Une fillette de 9 ans a été tuée lors d’un exorcisme organisé par sa mère au Sri Lanka.

Sa mère voulait libérer les démons en elle. Une petite fille de 9 ans est morte au Sri Lanka lors d’un exorcisme très brutal. ABC News, qui relate cette histoire et cite la police locale, explique que deux personnes ont été arrêtées dans cette affaire : la femme qui a pratiqué la séance d’exorcisme et a violemment battu la petite victime, et sa mère. Les deux sont apparues lundi devant le juge qui les a inculpées officiellement.

Les faits se sont déroulés à Delgoda, une petite ville située près de la capitale du pays, Colombo. D’après un porte-parole de la police, Ajith Rohana, la mère de la fillette était persuadée que celle-ci était possédée par un démon. Pour l’en libérer, elle fait appel à l’autre femme qui a frappé, de façon répétée, dès le début de la séance, la victime avec une canne. «Elle a perdu connaissance après avoir reçu de nombreux coups. Elle était morte à son arrivée à l’hôpital», a fait savoir la police. Une autopsie, dont les résultats ne seront connus que plus tard, a eu lieu lundi.

La mise en garde de la police

La police a indiqué que la femme ayant pratiqué l’exorcisme était connue dans la région pour ses services ces derniers mois. Les enquêteurs cherchent à savoir si d’autres personnes ont été abusées lors d’évènements similaires. Ajith Rohana a appelé les citoyens à se montrer très prudents avec ce genre de demandes, indiquant que la petite fille n’était pas la première à mourir dans de telles circonstances.

Paris Match

Le drame s’est déroulé lundi après-midi dans la baie de Trestel

En dépit des appels à la prudence des autorités, l’épisode des grandes marées s’est de nouveau soldé par un drame lundi en Bretagne avec un pêcheur à pied qui est décédé dans la baie de Trestel près de Lannion ( Côtes-d’Armor), a-t-on appris auprès de la préfecture maritime de l’Atlantique. L’alerte a été donnée vers 16h par un témoin qui a signalé la disparition inquiétante du pêcheur.

D’importants moyens ont alors été mobilisés pour tenter de le retrouver avec la présence de l’hélicoptère Dragon 50 de la Sécurité civile ainsi qu’un semi-rigide de la SNSM et d’une patrouille terrestre des sapeurs-pompiers. Une demi-heure plus tard, les secours ont découvert une personne inanimée flottant près du rivage. Malgré les tentatives pour le réanimer, le pêcheur est décédé.

20 Minutes

Un véhicule de la force Sentinelle est tombé dans un ravin ce dimanche matin sur la commune de Sospel (Alpes-Maritimes), située à la frontière italienne. Quatre militaires sont blessés dont deux grièvement.

Grave accident de la route à Sospel ce dimanche matin. Le véhicule d’une patrouille de militaires de l’opération Sentinelle a fait une sortie de route dans un virage, dans des circonstances qui restent à déterminer, chutant de plusieurs mètres dans un ravin précise France Bleu.

Il y avait quatre militaires à l’intérieur. Trois sont parvenus à s’extirper du véhicule, le quatrième a dû être extrait par les secours indique France 3.

L’un des soldats a été évacué en état d’urgence absolue

Deux des victimes sont grièvement blessées et ont été transportées au CHU Pasteur de Nice. Les deux autres sont plus légèrement blessées et ont été amenées à l’hôpital de Menton.

Le président de la région Renaud Muselier a fait part de sa « solidarité avec les quatre soldats » blessés. « L’un d’entre eux se trouve en état d’urgence absolue », précise-t-il.

ACTU 17

Les tentatives d'échapper aux contrôles des forces de l'ordre sur les routes sont courantes, mais certaines prennent un tournant plus insolite que d'autres. La gendarmerie de la Nièvre a reçu un signalement, jeudi 25 février, aux alentours de 20 heures au sujet d'un tracteur équipé d'une imposante remorque. Le véhicule, qui circulait au niveau de la sortie 24 de Tracy-sur-Loire, sur l'autoroute A77, se comportait de manière suspecte, selon les informations, dimanche 28 février, de France 3 Centre-Val de Loire. Envoyé sur place, un peloton motorisé de La Charité-sur-Loire l'intercepte, provoquant un blocage temporaire de la circulation.

