• Après être revenu de cueillette, un Alsacien a consommé pendant plusieurs jours de la colchique cuisinée avec du pesto. Il pensait qu’il s’agissait d’ail des ours et a été intoxiqué mortellement.

    Un Alsacien âgé d’une cinquantaine d’années est mort intoxiqué par la plante qu’il avait cueillie lors d’une sortie en forêt. Il avait ramassé de la colchique en pensant qu’il s’agissait d’ail des ours, rapporte L’Alsace.

    Avec la plante, le quinquagénaire avait cuisiné du pesto qu’il a consommé durant plusieurs jours, sans se douter qu’il était en train de s’intoxiquer gravement. « Cette personne n’avait pas de problèmes de santé particuliers » a précisé la docteure Christine Tournoud, du Centre antipoison Est basé à Nancy, ajoutant que l’homme est décédé le week-end dernier malgré son placement en réanimation.

    Un goût amer qui doit alerter

    Les feuilles de la colchique et de l’ail des ours se ressemblent lorsque les plantes viennent de sortir de terre et qu’elles ne sont pas très hautes, indique l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). En outre, la colchique et l’ail des ours poussent souvent aux mêmes endroits.

    La colchique contient de la colchicine. Il s’agit d’un médicament, employé pour traiter les crises de goutte, qui est toxique en cas de surconsommation, causant alors des troubles digestifs, puis des défaillances cardiaques et respiratoires.

     

    À la différence de l’ail des ours, la colchique présente une amertume notable. Si la plante goûtée est amère, il ne faut pas l’ingérer.

    ACTU 17


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  • Un couple de septuagénaires avait été violemment attaqué à son domicile dans le Gard le 12 avril dernier, par plusieurs individus qui avaient fait irruption. L’une des victimes est décédée ce week-end.

    L'agression avait été sauvage et particulièrement violente. Elle s’était produite vers 9 heures ce dimanche 12 avril. Plusieurs individus au visage dissimulé qui étaient armés d’au moins une barre de fer, ont fait irruption au domicile d’un couple de retraités à Saint-Geniès-de-Malgoirès, près de Nîmes (Gard).

    Le septuagénaire avait été violemment frappé à coups de barre de fer par les malfaiteurs. Ces derniers avaient fouillé la maison de leurs victimes à la recherches de biens à dérober, avant de prendre la fuite.

     

    La victime avait été très grièvement blessée et transportée à l’hôpital dans un état grave, alors que son pronostic vital était engagé. Elle a succombé à ses blessures au cours du week-end dernier. Sa compagne avait été plus légèrement blessée.

    Un mineur sous contrôle judiciaire au moment des faits

    Quatre suspects avaient été interpellés quelques heures après l’agression, avant d’être placés en garde à vue. Deux des mis en cause, âgés de 18 et 17 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire dans cette affaire.

    Le plus jeune qui est déjà connu de la justice, se trouvait sous contrôle judiciaire au moment des faits, pour un précédent vol avec violence alors qu’il était âgé de 16 ans indique Objectif Gard.

    ACTU 17

    Sûrement des chances pour la France !


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  • Meurthe-et-Moselle : Un homme fiché S et encagoulé s’introduit dans un commissariat pour «tester la sécurité»

    Les policiers de Mont-Saint-Martin, près de Longwy, ont interpellé un intrus au comportement étrange, dans l’enceinte du commissariat. Son acte aux contours obscurs fait l’objet d’une enquête.

    Une femme habitant dans un logement qui surplombe la cour de l’hôtel de police de Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle) a alerté les policiers, mardi vers 7 heures du matin. À l’opérateur du « 17 », elle a affirmé qu’elle venait d’apercevoir un individu se cacher dans le parking du commissariat, selon une source policière.

    Ni une, ni deux, les patrouilles du secteur ont été alertées de ce fait inquiétant et ont convergé immédiatement vers les locaux de police. Un équipage est rapidement arrivé au contact du policier se trouvant à l’accueil, et a entamé des recherches

    « Si j’avais eu une kalach […] j’aurais pu tuer plusieurs policiers »

    Les fonctionnaires ont localisé le suspect. Cet homme encagoulé, cachant son regard derrière des lunettes de soleil, tentait de se dissimuler derrière des véhicules de service en stationnement.

    Mis en joue par les policiers, il n’a pas résisté à son interpellation et s’est allongé au sol pour se laisser menotter. La palpation de sécurité n’a pas permis de trouver une quelconque arme sur lui.

