• Jeudi matin, l’interview du désormais célèbre professeur Didier Raoult, fervent défenseur du recours à l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, sur BFMTV a attiré un million de téléspectateurs.

    « Je suis passé à la télévision chinoise, avec 1,4 milliard d’auditeurs », lançait Didier Raoult, bravache et provocateur (et un peu arrogant) aux députés alors qu’il était auditionné, mercredi 24 juin, par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur la gestion de la crise du coronavirus.

    Il n’y a pas 1,4 milliard d’auditeurs en France. Mais tout de même, le nombre d’auditeurs que vient de révéler Médiamétrie enchantera Didier Raoult. Jeudi 25 juin au matin, le professeur Didier Raoult était sur le plateau de la matinale de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC et BFMTV. Et un record historique d’audience de l’émission a été réalisé.

    En effet, selon Médiamétrie, la séquence diffusée entre 8h20 et 8h54 a été suivie par 1 million de téléspectateurs, pour 30,4 % de part d’audience sur l’ensemble du public. De quoi faire tweeter Jean-Jacques Bourdin : « Merci ».

    Le médecin très médiatique de Marseille avait déjà convié à deux reprises à répondre aux questions de journalistes de BFMTV, mais avait jusqu’ici refusé de faire le déplacement jusqu’à Paris.

    Cette fois-ci, il était bel et bien sur le plateau de BFMTV dès 8h20 pour évoquer la gestion de la crise du coronavirus en France, mais aussi répondre aux questions de Jean-Jacques Bourdin sur ses déclarations passées, « qui ont provoqué un clash et poussé le professeur à menacer de quitter le plateau », raconte le site spécialisé « Pure médias ».

    L'OBS


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  • "France, États-Unis, nous commençons à nous ressembler"

    *"Vu en Amérique, bientôt en France, Géraldine Smith, Stock, 261 pages, 19,50 euros 

    LIEN de l'article :

    https://www.lexpress.fr/actualite/france-etats-unis-nous-commencons-a-nous-ressembler_2046911.html


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  • Iran : Une mystérieuse explosion illumine le ciel de Téhéran, les autorités évoquent du « gaz industriel »

    La proximité avec le site militaire de Parchin, associé à de possibles activités nucléaires au début des années 2000, alimente les suspicions

    « Dans les heures qui ont suivi minuit vendredi, nombre d’utilisateurs des réseaux sociaux ont rapporté avoir vu une lumière orange dans la partie Est de Téhéran », a indiqué Fars, agence proche des ultraconservateurs. « Sur les vidéos envoyées par les lecteurs, cette lumière est visible quelques secondes », a expliqué l’agence. L’agence a cité une « source bien informée » selon laquelle le site de l’incident n’appartenait pas à l’armée. « Devant l’entrée de la zone militaire de Parchin, il n’y a pas de mouvement ni d’allées et venues de véhicules de pompiers ou de secours », a noté Fars. Une autre agence de presse, Mehr, a rapporté qu’un « son terrible » avait été entendu.

    Près d’un site militaire controversé

    Dans un premier temps, une source de la chaîne Al Arabiya avait évoqué une explosion potentiellement située au niveau du site militaire de Parchin.

    Parchin (ou Partchine, selon une autre écriture) est un site particulièrement sensible sur lequel plusieurs explosions se sont produites en 2007 et 2014. Après un long bras de fer, l’Agence internationale de l’énergie atomique avait pu l’inspecter en 2015 et avait conclu que « des activités pour le développement d’un dispositif nucléaire » y avaient été menées avant 2003. En 2017, les Etats-Unis avaient réclamé que les inspecteurs puissent s’y rendre à nouveau dans le cadre de l’accord sur le nucléaire, ce que Téhéran avait refusé.

    20 Minutes


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  • Assa Traoré va recevoir un prix aux Etats-Unis pour son engagement contre le racisme

    Le combat pour Adama Traoré a traversé l’Atlantique. Assa Traoré, visage de la lutte contre les violences policières en France à la suite de la mort de son frère Adama en 2016, va recevoir le prix « BET International Global Good Award » aux Etats-Unis, dimanche 28 juin.

    Les BET Awards américains, organisés par la chaîne Black Entertainment Television, récompensent chaque année des Afro-Américains et autres minorités qui ont brillé dans les domaines du divertissement.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/societe/assa-traor%C3%A9-va-recevoir-un-prix-aux-etats-unis-pour-son-engagement-contre-le-racisme/ar-BB15XTIL?ocid=msedgntp


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  • Val-de-Marne : Un footballeur du Paris FC placé en garde à vue pour s’en être pris à 2 policiers hors service

    Un jeune footballeur âgé de 20 ans évoluant au Paris FC (Ligue 2) a été interpellé et placé en garde à vue dans la nuit de dimanche à lundi, à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne). Il venait de s’en prendre à deux policiers qui rentraient chez eux.

