• "On a perdu nos morts": à Saint-Martin-Vésubie, près de Nice, les crues dévastatrices début octobre ont détruit un pan entier du cimetière, laissant un vide béant. Une perte irréparable pour les familles en proie aux questions et au désarroi avant la Toussaint.

    "Que le cimetière soit parti, ça déstabilise... Ca choque quand même", confie à l'AFP Brigitte Martini, 63 ans, chargée de l'accueil des sinistrés. La catastrophe a fait sept morts, une dizaine de disparus et détruit un autre cimetière à Saint-Dalmas-de-Tende, près de Menton.

    Régulièrement, elle allait se recueillir sur la tombe de son père et sur celle de son fils mort prématurément dans un accident de moto à 22 ans: "Je savais qu'ils étaient là tandis que maintenant je ne sais plus où ils sont. Je me les représente chavirés, transbahutés, brutalisés par l'eau, c'est une image de tourmente pour eux aussi, même morts".

    Elle n'a pas osé solliciter la mairie, ni en parler à sa mère de 83 ans avant que la Toussaint ne l'y oblige. Dans ce village de tradition catholique, il est de coutume qu'il y ait une bénédiction des tombes et une visite au cimetière: "Je l'ai appelée pour lui dire qu'on n'irait pas, c'est là qu'elle a pris conscience" de ce qui s'est passé.

    Sur quelque 80 caveaux construits dans les années 1980 en contrebas du vieux cimetière trop petit, seuls sept ou huit ont résisté. La porte du nouveau cimetière ouvre désormais sur un précipice. L'eau a tout raviné, tout emporté et un arbre déraciné git au milieu des rochers dans la rivière Boréon dont le lit s'est monstrueusement élargi.

    "On a perdu nos morts"

    Pour la première fois dimanche, un temps de prière sera réservé au cimetière emporté par les flots et une gerbe déposée par les élus et l'évêque. "Certains ont perdu leur maison, nous, on a perdu nos morts. Il faut absolument qu'il y ait une plaque", estime Christian Einaudi, 74 ans.

    "On peut peut-être moins en parler, par décence vis-à-vis de ceux qui ont perdu des personnes ou leur maison mais c'est traumatisant", confie une autre habitante, qui vit avec sa mère de 86 ans et décrit, bouleversée, comment l'orage a tout fait trembler le 2 octobre. Ses voisins n'ont toujours pas pu réintégrer leur maison.

    Par discrétion dans un village où chacun se connaît, elle préfère rester anonyme et ne pas étaler sa peine. D'une chemise à rabat, elle sort le papier de la concession perpétuelle qui avait permis de réunir le frère de son père, sa grand-mère, son grand-père puis d'y enterrer son propre père en 2017: "J'y allais très souvent, et bon, maintenant toute la famille est partie... et on ne sait pas ce qui va se passer pour la suite".

    "Le projet est de reconstruire, mais c'est encore un projet", admet le maire Ivan Mottet. L'idée de faire une plaque souvenir en marbre fait son chemin mais il a géré d'autres urgences en un mois.

    "Où l'enterrer ?"

    "Les pompiers continuent de retrouver des ossements. On les recueille à l'hôpital, puis c'est descendu à Nice à l'hôpital pour les analyses ADN. On ne pourra pas dire +c'est votre papa ou c'est votre maman+ mais l'ADN prouvera si c'est votre famille", dit-il.

    Nora Kelloud, 63 ans, est l'une des rares dont le défunt père a pu être retrouvé rapidement, grâce au cercueil de plomb dans lequel il avait dû être inhumé en raison de l'état de la dépouille. L'ancien douanier de montagne avait été renversé par une voiture.

    "On a retrouvé +papi+ mais qu'est-ce qu'on fait maintenant ?", dit-elle. "On a le permis d'inhumer mais où l'enterrer ? Il faut que mon père repose en paix, le temps nous est compté, ma mère a 91 ans, et là, il est dans un tiroir dans un frigo" à l'institut médico-légal de l'hôpital Pasteur à Nice.

    "C'est vrai qu'il y a tellement de priorités qu'on ne sait plus par où commencer, reloger les gens, reconstruire les ponts, les routes mais ça va rapidement devenir une urgence".

