• L'écrivain Marek Halter a été agressé à son domicile parisien, une enquête pour "vol par effraction" est ouverte

    L'écrivain doit sortir prochainement un livre intitulé "Un monde sans prophètes" et interprète cette agression comme une mise en garde, rapporte France Bleu Paris.

    L'intellectuel Marek Halter, engagé dans la lutte contre l'antisémitisme et le racisme, a été victime d'une agression à son domicile parisien vendredi 12 février, rapporte France Bleu Paris.

    Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris pour "vol par effraction aggravé par la commission de violences". L'affaire est confiée au commissariat de Paris-centre. Marek Halter a déposé plainte samedi 13 février. "Je corrigeais les épreuves de mon prochain livre, et je me suis ensuite assoupi dans mon fauteuil, dans la pièce d'à-côté", a expliqué l'écrivain à France Bleu Paris.

     

    "J'ai senti une présence et en ouvrant les yeux, j'ai vu un homme cagoulé devant moi et un autre dans l'embrasure de la porte", a-t-il détaillé. Marek Halter raconte avoir demandé aux intrus ce qu'ils faisaient là. Il a même tenté d'en saisir un par le bras : l'homme face à lui le tire alors par la main, Marek Halter chute de son fauteuil.

    "La seule chose qu'ils m'ont dit : 'si vous criez, vous êtes mort'. Ce n'est pas ma première agression, mais c'est la première fois qu'on me frappe sans me dire pourquoi", a ajouté l'intellectuel qui doit sortir prochainement son livre intitulé "Un monde sans prophètes". "Cette agression ressemble à une mise en garde", a-t-il estimé.

    franceinfo


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  • "Je lui en avais parlé !" : cette préoccupation de Stéphane Bern ignorée par Emmanuel Macron

    Dans un entretien accordé au Figaro, ce vendredi 12 février, Stéphane Bern a regretté la destruction d'une chapelle à Lille alors qu'il y était opposé et l'avait indiqué à Emmanuel Macron.

    Un cri de colère. À quelques jours du lancement de la quatrième saison du loto du patrimoine, Stéphane Bern ne cache plus son inquiétude quant au désengagement de l’État dans la préservation du patrimoine. Dans un entretien accordé au Figaro, ce vendredi 12 février, l'animateur de télévision a exprimé son amertume : "D’un côté, on me demande de sauver le patrimoine, et de l’autre côté, on laisse faire." Dans son collimateur, la destruction de la chapelle de Lille qui a débuté ces derniers jours : "Le signal donné par cet épisode est dévastateur", souligne celui qui a été "parmi les premiers" à se mobiliser contre la destruction et qui en a "même parlé au président de la République".

     

    Sa proximité avec le couple présidentiel n'a pas suffi à sauver l'édifice lillois. "Une chaîne de responsabilités, ou plutôt d’irresponsabilités, a conduit à sa démolition", regrette Stéphane Bern jugeant "incompréhensible que cela soit ce groupe d’enseignement catholique qui ait accepté de raser une chapelle, même désacralisée". L’État aurait pu s’opposer à la destruction en classant la chapelle Saint-Joseph. "Mais le ministère a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, au motif que ce patrimoine du XIXe siècle ne présentait pas un 'intérêt architectural majeur'", a expliqué l'animateur de France Télévisions.

    "Une logique du tout ou rien" pointée du doigt

    Récemment, Stéphane Bern a signé une tribune en faveur de la réouverture des monuments et des musées, qui sont à l’arrêt depuis trois mois, victimes de la crise sanitaire. Dans le Figaro, il appelle à faire évoluer la situation de la culture en prenant exemple sur les pays voisins : "Regardez l’Italie, l’Espagne ou la Belgique : ils ont tous autorisé leurs musées ou leurs monuments à fonctionner, alors que le virus circule au moins autant dans ces pays. Ils l’ont fait de manière pragmatique, et expérimentale, en prévenant musées et public que tout pourrait refermer si la crise sanitaire s’aggravait. En France, nous sommes dans une logique du tout ou rien." Par ailleurs, le monsieur patrimoine du gouvernement s'est déclaré en faveur du passeport vaccinal pour donner notamment accès à la culture à ceux qui se sont fait vacciner.

    GALA


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  • Aux grand maux les grands remèdes. Ce Parisien a tenté de trouver une solution pour descendre les escaliers enneigés de Montmartre. Malheureusement l’exercice s’est révélé plus compliqué que prévu.

    La tentative ratée du skieur amateur a provoqué l’hilarité des internautes, partagés entre amusement et consternation. Certains, en revanche, n'ont pas pu s'empêcher d'y voir une solution aux nombreuses stations de skis fermées, en raison de la crise sanitaire.

    Vanity Fair


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  • Le suspect a été placé sous contrôle judiciaire. Il est soupçonné d'avoir commis huit cambriolages chez un brocanteur, âgé de 73 ans, qui habite dans la même rue.

    Un habitant de Montreuil (Seine-Saint-Denis) a été déféré mardi 9 février devant le parquet de Bobigny et placé sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès, a appris franceinfo de source proche du dossier. Le suspect, âgé de 28 ans et de nationalité portugaise, est soupçonné d’avoir commis huit cambriolages chez un brocanteur âgé de 73 ans qui habite la même rue, entre 2016 et 2018.