     

    Une simple remarque a fait dégénérer une situation pourtant anodine. Axel Bamba, défenseur central du Paris FC, a terminé sa nuit en garde à vue. Il est accusé d’avoir dégradé la voiture d’un policier hors service mais également d’outrage et d’actes d’intimidation.

    Deux policiers du commissariat du XIIe arrondissement de Paris ont terminé leur service et ont pris la direction de leur domicile, en covoiturage, vers 3 heures dans la nuit de dimanche à lundi. Arrivés à Créteil, au carrefour Pompadour, le fonctionnaire au volant a remarqué que la voiture derrière lui avait les phares qui étaient réglés trop haut.

     

    Voyant que le conducteur s’arrêtait au feu rouge à côté de lui, il a décidé de le prévenir. Sa remarque a été visiblement mal perçue par l’automobiliste qui s’est emporté selon les deux policiers. « Je m’en bas les couilles, tu vas faire quoi », s’est exclamé le chauffeur. Dans le but d’apaiser le climat, le policier lui a annoncé sa qualité, ajoutant qu’il voulait juste le prévenir pour ses phares. La discussion ne s’est pas poursuivie puisque le feu est ensuite passé au vert.

    Il lance deux projectiles sur la voiture des policiers

    C’est à partir de ce moment-là que la situation a basculé. Le footballeur a démarré en trombe et s’est mis à faire des queues de poisson avec l’intention d’arrêter le véhicule des fonctionnaires, selon leur récit. Après plusieurs minutes de route, les deux voitures se sont de nouveau retrouvées côte à côte, en roulant. Le suspect en a profité pour lancer un projectile sur le véhicule du policier, qui a été légèrement endommagé.

     

    L’homme a continué ses zigzag puis a lancé un second projectile, provoquant un nouvel impact. Les fonctionnaires ont alors décidé de faire le « 17 » afin d’alerter leurs collègues, d’autant que la situation durait déjà depuis une dizaine de minutes.

    Les deux véhicules venaient de passer à proximité du commissariat de Villeneuve-Saint-Georges et les policiers ont décidé de ne pas s’en éloigner pour faciliter l’intervention de leurs collègues. Le footballeur les a rejoints, s’est arrêté à côté de leur voiture, avant d’aller récupérer un objet dans son coffre, ont-ils raconté.

    Ne voyant pas de quoi il s’agissait à cause de l’obscurité, les deux fonctionnaires ont décidé de faire une marche arrière pour se mettre à l’abri. L’objet en question n’a pu être identifié par la suite indique une source proche de l’enquête.

    « Bande de fils de pute, Paris c’est petit, nous allons nous retrouver »

    Une patrouille de police est alors arrivée sur place et a interpellé le suspect de 20 ans. « Bande de fils de pute, Paris c’est petit, nous allons nous retrouver, ça ne va pas en rester là », aurait lancé le sportif alors qu’il était arrêté. Ce dernier a été placé en garde à vue.

    Lors de leurs auditions, les fonctionnaires ont affirmé que le mis en cause avait bien entendu et compris qu’il avait affaire à des policiers. Rien qui ne puisse en tout cas le calmer. L’homme a pour sa part raconté qu’il avait reçu des insultes, une version niée par les deux victimes.

    Jugé en août au tribunal de Créteil

    Axel Bamba a été remis en liberté et sera jugé le 18 août prochain au tribunal de Créteil. Le défenseur axial ivoirien du Paris FC qui a grandi dans le XVe arrondissement de Paris, est considéré comme un espoir pour son club avec lequel il joue depuis qu’il a 10 ans. Il a récemment prolongé son contrat jusqu’en 2023. Le joueur a disputé 21 matchs et inscrit 3 buts cette saison, tronquée par la pandémie de coronavirus.

    ACTU 17

    Axel Bamba, né le 6 juillet 1999 à Zurich, est un footballeur professionnel jouant au poste de défenseur pour le Paris FC. Bien qu'il soit né en Suisse et vivant depuis tout jeune en France, Axel Bamba préfère représenter l'équipe nationale de Côte d'Ivoire.

     

    Ce noir a essayé de pousser les flics à le malmener pour dire ensuite que les flics sont racistes !

    Et ça gagne un pognon fou à mettre des coups de pied dans un ballon !


