• La soirée festive s’est terminée soudainement au milieu de la nuit dans un appartement du VIIIe arrondissement de Paris. Le propriétaire des lieux venait d’expulser les 200 personnes qui se trouvaient à l’intérieur. L’homme a été roué de coups par des fêtards mécontents.

    Les boites de nuit sont fermées depuis plusieurs mois maintenant à Paris mais également partout en France à cause de la situation sanitaire liée au coronavirus. Les samedis soirs ne sont donc pas les mêmes pour les amoureux des nuits festives et arrosées, qui sont donc contraints de trouver des alternatives. Les réceptions à domicile se sont multipliées et certains n’hésitent pas à trouver de nouvelles solutions pour réunir leurs amis.

    Un homme avait loué son appartement parisien situé sur l’avenue du Président Wilson (VIIIe), près du pont de l’Alma, par intermédiaire du site Airbnb ce week-end. Au beau milieu de la nuit de samedi à dimanche, vers 3 heures, il a reçu un appel d’un autre habitant de l’immeuble. Ce dernier était excédé par le tapage venant de son appartement, où il y avait visiblement beaucoup de monde.

     

    Le propriétaire des lieux a décidé de se rendre sur place afin de remédier à la situation. Il a alors constaté que la personne qui avait loué son logement avait invité pas moins de 200 fêtards. Au milieu du vacarme, l’homme a exigé que cette foire se termine immédiatement et que les convives quittent les lieux.

    Frappé et volé par deux hommes

    Mais la situation ne s’est pas conclue aussi vite que prévu. Face à la réticence des fêtards, le propriétaire a donc décidé de couper l’électricité. Ces derniers n’ont pas eu d’autres choix que de partir. Deux participants s’en sont alors violemment pris à lui et l’ont roué de coups. Durant l’agression, ils lui ont également volé sa montre de marque « Breguet » d’une valeur estimée à 45 000 euros. L’homme a alors alerté la police. A l’arrivée des forces de l’ordre, les auteurs avaient déjà pris la fuite.

    Une enquête a été ouverte et le propriétaire des lieux a déposé plainte. Ce dernier n’a été que légèrement blessé.

    ACTU 17

    Peut-être l'un sera t-il pris quand il vendra la montre  Breguet


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  • Les employés d’une boucherie du 8e arrondissement de Lyon ont été pris pour cible par un groupe d’adolescents ce samedi. Ces derniers leur ont reproché de vendre du porc.

    Un petit groupe d’adolescents, certains n’ayant que 12 ans, ont pris pour cible une boucherie située avenue Paul Santy à Lyon ce samedi 19 septembre vers 16 heures rapporte Le Progrès. Les employés ont d’abord reçu des insultes. « Ils nous reprochaient de vendre du porc », affirme l’un d’eux.

    Les adolescents ont alors été invités à sortir de l’établissement. Ce qu’ils ont fait… avant de revenir quinze minutes plus tard avec une bombe lacrymogène qu’ils ont vidée sur les clients présents dans la boucherie. La police a alors été alertée et les six agresseurs ont pris la fuite.

    Un pistolet factice

    Ces derniers sont une nouvelle fois revenus – ils étaient alors neuf – vers 18h30. L’un des adolescents a pointé un pistolet factice dans la direction des employés, tout en les narguant. « Deux nous menaçaient avec des gestes obscènes et les autres rigolaient », décrit une vendeuse à nos confrères. Une pierre a été lancée sur la vitrine qui n’a pas été brisée.

    La boucherie a déposé plainte. Les policiers ont interpellé l’un des adolescents vers 19 heures. Âgé de 12 ans, il n’a pu être placé en garde à vue, l’âge minimum étant de 13 ans. Il a été auditionné librement. Une enquête a été ouverte.

    ACTU 17

    Est-ce à la maison qu'ils apprennent ces comportements ?

    Ils vont bientôt commencer en sortant de l'utérus !

    Cela n'existe plus les maisons de redressement ?


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  • Karabakh : près de 70 morts après 24 heures de combats entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie

    Le conflit opposant Azerbaïdjan et Arménie continue de faire des victimes ce lundi. Depuis dimanche et l'ouverture d'hostilités prononcées, au moins 69 personnes sont mortes dans la région du Nagorny Karabakh, plus connue sous le nom de Haut Karabakh, une province sécessionniste soutenue par l'Arménie?

    60 militaires arméniens (dont 28 lundi) ont été tués depuis dimanche matin et le début des combats, selon le ministère de la Défense des séparatistes. Sept civils azerbaïdjanais et deux civils arméniens du Karabakh ont également succombé.

