• Air France, Accor Hôtels, Renault, Altran, Arkema, Rexel et Sopra Steria avaient été pointés du doigt en février, après une grande opération de testing organisée par le gouvernement.

    Sept grandes entreprises françaises épinglées pour discrimination à l’embauche ont été convoquées par le gouvernement pour suivre une formation, selon Franceinfo qui cite le cabinet de Marlène Schiappa dans un article paru ce vendredi 19 juin.

    Air France, Accor Hôtels, Renault, Altran, Arkema, Rexel et Sopra Steria avaient été épinglés pour « présomption de discrimination à l’embauche » en février, à la suite d’une grande opération de testing, le gouvernement adoptant la stratégie du « name and shame », consistant à publiquement pointer du doigt les entreprises.

     

    Des CV identiques, avec comme uniques différences l’origine du candidat et/ou une adresse dans un quartier populaire, avaient été envoyés aux entreprises pour observer les méthodes de recrutement, rappelle Franceinfo.

    Une formation en juillet

    Pour l’heure, quatre des sept entreprises, dont Air France, Rexel ou encore Sopra Steria, auraient répondu favorablement à l’invitation du gouvernement. La formation doit avoir lieu en juillet dans les locaux du secrétariat d’Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommes.

    En février, après l’annonce des résultats de ce que le secrétariat d’Etat qualifiait de « plus grand testing jamais réalisé en France sur l’emploi », la plupart des entreprises en avaient rejeté les résultats, mettant en cause les méthodes employées.

    L'OBS


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  • Le rappeur Moha La Squale interpellé et placé en garde à vue à ParisMoha La Squale a été placé en garde à vue vendredi dans le XVIIIe arrondissement de Paris pour refus d'obtempérer, violence sur agen

    Moha La Squale a été placé en garde à vue vendredi dans le XVIIIe arrondissement de Paris pour refus d'obtempérer, violence sur agent de la force publique et rébellion.

     

    Le rappeur Mohamed Bellahmed, dit Moha la Squale, a été placé en garde à vue vendredi dans le XVIIIe arrondissement de Paris après un contrôle routier, pour refus d'obtempérer, violence sur agent de la force publique et rébellion, a-t-on appris de source policière.

     

    C'est lors d'un contrôle routier dans le XVIIIe arrondissement, dans le nord de Paris, que les policiers se sont aperçus que la personne qu'ils contrôlaient faisait l'objet d'un mandat d'arrêt pour refus d'obtempérer, selon cette source policière.

    Vidéos de l'interpellation

    Cette personne a toutefois réussi à prendre la fuite à pied avant d'être rattrapée et "difficilement menottée", alors que l'amie qui l'accompagnait et filmait la scène a tenté d'agripper le bras d'un policier, selon cette même source.

    Plusieurs vidéos de l'interpellation circulant sur les réseaux sociaux montrent en effet un homme à terre et trois policiers qui essaient de le menotter alors qu'une jeune femme filme la scène.

    Sur les vidéos on voit également qu'elle agrippe le bras d'un des trois policiers, qui essaie de menotter l'homme. Un deuxième policier à terre donne un coup de pied à la jeune femme qui s'écarte alors que des passants crient "c'est Moha la squale". Ce que confirme l'homme interpellé, une fois menotté, en criant "c'est Moha la Squale, l'équipe". Le rappeur parisien de 25 ans a été placé en garde à vue pour refus d'obtempérer (objet de son mandat de recherche), violence sur agent de la force publique et rébellion. Son amie a été placée en garde à vue pour violence sur agent de la force publique et entrave à l'action de la police.

    BFM.TV

    Il a fait exprès de ne pas se laisser faire pour pousser les policiers à le bousculer !


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  • La France de Macron, entre soumission et chaos permanents

    Le chaos à Dijon, c’est une nouvelle illustration du naufrage d’une nation civilisée qui se soumet aux  assauts de la barbarie. La France est tout simplement en train de disparaître et d’effacer ses 2000 ans d’Histoire.

    Pendant que se déroule le procès des forces de l’ordre, taxées de racisme et de violences volontaires, Maghrébins et Tchétchènes s’affrontent à balles réelles en toute impunité, puisque la police a été désarmée moralement.

    La sauvagerie, voilà maintenant quarante ans que nous l’avons importée avec une immigration de masse incontrôlée.

    La France, qui vivait en paix et en sécurité avant les vagues migratoires extra-européennes, se transforme en pays du tiers-monde de plus en plus dangereux.

    Les naïfs bobos immigrationnistes qui se croyaient bien à l’abri dans les centres-villes, découvrent avec effroi que la violence a quitté les quartiers et ne connaît plus de frontières intérieures. Ces idiots n’ont que 40 ans de retard sur les mises en garde que claironnait  JMLP dès 1980. Un vrai patriote amoureux de la France et un sage, que l’establishment a préféré diaboliser alors qu’il avait raison, seul contre tous.

    Tous commencent à réaliser que Gérard Collomb, qui nous promettait  un « face-à-face et des problèmes immenses », disait vrai. L’avenir s’annonce sanglant.

