• Un jeune homme est soupçonné d’avoir commis une agression sexuelle sur une étudiante et filmé ou photographié les fesses nombreuses jeunes femmes croisées dans les rues de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).

    Un étudiant de 20 ans a été placé en détention provisoire, ce vendredi, en attendant son procès qui doit se tenir au début du mois de juillet au tribunal correctionnel de Clermont-Ferrand, dans le cadre d’une comparution à délai différé pour « agression sexuelle » et « atteinte à la vie privée ».

    Il est soupçonné d’avoir filmé ou photographié à leur insu des centaines de jeunes femmes dans les rues de Clermont-Ferrand, rapporte La Montagne. L’enquête a démarré après le dépôt de plainte d’une étudiante qui dénonçait des faits d’agression sexuelle. Elle accuse un jeune homme de l’avoir suivie dans la rue, puis de s’être collé à elle.

    Il nie les faits

    En charge des investigations, les policiers de la Sûreté départementale ont interpellé le suspect, jeudi dernier. Au cours de sa garde à vue, le mis en cause a nié les faits qui lui sont reprochés. Toutefois, les enquêteurs ont analysé le contenu de son smartphone et y ont découvert près de 700 photos et vidéos prises à la volée dans la rue.

    Les images ont été vraisemblablement immortalisées à l’insu des jeunes femmes qui y figurent. Le jeune homme aurait pris les clichés et les vidéos avec son téléphone, ces dernières semaines. Il zoomait alors « quasiment exclusivement » au niveau des fesses des jeunes femmes, a indiqué le parquet.

    Interrogé sur ces clichés, il aurait expliqué vouer une admiration pour la beauté féminine. Son ordinateur et son second téléphone portable ont été saisis et les policiers procèdent à des analyses de leur contenu, relate France Bleu. L’étudiant doit faire l’objet d’une expertise psychiatrique.

    ACTU 17


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  • Une procédure criminelle a été ouverte pour « homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans », après une effroyable découverte faite au cœur du village du Martinet, près d’Alès (Gard).

    Les secours ont été alertés ce vendredi en fin d’après-midi sur la commune du Martinet, après la découverte d’un nourrisson. Ils sont intervenus en urgence mais n’ont rien pu faire pour le sauver. Les gendarmes ont été dépêchés sur les lieux vers 19 heures, tout comme un représentant du parquet.

    Une adolescente de 16 ans a accouché d’un bébé qu’elle aurait jeté par la fenêtre d’une habitation située dans le centre du village. Un acte qu’elle aurait confessé aux enquêteurs, selon Objectif Gard. Le procureur de la République a indiqué à Midi-Libre que l’accouchement aurait eu lieu ce jeudi.

     

    Prise en charge par l’hôpital d’Alès dans l’après-midi, c’est à ce moment-là qu’elle aurait évoqué son accouchement non suivi médicalement et le décès du nouveau-né.

    Une autopsie prévue lundi

    Le parquet d’Alès a ouvert une enquête criminelle pour « homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans ». Des investigations ont eu lieu dans la maison où se sont déroulés les faits.

    Une autopsie doit être pratiquée lundi à l’institut médico-légal du CHU de Nîmes. Elle devrait notamment permettre de déterminer si le bébé était viable à la naissance ou s’il a été tué lors de la chute.

    ACTU 


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  • L’enfant âgé aujourd’hui de 3 ans garde des séquelles des violences qu’il a subies. Il a été victime du compagnon de sa mère qui a été condamné à une peine de prison ce jeudi, par le tribunal correctionnel de Niort (Deux-Sèvres).

    Un homme âgé de 33 ans a été jugé ce jeudi après-midi pour des violences répétées sur un bébé. Celui de la femme avec laquelle il vivait en 2017. Les faits reprochés à ce restaurateur de profession se sont déroulés entre le 27 avril et le 15 décembre 2017 raconte Ouest-France.

    Le prévenu était accusé d’avoir fait subir de terribles violences à ce bébé. La situation a pris un tournant le 15 décembre 2017. Ce jour-là, le trentenaire a alerté les secours. L’enfant était en train de faire un malaise. Il a été hospitalisé à Cholet, avant d’être transféré en réanimation pédiatrique au CHU de Rennes.

     

    Les médecins ont découvert que le bébé souffrait de nombreuses fractures, parfois anciennes, notamment au poignet gauche, au tibia droit, à un bras et à une jambe. La victime présentait également un traumatisme crânien grave, suite à un choc particulièrement violent. Des hématomes ont aussi été constatés sur son corps, mais également une hémorragie sous-rétinienne. L’hôpital a alors alerté la police.

