• C’est une belle saisie de cocaïne que les policiers de l’OFAST (l’Office anti-stupéfiant) ont réalisé en fin de semaine dernière, au Havre (Seine-Maritime). Trois hommes ont été interpellés et mis en examen.

    La valeur marchande de la drogue saisie dépasse les 20 millions d’euros. Les policiers de l’OFAST ont mis la main sur plus de 600 kg de cocaïne, jeudi matin dans une entreprise de transport située à quelques kilomètres du Havre, révèle Le Parisien.

    L’affaire avait débuté trois semaines plus tôt lorsque les enquêteurs ont appris, de la part d’un service de police étranger, qu’un conteneur chargé de cocaïne et de café, devait arriver du Guatemala. Une cargaison qui est passée par les ports de Rotterdam (Pays-Bas) et d’Anvers (Belgique), avant d’arriver ce mercredi au Havre, qui est la principale voie d’entrée de la cocaïne dans l’hexagone.

    Les policiers ne se sont pas jetés sur le conteneur qui était censé contenir la drogue. Ils se sont dissimulés à proximité et ont observé les allées et venues, pour coincer le ou les personnes qui viendraient le récupérer. C’est ce qui s’est passé jeudi matin après plusieurs heures de planque. Le chauffeur d’une entreprise de transport est venu le récupérer et a été suivi par les fonctionnaires.

    Trois suspects qui n’ont pas le profil de narcotrafiquants

    Une fois dans les locaux de l’entreprise, trois hommes se sont présentés pour récupérer cette cargaison de café, qui contenait plus de 600 kilos de cocaïne. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue. Le chauffeur a quant à lui été mis hors de cause, n’étant pas informé de ce que contenait cette cargaison. En outre, un docker du Havre a été interpellé et placé en garde à vue quelques heures explique le quotidien francilien.

     

    Durant leurs 96 heures d’audition, les trois suspects ont gardé le silence. Connu de la police pour être de petits voyous locaux, ces derniers n’ont pas le profil des narcotrafiquants et seraient juste des intermédiaires.

    Ils ont été déférés devant un juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée de Lille, avant d’être mis en examen. La suite des investigations devra permettre de déterminer pour qui le trio travaillait, et ainsi identifier les véritables destinataires de cette drogue.

    ACTU 17


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  • La victime a été touchée au thorax par une arme blanche

    Un adolescent de 14 ans a été grièvement blessé au thorax à l’arme blanche et « son pronostic vital est engagé », après une rixe entre bandes de jeunes dans le Val-de-Marne, a-t-on appris de source policière. Un autre mineur de 16 ans a été blessé au cours de cette rixe qui s’est produite vers 18 heures dans le centre-ville de Champigny-sur-Marne, où au moins une quinzaine de jeunes, originaires de deux quartiers distincts, se sont affrontés, a indiqué à l’AFP le parquet de Créteil.

    Les deux blessés ont été transportés à l’hôpital « dans un état préoccupant », a précisé le parquet. Quatre personnes ont été interpellées, selon une source policière. L’enquête a été confiée à la sûreté territoriale du Val-de-Marne.

    Des précédents le mois dernier

    Deux rixes mortelles s’étaient produites dans le département voisin de l’Essonne, les 22 et 23 février : deux adolescents de 14 ans avaient été tués en moins de 24 heures lors de violentes bagarres entre jeunes, dans deux villes distantes de 45 kilomètres, Saint-Chéron et Boussy-Saint-Antoine. Treize mineurs au total ont été mis en examen pour ces deux homicides.

    Le 26 février, un autre adolescent, de 15 ans, avait été tué par balle dans une maison de quartier à Bondy (Seine-Saint-Denis), à la suite d’un différend avec ses agresseurs, deux frères de 17 et 27 ans qui ont depuis été mis en examen et placés en détention provisoire.

    20 Minutes

    Tant qu'ils se tuent entre eux, ça débarrasse mais tous ces jeunes devraient être arrêtés par les flics pour trafic de drogue !


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  • Une enquête pour assassinat a été ouverte par le parquet de Pontoise, après la découverte du corps de cette lycéenne de 14 ans, noyé, lundi soir à Argenteuil, dans le Val-d’Oise.

    Des sources policières, confirmant une information d’Europe 1, indiquent ce mardi matin que deux suspects - un garçon et une fille en couple, âgés de 15 ans - ont été arrêtés. Ils fréquentaient tous les trois le même lycée privé de Cognac-Jay, à Argenteuil. Le duo est soupçonné d’avoir harcelé la jeune femme, puis de l’avoir frappée et poussée dans la Seine, avant de s’enfuir.

    Le corps retrouvé par des plongeurs

    La mère de la victime avait signalé sa disparition lundi soir vers 20 heures. Peu avant, « vers 19h30, une mère de famille est venue signaler au commissariat d’Argenteuil que son fils âgé de 15 ans, est rentré à leur domicile accompagné de sa petite amie, âgée également de 15 ans, entre 16 et 17 heures et lui a annoncé qu’ils venaient de frapper une jeune fille et que celle-ci est tombée dans la Seine », a détaillé dans un communiqué ce mardi matin Eric Corbaux, le procureur de la République de Pontoise.

    L’adolescent aurait « indiqué à sa mère le lieu des faits », le quai de Saint-Denis, à Argenteuil. Sur place, cette dernière, « a retrouvé un gant avec une mèche de cheveux », précise le parquet. Elle a alors prévenu le commissariat et s’est rendue compte, en rentrant chez elle, que les deux adolescents avaient pris la fuite.