    Dijon, c’est la réalité monstrueuse de l’échec du « vivre-ensemble ». Le racisme et  la haine au quotidien, sur fond de trafic de drogue et de défense de territoires, entre communautés qui se détestent  mais qui vomissent également la France parce qu’elle est faible et que ses dirigeants sont des lâches.

    Il est clair que l’exécutif a totalement perdu le contrôle de la situation face aux communautés qui se livrent ouvertement à une véritable guerre ethnique, faisant cracher leur kalachnikov devant les policiers impuissants.

    Dijon, c’est Bagdad. Tchétchènes et Maghrébins règlent  leurs comptes en transformant le quartier des Grésilles en zone de guerre.

    Et l’inénarrable Rebsamen, incapable d’assurer la sécurité de ses administrés, celui qui veut régulariser tous les clandestins, déclare Marine Le Pen « persona non grata » dans sa ville.

    Toutes les racailles de la planète sont les bienvenues à Dijon, mais pas la présidente du principal parti patriote de ce pays, que Rebsamen compare à « un vautour venu dépecer la ville ou la République ». Une telle haine du RN, seul parti qui défend le peuple français et veut sauver le pays du naufrage identitaire et de la guerre civile, est tout simplement écœurante.

    https://www.valeursactuelles.com/politique/video-marine-le-pen-nest-pas-la-bienvenue-dijon-menace-le-maire-de-la-ville-120615

    Les rafales d’armes automatiques crépitent sous l’assaut des Tchétchènes, mais c’est Marine qui met la ville en danger !

    Toutes les coutures de la République sont en train de craquer une à une  parce que Macron est incapable d’assurer sa fonction régalienne, à la fois par lâcheté et par idéologie multiculturaliste.

    Ce n’est que soumission et recul de l’État de droit. C’est la loi du plus fort, c’est-à-dire la loi de la kalachnikov. Ce sont des groupes armés qui sévissent dans nos rues.

    Les armes automatiques remplacent les banderoles.

    Police et gendarmerie sont diabolisées et taxées de racisme ? Castaner se dit prêt à s’agenouiller en signe de soumission et de repentance.

    Camélia Jordana déclare que la police massacre les gens pour leur couleur de peau ? Castaner fait la sourde oreille.

    La LDNA  exhorte les Noirs à tuer des Blancs, des Indiens, des Asiatiques devant l’ambassade d’Afrique du Sud ? Aucune réaction des autorités.

    Les cités sont des zones de non-droit soumises à la loi de caïds et des barbus ? Macron ordonne aux policiers de faire profil bas et de ne pas intervenir.

    Les islamistes s’activent dans leur projet séparatiste ? Macron dénonce l’islamophobie et  tue la liberté d’expression avec la loi Avia.

    Le Comité Traoré et ses soutiens islamo-gauchistes veulent faire annuler les expertises qui dédouanent les gendarmes ? Macron demande à la garde des Sceaux de recevoir la famille Traoré en pleine procédure judiciaire !

    Les rixes interethniques explosent dans toute la France, entre Arabes et Gitans, entre Afghans et Soudanais, entre Maghrébins et Albanais ? Macron ouvre encore plus largement les frontières.

    Les Gaulois sont victimes de 1 000 agressions gratuites par jour ? Macron fait  vider les prisons et libère 15 000 détenus, soit 20 % de la population carcérale.

    Mais quand Marion déclare qu’elle n’a pas à s’excuser d’être blanche, une plainte est aussitôt déposée pour racisme…

    Et dans cette violence interethnique totalement importée, qui détruit peu à peu le pays et transforme des quartiers entiers en bande de Gaza où la loi a totalement disparu, ce sont les Blancs, ces juifs et chrétiens haïs, qui sont les les plus visés car totalement sans défense.

    Ils cumulent tous les handicaps. Pour eux, littéralement abandonnés par la République au nom du politiquement correct, c’est la quadruple peine.

    On leur a supprimé la liberté d’expression en les traînant en justice pour incitation à la haine, dès qu’ils entendent défendre leur identité et leurs racines culturelles.

    On leur a supprimé le droit à la légitime défense, les livrant ainsi à la violence des agresseurs sans pouvoir riposter.

    On leur a interdit de posséder une arme pour se protéger chez eux.

    Et pour faire bonne mesure, le racisme anti-Blancs n’est pratiquement jamais reconnu par les juges, alors que les natifs sont victimes de la quasi-totalité des actes racistes.

    La France court à la catastrophe. La guerre civile se profile à l’horizon. Quand les kalachnikovs crachent pendant quatre jours, on n’est plus dans un règlement de comptes isolé mais dans un affrontement armé de grande ampleur.

    Les 30 000 Tchétchènes  vivant en France, la plus faible communauté extra-européenne, sont capables de mettre la République en échec !

    Qu’en sera-t-il si seulement 1 millième de nos 15 millions d’immigrés extra-européens déclenchent une insurrection généralisée comme en 2005 ?

    Pourtant, la réponse existe pour restaurer l’autorité de l’État face à la menace séparatiste qui se profile, avec son cortège de violences.

