• Un garçonnet a trouvé la mort après un traumatisme crânien. La piste accidentelle n’est pas écartée, mais une enquête pour « violences habituelles sur mineur et coups mortels » est en cours.

     

    Un enfant de 4 ans et demi a succombé à ses blessures vendredi, après avoir subi un traumatisme crânien. Les faits ont eu lieu en fin d’après-midi à Dol-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine), rapporte France Bleu.

    En état de mort cérébrale à l’arrivée des secours

    Il avait été transporté au CHU de Pontchaillou de Rennes par un hélicoptère du SMUR vers 17 heures, en urgence absolue. Le petit garçon n’a pas survécu, en raison d’un hématome sous-dural provoqué par un choc à la tête.

     

    L’enfant était déjà en état de « mort cérébrale » à l’arrivée des secours, a indiqué le parquet de Saint-Malo, qui a ouvert une enquête. Les investigations doivent établir les circonstances de ce drame, qui ne sont pas connues pour l’heure.

    Un couple en garde à vue

    C’est dans le cadre de cette enquête que le père de l’enfant, un jeune homme de 28 ans, et sa compagne âgée de 20 ans, qui n’est pas la mère de la victime, ont été placés en garde à vue. Les enquêteurs n’excluent pas la thèse d’un accident mais ils poursuivent leurs investigations pour « violences habituelles sur mineur et coups mortels ».

     

    Les deux suspects n’ont pas encore fourni d’explication sur l’origine de la blessure qui a causé la mort de l’enfant. Le père avait la garde de son fils lorsque le drame a eu lieu. Le couple n’avait pas d’antécédent judiciaire.

    ACTU 17

    Quelle horreur !


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  • À quelques jours du «déconfinement», les masques chirurgicaux sont toujours très précieux.Samedi, vers 5 heures du matin, un incendie s’est déclaré dans un entrepôt de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, où une quantité, encore inconnue, de masques chirurgicaux a été brûlée. «Le Parisien» rapporte que plus de 150 sapeurs-pompiers sont intervenus sur les lieux pour éteindre les flammes.

     

    «Le feu a été maîtrisé à 8 heures du matin», a déclaré le lieutenant-colonel Claire Boët de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris au quotidien, qui rapporte que l’incendie n’a causé que des dégâts matériels dans cet hangar abritant des conteneurs de textiles et de masques chirurgicaux,

    Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de ce départ de feu. Un incendie volontaire n’est pas à exclure puisque aucun employé n’était sur les lieux à cette heure si matinale.

    Paris  Match

    En Seine-St-Denis, pas étonnant !


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  • Un premier chat a été testé positif au coronavirus en France, en région parisienne. L’École nationale vétérinaire d’Alfort dans le Val-de-Marne l’a annoncé ce samedi.

    « L’unité mixte de recherche en virologie de l’École nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA), de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et de l’Inrae, en lien avec l’Institut Pasteur, a détecté le premier chat porteur du SRAS-CoV-2 en France », explique ce samedi l’École nationale vétérinaire d’Alfort, située à Maisons-Alfort.

    Il s’agit d’une première en France. Le chat a probablement été infecté par ses propriétaires précise l’EnvA, qui recommande aux personnes malades d’appliquer une distanciation avec leur félin. L’animal contaminé vivait avec une personne contaminée. « À ce stade des connaissances scientifiques, il semble que les chats ne sont pas aisément infectés par le virus. Mais pour protéger leur animal familier, il est conseillé aux personnes malades du Covid-19 de limiter les contacts étroits avec leur chat », indique l’école.

     

    Des tests ont été réalisés sur une dizaine de chats avec l’aide des vétérinaires d’Ile-de-France. Les propriétaires de ces animaux avaient une suspicion d’infection au Covid-19. L’un des chats, situé « près de Paris« , a été testé positif et présentait « des signes cliniques respiratoires et digestifs ».

    Seulement quatre cas dans le monde

    « À ce stade des connaissances scientifiques, il semble que les chats ne sont pas aisément infectés par le virus SRAS-CoV-2 même en contact avec des propriétaires infectés« , explique l’EnvA qui rappelle que « seulement quatre chats naturellement infectés » ont été signalés à ce jour dans le monde.