     

    Selon cette source, il profitait des absences du brocanteur septuagénaire pour lui dérober des tableaux et objets d’art. Lors du dernier cambriolage, il a reconnu avoir démonté une partie de la toiture et être reparti avec une dizaine de toiles. Au total, il est soupçonné d’avoir dérobé 46 tableaux à son voisin. Il tentait ensuite de revendre ces tableaux auprès de professionnels parisiens spécialisés dans le domaine de l’art. 

    Préjudice estimé à 100 000 euros

    C’est fin janvier que les enquêteurs du groupe de répression de vol des objets d’art de la police judiciaire parisienne, qui fait partie de la brigade de répression du banditisme (BRB), ont été alertés par la présence d’un tableau mis en vente au prestigieux hôtel Drouot à Paris. Il apparaissait dans le fichier qui recense les œuvres d’art volées.

    L’enquête a finalement permis de remonter au voisin du brocanteur. Lors de la perquisition menée ce début de semaine à son domicile de Montreuil, plus d’une quarantaine de tableaux et d’objets d’art ont été découverts. Presque tous appartenaient à son voisin brocanteur, à qui ils ont été remis. Le préjudice de l’ensemble de ces vols avoisine les 100 000 euros.

    franceinfo

    Donc le voleur est toujours en liberté !


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  • La présentation du projet de loi climat, mercredi en Conseil des ministres, remet l'écotaxe sur le devant de la scène.  Ce texte reprend près de la moitié des 149 propositions formulées par de la Convention citoyenne pour le climat. Parmi elles, donc : la possibilité de créer une écotaxe routière. Sans revenir au dispositif qui avait mené à la fronde des "bonnets rouges" en 2013, l'idée serait de faire contribuer uniquement les poids lourds étrangers qui traversent la France.

    "40% des poids lourds circulant en France sont immatriculés à l'étranger"

    Cette écotaxe poids lourds figure aussi dans un rapport fraîchement remis au ministère des Transports, et qui émane de plusieurs élus (LR, LREM et centre) de la grande couronne en Ile-de-France pour permettre de moderniser les routes et de financer certains projets. 

     

    Pour François Durovray, président du Conseil départemental de l'Essonne à l'origine de ce rapport, cette écotaxe serait une mesure écologique et patriotique. "Aujourd'hui, 40% des poids lourds circulant en France sont immatriculés à l'étranger, et plus de 75% d'entre eux ne font pas leur plein en France, cela signifie qu'ils utilisent et usent nos infrastructures sans payer le coût de la rénovation", pointe-t-il auprès d'Europe 1. "L'écotaxe est un moyen intelligent de faire contribuer ces véhicules étrangers. J'espère que le gouvernement ouvrira cette option en permettant aux territoires de s'engager dans des expérimentations", ajoute cet élu.

    L'Alsace cherche à limiter le trafic venu d'Allemagne

    Si rien n'est encore acté, le ministère des Transports étudie cette piste de près, et l'idée ne vient pas uniquement de région parisienne. L'Alsace y est aussi favorable, afin d'empêcher le passage sur les routes de nombreux camions venus d'Allemagne, où là ils doivent s'acquitter d'un impôt poids lourds.

    Europe 1


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  • Le modèle Defender signé Land Rover est un excellent tout-terrain et l’a déjà prouvé à plusieurs reprises. Mais ce que l’on ne savait pas, c’est qu’il possède bien d’autres talents, comme celui de tracter une charge très lourde sur une route pas du tout adaptée à cela.

    Tout neuf est déjà bien prêt à l’emploi. Alors que ce camion transportait 8 Land Rover dans une concession de Stafford, au Royaume-Uni, ce dernier a été bloqué par les conditions météorologiques. La route, complètement gelée, empêchait le poid lourd de continuer sa progression. C’est alors qu’un des tout-terrain a été utilisé pour sortir tout le monde de cette impasse. Une chose est sûre, les 4x4 qui sont livrés ici sont d’une très bonne qualité.

    Le début est un peu difficile mais très vite le Defender prend ses marques et se met à tirer, avec une aisance déconcertante, le camion. Bien sûr, le conducteur du poids lourd accélérait en même temps afin d’aider quelque peu le 4x4 mais c’est bien ce dernier qui a fait une grande partie du travail. Très impressionnant, et une excellente pub improvisée pour Land Rover.

    Le début est un peu difficile mais très vite le Defender prend ses marques et se met à tirer, avec une aisance déconcertante, le camion. Bien sûr, le conducteur du poids lourd accélérait en même temps afin d’aider quelque peu le 4x4 mais c’est bien ce dernier qui a fait une grande partie du travail. Très impressionnant, et une excellente pub improvisée pour Land Rover.

    Le nouveau Land Rover Defender D300 de 2021 présente de belles caractéristiques lui permettant de répondre efficacement dans des situations parfois extrêmes. En effet, son moteur diesel de 6 cylindres développe quelques 296 chevaux. Mais ce n’est pas tout, sa technologie hybride légère lui permet d'améliorer sa réactivité et son rendement énergétique. 

    Des points très utiles dans ce genre de situation même si nous pouvons supposer que vous n’aurez pas à tracter un camion de plus de 20 tonnes tous les deux jours.

    Auto News

    Bravo au Land Rover Defender !


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  • Début janvier, le Canard enchaîné et le site Politico.eu, spécialiste des institutions européennes, révèlent que la France a fait appel à plusieurs consultants privés et notamment au cabinet de conseil américain McKinsey pour l'aider à mettre en place la stratégie nationale de vaccination contre le covid-19. Une annonce qui provoque une pluie de critiques de la part de l'opposition.