    Arrêt de l’immigration, expulsion des étrangers rebelles, déchéance de la nationalité française pour les délinquants, suppression du droit du sol et de la double nationalité, durcissement de la réponse pénale, sont la réponse minimale pour sauver la France du chaos racial.

    Hélas, Macron est bien incapable d’assumer avec courage de telles mesures de bon sens. Il prépare sa réélection en 2022 pour nous conduire à la désintégration de la France.

    Jacques Guillemain - Riposte laïque

    Ex-officier de l’armée de l’air. Pilote de ligne retraité. Un “lépreux” parmi ces millions de patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel.


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  • Trois mois après le début de la crise sanitaire, les soignants seront de retour dans la rue ce mardi 16 juin, pour réclamer plus de moyens dans l'hôpital. 


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  • La technique controversée dite de "l'étranglement", dont l'abandon annoncé par Christophe Castaner a suscité la colère des policiers, "continuera d'être mise en oeuvre" jusqu'à ce qu'une nouvelle technique d'interpellation soit définie, a indiqué ce lundi le chef de la police nationale.

    "Dans l'attente de la définition d'un nouveau cadre et dans la mesure où les circonstances l'exigent, la technique dite de l'étranglement continuera d'être mise en oeuvre avec mesure et discernement et sera remplacée au fur et à mesure de la formation individuelle dispensée (...)", écrit le directeur général de la police nationale (DGPN), dans une note de service consultée.

    Groupe de travail

    Le patron de la police nationale, Frédéric Veaux, précise qu'un groupe de travail sera installé mercredi prochain "pour définir une technique de substitution". Il rendra ses conclusions "avant le 1er septembre". Frédéric Veaux rappelle par ailleurs que "la 'prise arrière' pour immobiliser la personne debout ou l'entraîner au sol afin de la menotter est toujours enseignée et appliquée".

    L'annonce de l'abandon de la clé d'"étranglement" par Christophe Castaner, le 8 juin, avait provoqué la colère des syndicats de police et des agents sur le terrain. "La méthode de la prise par le cou, dite de l'étranglement sera abandonnée et ne sera plus enseignée dans les écoles de police et de gendarmerie. C'était une méthode qui comportait des dangers", avait affirmé Christophe Castaner, lors d'une conférence de presse.

    L'EXPESS


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  • Le feu a dévasté la «Perle», un sous-marin nucléaire d'attaque, alors que l'industriel Naval Group en assurait la maintenance à Toulon. Un nouvel incident qui pourrait tendre les relations entre le ministère des Armées et le géant de l'armement.

    Moins que l’avarie d’eau, c’est le feu que redoutent les marins, a fortiori les sous-mariniers. Vendredi, il n’était pas en mission quand un violent incendie s’est déclenché dans le sous-marin nucléaire d’attaque Perle, dans son port d’attache à Toulon. Il faudra plus de douze heures et l’intervention de 300 pompiers pour en venir à bout. Le bâtiment était en cale sèche, en raison d’une maintenance majeure entamée il y a plusieurs mois. Elle devait durer jusqu’en janvier 2021 afin de prolonger son service jusqu’en 2029. Il est désormais question que la Perle, opérationnelle depuis 1993, ne retourne jamais à l’eau, désorganisant gravement les missions de la marine.

     

    Dès vendredi, la marine et la ministre des Armées ont voulu rassurer sur les possibles dégâts environnementaux : «Aucun combustible nucléaire, aucune arme, ni missile, ni torpille, ni munition n’était à bord», a-t-elle souligné. Le préfet du Var a déclaré samedi que «trois études [avaient] conclu à l’absence de pollution significative de l’air». Les sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) n’emportent pas l’arme atomique, contrairement aux quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engin (SNLE), stationnés sur l’île Longue, en face de Brest.

    Dissuasion et porte-avions prioritaires

    Leurs missions sont très différentes : s’ils accompagnent les SNLE avant qu’ils disparaissent dans l’océan (la «dilution»), les sous-marins nucléaires d’attaques servent aussi à escorter le porte-avions lors de ses déploiements, à chasser d’autres sous-marins proches des côtes ou à proximité d’autres bateaux français, à faire du renseignement, voire à déployer des forces spéciales. Ces deux premières missions, au profit de la dissuasion et du porte-avions, seront maintenues en priorité si la marine doit réduire la voilure, ce qui est probable.

    Car l’incendie est intervenu au plus mauvais moment : depuis un an, l’escadrille ne compte plus que cinq sous-marins, le sixième étant en cours de désarmement à Cherbourg. Seuls trois sont aujourd’hui effectivement à la mer. De classe Rubis, ils sont entrés en service à partir du milieu des années 1980 et commencent à salement vieillir, malgré des maintenances d’ampleur. La nouvelle génération, les «Barracudas», devrait déjà être en service, mais l’industriel, Naval Group, a accumulé les retards. Résultat, le premier de cette classe, appelé Suffren, vient à peine de plonger pour la première fois dans la Manche. Il ne sera admis en service qu’en janvier 2021, puis plusieurs mois d’essais à la mer seront nécessaires avant qu’il soit pleinement opérationnel. La marine espérait avoir d’ici là retrouvé la Perle, à l’issue de sa maintenance majeure, retardée à cause de la crise du Covid. C’est raté.

