• Un jeune homme de 18 ans a été interpellé ce mercredi à Mulhouse (Haut-Rhin) après avoir agressé deux jeunes femmes en pleine rue. Il reprochait à l’une d’entre elles de s’habiller « trop court ». Jugé ce jeudi, l’homme a écopé d’une peine de prison avec sursis.

    L’agression a eu lieu vers 16h35 ce mercredi, à proximité du centre commercial Porte Jeune de Mulhouse. Deux jeunes femmes de 18 et 20 ans ont été agressés par un individu âgé de 18 ans. L’homme a été rapidement interpellé puis placé en garde à vue.

    Il a été déféré au parquet de Mulhouse ce jeudi pour être jugé dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) rapporte France 3. L’audience a permis d’en savoir plus sur le déroulement des faits. Le prévenu a d’abord reproché à l’une des jeunes femmes de s’habiller « trop court ». Cette dernière portait un short, et non une jupe comme précédemment indiqué.

     

    « Tu veux pas t’habiller plus court ? » lui aurait lancé le mis en cause. La jeune femme lui a répondu « qu’est-ce que ça peut te foutre ? ». Les victimes ont expliqué que le jeune homme s’était alors retourné et les avait suivies, tout en les insultant. L’agresseur a donné une gifle à la jeune femme qui portait le short puis l’a poussée. Elle a chuté au sol. La seconde victime a été saisie par le cou alors qu’elle tentait de s’interposer.

    « Ma copine portait des collants, des bottes et un short, je ne vois pas en quoi c’est un problème »

    La première jeune femme a été transportée à l’hôpital pour une blessure légère au genou et s’est vu attribuer 3 jours d’Incapacité totale de travail (ITT). Le prévenu qui est déjà connu des services de police pour violences selon nos informations, a déclaré qu’il connaissait la jeune femme. Cette dernière a affirmé, à l’inverse, qu’elle ne connaissait pas le mis en cause.

     

    « Pour moi, les femmes s’habillent comme elles veulent, ça ne regarde personne. Ma copine portait des collants, des bottes et un short, je ne vois pas en quoi c’est un problème », a insisté Coline, la seconde victime. Le prévenu de 18 ans a écopé d’une peine de deux mois de prison avec sursis, 75 heures de travail d’intérêt général et a reçu l’obligation d’effectuer un stage de citoyenneté.

    Cette agression s’est produite seulement quelques jours après celle d’une jeune femme à Strasbourg. Cette dernière a raconté avoir été agressée et frappée dans la rue car elle portait une jupe.

    ACTU 17

    Deux mois avec SURSIS, c'est encouragé ces petits truands à ce qu'ils continuent ! Pauvre justice !


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  • La conductrice d’une BMW avait laissé tourner le moteur de sa voiture quelques instants pour aller retirer de l’argent à Moissy-Cramayel (Seine-et-Marne). Son véhicule a été volé alors que ses enfants se trouvaient à l’intérieur.

    Une femme de 29 ans a probablement vécu la peur de sa vie ce vendredi en début d’après-midi à Moissy-Cramayel. Cette habitante de Lieusaint s’est arrêtée vers 14h30 devant La Poste située sur l’avenue Philippe Bur pour faire un retrait d’argent, tandis que ses deux enfants – un petit garçon de 3 ans et une petite fille de 7 mois – étaient dans la voiture raconte Le Parisien.

    Lorsqu’elle s’est retournée, son véhicule était conduit par un inconnu qui prenait la fuite. Elle avait laissé le moteur allumé. La mère de famille s’est rapidement dirigée vers le commissariat situé à proximité pour donner l’alerte. Toutes les patrouilles de police ont été avisées de ce vol et du fait qu’il y avait deux enfants en bas âge à bord de cette BMW

    Les enfants déposés à Carré Sénart

    Fort heureusement, le petit garçon et sa petite sœur ont été retrouvés peu avant 15 heures sur le parking proche du Feu Vert et de la station-service du Carré Sénart, à Lieusaint. Ils venaient d’être abandonnés par le ou les auteurs qui ont gardé la voiture. Les enfants ont été ramenés à leur mère qui se trouvait au commissariat et qui a été très rassurée.

    Une enquête a été ouverte et confiée à la sûreté urbaine du commissariat d’agglomération Melun Val de Seine.

    ACTU 17


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  • Essonne : un an de prison pour avoir emmené ses enfants au Mali sans prévenir leur mère

    Il avait dit à ses enfants qu'il les emmenait au cinéma. Mouhamadou Issaka et Maimouna, âgés de 11, 8 et 5 ans s'étaient retrouvés le 12 août 2019 au Mali.

    L'homme avait ensuite téléphoné à sa femme, inquiète, en pleine nuit, pour l'informer de la situation. Cette dernière, qui habite Athis-Mons, avait immédiatement porté plainte. Le père avait comparu devant le tribunal correctionnel d'Évry le 14 novembre dernier pour soustraction d'enfants et rétention hors de France. À cette date, la maman n'avait aucune nouvelle de ses trois enfants. Le déclarant coupable, le tribunal avait ajourné le prononcé de la peine pour lui donner le temps de rapatrier les enfants.