    Le Point


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  • L’affiche a été retirée, et le groupe Casino a fermé le magasin et condamné l’initiative, qu’il attribue à un « franchisé »

    Le groupe Casino fait face, depuis plusieurs heures, à une vague d’indignation, sur les réseaux sociaux : à Nîmes (Gard), une affichette a été placardée sur la vitrine d’un supermarché Vival, indiquait que l’entrée était interdite à « toute personne voilée ».

    « A compter de ce jour, toute personne voilée ne sera pas autorisée à entrer dans le magasin », pouvait-on lire sur cette affichette, largement partagée ce vendredi.

    « Il s’agit d’une initiative personnelle, qui va à l’encontre des valeurs de l’enseigne »

    Joint ce vendredi après-midi par 20 Minutes, le groupe Casino confirme que cette affiche a bien été collée sur la devanture du supermarché. Elle a, depuis, été retirée et le géant de la grande distribution la condamne fermement.

    La personne soupçonnée d’avoir collé cette affiche sur le magasin de Nîmes est « un franchisé, il n’est pas salarié de Casino, indique-t-on, à la direction de Vival et des enseignes Casino. Les enseignes Casino ne sauraient tolérer de tels propos, et condamnent fermement cet acte, qui va à l’encontre de leurs valeurs, assure le groupe de supermarchés. Les enseignes Casino ont pour vocation de répondre aux attentes de tous leurs clients, dans le respect de la loi qui garantit le libre accès. »

     

    Le magasin a été fermé. Par ailleurs, le groupe indique qu’elle entend répondre individuellement à chaque personne qui s’interrogerait, sur les réseaux sociaux, par téléphone, ou par mail. « Toutes les suites à prendre dans cette affaire, tant sur le plan juridique que commercial, sont actuellement en cours de réalisation », note Casino.

    20 Minutes

    Casino s'agenouille, il a peur de perdre ses clientes musulmanes !


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  • Un homme de 29 ans a été condamné, mercredi 28 octobre, à treize ans de réclusion criminelle par la cour d’assises de Seine-et-Marne. Ce Pakistanais était accusé d’un viol commis sur sa voisine, à Chelles, en mars 2018. Il a aussi écopé d’une interdiction définitive du territoire français.

     

    À l’issue de deux jours d’audience publique à la cour d’assises de Seine-et-Marne, à Melun, un Pakistanais de 29 ans a été condamné, mercredi 28 octobre, à treize ans de réclusion criminelle pour viol, rapporte Le Parisien. Une peine supérieure à la réquisition de l’avocate générale qui était de douze ans. Les faits se sont déroulés le 22 mars 2018, au domicile de la victime, à Chelles.

    L’agresseur, en état d’ébriété, avait alors pénétré dans le logement de sa voisine avant de la mordre - au visage, aux bras, aux fesses - et de la violer. La police l’a pris en flagrant délit, alertée par des appels de la victime et d’un de ses voisins, qui avait entendu des cris.

    Dissociation

    « Elle a tellement eu peur de mourir, que son cerveau a disjoncté, pour ne plus ressentir les souffrances et les émotions. C’est ce qu’on appelle la dissociation », a expliqué l’avocate de la victime, citée par le quotidien francilien.

    L’accusé, qui avait un gramme d’alcool par litre de sang au moment des faits, a déclaré à l’audience qu’il ne se souvenait plus de l’agression. En plus de ses treize années de réclusion criminelle, il a également été condamné à une interdiction définitive du territoire français.

    Ouest-France

    Sera t-il vraiment expulsé ?


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  • Attentat islamiste déjoué contre une église à Sartrouville

    Nouvelle tentative d’attentat islamiste ce jeudi. Une partie du quartier du Plateau à Sartrouville est actuellement bouclée par les forces de l’ordre. Les policiers ont interpellé vers 13 heures un homme qui s’apprêtait à commettre un attentat pour, selon ce qu’il a dit à son père, « faire comme à Nice », où trois personnes ont été assassinées et plusieurs blessées dans la basilique ce matin et plusieurs.

    C’est le père de l’individu qui aurait prévenu les policiers. Le véhicule de l’islamiste a été vite repéré par la police et l’homme a pu être arrêté tout près de l’église Saint-Martin. Il aurait emmené avec lui un couteau, ce qui cadrerait avec son intention de réitérer une attaque similaire à celle qui a eu lieu ce jeudi matin à Nice.

    Medias-Presse.infos

    Heureusement que son père  a prévenu les policiers !