    Etablir les responsabilités

    La ministre des Armées, Florence Parly, a demandé qu’un diagnostic aussi précis que possible soit rendu très rapidement, pour être à même de décider d’ici à fin juillet s’il est raisonnable de lancer des réparations. L’incident risque fort de tendre les relations entre l’industriel et le ministère. Pendant sa révision, le sous-marin «n’appartenait» plus à la marine, mais à Naval Group, qui en assurait la maîtrise d’œuvre, comprenant la sécurité incendie. La hiérarchie militaire est bien décidée à se plonger dans les contrats pour établir les responsabilités, y compris juridiques, de chacun.

    Demeure cette interrogation : comment un tel feu a-t-il pu grandir au point de dévaster le bateau ? Les pompiers de la base sont intervenus en sept minutes, mais la situation était déjà critique autour du foyer, à l’avant. A la mer, les marins estiment que tout départ de feu a 80% de chance d’être circonscrit en intervenant dessus dans les cinq premières minutes, et s’organisent en conséquence. Vendredi, des travaux de soudure étaient apparemment en cours avant l’incendie. Plusieurs enquêtes, judiciaires et administratives, sont lancées afin de déterminer comment un incendie en cale sèche pourrait rendre borgne sous les mers «la deuxième puissance océanique mondiale», ainsi que l’a fièrement rappelé Emmanuel Macron dans son allocution dimanche soir !!!

    Libération

    Pauvre France !


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  • Un homme de 28 ans a été arrêté, soupçonné d'avoir uriné sur une plaque installée en hommage à un policier tué lors d'une attaque terroriste en 2017 près du parlement britannique, a annoncé dimanche la police de Londres.

    La photographie d'un homme urinant près du monument samedi, au moment où des militants d'extrême-droite manifestaient dans le centre de Londres, jetant des projectiles et prenant à partie la police, a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux, provoquant des réactions indignées.

     

    Un homme de 28 ans a été arrêté, soupçonné d'"outrage à la décence publique" après s'être présenté de lui-même dans un commissariat de police, a indiqué Scotland Yard. Le policier Keith Palmer, 48 ans, avait été poignardé à mort en mars 2017 près du parlement par Khalid Masood, un Britannique de 52 ans converti à l'islam et connu des services de police, qui venait de faucher des piétons avec sa voiture sur le pont de Westminster. Au total, cinq personnes avaient péri dans cette attaque revendiquée par Daesh.

    "Hooliganisme aveugle"

    La ministre de l'Intérieur Priti Patel a jugé "absolument épouvantable et honteux" la dégradation de la plaque posée en hommage au policier, condamnant également les affrontements samedi entre des militants d'extrême-droite et la police. Au total, 113 personnes ont été arrêtées notamment pour trouble à l'ordre public, attaque contre des policiers et possession d'armes, à la suite des manifestations de samedi dans le centre de Londres, et 23 policiers ont été blessés, a indiqué la police métropolitaine dans un communiqué distinct dimanche.

    Le commandant Bas Javid a jugé "absolument choquants" les événements de samedi.

    "Le hooliganisme aveugle comme celui-ci est totalement inacceptable et je suis heureux que des arrestations aient été faites. Nous allons maintenant travailler en étroite collaboration avec les tribunaux pour obtenir justice", a-t-il dit, cité dans le communiqué.

    BFM.TV


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  • Marche pour Adama Traoré: Génération identitaire provoque avec une banderole contre le racisme anti blanc !

    «On vient de sortir du commissariat et finalement il n’y a pas eu de garde à vue, il n’y a pas eu de poursuites non plus. On est contents parce que l’action a vraiment bien marché», affirme-t-il en remerciant les soutiens. «On lâchera pas l’affaire, on va continuer à militer et on vous donne rendez-vous à la prochaine action.»


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  • Parce qu'il faut préférer la solidarité à la charité : c'est ce que nous raconte Jonathan Duong 


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  • Paris : Le cinéma Le Grand Rex annule une projection du film « Autant en emporte le vent »

    L'annulation de la séance intervient après une polémique autour de HBO Max et la relance du mouvement antiracisme aux Etats-Unis

    La foudre s’abat sur Autant en emporte le vent. Le cinéma parisien Le Grand Rex a annoncé vendredi l’annulation d’une projection du classique hollywoodien prévue le 23 juin, à la demande du studio américain Warner, en raison d’une polémique sur le film. « La Warner Bros nous indique qu’elle souhaite annuler la projection de Autant en emporte le vent. Merci de votre compréhension », a indiqué sur Twitter l’équipe de ce lieu de cinéma et de spectacles. 

    Sur son site Internet, elle précise que « toutes les personnes ayant réservé une place » seront « automatiquement remboursées. » La projection était prévue le 23 juin, au lendemain de la réouverture des cinémas en France, dans sa grande salle qui peut accueillir 2.700 personnes.