    Le père sera à nouveau jugé en novembre prochain

    Ces derniers sont finalement rentrés en France un mois plus tard. Difficile de savoir ce qu'ils ont vécu durant ces quatre mois au Mali. Il semblerait qu'ils aient été placés dans une école coranique. Ce jeudi soir, leur père a été condamné à une peine de 12 mois de prison, dont trois mois avec sursis probatoire et 3 500 euros à verser à la mère pour le préjudice.

    « Quand ils sont rentrés en France, les enfants n'étaient pas en bonne santé, souligne le substitut du procureur. Ils présentent de très nombreuses cicatrices. » Ces faits font l'objet d'une autre procédure à l'encontre du père, qui sera à nouveau jugé en novembre prochain. À l'audience, ce dernier, âgé de 31 ans, a expliqué qu'il avait fait ça parce que parfois sa femme s'absentait sans le prévenir, qu'elle aurait « confié les enfants une fois à une voisine que je ne connaissais pas, et elle ne participait pas aux frais de la vie conjugale. » Ce jeudi, il ne semblait toujours pas réaliser la gravité de ses actes, indiquant qu'il s'était toujours « bien comporté ».

    Le Parisien

    On ne donne pas l'origine de la mère


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  • Sri Lanka: ils voulaient vendre la viande d'un léopard pour soigner l'asthme

     Un responsable de la police au Sri Lanka tient la tête d'un léopard tué par des braconniers qui voulaient vendre sa viande comme remède contre l'asthme, à Ududumbara le 25 septembre 2020

    Trois personnes, dont une femme, ont été arrêtées vendredi au Sri Lanka après avoir piégé et tué un léopard, espèce en danger, afin de vendre sa viande réputée soigner l'asthme selon une croyance populaire, a-t-on appris auprès de la police.

     

    "Ils ont tué l'animal et lui ont coupé la tête après l'avoir piégé jeudi", a expliqué à l'AFP l'inspecteur en chef Dushantha Kangara. Le trio a été arrêté par la police de Udubumbara (centre) après une descente dans leur maison.

    Les suspects ont jeté la tête du léopard dans la forêt et emporté la carcasse afin de vendre sa peau et sa viande, selon M. Kangara. Plusieurs léopards ont déjà été piégés dans la même région, située à environ 175 km à l'Est de Colombo.

    La police a saisi 17 kilogrammes de viande de léopard auprès des trois suspects. Une croyance populaire veut que la viande de léopard permette de soigner l'asthme, a expliqué M. Kangara.

    Les léopards du Sri Lanka, estimés à moins d'un millier, figurent sur la liste des animaux en danger de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

    Blesser un léopard est passible de cinq ans de prison au Sri Lanka.

    AFP

    Ce que certains types peuvent être cons avec leurs croyances ancestrales stupides !


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  • « On reste ouvert » : à 24 heures de leur fermeture, les restaurateurs de Marseille crient leur colère

    « La coupe est pleine »« Laissez-nous travailler »« Insupportable » : criant leur colère dans une ambiance électrique, plusieurs centaines de restaurateurs, soutenus par des élus de tous bords, se sont rassemblés ce vendredi 25 septembre à Marseille pour protester contre les nouvelles mesures destinées à lutter contre le Covid-19.

    Dès le début de la matinée, la foule s’est densifiée rapidement, comme le montrent les images publiées sur Twitter par le journaliste de Brut Remy Buisine.

    Les manifestants se sont réunis devant le tribunal de commerce« car nous viendrons peut-être y déposer nos bilans », a lancé Bernard Marty, président de l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie des Bouches-du-Rhône, au mégaphone. Selon le quotidien local « la Provence », plusieurs centaines de personnes étaient présentes.

    Lorsqu’il prononce le nom du ministre de la Santé Olivier Véran, attendu dans l’après-midi dans la deuxième ville de France, des huées montent de la foule compacte : « Et il est où ? Qu’il vienne ici ! », lance un manifestant. Convié par le préfet à une réunion en début d’après-midi, Bernard Marty a affirmé qu’il se rendrait plutôt à l’Institut hospitalo-universitaire de Didier Raoult, jouxtant la Timone, « pour voir le ministre » Olivier Véran, appelant tout de même au « calme ».

    Pas de verbalisations ce week-end

    Unis contre les mesures gouvernementales, annoncées sans concertation selon eux, des élus de tous bords ont rejoint la manifestation. A leur arrivée, Martine Vassal, présidente LR de la métropole Aix-Marseille et du département des Bouches-du-Rhône, et Renaud Muselier, président LR de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ont été applaudis.