    « Cela reste un phénomène rare »

    « Il n’est pas forcément étonnant de retrouver un chat porteur de ce virus puisque cela a déjà été décrit, à Hong Kong (un cas), en Belgique (un cas) et à New York (deux cas) mais cela reste un phénomène rare puisque même en cherchant de manière pro-active, dans une région où le SARS-CoV-2 circule de manière importante, nous n’avons pour le moment détecté qu’un seul animal positif », explique Sophie Le Poder, professeure de virologie à l’ENVA et co-auteure de l’étude, citée par L’Express.

    ACTU 17


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  • Finance, politique et jet-set : l'escroquerie du siècle

    C’est une enquête menée par Interpol et les polices de treize pays, à la recherche de 4,5 milliards de dollars (l’équivalent du PNB de la Sierra Leone), détournés du fonds de développement malaisien 1MDB. Un scandale où se croisent candidats à la Maison-Blanche, stars de Hollywood, traders de Wall Street, l’Arabie saoudite et Abu Dhabi. A l’origine de ces fructueuses manipulations : Najib Razak, Premier ministre malaisien, Khadem Al-Qubaisi, homme d’affaires d’Abu Dhabi, et Jho Low, un businessman jet-setteur. Chacun est poursuivi, mais une partie de l’argent demeure introuvable.

     

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/finance-politique-et-jet-set-l-escroquerie-du-si%C3%A8cle/ar-BB13lE1k?ocid=msedgntp


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  • Un criminel recherché par l’Italie depuis 10 ans interpellé par la police française

    Pour échapper à la justice italienne, le criminel s’était réfugié au Kirghizistan, puis à Taïwan. C’est finalement la police française qui l’a interpellé à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle.

    Les policiers français ont interpellé un fugitif italien âgé de 36 ans, Juan Testa, alors qu’il venait de descendre d’un avion à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, samedi matin. Ils agissaient dans le cadre d’un mandat d’arrêt européen visant à le faire extrader vers l’Italie, rapporte le quotidien italien Il Gazzettino.

    Un crime commis 10 ans auparavant

    C’est dans ce pays, il y a environ dix ans, que le mis en cause avait enlevé et violé son employé de 22 ans. Ce chef d’entreprise et fils d’un riche médecin de la province de Padoue avait été condamné à une peine de prison de six ans et deux mois. Alors assigné à résidence, il s’était évaporé dans la nature, avant d’être inscrit sur la liste des fugitifs dangereux.

    Une coopération internationale

    Sa localisation a été permise par une coopération entre la police d’état italienne (Polizia di Stato), l’agence de coopération policière internationale Interpol et l’agence européenne Europol, qui œuvraient dans le cadre de la mission intitulée « Wanted 3 ».

    Les investigations ont démontré que le criminel s’était un temps réfugié à Bichkek, la capitale du Kirghizistan, avant de rejoindre Taïwan. Il s’était installé dans le comté de Taoyuan, où il avait démarré une entreprise spécialisée dans les événements musicaux et la location de matériel professionnel pour des concerts et des soirées privées.

    Des flux financiers qui ont mené à sa perte

    Pour obtenir ces précieux renseignements, les enquêteurs ont tracé d’importants virements d’argent émis par la famille du fugitif vers Taïwan. Les surveillances ont montré que le trentenaire avait ensuite été expulsé du pays.

    « C’est un criminel espagnol, connu pour trafic de drogue et ancien proxénète qui s’était soustrait à la justice italienne », a indiqué vendredi Jean-Jacques Colombi, chef de la division des relations internationales de la police judiciaire française, rapporte Le Parisien.

    ACTU 17


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  • Seine-Saint-Denis : Un cultivateur de cannabis se vante dans un reportage sur M6 et termine en garde à vue

    La discrétion ne fait visiblement pas partie de ses qualités, pourtant requise lorsqu’on se livre à une activité illégale.

    Un habitant de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a accepté de participer à un reportage diffusé sur la chaîne de télévision M6, dans lequel il explique tranquillement se livrer à un trafic d’herbe de cannabis.