    Selon nos informations, le corps inerte de la jeune fille a été retrouvé au niveau du Quai Saint-Denis, sous le pont de l’A15, à Argenteuil, lundi soir vers 21 heures. Il a ensuite été pris en charge par la police nationale. Quatorze pompiers, dont une équipe de plongeurs, avaient été mobilisés à partir de 20h40 sur place. Selon le Sdis 95, les secours ont procédé à la récupération du corps flottant dans l’eau, sur demande des forces de l’ordre. Ce dernier se trouvait, selon le parquet « immergé dans 1 m d’eau, à 4m50 de distance de la berge et à 7 m du ponton en béton situé en hauteur ».

    Des traces de coups « à la tête et au visage »

    Les deux camarades de la victime ont été arrêtés dans la nuit de lundi à mardi, vers 2 heures du matin, alors qu’ils se seraient réfugiés chez un proche. Ils se trouvent actuellement en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Cergy, saisie par le procureur pour « des faits d’assassinat ». « L’examen de corps par un médecin légiste sur place a permis de constater la présence de traces de coups à la tête et au visage. L’autopsie doit permettre de déterminer précisément les causes du décès », révèle le communiqué, ajoutant que « les investigations sont en cours pour déterminer les motifs et les circonstances des faits ». Les trois adolescents n’avaient pas d’antécédents pénaux connus.

    Contacté ce mardi matin par le Parisien, Xavier Péricat, premier adjoint auprès du maire Georges Mothron (LR), a découvert la triste nouvelle en lisant la presse. « Beaucoup d’élus sont aussi des parents. Nous sommes profondément choqués et attristés de ce qui s’est passé, commente-t-il. Nous pensons à la détresse et la tristesse des familles. 

     

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  • Un poste de police a été la cible d’un tir d’arme à feu ce lundi matin à Toulon (Var), dans le quartier de La Beaucaire. Par chance, il n’y a aucun blessé à déplorer mais un policier est en état de choc.

    Encore un acte avec la détermination de s’en prendre aux policiers. Vers 10 heures, un projectile a traversé l’une des vitres du poste de police situé dans le quartier de La Beaucaire selon nos informations, confirmant celles de Var-Matin. Il a terminé sa course dans le mur d’un bureau où un policier était en train de travailler.

    Le fonctionnaire n’a heureusement pas été blessé mais il est particulièrement choqué. Il a été transporté à l’hôpital par les sapeurs-pompiers. C’est un coup de feu qui a été tiré sur cette vitre du poste de police. Le calibre n’est pas encore connu mais des constatations étaient en cours à la mi-journée par les techniciens de l’identité judiciaire notamment.

    Selon les premiers éléments, le tir viendrait d’un immeuble situé face aux locaux administratifs. Une enquête a été ouverte.

    « La balle lui est passée à quelques centimètres de la tête »

    « Nous avons assisté ce matin à une nouvelle étape dans l’escalade de la violence », réagit le syndicat Alliance police nationale. « Notre collègue se trouvait dans son bureau de dos en pleine audition, au moment des faits. La balle lui est passée à quelques centimètres de la tête », précise le syndicat. « Cela fait plus de 5 ans que nous constatons une violence sans limite sur Toulon », ajoute le syndicat Unité SGP Police FO, qui évoque « un tir pour tuer ».

    « Les actes de défiance à l’ordre public se manifestent régulièrement dans toute la France »

    « Je pense en tout premier lieu à cet agent qui heureusement n’a pas été blessé mais j’imagine le choc qui a été le sien et je l’assure de tout mon soutien », écrit le maire LR de Toulon, Hubert Falco, dans un communiqué. « Lorsque on tire sur un poste de police, c’est la République qui est visée. On ne peut pas s’en prendre à nos institutions, à nos services publics en toute impunité », ajoute l’élu qui évoque une « dérive proprement inadmissible ». « Les actes de défiance à l’ordre public se manifestent régulièrement dans toute la France ».

    Le préfet du Var s’est également rendu sur place.

    ACTU 17


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  • «Mon fils adorait l'école, maintenant il refuse d'y aller et n'arrive plus à dormir la nuit», confie au Figaro la porte-parole des parents d'élèves de l'école primaire de Saint-Eloi-de-Fourques. Attaques au couteau, agressions, insultes... Depuis septembre 2020, la classe de CP et de CE1 de cet établissement de l'Eure endure un véritable calvaire. En cause : un petit groupe d'élèves, âgés seulement de 6 et 7 ans, qui sème la terreur.

    «Les enfants veulent retrouver leur maîtresse»

    En classe, les chaises volent, littéralement, «traversant au moins trois rangs de table», et la maîtresse reçoit régulièrement des projectiles lancés en direction du tableau. «La dernière fois, c'était un pot de compote qu'ils lui ont lancé en pleine figure, et ils lui ont dit 'espèce de vieille c***e», explique Emma, 8 ans. «La maîtresse est sortie dans le couloir et elle a pleuré, on lui a dit 't'inquiète pas maîtresse'», raconte au Figaro la petite fille. Les élèves aussi ne sont pas en reste. «Il y a trop de bruit en classe, et puis ceux qui ne sont pas sages ils déchirent nos cahiers, coupent nos gommes, disent des gros mots et jettent des tables», qui sont autant de barricades «pour se protéger», glisse Yaksen, 7 ans, scolarisé en CE1. «On a peur, alors on a formé trois clans, et les plus grands se mettent devant pour protéger les autres», confirme la petite Emma. Dans la cour de récréation et à la cantine, le chaos règne aussi. Certains se voient contraints de boire l'urine versée dans leur gourde, «la potion magique pour ne pas attraper le corona», disent les élèves. D'autres se font attaquer au couteau lors du déjeuner, et les plus téméraires qui osent répondre à leurs agresseurs voient leurs petites sœurs menacées de mort.