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  • A Millau, le Burger King de la discorde

    Vingt et un ans après la bataille contre l’implantation d’un McDonald’s, les militants écologistes s’inquiètent de voir construire un nouveau fast-food sur le territoire de la commune du sud Aveyron.

    Un fast-food d’une célèbre enseigne américaine, une petite ville de 22 000 habitants au pied du plateau du Larzac. Vingt et un ans après le «démontage» du MacDonald’s de Millau par des agriculteurs locaux, voilà qu’un Burger King s’apprête à être construit dans la ville. Le confinement à peine levé, les habitants de la sous-préfecture de l’Aveyron ont appris la signature d’un permis de construire pour le fast-food. Soucieux des potentielles nuisances sonores et olfactives à venir, les riverains se sont d’abord étonnés de l’absence de concertation. La localisation les interroge également : le fast-food se trouverait à l’écart des zones commerciales, à moins d’un kilomètre d’un chantier d’insertion en maraîchage bio, à l’entrée nord de la ville, qui ouvre l’accès vers les Gorges du Tarn, l’un des atouts naturels majeurs du secteur.

     

    Voilà qui n’a pas vraiment la saveur du «monde d’après», dans une ville où les professionnels de la restauration et de l’hôtellerie se remettent difficilement de trois mois de fermeture et craignent une saison touristique dégradée. Réunis au sein de l’association Horecad, ils ont d’ailleurs lancé il y a quelques semaines une campagne d’affichage «Gardarem nos restos» («Nous garderons nos restaurants», en occitan) reprenant l’iconographie et le mot d’ordre de la lutte du Larzac des années 70, «symbole de leur volonté, de leur détermination mais aussi de leur optimisme pour sortir au mieux de la crise actuelle».

    Pas de contradiction selon le maire sortant, Christophe Saint-Pierre (LR), entre le soutien de la ville à ses commerçants et la validation du permis pour ce projet de fast-food. «La liberté d’entreprendre est un droit fondamental. Ce n’est de toute façon pas de ma compétence de m’y opposer, je n’ai pas à mettre le couteau sous la gorge des consommateurs pour leur dire où aller», souligne-t-il, bien qu’ailleurs, à Oléron notamment, des édiles aient choisi d’autres options.

    Quatrième établissement du genre

    La signature du permis de construire le 11 mai relève selon lui «de la procédure réglementaire», retardée de quelques mois du fait du Covid, pour «une initiative privée sur un terrain privé». A deux semaines du second tour des municipales, la révélation de l’affaire a échauffé les esprits alors qu’un autre débat, sur l’avenir de deux hôpitaux de la région, suscite la polémique depuis plusieurs mois.

    S’il voyait le jour, ce Burger King constituerait le quatrième établissement du genre à s’installer à Millau, après McDonald’s – toujours debout – Buffalo Grill, Tacos Avenue et Au bureau.

    Cette chaîne de brasseries fait partie du groupe Bertrand, deuxième plus important acteur de la restauration en France. Outre de nombreux cafés parisiens, il possède également les franchises Quick, Hippopotamus, Léon de Bruxelles et Burger King France.

    Contactée par Libération, la chaîne se veut prudente : si «un projet est bien actuellement à l’étude sur l’agglomération de Millau, il est encore trop tôt pour pouvoir projeter l’issue des prochaines étapes et confirmer ce projet d’implantation».

    «On n’en a pas besoin», répondent en chœur les membres du groupe local d’Extinction Rebellion récemment constitué et de Youth for Climate. Dès que l’info de la création du Burger King a circulé sur Instagram et le logiciel de discussion en ligne Discord, «on s’est dit que ce n’était pas normal et qu’il fallait réagir», raconte Louis, étudiant à Montpellier. Mercredi 17 juin, à l’occasion de la journée nationale d’actions «contre la ré-intoxication du monde», une dizaine de militants ont décidé de manifester sur les lieux où pourrait s’implanter le fast-food rebaptisé «Burger Kill». Selon Edith, lycéenne à Albi, «ce projet est destructeur pour l’environnement, sans compter l’enjeu de la souffrance animale». Elle s’oppose à «la production de viande industrielle, directement liée à la déforestation».

    «Prise de conscience des dangers de la standardisation»

    Quelques Faucheurs volontaires, vétérans de la bataille contre le McDo de 1999, qui voient la continuité de leur combat «contre la malbouffe», sont venus les soutenir. L’histoire se répéterait-elle ? Pour José Bové, ex-député européen EE-LV, devenu célèbre pour avoir été condamné et emprisonné avec d’autres après l’action contre le McDo, «notre action d’alors s’inscrivait dans un combat précis contre l’Organisation mondiale du commerce, au moment où les Etats-Unis lançaient des mesures de rétorsion contre le Roquefort en réponse à la volonté d’interdire le bœuf aux hormones en Europe». Cette lutte marquait aussi selon lui «une prise de conscience des dangers de la standardisation du goût et l’agriculture industrielle».

