C'est un voisin qui a ramené l'animal au domicile et prévenu les gendarmes

Certains diront que l’animal l’a fait exprès. A Lorient, un chien qui s’était échappé a sans doute permis de sauver une femme des coups de son compagnon violent. C’est un voisin qui avait retrouvé l’animal qui a décidé de ramener le chien à son domicile. En arrivant, le voisin a découvert un enfant qui lui a expliqué que sa mère était frappée par son compagnon. Entendant les cris, le voisin a alerté les gendarmes du Morbihan.

Mercredi, l’homme était jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Lorient. D'après Ouest-France, le prévenu a été condamné à deux ans de prison ferme et été maintenu en détention. Cette peine est assortie d’une interdiction de séjour dans le Morbihan pendant cinq ans. La victime n’avait pas souhaité porter plainte, « par peur des représailles ».

20 Minutes

Un accident de la circulation a fait un blessé grave près de Dunkerque, dans le Nord

Mardi, un homme circulant à moto a été victime d’un grave accident de la route à Coudekerque Branche, près de Dunkerque, dans le Nord. Hospitalisé en urgence, les jours du motard ne sont pas en danger.

L’accident s’est produit vers 17h, route de Furnes. Une jeune conductrice de 19 ans au volant d’une C2 circulant vers Dunkerque a tourné à gauche pour entrer dans le parking d’une boulangerie. L’automobiliste n’a pas vu le motard qui arrivait dans le sens opposé et lui a coupé la route.

Un pied arraché dans l'accident

Au guidon de sa Yamaha, l’homme de 54 ans n’a rien pu faire pour éviter le choc. Il a violemment percuté le côté arrière droit de la petite citadine et s’est retrouvé projeté au sol. Le motard a été gravement blessé. Selon la police, il a notamment eu un pied arraché dans l’accident.

Le quinquagénaire a été pris en charge par le Samu et transporté dans un état grave au centre hospitalier de Dunkerque. Ses jours ne sont cependant pas en danger. La conductrice, elle, est indemne. Une enquête de police a été ouverte pour tenter de déterminer les circonstances exactes de l’accident.

20 Minutes

13 personnes ont été interpellées mardi en Espagne, en France, en Italie et en Roumanie dans le cadre d'une enquête sur un réseau international de proxénétisme. 40 victimes ont été recensées à ce stade en France.

L'espoir d'un vrai travail, d'une vie meilleure, avant de connaître la précarité et la prostitution. Depuis plusieurs mois, au moins, des Colombiennes vivaient cette trajectoire tragique imposée par des proxénètes qui avaient monté un réseau international entre la Colombie, l'Espagne et la France leur permettant d'exploiter ces jeunes femmes.

L'existence de ces victimes n'aurait peut-être jamais pu être mise à jour si deux d'entre elles n'avaient pas réussi à s'échapper de leur logement. C'était en juin dernier: deux femmes de nationalité colombienne se présentent au commissariat de Montpellier pour dénoncer leur situation. Elles évoquent des violences, une prostitution imposée dans un logement où elles sont surveillées par un homme et qu'elles ont interdiction de quitter. L'individu est alors interpellé.

Une "véritable entreprise familiale"

Les perquisitions menées par les enquêteurs de la police judiciaire de Montpellier vont rapidement mettre en évidence que l'homme n'a rien d'un proxénète isolé mais fait partie d'un réseau de plus grande ampleur qui trouve ses racines en Espagne. À Barcelone, un clan colombien avait implanté une "véritable entreprise familiale", des mots des enquêteurs, qui s'occupait de recruter des jeunes femmes en Amérique du Sud, de les faire venir en Europe, grâce à l'intervention d'un faussaire basé en Italie, puis de les envoyer en France pour les exploiter, après avoir pris soin de leur retirer leur passeport.

L'enquête menée conjointement par la police judiciaire de Montpellier et par l'Office central de répression de la traite des êtres humains (OCRTEH), avec le soutien de leurs collègues espagnols, a permis d'établir que ces femmes étaient logées en France par ce clan colombien dans des appartements pour recevoir des clients. Les proxénètes, depuis Barcelone, tenaient un call center où ils prenaient les "rendez-vous" avec les clients, chaque ligne correspondant à une victime. Ils mettaient également à jour les annonces publiées sur leur site internet. Annemasse, Angers, Cholet, Montpellier, Perpignan... pas moins de 18 appartements ont été découverts dans toute la France.

A la tête d'un call center

Mardi, grâce à "une coopération internationale exemplaire", salue la commissaire Elvire Arrighi, la cheffe de l'OCRTEH, qui a permis de mener les investigations, treize individus ont été interpellés. Huit en Espagne, trois en France, un en Italie et un en Roumanie. Les huit Colombiens, bien implantés en Espagne, étaient sous le coup d'un mandat d'arrêt européen et cinq d'entre eux vont être présentés dans les prochains jours à un juge français.