    Jugé prochainement pour des violences sur son fils

    Le trentenaire avait envoyé un SMS à sa compagne la veille pour la prévenir que son enfant avait heurté une porte. Un message envoyé « pour qu’elle ne soit pas surprise en cas de bosse », a expliqué le prévenu au cours de l’audience. Une version difficile à croire alors que son fils aurait lui aussi subi la violence d’une trentenaire.

     

    L’an passé alors qu’il était âgé de 13 ans, l’enfant a affirmé lors d’une audition qu’il était frappé et insulté par son père. Ce dernier sera jugé le mois prochain dans le cadre de cette affaire.

    « Il marche mais chute régulièrement, peine à trouver son équilibre »

    La victime dans ce procès, aujourd’hui âgée de 3 ans, conserve des séquelles des violences qu’elle a endurées. Le petit garçon aurait également été victime du syndrome du bébé secoué. « Il marche mais chute régulièrement, peine à trouver son équilibre », a raconté Me Michonneau-Cornuaud, qui représente les intérêts de l’enfant, précisant qu’il a aussi des difficultés à se nourrir.

    Me Jérôme Merenda, l’avocat de la mère du bébé, a mis directement en cause le prévenu lors de sa prise de parole : « Un bébé qui pleure n’est pas un bébé capricieux ! Lui, ça l’énerve. Il sait très bien ce qui s’est passé ».

    Déjà condamné à trois reprises

    Le parquet n’a pas manqué d’en faire autant, écartant le moindre doute sur la responsabilité du mis en cause, déjà condamné à trois reprises par le passé. Deux ans de prison ferme assortis d’un mandat de dépôt ont été requis contre le trentenaire.

    Le tribunal correctionnel a condamné le prévenu qui a nié les faits jusqu’au bout, à deux ans de prison, sans mandat de dépôt.

    ACTU 17

    Ce salaud mérite plus que deux de prison, et pourquoi sans mandat de dépôt!


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  • Son manque de discernement lui a valu une présentation devant le juge. Un jeune dealer de 14 ans a pris un policier pour un client potentiel et a tenté de lui vendre de la drogue.

    Des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) ont interpellé un adolescent de 14 ans, près de la rue Jules-Amilhau, dans le quartier de la Faourette à Toulouse (Haute-Garonne), mardi vers 18 heures.

    Les fonctionnaires de police en civil se trouvaient non loin d’un « plan stups » connu, lorsque le jeune dealer a abordé l’un d’eux en lui proposant du cannabis, rapporte actuToulouse.

     

    Rapidement maîtrisé, l’adolescent a été trouvé porteur de 25 grammes d’herbe, 50 grammes de résine de cannabis et quelques dizaines d’euros. Une erreur de débutant pour un jeune dealer pourtant déjà connu pour des faits similaires.

    Déféré devant le juge des enfants, il a été mis en examen pour « détention, offre et cession de produits stupéfiants ». L’adolescent a été placé sous contrôle judiciaire. Un autre jeune dealer de 13 ans avait pris un policier pour un client, le 3 février dernier au même endroit.

     

    ACTU 17


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  • Une colonne de fumée noire s’élève sur la banlieue industrielle de Venise. La municipalité a lancé ce vendredi une alerte aux habitants de la ville et de ses alentours immédiats après l’incendie qui s’est développé dans la matinée dans une usine chimique du port de Marghera.

    « Nous sommes inquiets. D’après les informations dont nous disposons, deux personnes ont été blessées », a déclaré le président de la région Vénétie, Luca Zaia.

    Des serviettes mouillées pour se protéger

    Alors que la population de Venise a été invitée à rester à domicile, celle de la commune de Marghera doit en revanche non seulement rester à domicile mais aussi appliquer des serviettes mouillées autour des fenêtres fermées. La haute colonne de fumée noire s’élevant depuis l’usine 3V Sigma était visible à des kilomètres à la ronde et de nombreux pompiers étaient à pied d’œuvre.

    …/… Plus d’informations à venir

    20 Minutes


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  • La victime avait déjà été la cible d’une tentative d’assassinat en novembre 2019, dans le même secteur.