Les gendarmes découvrent alors au volant un conducteur ivre et le soumettent à un contrôle d'alcoolémie. Après un résultat positif, il est invité à suivre les gendarmes, mais l'homme explique qu'il souhaite d'abord récupérer ses affaires dans son véhicule. L'affaire prend un tout autre tournant à cet instant précis, car finalement le conducteur remonte à bord de son tracteur et redémarre pour s'enfuir.

Une amende pour non-respect du couvre-feu

Une course-poursuite s'engage alors entre les gendarmes et le conducteur, lancé à 30 km/h sur l'autoroute. L'homme refuse de s'arrêter à plusieurs reprises et tente également de renverser les véhicules des gendarmes, précise la chaîne locale. Pour l'arrêter, les forces de l'ordre l'éblouissent avec des projecteurs du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie de Cosne-sur-Loire, appelée en renfort pour tenter d'arrêter ce « tracteur fou ».

Finalement, le fuyard coupe le contact et est interpellé. Originaire du Cher, ce dernier s'était perdu dans la Nièvre, complètement ivre. Les gendarmes l'ont verbalisé pour non-respect du couvre-feu, soit une amende de 135 euros. Il comparaîtra également devant le tribunal judiciaire de Nevers en septembre prochain. Il risque ainsi 5 ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende.

Le Point

Un accident de quad a coûté la vie à une fillette de 2 ans à Garchizy, près de Nevers (Nièvre), ce samedi à la mi-journée. L’engin était conduit par une petite fille de 9 ans qui serait sa sœur.

Quatre filles âgées de 2, 3, 6 et 9 ans se trouvaient sur un quad piloté par la plus grande lorsque le drame s’est produit vers 12h30, sur une route communale de Garchizy explique Le journal du Centre. La petite fille aurait perdu le contrôle du véhicule avant de heurter une buse et finir dans le fossé.

La victime aurait percuté le guidon et se serait retrouvée compressée. Ses proches l’ont amenée jusqu’au cabinet médical de Fourchambault. C’est là qu’elle a été prise en charge par les sapeurs-pompiers, qui l’ont transportée jusqu’à l’hôpital de Nevers. La fillette n’a pu être sauvée, elle est décédée.

Les quatre filles qui se trouvaient sur ce quad seraient issues de la même famille, appartenant à la communauté des gens du voyage.

ACTU 17

Deux détenus de la prison de Périgueux (Dordogne) sont parvenus à s’évader dans des circonstances rocambolesques dans la nuit de vendredi à samedi. Après avoir scié les barreaux de leur fenêtre, ils ont notamment escaladé des murs.

Il leur a fallu réaliser un exploit pour pouvoir s’évader de la maison d’arrêt de Périgueux. Ces deux hommes, de nationalité moldave, y sont parvenus comme le raconte Sud Ouest. Dans la nuit de vendredi à samedi, vers 4 heures du matin, entre deux rondes, ils ont scié les barreaux de la fenêtre de la cellule qu’ils partageaient. Cette dernière se situe au dernier étage du bâtiment principal.

Ils ont descendu en rappel le mur de leur bâtiment, haut de quatre mètres, et en ont remonté un second de la même taille, avant d’atteindre la cour d’honneur et des vestiaires. Les deux détenus ont ensuite forcé les barreaux d’une fenêtre donnant sur l’extérieur. Ils ont descendu un dernier mur de quatre mètres qui les séparait de la rue et ont disparu.

« Ce sont des gars bien préparés physiquement »

« Ça tient de l’escalade ! D’autant plus que tout a été fait en une heure », indique Thierry Dumonteil, délégué FO, au quotidien régional. « Ils ont aussi dû passer dans le champ des caméras mais, en pleine nuit, les surveillants n’ont pas qu’un écran à surveiller. Et ils ne sont pas de dernière génération, donc le retour n’est pas très clair ». « Ce sont des gars bien préparés physiquement (…) qui doivent être très doués en varappe », a-t-il ajouté, à France Bleu.