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  • Un Afghan en tenue traditionnelle, armé d'un couteau et considéré comme menaçant, a été interpellé jeudi à Lyon, a appris l'AFP de source proche du dossier.

    L'homme allait passer à l'acte, a-t-on ajouté de même source, en qualifiant de "sérieux" cet incident, survenu après l'attaque au couteau qui a fait trois morts plus tôt dans la matinée dans la basilique Notre-Dame de Nice.

    La personne interpellée "portait un couteau de 30 centimètres et semblait prête à passer à l'acte", a indiqué à l'AFP Pierre Oliver, le maire du 2e arrondissement de Lyon.

    Déjà "signalé aux services de renseignement"

    Agé de 26 ans et de nationalité afghane, l'homme déambulait dans le rue Victor Hugo un couteau à la main, non loin de la gare Perrache, quand il a été interpellé, a ajouté le parquet de Lyon.

    Cet homme, déjà "signalé aux services de renseignement", selon une autre source proche du dossier, a été placé en garde à vue pour "port d'arme prohibé et menaces avec arme", a-t-on précisé au parquet. L'enquête a été confiée à la PJ de Lyon, a également précisé le parquet, en relevant que "les investigations concernant les motivations, la personnalité et le profil du mis en cause étaient en cours".

    Un peu plus tôt jeudi, dans le 8e arrondissement de Lyon, un autre homme porteur d'un couteau avait été interpellé alors qu'il disait vouloir passer à l'acte, selon une source policière. Mais cet incident, serait, selon cette même source, le fait d'une personne déséquilibrée.

    Le 24 mai 2019, un homme avait déposé un sac ou un colis explosif contenant des vis, des clous et des boulons dans une artère piétonne allant de la place Bellecour à la gare de Perrache à Lyon. L'explosion avait fait 14 blessés légers.

    Paris Match


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  • Le fils de 16 ans de l’ancienne cheffe du Renseignement territorial des Hautes-Alpes, retrouvée morte à son domicile, a reconnu mercredi en garde à vue avoir tué sa mère, a indiqué le parquet. 

    L’adolescent né en septembre 2004 "a reconnu avoir tué sa mère dans des circonstances qui devront être précisées au regard notamment des éléments médicaux légaux et de l’autopsie", a souligné le procureur de la République de Gap, Florent Crouhy. 

    L’adolescent doit être présenté dans l’après-midi à un magistrat du pôle criminel de Grenoble en vue d’une probable mise en examen par un juge d’instruction.

    Une autopsie du corps est prévue dans les prochains jours à l’Institut médico-légal (IML) de Grenoble. 

    "Le mineur est en garde à vue depuis mardi soir pour homicide", a précisé le procureur. L'adolescent a été notamment trouvé en possession du téléphone portable et de la carte bancaire de sa mère.

    La victime, Martine. B, âgée de 57 ans, a été retrouvée morte mardi à son domicile du village de Montgardin près de Gap. Le corps de la policière, retraitée depuis cet été, était coincé entre une porte-fenêtre et un volet, la tête recouverte d’un sac plastique. 

    Une laisse de chien et un câble électrique étaient enroulés autour de son cou. Une enquête pour "disparition inquiétante" avait été ouverte la veille alors que la quinquagénaire n’était pas joignable depuis près d’une semaine. 

    Les gendarmes cherchaient à la joindre, en tant que représentant légal, car son fils avait été interpellé à Briançon, lundi, en possession de près de 30 grammes d’herbe de cannabis et placé en garde à vue. 

    "Compte tenu du lieu de la découverte du corps et de sa position, l’intervention d’un tiers ne fait aucun doute", avait indiqué mardi soir le procureur de la République de Gap . 

    "La victime aurait été tuée sur place et le corps a été visiblement manipulé", avait aussi souligné une source proche du dossier. 

    Ouverte par le parquet de Gap pour homicide volontaire, l’enquête est menée par la Section de recherches (SR) de la gendarmerie de Marseille, co-saisie avec la Brigade de recherches (BR) de Gap et la brigade locale de la gendarmerie de Chorges.