    Un jeune homme a été abattu alors qu’il se trouvait sur le boulevard des Calanques, près de la cité de la Cayolle dans le 9ème arrondissement de Marseille, ce vendredi vers 2 heures du matin, rapporte La Provence. Âgé de 24 ans, il était originaire de ce quartier mais habitait dans le 15ème arrondissement.

    Le ou les tireurs ne lui ont laissé aucune chance d’après les premières investigations. Plus d’une quinzaine coups de feu ont été tirés. Lorsque les marins-pompiers sont intervenus, ils ont découvert la victime blessée de nombreuses balles et en arrêt cardio-respiratoire. Ils n’ont rien pu faire pour la sauver.

     

    Le jeune homme n’était pas inconnu des services de police. Ses antécédents judiciaires font état de vols à main armée, et il avait déjà échappé de peu à la mort lors d’une tentative d’assassinat en novembre dernier, dans le même secteur.

    Aucun témoin direct ne s’est manifesté

    L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de Marseille. Aucun témoin direct ne s’est manifesté quant à présent, laissant les policiers dans le flou pour le moment concernant les circonstances de ce meurtre.

     

    D’après une source proche de l’enquête citée par le quotidien régional, la victime était soupçonnée d’être impliquée dans un trafic de stupéfiants local, mais rien n’indique que les faits soient en rapport.

    ACTU 17

    Règlement de comptes, une bonne chose !


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  • L’homme avait profité d’une soirée alcoolisée pour entrer dans la chambre de la fillette et abuser d’elle, avant d’être surpris par son frère de 11 ans.

    Le tribunal correctionnel de Bergerac (Dordogne) a condamné un homme de 42 ans, ce jeudi, à trois ans et demi de prison ferme pour des agressions sexuelles. Les faits ont été commis le 14 avril à Sarlat, durant une soirée arrosée, relate Sud Ouest.

    Le quadragénaire était monté à l’étage du domicile de ses amis, avait ouvert la porte de la chambre d’une fillette de 7 ans, avant d’entrer et de l’agresser sexuellement. Il l’avait embrassée sur la bouche, lui avait pratiqué des caresses sur le corps par dessous ses vêtements, avant de baisser sa culotte et de lui caresser le sexe.

     

    L’agression avait été interrompue par le frère de la fillette, âgé de 11 ans, qui a surpris le quadragénaire. Au tribunal, le prévenu a reconnu les faits.

    Une autre agression sexuelle découverte par les enquêteurs

    À l’audience, une autre affaire le concernant a également été abordée. Le prévenu a, cette fois, totalement nié cette autre agression sexuelle, découverte lors de l’enquête concernant la petite fille. Elle a eu lieu quelques mois plus tôt, le 20 décembre 2019, chez une femme qui l’hébergeait.

     

    Il s’en était pris à son hôte alors qu’il était ivre, en lui touchant la poitrine et le sexe. La victime a déposé plainte. Cette femme vulnérable était persuadée qu’il avait aussi abusé d’elle la veille pendant son sommeil. Mais comme elle n’était pas sûre des faits, elle avait décidé de garder le silence.

    Un lourd passif judiciaire

    L’audience n’a malheureusement pas permis aux victimes d’en savoir plus sur les motivations profondes de ce prédateur, au casier judiciaire chargé de condamnations pour agressions sexuelles.

    Tout au long du procès, il a rejeté la faute sur sa consommation excessive d’alcool, « sans la moindre empathie pour ses victimes », a indiqué la procureure de la République qui a requis « pas moins de quatre ans de prison » avec son maintien en détention. Des réquisitions suivies en partie seulement.

    Le quadragénaire a écopé de 3 ans et demi de prison ferme, avec mandat de dépôt, assortis d’une obligation de soins et de travail. En outre, il a été inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais). L’étude d’une partie des intérêts civils a été renvoyée au mois de septembre, précise le quotidien régional. Il doit également verser 7 608 euros aux victimes au titre du préjudice moral.

    ACTU 17


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  • La jeune victime âgée de 2 ans est très grièvement blessée, ses jours sont en danger.

    Terrible drame à Arles (Bouches-du-Rhône) ce mercredi soir. Un enfant âgé de 2 ans a chuté du domicile familial situé au 3ème étage d’un immeuble situé dans la rue Winston Churchill. Ce dernier serait monté sur un tabouret avant de tomber par la fenêtre accidentellement selon les premiers éléments.