     

    Lors de sa garde à vue, le suspect âgé de 42 ans a affirmé avoir agi pour tester la sécurité des locaux de police. Défavorablement connu de la justice, il a déclaré aux enquêteurs : « Si j’avais eu une kalach et une trentaine de munitions, j’aurais pu tuer plusieurs policiers », selon cette même source.

    Fiché S

    Les vérifications ont montré que le suspect fait l’objet d’une fiche S (Sûreté de l’état, ndlr) depuis plusieurs années. Une perquisition a été menée à son domicile et les enquêteurs y ont notamment découvert des munitions d’arme à feu. Il se trouvait toujours en garde à vue ce mercredi.

    Cette affaire, pour le moins inquiétante, a poussé le syndicat Unité SGP Police FO à demander qu’un audit sécurité soit mené dans tous les commissariats de Meurthe-et-Moselle.

    ACTU 17


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  • Plusieurs tombes ont été profanées dans un cimetière niçois. Une enquête a été ouverte pour retrouver le ou les auteurs de ces actes.

    Une dizaine de croix en bois, installées sur des tombes du carré 21 du cimetière de l’Est à Nice (Alpes-Maritimes), ont été arrachées et jetées au sol. La profanation a été constatée ce mercredi en fin de matinée, alors que le cimetière est fermé au public depuis le début de la crise sanitaire du coronavirus.

    Le maire de Nice, Christian Estrosi, a dénoncé cet acte de vandalisme ciblé qualifié d’« intolérable » et qui constitue un « outrage inadmissible ». Il a adressé un message aux familles : « Je tiens à témoigner mon entier soutien et ma profonde solidarité à toutes les familles touchées ».

    Une plainte doit être déposée sous peu par la municipalité, a indiqué l’édile dans un communiqué. La police a procédé à des constatations et une enquête a été ouverte pour tenter de retrouver d’identifier le ou les auteurs de ces actes.

    ACTU 17

    Pas grave, ce sont des tombes chrétiennes !


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  • Un juge d’instruction a accepté la demande de remise en liberté d’un des trois suspects dans l’affaire du meurtre sauvage d’Alaïs, 18 ans, à Montpellier (Hérault) le 9 février dernier. Une décision incompréhensible pour la famille de la victime.

    Mis en examen et placé en détention provisoire comme deux autres suspects dans l’enquête sur le meurtre d’Alaïs à Montpellier, un homme a été libéré par la justice en raison de la pandémie de coronavirus. Une décision qui a fait bondir le père de la jeune femme de 18 ans.

    Le mis en cause a été remis en liberté à la fin du mois de mars, dans le cadre de la crise sanitaire de Covid-19, par le juge d’instruction remplaçant du dossier relate Le Parisien. La famille d’Alaïs l’a appris ce mardi matin lors d’une audience devant la chambre d’instruction de Montpellier, qui examinait l’appel du rejet de remise en liberté d’un autre suspect dans ce même dossier.

     

    Ce meurtre sauvage a eu lieu dans la nuit du 9 au 10 février. Alaïs, 18 ans, a été rouée de coups de poing et de pied, poignardée et étranglée. Elle avait été retrouvée, gisant dans son sang, dans un appartement situé à proximité de la place de la Comédie à Montpellier. La jeune femme n’a pas survécu à ses blessures. Elle est décédée à l’hôpital où elle avait été conduite dans un état critique.

    Les enquêteurs du Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier avait alors interpellé un couple puis un troisième suspect. Ces derniers ont été par la suite mis en examen et placés en détention provisoire. C’est ce troisième suspect, âgé de 25 ans et surnommé « Clando » qui a été remis en liberté. Le jeune homme avait assisté au meurtre dans l’appartement et s’était présenté de lui-même aux enquêteurs du SRPJ, reconnaissant sa participation aux faits.

    Le parquet n’a pas fait appel

    Me Luc Abratkiewicz, l’avocat du père d’Alaïs évoque « un dysfonctionnement judiciaire » auprès du quotidien francilien, précisant qu’il n’a pas été informé de cette remise en liberté.

    D’autre part, le parquet n’a pas fait appel de cette décision. Interrogé par le journal, il indique ne pas s’être opposé au choix du juge d’instruction, face à la situation des établissements pénitentiaires durant la crise du Covid-19. « Les deux établissements du département dépassent encore leurs capacités d’accueil », a expliqué le procureur de la république, Fabrice Belargent, ajoutant que le mis en cause respecte son contrôle judiciaire.

    Le suspect de 25 ans avait lui-même rédigé sa demande de remise en liberté en mentionnant qu’il craignait d’être contaminé par le coronavirus.