    L'Azerbaïdjan n'a pas annoncé ses pertes militaires. Le bilan pourrait être bien plus lourd cependant, les deux camps clamant avoir infligé des centaines de pertes à l'adversaire, et diffusant des images de blindés détruits notamment.

    Le ministère de la Défense du Karabakh a par ailleurs indiqué avoir regagné des positions perdues la veille, mais l'Azerbaïdjan a au contraire affirmé avoir fait de nouveaux gains territoriaux. Les forces armées azerbaïdjanaises « frappent les positions ennemies avec des roquettes, de l'artillerie et l'aviation […] et ont pris plusieurs positions stratégiques aux abords du village de Talych. L'ennemi recule », a affirmé le ministère de la Défense de ce pays du Caucase qui a dépensé sans compter en armement ces dernières années grâce à sa manne pétrolière.

     

    Après des semaines de rhétorique guerrière, l'Azerbaïdjan a dit avoir lancé une « contre-offensive » majeure en réponse à une « agression » arménienne. Elle use de son artillerie, de blindés et de bombardements aériens sur cette province. Elle lui échappe depuis la chute de l'URSS (Union des républiques socialistes soviétiques) au début des années 1990 et une guerre qui a fait 30 000 morts, laissant le Karabakh sous le contrôle des séparatistes, soutenus par l'Arménie.

    « Des hélicoptères turcs »

    Le Premier ministre arménien, Nikol Pachinian, a accusé son ennemi historique d'avoir « déclaré la guerre au peuple arménien » tandis que le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a promis de « vaincre ».

    Ces combats, les plus meurtriers depuis 2016, ont provoqué l'inquiétude internationale, l'Organisation des Nations unies, la Russie, la France et les Etats-Unis appelant notamment à un cessez-le-feu immédiat. La Turquie a signifié son soutien total à l'Azerbaïdjan, mais l'Arménie l'a accusée d'ingérence politique et militaire dans le conflit. La Russie, qui entretient des relations cordiales avec les deux belligérants et est le grand arbitre régional, est cependant plus proche de l'Arménie, les deux pays appartenant à la même alliance militaire dominée par la Russie, l'Organisation du traité de sécurité collective. Le président de la république autoproclamée assure que « la Turquie, et pas que l'Azerbaïdjan, combat contre le Nagorny Karabakh. Il y a des hélicoptères turcs, des avions F-16, des troupes et des mercenaires de différents pays ».

    En juillet, Arméniens et Azerbaïdjanais se sont affrontés pendant plusieurs jours à leur frontière nord, témoignant de tensions grandissantes depuis des mois. Les deux Etats ont décrété la loi martiale et l'Arménie la mobilisation générale. L'Azerbaïdjan impose un couvre-feu.

    Une guerre ouverte entre les deux pays laisse craindre une déstabilisation grave de la région, en particulier si la Turquie et la Russie, qui ont des intérêts divergents dans le Caucase du Sud, interviennent dans le conflit.

    Le Parisien


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  • Indonésie: onze morts dans des glissements de terrain

    Onze personnes dont deux jumeaux de 10 mois sont morts dans des glissements de terrain qui ont touché lundi la ville de Tarakan, sur l'île de Bornéo, en Indonésie, a annoncé un responsable des équipes de recherches et de secours.

    "Les fortes pluies et les vents violents ont provoqué des glissements de terrains à plusieurs endroits presque au même moment et certaines personnes n'ont pas pu se sauver", a déclaré lundi à l'AFP le chef des opérations locales de recherches et de secours, Amiruddin, qui ne porte qu'un seul nom, comme nombre d'Indonésiens. 

    "Parmi les victimes, nous avons retrouvé le corps d'un père et ceux de ses jumeaux âgés de 10 mois", a-t-il ajouté. 

    Cinq enfants font partie des victimes. Au moins 19 maisons ont été endommagées à Tarakan.

    Les glissements de terrain et inondations sont fréquents en Indonésie, un vaste archipel souvent en proie à des phénomènes météorologiques violents, notamment au moment de la saison des pluies.

    Ils ont déjà provoqué des dizaines de décès en juillet dans la province de Sulawesi du Sud.

    L'agence indonésienne en charge des catastrophes estime que 125 millions d'Indonésiens, soit environ la moitié de la population, vivent dans des zones à risque concernant les glissements de terrain.

    AFP


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  • Le corps sans vie de Victorine Dartois, une jeune femme de 18 ans disparue depuis deux jours, a été découvert, lundi 28 septembre, « immergé dans un ruisseau » à Villefontaine (Isère). « Il est trop tôt pour dire à quand remonte la mort », a déclaré la procureure de la République de Vienne, Audrey Quey, lors d’une conférence de presse tenue dans un gymnase de cette petite ville située à une quarantaine de kilomètres de Lyon.