    Le soir, en rentrant à la maison, nombreux sont les enfants qui disent souffrir de maux de tête, qui refusent de s'alimenter, qui ne dorment plus, et qui repartent le lendemain en classe «la boule au ventre». «Les enfants en ont marre, ils veulent retrouver une classe calme et leur maîtresse», en arrêt maladie depuis deux semaines, explique un parent d'élève. «Mon fils est revenu à la maison le genou écorché. Un autre avait un bleu énorme au niveau des testicules, après avoir reçu un coup de pied. Quelques centimètres plus haut et il l'aurait perdue, d'après le médecin», souffle la mère d'un des enfants victime des perturbateurs. «Qu'est-ce que ça va être quand ils seront au collège? Qu'est-ce qu'on attend pour agir? Qu'il y est une marche blanche après une attaque au couteau ?», s'interroge Sophie, la mère d'Emma. «La classe a trois mois de retard dans le programme, et nous sommes plusieurs à nous poser la question de la déscolarisation de nos enfants».

    «Ces comportements atypiques n'ont pas leur place dans une classe de CP et de CE1», commente auprès du Figaro le maire de Saint-Eloi-de-Fourques Denis Szalkowski. «Ces enfants auraient déjà dû être identifiés, ils posaient déjà problème en maternelle», poursuit l'élu, ajoutant que l'inspecteur académique de l'Eure a proposé «une cellule spéciale CAAEE [Centre Académique d'Aide aux Écoles et aux Établissements ndlr] et un diagnostic départemental» qui sera réalisé par l'un de ses adjoints, une directrice de la vie scolaire, et une assistante sociale. «Mais on ne veut pas d'un diagnostic, on veut que cette classe, où règne une désorganisation innommable, ne soit plus sacrifiée», souffle-t-il.

    Blocage de l'établissement

    Selon le maire de la commune, il ne s'agit pas toutefois de «stigmatiser ces enfants qui ne sont pas responsables de leur comportement», mais plutôt de revendiquer «davantage d'encadrements, d'organisation de la part des institutions et de moyens», tels que «le dédoublement des classes» mais aussi «la présence d'un spécialiste de l'accompagnement des élèves ayant un problème avec l'école», appelé «maître G».

    Afin de faire entendre leur voix auprès de l'inspection académique de l'Eure, les parents d'élèves prévoient de bloquer l'établissement scolaire le 12 mars prochain. «On ne lâchera pas et, s'il le faut, on ira plus loin», affirme la porte-parole des parents d'élèves de l'école Natacha Vicomte, «si rien n'est fait en moins d'un mois, on bloquera le regroupement scolaire complet, c'est-à-dire les 3 écoles sur la commune, et ensuite, nous irons voir le préfet».

    Contacté par Le Figaro, l'inspecteur académique adjoint de l'Eure Dominique Leporati assure que ces troubles ne sont liés «qu'à un élève qui a des problèmes d'inclusion scolaire et de comportement, avec des problématiques du respect de la règle envers les adultes». «Il y a eu un effet buvard avec 4 ou 5 autres élèves mais, dès le 4 septembre, nous avons fait le lien entre l'école et des enseignants spécialisés ainsi que des psychologues du RASED [Réseau d'aides spécialisées aux élèves en difficulté]. Aussi, la mère a rempli un formulaire de saisine auprès de la MDPH [Maison Départementale des Personnes Handicapées]. Enfin, à partir du 8 mars, un trinôme d'expert sera envoyé à Saint-Eloi-de-Fourques», précise l'inspecteur académique adjoint. Les enfants eux, espèrent simplement qu'ils retrouveront rapidement leur maîtresse.

    Le Figaro


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  • Michel Kaufmann vit depuis 10 ans avec sa famille dans un pavillon de Maizières-les-Metz. En décembre dernier, un courrier avec accusé de réception du fournisseur d'eau Veolia l'informe que sa consommation a dépassé le double de son volume annuel habituel.

    Étonné, il cherche à comprendre l'origine de cette surconsommation, et découvre alors que son volume annuel de consommation d'eau n'a pas doublé mais s'est multiplié par 18, de 70m³par an habituellement à 1298 m³ au moment où il reçoit le courrier d'alerte, jusqu'à atteindre les 2 millions de litres deux mois plus tard. «J'avais consommé en une semaine, l'équivalent de ma consommation d'eau d'une année». Tout cela sans raison visible.

     

    Il fait venir un premier plombier qui prétend avoir trouvé la fuite en détectant de la condensation derrière un tuyau, et lui demande 600€ pour le diagnostic. L'aiguille du compteur tourne encore. Il fait alors appel à une entreprise spécialisée dans la recherche de fuites, qui pour trois fois moins cher, détecte l'origine du problème au niveau d'un tuyau enterré dans le jardin. L'assurance ne prenant en charge que les dégâts à l'intérieur de la maison, il devra lui-même payer les 2200€ de réparations. «Tout cela bêtement, à cause d'un tuyau emboîté qui s'est déboîté». Il faut attendre trois semaines avant l'intervention, il a donc soin de couper la vanne tous les soirs par souci écologique, car l'eau coule toujours.