    Le père de famille âgé de 23 ans a lui-même transporté son enfant à l’hôpital d’Arles, avant l’arrivée des secours. La victime a ensuite été transférée à l’hôpital de la Timone à Marseille (5e). Le petit garçon souffre de plusieurs fractures, au fémur et au crâne. Très grièvement blessé, son pronostic vital est engagé.

     

    Sa mère qui était sous le choc a quant à elle été conduite à l’hôpital d’Arles, par les sapeurs-pompiers.

    Une enquête a été ouverte afin de déterminer ce qu’il s’est exactement passé. Le commissariat d’Arles a été chargé de mener les investigations.

     ACTU 17

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  • La victime marchait sur un terrain de football quand elle aurait été attaquée par au moins cinq chiens.

    Une femme de 87 ans est morte des suites de ses blessures, après avoir été attaquée par une bande de chiens, mardi, à Pirae, une commune limitrophe de Papeete, à Tahiti (Polynésie française), selon Polynésie La Première.

    Selon les premiers éléments recueillis par la chaîne de télévision, l'octogénaire se promenait sur un terrain de football quand elle aurait été attaquée par des molosses, vraisemblablement des pitbulls.

     

    « On jouait au tennis et il y avait cette mamie qui faisait ses tours… », raconte un témoin interrogé par la Première. « Puis, je l'ai vue par terre avec plusieurs chiens autour d'elle. »

    « C'était vraiment atroce »

    Le témoin ajoute : « J'ai chassé 4-5 chiens et quand je suis arrivé, je crois qu'elle était déjà partie. Elle avait plein de morsures. Les chiens sont revenus m'attaquer… Que des pitbulls… C'était vraiment atroce… Les pitbulls étaient en sang, méchants… On les a chassés à coups de barre de fer et de raquette. »

    L'octogénaire est décédée sur place. Les chiens ont été capturés et leurs propriétaires placés en garde à vue. Une enquête a été ouverte pour homicide volontaire.

    Le Parisien

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  • Le corps d’un trentenaire a été découvert à son domicile, tué de plusieurs coups de couteau, ce mercredi. Le principal suspect a été interpellé et il est passé aux aveux.

    Un homme de 31 ans a été tué à coups de couteau dans son appartement de Bordeaux (Gironde), ce mercredi à la mi-journée, rapporte Sud Ouest. La victime, Florent Morin, habitait dans ce modeste studio, situé au numéro 1 de la rue Dumaine. L’agresseur se serait acharné sur sa victime.

    La macabre découverte a été faite par des policiers de la brigade anti-criminalité (BAC). Le trentenaire gisait au sol, devant son canapé clic-clac. La scène de crime a été bouclée et les techniciens de l’identité judiciaire ont pris le relais pour effectuer des constatations.

     

    Un médecin légiste s’est également rendu sur place. L’enquête criminelle a été confiée à l’unité de recherche judiciaire (URJ) de la Sûreté départementale. Une autopsie doit avoir lieu rapidement.

    Un suspect retrouvé avec un couteau ensanglanté

    C’est une patrouille de policiers à VTT qui a permis la découverte de ce crime. Vers 12h30, les fonctionnaires en mission de sécurisation ont contrôlé un homme, âgé de 31 ans. Ils ont découvert sur lui un couteau et l’ont interpellé pour « port d’arme prohibé », rapporte France 3. Les fonctionnaires ont repéré des « traces rougeâtres pouvant s’apparenter à du sang séché » sur le couteau, a indiqué Jean-Luc Puyo le procureur adjoint.

     

    Interrogé durant sa garde à vue sur l’origine du sang présent sur l’arme, il aurait indiqué avoir commis l’irréparable, et orienté les fonctionnaires vers cet appartement, dans lequel les policiers de la BAC ont découvert le cadavre. À 14 heures, sa garde à vue a été élargie pour « homicide volontaire ».

    Les deux hommes se connaissaient

    Le meurtrier présumé et la victime se connaissaient, a précisé le procureur adjoint, ajoutant qu’ils s’étaient rencontrés quatre ans auparavant, dans un établissement psychiatrique où la victime était suivie.

    Le trentenaire soupçonné du meurtre y avait été admis après une tentative de suicide. Il habitait dans une tente depuis le mois de mars, et tous deux se promenaient parfois ensemble dans les rues de la ville.

    Mercredi soir, le suspect était toujours auditionné par les enquêteurs et une perquisition devait avoir lieu à son domicile. Le contenu de son téléphone portable devait également être exploité, pour tenter de tracer précisément son emploi du temps et de comprendre les circonstances de ce drame. Jeudi, sa garde à vue a été prolongée.