    Un premier examen externe du corps par un médecin légiste « n’a pas permis d’identifier les causes » du décès ni à quand remonte précisément la mort, a précisé la magistrate, qui a annoncé qu’une autopsie serait menée dans les prochains jours.

    Le corps a été retrouvé dans une zone boisée, difficile d’accès, non loin d’un stade où la jeune fille aurait passé son dernier appel téléphonique à 19 heures samedi. La famille de la jeune fille avait donné l’alerte dès 21 h 30 et, bien que Victorine soit majeure, son absence avait été immédiatement prise au sérieux.

    Car, selon les derniers éléments de conversation avec ses proches, Victorine « rentrait chez elle », juste avant sa disparition. « Il n’y avait pas de malaise ; elle n’avait pas eu de problème dans sa journée. Ça ne ressemble pas à une fugue », avait souligné quelques heures plus tôt la magistrate.

    130 militaires avaient été mobilisés

    La sœur aînée de la jeune disparue avait aussi assuré sur les réseaux sociaux qu’il ne s’agissait « pas d’une fugue »« Ce n’est absolument pas son genre », relevait-elle. Son appel, partagé plus de 47 000 fois, décrivait sa tenue au moment de sa disparition (jean, sweat-shirt rose, baskets, sac à main blanc). Ce sont ces mêmes chaussures et sac à main qui ont été retrouvés un peu plus tôt dans la matinée lundi.

    Parallèlement aux investigations des gendarmes, une battue avait été organisée dimanche à l’initiative de la famille, rassemblant plusieurs centaines de volontaires. De gros moyens ont été mis en œuvre pour retrouver la jeune fille depuis deux jours, avec notamment la présence d’un hélicoptère et d’une équipe cynophile. Cent trente militaires avaient été ainsi mobilisés sur le terrain pour mener les recherches, selon le commandant de la compagnie de Bourgoin-Jallieu, Sylvain Bosserelle. C’est un chien spécialisé, qui a marqué au niveau d’une buse près d’un ruisseau lundi, et permis de retrouver les affaires de la jeune fille et son corps ensuite.

    Par ailleurs, des investigations techniques ont été menées sur la téléphonie. Les bandes de vidéosurveillance ont fait l’objet d’une exploitation et les enquêteurs procèdent à de nombreuses auditions. La procureure a annoncé le lancement d’un appel à témoins. Tout élément susceptible d’être utile « doit être communiqué à la gendarmerie au numéro vert 0800 200 142 », a précisé le colonel Lionel James, commandant la section de recherches de Grenoble, désormais chargée des investigations.

    L’enquête d’abord ouverte pour « disparition inquiétante » a évolué vers les chefs « d’enlèvement, séquestration et homicide volontaire ». Compte tenu de la tournure de l’affaire, Mme Quey a déclaré qu’elle se dessaisissait « dès ce soir » du dossier au profit du pôle criminel de Grenoble.

    Le Monde avec AFP


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  • Un mari violent tabasse sa femme infidèle et la force à décapiter son amant

    Armando Barron a été arrêté vendredi dernier dans le New Hampshire. Cet Américain de 30 ans est accusé d’être lié au meurtre d’un homme, Jonathan Amerault, âgé de 25 ans. Le corps de la victime avait été découvert dans une forêt le 22 septembre. Trois jours plus tôt, le suspect aurait découvert que sa femme, Britany Barron, 31 ans, le trompait, en fouillant dans son téléphone portable. Il aurait ensuite appris que son amant était un certain Jonathan Amerault, avec qui elle travaillait.

     

    Fou de rage, l'homme aurait passé son épouse à tabac, lui mettant même, selon son témoignage, une arme dans la bouche. Il l’aurait ensuite étranglée sur leur lit, provoquant chez elle une perte de connaissance. Un peu plus tard, il se serait servi du téléphone de la jeune femme pour envoyer un message à Jonathan Amerault, afin de le piéger en lui donnant rendez-vous. Le magazine «People» explique qu’il l’aurait alors rencontré dans un parc, le frappant lui aussi violemment. Puis, il aurait demandé à sa femme de lui tirer dessus. Ce qu’elle aurait refusé. C’est finalement le mari qui aurait appuyé sur la gâchette, au moins trois fois.

    Incarcéré sans possibilité de remise en liberté sous caution

    Après avoir conduit dans des véhicules séparés vers un camping, Armando Barron aurait dit à sa femme qu'«une fois que le soleil se lèverait le lendemain matin, il lui pardonnerait». Mais avant ça, il lui aurait ordonné de décapiter son amant, pour qu’il ne puisse pas être identifié. Ce que l’épouse aurait fait. Quand l’homme aurait appris que les autorités le recherchaient ainsi que son épouse, il serait retourné au domicile familial, laissant Britany Barron sur le site du camping, lui ordonnant d’enterrer le corps. La tête de la victime a été découverte dans un endroit séparé. L’épouse a été arrêtée par des gardiens à qui elle aurait confié «avoir de gros problèmes».