    Une aubaine pour les policiers qui l’ont reconnu, malgré les dispositions prises par le dealer et l’équipe de production pour qu’il puisse garder l’anonymat.

    Il se vante de voir son chiffre d’affaire exploser

    Dans ce reportage diffusé récemment à la télévision, l’homme se présentait comme un habitant d’Ile-de-France qui se livrait à la culture du cannabis à ses heures perdues, rapporte Le Parisien.

    Il affirmait que depuis l’entrée en vigueur des mesures de confinement, son chiffre d’affaire avait explosé, en raison de la désorganisation des circuits classiques de cette économie souterraine.

    Trois interpellations

    Une fois identifié, il a suffit aux policiers de mettre en place des surveillances discrètes autour de son domicile de Rosny-sous-Bois. Les enquêteurs l’ont interpellé en pleine transaction, jeudi vers 15 heures.

    Le dealer, sa compagne et un client venu s’approvisionner en herbe de cannabis ont été placés en garde à vue. Le commissariat local a été chargé des investigations par le parquet.

    145 plants de cannabis et de l’argent

    La perquisition de l’habitation menée dans la foulée a permis aux policiers de saisir 723 grammes d’herbe de cannabis et 1 800 € en espèces. Mais une seconde perquisition a été effectuée dans un pavillon de Roissy-en-Brie (Seine-et-Marne).

    Là, les enquêteurs ont découvert 145 plants de cannabis. Ils ont saisi précisément 93 petits plants et 52 gros pieds, relate le quotidien francilien, mais aussi 1 500 euros et tout l’attirail de la culture indoor : une tente et des lampes spécifiques, notamment. L’enquête se poursuit.

    ACTU 17


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  • Un policier marseillais s’est fait voler son arme de service à son domicile, par un homme qu’il avait rencontré sur internet. Des investigations ont permis de retrouver l’arme à feu ainsi que le voleur présumé.

     

    Un jeune gardien de la paix âgé de 22 ans, affecté à Marseille, a rencontré un homme de 30 ans sur internet, qu’il a convié à son domicile dans la nuit de dimanche à lundi. Au petit matin, l’invité a réclamé de l’argent à son hôte estimant avoir réalisé une prestation indique une source policière, confirmant une information de l’hebdomadaire Le Point.

    Le jeune policier a refusé de payer et lui a expliqué qu’ils s’étaient rencontrés sur un site de rencontres, et non sur une plateforme de prestations sexuelles tarifées. Mécontent, le trentenaire s’est emparé de l’arme de service du fonctionnaire, un Sig Sauer SP 2022 de calibre 9 mm, mais également des deux chargeurs de 15 cartouches, ainsi que de son iPhone 10, avant de disparaître.

     

    L’information faisant état de ce vol est remontée jusqu’au parquet de Marseille qui a ouvert une enquête avant de la confier aux enquêteurs de la sûreté départementale.

    Interpellé à Martigues, l’arme découverte chez lui

    Les enquêteurs ont mené un important travail de téléphonie pour retrouver le voleur. Ils ont d’ailleurs pu constater que ce dernier avait éteint le téléphone volé à hauteur de la commune de Châteauneuf-les-Martigues, sur l’autoroute A55, alors qu’il roulait en direction de Martigues. Un premier indice important.

     

    C’est justement dans cette commune, à une quarantaine de kilomètres de Marseille, qu’un suspect a été interpellé ce vendredi matin rapporte La Provence. Lors de la perquisition de son domicile, l’arme à feu du policier a été découverte.

    Le trentenaire a été placé en garde à vue. Quant au gardien de la paix, il risque désormais de faire l’objet d’une sanction administrative.

    ACTU 17


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  • Le chauffeur, un ressortissant allemand, revenait d’Espagne avec son chargement illicite. Il a été placé en détention provisoire.

    Un homme de 43 ans, de nationalité allemande, circulait au volant d’un fourgon immatriculé en Espagne, lorsqu’il a été interpellé à Marly (Nord) vendredi dernier.

    Les forces de l’ordre ont découvert 190 kg de cannabis dissimulés dans le véhicule, au milieu d’un chargement de produits de nettoyage, relate France 3.