    « Je ne sais pas si ce juge a seulement regardé le dossier, ou alors s’il est totalement incompétent »

    C’est un juge d’instruction remplaçant une collègue enceinte, initialement désignée, qui a apporté une réponse favorable à la demande du détenu. « Je ne sais pas si ce juge a seulement regardé le dossier, ou alors s’il est totalement incompétent », s’est exclamé le père de la victime, au Parisien« Ce suspect, déjà connu de la justice, a assisté au massacre de ma fille, et on le libère tout juste deux mois après au nom d’une épidémie, c’est scandaleux », a-t-il poursuivi.

    Le magistrat à l’origine de cette libération a dans le même temps « refusé la mise en liberté d’un autre suspect dans le dossier, qui n’avait servi pour le coup que de chauffeur aux deux autres et n’a pas assisté au meurtre d’Alaïs », ajoute Me Luc Abratkiewicz. Vice-président chargé de l’instruction au tribunal de grande instance de Montpellier depuis juillet 2019, ce juge avait déjà « défrayé dans le passé la chronique judiciaire » explique le quotidien.

    Tuée par son ancien proxénète

    Alaïs s’était installée à Montpellier quelques semaines avant son meurtre, avec deux amies. Les trois jeunes femmes avaient mis en ligne des annonces pour se prostituer et avaient de nombreux clients.

    La jeune femme de 18 ans originaire de Seine-et-Marne a vraisemblablement été tuée car elle voulait s’éloigner de son ancien proxénète, Quentin R., 28 ans. L’homme déjà condamné à 15 reprises par le passé, notamment pour violences et menaces de mort, a reconnu lors de ses auditions qu’il s’en était pris à la jeune femme dans le but de récupérer de l’argent.

    ACTYU 17


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  • Un homme de 30 ans a été mortellement atteint par un coup de couteau dans la nuit de mardi à mercredi à son domicile de Goussainville (Val-d’Oise). Sa compagne a été interpellée et placée en garde à vue.

    Le drame s’est déroulé vers 03h30 du matin à Goussainville, lors d’un violent différend entre un couple qui était « fortement alcoolisé » indique une source proche de l’enquête au Figaro.

    L’homme âgé de 30 ans est sorti du domicile « en titubant » et a fait appel aux secours sans pouvoir expliquer ce qu’il s’était passé, puis s’est effondré. Ce dernier est décédé, il a été poignardé au niveau du thorax.

    Elle affirme que son compagnon s’est poignardé tout seul

    La compagne du défunt âgée de 35 ans, a été interpellée et placée en garde à vue. Elle avait nettoyé le logement et notamment le canapé, sans parvenir à effacer les traces de sang qui ont été constatées par les policiers.

    Dans ses premières déclarations aux enquêteurs, la mise en cause a affirmé que son compagnon s’était lui-même poignardé. Les investigations devront définir ce qu’il s’est exactement passé.

    ACTU17


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  • Les policiers ont procédé au contrôle d’une automobiliste qui était habillée comme une infirmière et qui avait un comportement suspect, ce mardi à Paris. Cette dernière faisait des livraisons de cocaïne dans la capitale.

    Confrontés au confinement, les dealers usent de nombreux stratagèmes pour continuer à livrer leurs clients. Le flair des policiers à vélo a permis l’interpellation d’une femme qui réalisait des transactions de drogue ce mardi, en plein cœur de Paris.

    Une patrouille de police à vélo se trouvait sur le boulevard Montmartre dans le IIe arrondissement vers 15h45. Les fonctionnaires ont aperçu une femme au volant d’une Ford Fiesta qui semblait perdue. La conductrice ne cessait de regarder son téléphone qui lui servait de GPS. Ils ont décidé de procéder à son contrôle et se sont aperçus qu’elle portait une blouse d’infirmière avec un badge où le nom d’une femme était inscrit.

     

    La conductrice a été invitée à présenter son permis de conduire et la carte grise du véhicule. Elle n’avait aucun des deux documents. Quant à son attestation de sortie, elle n’était pas remplie. Au cours du contrôle, les policiers ont remarqué de nombreuses alertes de l’application Snaptchat, souvent utilisée par les dealers, sur le téléphone de la contrevenante.

    La jeune femme a donné verbalement son identité, qui n’était pas celle inscrite sur le badge de sa blouse, et a indiqué avoir 25 ans, précisant être domiciliée à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne). Interrogée sur le motif de son déplacement durant le confinement, cette dernière s’est emmêlée dans ses propos.