    Le couple a plaidé non coupable vendredi et est incarcéré sans possibilité de remise en liberté sous caution. Armando Barron a été inculpé pour «avoir causé sciemment la mort de Jonathan Amerault en lui tirant dessus après l'avoir kidnappé». Sa femme, elle, est accusée de falsification de preuves matérielles. Le mari est également mis en examen pour violences conjugales et menace avec arme dans le but de placer sa femme «dans la crainte d'une blessure corporelle imminente».

     

    Paris Match


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  • Inde : des recherches pour retrouver une fillette ensevelie dans une décharge

    Depuis près de deux jours, des sauveteurs recherchent une fillette de 12 ans enterrée sous des ordures, après un effondrement sur une immense décharge dans l'ouest de l'Inde.

    Neha Vasava et un petit garçon âgé de six ans récoltaient du plastique et du métal sur un monceau de déchets haut de 25 à 30 mètres, dans la décharge de Pirana à Ahmedabad, lorsqu'une partie de la butte s'est effondrée sur eux samedi soir.

    Quelque quatre millions d'Indiens, dont beaucoup d'enfants, travaillent dans des conditions dangereuses et insalubres sur les décharges d'ordures afin de récupérer divers matériaux pour les vendre.

    Impossible de respirer normalement

    « Le garçon a aussi été enterré dans les ordures, mais sa tête était visible et des habitants du coin ont pu le sauver », a expliqué un responsable des pompiers, MP Mistry. « Nos opérations vont continuer jusqu'à ce que nous la retrouvions ».

    Il a expliqué que le travail des sauveteurs était rendu difficile par « l'impossibilité de respirer normalement au milieu de tonnes de déchets » et aussi par les hordes de chiens errants vivant dans les ordures.

    Des centaines de familles y travaillent

    La décharge gigantesque reçoit chaque jour quelque 3 500 tonnes d'ordures venues d'Ahmedabad, ville de 5,6 millions d'habitants. Plusieurs centaines de familles vivent sur le site dans des conditions d'extrême pauvreté et y travaillent comme chiffonniers.

    Selon l'Unicef, plus de 41 millions d'enfants de moins de 12 ans sont forcés à travailler en Asie du Sud. Des experts estiment que le confinement imposé par la pandémie de coronavirus, qui a privé de ressources des millions de personnes, a exacerbé le problème du travail des enfants.

    Le Parisien


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  • Une mère accusée d’avoir altéré le matériel médical de sa fille pour la tuer

    Pour ses proches, Kylie Christine Larson était un «cadeau de dieu». L’adolescente de 13 ans a perdu la vie le 21 juin dernier, après que son matériel médical a cessé de bien fonctionner. Les faits se sont produits dans le Minnesota, alors qu’elle était seule à la maison avec sa mère de 35 ans. Cette dernière est aujourd’hui accusée d’avoir elle-même altéré le matériel médical de l’adolescente, provoquant sa mort. Le «Star Tribune» explique que la jeune Kylie avait besoin d’une surveillance médicalisée 24 heures sur 24 en raison de ses nombreux problèmes de santé. La jeune fille souffrait en effet d’une paralysie cérébrale, d‘un retard de développement et d’une insuffisance respiratoire.

     

    D’après l’enquête, le rythme cardiaque de Kylie aurait commencé à chuter après que son taux d'oxygène est tombé à 86%. Un changement d’état qui s’explique, d’après les autorités, par les agissements de sa mère. Entre 18 et le 21 juin, Elise Nelson aurait intentionnellement privé sa fille des soins dont elle avait besoin, trafiquant au passage son oxymètre de pouls et rendant silencieuse son alarme d’alerte, avant de finalement l’éteindre, rendant de fait indétectable une chute de son oxygène et de son rythme cardiaque.

    "On pouvait voir son âme douce et son sourire dans ses yeux"

    A ce moment-là, son mari, le père de la jeune fille, se trouvait en voyage et leur autre fille était chez un ami de la famille. Le 21 juin, jour de la mort de l’adolescente, la mère a envoyé des messages à un ami de la famille, expliquant qu’elle était en train d’essayer de réanimer sa fille depuis plus d’une heure et attendait l’arrivée des secours. Mais l’enquête a révélé qu’elle a en réalité attendu 20 minutes, après l’envoi de ses messages, pour téléphoner au 911. Lorsque les agents sont arrivés, ils ont trouvé Kylie allongée sur le sol du salon, le corps déjà froid. Elle a été transportée à l’hôpital, où elle a été déclarée morte. La mère a été inculpée et incarcérée.