     

    « Je vais dire à Olivier Véran cet après-midi que ce n’est pas lui qui donne à manger aux salariés de ces restaurants, de ces bars, qui vont se retrouver au chômage parce que Monsieur Véran a décidé de façon unilatérale de les fermer », ajoute de son côté à l’AFP Samia Ghali, deuxième adjointe à la mairie de Marseille. Celle-ci a par ailleurs annoncé à BFMTV que les tenanciers de bars et restaurateurs qui décideraient de rester ouverts ce week-end ne seraient pas sanctionnés. « La police municipale ne verbalisera pas les restaurants et bars ouverts », a annoncé ce vendredi matin sur BFMTV Samia Ghali, deuxième adjointe à la maire de Marseille

    Une fronde contre le tour de vis annoncé par Véran

    Le tour de vis annoncé mercredi soir dans la lutte contre le Covid-19 par le ministre de la Santé Olivier Véran, défendu par le Premier ministre Jean Castex sur France 2 jeudi, a provoqué un tollé, et pas uniquement à Marseille et dans sa région. Les bars et les restaurants devront aussi fermer à 22 heures à partir de lundi dans onze métropoles, dont Paris, Lyon ou Nice, toutes en « zone d’alerte renforcée ».

     

    Selon le dernier bilan national, 16 096 nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés en vingt-quatre heures, un niveau jamais atteint depuis le lancement des tests à grande échelle dans le pays.

    En Ile-de-France, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a prévenu qu’elle était contrainte de déprogrammer 20 % des opérations chirurgicales dès ce week-end.

    L'OBS


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  • Suicide d'Evaëlle, 11 ans, harcelée à l'école : une enseignante en examen pour harcèlement

    Une enseignante a été mise en examen le 4 septembre à Pontoise pour "harcèlement sur mineur" et placée sous contrôle judiciaire après le suicide en 2019 d'Evaëlle, collégienne de 11 ans, a appris l'AFP vendredi de sources concordantes, confirmant une information du Parisien.

    Les parents d'Evaëlle avaient déposé une plainte contre cette enseignante de français, responsable selon eux de n'avoir rien fait contre le harcèlement dont leur fille était victime au collège, voire de l'avoir encouragé, ce qui l'avait conduite à mettre fin à ses jours le 25 juin 2019 à Herblay, en grande banlieue parisienne.

    Cinq mois après le drame, le parquet de Pontoise avait ouvert une information judiciaire contre X pour homicide involontaire et contre l'enseignante et plusieurs élèves pour "harcèlement moral sur mineur de 15 ans". Le placement sous contrôle judiciaire de cette professeur a été assorti d'une interdiction d'enseigner et d'une obligation de soins psychologiques, selon une source proche du dossier.

    Les parents jugeaient que l'enseignante avait fait de leur fille sa "tête de Turc"

    "Ils étaient satisfaits de la mise en examen et qu'elle ait interdiction d'enseigner, ce qu'on demandait depuis le début. On estime qu’il y avait un malaise", a réagi auprès de l'AFP Me Delphine Meillet, l'avocate des parents d'Evaëlle.

    Les faits avaient démarré à la rentrée 2018 avec un conflit autour d'une histoire de cartable trop lourd, puis s'étaient poursuivis hors du collège et dans la classe de cette enseignante, dont les parents jugeaient qu'elle avait fait de leur fille sa "tête de Turc". Malgré un changement d'établissement scolaire, Evaëlle, suivie alors par un psychologue, avait été à nouveau confrontée au comportement violent d'un camarade, une "goutte d'eau" qui lui a fait craindre de "revivre la même chose", avait expliqué sa mère. Contacté par l'AFP, l'avocate de l'enseignante n'était pas joignable dans l'immédiat.

    Paris Match


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  • Un policier britannique a été tué par balle dans un commissariat du sud de Londres dans la nuit de jeudi à vendredi. Un homme qui était alors placé en garde à vue est suspecté d’être l’auteur du tir mortel.

    Un policier britannique a été tué par balle dans la nuit du jeudi 24 au vendredi 25 septembre dans un centre de détention du sud de Londres, a annoncé la police.

    Le suspect, un homme âgé de 23 ans, a lui aussi été touché par balle et hospitalisé dans un état jugé critique. De sources policières, on précise qu’aucun agent n’a ouvert le feu. La BBC rapporte qu’il a peut-être retourné l’arme contre lui.

    L’incident s’est produit vers 02h15 alors qu’un homme était placé en garde à vue dans un poste de police du quartier de Croydon.

    Enquête en cours

    Touché par balle, le policier, dont l’identité n’a pas été rendue publique, a été soigné sur place puis transféré à l’hôpital où son décès a été prononcé dans la nuit.

    C’est un événement véritablement tragique qui a coûté la vie à l’un de nos collègues dans les circonstances les plus tragiques qui soient, a réagi la cheffe de la police de Londres, Cressida Dick.

    L’enquête n’en est qu’à son tout début, et les policiers n’ont pas encore établi l’enchaînement des faits, a-t-elle ajouté.

    Je suis bouleversée et attristée d’apprendre qu’un agent de la police métropolitaine a été tué dans l’exercice de ses fonctions, a réagi la ministre de l’Intérieur, Priti Patel.

    C’est un triste jour pour notre pays et un terrible rappel du danger auquel s’expose chaque jour chacun de nos policiers pour assurer notre sécurité.