    Elle avoue qu’elle ne travaille pas dans le domaine médical

    Devant l’état de stress de la conductrice, les policiers lui ont demandé si elle n’était pas en train de livrer des produits stupéfiants. Cette dernière est rapidement passée aux aveux. Elle a sorti un sachet plastique de son soutien-gorge qui contenait quatre pochons de cocaïne et l’a remis aux forces de l’ordre. Elle a alors été interpellée avant d’être placée en garde à vue.

    La mise en cause transportait une quinzaine d’autres pochons de cocaïne soit une vingtaine de grammes en tout, mais également plusieurs billets de 50, 20 et 10 euros, pour un total de 370 euros.

     

    Lors de son audition, elle a reconnu qu’elle était en train de livrer de la drogue au domicile de plusieurs clients et qu’elle avait mis cette blouse d’infirmière avec ce badge pour passer inaperçue, alors qu’elle ne travaille pas dans le domaine médical.

    De faux livreurs Deliveroo ou Uber

    Une technique similaire à celle utilisée par des dealers à deux-roues qui portent des vestes de la société Deliveroo ou Uber, en espérant ne pas être contrôlés par les forces de l’ordre. Encore ce lundi dans le IVe arrondissement, un homme à vélo qui avait un sac de transport Deliveroo a fait l’objet de vérifications. Il a finalement été interpellé et placé en garde à vue puisqu’il transportait un peu plus de 300 grammes de cannabis et 6 grammes de cocaïne. Il a rapidement reconnu qu’il ne travaillait pas pour cette société et qu’il avait acheté ce sac pour faire ses livraisons de drogue, en espérant ne pas se faire remarquer.

    Les interpellations de ce type se multiplient dans la capitale depuis le début des mesures de confinement, mises en place pour freiner la pandémie de coronavirus. Dans le secteur du Forum des Halles (Ier) le même jour, un homme qui marchait rue Saint-Denis a fait l’objet d’un contrôle de la part des policiers de la Brigade territoriale de contact (BTC). Ce dernier transportait 300 grammes de résine de cannabis dans sa sacoche. Il a été placé en garde à vue.

    « En ce moment, toutes les techniques sont bonnes pour les dealers qui veulent passer inaperçus dans Paris », nous explique une source policière. « Ils essaient aussi de plus en plus d’envoyer des femmes pour effectuer les livraisons à domicile, pensant que cela sera moins flagrant ». Une stratégie qui n’a en tout cas pas fonctionné pour cette femme déguisée en infirmière.

    ACTU17


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  • Le corps sans vie d’une femme a été découvert dans une poubelle. Son compagnon a été interpellé et placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête criminelle.
     

    La macabre découverte a eu lieu mardi vers 13h30, au bout d’un long chemin boisé, au niveau de la rue Henri-Durre, à Lourches (Nord). Alertés, les policiers sont intervenus et ont constaté la présence du cadavre d’une femme aux abords du terril Schneider, un lieu où se trouvent des carcasses de véhicules incendiés et des déchets, relate La Voix du Nord.

    Le corps sans vie d’une trentenaire se trouvait dans une poubelle. Un périmètre de sécurité a été établi et les techniciens de l’identité judiciaire ont procédé aux relevés et constatations sur place, dans le cadre d’une enquête criminelle.

    Disparue depuis plusieurs jours

    Le décès de la victime serait récent, mais ne daterait pas du jour de la découverte. Une autopsie doit être pratiquée pour en savoir plus sur les causes de sa mort et la dater plus précisément. D’après des informations recueillies dans le voisinage, la trentenaire n’avait plus été vue depuis le mois d’avril.

    Seul à son domicile, son chien qui hurlait avait d’ailleurs dû être pris en charge par des pompiers. « La voisine n’était pas là… Ça ne lui ressemblait pas du tout de partir comme cela… » a témoigné une riveraine auprès du quotidien régional.

     

    Il s’agit « très vraisemblablement d’un féminicide » a indiqué une source proche de l’enquête au journal Le Parisien. En début d’après-midi, les policiers ont interpellé le compagnon de la victime, âgé de 21 ans. Il a été placé en garde à vue. Le jeune homme serait « arrivé depuis peu sur le territoire », et n’est pas connu de la justice pour des violences conjugales.

    ACTU


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  • Un automobiliste a refusé de se soumettre à un contrôle du confinement à Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne), ce dimanche. Il a foncé sur une policière et pris la fuite avec autre fonctionnaire de police accroché à la portière.

    Un contrôle de police a failli virer au drame, ce dimanche vers midi, sur la commune de Montereau-Fault-Yonne. Un équipage de policiers procédait à un contrôle d’attestations de déplacement dérogatoire, lorsque le conducteur d’une Volkswagen Polo est arrivé sur le dispositif.