    Un hommage a été rendu à Kylie sur la page Internet du salon funéraire en charge de ses obsèques. «Kylie aimait être dehors et se déplacer, que ce soit en train de tourner sur sa chaise, de se promener avec des amis et de la famille, ou de voyager dans de nouveaux endroits. Elle adorait passer du temps avec sa famille et faire des promenades en bateau. Ses camarades de classe avaient hâte de la pousser dans les couloirs et de rire avec elle. On pouvait voir son âme douce et son sourire dans ses yeux», peut-on lire.

    Paris Match

    Difficile de juger le comportement de cette mère !


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  • Un policier a été blessé à l'arme blanche à Saint-Denis. Ses collègues ont riposté et ouvert le feu sur l'assaillant.

    Ce dimanche 27 septembre, un policier a été attaqué au couteau dans le quartier de Saint-Denis, au nord de Paris. Selon une information rapportée par Europe 1, le fonctionnaire a été touché du niveau de la cuisse. Il s'est pris deux coups de couteau.

    Selon Le Parisien, les choses auraient dégénéré près d'un marché qui se terminait. Selon une source policière de Valeurs actuelles, tout serait parti d'une violente rixe entre trois hommes. « Deux Roumains ont attaqué un Pakistanais avec un couteau », a expliqué la source en question. 

    Une fois arrivé, un agent de la BAC a « braqué au pistolet électrique » les hommes. Les « Roumains » se seraient alors jetés sur lui, tandis que ses collègues ont tiré sur eux. L'un va « plutôt bien », précise la même source, qui ajoute qu'en revanche, le second est quant à lui « mal en point ». 

    Les jours du policier ne sont pas en danger. Une enquête est en cours pour établir les circonstances exactes de l'agression. Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent a priori la scène de l'incident.

    Valeurs actuelles 


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  • Une femme de 58 ans a été tuée à l’arme blanche à son domicile à Wissembourg (Bas-Rhin), elle a été retrouvée morte ce samedi. Son compagnon, avec qui elle avait une relation depuis quelques mois, est activement recherché par les forces de l’ordre.

    Les proches d’un homme âgé de 50 ans ont prévenu la gendarmerie ce samedi en début d’après-midi. Ils n’avaient plus aucune nouvelle de lui raconte France 3. Une patrouille s’est présentée à son domicile situé à Gambsheim.

    Le quinquagénaire était absent mais les militaires ont découvert une lettre dans laquelle il évoquait son projet de tuer sa compagne, Christine Bailly, évoquant une trahison et laissant penser dans le même temps qu’il pouvait s’en prendre à un autre homme. Dans son récit, il laisse aussi entendre qu’il allait mettre fin à ses jours. Les forces de l’ordre se sont rapidement dirigées vers le domicile de Christine Bailly, 58 ans, qui habite à Wissembourg.

    Plusieurs plaies à la gorge

    Les gendarmes ont fait une macabre découverte. La quinquagénaire était décédée. Elle gisait dans son sang, au sol, et présentait plusieurs plaies au niveau de la gorge, causées par une arme blanche. Mère de deux enfants majeurs, elle habitant dans sa maison depuis une trentaine d’années explique le quotidien Les Dernières nouvelles d’Alsace. La défunte était aide-soignante à l’Ehpad Stanislas. Elle était veuve depuis deux ans. Ses voisins évoquent une personne « discrète ».

    De nombreuses constatations ont été réalisées dans le logement de la victime ce samedi après-midi, par les gendarmes de la brigade de recherches de Wissembourg qui sont en charge de cette enquête. Ce dimanche à la mi-journée, le mis en cause était toujours recherché par les forces de l’ordre précisent nos confrères. Des recherches à l’aide d’un hélicoptère ont également été menées samedi après-midi, en vain. Les autorités allemandes ont aussi été alertées.

    ACTU 17


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  • Un sexagénaire a été mis en examen ce vendredi avant d’être écroué. Il est accusé d’avoir tenté d’enlever une enfant de 11 ans à Coulommiers (Seine-et-Marne).

    Une collégienne âgée de 11 ans se rendait à l’école tôt le matin ce vendredi 18 septembre lorsqu’elle a croisé la route du mis en cause, à proximité du parc des Capucins à Coulommiers explique Le Parisien. L’homme l’a abordée et lui a proposé des bonbons.

    La petite fille a expliqué aux policiers que ce dernier avait ensuite mis sa main sur elle et aurait tenté de l’emmener avec lui. Choquée, la fillette a pris la fuite en courant pour échapper à cet inconnu.