    Jusque-là, le montant de ces prestations des cabinets de conseil n'avait pas été dévoilé. Ce lundi, dans une nouvelle publication, Politico.a annoncé cependant que ces contrats ont coûté 11,2 millions d'euros à la France, dont 4 millions pour le seul McKinsey. Dans le détail, depuis mars dernier, 26 contrats avec des cabinets de conseil ont été signés par le gouvernement pour 11,2 millions d’euros (soit près de 250.000 euros par semaine), d’après la députée Véronique Louwagie, rapporteure budgétaire sur plusieurs dossiers de santé qui a obtenu le détail des missions.

    "De manière générale, l'embauche de cabinets de conseil ne me choque pas trop", explique t-elle. Mais "la fréquence me dérange, l'accélération [ces derniers mois] aussi", a-t-elle ajouté. "La question aujourd'hui est: est-il normal qu'une administration comme celle de la santé ne puisse pas remplir un certain nombre de missions ? ".

    Outre la gestion du Covid-19, Politico.eu note par ailleurs que la France fait appel à des cabinets de conseil pour des missions de plus en plus diverses. Depuis octobre 2018, l'administration française a ainsi signé 575 contrats avec des cabinets de conseils sur des sujets allant de la lutte contre le réchauffement climatique ou encore la reprise économique.

    PLACIDE


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  • Depuis le 31 janvier dernier, les expatriés français hors Union européenne ne peuvent plus rentrer en France sans "motif impérieux". Une décision injuste et anticonstitutionnelle, s’alarment des ressortissants français. 

    Des centaines d'expatriés hors Union européenne ne décolèrent pas. Depuis le 31 janvier, l'État français, soucieux de limiter la pandémie de Covid-19, a donné un nouveau tour de vis sur les entrées et sorties du territoire. Pas de problème majeur concernant les expatriés qui ont conservé leur résidence principale en France. Idem pour les Français qui vivent sur le sol européen : ils peuvent assurer leur retour dans l'Hexagone en se soumettant à une mise en quarantaine de sept jours, entrecoupée de deux tests PCR. 

    L'affaire se complique sérieusement en revanche pour les expatriés français hors Union européenne. Ces derniers ne peuvent revenir en métropole qu'à la condition de justifier d'un motif "impérieux" de déplacement, listé par le gouvernement, comme le décès d'un parent, une urgence médicale ou encore une convocation judiciaire. 

    "Citoyens de seconde zone"

    Une règle sans fondement que dénonce Yan Chantrel, conseiller élu à l'Assemblée des Français de l'étranger pour le Canada, dans une pétition pour "le retrait de cette décision discriminatoire, contraire aux libertés fondamentales et au droit international". "Cette restriction crée un profond sentiment d'injustice, s'agace Yan Chantrel, dans un entretien à France 24.  Pourquoi les compatriotes Européens auraient-ils le droit de revenir en France et pas nous ?  Même en temps de guerre, la France n'a jamais refusé le retour d'un ressortissant. C'est une décision inédite qui est très violente. J'ai reçu des centaines de messages de personnes indignées." La lettre a, en outre, déjà recueilli le soutien de plus de 11 000 signatures.  

    Parmi les signataires, Alexandre Cournol, président de l'Union des Français de l'étranger à Washington, également contacté par France 24. "On ne demande pas de passe-droit, mais d'être traités avec les mêmes égards que les ressortissants européens. Nous sommes prêts à nous soumettre aux règles sanitaires. Mais nous refusons d'être traités comme des citoyens de seconde zone. En quoi un expatrié au Canada est-il différent d'un expatrié au Royaume-Uni ?".

    Recours en référé  

    D'autres sont allés plus loin. Sept expatriés français résidant aux États-Unis ont saisi le Conseil d'État. Au regard de la loi, cette restriction constitue une remise en cause du "caractère absolu et inaliénable du droit au retour en France des ressortissants Français", estime sur Twitter Me Pierre Ciric, avocat de ressortissants français qui ont porté plainte. Dans une tribune collective publiée sur le site du Figaro, ses auteurs voient là une forme de stigmatisation d'une partie de la population. "Ce maintien à l'écart d'une partie des Français de leur pays pose de véritables questions juridiques et constitutionnelles : en fonction de leur lieu de résidence, les Français ne sont, de facto, plus égaux en droits."  

    Au-delà de la bataille juridique, ce sont des centaines de Français qui cherchent à rentrer et se heurtent à un refus de l'État. "Il y a autant de motifs ‘impérieux' que d'individus", constate Yan Chantrel. Il existe des raisons purement pratiques : l'inondation dans la salle de bain de la maison de vacances, des problèmes de succession.

    Mais aussi des motifs plus sérieux. "Je vois autour de moi des personnes dans des situations de grande détresse psychologique". C'est notamment le cas de ces femmes enceintes qui attendent avec désarroi le soutien de leur famille qui devait venir après l'accouchement. Les pères à l'étranger qui n'ont pas pu voir leur enfant né en France. Les parents divorcés qui n'ont pas la garde exclusive de leur enfant et se retrouvent privés de leur progéniture. Les parents qui voudraient rejoindre leur enfant qui a décroché de ses études. Des amis qui voudraient dire un dernier adieu à un proche malade...  

    Il y a d'autant plus de raisons invoquées que ces restrictions s'effectuent dans les deux sens : les Français de métropole ne peuvent pas non plus quitter le territoire hormis circonstance impérieuse.  