    La construction de ce nouveau fast-food à Millau est pour l’ex-élu «en totale opposition» avec l’appétit des consommateurs pour les circuits courts et la vente directe, qui s’est renforcé avec le confinement. Un goût du local qui conduit d’ores et déjà les opposants au Burger King de Millau à préparer un grand pique-nique contre le projet au mois de juillet.

    Libération

    Quelle bande d'idiots tous ces français qui courent bouffer dans ces saloperies de pseudo restos américains !


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  • Accusé de viol, l'avocat Alex Ursulet placé en garde à vue

    Ce pénaliste réputé, ancien défenseur du meurtrier en série Guy Georges ou de l'ancien maire de Grenoble Alain Carignon, a été radié du barreau de Paris le 31 décembre.

    L'avocat Alex Ursulet, accusé de viol par une ancienne stagiaire, ce qu'il conteste, a été placé en garde à vue mardi à Paris, a-t-on appris mercredi auprès du parquet, confirmant une information de Mediapart

    Ce pénaliste réputé, ancien défenseur du meurtrier en série Guy Georges ou de l'ancien maire de Grenoble Alain Carignon, était toujours auditionné ce mercredi à la mi-journée au 3e district de police judiciaire. 

    L'avocat de 63 ans, ancien conseiller régional RPR de Martinique, est visé par une enquête préliminaire ouverte après la plainte pour "viol" et "harcèlement sexuel" déposée mi-octobre par une jeune femme de 26 ans, également avocate. 

    Ancien associé de Jacques Vergès

    Cette dernière avait effectué un stage dans son cabinet parisien en janvier 2018 dans le cadre de sa formation. Dans sa plainte, révélée par Mediapart, la jeune femme raconte avoir été agressée dans le cabinet d'Alex Ursulet, à l'issue d'un déjeuner au cours duquel ce dernier se serait montré pressant. Elle y produit des attestations de témoins et des copies de SMS. 

    Me Ursulet a de son côté porté plainte pour "dénonciation calomnieuse", mais aussi pour "faux" et "tentative d'escroquerie au jugement". Le Conseil de l'ordre, saisi des faits, l'a radié du barreau de Paris le 31 décembre dernier à l'issue d'une enquête disciplinaire, et Me Ursulet a fait appel de cette décision. 

    L'Express


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  • Colère dans la police : un syndicat appelle les policiers à ne plus interpeller et ne plus verbaliser

    Colère dans la police : un syndicat appelle les policiers à ne plus interpeller et ne plus verbaliser

    Le syndicat Alliance Police Nationale appelle les policiers à un nouveau mouvement de grogne.

    Le mouvement de colère dans la police pourrait prendre une nouvelle forme dans les prochains jours puisque le syndicat Alliance Police Nationale, qui représente les gardiens de la paix et les gradés, appelle les policiers à ne plus procéder à des interpellations et à ne plus dresser de PV.

    « Face au silence du Président, la justesse des actes d’Alliance Police Nationale », est-il mentionné dans ce communiqué diffusé ce lundi en début d’après-midi. « Zéro MAD (mise à disposition, ndlr) ! Zéro PV ! », réclame l’organisation, s’adressant directement aux policiers. « Gérez le maintien de l’ordre si vous le souhaitez », est-il aussi écrit.

    « Des contrôles stricts aux aéroports et postes frontières »

    Alliance appelle également à « appliquer des contrôles stricts aux aéroports et postes frontières ». Une action déjà réalisée par le passé, notamment au moment des négociations sur la réforme des retraites l’an dernier, qui provoque des perturbations et de longues files d’attentes dans les aéroports.

    « Alliance invite tous les collègues à faire leur métier comme le suggèrent les hautes autorités », poursuit le syndicat, qui réclame notamment à être reçu par le président de la République Emmanuel Macron.

    « Service minimum » pour Unité SGP Police FO

    Ce vendredi, le syndicat Unité SGP Police FO d’Île-de-France avait lancé de son côté un appel similaire, demandant aux policiers de passer « en mode débrayage » dans un « service minimum (sauf appel d’urgence) ». L’organisation souhaite de nouvelles négociations avec le gouvernement et réclame de nouvelles mesures sociales pour les policiers.