Une autre source syndicale citée par Sud Ouest précise que les détenus parviennent à se faire livrer des kebabs dans la prison. « Visiblement, ils commandent depuis leurs portables et les livreurs jettent par-dessus le mur d’enceinte ».

Les deux fugitifs étaient écroués « depuis un certain temps » dans l’attente de leur jugement dans une affaire de banditisme. Une enquête a été ouverte par la police judiciaire et une fiche de recherche a été transmise aux services de police et de gendarmerie. « De mémoire, je n’ai jamais entendu parler d’évasion à Périgueux. Ce serait une première depuis la construction en 1863 », affirme Thierry Dumonteil.

ACTU 17

Un enfant de 9 ans a été retrouvé pendu dans sa chambre, à La Chapelle-Saint-Luc, près de Troyes (Aube). Une enquête a été ouverte.

Terrible drame près de Troyes ce jeudi après-midi. Un garçon âgé de 9 ans a été retrouvé mort, pendu dans sa chambre rapporte L’Est Éclair. L’hypothèse d’un « jeu du foulard » qui tourne mal est étudiée. L’enquête devra confirmer cette piste.

Ce « jeu du foulard », très dangereux, est connu depuis plusieurs dizaines d’années. Il consiste à retenir sa respiration ou à se serrer le cou jusqu’à perdre connaissance, et peut être pratiqué seul ou à plusieurs. Cette méthode provoque un évanouissement, précédé d’une phase d’hallucination. Il touche principalement un public d’enfants et d’adolescents de 4 à 20 ans explique l’association APEAS (Agir pour la prévention des jeux dangereux).

La France avait décidé en 2007 de lancer une campagne d’information dans les établissements scolaires, alors qu’un quinzième mort avait été recensé en seulement un an.

Une fille de 10 ans meurt en Italie

En janvier dernier, l’Italie a été ébranlée par le décès d’une jeune fille de 10 ans, Antonella, originaire de Palerme. Elle a été retrouvée sans vie par sa petite sœur de 5 ans, dans la maison familiale.

La défunte participait à un défi sur le réseau social TikTok, qui concernait ce « jeu du foulard ». Suite à ce terrible drame, l’Italie avait annoncé, le 22 janvier, avoir bloqué provisoirement l’accès de TikTok aux utilisateurs dont l’âge n’est pas garanti.

ACTU 17

Un soldat de première classe âgé de 22 ans est décédé ce samedi au cours d’un entrainement à Mayotte.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame qui a coûté la vie à Lucas Rochefeuille, un soldat de première classe qui était âgé de 22 ans. Il est décédé ce samedi lors d’une séance au centre d’instruction et d’aguerrissement nautique de la Légion étrangère à Mayotte, ont annoncé les forces armées en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI).

Né à La Réunion, le défunt était affecté au 92e régiment d’infanterie de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) a précisé le cabinet du général Yves Métayer, commandant supérieur (COMSUP) des FAZSOI. Il effectuait une mission de courte durée au détachement de la Légion étrangère à Mayotte, depuis mi-décembre.

Dans cette zone qui se situe entre Mayotte, La Réunion et les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), les FAZSOI luttent notamment contre la piraterie ou l’immigration illégale. Elles se composent de 1900 militaires des trois armées dont près de 140 permanents.

ACTU 17

Voici l'histoire d'Eldina Jaganjac, une femme danoise âgée de 31 ans, qui vit du côté de la capitale, Copenhague. Il y a quelques jours, le New York Post lu a consacré un article, qui a, depuis, fait le tour du monde. Pourquoi un tel intérêt ? Tout simplement parce que cette jeune femme a pris une décision qui tranche à une époque où les diktats de la mode sont ultra-présents : elle a décidé de ne plus s'épiler ni la moustache, ni les sourcils.

Quelques critiques dans la rue...