    Du côté de Veolia, alors que Michel Kaufmann craignait une facture exponentielle, les choses prennent une meilleure tournure. La règle en cas de fuite déclarée dans le mois qui suit la réception d'une alerte est de ne pas payer plus de deux fois sa consommation courante. En l'occurrence, la fuite étant invisible, difficile de s'apercevoir qu'elle date de début mars. «Je n'ai pas pensé à aller vérifier sur le site de Veolia avant», il aurait été alerté par mail en avril, mais dit ne rien avoir reçu avant le courrier de décembre. Début janvier, Veolia lui débite d'office 3600€ pour sa consommation de l'année 2020. «C'était en tout 7000€ de facture qui me pendait au nez.» «J'étais inquiet car Veolia, c'est très difficile de les joindre, avoir quelqu'un au téléphone c'est très compliqué». Mais Michel Kaufmann raconte sa mésaventure à un journal local, et Veolia le rappelle rapidement. «Ils se sont excusés, mais je ne savais toujours pas pour l'avenir de ma facture». Finalement, Veolia lui a indiqué qu'il ne leur devra rien de plus que sa consommation courante. L'occasion pour lui de découvrir un service utile proposé par Veolia pour éviter ce genre de soucis: recevoir sa consommation quotidienne ou hebdomadaire par SMS simplement en s'inscrivant sur leur site.

    Le Figaro


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  • Deux hommes circulaient dans un fourgon dans la nuit de mercredi à jeudi, au Perreux-sur-Marne (Val-de-Marne), lorsqu’ils ont croisé la route d’une patrouille de police qui leur a demandé de s’arrêter. Le conducteur s’est lancé dans une course-poursuite, trainant un policier sur plusieurs mètres qui a été blessé.

    L’affaire a débuté par un simple contrôle routier et s’est soldée par une double interpellation, un fonctionnaire blessé ainsi que par de nombreux délits. Les policiers de la brigade de nuit de Nogent-sur-Marne ont demandé au conducteur d’une camionnette de s’arrêter pour un contrôle vers 22h45, alors qu’il circulait au Perreux-sur-Marne.

    Ils sont ensuite descendus et se sont approchés du véhicule pour débuter le contrôle. L’un des fonctionnaires a passé sa main dans l’habitacle puisque la fenêtre était ouverte. C’est alors que l’homme au volant a brutalement redémarré, trainant le policier sur plusieurs mètres. Il s’est lancé dans une course-poursuite avec les forces de l’ordre et s’est dirigé vers Fontenay-sous-Bois, puis Rosny-sous-Bois et Neuilly-Plaisance (Seine-Saint-Denis).

    Rues en sens inverse et feux rouges grillés

    Durant sa course folle, le mis en cause a pris de dangereux risques. « Il a pris des rues à contresens et a franchi plusieurs feux rouges sans s’arrêter. Il a également percuté des véhicules en stationnement », détaille une source proche de l’enquête. Le fuyard est finalement revenu sur la commune du Perreux-sur-Marne, où il a percuté un panneau de stationnement. Le fourgon s’est immobilisé et les deux occupants ont poursuivi leur fuite à pied.

    Le passager de 28 ans a rapidement été rattrapé par les policiers de la brigade de nuit qui l’ont interpellé. Quant au conducteur, ce sont leurs collègues de la brigade anticriminalité (BAC) qui l’ont arrêté alors qu’il s’était introduit dans un jardin. L’homme âgé de 20 ans s’est rebellé lors de son interpellation. Il était porteur d’une lame de rasoir. Les deux complices ont été placés en garde à vue.

    Un fourgon et une moto volés

    Dans la camionnette du duo, les policiers ont découvert une moto de grosse cylindrée. Elle venait d’être volée au Perreux-sur-Marne. La suite des investigations a montré que le véhicule utilisé par les interpellés était également volé. « Ils avaient installé des plaques d’immatriculation d’un véhicule du même modèle pour passer inaperçu, mais le numéro de série ne correspondait pas », indique cette même source. C’est ce que l’on appelle « une doublette parfaite » dans le jargon policier.

    Le policier qui a été trainé s’est vu attribuer 5 jours d’Incapacité totale de travail (ITT). « L’affaire aurait clairement pu virer au drame. Le comportement de cet homme a été particulièrement dangereux, sans parler du fait qu’un policier aurait pu perdre la vie », lâche une source policière.

    Les deux hommes qui sont déjà connus des services de police pour des faits similaires, sont désormais poursuivis pour de nombreux délits, principalement le conducteur : refus d’obtempérer, mise en danger de la vie d’autrui, violences sur personne dépositaire de l’autorité publique avec arme par destination, rébellion, dégradations et dégâts aux domaines publics ainsi que recel de vol en réunion. Ces derniers ont été déférés en fin de soirée vendredi et pourraient être jugés dans le cadre d’une comparution immédiate ce lundi, au tribunal correctionnel de Créteil.

    ACTU 17

    Ces deux hommes bien connus de la police seront bientôt libres  et pourront recommencer ! La police perd son temps puisque la justice ne suit pas !


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  • Le corps de Céline Peltier, 38 ans, disparue depuis le 1er mars à Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor), a été retrouvé vendredi 5 mars dans la vallée de Gouédic, par un groupe venu aider la famille dans ses recherches.