    13 faits à son casier judiciaire

    La victime n’avait pas d’antécédent judiciaire. En revanche, le suspect était connu pour 13 faits inscrits à son casier judiciaire, notamment pour port d’arme, vol, dégradations, violences sur personne dépositaire de l’autorité publique ou encore menaces de mort.

    ACTU 17


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  • Une octogénaire victime d’une agression sexuelle est décédée d’une autre cause avant le jugement de son agresseur. Ce dernier a écopé d’une peine de prison avec sursis et de 1 000 euros au titre du préjudice moral, à verser à la fille de la victime.

    L’affaire qui vient d’être jugée par le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer remonte au 12 septembre dernier. Elle a eu lieu à Montreuil dans le Pas-de-Calais, relate La Voix du Nord. Ce jour-là, un jeune homme avait sonné à la porte d’une octogénaire, et s’était présenté en tant que fils d’une voisine.

    Il lui avait proposé de l’aider aux travaux domestiques et avait ainsi été invité à entrer dans le logement. Faisant preuve de beaucoup d’attention envers la vieille dame, cet inconnu s’était ensuite placé derrière sa proie, avant de lui retirer ses vêtements et de lui faire subir des attouchements sexuels.

     

    Il s’était subitement arrêté et lui avait demandé de l’argent. La victime lui avait alors donné dix euros qu’elle possédait dans son porte-monnaie. L’inconnu avait ensuite ramassé ses vêtements pour les déposer dans la salle de bain, avant de disparaître.

    Plusieurs tentatives dans l’immeuble

    Les gendarmes ont mené une enquête de voisinage qui s’est révélée fructueuse. Ils ont appris que cet individu avait sonné à d’autres portes de l’immeuble où vivent des personnes âgées. L’octogénaire a pu reconnaître son agresseur sur des planches photographiques qui lui ont été présentées par les enquêteurs.

    Il s’agit d’un habitant de la commune, âgé de 19 ans. Interpellé et placé en garde à vue, il a reconnu s’être rendu chez la vieille dame, mais a nié l’avoir agressée sexuellement. Aux questions insistantes des gendarmes, le jeune homme a répondu qu’elle avait chaud et que c’est elle-même qui lui avait demandé de lui retirer ses vêtements.

    Son ADN sur le soutien-gorge de la victime

    Ses déclarations n’ont convaincu ni les enquêteurs, ni les magistrats. Et pour cause, son ADN a été relevé sur l’agrafe du soutien-gorge de l’octogénaire. Lors de son procès qui vient de se tenir au tribunal de Boulogne-sur-Mer, le prévenu n’a pas eu à faire face à sa victime : elle est décédée d’une autre cause avant la tenue de l’audience.

    Toutefois, sa fille était présente. À la barre, le jeune homme de 19 ans a affirmé qu’il ne se souvenait plus de ce qu’il s’est passé, affirmant qu’il était alcoolisé. « Une amnésie de circonstance », a déclaré le procureur de la République, au sujet de la ligne de défense du prévenu.

    Ce dernier, qui aurait souffert de carences éducatives et affectives dans son enfance, et qui a des problèmes d’alcoolisme, a été reconnu coupable et écopé de 12 mois de prison avec sursis probatoire. Il devra justifier de soins et d’un travail. En outre, le jeune homme doit verser 1 000 euros à la fille de la victime au titre du préjudice moral. Enfin, il est désormais inscrit au Fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais).

     

    ACTU 17

    Quelle honte de la prison avec sursis et 1000 euros d'amende !


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  • Un homme âgé de 19 ans a été interpellé par les policiers ce mardi soir. Évadé de prison, il venait de se réfugier dans la salle de bain d’une habitante pour échapper à son arrestation.

    Tout est parti du contrôle d’une voiture par les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) du XIIe arrondissement de Paris, vers 22h20 ce mardi soir. Une Volkswagen Polo avec cinq individus à l’intérieur venait d’attirer leur attention, sur l’avenue Daumesnil, à hauteur du numéro 242.

    Un contrôle a débuté et les policiers ont reconnu l’un des individus qui se trouvait dans le véhicule. Âgé de 19 ans, il faisait l’objet d’une fiche de recherches depuis le 3 mars dernier après ne pas avoir réintégré la prison de la Santé, suite à une permission de sortie.