Dans le même temps, tous les services de police judiciaire où ont été localisés ces appartements aux quatre coins du territoire ont été sollicités pour procéder à des perquisitions dans ces locaux et recueillir les victimes. Une quarantaine d'entre elles ont été identifiées depuis le mois de juin dernier. Mais ce nombre pourrait être bien plus important car les proxénètes opéraient depuis plusieurs années. Cette enquête a également permis d'établir l'existence d'un autre réseau de proxénétisme depuis la Roumanie. Là encore, les proxénètes avaient recours à l'homme interpellé en juin après l'alerte lancée par deux des victimes au prémice des investigations.

BFM.TV

Une jeunes femme a été violée dans le métro parisien dans la nuit de dimanche à lundi. Les policiers ont rapidement pu identifier un suspect qui a été interpellé quelques heures plus tard. Ce dernier est bien connu des forces de l’ordre.

En prenant la ligne 7 du métro, cette femme de 22 ans n’imaginait pas qu’elle allait vivre un terrible calvaire. Vers 00h10, elle s’est installée dans une rame qui allait en direction de La Courneuve (Seine-Saint-Denis) raconte Le Parisien. Un homme l’a abordée entre les stations Palais Royal et Pyramide situées à Paris (Ier), avant de lui faire des avances.

La jeune femme l’a repoussé, mais cela n’a pas suffi. L’homme est devenu violent et l’a obligée à lui pratiquer une fellation, avant de lui sauter dessus et de la violer. Un couple présent dans la rame est intervenu, ce qui a mis en fuite l’agresseur qui est descendu à l’arrêt du métro.

Les policiers et les sapeurs-pompiers sont rapidement arrivés sur place pour prendre en charge la victime sous le choc. Cette dernière a été transportée aux urgences de l’Hôtel-Dieu (IVe). Dans le même temps, les enquêteurs du service régional des transports (SRT) ont récupéré une description de l’auteur des faits auprès des témoins. Les fonctionnaires se sont également appuyés sur les images de vidéosurveillance.

Déjà interpellé à onze reprises !

Les recherches ont débuté et n’ont pas duré longtemps. Un homme habillé de la même façon que l’agresseur présumé a été repéré à 07h45 le lundi matin à la station Châtelet indique le quotidien francilien. Il sortait de la ligne 7. Le suspect a été interpellé à 08h20 sur le tapis mécanique qui mène à la ligne 1 par une patrouille. Il a été placé en garde à vue.

« Il a déjà été arrêté onze fois pour des actes de violence et des infractions sexuelles », détaille une source proche de l’enquête, à nos confrères. Le mis en cause a fait l’objet d’un examen de comportement qui a conclu que son état de santé mental n’était pas compatible avec la mesure de garde à vue. L’homme âgé de 25 ans a été amené dans un hôpital spécialisé et n’a pu être entendu par les policiers pour l’heure.

La RATP a mis en place un numéro d’urgence le 31-17 et un SMS d’urgence, le 31177 pour les voyageurs qui se sentent en danger ou qui souhaitent faire un signalement. Il est aussi toujours possible de composer le 17 pour alerter la police.

ACTU 17

Déjà arrêté 11 fois et toujours en liberté ? !

Qu'on l'enferme dans un hôpital psychiatrique !

On ne donne pas sa nationalité !

L'homme de 49 ans a été retrouvé pendu dans sa cellule du centre pénitentiaire de Pémégnan, à Mont-de-Marsan (Landes)

Il se serait donné la mort en se pendant dans sa cellule individuelle, indique ce jeudi le parquet de Mont-de-Marsan (Landes). Un père de famille de 49 ans condamné début février à 15 ans de réclusion criminelle à Mont-de-Marsan pour des viols sur sa fille qu’il avait mise enceinte à l’âge de 12 ans, a été retrouvé mort, dans la nuit de mercredi à jeudi.

Ce sont des surveillants pénitentiaires du centre pénitentiaire Pémégnan qui ont découvert le détenu inconscient dans sa cellule individuelle, précise le procureur de la République de Mont-de-Marsan Olivier Janson, confirmant une information de Sud Ouest. Ils ont tenté de le ranimer, ainsi que les secours arrivés rapidement sur place, en vain, avant de constater son décès.

Le procureur exclut en l’état « l’intervention d’un tiers »

Une autopsie va être diligentée, « comme c’est systématiquement le cas » lorsqu’un détenu décède en prison, pour confirmer le « suicide par pendaison », au moyen de draps, a ajouté le magistrat, excluant en l’état « l’intervention d’un tiers ». Le détenu « faisait l’objet d’une surveillance rapprochée, ce qui implique des rondes plus rapprochées, mais n’empêche pas un passage à l’acte pour quelqu’un qui est déterminé », a ajouté le procureur.