    Les enquêteurs de la police judiciaire ainsi qu’un médecin se sont rendus sur place pour faire les premières constatations. A ce stade de l’enquête, aucune piste n’est écartée.

    Mille avis de recherche

    Jeudi 4 mars, un témoin avait cru l’apercevoir au port du Légué. En fin de journée, les pompiers de Saint-Brieuc avaient sorti leur canot pneumatique pour une reconnaissance à la surface de l’eau. Avant la découverte du corps, il était envisagé de sonder les profondeurs du port à l’aide d’un sonar, ce vendredi 5 mars.

     

    Toujours jeudi 4 mars, les proches de la victime avaient lancé un appel sur les réseaux sociaux pour les aider à ratisser l’agglomération de Saint-Brieuc. Mille avis de recherche avaient été imprimés, dans le but de les distribuer le plus largement possible.

    Découverte dans l’après-midi

    Ce vendredi, une trentaine de personnes s’étaient présentées sur le parking de Robien en fin de matinée, le lieu de rendez-vous fixé comme point de départ des recherches. Plusieurs groupes s’étaient formés. Celui qui s’est dirigé dans la vallée de Gouédic a fait la macabre découverte, en milieu d’après-midi.

     

    Selon ses proches, Céline Peltier était partie à pied de chez elle, dans le secteur Abbé-Garnier à Saint-Brieuc, lundi 1er mars à 18 h. C’est la dernière fois qu’ils l’ont vue. Ils savent qu’elle s’est connectée sur internet depuis son ordinateur portable, mardi 2 mars à 8 h. L’ordinateur a été retrouvé à son domicile. Depuis, ils n’avaient plus de nouvelles.

    Sa mère avait prévenu la police. Mardi 2 mars, les forces de l’ordre avaient lancé un appel à témoins pour disparition inquiétante, preuve que ce dossier était pris très au sérieux.

    Disparition inquiétante à Saint-Brieuc : le corps de Céline Peltier retrouvé lors des recherches
     Ouest-France

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  • Un petit garçon est tombé depuis la fenêtre de sa chambre située au 3e étage d'un immeuble dans le Nord.

    Ce dimanche matin, un enfant de six ans a été pris en charge par les secours après avoir fait une chute de plusieurs étages à Hautmont, dans le Nord. Selon nos confrères de La Voix du Nord, la victime est dans un état grave.

    Les circonstances du drame restent à déterminer avec précision. Néanmoins, selon les premiers éléments, un garçon de 6 ans est tombé de trois étages depuis la fenêtre de sa chambre.

    Il parvient à regagner son domicile malgré ses blessures

    Malgré les blessures occasionnées par la chute, l’enfant est tout de même parvenu, seul, à regagner l’appartement de ses parents, lesquels ne s’étaient aperçus de rien. Sitôt l’accident découvert, les secours ont été prévenus.

    Une équipe du Samu a été dépêchée sur les lieux. Au vu des blessures du petit garçon, les soignants l’ont médicalisé sur place avant de le transporter par hélicoptère au centre hospitalier de Lille où il a été pris en charge dans un état grave.

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  • Un homme âgé de 29 ans est mort noyé à Rennes (Ille-et-Vilaine) dans la nuit de samedi à dimanche. Il tentait de venir au secours de l’un de ses amis tombé dans la Vilaine.

    Le drame s’est produit vers 00h30 dans le quartier Cleunay à Rennes. Deux amis rentraient a priori d’une soirée lorsque l’un d’entre eux, âgé de 26 ans, est tombé à l’eau, à proximité du Roazhon Park, le stade où évolue l’équipe du Stade rennais, ont indiqué les sapeurs-pompiers cités par Le Figaro.

    Le second jeune homme de 29 ans a tenté de le secourir. Son corps sans vie a été retrouvé moins d’une heure plus tard par les pompiers.

    Son ami a quant à lui été évacué à l’hôpital alors qu’il était en hypothermie. Son pronostic vital n’est pas engagé. Une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances du drame. Des analyses toxicologiques vont être réalisées.

    ACTU 17


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  • Les policiers de la DRPJ et la BRI de Versailles ont saisi 800 kilos de cannabis ce samedi et ont interpellé six individus qui ont été placés en garde à vue, après de longues semaines d’enquête. La drogue arrivait d’Espagne.

    C’est une très belle prise pour les policiers. Les enquêteurs de l’antenne de la PJ de Meaux et leurs collègues de la BRI ont interpellé ce samedi matin six trafiquants de drogue et saisi pas moins de 800 kg de résine et d’herbe de cannabis, dans un entrepôt de Serris (Seine-et-Marne).

    Cette marchandise d’une valeur de 1,2 million d’euros à l’achat vaut le double à la revente. Les forces de l’ordre ont été mises sur la piste de cette équipe d’importateurs il y a plusieurs semaines. La drogue venait d’arriver d’Espagne par camion. Quatre suspects ont été surpris par les fonctionnaire de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) dans ce lieu de stockage et deux autres à leur domicile du secteur.

    Le marché du cannabis en France représente environ deux milliards d’euros et la moitié des importations arrivent en Ile-de-France, qui est aussi une plaque tournante qui alimente certaines villes de province. C’est un secteur de l’économie souterraine qui emploierait environ 200 000 personnes, qui fournissent cette drogue à 1,5 million de consommateurs réguliers. La cannabis vient du Maroc. Les cultivateurs y sont installés dans des fermes du Rif et sont intouchables pour la police française. Le kilo y est vendu entre 1000 et 1500 euros selon sa qualité avant d’être négocié aux alentours de 3000 euros en région parisienne.