     

    Des renforts ont été appelés alors que la situation commençait à se tendre. Comprenant ce qui allait se passer, deux des occupants de la voiture sont sortis et se sont opposés à l’intervention des forces de l’ordre, pendant que le suspect prenait la fuite à pied. Les policiers sont partis à sa poursuite.

    Il rentre dans un appartement par une fenêtre

    Le fuyard a alors pénétré dans un appartement de la rue de Toul, en passant par une fenêtre restée ouverte. Les fonctionnaires ont entendu l’habitante qui hurlait et se sont dépêchés d’accéder au logement pour mettre fin à la course du fugitif.

    Ce dernier s’était caché dans la petite salle de bain de l’appartement. Il s’est violemment rebellé mais a été maîtrisé puis interpellé, après avoir brisé la porte coulissante de la douche. Le mis en cause a été placé en garde à vue et va prochainement rejoindre sa cellule de prison.

    Un second individu interpellé

    L’un des deux occupants de la voiture qui s’était opposé à l’intervention de police, a lui aussi été interpellé par les renforts arrivés rapidement sur place. Sa soirée s’est terminée en garde à vue.

    Le conducteur de la voiture a pu repartir, son véhicule étant en règle. Les deux autres occupants du véhicule ont pris la fuite. Le commissariat du XIIe arrondissement est en charge des investigations.

    ACTU 17


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  • Un simple regard posé sur une femme a failli coûter la vie à un jeune homme. Le petit ami de cette dernière ne l’a pas supporté et a poignardé cet inconnu au thorax.

    Un homme de 40 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire pour « tentative de meurtre », ce mardi à Pontoise (Val-d’Oise), rapporte Le Parisien. Il est poursuivi pour avoir poignardé un jeune homme au thorax, dans la nuit de samedi à dimanche, à Sarcelles.

    Le drame s’est noué dimanche vers minuit et demi, dans la rue de Chaussy. Plusieurs détonations ont été entendues par des riverains, qui ont alerté les policiers. Sur place, les fonctionnaires ont découvert un jeune homme de 23 ans ensanglanté qui gisait au sol. 

    Des tirs à blanc

    Les policiers ont retrouvé des cartouches de pistolet d’alarme près de la victime. Il s’est avéré que le jeune homme prenait l’air avec un ami lorsque l’agression a eu lieu, et que ce dernier avait tiré pour faire fuir l’agresseur armé d’un couteau.

    Le SAMU a pris en charge la victime qui a été transportée à l’hôpital Beaujon, à Clichy (Hauts-de-Seine) dans un état critique. Le jeune homme a subi une intervention chirurgicale dans la foulée et ses jours ne sont plus en danger. L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de Versailles.

    Mis en examen et écroué

    Les policiers ont notamment interrogé les riverains et procédé à des investigations qui leur ont permis d’identifier l’homme au couteau. Âgé de 40 ans, il était déjà connu des services de police, pour des violences volontaires.

    Les enquêteurs l’ont interpellé chez lui, à Sarcelles, et l’ont placé en garde à vue. Lors de ses auditions, il a affirmé que cette nuit-là, il avait consommé des produits stupéfiants et était très énervé. Il a reconnu avoir poignardé le jeune homme parce qu’il avait osé regarder sa petite amie.

    Au terme de sa garde à vue, il a été mis en examen dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour « tentative de meurtre » et incarcéré en attendant son procès.

    ACTU 17


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  • Une fillette aurait été tuée par étouffement. Grièvement brûlée, sa mère a été secourue alors qu’elle venait de s’extraire d’un véhicule en feu à Saint-Jean-d’Angély (Charente-Maritime).

    Les secours ont été alertés ce mardi vers 8 heures du matin, par des témoins qui venaient d’apercevoir une femme grièvement brûlée, sortir d’une voiture en feu. La scène s’est déroulée sur un parking à hauteur du péage de l’autoroute A10 à Saint-Jean-d’Angély, relate France Bleu.

    Les pompiers sont intervenus et ont pris en charge cette femme âgée de 50 ans. Elle présentait des brûlures sur 40% du corps. Ils l’ont transportée à l’hôpital de la commune, dans un état critique. La victime a été ensuite évacuée vers un centre hospitalier plus important.

    La fillette probablement étouffée à mort par sa mère

    En charge de l’enquête, les gendarmes de la brigade de recherches ont fait une macabre découverte au domicile familial. Ils ont retrouvé le corps sans vie d’une enfant de cinq ans et demi, ainsi que des écrits concernant ces faits, qui auraient été rédigés par la mère.