    Placé en détention provisoire

    Au total, 158 kg d’herbe de cannabis et 30 kg de résine de cannabis ont été saisis. Au terme de sa garde à vue, le suspect a été déféré au parquet de Valenciennes et devait faire l’objet d’une comparution immédiate mercredi.

    En raison de la crise sanitaire actuelle, son procès a été reporté au 8 juillet prochain. Le quadragénaire a été placé en détention provisoire.

    Malgré la crise sanitaire, les trafics perdurent

    L’enquête a démontré qu’il remontait avec la drogue vers le nord de l’Europe. Une illustration de plus de la persistance des trafics de stupéfiants internationaux, malgré les mesures restrictives en vigueur liées à la pandémie de Covid-19.

    ACTU 17


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  • Au lendemain du cambriolage de son appartement à Toulouse (Haute-Garonne) ce mardi, un homme est revenu chez lui. Il a alors croisé un individu qui portait… ses habits et qui avait sa valise à la main.

    C’est une rencontre dont il se rappellera longtemps. Un homme qui habite dans le quartier Saint-Cyprien à Toulouse, a été cambriolé ce mardi raconte actuToulouse. Son appartement a été fouillé et mis sens dessus dessous. Après avoir découvert ce qu’il s’était passé, l’homme dépité a décidé d’aller passer la nuit chez sa compagne.

    Le lendemain, il a décidé de revenir chez lui pour ranger son logement. C’est alors qu’il a eu une surprise de taille. A quelques pas de son domicile, le Toulousain a croisé un homme habillé avec ses vêtements, qui tirait sa valise. Stupéfait mais sans perdre un instant, il a alerté la police.

     

    Les forces de l’ordre ont interpellé cet homme de 32 ans. En garde à vue, il a reconnu être l’auteur de ce cambriolage. Le mis en cause a été déféré.

     

    ACTYU  17


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  • Les forces de l’ordre ont été prises pour cible à Romans-sur-Isère près de Valence (Drôme), pour la troisième nuit de suite. Cette fois, un homme a projeté une voiture volée sur le poteau d’une caméra de surveillance. Il a été interpellé.

    Tensions et violences dans le quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère dans la nuit de mercredi à jeudi, en plein couvre-feu lié au confinement. Déjà au cours de la soirée, les policiers ont été confrontés à des rodéos urbains.

    Puis peu avant 2 heures du matin, les policiers municipaux ont repéré un homme au volant d’une Fiat Punto qui sortait à pleine vitesse de ce même quartier. Le véhicule avait été volé dans un garage vers 22 heures. Le conducteur a ensuite projeté la voiture sur le poteau d’une vidéo de surveillance.

    Les policiers interpellent le conducteur et sont attaqués

    Les policiers municipaux ont rapidement interpellé le chauffeur qui s’est rebellé. Ils ont alors été attaqués par une vingtaine d’individus. Ces derniers les ont caillassés. Dans le même temps, les agresseurs ont incendié la Fiat Punto volée. Plusieurs équipages de police nationale sont arrivés en renfort. Les émeutiers sont alors devenus plus nombreux, environ une quarantaine selon une source policière.

    Les forces de l’ordre ont fait usage de leurs lanceurs de balles de défense (LBD 40) pour se défendre ainsi que d’une dizaine de grenades lacrymogènes, alors qu’ils étaient visés par des jets de projectiles mais aussi par des tirs de mortiers d’artifice.

     

    Le conducteur de la voiture qui a pu être interpellé, a été placé en garde à vue. Ce dernier est âgé de 18 ans et conduisait sans permis de conduire.

    Des violences urbaines à répétition

    Déjà ce mardi soir, peu après 20 heures, les policiers municipaux avaient été pris pour cible par une dizaine de jeunes alors qu’ils mettaient fin à des rodéos sauvages à moto.

    Les forces de l’ordre avaient aussi été caillassées durant les deux nuit précédentes dans des épisodes de violences urbaines, mais également dans la nuit de vendredi à samedi, alors que le Ramadan débutait.

    ACTU 17

    Pourquoi on n'arrête pas tous ces voyous ?