    Ouest-France


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  • Paris :  Attaque à la machette à proximité des anciens locaux de Charlie Hebdo (3 blessés en urgence absolue)

    Un individu armé d’une machette a attaqué plusieurs personnes ce vendredi matin près des anciens locaux du journal satirique, théâtre d’un attentat en janvier 2015, dans le XIe arrondissement de Paris. Trois personnes sont en urgence absolue.

    Les raisons de l’attaque sont encore ignorées. L’auteur est activement recherché et serait reparti en métro. Un vaste dispositif policier est déployé. Il serait vêtu d’une doudoune sans manches noire, bas de jogging noire et chaussures rouges. La préfecture de police demande d’éviter le secteur en raison d’une intervention de police en cours.

    Ho bordel. Je travaille à côté des bureaux de Charlie Hebdo y'a une agression à la machette à deux blessés dont une qui s'est réfugiée dans notre bureau c'est la merde pic.twitter.com/EtBwDsmIIj

    FDESOUCHE

    Autre article :

    https://actu17.fr/paris-attaque-a-larme-blanche-sur-le-boulevard-richard-lenoir-plusieurs-victimes/

     à suivre .....


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  • Tenue jugée trop provocante à Belfort : "Ma fille est rentrée humiliée", un père de famille dénonce les propos d'un prof

    David, un parent d'élève d'une jeune fille de 14 ans scolarisée au collège Arthur Rimbaud à Belfort, ne décolère pas. "Arrivée en cours de mathématiques, elle n’a pas eu le temps d’enlever sa veste que son professeur lui a fait remarquer, devant toute sa classe, que son décolleté était trop voyant et que sa tenue était donc vulgaire selon ses mots. Il ne comprenait d’ailleurs pas comme on avait pu la laisser entrer dans le collège" écrit-il sur les réseaux sociaux mardi 22 septembre, dans une publication devenue virale et partagée des milliers de fois sur la toile. Ce dernier publie également la photo de sa fille et de la tenue pointée du doigt. Un jean noir et un haut, somme toute basiques.

    "Par sa réflexion stupide, il a mis une cible sur ma fille. Cette cible, c’est celle qui justifiera les propos des plus tordus (puisqu’il y’en a quelques-uns dans ce collège) à l’égard des filles. Et quand on sait comment sont traités ces comportements... J’entends déjà les « tu t’habilles comme une pute, même le prof l’a dit ». Sa réflexion est l’expression du même mécanisme qui consiste à justifier un viol par la tenue vestimentaire de la victime" s'indigne le père de famille.

    Ce n'est pas le premier cas de ce genre. À Besançon, des élèves de classes préparatoires aux grandes écoles au lycée Victor-Hugo à Besançon ont été la cible de remontrances de la part de leur professeur de mathématiques, comme le rapportent nos confrères de l'Est Républicain. Jugeant leurs tenues vestimentaires inappropriées, ce dernier a établi une charte de bonne conduite et entend bannir de son cours "décolletés, shorts, minijupes, et de façon générale toute tenue vestimentaire non adaptée dans une salle de classe."

    Depuis quelques semaines, la tenue vestimentaire des collégiens et lycéens est scrutée. À vrai dire, il s'agit surtout de la tenue des jeunes filles qui est en question.

    Le ministre Jean-Michel Blanquer a déclaré : "L’école n’est pas un lieu comme les autres, ce n’est pas comme si vous allez à la plage ou en boîte de nuit (...) Chacun peut comprendre qu'on vient à l'école habillé d'une façon républicaine". Ce dernier a préconnisé le short uniquement "pour faire de l’éducation physique et sportive". Ces propos ont été largement critiqués, notamment par les associations spécialisées dans les droits des femmes. La ministre déléguée à l'Égalité Femmes-Hommes, Elisabeth Moreno, s'est d'ailleurs inscrite en faux contre les propos de son collègue de l'Éducation nationale.

    Des règles discriminatoires

    Dans les établissements scolaires, les différences de traitement entre les filles et les garçons concernant le port des shorts sont de plus en plus courants, ou en tout cas dénoncés.

    Certains parents ne cachent pas leur exaspération quant à ces injustices. Dans le collège Yves Montand d'Allauch dans les Bouches-du-Rhône, filles et garçons ne seraient pas logés à la même enseigne. Les filles portant des jupes courtes et des shorts ne sont pas tolérées, comme le rapportent nos confrères de France 3 Côte d'Azur. Ces derniers donnent la parole au père d'Anouck, une collégienne menacée d'heures de colle en raison d'un short. Le père d'Anouck a exprimé sa colère et son incompréhension face à cette discrimination.

    "Partout sur notre territoire, à Nîmes en août, à Reims il y a quelques jours et encore plus récemment à Strasbourg, des jeunes filles ont été agressées et frappées dans la rue pour leur tenue, ou pour avoir refusé des avances" dénonce David, le père de famille franc-comtois, dont la fille a été reprise par son professeur à Belfort. Ce dernier souligne qu'en aucun cas il ne s'agit d'une vendetta de sa part. Le professeur a présenté des excuses à sa fille, après avoir été convoqué par la direction. Néanmoins, pour David et sa fille, le mal est fait.