Un choix fait en mars 2020, qui fait beaucoup parler, notamment sur Instagram, où elle poste de nombreuses photographies d'elle, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de notre article. Si elle a reçu quelques critiques, elle a surtout fait le plein de réactions positives, qui l'encouragent dans cette décision de bousculer les normes. Dans la rue, elle a toutefois dû faire face à un homme qui lui a crié "d'arracher ça" et à un autre qui la regardait comme si elle avait "une troisième tête".

Elle s'explique sur ce choix

Une question se pose alors peut-être pour certains d'entre vous : pourquoi ne s'épile-t-elle plus le visage ? La réponse est claire, nette et précise. Et elle vient de la principale intéressée, qui affirme que cela lui permet de filtrer les mauvaises rencontres. Ses poils lui permettent ainsi d'éliminer les hommes "conservateurs" qui voudraient être avec elle juste pour le physique.

"Avant de laisser pousser mon monosourcil, j'avais l'impression que les femmes n'avaient très peu d'options différentes sur leur physique", affirme Eldina Jaganjac, qui ajoute que son monosourcil lui a donné confiance. Elle termine ses explications par :

"Maintenant, j'ai choisi de me concentrer sur les tâches et les objectifs que je dois accomplir et moins sur la façon dont j'apparais en les faisant. Si les gens m'aiment ou non ? Je m'en fiche, car je ne les reverrais probablement plus jamais."

Et vous, seriez-vous prêtes à faire comme Eldina ?

Oh My Mag

Illustration

Les secours n’ont rien pu faire. Un homme de 57 ans a été mortellement attaqué par un requin dimanche à la mi-journée alors qu’il se baignait en Nouvelle-Calédonie, a indiqué la Sécurité civile. Selon les premières informations disponibles, la victime est un plaisancier qui se baignait à proximité de son bateau, au mouillage au large de l’îlot Maitre.

« D’après des témoins, l’homme a été mordu à la jambe par un requin d’environ 4 mètres. Il était décédé à l’arrivée des secours dépêchés par hélicoptère », a indiqué un agent de la Sécurité civile. Selon le site Les Nouvelles-Calédoniennes, il aurait eu la jambe arrachée et aurait succombé à un arrêt cardiaque.

A vingt minutes de Nouméa, l’îlot Maitre, qui accueille hôtel, restauration et activités nautiques, est très fréquenté le week-end. L’attaque a eu lieu à quelques dizaines de mètres du bord de mer, qui a été évacué par les pompiers. La mairie de Nouméa a pris un arrêté interdisant la baignade et les activités nautiques dans la bande de littoral de 300 mètres autour de l’îlot jusqu’à lundi inclus. Les autres plages n’ont pas été fermées mais la municipalité a appelé les baigneurs « à la plus grande vigilance ».

20 Minutes

Deux mineurs isolés âgés de 15 et 17 ans réclamaient plusieurs centaines d’euros à une septuagénaire, pour qu’elle puisse récupérer son chien qu’ils lui avaient volé. Ils ont été interpellés.

Les policiers avaient mis en place un dispositif pour coincer les auteurs. Deux adolescents sont parvenus à voler le petit chien d’une septuagénaire à Osny (Val-d’Oise) alors que l’animal se trouvait dans le jardin de la maison raconte Le Parisien. Un vol qui s’est produit le 15 février dernier.

Les deux mineurs ont ensuite réclamé une rançon à la maîtresse de ce chien. Un rendez-vous a été fixé pour le lendemain à 16 heures, à la gare de Pontoise. L’échange devait se faire contre la somme de 400 euros. Mais la septuagénaire a prévenu la police, qui s’est invitée sans prévenir à cette rencontre.

Laissés libres

Un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) de Cergy et un second de la police municipale se sont placés au niveau de la gare pour pouvoir intervenir rapidement et ainsi interpeller les mis en cause. Ces derniers sont arrivés avec l’animal et ont bien été arrêtés. Un majeur qui se trouvait avec les deux adolescents de 15 et 17 ans, a lui aussi été interpellé avant d’être remis en liberté.