    Cette décision intervient alors que le mouvement « Black lives matter », relancé après la mort de George Floyd​ aux Etats-Unis, chamboule le monde du spectacle et de la culture.

    La polémique HBO Max deux jours auparavant

    Lancée fin mai, HBO Max a décidé de retirer temporairement de son catalogue le film multi-oscarisé de Victor Fleming avec Clark Gable et Vivien Leigh, au motif qu’il « dépeint des préjugés racistes qui étaient communs dans la société américaine. »

    La toute nouvelle plateforme prévoit de remettre en ligne le film avec des éléments de contexte. Autant en emporte le vent, qui raconte l’histoire de Scarlett O’Hara et Rhett Butler sur fond de guerre de Sécession, est considéré comme l’un des plus gros succès de l’histoire du cinéma.

    20 Minutes

    Cela devient ridicule !


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  • Cluster dans les Bouches-du-Rhône : comment des saisonniers latinos-américains ont-ils pu venir en France pendant la crise sanitaire ?

    © NICOLAS TUCAT Des ouvriers agricoles récoltent des fraises dans une ferme du Lot-et-Garonne, le 24 mars.

    Plus de cent travailleurs agricoles ont été testés positifs au Covid-19 dans les Bouches-du-Rhône. Parmi eux, on retrouve de nombreux saisonniers agricoles venus d’Amérique latine, recrutés par une société d’intérim espagnole.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/cluster-daPlus dns-les-bouches-du-rh%c3%b4ne-comment-des-saisonniers-latinos-am%c3%a9ricains-ont-ils-pu-venir-en-france-pendant-la-crise-sanitaire/ar-BB15oH3o?ocid=msedgntp

    On croit rêver !


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  • Twitter a annoncé vendredi la fermeture de plusieurs dizaines de milliers de comptes "liés aux États" chinois, russe et turc et utilisés à des fins de propagande et de désinformation.

    Twitter frappe à nouveau. Le réseau social a annoncé vendredi 12 juin avoir fermé plus de 30 000 comptes "liés au États" chinois, russe et turc, et qui étaient utilisés à des fins de propagande et de désinformation.

    La plateforme a indiqué avoir désactivé un "noyau" de 23 750 comptes liés à la Chine et relayés par quelque 150 000 autres comptes servant "d'amplificateurs". Twitter a en outre fermé 7 340 comptes liés à la Turquie et 1 152 comptes liés à la Russie.

    Tous ces comptes ont été fermés, mais leur contenu a été sauvegardé sur une base de données à des fins de recherche scientifique, a précisé Twitter. 

    Diffuser des "théories trompeuses sur Hong Kong"

    Le géant américain a expliqué que le réseau de comptes chinois avait été découvert à l'aide d'outils mis en place en août 2019, qui visaient à effacer les comptes liés à Pékin lors des manifestations pro-démocratie à Hong Kong.

    Ce réseau publiait des tweets, principalement en chinois et vraisemblablement destinés à la diaspora, "diffusant des théories géopolitiques favorables au Parti communiste chinois, tout en soutenant des théories trompeuses sur la dynamique politique à Hong Kong", a expliqué Twitter dans une note d'analyse.

    Ces milliers de comptes ont également servi à promouvoir les vues de Pékin concernant la lutte contre le coronavirus, puis les manifestations antiracistes aux États-Unis, a indiqué le groupe de réflexion australien ASPI, qui a analysé le flux de tweets.

    "Alors que le Parti communiste chinois n'autorise pas le peuple chinois à utiliser Twitter, notre analyse montre qu'il n'hésite pas à s'en servir pour répandre de la propagande et de la désinformation au niveau international", a estimé l'un des responsables d'ASPI, Fergus Hanson, dans sa note d'analyse.

    Promotion des présidents Erdogan et Poutine

    Quant au réseau de comptes turcs, détecté début 2020, il se consacrait principalement à la promotion du président Recep Tayyip Erdogan et du parti au pouvoir, selon Twitter. Les comptes russes servaient eux aussi à promouvoir le parti au pouvoir et à attaquer ses détracteurs.

    France 24 Avec AFP


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  • Fronde des policiers : "Castaner est indigne d'être le ministre de l'Intérieur"

    La relation de confiance entre les policiers et Christophe Castaner, après les annonces de ce dernier sur le racisme et les techniques d'interpellation, est-elle rompue ? En grande partie, selon Yves Lefebvre, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police-Force ouvrière, invité d'Europe 1 jeudi soir après avoir été reçu par le ministre de l'Intérieur : "Depuis lundi, Christophe Castaner est indigne d'être le ministre de l'Intérieur", affirme le responsable.

    Jeudi après-midi, Christophe Castaner a reçu les syndicats de policiers, trois jours après un discours dans lequel il évoque des "sanctions" en cas de "soupçons avérés" de propos ou actes racistes émanant de policiers. Yves Lefebvre décrit de manière imagée une rencontre déséquilibrée avec des syndicats en pleine fronde :  "C'est le Christophe Castaner qui était tel un boxeur, dans un coin du ring, assis sur sa chaise, qui en a pris plein la tronche pendant une heure et quart", lâche le syndicaliste.