    "Il a fait une bêtise"

    "Moi je n'ai aucune exigence. Je ne vais pas demander la tête de quelqu'un ou encore qu'il soit viré. Pour moi l'éducation nationale a un rôle, c'est de gérer l'éducation de nos enfants mais aussi de gérer l'attitude de leurs professeurs. En l'occurrence il a fait une bêtise, il doit etre sanctionné mais c'est à la direction de l'école de placer le curseur de la sanction" nous explique-t-il, tout en précisant que l'inspection académique est prévenue.

    Le papa s'est entretenu avec le principal du collège. Il conclut : "Il faudrait que les gens se rebiffent contre cet état d'esprit puritain. Ma gamine je ne vais pas l'élever comme dans la petite maison dans la prairie. J'ai une fibre très républicaine. Mes gamines baignent là dedans. L'attitude de ce prof est en totale opposition avec ces valeurs-là. Il faut que ça ressorte".

    Nous avons tenté de joindre à plusieurs reprises ce mercredi la direction de l'établissement scolaire belfortain, en vain. 

    france 3  bourgogne franche-comté

    La tenue de cette fille n'est pas du tout provocante, ce prof est tordu !


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  • Un homme de 48 ans a été interpellé par la police ce mercredi après-midi. Dans une lettre, il parlait notamment un projet d’attentat visant les policiers du commissariat d’Alès (Gard).

    Les propos tenus par cet homme ont provoqué une réaction immédiate de la police. L’un des responsables d’un foyer d’hébergement d’urgence de Denain (Nord) a fait appel aux forces de l’ordre ce mercredi. Il venait de tomber sur une lettre très inquiétante de l’un de ses résidents.

    Dans ce courrier, l’homme décrivait un projet d’attentat visant les policiers du commissariat d’Alès, lors des fêtes de fin d’années. Il évoquait également sa conversion à l’Islam. Un récit comportant des incohérences et des confusions précise une source policière, que les enquêteurs ont tout de même pris au sérieux.

    Des vidéos où il fait part de sa haine envers les policiers

    L’auteur de cette lettre a rapidement été identifié. Âgé de 48 ans, il est déjà connu des services de police mais pas des services de renseignements indique-t-on. Les premières investigations ont permis de découvrir que le suspect avait diffusé deux vidéos sur internet en août dernier, dans lesquelles il parlait là aussi de sa conversion à l’islam, ainsi que de sa haine envers les policiers d’Alès mais également de sa volonté de rejoindre Dieu et de « mourir en martyr ».

    Un dispositif de police a immédiatement été mis en place et a permis l’interpellation sans difficulté de cet homme à 15 heures le jour même. Il a été placé en garde à vue.

     

    Une perquisition a été menée dans son logement et aucune arme n’a été découverte. Les enquêteurs ont saisi son matériel informatique afin qu’il puisse être exploité par la suite. A ce stade, l’enquête a été confiée au commissariat de Denain. Un examen de comportement du mis en cause permettra de déterminer s’il peut être tenu responsable de ses actes. En outre, ses relations et son passif vont être passés au crible. L’enjeu sera également de déterminer si cet homme est radicalisé et si tel est le cas, depuis combien de temps.

    ACTU 17

    Peut-être juste un malade psychiatrique !


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  • Un homme de 30 ans est mort noyé dans un lac sous les yeux de son fils de 8 ans à Montlaur-Bernet (Gers) ce mercredi matin.

    La partie de pêche a viré au cauchemar dans le Gers ce mercredi. Un père et son fils de 8 ans se sont rendus au bord du lac de Joy à Montlaur-Bernet, un plan d’eau isolé dans la campagne, pour pêcher ensemble raconte France Bleu. Leur voiture est alors tombée accidentellement dans l’eau et a sombré.

    L’homme âgé de 30 ans a plongé pour récupérer les affaires qu’il avait laissées dans son véhicule, notamment son téléphone portable. C’est ce que son fils de 8 ans a raconté aux secours après avoir donné l’alerte, alors qu’il ne voyait pas son père remonter à la surface.

    Déclaré mort sur place

    Le petite garçon a couru jusqu’à la ferme la plus proche pour pouvoir prévenir les sapeurs-pompiers. Ces derniers sont vite arrivés et les plongeurs ont retrouvé le pêcheur. Il était malheureusement resté coincé dans l’habitacle de sa voiture. Les tentatives de réanimation n’ont pas permis de le sauver. Le trentenaire a été déclaré mort sur place.

    Son fils qui était sous le choc a été pris en charge par la cellule psychologique du SAMU, avant que sa mère vienne le récupérer. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes du drame. Elle a été confiée à la communauté de brigades de Mirande.

    ACTU 17

    Il n'aurait pas dû plonger pour récupérer son téléphone !