    Le départ de cette crise dans la police remonte au début du mois de juin et aux déclarations du ministre de l’Intérieur Christophe Castaner qui avait annoncé soudainement la fin de la prise dite de « l’étranglement », également appelée « contrôle tête », expliquant dans le même temps qu’un policier faisant l’objet de « soupçons avérés » de racisme, serait immédiatement suspendu.

    Des déclarations qui ont mis le feu aux poudres, alors même que la profession était pointée du doigt et accusée de toutes parts de « violences policières » et de « racisme », depuis près d’une semaine, suite au décès de Georges Floyd à Minneapolis (États-Unis) après son arrestation visible dans une vidéo amateur insoutenable.

    Une déclaration de Sibeth Ndiaye au cœur d’une nouvelle polémique

    Les syndicats de policiers se sont également indignés ce lundi après une déclaration déroutante de la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, dans laquelle elle affirme ne pas savoir « expliquer » à ses enfants « s’il est normal, ou pas, de jeter des pierres sur les forces de l’ordre ».

    « Écoutez l’intégralité de ma réponse dans « Dimanche en politique » sur France 3 et vous verrez que je dis le contraire de ce que l’on veut me faire dire », a-t-elle réagi sur Twitter ce lundi.

    ACTU 17


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  • 2ème video indiquée - Le Président Bolsonaro demande aux Brésiliens de filmer les hôpitaux pour en vérifier l’occupation

    Margot :

    Bonjour à tous  ! je tiens à vous informer que les infos que les médias nous diffusent sur ce qu'il se passe au Brésil semblent manipulées (vous savez que le président Bolsonaro ne plaît pas aux zélites mondialistes). Alors, à vous de juger ...

    Énorme ! Le Président Bolsonaro demande aux Brésiliens de filmer les hôpitaux pour vérifier l’occupation des lits

    « Ce serait bien que vous alliez dans un hôpital près de chez vous […] et trouviez un moyen d’entrer pour filmer » a lancé Jair Bolsonaro, lors de son intervention hebdomadaire du jeudi 11 juin sur Facebook. Le chef de l’État a demandé aux Brésiliens de filmer les hôpitaux pour rendre compte de l’occupation des lits en pleine pandémie de coronavirus. « Beaucoup de gens le font déjà, mais il en faudrait plus, pour montrer si les lits sont occupés ou non », a-t-il poursuivi, avant d’expliquer que les vidéos publiées sur les réseaux sociaux seraient « filtrées » puis analysées par la police ou les services du renseignement. 

    Réveillez-vous, l’Opération « Covid 19 » est l’objet de la plus grande imposture depuis celle du « 11 septembre 2001 ». TOUT est l’objet de manipulations et de mensonges, TOUT ! Vérifiez et mettez en cause TOUT ce qui est dit à ce sujet venant de sources officielles !

    https://youtu.be/ZJJNK20Eczc (2 mn 50) ou ici https://youtu.be/5vm3oylHI6k (2 mn 50)


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  • Ces mineurs, « orphelins ou cas humanitaires », font désormais l’objet d’un suivi médical et d’une prise en charge par les services sociaux, a précisé le ministère des Affaires étrangères.

    Dix enfants de djihadistes français, qui étaient retenus dans des camps de déplacés sous contrôle kurde en Syrie, ont été rapatriés en France dans la nuit de dimanche à lundi 22 juin, a annoncé le ministère français des Affaires étrangères.

     

    « La France a procédé ce jour au retour de dix jeunes enfants français mineurs, orphelins ou cas humanitaires, qui se trouvaient dans des camps du nord-est de la Syrie », a-t-il indiqué dans un communiqué. Aucune précision n’a été donnée sur leur lieu d’arrivée en France, ni sur les circonstances dans lesquelles ils ont quitté la Syrie.

    « Ces enfants ont été remis aux autorités judiciaires françaises, font désormais l’objet d’un suivi médical particulier et d’une prise en charge par les services sociaux », a seulement précisé le Quai d’Orsay.

     

    Depuis l’effondrement du groupe Etat islamique en mars 2019, la France a ramené 28 enfants de Syrie : cinq en mars 2019, douze en juin 2019 et une fillette souffrant de malformation cardiaque en avril.

    Paris a « remercié » l’administration semi-autonome kurde du nord-est de la Syrie pour sa « coopération » dans ce nouveau rapatriement, soulignant avoir agi « au regard de la situation de ces jeunes enfants particulièrement vulnérables et dans le cadre des autorisations données par les responsables locaux »

    8 000 enfants détenus dans des camps kurdes

    Selon le collectif Familles unies, qui regroupe des proches de ces enfants en France, quelque 300 enfants de djihadistes français sont retenus sous des tentes dans les camps d’Al-Hol et de Roj dans le nord-est de la Syrie. Le collectif demande régulièrement aux autorités françaises d’organiser le rapatriement de ces enfants, ainsi que celui de leurs mères.