    "Castaner a lâché sa police"

    Le ministre en a pris "plein la tronche parce qu'il est indigne dans ses propos de lundi", poursuit Yves Lefebvre, selon qui "les policiers ne considèrent plus Christophe Castaner comme étant légitimement leur ministre (et) c'est à lui d'en tirer les conclusions". "Christophe Castaner a lâché sa police lundi à travers son point presse" dans lequel il parle de "soupçons avérés" de racisme : "Pour moi, ces soupçons avérés n'existent pas. Il y a des faits avérés, oui ou non."

     

    Le ministre peut-il regagner la confiance des policiers ? Là encore, Yves Lefebvre use de la métaphore pour décrire la tâche gigantesque qui attend le ministre de l'Intérieur : "Il est au pied de l'Himalaya, il n'a pas de bouteille d'oxygène, c'est à lui de conquérir [la montagne] avec ses petits bras et ses petites jambes et réussir à reconquérir la confiance des policiers", prévient le syndicaliste.

    Lallement "s'est comporté comme un grand chef" 

    Jeudi soir, les policiers ont mené plusieurs actions pour protester contre les propos de leur ministre de tutelle, comme le dépôt de menottes devant leur commissariat. Pour renouer le dialogue, Yves Lefebvre conseille au ministre de "maintenir la technique du contrôle de tête", alors que le ministre avait annoncé l'interdiction de cette méthode dite "d'étranglement". 

    Cette technique controversée va être remplacée par le pistolet à impulsion électrique, dont l'expérimentation sans généralisation est souhaitée par Yves Lefebvre, qui accorde au passage un satisfecit à Didier Lallement. Selon le responsable syndical, le préfet de police "s'est comporté comme un grand chef" avec une lettre invitant les policiers à "ne pas douter".

    Europe 1


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  • Mauvaise nouvelle pour Jean-Jacques Bourdin. Dans un communiqué sur Facebook, le collectif "La vérité pour Adama" a fait savoir qu’il déposait plainte contre les journalistes Jean-Jacques Bourdin et Nicolas Poincaré. Le collectif accuse également Marine Le Pen et Julien Odoul de racisme. Non Stop People vous en dit plus.

    Le collectif "La vérité pour Adama" a pris la parole sur Facebook ce mercredi 10 juin. Les proches d’Adama Traoré ont annoncé avoir déposé plainte pour diffamation contre plusieurs personnalités dans un "communiqué contre le racisme dans les médias". Ainsi, les journalistes de RMC Jean-Jacques Bourdin et Nicolas Poincaré sont dans leur viseur pour "diffamation à l'encontre d'Adama Traoré à qui ils ont attribué des faits de viol pour lesquels il n'a pourtant jamais été poursuivi et pour diffamation à l'encontre d'Assa Traoré [la soeur d'Adama] qu'ils accusent d'avoir exercé des pressions contre une victime pour qu'elle retire sa plainte. Assa Traoré n'a jamais été poursuivie ou même auditionnée sur ces faits".

     Marine Le Pen et Julien Odoul également visés

    Le collectif "La vérité pour Adama" a précisé par ailleurs porté plainte contre Julien Odoul, président des élus régionaux RN en Bourgogne-Franche-Comté, pour injures, diffamation, incitation à la haine et à la violence à l'encontre de personnes en raison de leur origine : "Julien Odoul qualifie la famille Traoré de gang et de famille de délinquants et justifie la mort d'Adama en disant qu'il était une racaille". Le collectif s’en prend également à Marine Le Pen, "qui a le même avocat qu'un des gendarmes. Elle qualifie la famille Traoré de gang et dit que nous sommes tous des délinquants graves". Le collectif espère maintenant que la justice s’en mêle : "Nous demandons que ces personnes comparaissent devant un tribunal aux côtés du policier qui, lors d'un contrôle de personnes se rendant à un rassemblement organisé par le comité Vérité pour Adama le 22 juillet 2017, avait affirmé qu'Adama Traoré était un violeur. Ce policier sera jugé le 2 septembre 2020 devant le tribunal correctionnel de Bobigny".

    Non Stop People

    La super famille Traoré fait la loi en France !


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  • Affaire Adama Traoré : Pascal Praud accable Quotidien après l’intervention de Christiane Taubira

    Mardi 9 juin 2020, Christiane Taubira intervenait des trémolos dans la voix chez Quotidien en évoquant la mort d’Adama Traoré. Une séquence sur laquelle Pascal Praud est revenu aujourd’hui, et qui l’a fait sortir de ses gonds !