L’homme, artisan en invalidité après un accident de travail il y a plusieurs années, n’a pas laissé de courrier pour expliquer son geste et « aucun élément suicidaire n’a été relevé depuis son incarcération ».

Il avait fait appel de sa condamnation

Au terme de trois jours de procès, la cour d’assises des Landes l’avait condamné le 2 février à 15 ans de réclusion criminelle pour des viols sur sa fille, aujourd’hui majeure, qui s’était retrouvée enceinte à l’âge de 12 ans. Elle avait dû avorter. Puis elle avait dénoncé les faits à sa mère, trois ans plus tard.

Le père les avait reconnus dans le cercle familial, devant sa femme, sa fille et ses deux autres enfants, puis les avaient niés, dès son interpellation et jusqu’au procès. Il avait fait appel.

20 Minutes

Alors qu’ils intervenaient pour un accident de scooter dans le quartier de la Duchère à Lyon (9e) ce mercredi après-midi, les policiers ont été pris pour cible par de nombreux individus leur reprochant d’être à l’origine des graves blessures du pilote âgé de 13 ans.

Les forces de l’ordre ont été prévenues vers 16h30. Un adolescent qui circulait sur un scooter venait de faire une chute dans le quartier de La Duchère, alors qu’il était sans casque. Grièvement blessé à la tête, ce dernier a été pris en charge par les secours. Il a été transporté à l’hôpital alors qu’il était dans un état critique.

En arrivant sur les lieux, les policiers ont constaté que le scooter avait été récupéré par des individus habitant le quartier. Il avait été caché dans un local à poubelles.

Des CRS en renfort et des jets de projectiles

Une fois les secours partis vers l’hôpital, quelques dizaines d’individus virulents s’en sont pris aux forces de l’ordre, les accusant d’être responsable de la chute de cet adolescent, qui aurait perdu le contrôle de son deux-roues dans des circonstances qui restent à déterminer. Il n’y avait pourtant aucun véhicule de police à proximité au moment de cet accident précise une source proche de l’enquête.

Des CRS ont été appelés en renfort pour éviter que la situation ne dégénère. Les policiers ont alors été la cible de jets de projectiles mais sont parvenus à récupérer le scooter, pour les besoins de l’enquête. Le deux-roues était signalé volé. Des moyens lacrymogènes ont été nécessaires pour ramener le calme. Il n’y a pas eu de blessés durant les violences, ni d’interpellation.

ACTU 17

Aucune interpellation, faut pas les empêcher de jouer ces braves petites chances pour la France !

Le jeune homme, âgé de 17 ans, a été piqué par une cuboméduse d'Australie, la méduse la plus venimeuse connue à ce jour, ce qui lui vaut le surnom de "guêpe de mer" ou de "main de la mort".

Un adolescent australien est mort après avoir été piqué par une méduse très venimeuse, ont annoncé ce jeudi les autorités pour lesquelles il s'agirait du premier décès de ce type depuis quinze ans. Les autorités sanitaires ont révélé que le jeune homme, âgé de 17 ans, a été piqué le 22 février, alors qu'il nageait au large de la petite ville de Bamaga, située à l'extrême nord de l'Etat du Queensland.

"Guêpe de mer"

Il a été transporté par hélicoptère dans un hôpital où il est mort le 1er mars, selon la police. La cuboméduse d'Australie ou Chironex fleckeri est la méduse la plus venimeuse connue à ce jour, ce qui lui vaut également le surnom de "guêpe de mer" ou de "main de la mort".

La première mort liée à cette méduse depuis 2006

Selon la biologiste marine Lisa-Ann Gershwin, il s'agit de la première mort liée à la cuboméduse d'Australie enregistrée depuis 2006.

"Malheureusement, le décès (précédent) s'est également produit à Bamaga", a-t-elle déclaré à la télévision ABC.

Selon Lisa-Ann Gershwin, une telle issue fatale est évitable mais les personnes vivant loin d'une ville sont particulièrement vulnérables.

BFM.TV

C'est le troisième accident mortel impliquant un motard en quelques semaines

Un homme de 30 ans a perdu la vie mercredi soir sur une route d’Ille-et-Vilaine. Alors qu’il circulait sur la RD177 entre Janzé et Bain-de-Bretagne, un motard a percuté un véhicule utilitaire lors d’une très violente collision frontale qui lui a été fatale. L'accident de la route s’est déroulé vers 19 h 15 au lieu-dit le Bois Aubry, à Saulnières, au sud de Rennes. Alertés, les secours n’ont rien pu faire pour réanimer le pilote du deux-roues, qui a été déclaré décédé sur place.

