait pas pris part aux violences mais n’a rien dit, elle a été condamnée à sept années de réclusion.

     

    La victime n’a pas assisté au procès. « Il n’est toujours pas capable de supporter le regard de son tortionnaire. Ces deux-là n’ont pas fait que lui briser les os, ils lui ont volé son âme », a expliqué son avocat, Maître Behr, dans des propos rapportés par le quotidien régional.

    20 Minutes


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