    C’est en duplex de Guyane que Christiane Taubira est intervenue hier soir, mardi 9 juin 2020, dans Quotidien sur TMC. En plateau, Assa Traoré – sœur d’Adama Traoré, mort après son arrestation il y a quatre ans – milite pour la réouverture du dossier de son regretté frère et souhaite dénoncer des violences policières. Loin de se montrer insensible par cette affaire, Christiane Taubira demandait à Assa Traoré « de dire à [sa] maman que je la salue avec respect et affection, et que si je pouvais capturer un bataillon de verres à soie, je le ferais pour recoudre juste un petit bout de son cœur brisé... Dites-lui que je la salue, avec respect ». Une attention qui bouleversait la sœur d’Adama Traoré. « Je suis profondément touchée par ces mots remplis d'amour et d'affection, qui nous donnent du courage pour continuer dans la lutte. Ces mots vont droit dans le cœur de ma mère et de ma famille », assurait Assa Traoré toute aussi émue.

    Pascal Praud atomise Quotidien

    Le passage de Christiane Taubira dans Quotidien, Pascal Praud l’a vu et cela ne lui a pas du tout plu comme il l'a expliqué ce 10 juin au matin sur C News dans L’Heure des pros. Agacé de ne voir que la version des avocats d’Adama Traoré et sa famille et rarement celle des défenseurs de la police sur les plateaux télé, le journaliste aux lunettes rouges n’a pas retenu ses nerfs. « On a l'impression dans cette affaire-là, que là encore, la musique médiatique, on est - nous - en difficulté dans ce dossier-là, s’est–il agacé. Je vous le dis ! Écoutez l'interview hier de nos amis de Quotidien... Je les cite de temps en temps, les plus grands donneurs de leçons de la Terre ! Mais écoutez l'interview ! La complaisance ! La com-plai-sance ! Je ne peux pas dire autre chose ! Vous allez encore dire que j'attaque mes confrères, et que c'est pas bien, et vous n’avez pas tout à fait tort. » Souvent là pour atténuer les propos de Pascal Praud – connu pour ses penchants excessifs – Gérard Leclerc a tenté d’éteindre l’incendie en demandant « pas les confrères… » avant de lâcher un « mais là, sur ce point précis, vous avez raison ! »

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  • "La vérité pour Adama" porte plainte contre Marine Le Pen et Jean-Jacques Bourdin

    Que des noirs !

    Le collectif a annoncé sur les réseaux sociaux son action en justice. Elle vise aussi un autre élu RN, Julien Odoul, et un autre journaliste de RMC, Nicolas Poincaré.

    Marine Le Pen et Julien Odoul d'un côté. Jean-Jacques Bourdin et Nicolas Poincaré de l'autre. Ces responsables politiques du Rassemblement national (RN) et ces journalistes de RMC n'ont rien à voir. Pourtant, ils sont tous visés par une plainte du collectif "La vérité pour Adama", le comité de soutien à la famille d'Adama Traoré, un jeune homme noir de 24 ans mort en 2016 après une interpellation par des gendarmes.

     

    Le collectif a annoncé mercredi sur Facebook et Twitter avoir décidé de déposer plainte pour diffamation contre la présidente du RN. "Elle qualifie la famille Traoré de 'gang' et (...) dit que nous sommes tous des 'délinquants graves'", précise "La vérité pour Adama".

    Une plainte vise également Julien Odoul, le président du groupe des conseillers régionaux RN en Bourgogne-Franche-Comté, pour "injures et diffamation a l'égard de la famille Traoré et de la mémoire d'Adama mais également pour incitation à la haine et à la violence à l'encontre de personnes à raison de leur origine". Il "qualifie la famille Traoré de 'gang' et de 'famille de délinquants'" et il "justifie la mort d'Adama en disant qu'il était une 'racaille'", précise le collectif.

    Mardi sur CNews, le conseille régional avait déclaré que le jeune homme "n'a pas été tué parce qu'il était noir" mais "parce que c'est une racaille".

    Dans un tweet, il avait également écrit que "le gang Traoré a imposé le désarmement de la police au ministre de l'Intérieur et humilié la ministre de la Justice."

    Évoquant elle aussi le "gang Traoré", Marine Le Pen avait répondu : "Ils sont tous délinquants graves. Pour certains, des crimes leur sont reprochés", avant de se détacher des autres propos de Julien Odoul : "Je le dis de la manière la plus claire qui soit. Cela ne justifie pas, évidemment, que l'on considère que, parce qu'on est délinquant, on doit prendre le risque de mourir".

    Un rassemblement prévu samedi à Paris

    Dans son "communiqué contre le racisme dans les médias" diffusé sur les réseaux sociaux, le collectif annonce également déposer plainte contre les deux journalistes Jean-Jacques Bourdin et Nicolas Poincaré "pour diffamation à l'encontre d'Adama Traoré à qui ils ont attribué des faits de viol pour lesquels il n'a pourtant jamais été poursuivi et pour diffamation à l'encontre d'Assa Traoré [la soeur d'Adama] qu'ils accusent d'avoir exercé des pressions contre une victime pour qu'elle retire sa plainte. Assa Traoré n'a jamais été poursuivie ou même auditionnée sur ces faits".