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  • USA : Des dizaines de corps en décomposition découverts dans les camions d’un établissement funéraire

    Mercredi, des habitants d’Utica Avenue, à Brooklyn, ont appelé la police en raison d’une odeur de plus en plus nauséabonde. Celle-ci provenait de deux camions de déménagement garés à l’extérieur d’un établissement funéraire. En arrivant sur place, les secours ont fait une macabre découverte. A l’intérieur des véhicules se trouvaient des dizaines de corps en décomposition, rapporte le «New York Times». Selon le «New York Post», le nombre de cadavres pourrait se situer entre 40 et 60. Les défunts étaient empilés les uns sur les autres dans les camions. D’après un commerçant voisin, cela faisait plusieurs semaines que des corps étaient gardés à l’intérieur de camions, depuis le début de la pandémie de coronavirus, dont l’épicentre américain se trouve à New York. «Vous ne respectez pas les morts. Cela aurait pu être mon père, mon frère. On ne fait pas ça à un mort», a-t-il dénoncé.

     

    D’après une source citée par le «New York Times», l’entreprise funéraire avait commencé à stocker les cadavres dans des camions après que les congélateurs de l’établissement ont cessé de fonctionner. Le quotidien américain rappelle que les sociétés de pompes funèbres doivent garder les corps en attente d'inhumation ou de crémation dans des conditions appropriées qui empêchent l'infection. «Visiblement, ils ont essayé d’utiliser des camions de déménagement comme plan de secours. Mais c’est traumatisant pour les familles», a déploré Eric L. Adams, le président de l'arrondissement de Brooklyn.

    12 774 personnes mortes Covid-19 à New York

    L’entreprise mise en cause aurait indiqué aux enquêteurs que les corps entassés devaient être récupérés par les employés d’un crématorium mais que personne n’est venu les chercher. «C’est une chose d’être tué par le coronavirus, une autre d’être traité de façon inhumaine», a commenté un autre commerçant voisin. Une porte-parole du Département de la santé, Erin Silk, a déclaré que des dispositions avaient été prises pour les corps découverts, sans préciser où ils ont été emportés.

     

    Au moins 12 774 personnes ont succombé au Covid-19 dans la seule ville de New York depuis le début de la crise. Les services funéraires, morgues et cimetières ont vite été dépassés. Aux Etats-Unis, pays le plus touché, plus de 61 000 personnes ont été tuées par le virus.

    Paris Match


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  • Un enfant de deux ans et demi a échappé à la surveillance de ses parents et a chuté dans un plan d’eau. Malgré l’intervention des secours, il n’a pas survécu.

     

    Les pompiers ont été alertés mardi vers midi par la famille d’un garçonnet de deux ans et demi, à la suite d’un terrible accident qui s’est produit à Juigné-sur-Loire, au sud d’Angers (Maine-et-Loire). Ils venaient de retrouver l’enfant immergé dans une mare se trouvant sur un terrain privé proche de celui de sa famille, relate Ouest-France.

    Le garçonnet n’a pas survécu

    Les pompiers et le SAMU sont intervenus en urgence, suivis par les gendarmes et un élu de la commune. Sur place, ils ont trouvé le garçonnet inconscient qui venait de se noyer. Les secours ne sont pas parvenus à le réanimer. Il a été médicalisé par le SAMU et transporté en urgence absolue vers le CHU d’Angers, relate le quotidien régional.

    Une enquête en cours

    Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte. D’après les premières informations recueillies, le garçonnet aurait échappé à la surveillance de sa famille lorsque le drame s’est produit.

    Les investigations sont menées par la brigade de gendarmerie de Brissac, qui devront déterminer les circonstances exactes de ce drame. Une autopsie devait avoir lieu ce mercredi.

    ACTU  17


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  • Un vaste réseau de trafiquants de drogue a été démantelé en Galice (Espagne), a annoncé la police espagnole ce mardi. La saisie est impressionnante.

     

    Le réseau criminel en lien avec des trafiquants internationaux récupérait de la cocaïne en haute mer auprès d’eux. La police a mis un coup d’arrêt à ce trafic d’ampleur basé en Galice. 28 suspects ont été interpellés et 4 tonnes de cocaïne ont été saisies à cette occasion.