Les deux mineurs ont été déférés devant un juge des enfants à l’issue de leur garde à vue. Ils sont poursuivis pour des faits d’extorsion aggravée. Mais pour l’heure, le duo a été laissé libre.

ACTU 17

Ce mercredi 24 février, en début d’après-midi, les gendarmes de Vieux-Thann (Haut-Rhin) ont interpellé un automobiliste bien au-dessus de la limitation de vitesse. Flashé à 197 km/h au lieu de 90, le conducteur était accompagné… d’un enfant de 4 ans.

Quand ce peloton motorisé de la gendarmerie du Haut-Rhin a vu la vitesse s’afficher sur leur radar la question d’interpeller ou non ce chauffard ne s’est même pas posée. À 107 km/h au-dessus de la limitation, ce mécanicien n’a pas tenté de prendre la fuite et a collaboré avec les forces de l’ordre. Et pour cause, son comportement était déjà bien assez dangereux pour ne pas en rajouter une couche.

Une fois arrivées au niveau du chauffard à l’arrêt, les forces de l’ordre découvrent, à leur grande surprise, un enfant de 4 ans sur le siège passager avant.

Ni une ni deux, les militaires lui retirent son permis de conduire et immobilisent le véhicule.

La voiture ne lui appartenait pas

Le contrevenant, mécanicien de profession, était en fait au volant de la voiture d’un client. Il devait la présenter au centre de contrôle technique avant de la vendre.

Mais le chauffard a reconnu qu’il était en train de l’utiliser à des fins personnelles. On l’avait compris au moment de la découverte de son enfant de 4 ans à l'intérieur.

Pour son irresponsabilité et son grand excès de vitesse, le mécanicien devra répondre de ses actes devant un tribunal très prochainement.

Auo News

C’est ce que l’on appelle un vol plané non maîtrisé. Lors d’une drag race (course en ligne) l’une des deux voitures n’a pas su gérer la puissance sous son capot. Résultat, la grosse cylindrée a vu ses 4 roues décoller du sol. Fort heureusement, son parachute était là pour la ramener à terre.

Les drag race de ce genre sont célèbres aux États-Unis et ça n’a rien d’étonnant. En effet, quand des gros moteurs s'affrontent pour voir lequel est le plus rapide, tout de suite ça attire les foules. Le bon vieux principe de “c’est qui le plus puissant ?”.

Mais parfois ces courses peuvent vite devenir le théâtre d’accidents spectaculaires. En effet, pour gagner en vitesse et en accélération, les pilotes utilisent des voitures très légères. Mais si le poids doit être minimaliste, le moteur, lui, se doit d’être poussé dans ses retranchements. Faites le calcul, une voiture poids plume combinée à un moteur de folie, tout peut vite partir en vrille. La preuve dans la vidéo ci-dessus…

Une Camaro à deux doigts des étoiles

Quelques instants, à peine, après le départ, les roues avant se décollent déjà du sol. C’est une image assez habituelle dans ce genre de course. Mais la suite va surprendre tout le monde.

Eh oui, cette fois les 4 roues quittent la terre ferme et la Camaro semble partie pour un sacré voyage. Heureusement, son parachute (placé là pour freiner après la course) va s’ouvrir et lui permettre de retomber tranquillement sur l’asphalte. Plus de peur que de mal pour le pilote et sa Camaro qui repartent finalement comme si de rien n’était.

La question peut donc se poser : a-t-il gagné ?

Auto News

La diva de la pop a récupéré sains et saufs Koji et Gustav, ses deux bulldogs français kidnappés mercredi soir pour lesquels elle avait offert 500.000 dollars de récompense.

Koji et Gustav, deux bulldogs français, avaient été enlevés par deux inconnus mercredi soir. Ces derniers avaient tiré sur un employé de Lady Gaga qui promenait les animaux dans une rue de Los Angeles, puis s'étaient enfuis en voiture. «Les deux chiens de Lady Gaga ont été remis dans un poste de police local, et ont retrouvé sains et saufs» les représentants de leur propriétaire, a tweeté la police de Los Angeles (LAPD). Les deux animaux ont été retrouvés par une femme, dont l'identité n'a pas été dévoilée, qui a contacté les proches de la chanteuse, a précisé le LAPD sans dévoiler plus de détails, une enquête criminelle étant en cours.