    AFP


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  • Etats-Unis : une psychologue tue ses filles dans leur sommeil et se suicide

    Le signalement à la police a été fait samedi après-midi. Ce jour-là, les autorités du comté de Whatcom, dans l’Etat de Washington, ont découvert deux petites filles et leur mère, mortes, chez elles. Le shérif a expliqué dans un communiqué que les faits s’étaient produits vendredi soir. La mère, Michele Boudreau Deegan, âgée de 55 ans, a abattu ses jumelles de 7 ans, alors qu’elles dormaient dans leur chambre. La femme, psychologue de profession, s’est ensuite suicidée. D’après les enquêteurs, Michele Boudreau Deegan était en pleine bataille judiciaire pour la garde de ses filles. C’est ce motif qui aurait provoqué le drame, explique le site Internet du magazine «People».

     

    Paris Match


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  • On pouvait y voir un jeune homme noir avec un t-shirt sur lequel apparaissait au dos une série de chiffres, pouvant faire penser aux uniformes portés par les détenus.

    C’est ce qu’on appelle “un bad buzz”. Comme le révèle Quartz, le catalogue Ikea 2021 va avoir du retard aux Etats-Unis. La faute à une page jugée potentiellement raciste, qui a contraint le géant de l’ameublement à retarder la diffusion des quelque 200 millions d’exemplaires qui devaient être distribués dans ses magasins aux Etats-Unis en août. La polémique concerne la photographie qui devait apparaître à la page 296 de ce catalogue, afin de faire la promotion du service d’assemblage de meubles TaskRabbit.

    Sur cette photo, on y voir un jeune homme noir en train d’assembler une table basse. Il porte un t-shirt sur lequel apparaît dans le dos une série de chiffres, qui pourrait faire penser à celle sur les uniformes des détenus des prisons américaines. Ikea a convenu dans un communiqué envoyé au média américain que cette photo pouvait “se prêter à une interprétation négative et renforcer les stéréotypes négatifs”.

    Les excuses d’Ikea

    “En tant qu'organisation axée sur des objectifs où la diversité et l'inclusion sont des valeurs fondamentales, IKEA s'efforce d'être une force de changement positif dans la société. Un élément important de la promotion du changement consiste à reconnaître et à agir lorsque nous nous trompons. Nous nous engageons à le faire de manière ouverte et transparente”, ajoute l’entreprise suédoise, qui n’a pas réimprimé tous ses catalogues, mais a seulement supprimé la page en question.

    Aucune nouvelle date pour leur disponibilité n’a toutefois été annoncée pour l’instant. Business Insider précise qu’une version numérique corrigée de la page en question a été publiée en ligne. Sur celle-ci, le même homme porte cette fois des vêtements différents. Contactée par ce média, l’entreprise a de nouveau présenté ses excuses, tout en expliquant que "le racisme, les préjugés et la haine n'ont pas leur place chez Ikea, et nous les condamnons dans les termes les plus forts".

    Capital

    Cela devient ridicule !


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  • Maison squattée à Théoule-sur-Mer: les occupants condamnés à huit mois de prison avec sursis

    Cet été, un couple de retraités originaire de Lyon a trouvé sa résidence secondaire située dans les Alpes-Maritimes occupée par un couple et ses enfants.

    Le jeune couple qui avait défrayé la chronique en août en occupant illégalement la résidence secondaire de retraités lyonnais à Théoule-sur-Mer (Alpes-Maritimes), entraînant même une modification de la législation, a été condamné à huit mois de prison avec sursis par le tribunal de Grasse mardi.

     

    Début octobre, devant l'émoi suscité par cette affaire, un amendement à la loi de simplification de l'action publique avait rendu plus simple l'expulsion de squatteurs occupant une résidence secondaire, en calquant le dispositif sur celui existant pour les résidences principales.

    À l'audience, Abdellah Zerhima, 24 ans, et son épouse Jihan Zidouli, 25 ans, ont tenté d'expliquer dans quelles conditions ils avaient été amenés à occuper cette maison de manière illicite. Venu de la région parisienne en août, le jeune couple et ses deux enfants en bas âge auraient, selon eux, obtenu les clés d'une personne qui n'a jamais été identifiée, et qu'ils ne veulent pas dénoncer, moyennant 1500 euros !

    BFM.TV

    8 mois avec sursis, un cadeau !


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  • Le beau-père et la mère de Kenzo, un garçon de 21 mois mort sous des coups et « actes de torture » le 14 février 2017, seront jugés de lundi à vendredi devant la cour d’assises de l’Hérault. Teddy M., 35 ans, est accusé de « meurtre », « torture ou acte de barbarie » sur un mineur par une personne ayant autorité et récidive de violences habituelles.