    Des vols de plus en plus rares  

    Autre conséquence de cette décision, les compagnies aériennes ont décidé de réduire leurs vols. "Les personnes qui ont vu leur demande acceptée par l'État français ne peuvent elles n'ont plus pas rentrer en France car il y a très peu de vols, abonde Yan Chantrel. Ces circonstances créent des situations dramatiques". Pire, certaines compagnies - craignant encore le refus des autorités françaises à l'arrivée du voyageur en France -, refusent d'embarquer certains voyageurs pour ne pas avoir à les affréter dans l'autre sens et de s'acquitter d'amendes. "Elles s'élèvent par exemple à 25 000 dollars pour les compagnies canadiennes, poursuit le Français. De quoi grandement dissuader certaines d'entre elles."

    De son côté, Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'État chargé des Français de l'étranger, insiste pour dire que "cette mesure est nécessaire pour éviter la diffusion du variants". Mais de nombreux regards de ressortissants se tournent désormais vers le Conseil d'État, qui doit se prononcer sous quatre à six semaines. "On espère vraiment qu'il va casser cette décision, assure Yan Chatrel. Car très peu de pays ont pris de telles restrictions. Et c'est encore plus consternant au pays des droits de l'Homme."

    France 24


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  • Après Trump face à l’Europe et 56, Jean-Loup Izambert revient avec un complice cette fois-ci pour un livre sur l’actualité brûlante, le coronavirus qui aura réussit l’exploit de faire se terrer le monde entier enfin surtout sa composante otanesque, étrangement ultra-sensible à cet ennemi invisible.

    Il s’associe cette fois avec Claude Janvier, écrivain-polémiste pour faire un bilan de cette année extraordinaire, au sens littéral. Si le titre du livre donne l’impression qu’il ne va s’agir que de virus dans un contexte français, au fil des pages, les deux auteurs vont très largement déborder pour placer notre histoire de virus dans une perspective beaucoup plus large et riche d’enseignements.

    .........................

    Vous ne serez pas surpris qu’aucun parti politique français ne propose, là aussi, de rupture avec ce système. Marx disait que parvenu en fin de cycle un système politique, quel qu’il soit, secrète sa propre caricature. N’est-il pas dramatiquement sinistre de voir des français, parmi lesquels des dirigeants d’organisation syndicales, soutenir ou applaudir en mai 2017 l’élection d’un président qui leur annonçait vouloir supprimer 120 000 emplois en cinq ans dans la fonction publique alors que le pays manque déjà de médecins, d’infirmières, de spécialistes, de chercheurs, de structures de soins, d’instituteurs, de professeurs, de juges, de fonctionnaires pour le bien de l’intérêt général ?! Déjà, entre 1993 et 2018, 103 000 lits d’hôpitaux ont été supprimés par les dirigeants qui se sont succédés au pouvoir et ont appliqué à la France les recommandations de l’Union « européenne ». Dans plusieurs enquêtes menées et publiées à la fin de l’année 2020, le mensuel Bastamag.net (www.bastamag.net) recensait plus de 4 000 lits hospitaliers qui ont été fermés en 2018 puis à nouveau 3 400 en 2019.

    Ces fermetures s’ajoutaient aux 69 000 places d’hospitalisation à temps complet qui ont été supprimées entre 2003 et 2017. Aujourd’hui, en pleine crise sanitaire, le président Macron, son Premier ministre et son gouvernement continuent de défaire le service public de santé. A l’heure où nous parlons, en janvier 2021, en pleine crise sanitaire, depuis le mois de mars 2020 le pouvoir continue de supprimer des milliers de places d’hospitalisation à temps complet alors que l’hôpital, qui manque déjà cruellement de moyens humains et matériels, en aurait besoin de nouvelles pour soigner les malades ! CHU de Besançon, hôpital psychiatrique du Rouvray, près de Rouen, hôpital psychiatrique du Vinatier, CHU de Nancy, CHU de Nantes, Strasbourg, Marseille, Limoges, Nice, Caen, Orsay, Reims, etc. Sans doute est-ce cette catastrophe déjà bien avancée que ce président bonimenteur désignait, lors de la dernière campagne des élections européennes, sous la formule trompeuse de « l’Union européenne qui nous protège » ?!… Les joyeux fossoyeurs de la République qui applaudissaient le candidat Macron en mai 2017 vont-ils lui faire un rappel afin qu’il puisse rejouer sa partition pour un massacre ?…

    Je vous ai mis les 2 derniers chapitres, pour moi les + intéressants, pour le reste voici le lien :

    https://lesakerfrancophone.fr/jean-loup-izambert-et-claude-janvier-le-virus-et-le-president


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  • Onze ministres de Macron sont membres du Siècle, ce club élitiste ultra-fermé

    Jean-Michel Blanquer et Gérald Darmanin en font notamment partie. © Eric TSCHAEN/POOL/SIPA

    Alors qu’il doit rester confidentiel, l’Obs s’est procuré l’annuaire du club du Siècle. Onze ministres figurent parmi les membres. 

    Le document serait estampillé « confidentiel » en lettres capitales rouges. Mais cela n’a pas empêché l’Obs d’en révéler certains noms. Ce jeudi 4 février, l’hebdomadaire a rendu publique une partie de la liste des membres du Siècle. Ce club très sélect, fondé en 1944, réunit un mercredi par mois - dans les salons de l’Interallié, situé rue du Faubourg-Saint-Honoré à Paris - des magistrats, des hommes d’affaires, et même… des politiques. Le mot d’ordre : ce qu’il se dit lors de ces dîners secrets ne doit pas en sortir. 