 Lady Gaga est particulièrement attachée à ses chiens, qui l'accompagnent fréquemment lors d'événements publics et dont elle publie des photos sur les réseaux sociaux.

Deux individus ont été filmés alors qu’ils incendiaient une voiture de police sérigraphiée, à Mulhouse (Haut-Rhin) dans le quartier des Coteaux, devant un bureau de police. Deux suspects ont été interpellés.

La vidéo a été publiée sur Snapchat et Twitter notamment. Sur ces images, on aperçoit deux hommes habillés en noir qui ont le visage dissimulé, affairés du côté passager d’une voiture de police sérigraphiée. Quelques instants plus tard, une explosion se produit dans le véhicule qui s’embrase instantanément. Les deux auteurs étaient en train de manipuler un ou plusieurs engins incendiaires.

Cette scène s’est déroulée vers 16 heures, devant le bureau de police ouest de Mulhouse. Le feu s’est propagé à un autre véhicule, celui d’un particulier. Fort heureusement, aucun blessé n’est à déplorer.

Deux personnes ont été interpellées par les forces de l’ordre et ont été placées en garde à vue. Une enquête a été ouverte.

Un syndicat de police réclame « une réponse pénale ferme et sans concession »

Dans un communiqué, le syndicat Alliance police nationale « dénonce une nouvelle fois avec force l’impunité de certains voyous qui n’hésitent plus une seule seconde à venir défier les Policiers avec une arme classifiée par la législation comme étant un ‘matériel de guerre’ ». L’organisation réclame par ailleurs « un soutien sans faille de l’institution judiciaire qui doit apporter une réponse pénale ferme et sans concession face à de tels actes ».

« Tout mon soutien aux forces de police de Mulhouse, dont un véhicule a été incendié aujourd’hui ! Je condamne fermement cet acte scandaleux », a réagi le préfet du Haut-Rhin, Louis Laugier.

ACTU 17

Un enfant de 12 ans a confié aux policiers que sa mère cultivait du cannabis. Il leur a aussi affirmé qu’il était battu. Les fonctionnaires se sont rendus au domicile familial et ont découvert 12 plants de cannabis.

Les policiers ont aperçu un garçon de 12 ans dans la rue à Pontarlier (Doubs), ce jeudi vers 17h30. C’est lui qui est venu s’adresser aux forces de l’ordre raconte L’Est Républicain. Il leur a raconté qu’il était frappé par sa mère et qu’il avait décidé de quitter le domicile pour cette raison. L’enfant a ensuite confié que sa mère cultivait du cannabis à la maison.

Des affirmations que les fonctionnaires sont allés vérifier sur place, accompagné du jeune garçon. Et en effet, dans le logement familial, ils ont découvert 12 plants de cannabis mais également tout le matériel nécessaire à la culture de la drogue. La mère de famille n’a pu que reconnaître les faits. Elle a été interpellée et placée en garde à vue.

Elle assure que c’est pour sa consommation personnelle

Âgée de 31 ans, elle a affirmé aux enquêteurs qu’elle s’était procurée ce matériel en Espagne et que les plants de cannabis étaient destinés à sa consommation personnelle précise France Bleu. Concernant les coups portés à son fils, elle a assuré qu’il était turbulent.

Au total, les policiers ont saisi 1,2 kilo de drogue. Elle sera détruite tout comme le matériel découvert. La trentenaire est convoquée devant la justice le 27 mai prochain. Son enfant a été placé dans un foyer pour trois jours. Durant ce laps de temps, les policiers poursuivront leurs investigations au sujet des violences décrites par l’enfant.

ACTU 17

Un adolescent est mort, vendredi 26 février, dans une maison de quartier de Bondy (Seine-Saint-Denis), près de Paris, ont appris franceinfo, France Télévisions et France Bleu Paris. Selon les informations de franceinfo, le garçon, âgé de 15 ans, a été tué par balle par des tirs provenant d'individus à scooter, dans l'Espace Nelson-Mandela situé rue Auguste-Blanqui.