    D’après les premières constatations, la fillette serait morte par étouffement. Sa mère, veuve depuis 2017, est décrite par le parquet de Saintes comme intégrée socialement mais fragile psychologiquement. Une autopsie doit avoir lieu ce jeudi matin. Les enquêteurs, qui privilégient la thèse de l’infanticide, n’ont pas pu auditionner la mère de famille en raison de son état de santé. 

    ACTU 17


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  • La douane a intercepté un camion transportant 1 031 kg d’herbe de cannabis, répartis dans des cartons. Le conducteur, originaire des Vosges, était déjà connu pour trafic de stupéfiants.

    Au premier jour du déconfinement ce lundi, la douane a procédé au contrôle d’un camion sur l’A36, au niveau de Miserey-Salines, a indiqué le parquet de Besançon (Doubs). L’opération s’est révélée payante. Le véhicule transportait plus d’une tonne d’herbe de cannabis répartie dans une centaine de cartons, relate L’Est Républicain.

    La valeur marchande de ce chargement est estimée entre 20 et 30 millions d’euros. Les fonctionnaires ont interpellé le conducteur du camion, un habitant des Vosges, déjà connu pour des infractions à la législation sur les stupéfiants. Le suspect a été remis à la police judiciaire de Besançon, qui l’a placé en garde à vue.

    Une incinération qui a duré plus de 3 heures

    La drogue saisie a été détruite dès le lendemain à l’usine d’incinération de Planoise, sous le contrôle d’officiers de police judiciaire. Cette opération a duré plus de trois heures, au vu de la quantité d’herbe à détruire.

    « Il est nécessaire de brasser le tout avec d’autres combustibles hétérogènes, car le pouvoir calorifique de l’herbe de cannabis est trop important et risquerait de provoquer un coup de chaud dans le four », a expliqué au quotidien régional Stéphane Mayer, responsable de l’usine de valorisation énergétique de Besançon.

    Une saisie record l’année précédente sur cette autoroute

    Il y a un an, le 10 mai 2019, les fonctionnaires de la police judiciaire avait découvert et saisi pas moins de 11 tonnes de résine de cannabis dans un poids lourd sur l’A36, dans le secteur de Besançon. Un record dans l’hexagone depuis 1999, qui avait été annoncé par la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Nancy. Quatre suspects, dont un ressortissant italien, avaient été interpellés.

    La plus importante saisie recensée en France a été effectuée en 1999 à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Elle portait sur 23,5 tonnes de cannabis.

    ACTU 17


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  • Cevher Toktas est passé aux aveux: le défenseur turc a étouffé son fils de cinq ans alors que celui-ci venait d’être admis en soins intensifs à cause du coronavirus.

     

    Un terrible drame s’est joué la semaine dernière en Turquie. Défenseur central de Bursa Yildirim, Cevher Toktas a en effet assassiné son fils, l’étouffant avec un oreiller alors que le petit garçon âgé de cinq ans venait d’être admis à l’hôpital avec des symptômes apparents du coronavirus. Les médecins ont d’ailleurs rapidement conclu que le garçonnet était décédé de causes naturelles, victime du Covid-19. Mais alors que la famille avait déjà organisé les funérailles de l’enfant, Cevher Toktas s’est spontanément présenté à la police pour avouer son crime, justifiant son geste par une crise de nerfs incontrôlée. "J'ai appuyé un oreiller contre le visage de mon fils qui était couché. Pendant 15 minutes, je l'ai serré sans jamais le retirer. C'est quand il a cessé de bouger que je l'ai relâché", a-t-il avoué, ajoutant pour expliquer son acte: "Je ne l'aimais pas . Je ne l'ai jamais aimé depuis qu’il est né." Après ses aveux, la justice turque à fait procéder à l’exhumation du cadavre de l'enfant pour pratiquer une autopsie et Cevher Toktas risque désormais la prison à perpétuité.

    Sports.fr

    Heureusement qu'il est allé se dénoncer !


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  • Incendie dans un aéroport de La Réunion : une centaine de véhicules brûlés

    Cent dix véhicules de location sont partis en fumée dans la nuit de mardi à mercredi. Une enquête est ouverte.