    Angelina S., 23 ans, sera pour sa part jugée pour complicité de torture ou acte de barbarie sur un mineur par un ascendant, non dénonciation de mauvais traitements, privations, agressions ou atteintes sexuelles, non dénonciation de crime, non assistance à personne en danger et violences habituelles sur un mineur.

    Coups mortels portés au thorax

    Le couple était en errance, passant ses nuits dans des hôtels de passage ou des véhicules. La jeune mère, son compagnon et l’enfant semblent avoir échappé aux radars des services sociaux. Le 14 février 2017, les secours sont appelés à Lunel (Hérault) par le couple qui avait mis en scène une pseudo-agression de la mère et de l’enfant, selon les enquêteurs.

    Mais sur place, les pompiers ne parviennent pas à ranimer le petit garçon et constatent sur son corps de nombreuses lésions, des coups, des morsures et des brûlures d’époques différentes. Selon les résultats de l’autopsie pratiquée sur Kenzo, né le 13 avril 2015, l’enfant est mort de « coups mortels portés au thorax qui ont entraîné une hémorragie importante ayant provoqué rapidement la mort ».

    Des carences d’identification et de signalement

    La mère s’est dite incapable d’intervenir face à des violences croissantes de la part de son compagnon sur elle-même et le petit garçon. L’homme nie les faits reprochés et rejette la responsabilité de la mort de Kenzo sur son ex-compagne. Plusieurs personnes et associations se sont portées parties civiles dans cette affaire, dont le père de Kenzo.

    L’association l’Enfant Bleu, partie civile, a dénoncé dans un communiqué « les carences d’identification et de signalement » dans cette affaire, pointant les responsabilités de professionnels de santé qui avaient notamment soigné l’enfant pour une grave brûlure et la responsabilité de l’entourage amical et familial. « Une fois de plus – le silence (…) a régné autour de ce cas de maltraitance ultime ayant entraîné la mort d’un enfant », déplore l’association.

    Teddy M. encourt le réclusion criminelle à perpétuité et Angélina Seine 20 ans de réclusion criminelle. Le verdict doit être rendu le vendredi 30 octobre.

    20 Minutes


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  • Un homme de 59 ans est dans un état critique après qu'un requin l'a attaqué près de la Grande Barrière de Corail australienne, tout proche de la ville de Townsville, dans le nord du Queensland en Australie.

    Dans un état critique

    Comme le rapporte Reutersun homme qui pêchait au harpon près de la Grande Barrière de Corail a été retrouvé gravement blessé dimanche dernier vers midi. Il aurait été violemment attaqué par un requin, ont expliqué les sauveteurs.

     

    "Il y avait manifestement des preuves d'une morsure de requin très importante sur le haut de la cuisse du patient, dans la région pelvienne. Il est resté dans un état critique après nos interventions et il est maintenant en train de subir une opération d'urgence ici à l'hôpital", a déclaré David Humphreys, médecin de LifeFlight Australie.

    Des attaques qui se multiplient

    Selon la Taronga Conservation Society Australiail y a eu sept attaques de requins mortelles en Australie cette année, dont deux dans le Queensland. L'Australie se classe derrière les États-Unis quant au nombre d'attaque de requins sur les humains en 2019.

    À la mi-octobre, c'est un surfeur qui avait été victime d'un grand requin blanc. Andrew Sharpe, 52 ans, aurait été projeté en l'air après avoir été mordu à la jambe selon les témoins présents.

    Le requin l'avait ensuite entraîné sous l'eau avant qu'il ne disparaisse définitivement. Les autorités n'ont en effet pu récupérer que quelques morceaux de combinaison et sa planche comportant "des signes évidents d'attaque de requin".

    Gent Side

    Il n'avait qu'à pas aller pêcher au harpon à cet endroit !

    Les requins sont chez eux !


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  • La conductrice de 86 ans, au volant du véhicule qui est entrée en collision avec un tramway, à Bordeaux (Gironde), dimanche 25 octobre, a succombé à ses blessures. Elle avait été transportée à l’hôpital, après l’accident, dans un état très grave.