    Une coopération internationale

    Dans un communiqué, la police espagnole a indiqué que le réseau était constitué « de conducteurs de bateaux rapides expérimentés et de trafiquants connus ». Ils étaient au service « des plus importantes structures de trafic de drogue nationales ou internationales », précisent les autorités.

    Les enquêteurs espagnols ont pu compter sur le concours de l’agence fédérale anti-drogue américaine DEA (Drug Enforcement Administration) et les forces de l’ordre britanniques et colombiennes. Ils avaient été prévenus de l’arrivée imminente d’un bateau transportant la drogue.

    Pavillon togolais

    Le navire suspect était en mer depuis vingt jours lorsqu’il a été intercepté à vingt miles nautiques des côtes de Galice, alors qu’il était chargé de quatre tonnes de cocaïne. Quinze membres d’équipage, en majorité originaires du Bangladesh et du Népal, se trouvaient à bord du navire battant pavillon togolais.

    En parallèle, treize membres du réseau criminel ont été interpellés en Galice et plusieurs perquisitions ont été menées. Cette zone est connue pour être une porte d’entrée de la drogue en Europe. Cette opération coup de poing est un coup dur porté au trafic.

    ACTU 17


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  • Un sexagénaire a été abattu, ce lundi soir, alors qu’il tentait d’entrer au domicile de son ex-conjointe armé d’une hache.

     

    Le drame a eu lieu dans une propriété située rue aux Puges à Beautor (Aisne), ce lundi vers 22 heures. Un homme, âgé de 60 ans, a pénétré dans le jardin de cette maison où demeure son ex-femme, en passant par petit portillon.

    Il a emprunté un chemin longeant une dépendance pour atteindre la porte d’entrée. Muni d’une hache, il aurait tenté de fracturer la porte de l’habitation pour pénétrer à l’intérieur.

    L’habitant tire au pistolet

    Dans la maison se trouvait le nouveau compagnon de cette femme, qui s’est emparé d’un pistolet .22 long rifle et a fait feu sur le sexagénaire, nous indique une source policière. Les pompiers ont été alertés et sont rapidement intervenus sur place. Malgré leurs tentatives de réanimation, l’homme qui gisait devant la maison est décédé d’une blessure par balle au niveau du cou.

    Dans le même temps, les policiers du commissariat de Tergnier sont arrivés sur les lieux du drame. L’habitant, âgé de 56 ans, leur a avoué avoir tiré à une reprise sur l’homme, en voulant se défendre. Il a été interpellé et placé en garde à vue.

    Une enquête criminelle en cours

    Un périmètre de sécurité a été établi pour que les spécialistes de l’identité judiciaire procèdent aux constatations et relevés d’indices. Une hache se trouvait à côté du corps. Elle a été saisie, de même que le pistolet .22 long rifle, dans le cadre de cette enquête criminelle qui ne fait que débuter.

    Le procureur de la République de Laon s’est rendu sur place, ainsi qu’un juge d’instruction et un médecin légiste, qui a effectué les premières constatations sur le corps. Une proche a pu récupérer des affaires appartenant à l’habitante, avant que la maison ne soit placée sous scellé judiciaire.

    ACTU 17


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  • Un mineur a été interpellé par les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC), il venait d’agresser sexuellement une femme dans le parc du Sausset à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Il a reconnu avoir violé une femme au même endroit 48 heures plus tôt.

    Les policiers de la BAC ont rapidement réagi ce vendredi en fin d’après-midi et ont interpellé un jeune homme. Une femme venait d’être agressée sexuellement raconte Le Parisien. Elle avait été abordée par un homme dans le parc du Sausset d’Aulnay-sous-Bois. Ce dernier est devenu très insistant puis s’en est pris à elle.

    La victime est parvenue à lui échapper et s’est présentée au commissariat, où elle a donné la description de son agresseur. Ce dernier, qui est mineur, a été placé en garde à vue. Il affirme être âgé de 15 ans.

    Rouée de coups et violée

    Durant ses auditions, il a reconnu le viol d’une femme de 45 ans ce mercredi soir, dans ce même parc départemental. La quadragénaire l’a d’ailleurs formellement reconnu.