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  • Le chauffard qui a violemment percuté un douanier à la sortie de l’autoroute A7 à Tain-l’Hermitage (Drôme) ce mardi après-midi transportait 80 000 euros en numéraire, avec son complice.

    Le drame s’est produit vers 17 heures ce mardi, dans la Drôme. Un douanier a été percuté par le conducteur d’une Renault Megane GT qui a refusé de se soumettre au contrôle et a forcé le passage, à la sortie de l’autoroute A7, au péage de Tain-l’Hermitage.

    L’agent de 39 ans a été grièvement blessé et souffre d’une fracture du crâne. Il a été évacué à l’hôpital de Valence. Ses jours ne sont plus en danger ce mercredi. La victime a percuté le pare-brise de la voiture. L’une de ses collègues qui a été témoin des faits a été particulièrement choquée. Elle a été transportée à l’hôpital afin d’y subir des examens de contrôle écrit France Bleu.

     

    Le véhicule des fuyards a été arrêté à l’aide d’un « stop-stick » qui a crevé les roues du puissant véhicule. Les gendarmes de l’escadron départemental de sécurité routière et de la compagnie de Romans l’ont localisé quelques centaines de mètres plus loin et ont interpellé les deux occupants qui ont été placés en garde à vue.

    La voiture était volée et faussement immatriculée

    80 000 euros en numéraire ont été découvert dans la voiture des mis en cause qui sont âgés de 31 et 33 ans. La voiture avait été volée à Marseille peu avant et de fausses plaques d’immatriculation avaient été installées dessus.

     

    Les deux trentenaires sont déjà connus des services de la justice, notamment pour des affaires de trafic de stupéfiants a souligné le procureur de la République de Valence, cité par nos confrères.

    Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire et le ministre délégué chargé des Comptes publics, Olivier Dussopt, ont fait part de leur « soutien total aux proches de l’agent blessé », ainsi qu’à sa collègue en état de choc. Les deux ministres « condamnent avec la plus grande fermeté cet acte et saluent le courage des douanes qui exercent leur mission indispensable au service de tous les Français », peut-on également lire.

    ACTU 17

    Les deux types connus des services de police mais libres !

    Il faudrait construire des prisons !


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  • Le suspect, âgé de 18 ans, a été placé en garde à vue

    Les faits ont eu lieu mercredi après-midi, dans le quartier Porte-Joie, dans le centre-ville de Mulhouse. Vers 16 h 35, deux jeunes femmes de 20 ans se promenaient lorsqu’elles ont été agressées par un individu qui leur a fait des reproches concernant leur tenue vestimentaire, indique à 20 Minutes une source policière.

     

    Selon nos informations, le suspect, âgé de 18 ans, a d’abord fait une réflexion à l’une d’elle concernant la taille de sa jupe avant de la gifler et de la faire chuter. Elle a été légèrement blessée au genou.

    Puis il a saisi la seconde jeune fille à la gorge alors qu’elle tentait de venir en aide à son amie. Cette dernière n’a pas été blessée. Le suspect a rapidement été interpellé par un équipage de police et a été placé en garde à vue.

    Ce fait divers fait suite à une agression similaire la semaine dernière à Strasbourg. Une étudiante de 22 ans, Elisabeth, accuse trois hommes de l’avoir violemment agressée vendredi au motif qu'elle portait une jupe.

    20 Minuts

    Les sales types qui n'aiment pas les filles en jupe n'ont qu'à retourner dans leur pays d'origine !


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  • Un homme âgé de 31 ans est notamment accusé d’avoir enlevé et violé une petite fille de 9 ans dans la Vienne ce dimanche. Le procureur de la République de Poitiers a donné de plus amples détails sur ce dossier lors d’une conférence de presse ce mardi après-midi.

    Il a été interpellé au terme d’une course-poursuite avec la police ce lundi à Saumur (Maine-et-Loire). Cet homme âgé de 31 ans était toujours en garde à vue ce mardi soir. Il est accusé d’avoir commis de multiples faits, notamment criminels, en l’espace de quelques jours.

    Son parcours a débuté ce vendredi vers 18h30 lorsqu’il a frappé à la porte d’une femme de 74 ans à Varennes-sur-Loire, près de Saumur, avant de la violer. Le mis en cause a ensuite volé le véhicule de sa victime pour prendre la fuite, une Citroën C3 grise, ainsi que les moyens de paiements de cette dernière.

     

    Il est réapparu dimanche vers 11 heures lorsqu’il a tenté d’agresser une joggeuse sur la commune de Noiron, située à une dizaine de kilomètres de Villiers. Elle ne s’est pas laissée faire et l’agresseur a finalement pris la fuite.

    « Il s’est emparé d’elle violemment, elle s’est débattue »

    L’homme s’en est ensuite pris à une fillette de 9 ans vers midi, dans le petite village de Villiers, où 900 habitants vivent. « Elle était partie acheter du pain et rentrait chez elle lorsque l’individu est descendu de son véhicule. Il s’est emparé d’elle violemment, elle s’est débattue », a détaillé le procureur de la République, Michel Garrandaux, cité par Le Parisien.