    La France rechigne à ramener les quelque 150 adultes, hommes et femmes, qu’elle estime complices de Daech et dont elle souhaite le jugement sur place. La situation est par ailleurs compliquée pour les enfants non orphelins, pour lesquels l’autorisation de la mère est nécessaire.

     

    Les autorités kurdes affirment détenir environ 12 000 étrangers, 4 000 femmes et 8 000 enfants, dans trois camps de déplacés du nord-est, la grande majorité dans celui d’Al-Hol. Elles ont souvent appelé les pays concernés à rapatrier leurs ressortissants, affirmant ne pas être en mesure de les garder beaucoup plus longtemps. Un appel aussi régulièrement relayé par les Etats-Unis qui s’inquiètent du risque d’évasion et de dispersion des djihadistes.

    Treize djihadistes françaises, dont Hayat Boumedienne, la compagne de l’un des auteurs des attentats de janvier 2015 en France, se sont évadées des camps où elles étaient détenues, selon le Centre d’analyse du terrorisme (CAT). En 2019, 517 personnes, dont 371 enfants, sont mortes dans le camp d’Al-Hol, a indiqué mi-janvier à l’AFP une responsable du Croissant-Rouge kurde dans le camp.

    L'OBS


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  • Deux policiers étaient hors service et passaient une soirée tranquille dans un bar du Mans (Sarthe) lorsqu’ils sont intervenus en voyant une altercation entre clients. Agressés et frappés, ils ont préféré ne pas réagir par peur de se retrouver mis en cause.

    L’affaire est en lien avec la période difficile traversée par les forces de l’ordre actuellement. La police fait face à de très nombreuses critiques ces dernières semaines, suite à la mort de Georges Floyd à Minneapolis aux États-Unis. Par peur d’être mis en cause, deux policiers hors service ont préféré ne pas réagir aux coups de leurs agresseurs dans la nuit du jeudi 11 au vendredi 12 juin dernier, au Mans, raconte Le Parisien.

    La soirée se passait normalement. Les deux policiers affectés à la CRS 10 du Mans venaient de fêter le départ de l’un de leurs collègues et ont décidé de se rendre dans un bar, situé près de la préfecture de la Sarthe.

     

    L’heure de fermeture de l’établissement approchait lorsque les deux fonctionnaires ont constaté une altercation qui était en train de s’envenimer entre plusieurs clients, à l’extérieur.

    Ils disent qu’ils sont policiers, la situation dégénère

    L’un des policiers que nous appellerons Franck, a décidé de sortir pour tenter de calmer la situation et défendre les personnes prises à partie. Son collègue a choisi de le rejoindre pour ne pas le laisser seul a-t-il expliqué le lendemain dans son audition.

     

    « Ensuite, c’est parti en vrille. Franck a fait étalage de notre qualité. Il a dit : Nous sommes de la police, calmez-vous. Cela n’a rien changé. Cela a même eu l’effet inverse », a-t-il déclaré aux enquêteurs.

    Les deux CRS en civil se sont retrouvés face à deux femmes surexcitées dont une mineure, ainsi qu’un homme plus calme. Ils ont finalement convenu de revenir dans le bar. C’est à ce moment-là que Franck a été violemment attaqué par cet homme. Son collègue décrit « une pluie de coups » alors qu’il était « au sol, en position fœtus ».

    « Je n’ai pas souhaité la frapper car c’était une femme, noire qui plus est »

    La victime est parvenue tant bien que mal à se relever. Elle a alors constaté qu’une de ses jambes était fracturée. Le fonctionnaire souffre en effet d’une double fracture tibia-péroné.

    Son collègue a lui aussi été frappé par une femme, au visage. Ce dernier qui mesure 2 mètres et pèse 110 kg, a décidé de ne pas réagir. « Je n’ai pas souhaité la frapper car c’était une femme, noire qui plus est. Avec le contexte particulier du moment, je ne voulais surtout pas que l’on parle de violences policières »a-t-il déclaré lors de son audition, relate le quotidien francilien. Le fonctionnaire craignait d’être pointé du doigt et mis en cause.

    45 jours d’ITT

    Une version des faits qui a été confirmée par un témoin mais également par le parquet, qui a souligné que les trois interpellés ne présentaient « aucune trace ». Conduit à l’hôpital, Franck s’est vu attribuer 45 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

    Les trois suspects ont été placés en garde à vue puis mis en examen dans cette affaire. Deux ont été placés en détention provisoire, le troisième a été laissé libre sous contrôle judiciaire. En outre, une information judiciaire a été ouverte pour violences ayant entraîné une ITT supérieure à huit jours en réunion et en état d’ivresse manifeste sur personne dépositaire de l’autorité publique.