    Ce soir-là, vers 21h15, la victime se promenait seule dans le parc du Sausset lorsqu’elle a été violemment agressée par derrière. L’homme l’a roué de coups, lui faisant perdre connaissance, avant de la violer. Elle avait repris connaissance alors qu’elle était dénudée. Ses sous-vêtements avaient été volés tout comme son téléphone. Ses blessures avaient été constatées par l’unité médico-judiciaire (UMJ) et une enquête pour viol avait été immédiatement ouverte, puis confiée aux policiers du service départemental de la police judiciaire (SDPJ).

    Le mis en cause a été déféré et présenté à un magistrat à l’issue de sa garde à vue. Il a été mis en examen ce lundi et placé en détention provisoire.

    Une seconde enquête pour un viol en pleine rue à Montreuil

    Les enquêteurs du SDPJ 93 travaillent sur une autre affaire de viol. Des faits qui se sont déroulés ce jeudi soir dans la rue Buffon à Montreuil, peu après 22 heures.

    Une jeune femme de 20 ans a croisé la route de deux individus qui se sont jetés sur elle, avant de l’étrangler et de la trainer sous un porche se trouvant à proximité. L’un des agresseurs a ensuite abusé d’elle et les deux hommes ont pris la fuite.

    AZCTU 17

    Pourquoi pas de nationalité d'indiqué ?


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  • Trois migrants, originaires du Maroc et d’Algérie, sont poursuivis pour avoir notamment menacé avec un tournevis sous la gorge et une griffe de jardin, une femme de 71 ans et son fils handicapé de 47 ans à leur domicile.

     

    Vendredi matin, la police a interpellé trois migrants sans domicile fixe, âgés de 15 à 25 ans, alors qu’ils s’étaient assoupis dans une maison du quartier de l’aérodrome à Montauban (Tarn-et-Garonne). Ils y étaient entrés par effraction, relate La Dépêche. Les fonctionnaires ont mis fin à leurs méfaits, et ont pu les relier à un vol à main armée et plusieurs cambriolages.

    Un vol à main armée à domicile

    Durant leur garde à vue, les enquêteurs ont déterminé que le trio avait agressé une femme de 71 ans et son fils handicapé de 47 ans à leur domicile, mercredi. Les trois hommes avaient vraisemblablement voulu y entrer en pensant qu’il n’était pas occupé.

     

    Confrontés aux deux habitants, ils les avaient menacés avec un tournevis sous la gorge et une griffe de jardinier trouvés sur place. Le trio en avait profité pour faire main basse sur leurs biens de valeur avant de prendre la fuite, laissant les victimes sous le choc. Ils ont été interpellés deux jours plus tard, dans un autre logement.

    Au moins l’un d’entre eux déjà connu de la justice

    Les trois hommes sont originaires du Maroc et d’Algérie. Ils auraient passé clandestinement le détroit de Gibraltar et traversé l’Espagne avant d’arriver en France, relate le quotidien.

     

    L’un d’eux a déjà eu affaire à la justice pour des cambriolages commis durant le mois de mars en Haute-Garonne. L’adolescent âgé de 15 ans est soupçonné d’autres méfaits commis en région parisienne, se trouverait sur le territoire national depuis seulement deux mois. Le troisième, qui a obtenu le droit d’asile aux Pays-Bas, a affirmé avoir rencontré ses complices récemment dans un squat de Montauban.

    Mis en examen et placés en détention provisoire

    L’avocat des mis en cause a souligné leur grande précarité, faisant par ailleurs état d’un possible cas de gale concernant l’un d’entre eux. Leurs auditions, qui se sont déroulées avec un interprète en langue Arabe, n’ont pas permis de déterminer le rôle de chacun.

    Une information judiciaire a été ouverte pour faire la lumière sur les circonstances exactes des faits. La justice les poursuit pour vol à main armée et deux cambriolages en réunion. Les majeurs devront également s’expliquer sur le fait d’avoir livré de fausses identités aux policiers, et pour avoir refusé de se laisser prendre ses empreintes papillaires concernant l’un d’eux.

    Ce dimanche, l’adolescent a été incarcéré à l’établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Lavaur, ses complices ont été écroués dans les maisons d’arrêt de Beausoleil et de Seysses.

    ACTU  17

    De braves migrants !