     

    La petite fille a été emmenée à un kilomètre de là, dans un endroit isolé, où elle a été violée. « Il l’a abandonnée sur place, la fillette est rentrée seule à son domicile », a détaillé le magistrat.

    La petite fille extrêmement choquée a été en capacité de donner une description précise de son agresseur et du véhicule utilisé par ce dernier. Des informations qui ont permis aux enquêteurs de faire le lien avec le viol de la septuagénaire, mais également avec l’agression ratée de la joggeuse. Les forces de l’ordre ont alors recherché activement la Citroën C3 du mis en cause, qui a donc été localisée lundi après-midi à Saumur par la police.

    Déjà condamné à 18 reprises

    Le conducteur et son passager qui a tenté de prendre la fuite ont été interpellés et placés en garde à vue. Ce dernier qui est âgé de 27 ans, a été mis hors de cause et remis en liberté. Quant au suspect principal âgé de 31 ans, il est issu de la communauté des gens du voyage et a déjà eu affaire à la justice par le passé.

    Son casier judiciaire comporte en effet 18 mentions, notamment pour violences conjugales, vols, trafic de stupéfiants et pour un homicide involontaire qui a eu lieu sur la route. Le trentenaire est par ailleurs mis en cause « pour des faits de nature sexuels intrafamiliaux », pour lesquels l’enquête se poursuit.

    L’homme doit être déféré ce mercredi au parquet d’Angers concernant l’enquête sur le viol de cette femme de 74 ans indique France Bleu. Par la suite, il sera transféré à Poitiers pour être interrogé par les enquêteurs au sujet de l’enlèvement et le viol de la fillette, à Villiers. Les résultats des prélèvements ADN qui doivent arriver dans les prochaines heures permettront aux enquêteurs d’obtenir des confirmations dans ce dossier criminel.

    ACTU 17

    Que fait ce sale type en liberté ?

    Quelle justice de merde !


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  • Strasbourg : Une jeune étudiante agressée et violemment frappée parce qu’elle porte une jupe

    Une étudiante âgée de 22 ans a été insultée et frappée en plein visage, en pleine rue, parce qu’elle portait une jupe. Elle dénonce le harcèlement de rue de plus en plus présent.

    Elisabeth a encore des marques de son agression sur le visage. Elle a livré son témoignage à France Bleu et raconte ce qui lui est arrivé ce vendredi près de la médiathèque Malraux à Strasbourg (Bas-Rhin), « entre 13 heures et 15 heures ». Trois individus s’en sont violemment pris à elle.

    « Un des trois hommes me dit ‘regardez cette pute en jupe’ « , raconte la jeune femme de 22 ans. « Je me permets de répondre ‘pardon’. Là, ils me répondent ‘tu te tais salope et tu baisses les yeux’. Deux m’attrapent chacun par un bras et le troisième me donne un coup de poing au visage. Et après, les trois s’enfuient ».

    Aucun témoin n’a réagi

    Une quinzaine de personnes ont assisté à cette violente agression mais personne n’a réagi explique la jeune étudiante. Ni pendant, ni après. Elisabeth a un œil au beurre noir, mais elle « relativise énormément »« La vie est tellement courte, il y a tellement de belles choses qui arrivent. Il ne faut pas se laisser abattre et avoir maintenant peur de sortir, avoir peur de mettre une jupe », affirme-t-elle.

    « C’est vraiment violent, sale, pervers »

    L’étudiante explique ensuite qu’elle n’a jamais ressenti un climat aussi néfaste envers les femmes, alors même qu’elle a grandi à Strasbourg. « C’est vraiment violent, sale, pervers (…) Il va lancer ‘t’es bonne’ et va partir tout de suite. C’est toujours très lâche en fait », raconte-t-elle.

    Elizabeth a déposé plainte suite à cette agression. Sur Facebook, elle a diffusé quelques photos de son visage abîmé par ce coup de poing qu’elle a reçu, en remerciant les personnes qui lui ont fait part de son soutien : « Je tenais à remercier toutes les personnes pour leur soutien. Sauf les témoins de la scène qui n’ont pas réagi au moment de l’agression. Merci aux autres pour vos messages, et votre bienveillance. Surveillez-vous les uns les autres et faites attention à vous. Maintenant ça ira ».

    ACTU 17

    Et macron et ses sbires ne font rien, la France devient complètement pourrie !


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  • Jérémie Bréaud, le maire LR de Bron, s'est indigné ce dimanche sur Facebook après des débordements lors d'un mariage samedi. L'élu a annoncé que la ville allait porter plainte.

    LIEN de l'article :

    https://www.bfmtv.com/lyon/bron-une-ceremonie-de-mariage-degenere-le-maire-va-porter-plainte_AV-202009210157.html

     

    On imagine l'origine des mariés !


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  • Le propriétaire des trois chiens a été interpellé et placé en garde à vue.