D’après les gendarmes, l’accident s’est produit alors que le motard avait entrepris de dépasser un véhicule. Un véhicule utilitaire est sorti au même moment d’un parking pour s’engager sur la voie, sans voir que le motard arrivait en face. D’après les gendarmes, la moto de 1.100 cm3 a été totalement détruite dans le choc. Son pilote, un habitant de Saulnières, n’a pas survécu à ses blessures.

Troisième motard tué en dix jours

Légèrement blessé aux mains et très choqué, le conducteur de l’utilitaire a été transporté au CHU Pontchaillou. Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade de gendarmerie de Bain-de-Bretagne.

C’est le troisième motard à perdre la vie sur les routes d’Ille-et-Vilaine ces dernières semaines. Le 21 février, un homme de 27 ans s’est tué à Rennes en tentant d'échapper à un contrôle policier. Trois jours plus tard, c’est un homme de 21 ans qui était décédé dans un accident sur la rocade de la capitale bretonne.

20 Minutes

"Au début, je l'ai questionnée pour savoir si les contractions étaient rapprochées, si elle avait mal, si elle était à terme", témoigne Brice Lanvin, contrôleur SNCF. Mardi après-midi, une femme a commencé à accoucher dans son TER, quelques minutes avant la gare de Sens, de l'Yonne. Un événement rare, auquel le contrôleur a peiné à croire : il y a deux ans, il avait connu le même scénario, dans le même train… Et avec la même mère de famille. 

"D'un seul coup elle m'a dit : 'Je crois que je suis en train de perdre les eaux'", poursuit le contrôleur. "J'ai eu un flashback de deux ans, je me suis dit : 'rebelote'. Et puis, en regardant bien son visage, je lui ai dit : 'Mais vous avez déjà vécu cette situation là dans un train ?' Et elle m'a dit : 'Oui, il y a deux ans. Les pompiers étaient venus me chercher en gare de Montereau'."

"Ce n'est pas possible, c'est une blague"

À l'époque, la jeune femme avait accouché de son premier enfant. "Je lui ai dit : 'Je me rappelle bien, puisque c'était déjà moi le contrôleur qui avait fait appel aux pompiers, c'était une petite fille'. Elle m'a dit : 'Ce n''est pas possible, c'est une blague'. J'ai tiré un peu mon masque, pour lui faire voir mon visage et elle m'a dit : 'Ah oui, c'était bien vous !'"

Cette fois-ci, l'enfant de la jeune femme de 27 ans est un garçon. "C'est le Samu qui est arrivé en premier, le médecin du Samu était un peu surpris et m'a dit : 'Mais ce n'est pas possible, vous allez être parrain du quatrième et du cinquième enfant !'", sourit le contrôleur.  

Europe 1

 Le toit du camion accidenté a dû être découpé pour faciliter le transfert des cochons.​

L’accident s’est produit peu après 7 h, ce jeudi 4 mars, au niveau du rond-point de la Chaise Rouge sur la route départementale 775 qui relie Angers (Maine-et-Loire) à Rennes. À 8 h 30, pompiers et gendarmes étaient toujours sur place. La circulation se fait sur une voie le temps qu’un camion de la société transfère les 160 cochons.

La circulation sur la route départementale 775 qui relie Angers à Rennes est fortement perturbée ce jeudi 4 mars. En cause ? Un camion transportant 160 cochons s’est couché au niveau du rond-point de la Chaise Rouge près de Pouancé, commune déléguée d’Ombrée d’Anjou (Main-et-Loire).

Si la scène reste spectaculaire, aucun blessé n’est à déplorer. Le chauffeur est indemne. Un vétérinaire doit se rendre sur les lieux de l’accident pour examiner les cochons. Les pompiers de Pouancé, Angers Ouest et Segré sont intervenus sur place ainsi que les gendarmes de la compagnie de Segré.

Circulation sur une voie

Ces derniers doivent gérer la circulation sur une voie qui est, selon nos informations, était toujours active à 8 h 30. Elle va le rester le temps qu’un camion de la société impliquée dans le sinistre intervienne pour récupérer les cochons et que le poids lourd soit relevé. Le transfert est en cours. Le toit du camion accidenté a dû être découpé pour faciliter l’opération.

On ignore, pour l’heure, les causes exactes de l’accident.

Ouest-France

Pauvres cochons !

L'agression de Christian Lantenois a été extrêmement rapide : "57 secondes", selon le procureur de la République de Reims Matthieu Bourrette, qui commence sa conférence de presse ce mercredi avec ces mots : "Mes premières pensées vont à Christian Lantenois, dont le pronostic vital reste très sérieusement engagé".