    La femme de 86 ans qui conduisait le véhicule impliqué dans une collision avec un tramway, à Bordeaux (Gironde), est décédée, selon une information de France 3 Nouvelle Aquitaine confirmée par Sud Ouest, ce mardi 27 octobre. L’accident s’est produit dimanche 25 octobre, en fin de matinée. La voiture aurait traversé les rails du tram et aurait été percutée. Elle aurait ensuite été projetée contre du mobilier urbain.

    En état d’arrêt cardio-respiratoire, l’octogénaire avait été ranimée et transportée à l’hôpital en urgence, relate France 3. Elle était alors dans un état très grave. La victime avait reçu les premiers soins sur place.

    Trois jeunes suspectés d’avoir volé sa carte bancaire

    L’autre passagère du véhicule, une femme de 71 ans, a été légèrement blessée et transportée à l’hôpital également, tout comme le conducteur de tram de 46 ans. Les passagers du tram avaient été évacués. Une enquête est par ailleurs toujours en cours pour retrouver les trois jeunes suspects qui auraient profité de l’accident pour dépouiller les victimes. Ils lui auraient volé sa carte bancaire. Les hommes avaient été poursuivis par des passants, sans succès.

    Ouest-France

    Espérons qu'ils retrouveront les 3 voleurs !


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  • Une cigarette refusée au McDonald’s de Saint-Vallier (Drôme) est vraisembablement à l’origine de cette rixe sanglante dans laquelle une femme d’une trentaine d’années a été tuée.

    La violente bagarre a opposé entre dix et vingt personnes dans le centre-ville de Saint-Vallier, ce dimanche soir vers 20h15. Au départ des faits, une cigarette qui a été refusée au McDonald’s. La situation a ensuite dégénéré lorsque les protagonistes issues de la communauté roumaine et maghrébine se sont retrouvés dans la rue de Verdun raconte France Bleu.

    Une mère de famille âgée d’une trentaine d’années a tenté de s’interposer pour protéger son fils de 16 ans. Elle a reçu un coup de couteau mortel au niveau de l’abdomen. Ses proches ont tenté de la conduire à l’hôpital, avant de décider d’appeler les secours. Mais il était déjà trop tard, la trentenaire originaire de Roumanie a été déclarée morte sur place.

    Six autres personnes blessés

    Son fils âgé de 16 ans a été gravement blessé, tout comme le compagnon de cette dernière. Ils ont été évacués à l’hôpital en état d’urgence absolue. Leurs jours ne seraient toutefois pas en danger. Trois autres protagonistes ont été blessés au cours de la rixe, moins gravement.

    Une enquête a été ouverte et confiée aux gendarmes de Romans-sur-Isère qui sont assistés par leurs collègues de la section de recherche de Grenoble. Les investigations vont permettre de déterminer les circonstances exactes de cet affrontement à l’arme blanche

    Une seule personne était toujours en garde à vue ce lundi.

    Il s’agit d’un homme qui a été interpellé peu après les faits. On ne connait pas son degré d’implication dans cette affaire pour l’heure. Un autre suspect se trouve à l’hôpital, il a été blessé au cours de la rixe.

    ACTU 17

    Une seule personne en garde à vue !


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  • L’enseignante âgée de 41 ans s’est vu attribuer 14 jours d’Incapacité totale de travail (ITT). Elle a déposé plainte.

    Une professeur d’espagnol qui enseignait au collège Albert-Camus de Perpignan (Pyrénées-Orientales), un établissement classé en réseau d’éducation prioritaire (REP), a choisi de s’exprimer anonymement auprès de L’Indépendant« C’est fini pour moi, je quitte l’Éducation nationale. Je refuse de continuer plus longtemps à servir une institution qui ne me défend pas », a-t-elle annoncé à nos confrères. Après avoir été agressée par deux élèves en pleine classe, elle affirme n’avoir reçu aucun soutien de la part de la direction du collège.

    Les faits remontent au 18 septembre dernier, trois semaines après la rentrée scolaire. L’enseignante âgée de 41 ans venait d’être affectée dans l’établissement de manière définitive. Elle a rapidement remarqué que deux élèves perturbaient l’une de ses classes de 3ème. Ce jour-là, la fonctionnaire a décidé de sanctionner ces derniers. Ils étaient en train de taper des pieds par terre et de rigoler à haute voix pendant le cours, se montrant insolents. Invités à quitter la salle afin de ramener le calme, les deux élèves ont refusé de sortir.