    Un septuagénaire qui faisait son footing a été attaqué par trois chiens, un pitbull et deux staffs, vers 10h30 ce lundi matin à Istres (Bouches-du-Rhône). « La victime souffre de blessures très importantes aux membres inférieurs, son pronostic vital est engagé », a indiqué la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP), citée par Le Figaro.

    Les faits se sont produits dans le quartier Entressen. Un automobiliste témoin de cette terrible scène a volontairement écrasé l’un des chiens qui a été tué. Les policiers du commissariat d’Istres sont ensuite arrivés et ont abattu le second animal. Le troisième s’est enfui et s’est réfugié au domicile d’où il s’était échappé avec les deux autres.

     

    Ce dernier a été pris en charge et devrait être euthanasié a ajouté la DDSP. Quant au propriétaire des trois chiens, il a été interpellé et placé en garde à vue. Un seul des trois chiens était en conformité avec la loi. L’un n’avait pas été stérilisé et n’avait pas fait l’objet d’une analyse comportementale.

    ACTU 17


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  • La petite fille a été kidnappée dans un village près de Poitiers dans la Vienne dimanche en pleine journée. Elle a été retrouvée deux heures après et a été hospitalisée. 

    Dimanche 20 septembre dans la journée, alors que la petite fille de 9 ans est en train d'aller chercher le pain, elle marche seule dans la rue du petit village de Villiers près de Poitiers, là où elle vit et est scolarisée, un homme l'aborde en voiture. 

    C'est à ce moment-là, qu'il la kidnappe.

    L'enfant retrouvée sauve, le ravisseur introuvable

    L'enfant, qui a été violée, est retrouvée sauve deux heures après. Elle a été transportée à l'hôpital de Poitiers.

    Le ravisseur quant à lui, n'est pas sur les lieux et il est introuvable.

    Les gendarmes ont alors déclenché le plan Epervier (opération de gendarmerie déclenchée à la suite d'un enlèvement ou lors de la recherche et l'appréhension d'une personne recherchée) à deux reprises ce dimanche, afin de lui mettre la main dessus.

    Près de 100 gendarmes ont ainsi été mobilisés pour filtrer le trafic routier, en vain. Mais comme le précise le procureur de la République de Poitiers à France 3, le plan a permis d'appuyer le travail des enquêteurs de la Section de recherche du département. 

    Des centaines de gendarmes en alerte 

    Ils se concentrent sur plusieurs pistes. Ce lundi 21 septembre, près de 400 gendarmes étaient en alerte dans trois départements : la Vienne, les Deux-Sèvres et le Maine-et-Loire. Des policiers sont également mobilisés pour cette enquête.

    Tout ce dispositif a permis d'interpeller deux hommes. 

    Tests ADN en cours

    Les deux suspects ont été arrêtés à Saumur dans le Maine-et-Loire lundi soir alors qu'ils circulaient dans une Citroën C3 qui aurait été volée à une septuagénaire, victime de viol elle-aussi.

    Ils ont été placés en garde à vue, selon France Info. 

    L'un des deux hommes est soupçonné d'avoir violée la septuagénaire ainsi que la fillett. Des prélèvements ADN ont été effectuées. Les résultats sont attendus pour déterminer s'il s'agit bien du violeur.

    Aucune information n'a filtré concernant l'autre homme pour le moment.

     

    The World NEWS


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  • Au moins 15 personnes ont péri et jusqu’à 25 autres pourraient être coincées sous les décombres d’un immeuble résidentiel de trois étages qui s’est effondré ce lundi 21 septembre, avant l’aube, dans l’ouest de l’Inde, ont annoncé les autorités.

    Un immeuble de trois étages s’est effondré en Inde. L’accident est survenu vers 3 h 40, heure locale, à Bhiwandi, ville voisine de la capitale financière du pays, Bombay.

    Un responsable de la Force nationale de réponse aux catastrophes (NDRF) a indiqué à la presse que les sauveteurs avaient retrouvé 15 corps dans les décombres.

    Des secouristes de la NRDF ont déjà pu extraire vivants des décombres 20 personnes dont deux garçons âgés de 4 et 7 ans, sous les applaudissements des voisins.

    Vingt à vingt-cinq personnes coincées

    Le directeur général de la NDRF, Satya Narayan Pradhan, a indiqué dans un tweet que des équipes spécialisées assistées de chiens étaient toujours à la recherche de 20 à 25 personnes présumées coincées dans les décombres.

    Plus d’une quarantaine de sauveteurs sont toujours à la recherche de survivants sur le site du bâtiment effondré, selon un responsable de la municipalité de Thane qui chapeaute Bhiwandi.

    Des images diffusées sur le compte Twitter officiel de la NDRF montraient des secouristes passant au peigne fin les débris de ciment et de briques avec des câbles électriques qui pendaient au-dessus de leurs têtes.

    On ignore la cause de l’accident, mais les effondrements de bâtiments sont relativement courants en Inde entre juin et septembre, pendant la saison de la mousson, les précipitations intenses fragilisant parfois les structures.

    Ouest-France

    Merci au brave chien que l'on voit à la fin de la video


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