    Après l'impact économique de la crise sanitaire, c'est peut-être le coup fatal pour les deux entreprises de location de voitures situées dans la zone de l'aéroport Roland-Garros, sur l'île de La Réunion. Un violent incendie s'est déclaré dans la nuit de mardi à ce mercredi, aux alentours de 23h, heure locale : des voisins ont entendu des pneus éclater, et vu un immense nuage de fumée épaisse surplomber le parking des loueurs. Il a fallu plus de quatre heures aux pompiers pour maîtriser la propagation des flammes. Cent dix véhicules ont néanmoins brûlé, occasionnant la perte d'une bonne partie de la flotte des deux sociétés, qui devront désormais la reconstituer. Heureusement, aucune victime ni blessé n'est à déplorer. 

    L'incendie volontaire comme piste privilégiée

    La brigade de recherches de la gendarmerie de Saint-Benoît a été mobilisée, ainsi que les techniciens en identification criminelle de La Réunion. Car la piste privilégiée est bien celle d'un incendie volontaire, puisque le feu est parti de plusieurs foyers. Pour le moment, aucun suspect n'a été identifié mais les recherches se poursuivent pour déterminer qui a pu organiser ce méfait, et surtout quel est son mobile.

    Le JDD.fr


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  • Un homme âgé de 27 ans est décédé à l’hôpital de Besançon (Doubs). Il avait été très violemment frappé à la tête à coups de hachette, dans la nuit de dimanche à lundi. Le tueur présumé de 40 ans a été écroué.

    Les policiers ont découvert une terrible scène de crime lors de leur intervention dans un appartement situé dans le quartier de Montboucons, à Besançon. Ce dimanche soir, le propriétaire du logement avait décidé de faire une fête raconte L’Est Républicain. Le voisinage a expliqué avoir entendu de la musique mais également du passage dans le hall de l’immeuble.

    Dans des circonstances qui restent encore à déterminer, une dispute a éclaté entre la victime et le propriétaire des lieux qui hébergeait cette dernière depuis plusieurs jours. L’hôte de 40 ans s’est saisi d’une hachette pour frapper très violemment cet homme de 27 ans, au niveau du crâne 

    La victime avait les mains attachées

    L’auteur présumé de ce meurtre a lui-même contacté la police au petit matin. A l’arrivée des forces de l’ordre, il était recouvert de sang. La victime gisait au sol avec la boîte crânienne brisée par les violents coups de hachette.

    Le jeune homme de 27 ans avait également les mains liées et n’a donc pas été en mesure de se défendre. Armel H., qui avait été conduit à l’hôpital dans un état critique, est décédé.

    Il évoque la légitime défense

    Le mis en cause a été interpellé et placé en garde à vue. Il avait 0,8 gramme d’alcool par litre de sang au moment de son arrestation. Lors de son audition, il a affirmé aux enquêteurs avoir agi en état de légitime défense, car la victime qui squattait chez lui depuis plusieurs jours, avait dégradé son appartement.

    Inconnu des services de la justice, il a été mis en examen et placé en détention provisoire. En outre, le parquet a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire pour meurtre. Les investigations se poursuivent afin de déterminer ce qu’il s’est précisément passé au cours de cette soirée, qui s’est terminée dans un bain de sang.

    ACTU 178


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  • Manche : un bénévole aidant des migrants tué chez lui, un Afghan en garde à vue

    Un homme de 64 ans, actif dans une association d’aide aux migrants, a été mortellement agressé mardi à son domicile à Bretteville (Manche).

    Un suspect, de nationalité afghane, a été placé en garde à vue, a indiqué le parquet de Cherbourg.

     

    Vers 11 heures, les secours sont intervenus dans la maison d’un homme présentant une importante plaie à la tête dans cette commune proche de Cherbourg et qui décédera quelque temps après.

    « Les personnes présentes, un groupe d’environ sept personnes, de nationalité étrangère, avaient interpellé l’individu et avaient retenu cet homme de nationalité afghane susceptible d’être l’auteur de l’agression », a déclaré Yves Le Clair, procureur de Cherbourg. L’homme tué était impliqué « dans une association d’aide aux migrants », a précisé le procureur.

    Pas de traces de lutte

    Le suspect, âgé de 21 ans et inconnu des services de justice, portait des traces de sang sur lui et sur ses vêtements. Il aurait frappé l’homme avec un objet contondant, sans qu’il n’y ait de traces de lutte. Il a été placé en garde à vue et n’a pas été encore entendu par les enquêteurs, selon la même source.

    Une autopsie doit être réalisée ces prochains jours. L’enquête a été confiée à la Section de recherches de la gendarmerie de Caen.

    Le Parisien

    Cet afghan l'a tué en remerciement !


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