    100 tonnes de cannabis saisis en 2020

    La quantité de cannabis importée en France serait de plus de 700 tonnes par an. Pour ce qu’on en sait, car cette estimation est fondée sur les chiffres des saisies : 76 tonnes en 2018 et 100 tonnes en 2019. En 2020, les enquêteurs de la police judiciaire et les douaniers ont saisi 100 tonnes de cannabis. « Ce qui représenterait environ 10% de ce qui passe sans encombre », explique un commissaire de police.

    Ces six hommes sont tous connus des services de police et ont chacun leur rôle respectif : transporteur, négociateurs et distributeurs. Les suspects ont été placés en garde à vue dans les locaux de la PJ à Meaux où ils vont passer les prochaines 96 heures. Ils seront ensuite déférés devant un juge d’instruction qui devrait les mettre en examen pour trafic de stupéfiants en bande organisée.

    ACTU 17


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  • Faire le malin en se filmant en très grand excès de vitesse c’est une chose, mais après il faut assumer face aux gendarmes qui viennent toquer à la porte. Ce mercredi 3 mars, le chauffard a finalement été interpellé.

    La vidéo remonte au 16 janvier dernier, mais les enquêteurs ont finalement réussi à démasquer l’identité de ce chauffard qui publiait ses “exploits” sur Instagram.

    Dans la courte vidéo, il est possible de voir que le contrevenant roule au volant d’une Audi A5, sur une petite route départementale limitée à 80 près de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Alors qu’il sort son téléphone pour filmer la scène, le compteur de sa voiture affiche 219 km/h. Autant dire que l’on a déjà largement dépassé le stade du simple excès de vitesse.

    Le jeune homme a donc été identifié et placé en garde à vue ce mercredi 3 mars. Il a reconnu les faits face aux gendarmes mais son cas est bien plus grave. En effet, le chauffard est bien connu de la justice puisqu’il a déjà été condamné dans le passé pour conduite sans permis.

    Il fait donc désormais l’objet d’une convocation devant le tribunal pour récidive, grand excès de vitesse et téléphone au volant.

    Cette vidéo risque de lui coûter très cher. Une chose est sûre, il y réfléchira à deux fois avant de se lancer dans un nouveau rodéo sauvage tel que celui-ci ainsi que de l’afficher fièrement sur les réseaux sociaux.

    Auto News


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  • Un sens interdit dans une rue à sens unique sème la pagaille à Perpignan

    Depuis 15 jours, un panneau de sens interdit bloque théoriquement l’accès à une clinique. Une situation ubuesque.

    C’est une situation très particulière qui complique la vie des habitants de Perpignan depuis deux semaines. Rue Léo Lagrange, un panneau "sens interdit" a été installé. Le problème ? Il s’agit d’une rue à sens unique, souligne France 3 Occitanie. Si les riverains ne sont pas concernés lorsqu’ils veulent rentrer chez eux, l’exception ne concerne pas les ambulances se rendant à la clinique Saint-Pierre, dont l’un des services est situé au bout de la rue.

     

    C’est en effet là que se trouve le caisson hyperbare, un service d’urgence qui concerne toute la région. Chaque jour, environ 20 patients doivent s’y rendre en ambulance pour être soignés. Impossible de faire le trajet légalement depuis l’installation du sens interdit. Selon le média local, certains patients ont été forcés de parcourir les 250 derniers mètres du trajet à pied. L’un d’entre eux a même été victime d’un malaise en arrivant. "La signalisation est claire. Donc, les ambulanciers n'osent plus prendre cette route même si c'est le seul accès au bâtiment du caisson hyperbare. C'est inacceptable ! ", regrette ainsi Pascal Delubac, le directeur général de la clinique, interviewé par nos confrères.

     

    L’installation du panneau fait suite à la demande des riverains qui se plaignaient particulièrement d’incivilités du point de vue du stationnement. Des problèmes qui auraient notamment été causés par les véhicules sanitaires et ambulances. "S'ils déposaient les malades puis partaient, cela irait. Mais là, ils les attendent, ils stationnent partout et il y a des embouteillages. Des fois, il y a 10 à 12 voitures et ça bouchonne", décrit ainsi un habitant. De son côté, la mairie de Perpignan estime que le sens interdit ne concerne pas les ambulances. Une réunion de concertation est prévue lundi 8 mars.

    Capital


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  • Rescapé du crash d’avion de Chapecoense, il survit à un accident de bus

    Erwin Tumiri, mécanicien qui avait survécu au crash de l’avion qui avait décimé une partie de l’équipe de football de Chapecoense, vient d’échapper à la mort une nouvelle fois dans un accident de bus.

    Il a frôlé la mort deux fois en moins de cinq ans. Mercredi, Erwin Tumiri, un jeune mécanicien bolivien de 30 ans, a survécu mardi soir à un grave accident de bus qui a coûté la vie à 21 personnes après une chute de 150 mètres dans un ravin près de Cochabamba, une ville située à près de 400 kilomètres de la capitale La Paz. Trente personnes ont été blessées dont le trentenaire, qui avait survécu, en novembre 2016, à l’accident d’avion qui avait en partie décimé l’équipe brésilienne de football de Chapecoense, en Colombie. Le crash, qui avait fait 71 morts, dont 19 footballeurs, n’avait connu que six survivants -dont Erwin Tumiri, qui était un des mécaniciens présents à bord.