    Le syndicat Alliance CRS interrogé par France Bleu évoque « un lynchage »« Ils se sont freinés pour ne pas être taxés de violence à leur tour », a ajouté l’organisation qui dénonce « une ambiance anti-flic actuellement répandue en France ».

    ACTU 17

    Maintenant, les flics se laissent tabasser par une femme noire de peur qu'on les traite de racistes ! Bravo castaner !


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  • Au Sahel, une bonne nouvelle sur le front de la lutte contre le djihadisme est souvent effacée par une mauvaise. Après l'élimination le 3 juin par les forces françaises d'Abdelmalek Droukdel, chef d'Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), voilà que le président du Mali était contesté ce vendredi dans la rue par des foules immenses, et ce, pour la deuxième fois depuis le début du mois.

    Ses adversaires, qui l'accusent d'être incompétent, corrompu et de manquer d'imagination et d'audace, exigent son départ, tandis que la Communauté des États de l'Afrique de l'Ouest tente une médiation pour essayer de le convaincre de former un gouvernement d'union nationale. L'instabilité et l'immobilisme, voilà les deux maux que redoute la France au Mali et dans les pays voisins alors que les opérations militaires contre les djihadistes durent depuis sept ans.

    À Paris, on estime que c'est à ce gouvernement malien de "recréer un lien de confiance avec son propre peuple". On note au ministère des Armées que les mouvements de foule anti-Français de l'an dernier ont davantage laissé la place aujourd'hui à une colère dont la seule cible est le président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), 75 ans. 

    Sans nouvelles du principal opposant au président IBK

    C'est lui qui doit représenter son pays dans une dizaine de jours à un nouveau sommet du G5 Sahel pour rendre compte des efforts qu'il avait promis de fournir, l'hiver dernier lors d'une précédente rencontre à Pau, en vue d'améliorer le dialogue politique dans son pays et assurer le retour progressif de l'État auprès des populations ciblées par les djihadistes. 

    Si l'armée malienne s'est lentement engagée à intégrer des éléments de la rébellion touareg dans ses rangs dans la région de Kidal (Nord), et si des expériences prometteuses de retour des juges et des instituteurs sont observées ici ou là dans le centre du pays, la dynamique politique n'est pas à la hauteur des exigences formulées à Pau. On s'étonne ainsi à Paris de n'avoir aucune nouvelle du principal opposant au président IBK, Soumaïla Cissé, enlevé fin mars. Et on n'est pas rassuré de voir croître au sein de l'opinion une forme de popularité en faveur de l'imam Mahmoud Dicko, tenant d'un islam wahhabite appris en Arabie saoudite, aux intentions politiques ambiguës.

    C'est dans ce contexte politique que les forces françaises au Sahel s'attendent à des représailles militaires d'Aqmi dès que ce groupe se sera doté d'un nouveau chef. "On est sur nos gardes", signale un officiel français.

     Le JDD.fr


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  • Vous vous souvenez l'année dernière !

     


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  • L’étrange arrêt-maladie d’Assa Traoré

    La porte-parole du comité Vérité pour Adama était salariée de l’Oeuvre de protection des enfants juifs-Baron Edmond de Rothschild jusqu’en décembre 2019. Elle a milité pendant un an alors qu’elle était officiellement en arrêt-maladie.

    LIEN de l'article :

    https://www.causeur.fr/arret-maladie-assa-traore-rothschild-178173


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  • CONTRE LES RASSEMBLEMENTS POUR LES TRAORÉ

    La pétition

    Messieurs les Membres du gouvernement,

    Par cette présente, je ne peux plus accepter votre inaction sur les rassemblements organisés par Assa Traoré 

    Ces rassemblements s'apparentent à un racisme. Très prononcé. Anti blanc 

    Il faut maintenant sanctionner ces rassemblements. Et poursuivre la famille Traoré responsable des émeutes en France.  

    https://www.mesopinions.com/petition/politique/contre-rassemblements-traore/92161  

     

    J'ai signé : 

    Chantal - 21/06/2020 à 11:43:39

    Famille Traoré, famille de truands

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  • L'Élysée a annoncé vendredi que le Conseil supérieur de la magistrature allait être saisi après les propos de l'ex-cheffe du parquet national financier, Eliane Houlette, qui ont suscité des accusations d'"instrumentalisation" de la justice dans l'affaire Fillon. 