    Blanquer, Darmanin, Philippe… 

    Le Siècle aurait pour adeptes onze actuels ministres d’Emmanuel Macron et d’anciennes figures politiques ayant aussi servi sous les ordres du président, relate l’Obs. En voici la liste : Jean-Michel Blanquer (ministre de l'Éducation), Gérald Darmanin (ministre de l'Intérieur), Florence Parly (ministre des Armées), Élisabeth Borne (ministre du Travail), Sébastien Lecornu (ministre des Outre-mer), Emmanuelle Wargon (ministre déléguée au Logement), Amélie de Montchalin (ministre de la Fonction publique), Agnès Pannier-Runacher (ministre de l'Industrie), Jean-Baptiste Djebbari (ministre des Transports), Franck Riester (ministre du Commerce extérieur), Clément Beaune (secrétaire d’État aux Affaires européennes), Alexis Kohler (secrétaire général de l’Élysée) ou encore Edouard Philippe (ancien Premier ministre) et Muriel Pénicaud (ancienne ministre du Travail). 

    Le 4 janvier dernier, le président du Siècle avait d’ailleurs démissionné de ses fonctions. Il s’agissait du politologue de gauche, Olivier Duhamel, accusé d’inceste sur son beau-fils lorsqu’il était adolescent. Le constitutionnaliste est visé par une enquête du parquet de Paris pour viols et agressions sexuelles par personne ayant autorité sur un mineur de 15 ans, rappelle l’Obs. Olivier Duhamel avait par la suite déclaré sur son compte Twitter qu’il démissionnait de l’ensemble de ses fonctions « étant l’objet d’attaques personnelles », dont de la présidence du Siècle. Deux de ses confrères avaient aussi été écartés du club : le préfet d’Ile-de-France Marc Guillaume et l’avocat Jean Veil. L’ex-secrétaire général du Quai d’Orsay, Pierre Sellal, a depuis été désigné comme le nouveau président du Siècle. 

    Valeurs Actuelles


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  • Joe Biden met fin au soutien américain à la coalition saoudienne au Yémen

    Le président américain, Joe Biden, a annoncé, jeudi, la fin du soutien américain aux opérations de la coalition menée par l'Arabie saoudite au Yémen, appelant à la "fin" de cette guerre. Il marque ainsi un tournant stratégique par rapport à Donald Trump.

    LIEN de ce long article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/joe-biden-met-fin-au-soutien-am%C3%A9ricain-%C3%A0-la-coalition-saoudienne-au-y%C3%A9men/ar-BB1doGd1?ocid=msedgntp 


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  • Couvre-feu : vives critiques après les contrôles de dimanche soir en Île-de-France

    Près de 400 kilomètres de bouchons ont été observés ce dimanche en Île-de-France. Les ralentissements ont commencé dès 16h pour progressivement diminuer après 19 heures. Le même soir, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se trouvait dans les Yvelines pour superviser les opérations des forces de l'ordre, contrôlant de potentiels contrevenants au couvre-feu fixé à 18 heures.

    Mais pour certains automobilistes et élus, c'est la présence accrue des forces de l'ordre qui a causé les importants bouchons dans la région, et qui a placé, de fait, des conducteurs dans l'illégalité. Porte d'Orléans (Paris) par exemple, les policiers neutralisaient une voie pour pouvoir faire leurs contrôles, explique RMC, ce qui a forcément entraîné des ralentissements. De longues files d'attente ont également été observées au péage de Buchelay (Yvelines) sur l’autoroute A13.

    "45 minutes que je suis là, c'est honteux, c'est honteux ce que vous faîtes", lance un conducteur en colère, verbalisé par les policiers à l'entrée de Paris. "C’était bouché tout le long. Depuis 45 minutes (à 18h45, NDLR), on est à la hauteur de la station Rosny-sud et on avance de 20 mètres de temps en temps", explique à Actu.fr une ancienne élue de Mantes-la-Jolie (Yvelines).

    Il s'agit d'un "manque de discernement de la part des forces de police car, en faisant les opérations de contrôle, elles contribuent à ralentir le trafic", a réagi au micro de France Bleu Paris Emmanuel Grégoire, 1er adjoint socialiste à la mairie de Paris. Dans un tweet, il avait également regretté que les forces de l'ordre se focalisent sur les conducteurs, qui ne sont pas les plus dangereux pour l'épidémie selon lui.

    Placide


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  • > > > > > > > > > - Pas de Restaurants, pas de Voyages,

    > > > > > > > > > - Pas de Spectacles,

    > > > > > > > > > - Pas ou plus de Bénévolat,

    > > > > > > > > > Je ne DONNE PLUS RIEN : RIEN à Aucune Association

    > > > > > > > > > Elles n'ont qu'à demander à la Cour des Comptes !!

    > > > > > > > > > "Vent debout les Retraités".

    > > > > > > > > > - Ne gaspillez plus votre énergie, laissez les « Jeunes désœuvrés » s'occuper partout du Bénévolat !!

    > > > > > > > > > - Ne répondez pas favorablement aux Appels de fonds genre Téléthon, Restos du cœur etc ...

    > > > > > > > > > Nous verrons ainsi si les Retraités sont des Parasites !!! A la Santé du Con de Retraité !!!!

    > > > > > > > > > Il y a gros à parier que pour une fois les Conseils de la Cour des Comptes vont être suivis à la lettre !!!!!