     

    Lui-même n’en revient pas : «Je me suis extirpé, mon genou était blessé, je me suis assis et j’ai dit : "Encore ! Je ne peux pas y croire"», a-t-il expliqué à «Los Tiempos». Il n’a eu aucune blessure sérieuse et garde des souvenirs vifs de l’accident, survenu alors qu’il rentrait du travail et que le bus «roulait à vitesse élevée» : «J’étais un peu endormi, j’écoutais de la musique sur mon portable quand les gens ont commencé à crier. La seule chose que j’ai pu faire, c’est m’accrocher au siège devant moi et m’appuyer contre la fenêtre pour ne pas bouger quand le bus allait faire des tonneaux, car je savais que ça allait arriver. On a tourné et tourné, les gens qui ne s’accrochaient à rien roulaient comme si c’était une machine à laver.» Il n’a pas perdu conscience et a pu être rapidement pris en charge par les secours. «Je me sens béni, a-t-il ajouté. Je remercierai toujours Dieu.»

    Erwin Tumiri veut "passer plus de temps" avec sa mère

    Hospitalisé, avec une fissure dans le bras et des blessures au genou, il a expliqué à CNN En Español qu’il considérait cette expérience comme une «nouvelle opportunité pour voir la vie, passer plus de temps avec (sa) mère» : «Ma mère est ma priorité car personne d’autre ne peut s’occuper d’elle. Je pense que Dieu m’a donné une opportunité supplémentaire de m’occuper d’elle tout le temps.» «C’est une bénédiction. Je ne vois pas exactement le but pour l’instant. Je vais guérir, me concentrer sur mon travail dans l’aéronautique que je ne peux pas occuper cette semaine à cause de l’accident», a-t-il ajouté.

    Erwin Tumiri veut également «apprécier davantage la vie, l’amitié». Très croyant, il compte s’impliquer «encore plus dans l’Eglise, aider», ce qu’il avait déjà commencé à faire après l’accident de 2016, et développer son «groupe de folk chrétien», avec lequel il «prêche l’évangile».

    Paris Match


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  • Des violences urbaines ont éclaté ce vendredi à Rilleux-la-Pape, commune de la métropole de Lyon. Une douzaine de véhicules ont été incendiés et quatre mineurs ont été interpellés.

    24 heures après les violences urbaines dans le quartier de La Duchère à Lyon (9e), c’est à Rilleux-la-Pape que de violents incidents ont éclaté ce vendredi soir. A partir de 19 heures dans le quartier des Alagniers, une trentaine d’individus ont dégradé deux bus et ont incendié une douzaine de véhicules indique BFMTV. Du mobilier urbain a également été détruit.

    Des vidéos amateurs montrant les faits ont été diffusées sur les réseaux sociaux. On y aperçoit de nombreux départs de feu.

    « Un commando criminel a tout démoli sur son passage »

    La police et les sapeurs-pompiers sont intervenus, des moyens lacrymogènes ont été nécessaires pour disperser les émeutiers. Quatre mineurs ont été interpellés et il n’y a aucune blessé à déplorer. Le calme est revenu peu avant 22 heures.

    « Un commando criminel (…) a tout démoli sur son passage. Il y a eu beaucoup d’exactions. Mes premières pensées vont évidemment à mes administrés, qui pour beaucoup ont perdu leur voiture, ont eu peur et pour certains sont très en colère », a réagi le maire LR de la ville, Alexandre Vincendet, auprès de la chaîne d’informations. Un policier aurait été blessé durant les violences a indiqué Ludovic Cassier, délégué départemental du Rhône du syndicat Unité SGP Police FO.

    Ces violences urbaines ne seraient pas liées à l’accident de scooter dans lequel un adolescent de 13 ans s’est grièvement blessé mercredi, à Lyon (9e) mais aux récentes opérations de police qui ont permis des saisies de drogues.

    ACTU 17

    Ces jeunes chances pour la France n'aiment pas qu'on les dérange dans leurs trafics de drogue !


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  • Oublier de retirer le pistolet du réservoir, ça peut arriver, le tout c’est de s’en rendre compte à temps. Dans le cas contraire, vous risquez de finir comme notre idiot du jour…

    Ce n’est pas la première fois qu’une vidéo de ce genre fait son apparition, mais rares sont les fois où un tel oubli a causé autant de dégâts.

    Juste après avoir fait le plein, cet automobiliste n’a pas eu le réflexe de ranger le pistolet de carburant à sa place. Et ça, il va le payer très cher.

    Le voilà qui revient de la caisse, il a payé son essence, il est en règle, on peut y aller. Mais attention, quelque chose va très vite le ramener à la dure réalité. Eh oui, son oubli ne va

    Après avoir avancé sur quelques mètres, le conducteur de la belle BMW bleue a probablement dû sentir une petite résistance. Mais rien de très long puisqu’en une fraction de seconde, c’est la pompe entière qui va partir avec lui.

    Le fait que cette dernière se détache va d’ailleurs engendrer un immense incendie. Quand on vous disait que cet oubli allait lui coûter cher, ce n’était pas une blague.

    Auto News

    Il est aussi con qu'il est gros !


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  • Le locataire se retrouve sans chauffage et sans lumière depuis plus de deux semaines, alors qu'il souffre de maladie chronique.