    Dans sa chronique de mercredi, dans la matinale de RMC, Nicolas Poincaré évoquait ainsi l'un des frères d'Adama Traoré, Samba. "Il y a deux ans, son chien s'est bagarré avec un autre chien, puis les maitres se sont disputés. Samba a asséné un violent coup de balai sur la tête du propriétaire de l'autre chien. Le balai et le crâne on été brisé et le propriétaire a perdu connaissance, il va garder des séquelles. Samba a été condamné à deux ans et demi de prison ferme. La victime a raconté que lorsqu'il était à l'hôpital, Assa Traoré, la soeur d'Adama Traoré, est venue le voir avec un ami et lui a proposé de l'argent pour qu'il retire sa plainte, ce qu'il n'a pas accepté", rapportait le journaliste.

    L'ancien présentateur de Complément d'enquête sur France 2 fait aussi allusion à une affaire de viol présumée, s'appuyant sur le PV d'audition d'un jeune homme qui partageait la cellule d'Adama Traoré à la prison d'Osny, dans le Val-d'Oise, et qui dit avoir été violé en prison. Des accusations sur lesquelles n'a jamais pu être entendu Adama Traoré.

    "Nous demandons que ces personnes comparaissent devant un tribunal aux côtés du policier qui, lors d'un contrôle de personnes se rendant à un rassemblement organisé par le comité Vérité pour Adama le 22 juillet 2017, avait affirmé qu'Adama Traoré était un violeur. Ce policier sera jugé le 2 septembre 2020 devant le tribunal correctionnel de Bobigny", rappelle le collectif dans son communiqué.

    "La vérité pour Adama" organise un rassemblement réclamant "vérité et justice" pour Adama Traoré samedi après-midi à Paris, place de la République. Le mardi 2 juin, une manifestation interdite par le préfet de police avait rassemblé à Paris au moins 20 000 personnes à l'appel du comité de soutien. Le 19 juillet 2016, Adama Traoré était décédé sur le sol de la gendarmerie de Persan (Val-d'Oise), deux heures après son arrestation dans la maison d'une connaissance chez qui il s'était caché au terme d'une course-poursuite, un jour de canicule.

    L'Express

    Ce sont maintenant les truands qui vont faire la loi en France !


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  • Mort de George Floyd : « Je n’ai pas à m’excuser en tant que Blanche », estime Marion Maréchal

     L’ex-députée d’extrême droite a livré sur Facebook sa « réaction épidermique » face à ce qu'elle qualifie de « rouleau compresseur » de l’affaire Georges Floyd

    « Je n’ai pas à m’excuser en tant que Blanche et en tant que Française » pour « la mort d’un Afro-Américain » et d’Adama Traoré, a affirmé mercredi soir dans une vidéo postée sur son site facebook l’ex-députée d’extrême droite Marion Maréchal.

    La nièce de la présidente du RN Marine Le Pen voit ses propos comme une « réaction épidermique » face « au rouleau compresseur » de l’affaire Georges Floyd, un Afro-Américain tué par un policier blanc qui a soulevé un grand émoi dans le monde et ravivé en France la polémique sur la mort d’Adama Traoré en 2016 à la suite de son interpellation par les forces de l’ordre.

    « Je n’ai pas à m’excuser en tant que Blanche et en tant que Française – vous voyez à quoi on est réduit en devant se positionner de la sorte – Je n’ai pas à m’excuser pour la mort d’un Afro-Américain aux Etats-Unis. Je n’ai pas à m’excuser pour la mort d’un délinquant, Adama Traoré, une mort accidentelle qui a eu lieu à la suite d’une interpellation qui n’était pas liée, c’est important de le rappeler, à sa couleur de peau, mais aux crimes qu’il aurait commis », a-t-elle affirmé. Adama Traoré avait été interpellé lors d’une opération qui visait son frère Bagui, suspecté d’extorsion de fonds.

    « Tentative de subversion des esprits »

    « Je n’ai pas à m’excuser parce que je n’ai pas colonisé, je n’ai colonisé personne, je n’ai mis personne en esclavage de la même manière que tous ces groupes politiques et tous ces militants politiques eux-mêmes n’ont jamais été colonisés ou mis en esclavage », a-t-elle poursuivi.

    Elle a dénoncé une « tentative de subversion des esprits » et des « groupes militants, de gauche, dits antiracistes, indigénistes, "Black lives matter" » qui, selon elle, « demandent non seulement de nous mettre à genoux, mais en plus de salir la mémoire de nos ancêtres, de cracher sur notre histoire, de purger notre héritage d’abattre nos statues ». Elle accuse le gouvernement d’avoir cédé à « la loi de l’émotion du groupe, du vil calcul politicien et de la bêtise » en tolérant les manifestations dénonçant les violences et le racisme au sein des forces de l’ordre.

    Marion Maréchal, qui a renoncé à l’exercice d’un mandat pour diriger une école de sciences politique à Lyon, fait régulièrement des apparitions polémiques. Elle avait annoncé début octobre ne pas avoir l’intention « d’être candidate à la présidentielle de 2022 », après une réunion organisée par ses proches qui avait agacé au sein même du Rassemblement national et nourri les spéculations sur son éventuel retour en politique.

    20  Minutes


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