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  • Un adolescent de 14 ans s’est tué alors qu’il était au volant d’une voiture, en voulant échapper à un contrôle de police. Son passager âgé de 16 ans est blessé.

    Il était environ 3 heures du matin dans la nuit de lundi à mardi lorsqu’un adolescent de 14 ans au volant d’une voiture, a voulu échapper à la police, dans le centre-ville de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) raconte France Bleu.

    Le conducteur aurait fait demi-tour en voyant un véhicule de police. Il aurait ensuite éteint tous les feux de son véhicule avant de finir sa course dans le mur d’un commerce, quelques centaines de mètres plus loin, dans la rue Ramond, près de la place de Jaude.

    L’adolescent de 14 ans est décédé. Son passager âgé de 16 ans a été légèrement blessé. Ce dernier ainsi que le défunt, étaient connus des services de police. En outre, le véhicule des adolescents serait signalé volé selon Le Parisien.

    Le parquet a de son côté précisé qu’il n’y avait pas eu de course-poursuite, les policiers n’ont même pas eu le temps de se lancer derrière le véhicule. Une enquête a été ouverte.

    ACTU 17


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  • Ataque terroriste ou geste d’un déséquilibré ? Youssef; un homme de 29 ans a foncé en voiture sur deux policiers lundi 27 avril en fin d’après-midi, à Colombes, dans les Hauts-de-Seine, les blessant grièvement. « L’Obs » fait le point sur le profil de l’assaillant.

     

    Lien de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/societe/policiers-bless%c3%a9s-%c3%a0-colombes-ce-que-lon-sait-de-lassaillant/ar-BB13j6b8?ocid=msedgntp

     

    Faut pas lui en vouloir; il a des problèmes psychiatriques !!!


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  • Mort de Henri Weber : l'hommage de François Hollande

     

    François Hollande et Laurent Fabius ont rendu hommage lundi à leur "ami merveilleux", l'ancien sénateur et eurodéputé socialiste Henri Weber, "une grande et belle figure de la gauche" décédée à l'âge de 75 ans du coronavirus.

     

    "Henri Weber était une grande et belle figure de la gauche. Il ajoutait à son érudition une clarté d’analyse, un goût de l’action et une fraîcheur militante avec un humour joyeux qui enchantait jusqu’à ses contradicteurs", a écrit l'ancien président de la République dans un communiqué.

    "C'est un homme généreux et un intellectuel lumineux qui disparaît aujourd'hui. Et aussi un ami cher", ajoute l'ancien chef de l'Etat.

    L'un des cofondateurs de la Ligue communiste révolutionnaire

    "Né au Tadjikistan dans une famille juive modeste, Henri aimait passionnément la liberté, la controverse intellectuelle et la France auxquelles il a consacré sa vie de roman", a salué le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius dans un communiqué.

    "Henri a été pour moi un ami merveilleux, un compagnon joyeux, courageux et précieux. Attentif, profond, drôle, séduisant, ouvert, érudit, infatigable bretteur et militant, ce rebelle chaleureux et réfléchi aura fréquenté tous les honneurs sans être prisonnier d’aucun", poursuit l'ancien président de l'Assemblée nationale.

    Universitaire, docteur et enseignant en philosophie politique, Henri Weber est l'un des cofondateurs de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) en 1969, après avoir été membre des Jeunesses communistes et avoir créé, aux côtés d'Alain Krivine, les Jeunesses communistes révolutionnaires en 1965.

    Membre du bureau politique de la LCR, il avait rejoint le PS au milieu des années 1980 et était entré en 1988 comme conseiller technique au cabinet de Laurent Fabius à la présidence de l'Assemblée nationale.

    "Henri, c'était mon frère choisi", a réagi à l'AFP le cinéaste Romain Goupil, un autre proche de Henri Weber qu'il avait rencontré à la LCR, en saluant "1965-2020, une si longue amitié".

    "+Mourir à 30 ans+ (documentaire réalisé par Romain Goupil sur son quotidien de militant d'extrême-gauche, Ndlr) ne conjure pas le drame de mourir maintenant", mais "pour nous Henri restera éternel", ajoute-t-il.

    Paris Match 


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