    Une description de l’auteur qui a été déterminante

    Sa famille s’est ensuite présentée au commissariat de Coulommiers. La collégienne a été en capacité de décrire l’auteur des faits. La police judiciaire de Meaux qui a été saisie des investigations, s’est appuyée sur cette description pour rechercher le suspect, avec l’appui des effectifs du commissariat local et la police municipale.

    Le mis en cause, un sexagénaire, a été interpellé ce jeudi vers 8 heures alors qu’il rodait dans le même secteur. Il a été placé en garde à vue. L’homme qui est célibataire et sans enfant, a été déféré le lendemain devant un juge d’instruction qui l’a mis en examen.

    Inconnu de la justice jusqu’ici, il a été placé en détention provisoire. L’enquête se poursuit et permettra de déterminer le profil de cet homme et ses intentions lorsqu’il a tenté d’enlever cette fillette.

    ACTU 17


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  • Les secours n’ont rien pu faire pour sauver le bébé qui a été déclaré mort sur place.

    Les secours ont été alertés vers 16 heures. Un bébé de 18 mois venait de se noyer dans une piscine d’une propriété privée à Collonges-sous-Salève (Haute-Savoie) explique France 3. Les secours ont donné les premières consignes à la famille au téléphone, afin qu’elle puisse tenter de réanimer son enfant, comme la procédure l’exige.

    A l’arrivée des pompiers et du SMUR, le bébé était en arrêt cardio-respiratoire. Malgré les tentatives de réanimation, l’enfant est malheureusement décédé. Son décès a été déclaré à 17 heures.

     

    Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie. Elle permettra de déterminer ce qu’il s’est exactement passé. L’enfant aurait échappé à la vigilance de ses parents.

    Chaque année en France, les noyades sont la cause d’environ 1000 décès selon Santé publique France. Il s’agit de la première cause de mortalité par accident de la vie courante chez les moins de 25 ans.

    ACTU 17

    Quand on a un enfant en bas âge et une piscine, on ne doit pas le quitter des yeux une minute !


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  • Stains : La fresque représentant Adama Traoré et Georges Floyd a été entièrement effacée

    La fresque à Stains (Seine-Saint-Denis) sur laquelle les visages d’Adama Traoré et de Georges Floyd étaient dessinés, pour dénoncer les « violences policières », a été effacée ce vendredi

    Elle avait provoqué la colère du syndicat Alliance police nationale. Une fresque représentant le visage d’Adama Traoré, décédé en 2016 à Beaumont-sur-Oise (Val-d’Oise) après son interpellation et celui de Georges Floyd, mort des suites de son insoutenable arrestation à Minneapolis (États-Unis) fin mai, avait été inaugurée par le maire PCF de Stains, Azzedine Taïbi, à la fin du mois de juin. « Contre le racisme et les violences policières » pouvait-on lire au dessus des deux visages.

    L’œuvre réalisée par le « Collectif Art » dans la rue Pierre-de-Geyter a été recouverte ce vendredi. Le 3 juillet dernier, la préfecture de Seine-Saint-Denis avait en effet mis en demeure la mairie d’effacer la fresque, après avoir reçu des représentants du syndicat Alliance police nationale qui dénonçait notamment une « ultime provocation par un élu de la République qui stigmatise les policiers ». Le dessin a été entièrement effacé ce vendredi.

    « Alliance 93 est parvenu à rétablir l’honneur des policiers »

    Le syndicat de police Alliance avait fait part de sa colère peu après l’inauguration de la fresque, dénonçant une « ultime provocation par un élu de la République qui stigmatise les policiers », et avait organisé un rassemblement devant la préfecture.

    « Alliance 93 est parvenu à rétablir l’honneur des policiers malgré les menaces et le déferlement de haine à notre encontre sur les réseaux sociaux », a écrit l’organisation syndicale dans un tract visible sur Twitter. « Notre rassemblement sur le parvis de la préfecture de Bobigny (…) et notre audience auprès du préfet de la Seine-Saint-Denis auront permis d’obtenir justice pour les policiers », se félicite Alliance.

     

    « Effacer mon frère, recouvrir son visage, c’est nier son existence et celle de tous les autres morts entre les mains des forces de l’ordre. Effacer le visage de mon frère, le sourire de mon frère, c’est piétiner sa mémoire, offenser ma famille, faire disparaître son nom (…) C’est bafouer le droit et la justice, c’est revendiquer l’impunité policière. (…) C’est profaner nos morts. C’est insulter nos morts », avait réagi Assa Traoré, la sœur d’Adama, dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux fin juin, en réponse aux demandes du syndicat Alliance.

    ACTU 17


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  • Une jeune femme a été poignardée à mort ce vendredi soir à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Son compagnon a pris la fuite, il est toujours activement recherché par la police.