    Il a fait mine de se plier aux injonctions des fonctionnaires, mais n’a pas pu présenter d’attestation, ni de pièce d’identité, ni même de permis de conduire. Interrogé sur son identité, il a décliné un nom. Les policiers ont alors entrepris de l’inviter à les suivre au commissariat pour procéder à une vérification, relate La République de Seine-et-Marne 

    Il fonce sur une policière

    Placé côté conducteur, un fonctionnaire a passé sa main pour retirer la clé de contact de la voiture, mais l’individu a redémarré en trombe. Il a foncé sur une policière, qui a esquivé le véhicule in extremis.

    Le chauffard a parcouru une vingtaine de mètres avec le fonctionnaire accroché à la portière. Sa course a pris fin contre une butte de terre, et le fuyard a poursuivi sa course à pied. Il a escaladé un grillage pour se soustraire aux policiers.

     

    Dans le même temps, des renforts des commissariats de Moret et de Fontainebleau sont intervenus, de même que la police municipale de Montereau. Ils ont bloqué les accès de différents entrepôts situés dans le secteur, avant de repérer le suspect qui se trouvait sur le toit d’un entrepôt désaffecté.

    Sans permis, il faisait l’objet d’une fiche de recherche

    Les fonctionnaires de police arrivés en nombre sont parvenus à interpeller le fuyard avec l’aide de leur collègue blessé dans l’intervention. Ce dernier s’est vu délivrer 3 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

    Le mis cause est un jeune majeur de nationalité russe et appartenant à la communauté tchétchène, domicilié sur la commune. Il a été placé en garde à vue. Les enquêteurs ont pu déterminer qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire et qu’il faisait l’objet d’un mandat de recherche pour effectuer une peine de 8 mois de prison ferme.

    Par ailleurs, un autre jugement de deux ans de prison ferme lui a été notifié. Un mandat de dépôt a été délivré à son encontre et il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. Son véhicule a été placé en fourrière. Il doit être jugé pour « conduite sans permis, violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique avec arme par destination » et « refus d’obtempérer ». Une audience a été fixée au mois de janvier prochain.

    actu 17


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  • Etats-Unis : Un enfant de 5 ans intercepté sur l’autoroute au volant de la voiture de ses parents

    Un garçon de 5 ans, avec 3 dollars en poche, conduisait la voiture de ses parents et comptait se rendre en Californie (Etats-Unis) pour acheter une Lamborghini.

    Ce lundi vers 12h15, un policier de la Highway Patrol de l’Utah, la police de l’autoroute de l’Etat, a aperçu un véhicule qui circulait très lentement, entre 30 et 50 km/h, en pleine autoroute. Il s’est alors porté à sa hauteur en pensant avoir affaire à un conducteur ivre, et l’a fait s’arrêter sur le bas-côté. Le conducteur a obtempéré, et le policier a eu la surprise de découvrir un enfant au volant.

    Le contrôle routier mémorable a été enregistré par la caméra embarquée dans le véhicule de police. Lorsque l’agent Rick Morgan a demandé son âge au jeune conducteur ce dernier lui a répondu avoir 5 ans. « Wow !… Où as-tu appris à conduire une voiture ? » lui a-t-il ensuite demandé, n’en croyant pas ses yeux.

    Le policier a raconté son intervention à la chaîne de télévision KUTV : « Il était assis sur le bord avant du siège pour pouvoir atteindre la pédale de frein afin de maintenir la voiture arrêtée pendant que je me tenais là ».

     

    L’enfant a expliqué à l’agent qu’il avait l’intention de se rendre en Californie pour s’acheter une Lamborghini. Il s’était disputé avec sa mère avant de s’emparer de son SUV pour procéder lui-même à l’achat. Muni de trois dollars en poche, le garçonnet ne savait sans doute pas qu’une Lamborghini neuve se négocie à 200 000 dollars selon le modèle.

    Les parents ont affirmé que c’était la première fois qu’il conduisait

    Le policier a indiqué qu’il appartiendra au procureur local de décider s’il y a lieu de poursuivre les parents, en précisant qu’aucun blessé, ni aucune dégradation de matériel, n’étaient à déplorer.

    Les parents avaient laissé le garçonnet à la garde de son frère pendant leur absence. Ils ont déclaré aux enquêteurs qu’il n’avait jamais conduit et que ce genre d’incident n’avait jamais eu lieu auparavant.

    actu 17


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  • Un homme âgé de 22 ans a été tué à coups de couteau ce lundi après-midi à Firminy, près de Saint-Étienne (Loire). Deux suspects ont été placés en garde à vue.