Les tirs ont eu lieu à 17h10, à travers la boite aux lettres de la maison de quartier. L'adolescent a été touché à la poitrine et est mort vers 18h45. Les deux suspects à scooter ont pris immédiatemment la fuite et sont activement recherchés ce vendredi soir, selon une source policière.

L'enquête confiée à la PJ

De source proche du dossier, la victime était connue pour fréquenter les points de vente de stups des quartiers nord de Bondy. Une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny et confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis (SDPJ 93).

Sur Twitter, le maire de Bondy Stéphen Hervé (LR) parle d'un "terrible drame" : "C'est un acte intolérable, rien ne peut le justifier. Une telle horreur est d'autant plus odieuse qu'elle s'attaque à nos valeurs républicaines et à notre jeunesse, puisqu'elle a été commise au sein d'un batiment municipal." Le maire a également annoncé qu'une "cellule de soutien a été mise en place pour les témoins et l'entourage de la victime, profondément choqués."

Cette semaine, la région parisienne a été marquée par la mort de deux autres adolescents de 14 ans en Essonne, une fille et un garçon poignardés lors de rixes différentes entre jeunes de bandes rivales.

franceinfo

Pourquoi les flics n'arrêtent pas tous ces jeunes trafiquants de drogue ?

Les gendarmes de Bourbriac (Côtes-d’Armor), n’ont pas eu à chercher bien longtemps pour retrouver le voleur. Tombé en panne sur l'autoroute, ce dernier s’est endormi non loin de là.

Lundi 22 février, dans la matinée, les gendarmes bretons ont été appelés pour traiter une affaire de vol d’une voiture chez un particulier. Fort heureusement pour ce dernier, l’enquête n’aura duré que quelques heures.

En effet, le soir même, une voiture abandonnée sur le bord de l’autoroute est signalée aux militaires. Cette dernière correspondait bien à la description de la voiture volée.

Une fois sur place, les forces de l’ordre constatent rapidement que le véhicule est vide. Pas de voleur à l’horizon, à moins que…

Bingo, voilà notre homme, à peine quelques mètres plus loin, en train de dormir paisiblement sur le bord de la route.

Complètement ivre, il a expliqué aux gendarmes que la voiture était tombée en panne il y a quelques heures. Pas de chance…

Un multirécidiviste 

Interpellé dans la foulée par les forces de l’ordre, le voleur est passé en comparution immédiate ce mardi. Après quelques recherches, il s’est avéré que le contrevenant n’en était pas à son coup d’essai. Et pour cause, il s’agissait là de sa 43e condamnation. Pour ce vol, le prévenu a donc écopé d’une peine de prison d’une durée de 1 an, dont 6 mois avec sursis.

Auto News

Lundi, un homme de 52 ans avait été tué en pleine rue à Grenoble. La suspecte interpellée souffre de schizophrénie

La victime, égorgée au cutter a succombé à ses blessures sur la voie publique, sans que les secours ne parviennent à la sauver. Une femme de 58 ans a été placée en garde à vue jeudi à Grenoble (Isère) dans le cadre de l’enquête sur le meurtre d’un homme de 52 ans tué à l’arme blanche lundi vers 13 heures dans le quartier Teisseire de la commune, a appris 20 Minutes auprès du parquet.

Hospitalisée sous contrainte

Cette femme, « diagnostiquée schizophrène et suivie psychiatriquement » a reconnu en présence de son avocat avoir égorgé la victime car « des voix lui demandaient de le faire », précise ce vendredi le procureur de la République de Grenoble Eric Vaillant. D’autres éléments viennent corroborer ses déclarations, selon la même source.

Les médecins ont décidé ce vendredi d’hospitaliser la suspecte sous contrainte. Une expertise doit être réalisée pour déterminer sa responsabilité pénale. Le parquet de Grenoble a ouvert une instruction du chef d’assassinat, ce qui permettra à la famille de la victime d’avoir un accès complet au dossier, précise le procureur.

20 Minutes