Samedi dernier, le photojournaliste de l'Union rejoint une collègue dans le quartier Croix-Rouge parce qu'ils ont eu vent d'une rixe en préparation. Resté près de sa voiture, sur le parking de la médiathèque, Christian Lantenois tente de prendre des photos d'un groupe d'individus. Très vite repéré, un premier individu s'approche de lui en courant et lui assène plusieurs coups à la tête, dont un alors qu'il était au sol. 

M. Lantenois a été agressé parce qu’il était journaliste, sa présence gênait le groupe d'individus, dit le Procureur de Reims

Les coups sont portés avec les poings, mais aussi avec l'appareil photo de Christian Lantenois. Une agression qui ne dure que quelques secondes, mais dont les conséquences sont impressionnantes : "Monsieur Lantenois a un traumatisme crânien très sévère, une fracture du rocher, un hématome sous-dural, une hémorragie cérébrale", précise Mathieu Bourrette, "il a été placé en coma artificiel. Son pronostic vital reste particulièrement engagé".

L'homme interpellé avait déjà été condamné à huit reprises !

Une trentaine d'individus étaient présents sur les lieux au moment des faits et si plusieurs d'entre eux se sont approchés du photojournaliste de l'Union, un seul aurait porté les coups. C'est lui qui a été interpellé ce lundi 1er mars. Il s'agit d'un homme de 21 ans, Anis-Said K. De nationalité algérienne, il a grandi en Espagne et vivait depuis trois ans à Reims dans le quartier Croix-Rouge.

Le procureur de la République de Reims annonce sa mise en examen pour "tentative de meurtre aggravé". Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Lors de sa garde à vue, le suspect a gardé le silence, refusant même parfois de sortir de sa cellule. Aucune audition n'a été possible. Déjà connu de la justice, il a déjà été condamné à huit reprises pour vols, violences et trafic de stupéfiants notamment. En fin de journée, l'homme a été placé en détention provisoire.

Un autre suspect recherché

Les caméras de vidéosurveillance ont permis d'identifier un deuxième homme qui a participé à l'agression, mais à ce jour il n'a pas été interpellé. "La dynamique de l'enquête doit permettre d'interpeller d'autres mis en cause", indique Matthieu Bourrette, qui précise que les faits sont "aggravés" par le fait que les individus préparaient une entreprise belliqueuse. 

Selon le procureur de la République, des battes de baseball et des clubs de golf avaient été achetés le matin même dans un magasin de sport de la ville et des pierres avaient été déplacées pour ralentir la police : "Ils voulaient se battre avec d'autres bandes et la présence du journaliste les gênait". La carte mémoire de l'appareil photo de Christian Lantenois n'a d'ailleurs pas été retrouvée. 

mercredi 3 mars 2021 à 17:55 - 

Après le départ de ses locataires, vendredi 26 février, une propriétaire a retrouvé sa maison d’Audincourt (Doubs) transformée en « taudis ». Les équipements de cuisine sont sales et cassés, des tringles à rideaux ont été volées et des excréments de chats ont été retrouvés partout dans l’habitation.

En l’espace d’un an et demi, des locataires ont transformé une maison d’Audincourt (Doubs) en « taudis ». La propriétaire s’est rendu compte de l’étendue des dégâts vendredi 26 février lorsqu’elle a récupéré les clés au départ de la famille. « Tout est à refaire », a-t-elle confié à L’Est Républicain.

Derrière eux, les locataires ont laissé une maison saccagée avec des dessins d’enfants directement sur les murs, des toilettes sales, une cave remplie de déchets dans laquelle un chaton abandonné a été retrouvé. La propriétaire devra remplacer le lave-vaisselle et le canapé mais aussi laver de fond en comble le four et la salle de bains. La famille avec cinq enfants a également rendu une maison souillée d’excréments de chats. De plus, « des lustres, tringles à rideaux et de l’escalier métallique » sont introuvables.

Des loyers impayés

La propriétaire est dépitée à l’idée de devoir payer pour remettre en état une maison qu’elle avait rénovée avec ses parents pendant six mois. En colère, elle indique avoir acheté ce bien « seule avec mon petit salaire » et ajoute « j’en étais fière ».

En plus d’une maison saccagée, les locataires n’auraient pas réglé plusieurs mois de loyers. Le montant des impayés s’élèverait à 4 000 €.

Ouest-France

Elle peut porter plainte. En Suisse, j'ai travaillé plusieurs années au Tribunal des baux qui réglait les litiges entre locataires et propriétaires !

Un homme a été arrêté en Californie pour tentative de meurtre après avoir essayé de tuer sa femme et pour l’avoir enterrée vivante dans le sable.