    Tout serait parti d’un conflit de voisinage. Un homme de 22 ans a été mortellement poignardé sur le parking privé de l’immeuble les Floralies à Firminy, dans le quartier de Firminy-Vert. « J’ai vu le corps d’un homme étendu à terre entre deux voitures, en face de l’entrée du numéro 6 », raconte un témoin interrogé par Le Progrès.

    Les sapeurs-pompiers sont rapidement arrivés sur place, puis le SAMU, mais les secours n’ont rien pu faire pour sauver la victime. Une enquête a immédiatement été ouverte et l’hypothèse d’un différend de voisinage qui a dégénéré a vite été privilégiée par les policiers qui ont pu interroger des riverains.

    La victime était « le petit-fils de l’une des deux familles impliquées »

    « Les faits seraient la conséquence d’un contexte de tensions exacerbées de voisinage », a expliqué le procureur de la République. La victime a été tuée de deux coups de couteau « au niveau de la région cardiaque ». Le jeune défunt de 22 ans habitait à Saint-Étienne, il « était le petit-fils de l’une des deux familles impliquées dans ce différend de voisinage », a aussi détaillé le parquet.

    Un premier suspect de 25 ans a été interpellé à son domicile « sans difficulté », tandis que le second de 20 ans qui a pris la fuite dans un premier temps, s’est finalement rendu à la police.

     

    Les investigations ont été confiées à la brigade criminelle de la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP). Les deux mis en cause ont été placés en garde à vue. Les policiers vont désormais devoir déterminer les responsabilités de chacun dans cette affaire criminelle.

    ACTU 17


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  • Une jeune femme a sauté par la fenêtre du domicile familial pour échapper à son père menaçant et armé. Sa chute a été amortie par un fonctionnaire de police venu à son secours.

    Un drame a sans doute été évité grâce à l’intervention des policiers, ce dimanche vers 22h40, dans la rue du Perrier à Torcy (Seine-et-Marne). Les policiers ont été alertés par un SMS envoyé par une jeune femme au 114, qui se disait menacée par son père armé, rapporte Le Parisien.

    Le service joignable au 114 permet d’activer les secours quand il n’est pas possible de parler, soit à cause d’un handicap, soit en raison de la situation d’urgence qui ne le permet pas.

     

    Lorsque les policiers sont arrivés sur place, la jeune femme de 21 ans était à la fenêtre du domicile familial situé au 2ème étage. Elle leur a expliqué qu’elle était menacée par son père armé d’un marteau. Alors qu’un policier de la brigade anticriminalité (BAC) de Noisiel est resté à maintenir le dialogue avec elle, ses collègues sont montés dans les étages pour atteindre l’appartement.

    Le fonctionnaire se précipite pour amortir sa chute

    Apeurée après les menaces de son père et retranchée dans sa chambre, la requérante s’est finalement défenestrée et elle est tombée de 7 mètres. En contrebas, le policier s’est précipité pour amortir sa chute et tous deux ont été blessés.

     

    Dans le même temps, les autres fonctionnaires de police ont pénétré dans le logement où se trouvaient son père, âgé de 59 ans, et sa mère. Le mis en cause a été interpellé et placé en garde à vue pour « menace avec arme ».

    La jeune femme et le policier hospitalisés

    La victime souffrait d’une fracture à la jambe droite et a été conduite à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil dans le Val-de-Marne. Le policier, qui a été blessé en amortissant sa chute, présentait des hématomes au visage et souffrait de maux de crâne. Il a été hospitalisé au Grand hôpital de l’Est francilien, à Jossigny.

    Le père de la jeune fille ne lui a pas porté de coup. Face aux enquêteurs, il a reconnu l’avoir menacée avec un marteau. L’enquête se poursuit.

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  • La macabre découverte a été faite par un agent de sécurité en patrouille pour les Yachts de Paris. Son attention a été attirée par une odeur suspecte détectée à son passage.

    Les secours ont été alertés, ce dimanche, par un agent de sécurité des Yachts de Paris. Il venait d’apercevoir un corps coincé entre deux bateaux, au Port Henri-IV, situé face à la pointe de l’île Saint-Louis à Paris IVème, relate Le Parisien. Vers 13h50, les policiers spécialisés de la Brigade fluviale ont plongé et ont remonté la victime.

    Le corps de cet homme âgé entre 20 et 40 ans était immergé, face vers le fond de la Seine. Il était accroché sous la coque de deux gros bateaux de croisière, le Don Juan et le Henri IV, qui proposent des repas gastronomiques sur la Seine. L’extraction du corps, en état de décomposition avancée, a été difficile. 