    > > > > > > > > > La seule arme pour les Retraités, c'est le TRANSFERT de ce Document... de Retraité à Retraités.

    > > > > > > > > > Inutile de rajouter le moindre Commentaire, il suffit de lire le texte ci-dessous ; et malheureusement nous savons que tout cela est exact !

    > > > > > > > > > Les Retraités doivent se défendre et, pour cela, il suffit qu'ils fassent la Grève de leurs Actions dans le Bénévolat, ce Gouvernement aura vite compris qu'ils sont indispensables à la Nation et qu'ils méritent un peu plus de Respect !

    > > > > > > > > >  

    > > > > > > > > > La Cour des Comptes considère que l'Objectif de rattrapage des Revenus des Retraités par rapport aux Actifs est atteint.

    > > > > > > > > > Elle propose donc dans son dernier Rapport une hausse de leur Imposition.

    > > > > > > > > > Dans son dernier Rapport sur la Sécurité Sociale, la Cour des Comptes préconise de faire davantage participer les Retraités à la Solidarité Nationale. D'après la Cour des Comptes, les différentes Niches fiscales et sociales qui s'appliquent aux Retraités représenteraient un manque à gagner de 12 milliards d'euros pour l'État et la Sécurité Sociale.

    > > > > > > > > > Or, les Revenus des têtes blanches sont désormais légèrement plusélevés que ceux des actifs, et leur Patrimoine beaucoup plus.

    > > > > > > > > > >  Selon le Président de la Cour Didier Migaud,

    > > > > > > > > > >  - "les Retraités sont dans une situation financière plus favorable que les Actifs, *notamment les jeunes."

    > > > > > > > > > > Et l' Objectif de ces Avantages, qui était de réduire l'écart avec les Actifs, est atteint."

    > > > > > > > > > > Injustice de taille : on a plus de Patrimoine à 70 ans qu'à 30 ans... C'est dingue non ?

    > > > > > > > > > C'est vrai aussi que les honteux Retraités qui ont connu l'époque de travailler plus pour gagner plus (40 Heures Hebdo et 3 puis 4 Semaines de Congés) et préparé leur Retraite en économisant, sont... has been en regard des 35 Heures , 5 semaines de Congés et RTT, 15 jours de "Maternité" pour les hommes et bientôt plus ... etc...

    > > > > > > > > > Mais c'est vrai aussi qu'il faut éviter de parler

    > > > > > > > > > -Des régimes spéciaux des Sénateurs et des Députés

    > > > > > > > > > - Des effectifs pléthoriques de Ministres, de Sénateurs, de Députés et de Fonctionnaires de l’Administration Territoriale de la France : Régions, départements, Arrondissements, Cantons, inter-Communalisé et Communes... sans parler de l'Administration Européenne...

    > > > > > > > > > - Des Régimes de ceux qui partent avec 50 % du Salaire moyen des 25 dernières Années...

    > > > > > > > > > - Des Députés Européens qui ne paient pas un Centime de CSG

    > > > > > > > > > - Et…des Présidents de la République en Retraite Sarkozy et Hollande qui bénéficient toujours de privilèges (voiture, garde du corps, secrétaire, logement à Paris etc.…)

    > > > > > > > > > - Des Journaleux chouchoutés par le Pouvoir en place·

    > > > > > > > > > - Ceux qui ne paient rien et reçoivent tout. - Et puis, il faut bien payer les RSA, CMU, l'AME (aide médicale de l'Etat pour ceux en situation irrégulière = 1 milliard d'euros annuel) et les 8 milliards sur 4 ans pour les mal-logés, ils vont les prendre où ?

    > > > > > > > > > > Alors tout est bon pour trouver des Coupables...

    > > > > > > > > > >  Au passage, ils sont loin d'expliquer les 12 ou 17 Milliards du Trou de la Sécu .

    > > > > > > > > > Le Ridicule absolu.

    > > > > > > > > > FAIRE SUIVRE POUR NE PAS SE LAISSER FAIRE... Du Bon Sens quand même

    > > > > > > > > > "Si vous êtes d'accord avec ceci, transférez à vos amis Retraités"


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  • Le maire de Marseille Benoît Payan a annoncé vouloir vendre le stade Vélodrome, temple du sport marseillais, en raison de son coût élevé pour la commune, après la présentation d'un audit soulignant la situation financière "catastrophique" de la ville.

    "Le stade, je veux le vendre parce qu'il nous coûte trop d'argent. Je veux le vendre parce que c'est une gabegie financière", a expliqué mercredi soir l'édile lors d'un échange sur Facebook avec des internautes, en rappelant qu'il s'était déjà exprimé en ce sens lorsqu'il était dans l'opposition.

    "Je le ferai si je trouve un acheteur. Et je me débrouillerai dans les mois, les années qui viennent pour trouver un acheteur. Le stade, c'est plus possible. Niet, terminé. 15 millions d'euros de la poche des Marseillaises et des Marseillais pendant 30 ans, terminé", a-t-il lancé.

    Le socialiste Benoît Payan a repris fin septembre les rênes de la ville à la tête de la coalition de gauche du "Printemps marseillais après la démission de l'écologiste Michèle Rubirola.

    L'élu avait dénoncé mercredi un gaspillage de l'argent public par l'ancienne majorité de droite de la ville dirigée pendant vingt-cinq ans avec l'ex-maire LR Jean-Claude Gaudin à l'occasion de la remise d'un audit commandé après la victoire de la gauche aux municipales.