     

    Un autre élève a été envoyé chercher le CPE. Alors qu’elle refermait la porte de la salle de classe, les deux élèves se sont levés et placés derrière elle selon le récit de cette enseignante. Une altercation a eu lieu, durant de longues minutes. L’un des élèves exclus l’a alors agrippée à l’épaule, tandis que le second a fait le tour pour ouvrir la porte de la classe brutalement, derrière laquelle l’enseignante se trouvait.

    La direction l’aurait invitée à changer ses méthodes de travail

    Le médecin de la victime lui a remis un certificat mentionnant 14 jours d’ITT, ainsi qu’un arrêt de travail. Cette dernière a déposé plainte au commissariat de Perpignan pour violences aggravées. Elle a aussi contacté les familles des deux élèves pour expliquer son choix de saisir la police. Ces dernières lui auraient hurlé dessus, menaçant de déposer plainte à leur tour.

     

    La direction du collège a décidé trois jours plus tard de sanctionner les deux élèves concernés à deux jours d’exclusion pour comportement irrespectueux. La professeure souhaitait pour sa part le renvoi des deux adolescents.

    En outre, la direction de l’établissement lui a proposé de rencontrer les familles de ses agresseurs et lui aurait conseillé de changer ses méthodes de travail. C’est à la suite de ces événements qu’elle a tout simplement décidé de démissionner. La quadragénaire a tout de même alerté les syndicats ainsi que l’Inspection d’académique à Perpignan et le Rectorat à Montpellier, afin de les sensibiliser sur ce qui lui était arrivée. Elle n’a pas reçu de réponse pour l’heure a-t-elle précisé.

    ACTU 17


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  • L'automobiliste, tout juste âgé de 18 ans, circulait à vive allure sur une chaussée mouillée à Cordemais

    Un véritable danger pour les autres usagers de la route. Les gendarmes du peloton motorisé de Saint-Herblain annoncent avoir arrêté dimanche un jeune automobiliste circulant à la vitesse de 189 km/h (retenu 179 km/h) sur la RD 17 à hauteur de Cordemais, à l’ouest de Nantes. Cette voirie départementale était limitée à 80 km/h.

     

    Installé aux commandes d’un puissant véhicule, le conducteur était tout juste âgé de 18 ans et n’était même pas titulaire du permis de conduire. Voilà sans doute la raison pour laquelle « il a accéléré en voyant les gendarmes afin de ne pas se faire contrôler », ironise la gendarmerie de Loire-Atlantique.

    Comme si cela ne suffisait pas, la chaussée était arrosée par la pluie, « ce qui multiplie par deux la distance de freinage par rapport à un sol sec », rappelle la gendarmerie. La voiture a fait l’objet d’une mesure d’immobilisation judiciaire.

    20 Minutes


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  • Sous les yeux d’un camarade, le jeune Challandais a glissé sous les barrières du passage à niveau qui étaient baissées en voulant freiner son scooter, ce lundi 26 octobre, vers 18 h. Il n’a pas eu le temps de se relever.

    Le drame s’est produit, ce lundi 26 octobre, vers 18 h, à un passage à niveau situé à deux kilomètres de la gare de Challans (Vendée). Deux adolescents à scooter s’en allaient rejoindre des copains, quand l’accident s’est produit sur le passage protégé, situé chemin de Baudu.

    « Il n’a rien pu faire »

    « Les barrières étaient fermées. L’un d’eux en freinant a glissé et s’est retrouvé au sol sur la voie de chemin de fer. Il n’a rien pu faire », raconte une automobiliste encore sous le choc. Car, juste à ce moment, le train est arrivé. Le jeune, un Challandais de 17 ans, est décédé sur le coup. Son camarade, qui a assisté au drame, a été particulièrement choqué. Tout comme le conducteur du train, qui a stoppé sa locomotive plus loin, en pleine campagne.

    Une enquête ouverte

    Parmi les treize passagers du TER, il n’y a eu aucune victime. La SNCF, vers 19 h, cherchait toujours un moyen de les évacuer. La voie unique, qui relie Challans à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, a aussitôt été fermée en raison de l’enquête. Un service de cars entre les deux villes a été mis en place.

    Les pompiers ont envoyé sur place quinze pompiers et sept véhicules des centres de secours de Challans, La Garnache, La Roche-sur-Yon et Saint-Jean-de-Monts. Le Samu était aussi sur place, ainsi que le maire de Challans et une adjointe.