    L’hypothèse d’un féminicide ne fait que peu de doute. Peu avant 20 heures, une habitante de la rue Albert Thomas à Champigny-sur-Marne a entendu des hurlements venant de l’appartement de l’un de ses voisins raconte Le Parisien. Les bruits d’une dispute.

    Quelques instants plus tard, l’homme a frappé à sa porte et lui a demandé d’appeler la police. Il est ensuite parti avec ses deux enfants âgés de 2 et 4 ans. L’habitante a immédiatement donné l’alerte.

     

    Dans le logement, les secours et les policiers ont découvert sa compagne de 29 ans qui avait été poignardée à au moins trois reprises au niveau du bas du corps. Un couteau était planté jusqu’au manche au niveau de son thorax. La victime originaire du Brésil a été déclarée morte sur place vers 21 heures.

    Les enfants déposés chez son patron

    Au même moment, la nièce du compagnon en fuite s’est présentée à l’appartement. Elle devait venir garder les enfants ce vendredi soir. Son récit a permis aux policiers d’en savoir rapidement plus. Ils ont en effet appris que le tueur présumé est ouvrier dans le bâtiment et qu’il s’est donc peut-être réfugié chez son patron qui habite à quelques centaines de mètres de là.

     

    ACTU 17


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  • L'écrivain Denis Tillinac, proche de Jacques Chirac, est mort à 73 ans

    L'écrivain, éditeur et polémiste marqué à droite a accompagné pendant plusieurs décennies la carrière politique de l'ancien chef de l'Etat, comme lui très attaché à la Corrèze.

    Un an jour pour jour après le décès de Jacques Chirac, son ami l'écrivain Denis Tillinac est décédé la nuit dernière à l'âge de 73 ans, ont indiqué ses proches.

    L'écrivain, éditeur et polémiste marqué à droite a accompagné pendant plusieurs décennies la carrière politique de l'ancien chef de l'Etat, comme lui très attaché à la Corrèze.

    Agitateur d'idées de la droite française depuis les années 1970, l'auteur du Bonheur à Souillac ou encore de Spleen en Corrèze: Journal d’un localier, qui raconte la campagne électorale de Jacques Chriac qu'il avait couverte pour le journal La Montagne, avait participé vendredi à une fête du livre en Bourgogne, rapporte Le Point.

    Pilier de l'Ecole de Brive, il avait dirigé pendant 15 ans la maison d'édition La Table Ronde.

    UN HABITUÉ DE LA CÔTE D'AZUR

    A la mi-février dernier, il posait sur la promenade des Anglais, avant d’aller dédicacer à la Fnac, à Nice, son dernier ouvrage le dictionnaire amoureux du général de Gaulle. L’occasion pour lui de donner son avis, dans nos colonnes, sur la "droite d’aujourd’hui".

    Tillinac expliquait: "Je suis un gaulliste d’après-terme, venu trop tard dans un monde trop vieux, comme disait Musset. Au RPR, on trouvait encore les restes d’un romantisme gaullien. Puis des technocrates ont eu l’idée d’imiter les tories britanniques ou la démocratie chrétienne allemande pour bâtir une espèce de centre-droit. Et là, ça a été fini : on ne peut pas mettre dans la même pièce la photo du Général et celle de Robert Schuman. La bipolarisation, avec de l’autre côté l’union de la gauche imposée par Mitterrand, a bien fonctionné durent trente ans, mais on est arrivé au bout de ce rouleau. Macron est venu au moment où ce système expirait et il en a tiré profit en cassant les codes. La bipolarisation se reconstituera sans doute tôt ou tard. La social-démocratie attend son chef, qui sera peut-être un écologiste."

    Nice, une ville où il venait fréquemment, notamment en tant que conférencier au CUM, centre universitaire méditerranéen. L’ancien compagnon de route de Jacques Chirac savait fédérer autour de thèmes aussi éclectiques que "L’Éternel féminin, un héritage de la culture occidentale", "Le duel Chateaubriand-Napoléon: les origines de la sensibilité française moderne", "Étrangetés et paradoxes de la vie politique française" ou encore "Terrorisme international: les nouveaux défis".

    Nice Matin


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  • Les chiens démineurs de Bosnie sur les fronts du monde entier

    Pour eux ce n'est qu'un jeu mais en fait ils sauvent des vies: des chiens dressés en Bosnie pour rechercher les mines héritées des guerres meurtrières de l'ex-Yougoslavie mènent aussi de dangereuses missions à travers le monde.

     

    Après avoir fait 100.000 morts, le conflit intercommunautaire de Bosnie a pris fin en 1995 mais des régions entières sont restées infestées par des mines antipersonnel et des engins non explosés.

    Les brigades canines ont considérablement accéléré le processus de déminage après l'ouverture il y a une quinzaine d'années de deux centres de dressage, grâce à des fonds norvégiens et américains.