    Une attestation de sortie dérogatoire sur lui

    Une fois le cadavre repêché, des constations ont été effectuées par la police technique et scientifique (PTS). Un officier de police judiciaire et des enquêteurs du 1er District de police judiciaire (DPJ) se sont rendus sur place.

    Dans les poches du défunt, les enquêteurs ont retrouvé un passeport étranger, illisible, et une attestation de sortie dérogatoire qui daterait le décès après le 17 mars.

     

    La victime portait un survêtement et une écharpe. Cette homme dont l’identité et l’âge exact n’ont pas pu être déterminés, était en possession d’une paire de lunettes de soleil, d’un téléphone portable et d’un briquet.

    « Aucune trace suspecte sur le corps »

    Le corps a été pris en charge par le service des pompes-funèbres et transporté vers l’Institut médico-légal (IML) situé sur le quai de la Rappée dans le XIIème arrondissement. Une autopsie devait être pratiquée ce lundi. « Il n’y a aucune trace suspecte sur le corps », a indiqué une source policière au quotidien francilien.

    L’agent de sécurité qui a alerté les autorités a été conduit au sein du commissariat du IVème arrondissement, où il a été auditionné en tant que témoin, sur les circonstances de sa découverte. L’enquête se poursuit pour « recherche des causes de la mort ».

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  • Un nouveau-né de quelques jours a été découvert dans un sac plastique ce dimanche soir, à Roanne (Loire). Une enquête a été ouverte pour homicide.

    Terrible découverte vers 20h30 ce dimanche soir le long de la Loire, à Roanne. Deux promeneurs ont trouvé un sac plastique noir qui flottait sur le fleuve et qui était accroché à des branches, à environ 1 km en aval du pont de la Loire indique Le Progrès. Il s’agit d’une zone naturelle qui est actuellement interdite au public suite aux mesures de confinement.

    Le sac semblait contenir quelque chose et les promeneurs ont décidé de l’ouvrir. Ces derniers ont été incommodés par l’odeur et ont découvert qu’il contenait le corps sans vie d’un nourrisson, légèrement en état de décomposition. Ils ont alerté la police.

    Un sac « jeté depuis un certain temps »

    Le procureur de Roanne, Abdelkrim Grini, a indiqué à France Bleu que le sac avait été « jeté depuis un certain temps » et qu’il « a dû dériver sur une centaine de mètres, ou quelques kilomètres ». Les promeneurs pensent par ailleurs avoir aperçu « un petit bout du cordon ombilical », a précisé le parquet. Il s’agirait d’un bébé de seulement quelques jours, de sexe féminin.

    Les techniciens de la police technique et scientifique se sont rendus sur place afin de procéder à des premiers prélèvements. Le corps du bébé a ensuite été transporté à l’institut médico-légal de Saint-Étienne. Une autopsie va être pratiquée ce mardi afin d’en savoir plus sur les circonstances du décès de ce nouveau-né.

     

    A ce stade des investigations, une enquête a été ouverte pour homicide sur mineur de moins de 15 ans.

    ACTU  17


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  • Bagnolet : Les policiers découvrent près de 65 kg de cannabis et 385 000 euros dans un appartement

    Les policiers, bien renseignés, ont réalisé une perquisition dans un appartement de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) ce dimanche matin et ont mis la main sur plusieurs dizaines de kilos de résine de cannabis, ainsi que sur de nombreuses liasses de billets. Un homme a été placé en garde à vue.

    La drogue ainsi qu’une petite fortune étaient dissimulées dans un appartement de la rue Anatole-France, à Bagnolet. Les policiers de la sûreté territoriale (ST) de Seine-Saint-Denis ont agi dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte pour trafic de stupéfiants, avec l’appui de leurs collègues du Groupe de soutien opérationnel (GSO) du département.

    Le travail d’investigations des enquêteurs a permis d’obtenir de nombreuses informations. C’est ainsi qu’une perquisition a été organisée ce dimanche matin vers 09h30 dans le logement suspect, avec l’accord du parquet.

     

    Un homme de 30 ans qui se trouvait dans l’habitation a été interpellé et placé en garde à vue. Ce dernier est déjà connu des services de la justice. Les policiers ont ensuite fouillé cet appartement nourrice dans lequel se trouvaient aussi une femme et des enfants.

    Au total, plusieurs dizaines de ballots contenant de la résine de cannabis ont été saisis, pour un poids total de 64,880 kg. 384 960 euros en numéraire ont aussi été découverts dans l’habitation. L’enquête va désormais se poursuive et la femme qui était présente dans le logement est convoquée ultérieurement pour s’expliquer.