La victime a vécu un véritable cauchemar. Mercredi, elle a été retrouvée sur une plage de Californie après avoir réussi à s’extraire d’une tombe où elle avait été enterrée vivante. La chaîne KFMB-TV explique que ce jour-là, à San Diego, elle a été attaquée par son mari Jose Luis Mares III. C’est un passant qui a trouvé la victime, sous le choc, aux alentours de 21 heures. «La victime s'est échappée et a couru vers Ocean Boulebard où elle a été retrouvée sur le trottoir par un passant», a déclaré la police sur sa page Facebook.

«Gravement blessée», selon les autorités, elle a expliqué avoir été étranglée par son époux de 23 ans qui a essayé de la «jeter» dans l’océan. «Sur la plage, il a commencé à l’étranger au point qu’elle perdre connaissance, puis elle a été tirée de force par les cheveux dans l’eau», a expliqué l’agent Ryan Brennan. Le suspect a fini par enterrer le corps inconscient de sa femme dans le sable. «Elle nous a dit qu’il a essayé de la tuer, qu’il l’a étranglée et l’a enterrée dans le sable». «Deux agents qui ont été les premiers à lui parler ont fait un beau travail pour réussir à la calmer», a salué l’agent Brennan.

L'homme arrêté dans un jardin

Le suspect a fui la scène mais a été arrêté un peu plus tard. Il se cachait dans le jardin d’une maison d’Alameda Boulevard. Sa femme, elle, a été conduite à l’hôpital. Les autorités n’ont pas donné de détails sur l’étendue de ses blessures ni sur leur gravité. Elles n’ont pas non plus expliqué les raisons de cette tentative de meurtre. Jose Luis Mares III a été inculpé pour tentative de meurtre, voies de fait causant de graves blessures corporelles, violence domestique et violation de la libération conditionnelle. Il a été incarcéré sans possibilité de remise en liberté sous caution. L’homme est déjà connu de la justice pour une série de cambriolages. Il avait été libéré sur parole en septembre dernier.

Paris Match

L'aspirateur est l'appareil électroménager indispensable pour garder un intérieur propre sans y passer trop de temps. Les aspirateurs traineaux sont souvent très puissants mais ils ont l'inconvénient de prendre de la place et d'être difficiles à manier. Pour cette raison, de nombreuses personnes adoptent l'aspirateur-balai, compact, efficace et puissant.

Si les aspirateurs Dyson séduisent de plus en plus de monde, le prix peut parfois être un frein. Alors qu'ils sont vendus entre 400 et 700 euros pièce avec tous les accessoires, certaines marques proposent des appareils similaires à un prix accessible. C'est justement le cas de l'enseigne de hard discount LIDL qui proposait un aspirateur-balai de la marque Silvercrest. Toutefois, plusieurs incidents ont été signalés. On vous explique les détails !

Un aspirateur balai LIDL défaillant

Au mois d'août 2020, LIDL proposait à ses clients un aspirateur-balai performant à prix tout doux. Il s'agissait d'un aspirateur de la marque Silvercrest, référence SHAZ 22.2 D5 vendu au prix de 79.99 euros (soit quatre à sept fois moins cher qu'un Dyson). Et pour cause, son design élégant et similaire à celui des célèbres aspirateurs anglais avait de quoi nous tenter.

Pourtant, ces aspirateurs modernes et pratiques à prix cassés font actuellement l'objet d'une procédure de rappel. En effet, la société Hoyer Handel GmBH a demandé explicitement à tous les clients de ne pas utiliser l'aspirateur et de le rapporter au lieu d'achat. En effet, plusieurs aspirateurs auraient pris feu pendant la charge ou l'utilisation. Une défaillance sérieuse qui ne doit pas être prise à la légère.

Tous les clients ayant acheté cet aspirateur chez LIDL cet été doivent donc ramener l'appareil en magasin, avec ou sans ticket de caisse, afin d'obtenir un remboursement.

Les sources des incendies domestiques en France

Avoir un appareil défectueux peut avoir de graves conséquences. En effet, les appareils électroménager avec un défaut de fabrication, anciens ou abimés peuvent rapidement être facteurs d'incendies. Il faut savoir que 25% des incendies domestiques en France sont provoqués par des dysfonctionnements électriques selon l'ONSE. Il peut s'agir de surcharge électrique, plusieurs objets branchés sur une même prise, de surchauffe, d'appareils défectueux : le tout pouvant causer un départ de feu dans la maison.

Pour éviter le pire, il faut être attentif aux prises électriques et aux appareils que vous utilisez quotidiennement. Assurez-vous que le fil soit en bon état et que la prise soit propre et fonctionnelle. Au moindre doute, vous pouvez demander à un électricien de vérifier votre installation électrique, surtout si votre appartement est ancien !