    Ouest-France


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  • Line Renaud raconte son AVC : "J’essaye de me relever de tous les côtés… je ne peux pas"

    l y a un an et demi, Line Renaud a été victime d’un AVC, un matin au réveil. Si l’actrice est longtemps restée discrète sur son état de santé, elle se confie pour la première fois sur cet accident vasculaire cérébral qui aurait pu avoir de graves conséquences.

    lien DE CE LONG ARTICLE /

    https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/bien-etre/line-renaud-raconte-son-avc-j-essaye-de-me-relever-de-tous-les-c%C3%B4t%C3%A9s-je-ne-peux-pas/ar-BB1apvEB?ocid=msedgntp


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  • Bretagne : 600 croix blanches installées pour alerter sur les suicides des agriculteurs

    Ces croix blanches ont été disposées devant le monument aux morts de Sainte-Anne d’Auray, dans le Morbihan

    Un monument aux morts rendant hommage aux soldats morts pendant la Guerre 14-18. A ses pieds, 600 croix blanches érigées en hommage aux agriculteurs s’étant donné la mort cette année. A Sainte-Anne d’Auray, dans le Morbihan, un geste de recueillement a été organisé au sanctuaire à l’occasion de la 6e Journée de prière en souvenir des agriculteurs​ partis trop tôt.

    L’initiative est à mettre au crédit de Jacques Jeffredo, fils d’agriculteur et lui-même maraîcher. Depuis 2015, cet homme se bat pour que la société s’empare de la question du suicide chez les agriculteurs.

    Cette année-là, la mutualité agricole en avait recensé 606. « Plus de 600 agriculteurs par an se suicident, soit environ deux personnes par jour, l’équivalent de quatre Airbus [crashés] par an », affirme le militant dans sa pétition. « Ce chiffre est plus de trois fois supérieur à la moyenne des autres catégoriques sociaux professionnelles », affirme Jacques Jeffredo.

    20 mINUTES


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  • USA : Un père arrêté pour le meurtre de ses fils et l’enlèvement de ses filles

    L’Amber Alert, l’équivalant de notre plan Alerte Enlèvement, a été lancée samedi aux Etats-Unis. Ce jour-là, deux adolescents, Logan, 14 ans, et Austin, 11 ans, ont été retrouvés morts. Leurs sœurs, Nora, 7 ans, et Aven, 3 ans, étaient de leur côté portées disparues. Les soupçons se sont rapidement concentrés sur leur père Donny Jackson, 40 ans, dont la police a dit qu’il pouvait être «armé et dangereux».

     

    Avant la découverte des cadavres de ses deux fils, il avait déjà croisé la police alors qu’il conduisait sur l’autoroute. Les agents avaient effectué un banal contrôle après qu’il n’a pas respecté le code de la route. Il avait été autorisé à continuer son chemin, ses deux petites filles à l’arrière du véhicule. Une heure plus tard, des proches ont trouvé les deux garçons morts et ont appelé les secours, signalant dans le même temps la disparition des fillettes, rapporte le «Kansas City Star».

    Les fillettes retrouvées vivantes

    C’est finalement au bout de six heures que Donny Jackson a été interpellé, en Oklahoma. Les deux petites filles ont elles aussi été retrouvées, vivantes. Le major James Sherley, du bureau du shérif du comté de Leavenworth, a expliqué avoir déjà eu affaire à ce père de famille, sans toutefois préciser dans quelles circonstances. Il a simplement expliqué que l’homme est en instance de divorce avec sa femme Tara, la mère des quatre enfants.

    Une page de collecte de dons a été ouverte afin d'aider la jeune femme à payer les obsèques de ses fils. «Le 24 octobre 2020, Logan Jackson et Austin Jacskon ont tragiquement perdu la vie. Tara est maintenant confrontée à la tâche écrasante de payer les funérailles de ses deux fils. Elle devra également faire face à de nombreux autres inconnus à l'avenir. Nora et Aven, qui ont retrouvé Tara après une alerte enlèvement à travers plusieurs Etats, auront sans aucun doute besoin d'aide pour traverser cet événement tragique. Veuillez aider Tara de toutes les manières possibles», peut-on lire. Dimanche, les charges n’avaient pas encore été officiellement retenues contre Donny Jackson.

    Paris Match


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