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  • 32 députés (LREM, MoDem, Agir ensemble) ont lancé dans un communiqué ce jeudi, un appel au ministère de l’Intérieur afin qu’il se penche sur le fléau des suicides dans la police, dénonçant dans le même temps une « stigmatisation injuste » des forces de l’ordre.

    « Et les suicides dans la police, on en parle ? ». C’est le titre du communiqué de presse signé par 32 députés ce jeudi, alors que la police nationale traverse une crise depuis une dizaine de jours, suite aux propos de Christophe Castaner notamment« Depuis quelques jours, les forces de l’ordre sont victimes d’une stigmatisation injuste », peut-on lire en introduction.

    Deux policiers se sont donné la mort au début du mois de juin et au moins 15 autres depuis le début de l’année. L’un était affecté au 3ème District de police judiciaire (DPJ), le second à la police aux frontières (PAF), à Chambéry (Savoie). « Le suicide d’un policier ne surprend plus, et devient une habitude sourde. Cette quasi indifférence devrait nous révolter », soulignent les élus dont font partie François Jolivet (Indre), ainsi que l’ex-patron du RAID Jean-Michel Fauvergue (Seine-et-Marne).

     

    « Si le racisme et les autres formes d’intolérance doivent être sanctionnés, le dérapage de certains ne doit pas conduire à la défiance de tous. La France n’est pas l’Amérique », explique-t-ils, en faisait référence à la mort de Georges Floyd des suites de son interpellation à Minneapolis, aux États-Unis.

    « Comment oublier l’assassinat à leur domicile de Jean-Baptiste Salvaing et de Jessica Schneider ? »

    « En 2015, la France a été touchée dans son cœur par des attentats meurtriers. Ce sont nos policiers et nos gendarmes qui se sont trouvés en première ligne face à la barbarie terroriste pour sauver des vies. Cette année là, ils ont été applaudis pour cela. En 2016 à Magnanville, ils ont aussi été les victimes du terrorisme. Comment oublier l’assassinat à leur domicile de Jean-Baptiste Salvaing et de Jessica Schneider ? », ont-il ensuite écrit.

     

    « Confrontées aux maux de la société, les forces de sécurité intérieure ont défendu l’ordre Républicain. Elles ont dû faire face à des actes violents, conduits par cette gangrène des groupuscules d’extrême gauche et d’extrême droite », rappellent les députés, et de poursuivre : « Dans toutes les situations, il y a toujours quelque chose qui nous ramène à la police. Imaginons, ne serait-ce qu’un instant, qu’elle ne soit plus là ».

    « 1200 fonctionnaires se sont donné la mort en 25 ans »

    « Alors qu’ils se sont engagés pour servir, les policiers sont le réceptacle de la haine. Sont-ils formés pour cela ? Leurs visages sont largement diffusés sur des réseaux « antisociaux », comme si la garantie de leur anonymat ne comptait plus. Sous les uniformes, n’oublions pas qu’il y a des femmes et des hommes, des pères et des mères de famille », insiste le communiqué.

    « 1200 fonctionnaires se sont donné la mort en 25 ans, et cet acte ultime a augmenté
    de près de 70% en 2019. Pourquoi celles et ceux qui nous protègent se donnent parfois la mort ? », s’interrogent les élus. « Nous devons appréhender cette douloureuse réalité, et en connaitre les causes. D’autres pays, comme le Canada, ont déjà travaillé sur des politiques de prévention. Leurs résultats sont encourageants, et doivent nous inspirer ».

     

    « En France, des associations d’aide et d’écoute demandent la mise en place de mesures de soutien et de prévention. Celles-ci, mobilisées au plus près de leurs collègues en difficulté, apportent déjà un début de réponse. Il faut construire en lien avec ces acteurs une nouvelle doctrine qui prendrait en compte ce risque », peut-on lire.

    « Quand le Ministère de l’Intérieur ouvrira-t-il ce débat courageux et nécessaire en interne ? »

    Le communiqué s’adresse ensuite au ministre de l’Intérieur Christophe Castaner ainsi qu’au parlement. « Quand le Ministère de l’Intérieur ouvrira-t-il ce débat courageux et nécessaire en interne, plutôt que de confier cette responsabilité à des consultants ? À défaut, il appartiendra au Parlement de s’emparer de ce sujet, conformément aux pouvoirs qui lui sont dévolus au titre de sa mission d’évaluation et de contrôle ».

    Avant de conclure : « Sans sécurité, l’exercice de nos propres libertés est impossible. La sécurité, c’est le premier bien des Français. Nous ne devons pas l’oublier, en soutenant les femmes et les hommes qui portent cette charge ».

    ACTU 17


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