Oh My Mag

Deux hommes devaient être présentés à un juge d'instruction pour meurtre après le signalement d'un voisin auquel ils avaient demandé une scie pour faire disparaître un corps, a annoncé mardi le parquet de Bourgoin-Jallieu. Dimanche soir à la Tour-du-Pin, en Isère, un homme "a eu une sollicitation quelque peu surprenante : ses voisins lui ont demandé une scie pour un corps à faire disparaître", a raconté à l'AFP Dietlind Baudoin, la procureure de Bourquoin-Jailleu, confirmant une information du journal Le Dauphiné Libéré.

La victime, "peu ou prou SDF", était alors hébergée par le locataire de l'appartement, a ajouté la magistrate, qui a ouvert une enquête en flagrance pour meurtre, confiée à la brigade des recherches de la Tour-du-Pin.

De nombreux coups de couteau sur un SDF 

Ce locataire et un ami présent ce soir-là sont en garde à vue depuis l'arrivée des gendarmes dimanche soir, et l'affaire devait être transmise au pôle de l'instruction de Grenoble mardi pour l'ouverture probable d'une information judiciaire. Selon le Dauphiné Libéré, les trois hommes ont bu et se sont disputés samedi soir, puis le sans domicile fixe de 54 ans a reçu de nombreux coups de couteau, provoquant son décès.

C'est en cherchant à se débarrasser du corps, retrouvé emballé dans du film plastique, selon le quotidien régional, que les deux hommes de 34 et 50 ans ont toqué à la porte du voisin, dimanche vers 22H.

Europe 1

Après avoir rencontré des problèmes, le pilote de ce petit avion a dû improviser un atterrissage sur une autoroute californienne. Évidemment, tout ne s’est pas passé comme prévu et le coucou a terminé sa course dans une Lexus. Heureusement, aucun blessé n’est à déclarer.

Quelques minutes après son décollage, l’engin volant présente des signes de perte de puissance. Son pilote n’a plus le choix, il doit se poser avant de se crasher. Seul problème, l’aérodrome le plus proche n’est pas à portée et il va devoir transformer une portion d'autoroute près de Livermore (Californie) en piste d'atterrissage.

Malheureusement, les images de l’accident capturées par une dashcam ne sont plus disponibles suite à des problèmes de droits d’auteurs. Mais pour ce qui est des faits, la Lexus va venir percuter l’avion sur le côté. Car oui, ce dernier ne s’était même pas posé dans le sens de la circulation, coupant donc la route aux voitures qui passaient.

Plus de peur que de mal

Fort heureusement, les dégâts sont seulement matériels et personne n’a été blessé dans cet accident spectaculaire.

Une enquête a été ouverte afin de déterminer les causes de la défaillance de l’avion. Une chose est sûre : atterrir avec classe et brio au milieu d’une autoroute, ce n’est pas donné à tout le monde.

Auto News

Un adolescent de 16 ans au volant d’une voiture de sport a percuté un véhicule de police, fonçant sur les fonctionnaires, à Bordeaux (Gironde), avant d’être neutralisé par balle. Il est grièvement blessé. L’un de ses passagers a été interpellé et placé en garde à vue.

Les faits se sont déroulés vers 23 heures dans la nuit de lundi à mardi au niveau du quai de Bacalan, à Bordeaux, durant le couvre-feu donc. Des policiers de la Brigade spécialisée de terrain (BST) ont ordonné au conducteur d’une Audi RS3 immatriculée en Pologne de s’arrêter pour un contrôle indique une source policière, confirmant une information d’Europe 1.

L’automobiliste a refusé d’obtempérer, a forcé le passage et une course-poursuite a débuté. Plus loin, le fuyard a percuté un véhicule de police, celui des policiers de la compagnie départementale d’intervention (CDI), avant de foncer sur des fonctionnaires. Ces derniers ont ouvert le feu à une dizaine de reprises, touchant le chauffard âgé de 16 ans. Une vidéo amateur montrant cette scène a été diffusée sur les réseaux sociaux.

L’adolescent a poursuivi sa route avant de s’arrêter juste après. Ses deux passagers en ont profité pour prendre la fuite, l’un a pu être rattrapé et interpellé. Âgé de 21 ans, il a été placé en garde à vue.

Le chauffard, gravement blessé par balle au thorax, a été transporté à l’hôpital alors qu’il était dans un état grave. Son état de santé se serait amélioré depuis. Une enquête pour « tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique » a été ouverte et confiée à la police judiciaire. L’Audi était une voiture de location.

ACTU 17

Une certaine jeunesse est de plus en plus pourrie !

Un petit garçon de 6 ans est mort en s’accrochant à la voiture de sa mère, qui venait de l’abandonner dans un parc. La police de Middletown, dans l’Ohio, a révélé l’affaire lundi. Elle a expliqué que Brittany Gosney, âgée de 29 ans, se trouvait avec ses deux autres enfants dans le véhicule lorsque le petit James a perdu la vie. Le chef de la police, David Birk, a indiqué en conférence de presse que la mère avait prévu d’abandonner son fils mais également ses deux autres enfants, qui ont depuis été placés dans une famille d’accueil.