    "Et, en matière de gabegie, c'est souvent par le sport que la majorité précédente a pêché, c'est un peu la boîte de pandore des investissements manqués", avait notamment expliqué l'élu citant en exemple le stade Vélodrome "dont la mauvaise négociation financière nous a coûté 93 millions d'euros".

    Inauguré en 1937 avec une piste de cyclisme, rénové et livré en octobre 2014, le Vélodrome est devenu le deuxième plus grand stade français. Une toiture a été installée. Les travaux ont coûté 268 millions d'euros.

    Alors dans l'opposition, Benoît Payan avait dénoncé le partenariat public-privé engagé par la municipalité de droite avec le consortium Arma pour la rénovation du stade en pointant un surcoût important lié à des "frais financiers exorbitants".

    Côté recettes, la chambre régionale des comptes avait déjà estimé en novembre dernier dans un rapport au vitriol sur la gestion de la commune, que le loyer versé à la ville par l'Olympique de Marseille était trop faible.

    Il faudrait qu'il passe à 8 millions d'euros par an, contre 5 aujourd'hui, écrivaient les magistrats dénonçant également les 52,2 millions d'euros de subventions versées entre 2012 et 2017.

    La déclaration du maire de Marseille survient en pleine crise à l'OMC, au lendemain de la mise à pied de l'entraîneur portugais André Villas-Boas et quatre jours après les violences incidents commis par des supporters au centre d'entraînement.

    Le Point

    Le Qatar sera sûrement acheteur !


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  • Le lecteur du Figaro a nettoyé ses lunettes loupes avant de relire le chiffre indiquant la progression des homicides en France depuis 20 ans : +90 %. Il avait bien lu. Sous le terme « homicidité », le criminologue Alain Bauer regroupe ainsi les crimes habilement répartis par le ministère de l’Intérieur sous diverses appellations : féminicides, « règlements de comptes entre malfaiteurs », « homicides à l’occasion de vols », « coups et blessures volontaires suivis de mort », « homicides contre enfants de moins de 15 ans », etc.

    En la matière, les gouvernements successifs semblent avoir dissimulé la réalité globale par la création de multiples catégories. Une technique de délayage qui laisse libre cours à la créativité du haut fonctionnaire. L’« abruticide » pour les conflits de voisinage qui tournent mal, le « couillonicide » qui sévit dans les rangs des sympathisants macroniens, et puis la ville de Fourmies, dans le Nord, en proie à l’insecticide… Il reste encore de nombreux sous-groupes cache-misère à inventer.

    Afin que le lecteur du Figaro ne tombe pas de sa chaise et se brise le col du fémur, Alain Bauer invente le doux concept d’« homicidité ». Plus flou… Moins abrupt que : « Le crime en augmentation de 90 % depuis 20 ans. » Les abonnés le remercient. L’électeur de gauche, quant à lui, méditera ce pourcentage avant de s’insurger contre les armes en vente libre aux USA. Le balayage devant la porte n’est pas la grande spécialité du redresseur de torts français.

    Alain Bauer constate : « Un profond mouvement de retour de la violence physique est en train de se produire, particulièrement en Occident. Il est ignoré ou sous-estimé. » Ou « glissé sous le tapis », pourrait-il dire. « La crise sociale, la crise sanitaire, les effets violents de la “trollisation” de la société, qui vont jusqu’à l’appel au meurtre sur les réseaux sociaux » seraient les raisons de cette explosion. Le spécialiste reste prudent. Attention, sables mouvants ! Un mot de plus et il passe du côté obscur de la force. Rangé dans le même tiroir qu’Éric Zemmour.

    Sur les motifs de cette montée alarmante, l’AAAVAM, (l’Association des aides aux victimes d’accidents des médicaments) apporte un autre son de cloche. Le chiffre de +90 % en 20 ans, avec un pic en 2020, serait à imputer à la multiplication des prescriptions de psychotropes. « Maintenir les patients sous camisole chimique semble être la seule solution retenue par les autorités pour lutter contre le coronavirus », écrit l’association. D’une manière générale, tranquillisants et somnifères anxiolytiques (benzodiazépines) favoriseraient la violence ainsi que les succédanés de cocaïne remboursés généreusement par la Sécurité sociale. Alcool, drogue et autres facteurs que la zemmourophobie m’interdit de nommer ici. À propos de statistiques, qu’en est-il de… Non, je n’ai rien dit.

    Boulevard Voltaire


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  • Six ONG, dont Amnesty International, ont annoncé mercredi le lancement, pour la première fois en France, d'une action de groupe contre l'Etat afin de mettre fin aux "contrôles d'identité discriminatoires" par la police dont l'existence a été reconnue en décembre par Emmanuel Macron.

    "On est identifié comme un facteur de problème"

    A l'issue d'une mise en demeure préalable de quatre mois, les six organisations expliquent qu'elles saisiront la justice si le gouvernement n'apporte pas d'ici là des "réponses satisfaisantes", conformément à la procédure prévue par la loi de modernisation de la justice du XXIe siècle votée en 2016. "Les organisations prennent cette initiative inédite pour faire cesser les contrôles d'identité discriminatoires, pratique stigmatisante, humiliante et dégradante pour toutes les personnes qui en sont victimes en France", écrivent-elles dans un communiqué.

    "Aujourd'hui quand on a une couleur de peau qui n'est pas blanche, on est beaucoup plus contrôlé (..) On est identifié comme un facteur de problème et c'est insoutenable", avait reconnu Emmanuel Macron début décembre lors d'un entretien avec le média en ligne Brut.