    Initialement, la tâche des chiens était de rendre plus sûrs la Bosnie et les pays issus de l'ex-Yougoslavie, déchirée dans les années 1990 par une série de conflits. Mais ces professionnels canins ont rapidement commencé à parcourir le monde.

    Les chiens formés dans le centre de dressage global de l'Aide populaire norvégienne (APN), près de Sarajevo, participent actuellement "à six programmes de déminage de cette ONG, en IrakLibanSomalieZimbabwe, Cambodge et Bosnie", dit à l'AFP Gordana Medunjanin, une de ses responsables.

    Environ 70 bergers malinois, des chiens "endurants, énergiques et adaptables", y résident actuellement, poursuit-elle. Une quarantaine sont au dressage, les autres sont des "vétérans" qui "profitent d'une retraite bien méritée".

    Gagner du temps

    L'entraînement commence à quatre ou six semaines et dure jusqu'à 18 mois, précise Namik Dzanko, dresseur de 29 ans.

    "Le chien ne comprend pas qu'il cherche des mines et que c'est dangereux", dit le formateur. "Pour lui, c'est un jeu. Il trouve quelque chose et on le récompense en lui donnant son jouet. A travers cette expérience positive, il fait un travail qui sauve les vies à travers le monde."

    Sur un carré enherbé d'environ 10 mètres sur 10, délimité par un ruban jaune comme sur un vrai champ de mines, Orna, presque deux ans, fait des allers-retours en ligne droite, la truffe au sol, guidée par son maître.

    Des engins dépourvus de détonateur y sont dissimulés. Quand elle détecte l'odeur de l'explosif, elle "marque" et s'assied, le museau pointé sur l'endroit suspect. Dans des conditions réelles, l'endroit serait signalisé puis inspecté par un démineur humain.

    Les chiens sont surtout utiles pour restreindre le territoire à sécuriser.

    "On perdrait beaucoup de moyens financiers et de temps si les démineurs devaient traiter manuellement les espaces suspects", dit Nermin Hadzimujagic. Il dirige le centre de dressage de Borci, dans le sud du pays, soutenu par le gouvernement américain, et qui a dépêché des chiens au Liban, en Afghanistan ou en Irak et au Kosovo.

    "En une journée de travail, un démineur peut contrôler une surface entre 70 à 100 mètres carrés, alors que le chien peut parcourir jusqu'à 1.000 m2", précise-t-il.

    "Comme les footballeurs"

    Vingt-cinq ans après la guerre, les surfaces considérées comme suspectes en Bosnie ont été réduites à environ 1.000 kilomètres carrés (2 % du territoire du pays). L'objectif du gouvernement est que le pays soit entièrement dépollué d'ici à 2025.

    Cependant, plus de 500.000 habitants, soit 13 % de la population, vivent à proximité des zones dangereuses. Depuis la fin de la guerre, plus de 600 personnes ont été tuées dans des accidents causés par les mines, dont 53 démineurs, selon le BHMAC, le centre national de déminage.

    Les équipes canines formées en Bosnie ne déplorent quant à elles aucune victime, ni dans le pays ni à l'étranger.

    Soumis à des tests semestriels, les chiens doivent être infaillibles "sinon, ils ne peuvent plus être utilisés dans le déminage", selon Nermin Hadzimujagic.

    "Si le chien rate une mine et si quelqu'un est demain accidenté, nous sommes complices", renchérit Emir Cukas, 44 ans, maître-chien dans une unité de déminage de la protection civile.

    Un chien peut travailler jusqu'à une douzaine d'années mais s'entraîner en permanence est crucial. "C'est comme les footballeurs, comme tous les sportifs. Si tu t'entraînes tous les jours, tu es bon".

    Le Point


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  • BFM.TV  (26 09 2020) : Le Premier ministre libanais désigné a annoncé ce samedi matin renoncer à former un nouveau gouvernement alors que la pression internationale augmente pour remplacer celui qui a démissionné après la gigantesque explosion meurtrière au port de Beyrouth.  "Je m'excuse de ne pas pouvoir poursuivre la tâche de former le gouvernement", a déclaré Moustapha Adib lors d'une allocution télévisée, présentant ses excuses aux Libanais pour son "incapacité" à réaliser leurs "aspirations pour un gouvernement réformiste". Le gouvernement libanais a démissionné à la suite de l'explosion dévastatrice au port de Beyrouth le 4 août qui a fait plus de 190 morts et plus de 6.500 blessés, tout en ravageant des quartiers entiers de la capitale.

     

    Revers pour le plan macron :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/liban-d%C3%A9mission-du-premier-ministre-revers-pour-le-plan-macron/ar-BB19rzKX?ocid=msedgntp


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