Après avoir déposé James dans le parc, elle a démarré sa voiture à laquelle s’est accroché le garçonnet pour tenter de retourner à l’intérieur. Au lieu de l’aider, elle a continué à avancer, trainant la petite victime au sol. Elle s’est ensuite débarrassée du corps dans une rivière. Elle a avoué à la police avoir tué l’enfant, tout en ne montrant aucun remord, a déclaré David Birk. «Cela me touche vraiment. Mes enfants sont plus âgés, mon plus jeune à 16 ans, mais je suis assis là à imaginer que ce pauvre petit de 6 ans n’avait aucune idée de ce qui était en train de lui arriver, et les deux autres qui ont été témoins de ça, j’ai le cœur brisé», a-t-il commenté.

De dramatiques détails

D’après le compte rendu de son arrestation, obtenu par le «Daily Beast», la mère «a admis avoir emmené son fils, James Robert Hutchinson, à Rush Run Park dans le comté de Preble, où elle l'a placé à l'extérieur de son véhicule. Après l'avoir forcé à sortir de la voiture, Gosney a dit à l'inspecteur John Hoover que le garçon avait tenté de remonter dans le véhicule et qu'elle était partie à grande vitesse, traînant l'enfant sur une distance. L'accusée a ensuite quitté le parc et est revenue environ 30 à 40 minutes plus tard, trouvant l'enfant au milieu du parking avec une blessure à la tête.» La mère a ensuite récupéré le corps, l’a mis dans une pièce à l’étage de sa maison et s’en est débarrassé le lendemain. Le petit ami de Brittany Gosney est accusé de l’avoir aidée à jeter le cadavre.

C’est dimanche matin que tous les deux se sont rendus au commissariat pour signaler la disparition de l’enfant. Mais la police a rapidement senti que quelque chose n’allait pas et que leurs histoires n’avaient pas de sens. Brittany Gosney est accusée de meurtre et de falsification de preuves. Les autorités cherchent encore le corps de l’enfant.

Paris Match

Cette salope mérite la mort !

C'est une histoire qui semble irréelle tant elle est incroyable. Une fillette de deux ans a survécu à une chute du 12e étage de son immeuble de 16 étages. Cette scène, filmée par des voisins, s'est déroulée à Hanoï, au Vietnam. Malgré quelques blessures, l'enfant est en vie, tout comme l'homme qui l'a rattrapée. Il est devenu un vrai "super-héros" dans le pays.

Une vidéo qui donne des frissons

Si cet incident qui a failli virer au drame est impressionnant, c'est notamment parce que toute la scène a été filmée. Une voisin qui vit dans la bâtiment d'en-face a tout enregistré.

Un héros sans cape. M. Nguyen Ngoc Manh a sauvé une fillette de 2 ans qui est tombée du 12ème étage d'un appartement à Hanoi.

Les images permettent de se rendre compte de la manière dont s'est déroulée la scène, sous les cris perçants des voisins. La fillette a escaladé la barrière du balcon et s'est maintenue dans cette position un petit moment, avant de se baisser puis de chuter.

Le "super-héros" est un livreur de 31 ans

Cette scène, très difficile à regarder, a pu être diffusée car elle se termine "bien". En effet, un livreur de 31 ans nommé Nguyen Ngoc Manh a pu rattraper la fillette. Dans des propos relayés par le Vietnam Times, il explique comment tout s'est passé de son point de vue.

"J'étais assis dans la voiture et j'attendais de livrer des affaires à un client. J'ai entendu les hurlements d'un bébé, je pensais juste qu'il avait été grondé par sa mère. Mais j'ai sorti la tête de la voiture, j'ai regardé autour de moi et j'ai vu une fille suspendue à un balcon. J'ai immédiatement sauté hors de la voiture et j'ai trouvé un moyen de monter dans le bâtiment voisin. Je suis monté sur un toit de tuiles de 2 mètres de haut pour chercher une bonne position pour attraper la fille. J'ai essayé de tendre les bras et j'ai fait le maximum d'efforts pour attraper la fille. Heureusement, le bébé est tombé sur mes genoux et on a chuté sur le toit en tôle. Je l'ai embrassée puis j'ai vu du sang couler de sa bouche, j'avais très peur."

L'enfant a été emmené rapidement à l'hôpital et miraculeusement, son pronostic vital n'est pas engagé, malgré une fracture à un bras et à une jambe. De son côté, le "super-héros" vietnamien s'en sort avec une simple entorse. Depuis ce sauvetage, tout le pays s'est pris d'affection pour le jeune homme .