    Près de 50 kg de cannabis découverts il y a un an

    Il y a un an presque jour pour jour, les policiers de la Compagnie de sécurisation et d’intervention de Seine-Saint-Denis (CSI 93) en patrouille dans les parties communes d’un immeuble situé dans la cité de la Capsulerie à Bagnolet, avaient découvert près de 50 kg de résine de cannabis dans un appartement.

    Un homme de 29 ans avait été interpellé et l’enquête avait été confiée aux enquêteurs du Service départementale de police judiciaire de Seine-Saint-Denis (SDPJ 93).

    ACTU 17

    On se demande qui peuvent être ces trafiquants ? ! 


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  • Deux véhicules sérigraphiés de gendarmerie ont été incendiés dans la caserne de gendarmerie de Nivillac (Morbihan), dans la nuit de dimanche à lundi.

    Il était environ 3 heures du matin dans la nuit de dimanche à lundi lorsque les gendarmes de la caserne de Nivillac ont constaté que deux de leurs véhicules étaient en flammes, sur le parking. Les sapeurs-pompiers ont maîtrisé l’incendie avant que d’autres véhicules ne soient touchés.

    « Il n’y a pas eu de revendication, on n’exclut rien », a déclaré le procureur de la République de Vannes François Touron, cité par Le Figaro. Le ou les auteurs n’ont pas laissé de revendication, ni aucun sigle ou tag a indiqué le magistrat.

     

    Une enquête a été ouverte et confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Vannes. La piste criminelle est privilégiée a ajouté le procureur.

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  • Une policière âgée de 56 ans s’est donné la mort ce dimanche au Havre (Seine-Maritime) apprend-on ce lundi matin.

    Le drame s’est produit ce dimanche après-midi. Une policière de 56 ans affectée au commissariat du Havre, qui était en repos, a mis fin à ses jours avec son arme de service, dans le parc de Rouelles. Une personne a découvert le corps sans vie de la quinquagénaire vers 16 heures, avant d’alerter le police.

    La défunte était mère de quatre enfants, tous majeurs, selon une source policière.

     

    « La Police Nationale de la Seine Maritime est une nouvelle fois endeuillée par le suicide d’une policière », peut-on lire sur le compte Twitter de la police nationale du département. Une enquête a toutefois été ouverte afin de déterminer ce qu’il s’est exactement passé.

    Il s’agirait du 14ème suicide dans les rangs de la police nationale depuis le 1er janvier, alors que 59 fonctionnaires ont mis fin à leurs jours l’an passé selon le ministère de l’Intérieur. Le mois dernier, au moins trois policiers se sont suicidés.

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 a été mise en place par le ministère de l’Intérieur pour les forces de l’ordre, elle est joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

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  • Un homme a poignardé quatre personnes dans le centre de Toulouse (Haute-Garonne) ce dimanche soir, lors d’une violente rixe. Trois sont grièvement blessées et leurs jours sont en danger.

    Les faits se sont déroulés vers 19h45 ce dimanche soir, à proximité de la station de métro Jean-Jaurès, en pleine rue, à Toulouse. Une violente bagarre a éclaté entre plusieurs individus qui sont des sans domicile fixe, pour un motif futile selon une source policière.

    L’un des protagonistes a utilisé un couteau pour poignarder quatre hommes dont trois sont grièvement blessés. L’agresseur présumé a été maîtrisé et interpellé par les policiers municipaux. Il a été placé en garde à vue.

     

    Selon une source proche de l’enquête citée par La Dépêche, le mis en cause n’aurait pas hurlé « Allah Akbar » comme ont pu le laisser entendre des témoignages.

    Par ailleurs, l’homme interpellé n’est pas fiché « S » et n’est pas connu des services de renseignements. Ce dernier ne parle par ailleurs qu’anglais et arabe, compliquant son audition par les policiers.

    Trois hommes entre la vie et la mort

    Quant aux quatre blessés, ils ont été évacués à l’hôpital par les sapeurs-pompiers. L’un a été blessé à la carotide et conduit à l’hôpital Purpan alors qu’il était en état d’urgence absolue. Son pronostic vital est engagé.

    Les deux autres blessés graves étaient inconscients lorsqu’ils ont été pris en charge et transportés à l’hôpital Rangueuil. Leurs jours sont en danger. Le quatrième homme est moins gravement touché et a reçu plusieurs points de suture. Ce dernier est âgé de 44 ans. Deux autres des victimes sont âgées de 32 ans selon France Bleu.

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