    Une modification du code de procédure pénale

    Les six ONG engagées dans la procédure sont Amnesty International France, Human Rights Watch, Open Society Justice Initiative, la Maison communautaire pour un développement solidaire (MCDS), Pazapas et Réseau - Égalité, Antidiscrimination, Justice - interdisciplinaire (REAJI). La mise en demeure cible plus précisément le Premier ministre Jean Castex, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin et le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti, "responsables de la conception et de l'exercice de l'action policière", estime le collectif.

    Les ONG demandent notamment une modification du code de procédure pénale pour "interdire explicitement la discrimination dans les contrôles d'identité", la "création d'un mécanisme de plainte efficace et indépendant" ou encore "la mise à disposition de toute personne contrôlée d'une preuve de contrôle", sur le modèle du récépissé. En novembre 2016, la Cour de cassation avait définitivement condamné l'État pour des contrôles d'identité "au faciès".

    Plusieurs actions de groupes ont déjà été portées par le passé mais elles visaient des entreprises privées comme le géant pharmaceutique Sanofi, le motoriste Safran ou la banque Caisse d'Epargne Île-de-France.

    Europe 1

    Il faut laisser tranquilles ces jeunes chances pour  la France faire leurs trafics de drogue dans les banlieues !


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  • Sa dernière décision était guettée. Dans les ultimes heures de son mandat, Donald Trump a prononcé la grâce de 73 personnes, alors que l’investiture et l’entrée en fonctions du démocrate Joe Biden sont prévues ce mercredi 20 janvier. Parmi les bénéficiaires de la clémence présidentielle, on retrouve notamment, sans surprise, l’ultraconservateur Steve Bannon, ancien conseiller tombé en disgrâce de Trump.

    « Le président Donald J. Trump gracie 73 personnes et a commué les peines de 70 autres », est-il indiqué dans un communiqué de la Maison-Blanche, publié en début de nuit ce mercredi.

    Bannon ? Une décision « de dernière minute »

    Steve Bannon, 66 ans, avait été l’un des artisans de la campagne présidentielle victorieuse de Donald Trump en 2016 avant d’être poussé vers la sortie par le milliardaire républicain. Il a obtenu la clémence du président alors qu’il était accusé d’avoir détourné des fonds prétendument destinés à la construction d’un mur à la frontière Etats-Unis-Mexique.

    « M. Bannon a été un leader important du mouvement conservateur et il est connu pour son expertise politique », ajoute le communiqué de la Maison-Blanche.

    Selon le « New York Times », Donald Trump a pris la décision de gracier son ancien conseiller à la dernière minute, après s’être entretenu au téléphone avec lui. La grâce présidentielle annulerait les charges portées contre Steve Bannon s’il était condamné, selon le journal.

    Mais aussi Lil Wayne, Elliott Broidy…

    Sur la liste des autres personnes graciées figure son ancien collecteur de fonds, Elliott Broidy, poursuivi pour une campagne de lobbying illégale, ainsi que le rappeur américain Lil Wayne, qui avait plaidé coupable le mois dernier de possession d’une arme à feu, délit pour lequel il risquait jusqu’à dix ans de prison.

     

    Ces derniers mois, Donald Trump, qui doit s’envoler ce mercredi matin pour la Floride, a exonéré un certain nombre de collaborateurs et de proches, certains ayant été condamnés dans le cadre de l’enquête sur une possible collusion entre la Russie et son équipe de campagne en 2016.

    L'OBS


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  • Comparaison entre "Monsieur cuisine connect" de Lidl et "Thermomix"

    Dans l'affaire qui opposait Lidl à Vorwerk, la justice espagnole vient de donner raison à la société qui commercialise le célèbre Thermomix.

    Gros revers judiciaire en Espagne pour Lidl. Le tribunal de commerce de Barcelone vient d'ordonner à l'enseigne allemande de retirer de la vente tous ses Monsieur Cuisine Connect. La justice a estimé que le discounter violait les droits du brevet Thermomix, rapporte El Pais. Le montant des dommages à verser à la société allemande n'a pas encore été fixé, mais selon la RTVE, Vorwerk exige 10% des ventes du robot de Lidl.

     

    Durant le procès, qui s'est tenu en novembre dernier, les experts avaient pendant deux jours comparé les caractéristiques des deux robots de cuisine alors que Vorwerk reproche à Lidl d'avoir commercialisé sous sa marque Silvercrest un modèle similaire à son robot à un prix bien inférieur.

     

    Le brevet espagnol de Vorwerk a été jugé valide par les juges. Quant au Monsieur Cuisine, ils ont estimé qu'il présentait effectivement certaines caractéristiques du Thermomix. Par conséquent, Lidl a été condamné pour violation de brevet. Dans sa décision, le tribunal de commerce de Barcelone demande à la chaîne de supermarchés allemande de "cesser d'importer, de stocker, de commercialiser" son robot de cuisine et demande à ce que tous les exemplaires soient retirés du marché. L'enseigne est également priée de faire disparaître toutes les publicités et autres supports commerciaux sur lesquels figure le produit incriminé.

    Vendu 359 euros contre 1.299 pour le Thermomix, le Monsieur Cuisine Connect a rapidement rencontré un énorme succès, en particulier en France, où lors de son lancement, de longues files d'attente se sont créées devant les points de vente.

    Capital

    Lidl est régulièrement décriée au sujet de ses conditions de travail en Allemagne comme en France !

    Bien fait pour Lidl !


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