    On peut le dire : le compteur Linky a bouleversé sa vie. Mais pas dans le bon sens du terme, comme le relate France Bleu ce vendredi 5 Mars. Car un habitant d'un HLM de Sète est aujourd'hui en grande difficulté. Enedis a fait installer le petit compteur jaune chez lui en décembre dernier, mais vient tout juste de le faire retirer le 18 février sur demande du locataire, ce dernier étant atteint d'une "hypersensibilité aux ondes électromagnétiques".

     

    Résultat, après à peine quelques jours d'installation du boîtier dernière génération, les premiers maux apparaissent, notamment d'"atroces douleurs" à l'oreille, dont il a été opéré il y aune dizaine d'années, selon nos confrères. Impossible donc pour lui de continuer de vivre avec, d'autant que dès qu'il part de chez lui, ces douleurs s'estompent ou disparaissent. Ce type de maladie (non reconnue par l'OMS) peut provoquer de nombreux mots, du mal de tête aux palpitations cardiaques, en passant par des états anxieux ou dépressifs.

    Un cas non isolé

    Sauf qu'en faisant retirer le compteur Linky, le locataire ne s'attendait pas à vivre un tel enfer depuis deux semaines. Alors qu'il pensait qu'on allait lui réinstaller un compteur ancienne génération, Enedis ne met rien à la place. Il n'a donc plus d'électricité. Il est dès lors obligé de s'éclairer à la bougie et ne peut plus se chauffer. Du côté d'Enedis, on rejette la faute sur le locataire qui a refusé l'installation d'un nouveau compteur Linky. Bien que reconnaissant que le précédent était "défectueux", le directeur départemental assure "avoir fait le maximum". De son côté, le bailleur ne souhaite pas intervenir directement, n'étant pas propriétaire des lieux mais dit vouloir faire avancer le dossier.

    Un cas qui est cependant loin d'être isolé, selon France Bleu car pas moins de 5.000 plaignants ont engagé des actions contre Enedis et son compteur. La plupart ont été déboutés. Pour les gens souffrants d'électro sensibilité, la marche à suivre est délicate. Quand les clients se plaignent ou refusent l'installation, le médiateur de l'énergie a rappelé à plusieurs reprises qu'Enedis "avait l'obligation légale de déployer des compteurs Linky" mais qu'elle devait en revanche tenir compte "du certificat médical" produit par l'interlocuteur. La justice a souvent du mal à trancher, raison pour laquelle l'association UFC-Que Choisir a saisi le Conseil d'Etat "pour enjoindre l'Etat d'adopter dans les plus brefs délais les textes manquants pour la pose d'un afficheur déporté".

    Capital


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  • Un terrible drame est survenu ces derniers jours dans le Gard : un père de famille a disparu avec son bébé de 5 mois, jeudi 4 mars à Uchaud. Le père a été retrouvé pendu, à plusieurs centaines de kilomètres, près d’Auxerre, ce vendredi. Le corps de son enfant a quant à lui été découvert dans un canal gardois par un promeneur.

    Le corps d’un père de famille porté disparu depuis jeudi 4 mars a été retrouvé près d’Auxerre, dans l’Yonne, ce vendredi. L’homme avait quitté son domicile d’Uchaud (Gard) avec son bébé âgé de 5 mois. L’enfant, décédé, a quant à lui été découvert par un promeneur dans un canal du département, rapporte Midi Libre.

    Le père devait conduire le bébé chez sa nourrice, mais il n’était jamais arrivé chez elle. Alertée, la compagne du Gardois ne pouvait pas le joindre car il avait laissé son téléphone derrière lui. Les forces de l’ordre ont donc été contractées par la mère de famille, indique le quotidien régional.

    Un message avant de mettre fin à ses jours

    Les investigations menées ces dernières heures ont permis de localiser le père disparu, âgé de 41 ans. Les enquêteurs ont remonté sa trace grâce à sa carte bancaire.

    Son corps sans vie se trouvait à plusieurs centaines de kilomètres de son lieu de résidence. Il aurait mis fin à ses jours dans un hôtel après avoir laissé un message demandant pardon, précise le procureur de la République de Nîmes à nos confrères. Selon France Bleu, l’homme a laissé une lettre « pour avouer son crime. Il explique qu’il ne pouvait plus supporter de vivre».

    Ouest-France


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  • Le corps de la victime de 30 ans a été découvert dans la nuit de jeudi à vendredi dans le 3e arrondissement de Lyon

    Une femme de 30 ans a été découverte morte à son domicile à Lyon dans la nuit de jeudi à vendredi et son conjoint était activement recherché, a-t-on appris auprès du parquet, confirmant une information du Progrès. Le corps de la victime a été découvert vers 2 heures du matin à son domicile dans le 3e arrondissement, a ajouté le parquet, qui a ouvert une enquête pour « homicide volontaire ». Selon des médias locaux, la jeune femme serait décédée après avoir reçu des coups de marteau. Son conjoint était recherché par les enquêteurs de la Sûreté départementale, en charge des investigations.

    « Si certaines difficultés au sein du couple avaient pu donner lieu à une médiation en 2015, depuis cette date aucune plainte, ni procédure n’avait été portée à la connaissance de services de police ou de Justice », a précisé vendredi soir le parquet dans un communiqué. Le conjoint de la victime a été condamné en 2017 « pour des faits de défaut d’assurance », selon la même source.

    En 2020, 90 femmes ont été tuées par leurs conjoints ou ex-conjoints. En 2019, 146 féminicides ont été comptabilisés par le gouvernement.

    20 Minutes


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